lundi 19 décembre 2022

Punitions perverses et vicieuses en prison

Prisonnière parade nue en prison.
Nudité totale.


Prisonnière  placée nue et humiliée en confinement solitaire.


Le scandale causé par la révélation dans les médias des actes de tortures, humiliations et sévices infligés par les gardes et soldats américains durant la guerre d'Irak (2003/2011) sur les prisonniers.


Les enquêteurs ont découvert que la nudité était utilisée massivement pour punir et installer une discipline de fer dans la prison. Un témoin anonyme raconte avoir vue une femme obligée de se mettre nue et placée dans une cellule punitive en confinement solitaire.

La prisonnière a 31 ans, c'est une femme irakienne de classe moyenne connue dans les fichiers sous le nom de Rania, un jours les gardes l'ont accuser de  dérober de la nourriture et  de manger illégalement sans réelles preuves des rations réservées aux américains.

Cinq gardes sont arrivés dans sa cellule pour lui imputer des larcins. 

Ils lui ont dit autoritairement "Nous savons que tu pique des paquets de bouffe, tu va être punie, nous allons te retirer tout ton confort et vider ta cellule de tout matériel de couchage  et te mettre au trou connasse.

"Nous allons aussi prendre tout tes vêtements et te mettre toute nue pour te punir."

Les gardes utilisent les mises à nu pour contrôler et maintenir la crainte et la terreur sur les prisonniers, en particuliers les femmes qui craignent spécifiquement la nudité forcée.

Les femmes prisonnières arabes sont culturellement très conservatrice, et leur religion leur enseigne la pudeur, la modestie, l'obligation de cacher son corps. Les américains prennent un malin plaisir à humilier les femmes  en les faisant retirer leurs vêtements devant tout le monde.

Se retrouver nue et retirer sois même ses vêtements devant des hommes, le staff pénitentiaire mais aussi devant d'autres prisonniers qu'elle connait peut être est terriblement humiliant pour Rania.

"Lorsque un prisonnier enfreint les règles, il est sanctionné, nous lui enlevons tout conforts, et surtout nous le mettons à poil pour l'exemple ça fait partie de nos méthodes de punition. C'est notre coutume, nos pratiques et nos règles. L'humiliation fait partie intégrante de la punition, toi ça te fera pas de mal d'être exhibée cul nu ça t'apprendre un peu l'humilité, alors, à poil !."





Humiliée et exhibée nue sans pudeur.
Attachée et exposée nue.

 


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mercredi 7 décembre 2022

Défiler à poil, une tradition dans cette école.

 

Nudité totale pendant le bizutage
Marcher toute nue en public durant le bizutage.

La parade nue lors du bizutage de l'école d'infirmière.


Dans cette école qui forme les futures infirmières et les aide soignantes chaque année, entre septembre et octobre pendant qu'il fait encore assez chaud, le bizutage est quelque chose de très intéressant à voir et qui fait partie du patrimoine folklorique de la ville.


Les étudiantes de première année doivent défiler complètement nues et pieds nus avec l'interdiction de couvrir leurs sexes, leurs seins, leurs fesses pour que tout le monde puisse regarder et profiter du spectacle des jeunes étudiantes à poil.


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Le bizutage traditionel.

samedi 3 décembre 2022

Nudité publique, pudeur et bizutage

 

Nudité publique dans le parc pendant un bizutage
Fille toute nue dans le parc.


Fille exposée nue dans un parc pendant le bizutage.

Noémie, 21 ans est étudiante en première année de licence d'économie gestion dans une grande école française et doit en début d'année se soumettre aux épreuves du bizutage traditionnel.

Dans la résidence du campus universitaire les anciennes remarquent vite la jeune fille et décident de la rendre sous leurs ailes et de la "former" et "dresser" à la soumission et aux divers gages pervers et humiliants.

L'étudiante Noémie est encadrées par deux anciennes, Sophie et Chloé qui estiment qu'une bonne formation doit commencer doit commencer par une "présentation". 

Noémie doit se mettre toute nue dans un premier temps devant ses "marraines", elle doit retirer tout ses vêtements sous la pression le chantage et les menaces des anciennes qui lui disent qu'elle ne pourra jamais réussir ses études sans l'appuie des anciens, qu'elles connaissent le directeur et les principaux profs très attachés aux traditions et considérant le bizutage comme partie prenante du cursus éducatif.



L'une des épreuves obligatoire et systématique que l'étudiante craint le plus est la parade à poil en public.


La jeune fille a été contrainte de retirer tout ses vêtements par les secondes années, qui aiment humilier les bizuths et surtout celles pudiques et gênées comme Noémie 


Noémie se retrouve nue comme au jours de sa naissance, les bizuteuses l'informent que les nouvelles n'ont pas le droit de porter de culotte, ni de soutient gorge car c'est interdit dans le campus, devant les anciennes  et lors des activités scolaires. Les sous vêtements de l'étudiantes sont donc confisqués et détruit.  Toute désobéissance peut être sanctionnée par des châtiments corporels.


Le port de chaussettes de bas est aussi prohibé et les filles doivent être pieds nus.


Les filles de seconde années sont impitoyables et insensibles aux supplications de Noémie et des autres nouvelles qui ne veulent pas s'exposer à poil par pudeur et par gêne. Hors les anciennes veulent décoincées et former les jeunes a devenir de vrai salope sans pudeur mais pour devenir comme ça, ça nécessite un dressage appelé bizutage.


La direction de l'université approuve et protège  pour ces raisons cette tradition jugée nécessaire dans l'éducation des jeunes femmes adultes.



Ensuite pour en revenir à Noémie, elle est forcée de se promener totalement nue et pieds nus sur le campus et dans le parc étudiant en pleine journée de samedi après midi.

L'étudiante doit tout exposer sans pudeur.




Décoincer les filles en les mettant à poil au bizutage.
Pas de place pour la pudeur à poil !



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lundi 14 novembre 2022

Les processus et traitements spciaux infligés aux prisonnières.


 Les conditions humiliantes de détention imposées aux femmes.


L'armée américaine a choisi d'isoler les femmes prisonnières qu'elle détient dans une aile spécifique de la prison d'Abou Ghraib du coté de Baghdad et de leur imposer différents sévices spécifiques selon la presse internationale.


Des observateurs de la croix rouge dans un rapport confidentiel ont révélé que les femmes prisonnières de "haute sécurité" sont gardées dans des conditions très éprouvantes. Elles sont maintenues la plupart du temps dans de toute petite cellule qui ressemble plutôt a des cages de zoo.


Pire encore, les prisonnières sont entièrement nues, les responsables de l'armée reconnaissent  que le déshabillage est une technique d'interrogatoire approuvée aux plus hauts cercles du pouvoir US. Les prisonnières sont contrainte de se dénuder totalement en arrivant sur le site, et doivent rester sans vêtements durant leur période de captivité.


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Prisonnière soumise à la nudité forcée.



jeudi 10 novembre 2022

Une prisonnière mise nue et humiliée en détention.

 

Prisonnière attachée toute nue sur un lit pour être exhibée.
Prisonnière attachée et exhibée nue.

Une détenues de sécurité soumise aux traitements dégradants.


Dalia est une femme de 31 ans, ancienne fonctionnaire du régime irakien renversé par les Etats Unis lors de la seconde guerre du golfe (2003/2011). Lorsque les forces armées l'ont contrôler lors d'une opération de ratissage, le renseignement militaire a estimer qu'elle était susceptible d'avoir des informations importantes sur les insurgés, et certains dignitaires en fuite qu'elle connaissait et donc de l'arrêter et de la détenir plusieurs mois sans inculpation sous le statut de "détenue de sécurité".

Lorsque la prisonnière arrive sur le site dur, accompagnée par des marines, qui l'a "confie" aux personnel de la prison. Les marines l'ont traité avec courtoisie et respect.


Sur place la galanterie est terminée, de "Madame", elle passe à numéro 270917, elle est vêtue d'une tenue arabe traditionnelle chic et bien propre, d'un hijab, c'est une femme coquette, bien élevée.


Le cauchemar commence pour Dalia qui doit se déshabiller entièrement devant les gardiens hommes et femmes. C'est une pratique volontairement humiliante que d'obliger des femmes pieuses et honorables à se mettre nues devant les conquérants américains. Les psychologues et interrogateurs de l'armée utilisent le tabou culturel et religieux de la nudité pour soumettre les captifs, tout est fait pour mépriser et rabaisser la prisonnière et lui retirer non seulement ses vêtements mais aussi toute dignité et tout statut social.

C'est quasiment la première choses qui est faite lorsqu'une femme arrive : le déshabillage intégrale.

Dalia doit se dévoiler et retirer son hijab et le donner aux américains, et le reste de ses habits y passe aussi; elle doit les remettre pièce par pièce, tout, y compris la culotte de la prisonnière.

Le retrait des culottes et leur confiscation sont des enjeux important pour le staff car  les sous vêtements féminins et les utilisent pour humilier les hommes en les forçant à s'exhiber en lingerie féminine ou avec une culotte sur la tête  comme des idiots ...


Les slips de femmes ont beaucoup de valeur au sein de la prison car ils sont rares du fait du nombre restreint de détenues et les gardes peuvent se les échanger à des prix allant parfois a plus de 250 dollars.


Les prisonnières riches portent souvent des culottes de bonne qualités et très sexy et les plus modestes des sous vêtements plus simples.


Les culottes sont bien sur interdites, Dalia  comme les autres prisonnières sont gardées  les fesses à l'air et sont donc toutes à égalité. "Les femmes sont "cul nus" ça leur fait pas de mal de se promener les fesses à l'air".


Lorsque Dalia est arrivée les gardiens ont parié entre eux pour savoir si elle se rase ou pas la chatte, d'ou la présence de nombreux spectateurs masculin lors des fouilles d'accueil des femmes.


Dalia s'épile le pubis, ça lui aura au moins éviter l'humiliation d'être raser, car la responsables américaines des surveillants dans son devoir de civilisation et d'émancipation estime que les irakiennes doivent avoir le sexe et l'anus bien lisse et propre comme les femmes américaines.


L'équipe de surveillants américains estime que les femmes doivent non seulement être nues, mais aussi exposée et exhibée publiquement et privées de toute intimité pour être montrer en exemple et être humiliées et punies. Les interrogateurs sont très partisans de cette technique simple et efficace à mettre en oeuvre. L'humiliation  est très fortement ressentie lorsque les vêtements d'une femme sont en train d'être retirés en public en arrivant. 

Pour les gardiens c'est à la fois un moyen de contrôle et de punition, car si elles sont prisonnières sont là c'est qu'il y a une raison et elles doivent en baver, mais aussi par méchanceté et pour s'amuser de voir la détresse d'une femme pudique obligée d'exposer ses parties les plus intimes et sans défense.


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Séquestrée et ligotée nue par un cambrioleur.


Les humiliants sévices subies par les prisonnières.



samedi 5 novembre 2022

Humiliations publiques pour les femmes prisonnières.

 

Nudité et exhibition humiliante en prison BDSM
Les prisonnières humiliées alignées nues.

Les humiliations perverses imposées par les gardiens sur les femmes détenues.


Les gardiens et militaires américains pendant la seconde guerre d’Irak (2003/2011) ont déclenché plusieurs scandales en rapport avec les conditions de détention et le traitement des prisonniers de guerre dans les centres de détention de l’armée Us en Irak pendant la période et en particulier dans la prison d’Abou Ghraib prêt de Baghdad ou des sévices pervers et humiliant sont systématiquement imposés aux prisonniers. Les femmes prisonnières ne sont pas non plus épargnées par la méchanceté des gardiens.


Un ancien prisonnier  de droit commun raconte avoir vue sa cousine Hoda se faire humilier et dresser publiquement par les gardes dans les couloirs de la prison d’Abu Ghraib.



«  Ma cousine Hoda est arrêtée  le 07 avril 2004 sur un malentendu par les troupes américaines à côté  de son université où elle étudie le droit et tente de défendre les intérêts  de ses concitoyens face aux occupants américains. 

Il n’en faut pas beaucoup pour être emprisonné et arrêter au secret pendant plusieurs mois par les autorités Us. Le fait d’avoir été consulté en tant que juriste par la famille d’une personne suspectée de résistance et de faire partie de la rébellion a value à Hoda d’être emprisonnée  sans aucune charges plusieurs mois pour « menace  à la sécurité nationale » et soupçons d’appartenance à la rébellion.


Elle s’est faite  arrêter sur le campus puis vue son statut de prisonnière de haute sécurité transférée à bord d’un véhicule militaire jusqu’à la prison d’Abou Ghraib. 


Elle est arrivée et plusieurs autres femmes étaient là, il y avait jeune fille  accusée de prostitution, et deux autres femmes bien habillées, l’une commerçante et une ancienne employée du ministère du pétrole.

Hoda et ses camarades sont d’abord invitées à remettre leurs papiers d’identité, argent, bijoux, montres,

Puis elles sont soumises à des relevés d’empruntes digitales et prélèvements d’ADN. 


Une fois toutes ces procédures terminées les prisonnières ont reçu chacune un petit carton d’environ 40 cm sur 40 avec un numéro et le nom de chaque détenue.

Les femmes doivent suivre une gardienne en marchant alignées  et traverser une aile de la prison où sont gardés des hommes dont moi son cousins jusque à la salle d’admission.


La salle d’admission est ouverte  et les fenêtres donnent sur la cours ce qui fait que les détenus et personnels de l’administration peuvent voir ce qui s’y passe.

Une fois dans cette pièce où elles sont attendues par l’équipe qui gère la partie de la prison où elles doivent être retenues.

Certains membres de la police militaires sont de vrais brutes de décoffrage. Pour les américains l’arrivée de nouvelles détenues est toujours un spectacle amusant certains aiment par sadisme voir la situation difficile dans laquelle se trouvent les femmes incarcérées.


Hoda et les autres reçoivent l’ordre d’enlever tout leurs vêtements  et de les mettre dans le carton devant tout le monde hommes inclus !

Je la connais, elle porte le voile et  elle est très pudique et réservée et n’a jamais oser se promener ne serait ce qu’en maillot de bain sur la une plage, c’est très difficile d’imaginer ce qu’elle peut ressentir lorsque l’ordre est tombé.

Les autres femmes aussi ont l’air anxieuses et désespérées sauf pour celle qui est ici pour prostitution qui a l’air un peu délurée et porte un jean et un T shirt avec des baskets blanches.


Les prisonnières doivent se déshabiller les unes devant les autres et devant un large public. Bien sûr que les américains les oblige les femmes à retirer leurs hijab (voiles) abayas (large robe traditionnelle arabe) pour les dominer mais ils vont bien plus loin et les force a enlever vraiment  tout.

Les américains expliquent qu’ici ils sont les maîtres et qu’il n’y a pas de place pour la pudeur et la timidité.

Certaines tentent souvent comme Hoda et l’ancienne fonctionnaire  du ministère de garder leurs culottes mais c’est impossible et elles doivent aussi les baisser et les remette aux geôliers. Les américains sont intraitable et ne font jamais aucune concession sur la question de la nudité et les femmes fières et pudiques comme ma cousine se retrouvent toujours les fesses à l'air ... Tout doit être ôter , bien sur tout les vêtements et sous vêtements, mais aussi les épingles à cheveux et les culottes ...`

 la prostituée qui est pleine de tatouages et plutôt exhibitionniste a été réprimander pour avoir oublier de retirer ses chaussettes. 

Les femmes sont traitées comme les hommes, totalement dépouillées et ensuite inspectées et fouillées en profondeur. 

Ma si pudique cousine doit avec ses camarades d'infortunes exposer tout son corps et son intimité en public, ces jeunes femmes sont totalement nues et pieds nus après avoir déposer tout leurs vêtements dans les cartons qui sont ramassés par un gardien et ensuite placés dans la consigne. Elle a l'air dépitée de voir ses précieux vêtements confisqués et sans savoir quand elle pourra à nouveau les porter


Ma cousine et les autres sont laisser sans rien et doivent rester debout pendant un long moment, les gardes pour leur apprendre  l'obéissance et la soumission et leur montrer qui est désormais le patron obligent les prisonnières nues à mettre les mains sur la tête et a tourner sur elle même lentement sous les regards et remarques  méprisantes  et moqueuses du staff pénitentiaire. Tout geste de pudeur est rigoureusement interdit, mettre sa main sur ses seins ou son sexe pour tenter de le dissimuler aux regards du public est proscrit par les gardiens.

La procédure oblige les nouvelles arrivantes à s'exhiber et tout montrer "Tout le monde peut voir que vous êtes toutes nues et bien dociles et obéissantes, il faut qu'on puisse tout voir, pas de pudeur ici.


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BDSM en prison.


Fouille à nu abusive.


samedi 29 octobre 2022

Nudité imposée en prison, un avocat découvre sa cliente nue.

Jeune prisonnière à poil en cellule et enchainée.
Nue en enchainée totalement exhibée dans sa cellule de prison.

La nudité forcée systématique dans certains centre de détention.

L'un des avocat d'une femme irakienne de 26 ans, Nadia ayant été détenue plusieurs mois dans la prison d'Abou Ghraib dénonce les conditions de détention de sa cliente, et des atteintes à la dignité humaine.


Après avoir été autorisé a pénétrer dans la prison suite aux pression médiatiques et le soutient  des organisations des droits de l'homme, il a pu visiter sa cliente.

Ce qui est de le frappant c'est que la jeune détenue est totalement nue en maintenue par un dispositif de chaines dans sa cellule. Elle a les seins à l'air,  rien pour couvrir ses fesses et sa chatte et ses pieds sont nus.


La prisonnière est interdite de porter le moindre vêtements. Elle est sous le statut de prisonnière de haute sécurité qui implique la nudité totale et permanente dans le secteur ou elle est détenue.  Un des responsables de la prison a dit qu'après plusieurs incidents en rapport avec la sécurité, notamment le fait que certains prisonniers dissimulaient des objects illicites ou de contrebande plusieurs gardiens se sentent menacés et ont constater l'intrusion d'objets non autorisés. Suite à ça et avec l'aval des responsables de la police militaire et de la CIA, la décision d'enlever les vêtements de tous les prisonniers a été prise.

Lorsque l'avocat a demander aux gardiens de fournir des vêtements et des chaussures à sa cliente, sa demande a été rejeté pour des raisons de sécurité, hors de question de l'autoriser à porter le moindre vêtements.

Pour les gardiens la nudité de la cliente et des autres prisonniers parait tout a fait normal car d'une part ceux sont les ordres et les consignes officielles et que ça rassure de savoir que les détenus ne peuvent rien dissimuler sur eux.

Lorsque le défenseur de la loi  questionne les surveillants s'ils se rendent comptent que ça peut etre assimiler a une forme de mauvais traitements et que c'est humiliant et dégradant pour les détenus, les gardes haussent les épaules.

Les gardiens trouvent que ce pas très grave de garder à poil les détenus car il fait chaud et donc les vêtements ne sont pas nécessaires, voir "fun" et amusant d'obliger les femmes à vivent nues.

Après tout il s'agit de punir et de se venger et la nudité chez une femme comme Nadia est une technique simple et efficace qui heurte ses sensibilités culturelles et religieuses et la met dans une situation très inconfortable de vexation car elle est bien élevée et très pudique et l'obligation d'être nue en public.

Lorsque la jeune femme est arrivée , elle était comme la plupart des femmes arabes un peu aisée et respectable de la bonne société bien propre sur elle, soignée et vêtue d'une robe traditionnel (abaya) et d'un foulard sur les cheveux. Tout ça, elle a du les enlever obligatoirement devant les regards moqueurs des soldats qui lui font remarquer que si elle était si pieuse et si respectable que ça, elle se ne baladerait pas toute nue devant tout le monde ...

Les fouilles au corps sont pratiquer très souvent et pour dresser et  pour apprendre l'humilité selon les gardiens.



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lundi 10 octobre 2022

Punir et rabaisser l'égo des femmes prisonnières.

 

Toute nue en prison
Femme exhibée toute nue en prison.

Une institutrice incarcérée par erreur et humiliée nue.


Zohra est une institutrice irakienne de 27 ans, pendant l'occupation américaine de son pays elle a eu une très mauvaise expérience lors de son arrestation puis de son incarcération dans le prison militaire d'Abou Ghraib pendant plusieurs mois suite a de fausses accusations de terrorisme et de soutien aux rebelles.


Ce centre de détention est l'un des principale centre d'interrogatoire tenu par l'armée, y sont notamment garder les détenus de sécurité c'est à dire toute personne soupçonnées de liens avec l'ancien régime, la résistance ou le terrorisme et de représenter une menace pour la coalition américaine.


La jeune femme s'est retrouvée sur des dénonciations calomnieuses de certains de ses voisins jaloux.


Si l'arrestation s'est déroulée sans incidents notables, lors de son arrivée dans la prison a été très éprouvant et les conditions difficiles. 


Les consignes données par la CIA et les interrogateurs militaires  aux surveillants sont d'être méchants et cruels avec les détenus et de les traiter pire que des chiens pour les rendre dociles et coopératifs et les faire parler plus facilement lors des interrogatoires.


Depuis le 11 septembre 2001 beaucoup d'américains bien décider à se venger et a avilir et déshumaniser tout ce qui est en rapport avec l'ennemi de près ou de loins sans distinction.


Le processus imposé aux prisonniers et prisonnières est très difficile à vivre et a supporter. La première chose qui revient dans le témoignage de Zohra comme dans beaucoup d'autres détenus c'est l'obligation de se déshabiller  pour la fouille qui inclus un examen gynécologique et de l'anus devant des gardiens hommes et femmes.



La jeune institutrice a été mise complètement nue, pour une femme très conservatrice et religieuse ce type d'expérience est très traumatisante car la nudité est taboue. Pour les gardiens il s'agit de contrôler et de discipliner. 

Comme pour les autres détenues de sexe féminins, les américains sont bien décider à détruire l'égo et la fierté de cette femme respectable et pudique et de lui enlever toute dignité lui apprendre l'humilité. Se retrouver toute nue  devant tout le monde et interdite de porter des vêtements et des chaussures.

"Cette énergique petite femme un peu ronde et mate a subie une mise à nue publique et humiliante en guise de cérémonie d'accueil. les gardes aiment obliger les femmes irakiennes voilées a se mettre totalement nue et les faire se déshabiller sous la menace car elles sont très pudique et n'ont jamais par exemple oser porter un bikini à la plage et sortent tout le temps couverte de la tête aux pieds. Zohra a essayer de supplier  négocier pour garder au moins ses sous vêtements mais c'est la nudité totale qui est obligatoire. 

C'est difficile d'imaginer ce qu'elle pouvait ressentir  elle est passée en quelques minutes du statut de femme bien couverte et habillée à celui de prisonnière nue.

A poil, les pieds nus, elle doit se soumettre et être dressée. Elle fait moins la maligne comme ça totalement exhibée et prise en photo dans des postures dégradantes et obscènes !

Pour les américain il s'agit d'éduquer et de rendre la nudité naturel pour les prisonnières par un reconditionnement psychologique.

Elle a été attachée régulièrement toute nue et exposée devant tout le monde en subissant insultes rires et moqueries.



samedi 24 septembre 2022

Discipline et soumission en prison.

Prisonnière nue devant les gardes.
Pas de respect ni de pudeur en prison, à poil et c'est tout.

Prison signifie punir et dresser.


Depuis quelques années la politique pénale et carcérale s'est durcie et des décisions qui pouvaient passer il y a quelques années pour abusives et comme étant de la torture et des mauvais traitements sont aujourd'hui parfaitement légalisées par la cours suprême et ses juges conservateurs qui considèrent que les prisonniers n'ont tout simplement pas à avoir de droits.

Des prison de haute sécurité pour femmes très dures sont apparues dans le pays. La stricte discipline imposée est très redoutée comme le redouté  centre correctionnel situé en plein milieu du désert de l'Arozina. C'est l'un des centre les plus craint car les règles sont inhumaines et les gardiens ont tout les droits. Le Sherif est un homme ultra conservateur sévère et sans pitié pour qui le but de la prison est d'humilier et dresser les captifs pour les discipliner et vraiment les punir.


Cette prison accueille des femmes âgées entre 21 et 45 ans pas plus, de toutes origines et de tout confession. La plupart des détenues sont en attente de jugements dans des affaires de trafic de stupéfiants, de corruption politique, de terrorisme ou d'immigration illégale.


Ici nous allons présenter l'une des prisonnières, c'est  Sarah, une américano irakienne de 27 ans arrêtée par les forces armée à Baghdad pendant la seconde guerre du golfe sous le statut de "combattante ennemie" qui permet aux autorités US de détenir des gens sans inculpation pour des durée indéterminées.


Sarah est une bourgeoise arabe américaine, son père est un riche et influent médecin, suspecté de supporter la résistance, c'est la raison pour laquelle sa fille a été arrêtée et rapatrier aux Etats Unis après études de son dossier il a été décider de la garder en détention préventive et de l'incarcérer dans ce centre de détention du fait de la nature des soupçons portés contre elle, de ses antécédents disciplinaire, psychologiques et médicaux.

Lorsqu'une femme arrive, elle est soumise à une fouille d'admission ou elle doit se mettre totalement nue pour une inspection complète de la tête aux pieds. Le shérif impose aussi un examen gynécologique souvent en sa présence. Sarah a du tout enlever y compris sa culotte pour être fouillée toute nue avant d'être obligée de se promener les fesses à l'air jusque dans sa cellule.

Le seul uniforme c'est la nudité.



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lundi 19 septembre 2022

Vidéo: Une jeune musulmane voilée punie (Falaka) et humiliée à l'institut.

 


Châtiments corporels (Falaka) et humiliation pour faire respecter l'ordre et la discipline (Vidéo).

Dans un foyer pour jeune fille qui accueille des femmes migrantes ou ayant des problèmes familiaux compromettant leur éducation, la discipline est très stricte et le directeur et les surveillants sont adeptes des punitions physiques (fessées) et autres châtiments corporels comme la falaka ou bastinado qui consiste à flageller la plante des pieds de la personne punie.


Les punitions se font toujours toutes nues pour rendre la sanction plus efficace car accompagnée d'humiliations et de hontes. Yasmeena n'est pas très bonne dans ses études, ni très disciplinée et respectueuse du règlement intérieur.


Elle se masturbe et se trifouille souvent la chatte au lieu d'étudier, de lire ou de faire le ménage et de tenir correctement sa chambre. De plus le directeur souhaite faire respecter la laïcité dans l'établissement et la jeune fille a été plusieurs fois prise en train de porter le voile hijab, totalement interdit comme tout les autres couvres chefs. 


Outre l'obligation d'avoir la tête nue, les pensionnaires dans les locaux sont obligées de porter des tenues féminines, légère et peu couvrantes, en dehors des périodes de règles les filles doivent porter des petites jupes sans culotte, fesses à l'air, et sans soutient gorge sauf pour celles ayant de très grosse poitrines ce qui n'est pas le cas de Yasmeena.


Les chaussettes sont interdites et les pieds doivent être nus, les chaussures doivent être féminines, à talons, des sandales ou  alors elles doivent rester pieds nus.


Yasmeena doit se défaire se son éducation religieuses pour devenir une fille libertine et sans pudeur respectueuse des règles.


Prise en train de se branler et de porter le voile, le directeur l'oblige a se mettre toute nue, chose simple car elle ne porte que des escarpins et une petite robe sans rien dessous comme toute bonne petite femme chaude mais lui fait garder son foulard pour mieux la punir.


la jeune fille est ensuite fouettée sur la plante des pieds, puis obligée de se mettre contre le mur toute nue avec une badine entre les fesses pour servir d'exemple.


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Punitions collectives et humiliante.


Sévices corporels.




dimanche 18 septembre 2022

Nue pour l'interrogatoire.

Nudité lors des interrogatoires
Prisonnière nue vers la salle d'interrogatoire

 Nudité et interrogatoire renforcé des femmes.


Dans la plupart des pays du monde, sur les différents continents, la police politique et les militaires usent de méthodes musclés et coercitives pour ramollir et faire parler les détenus. Et les femmes ne sont pas en reste, certaines pratiques sont quasiment universelles.


En Amérique latine dans les prisons tenues par des régimes militaires d'extrême droite soutenus par la France et les Etats Unis, en Europe de l'est dans les dictatures communistes satellites de Moscou, en Russie même, dans les pays arabes et du moyen orient, dans les prison secrètes ou dans les prisons militaire américaine ouvertes dans le cadre de la lutte contre le terrorisme comme à Abou Ghraib en Irak.


Certes les femmes sont minoritaires dans ses endroits qui comprennent majoritairement des détenus mâles.  Mais lorsqu'elles sont arrêtées, les policiers ou les soldats commencent toujours par obliger les prisonnières à enlever tout les vêtements. Ceux sont souvent des femmes pudiques jouissants d'un respect ou d'un prestige dans leurs communautés d'origines (institutrice de gauche, femme d'opposants ou de rebelles etc.) et sont sont obligées de se mettre totalement nues sans aucune intimité et de parader dans le plus simple appareil en attente des interrogatoires ...


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lundi 5 septembre 2022

Prisonnière réduite en esclavage.

 

Nudité forcée humiliation torture moyen âge.
Princesse réduite en esclavage.

La capture des esclaves femelles au moyen âge


Les guerres étaient dans l'antiquité  et au moyen âge une occasion de piller et de faire des prisonniers qui étaient transformés en esclaves. Sous le règne des mérovingiens, une dynastie qui règne d'environs 481 à 751, l'une des particularité de ce régime était que le pouvoir et les terres étaient partager entre les fils du roi à chaque succession, ce qui à entrainer de multiples guerres et complot fratricide entre les frères pour le pouvoir et les territoires les plus riches.


Au sein de la famille les complots et les crimes en tout genre sont extrêmement fréquent, c'est l'une des raisons de sa chute en 751.

Les pervers et les perverses et les sadiques s'en donnent à coeur joie.

La princesse Berthilde, la Belle fille du roi Sigebert, épouse d'un des rois en rivalité avec ses  deux frères coalisés contre lui  Théodebert et Clotaire V . La  princesse a  été capturée lors d'une bataille et d'un assaut contre sa place forte.

Elle est encore assez jeune, blonde bien conservée et en forme. Les guerriers l'ont apporter aux deux autres rois qui sont bien décider à humilier le clan rival.

Les vêtements de la princesses sont déchirée et ses chaussures enlevées et pour lui enlever toute dignité elle est obligée de parader totalement nue dans son château et dans la ville sous les rires des soldats et des habitants qui l'insultent, rigolent, lui crachent dessus.

L'un des soldats en voyant une flaque d'eau décide de forcer la prisonnière à boire comme une chienne à quatre pattes et le cul bien en l'air. L'un des soldats en profite pour lui mettre un coup de pieds au cul et fait tomber la captive dans la boue. Les spectateurs sont hilares.

Le but est d'enlever toute dignité à la princesse et d'en faire la dernière des cochonnes.

La princesse est ensuite mise sur une charrette et transportée exposée totalement à poil jusque a une sorte de centre ou sont retenus les captifs qui seront revendue comme esclaves.

La future esclave est jetée nue dans un cachot et enchainée. Totalement exposée, chatte ouverte et disponible pour satisfaire les guerriers.

La princesse est ensuite dressée avant d'être revendue sur un marché aux esclaves.


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samedi 3 septembre 2022

Prisonnière sans vêtements

 

Nudité forcée en prison.
Prisonnière nue et enchaînée en cellule.


Témoignage sur la nudité forcée en prison.


Après les révélations  médiatiques sur les sévices et les humiliations imposés aux prisonniers de guerre irakiens pendant la seconde guerre du golfe par les gardiens américains de la prison militaire d'Abou Ghraib à coté de Baghdad en 2003/2004. Parmi les victimes il figure aussi des femmes, soumises à l'obligation de rester nue et a divers traitements humiliants.

L'un des contractuel de l'armée  travaillant dans le centre de détention se souvient d'une prisonnière, une jeune femme d'environ 25 ans prénommée Salima, c'était une étudiante en journalisme que l'administration a fait arrêtée pour des articles jugés hostiles à la coalition.

Les responsables de la police militaires ont demander aux gardes d'appliquer des règles de sécurité maximum, d'appliquer les ordres sans se poser de questions et de considérer les femmes prisonnières comme des combattantes ennemies au même titre que les hommes.

La prisonnière lors de son arrivée était comme la majorité des irakiennes très couverte de la tête aux pieds, et portait un foulard (hijab/voile sur les cheveux), et la première chose qu'elle a été obligé de faire c'est d'enlever  son voile, ses chaussures et tout ses vêtements y compris la culotte devant des hommes et des femmes.

La nudité et le malaise qu'elle peut créer et générer chez les personnes culturellement pudique et conservatrice est utilisée par les forces américaines comme moyen de pression psychologique et de coercition. 

Si le processus veut que les détenus soient soumis a une fouille à nu très profonde intrusive et humiliante incluant pour les femmes un examen gynécologique très traumatisant. Les gardes ont obligé Salima a marcher entièrement nue, enchainée et menottée  les mains dans le dos jusque dans sa cellule d'isolement ou elle est attachée en permanence a un dispositif de retenue avec des chaines métalliques au cou et aux chevilles.

Les femmes sont gardées nues, misent à poil en arrivant. Une gardienne l'ayant "traitée" se souvient d'une jeune fille pudique et respectable qui a bien fait rigoler les américains. Quand elle a compris qu'elle allait devoir se dénuder complètement elle s'est mise à supplier de la laisser porter au moins une culotte et de quoi cacher sa poitrine. Alors que nos règles sont la nudité totale. Salima n'avait rien pour cacher ses seins, ni ses fesses, sa chatte ou ses pieds nus. Nous lui avons dit qu'ici il n'y avait pas de place pour la pudeur et qu'elle sera souvent à poil devant des hommes.

Lorsque nous faisons parader cette prisonnière nue devant les autres prisonniers nous en faisons un exemple pour leur montrer que nous sommes les patrons, que  nous les mettons à poil et sondons les chattes et les trous du cul des femmes.

Certes Salima est enchainée en permanence et elle est interdite de porter le moindre vêtement, mais on ne lui fait rien de mal; c'est le protocole que nos supérieurs nous demande d'appliquer sans discuter.


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mercredi 3 août 2022

Les abus et humiliations subis par une prisonnière.

 

Prisonnière nue contrainte de courir dans les escaliers.


Humiliation, nudité forcée et cruauté en prison.

Hind, une jeune femme irakienne de 26 ans a été arrêtée par les forces armée américaine durant la seconde guerre du golfe en Irak (2003/2011) et détenue dans la célèbre prison d'Abou Ghraib près de Baghdad que les américains ont transformés en centre d'interrogatoire renforcé.

En arrivant la nouvelle prisonnière n'a aucune idée que les gardiens ont tout les pouvoirs et que les détenus n'ont plus aucun droit ni aucune dignité et laisser totalement à la merci du staff pénitentiaire et des interrogateurs de la police militaire et de la CIA.

L'équipe de gardes est composé d'homme et de femmes très autoritaire, sadiques, sans pitié qui n'ont aucun état d'âmes à maltraiter les femmes prisonnières.

Hind est responsable financière et administrative dans l'un des hôpital  les plus luxueux du pays fréquenté par beaucoup ds dignitaires de l'ancien régime renversé par les USA, elle gagne très bien sa vie et est très aisée. C'est une bourgeoise arabe respectée dans la société et les américains l'ont capturer en partie pour cette raison. Elle porte le voile comme toute bonne musulmane et une robe traditionnelle ample et large par pudeur qui cache bien ses formes.

Dans la prison d'Abou Ghraib les surveillants sont profondément pervers et vicieux et ils opèrent avec le soutient des autorités. Le but est d'avilir et soumettre  totalement les prisonniers en les privant de toute dignité et détruire leurs égos.

Les gardes obligent la prisonnière a se déshabiller complètement en arrivant, ce processus de mise à nu est systématiquement appliquée dans cette prison qui se caractérise par le fait que les prisonniers sont gardés sans vêtements.

Les quelques femmes captives comme Hind sont comme des trophées et des objets de divertissement qui marque la domination américaine et la soumission à l'empire. De plus ça permet  montrer aux prisonniers que les américains peuvent aussi capturer leurs soeurs, épouses, filles, mères etc.

Hind se retrouve donc contrainte a se mettre nue devant les gardes américains qui se délecte de l'humiliation qui lui font ressentir. Elle qui est couverte de la tête aux pieds se retrouve a devoir enlever ses vêtements de force sous la menace d'être fouettée  et battue et de toute façon déshabiller de force.

Les américains connaissent la pudeur  culturelle et religieuse des femmes orientales, donc pour les dégrader le plus possible leur impose la nudité totale !


Un témoin nous informe de l'état d'esprit des gardiens en voyant arriver Hind "Je me souviens de cette femme, c'était une sorte de bourgeoise, bien élevée, pudique habillée à l'arabe c'est à dire totalement couverte de la tête aux pieds. Les gardes sont très dominateurs et montre toujours aux prisonniers qui sont les patrons, elle a supplier de pouvoir garder  au moins ses sous vêtements en pleurant et on pouvait voir la détresse dans ses yeux. Les gardes lui on répondu "A poil ! les prisonnières des américains doivent être punies et  sont dressées ici,  alors tu retire tout !

Quelques instants après la jeune prisonnière était totalement nue, pieds nus, sans rien pour couvrir ses seins, ses fesses et sa chatte. C'est incroyable de voir qu'en quelques instants 

 Sous prétexte de la fouiller les militaires lui font écarter les jambes pour bien regarder sa vulve et son vagin et lui faire prendre des positions toutes plus dégradantes les uns que les autres pour lui faire ouvrir les fesses et lui inspecter l'anus.

Les gardes ont pris du plaisir a dégrader cette femme et à l'exposer à poil non seulement devant le personnelle mais aussi devant les autres détenus hommes et femmes dans ce qu'ils appellent "la parade des fesses à l'air", bien que ce soit souvent les prisonniers mâles qui en sont victime, c'est toujours plus spectaculaire quand c'est a une femme que ça arrive.

L'humiliation fait partie intégrante du traitement, c'est une consigne qui a été donner aux surveillants que de traiter les détenus comme pire que des chiens, et d'utiliser les tabous culturelles et religieux pour briser leurs dignité et les asservir.

Hind n'a jamais rien ressentie d'aussi humiliant que d'être exhibée à poil par les américains qui trouve ça fun en public. Du point de vue des soldat c'est très divertissant  et il n'y a rien de bien méchant à imposer ça car il fait chaud. Hind doit marcher lentement jusque à sa cellule avec les mains menottées dans le dos donc en ayant l'impossibilité de dissimuler ses seins.

Les américains placent Hind comme les autres dans une petite cellule vide sans lui donner le moindre vêtements.

Le repos de la jeune femme est de courte durée, les gardes pour ramollir les détenus, ont tout les trois. Pour dresser, ils obligent Hind a courir nue dans les escaliers jusqu'a l'épuisement, faire des jumping jack, des burpees, sautiller nue pendant que ses seins montent et descendent, ce qui fait bien rire le public.





Comme les hommes, les gardes forcent aussi des femmes prisonnières a marcher comme des chiennes, nues et en laisse. Pour décoincée Hind une balade a quatre pattes a été organisé pour elle.

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dimanche 31 juillet 2022

L'éducatrice du pensionnat dresse et humilie des jeunes filles.

 

Filles humiliée par une éducatrice en foyer pour jeune femme
Les terriblement humiliantes "revue des anus" en pension.



Terreur et avilissement au foyer pour jeunes filles.



Dans un foyer pour jeune fille de 18 à 26 ans qui accueille des jeunes femmes ayant des difficultés sociales et familiale, la presse locale parle d'un nouveau scandale, une éducatrice, Béatrice d'environs 40 ans y ferait régner une discipline de fer et la terreur pour obtenir la soumission totale des jeunes filles.

Sous le joug de cette éducatrice autoritaire une jeune fille, Clara a osé témoigner des humiliations subies et imposées.

"Les humiliations ont très vite commencer, Béatrice sous prétexte de  fouille pour rechercher du cannabis et de vérifier l'hygiène m'a imposer des inspections régulière, presque tout les jours. Elle me forçait à retirer tout mes vêtements et de rester toute nue devant elle. Elle me traitait comme un animal, elle disait être chargée de nous apprendre la bonne hygiène féminine et m'inspectait comme une esclave , elle vérifiait mes dents, oreilles, cou, aisselles, nombril, pieds, orteils etc.

 Toute les filles doivent y passaient, aucune pudeur ni dignité, surtout qu'elle nous faisait aussi prendre des postures obscènes et humiliantes pour nous ouvrir les fesses, et y mettre souvent ses doigts, ou elle nous titillait aussi le clitoris."


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mardi 19 juillet 2022

Sodomie, humiliation, bondage, nudité forcée.

Travail anal et bondage pour deux soumises.
Deux soumises sodomisées.

 Deux femmes kidnappées et sodomisées par un gang.


Un gang de trafiquant de femme sévit dans cette région et vient de capturer deux femmes , une bourgeoise et sa femme de ménage originaire du sud est asiatique. Les deux victimes ont été capturées la un check point organisé par le groupe sur une route  pour trouver des "proies". Les routes sont peu sures dans cette région.


Les femmes capturées sont ensuite transportées dans des villas isolées à la campagne pour y etre dressée et transformées en esclave.


Les captives sont dépouillées de tout leurs vêtements, chaussures,  bijoux, effets personnels et vivent intégralement nues. Toutes à poil, plus aucun statut social, les femmes sont réduites à n'être que des objets sexuelles et des trous à libre disposition.


Leurs vêtements sont  détruits.


Le chef du groupe est très pervers et sadique et est passionné par la sodomie, dans sa vision du monde une femme ne doit être prise que par les fesses, et leurs bouches servir à nettoyer et soulager, et les chattes à pisser et enfanter.

Le boss sodomise tout le temps les deux nouvelles et gicle dans leurs anus pour les dresser.


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samedi 16 juillet 2022

Femme prisonnière et incident en rapport à la Nudité forcée

 

la nudité de la femme prisonnière.
Prisonnière nue pour l'inspection.

L'ordre de déshabiller les prisonnières.


En 2004, en Irak pendant la seconde guerre du golfe les Etats Unis ont ouvert  près de Baghdad dans le secteur d'Abou Ghraib l'une des prisons les plus dures et les plus redoutées ou sont détenues les personnes suspectées de liens avec l'ancien régime, le terrorisme ou de menacer la sécurité nationale US.


L'une des caractéristique qui choque plus est que les détenus sont gardés sans aucune vêtements pour l'immense majorité, y compris les femmes prisonnières. Un observateur de la Croix Rouge Internationale rapporte l'expérience de Yousra S, une jeune femme de 26 ans retenue en isolement sous le statut de prisonnière de "hautes valeur" par l'administration,  sans aucune inculpation , mais totalement arbitrairement  car son oncle est activement recherché par la coalition pour ses liens avec l'ancien régime.


Dans l'unité ou est gardée Yousra, les prisonniers doivent être complètement nus à tout moment, les femmes ne faisant pas exception et sont soumises aux même règles que les hommes. Yousra a donc été déshabillée et fouillée en arrivant et forcée de marcher nue dans les couloirs de la prison avant d'être placée totalement nue en cellule.


De plus les forces armées obligent les femmes à se dévêtir devant des hommes pour accroitre leur sentiment d'humiliation. En effet, Yousra est une femme musulmane arabe respectable, certes assez moderne, mais de culture très pudique et conservatrice. Elle n'a jamais porter de bikini en public et porte par respect des tradition le hijab, voile et de robes amples et pudique en présence d'étrangers lorsqu'elle sort dehors. Les responsables utilisent la nudité comme moyen de coercition psychologique pour soumettre et rendre docile plus efficacement.


La nudité est particulièrement dégradante pour les personne comme elle, mais après quelques semaines, vivre nue devient naturelle et habituel. Yousra n'a plus aucun problème et sa pudeur a comme disparue.


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Sévices en prison.



jeudi 14 juillet 2022

L'avilissement et le dressage d'une prisonnière

 

Prisonnière nue et humiliée dans une séance d'exhibition.
Le rituel impudique de la fouille des orifices intimes des prisonnières.

Le dressage de la prisonnière Linda.


Avant d'être incarcérée et avilie Linda, 27 ans, était une femme respectable de la bourgeoisie citadine. Sauf qu'elle a été arrêtée par les forces spéciales américaines dans un raid sur sa maison. car son oncle est recherché par la coalition internationale comme membre de l'ancien régime renversé par les USA durant la seconde guerre en Irak de 2003/2011).


La prisonnière, jugée comme étant de "haute valeur" était détenue dans le secteur d'isolement de la prison réservé à ce type de prisonniers. Avant son incarcération,  même si des rumeurs disaient que les américains humiliaient les prisonniers, elle n'y a avait pas crue, et elle n'aurait jamais  oser imaginer être déshabiller et devoir s'exposer nue devant des étrangers dans des positions parfois obscènes.


Pourtant, lorsqu'elle est arrivée dans l'aile de détention en isolement pour les détenus avec son type de profil, dans un secteur de la prison en dur, ou les quelques femmes sont placée dans un couloir de l'aile principale à l'étage et les hommes sont en bas. Elle a été contrainte de se déshabiller sur ordre du staff de la prison. Les fouilles s'effectuent à nu sans respect pour l'intimité et la pudeur des femmes. Les gardiens ont pour consigne d'être intransigeant sur cette question car il en va de la sécurité, peu importe si ça peut être perçu comme humiliant par les captifs de guerre.


Linda n'avait pas droit au moindre traitement de faveur du fait qu'elle soit une femme. Le fait de retirer ses vêtements était une épreuve difficile. Pour une femme arabe et musulman qui porte le voile (hijab) plus par tradition que par convictions religieuses profonde elle doit d'abord retirer le couvre chef et dévoiler sa chevelure puis ses chaussures et le reste de ses vêtements, elle avait tenter de garder sa culotte et son soutien gorge mais les gardes n'avaient rien céder et lui ont confisqué aussi ses dessous. 


L'une des particularité dans cette section d'isolement de la prison était que les détenus étaient confinés dans des petites cellules vide ne contenant qu'un très fin tapis de couchage sur une couchette surélevée et des toilettes "à la turque". Tout autre objet  étaient strictement interdit.


Les détenus présent dans ce secteur devaient être complètement nus à tout moment. Après l'inspection corporelles Linda ne s'était pas vu remettre le moindre vêtements, ses affaires personnelles et ses chaussures avaient été mises sous scellés et consignés et aucun uniforme ne lui avait été remis.


Si la nudité  imposée pouvait paraitre difficile à vivre et choquante pour des femmes pudique et pieuse comme Linda, qui s'était  en quelques minutes retrouvée de presque intégralement voilée  à totalement  poil. Il faut dire qu'avec le temps la nudité est de plus en plus naturelle, avoir les seins, les fesses et le vagin exposés et visibles.


Le pire est ce dressage à la nudité, l'obligation régulièrement de devoir montrer sa chatte et son trou du cul sur commande comme un animal de zoo. Les pauvres femmes doivent se soumettre régulièrement à des sorte de "danse" obligatoire ou elles doivent exposer et ouvrir leurs fesses et leur chatte en public pour les montrer aux gardiens.


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Le Dressage en prison.


Vidéos de femmes déshabillées en enchainées.





samedi 9 juillet 2022

L'une des prisons pour femmes les plus strictes du monde.

 

Femme prisonnière à Guantanamo Bay
Prisonnière en uniforme pieds nus et enchainée en cellule.

Guantanamo, section réservée aux femmes.


Il existe plusieurs prisons  de hautes sécurité dans le monde destinées à accueillir les pires criminels du monde et l'une des plus célèbres est le centre de détention sur la base militaire américaine  de Guantanamo bay à Cuba. Y sont détenus les "combattants illégaux" capturés dans les opérations américaines dans le monde dans le cadre officiellement de la lutte anti terroriste mais aussi pour maintenir la domination occidentale dans le monde.


L'établissement peut aussi abriter  quelques femmes dans un quartier spécial du camp dont une journaliste américano égyptienne qui y a séjourner plusieurs mois pour menace contre la sécurité national et officieusement comme mesures d'intimidation, son seul crime est d'avoir dénoncer dans des articles et reportage l'impérialisme américain.


Une dizaine de femmes sont passées par ce camp dont cette journaliste citée plus haut.


Elle se rappelle les traitements déshumanisant et humiliant qui lui ont été imposées à elle et aux autres prisonnières.


"Les femmes sont âgées entre 21 et 45 ans, originaires du moyen orient ou d'Amérique latine et détenue sous des accusations de terrorisme, ceux sont souvent de fausses accusations , ou  alors en réalité elles sont gardées emprisonnées pour des liens familiaux avec des personnes recherchées par les Etats Unis et donc sont de facto des otages et pour humilier leurs familles.


Lorsque les prisonnières arrivent après de longue heures de vols elles sont accueillies par les gardiens américains qui les font retirer tout leurs vêtements pour les inspecter et les fouiller de la tête aux pieds à la recherche d'armes, d'objet illégaux et de contrebande. Les femmes souvent très pudiques doivent se mettent nues devant des hommes car dans la loi américaine au nom de l'égalité homme femmes les tribunaux américains autorisent les hommes a faire des fouilles sur les femmes ...


Lorsque la nouvelle est  dépouillée de tout ses vêtements et donc complètement nue le traitement infamant continue et nous devons ouvrir la bouche, secouer les seins, faire des flexions et tousser, et une très dégradante fouille approfondie des cavités anales et vaginales, et de toute les zones corporels (doigt de pieds nombril, aisselles etc.).



C'est très humiliant et ils en profitent pour insulter, se moquer, caresser les seins et les fesses, donner des claques et des fessées, masturber de force les détenues ...


Ensuite la prisonnière est conduite nue dans une salle pour se doucher devant les gardes sans aucune intimité. J'au du me savonner et frotter la chatte sous les ordres d'un petit soldat américains d'origine irlandaise pervers surnommé le "rouquemoute", il m'a forcer aussi à le faire rentrer dans mon vagin devant le public pour faire rire ses copains. D'autre femmes sont forcer de danser et de chanter toute nues dans les douches.

Ensuite nous devons sous sécher avec des serviettes. Certaines femmes sont fouettées ou reçoivent des coups de cannes jusque a ce que leurs fesses soient marquées et zébrées.

Le fouet un outil toujours utilisé durant les interrogatoires musclés
Femme durement fouettée nue lors de l'interrogatoire.

Ensuite quand ces formalités d'accueil sont terminées,  les vêtements des femmes sont mis sous scellés et confisqués pendant toute la durée d'emprisonnement. Les couvres chefs comme les voiles islamiques, les soutiens-gorges, , les chaussures, les chaussettes, les bas, collants, slip, culottes sont strictement interdit et détruit (découpé) sous prétexte que ceux sont des objets pouvant être dangereux.

Tout est fait pousser vexer et rendre mal à l'aise les prisonnières, dont beaucoup sont de culte arabe et musulmane à qui l'ont interdit de porter des vêtements décent et couvrant respectant leurs valeurs religieuse. L'uniforme est une sorte de longue chemise ou gros T Shirt informe de couleur orange avec inscrit "Inmate" ou "prisoner" dessus.

Comme c'est une prison de haute sécurité chaque détenues est enchainées aux poignets, à la taille et aux chevilles en permanence.


Les prisonnières sont sans culotte et les fesses et les chattes peuvent se découvrir au moindre mouvements ce qui met mal à l'aise les prisonnières pudiques.


Les autorité de la prison interdisent tout expression religieuses ou culturels et estime que vue la chaleur une tenue légère officiel de prisonnière suffit. 


Les prisonnières sont pieds nus en permanence  pour être plus soumises et plus docile.



Les femmes sont régulièrement torturée et interrogées nues.

Torture, humiliation, nudité.
Bondage et ligotage d'une femme prisonnière nue humiliée.





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samedi 25 juin 2022

Nue dans un bar public lors des épreuves du bizutage.

 

A poil das le bar pendant le bizutage.
Nue dans un bar au bizutage.

Etudiante parade nue lors du bizutage traditionnel.


Le bizutage dans l'enseignement supérieur est une coutume qui perdure à toutes les époques, comme on le dit souvent, les traditions ont la dent dure.

Durant les débuts d'années universitaire  en septembre octobre de chaque année, c'est la période des fameuses journées d'intégration (ou week end) car ils ont lieu en fin de semaine.


Lors de ces bizutages, les filles de premières années sont "réunies" par petit groupes et à la chaine dans les amphithéâtres. 


Jessica étudiante de 19 ans en droit a été "invitée" manu militari par deux anciens à se rendre sur l'estrade en plein milieu d'un amphi rempli d'étudiants très chaud et excités. Elle et d'autres filles sont obligées de se mettre intégralement nues sous les hurlements du public "A poil A poil".


"Retirez tout, à poil" disent aussi sèchement les anciens. Les mise à nue sont obligatoire et se font de gré ou de force.

Pas de place pour la pudeur et la timidité ! les plus pudiques jugées coincées ont leurs vêtements arrachés et parfois déchirés.


Les bizutes doivent présenter leurs seins, fesses, ouvrir chatte en public et certaines pleurent en faisant ça.



Ensuite une traditionnelle parade à poil est organisée ou les filles nues doivent se promener ainsi dans tout l'établissement et sur le campus.


Jessica elle doit aussi aller nue et pieds nus dans un bar du centre ville pour s'exhiber devant les clients et les divertir lors des spectacles du bizutage.


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dimanche 19 juin 2022

Innocente arrêtée et soumise à la torture et aux humiliations

 

Deux femmes nues fessées lors d'un interrogatoire musclé.
Deux prisonnières nue torturées humiliées et fessées avec une canne.

En 2004 lors de l'invasion américaine de l'Irak sous le faux prétexte des armes de destruction massive et du sois disant soutien du régime au terrorisme international les Etats Unis ont eu beaucoup de difficultés à conquérir et surtout  maintenir l'ordre contrôler et contrôler le pays. Les dirigeants US ont choisi de mener une politique agressive pour tenter de vaincre la rébellion et les atteintes aux droits de l'homme se sont multiplier.


Un étudiant rapporte que lui et sa fiancée, Sara ont été arrêtés par les forces spéciales américaine car un de ses cousin éloigné est suspecté d'être impliqué dans la résistance et est recherché. Elle n'a aucune nouvelle de lui depuis plusieurs années et n'a aucune implication dans la rébellion et est totalement innocente.


Les troupes d'élites ont fait irruption dans la maison familiale pour la capturer et ils ont par la même occasion arrêter plusieurs personnes dans le quartier dont le futur époux de Sara.


Ils ont été ligotés et bâillonnés avant d'être  jetés dans un fourgon militaire avant d'être transférés dans un centre de détention et d'interrogatoire militaire.


La jeune fille et les autres captifs sont soumis aux traitements standard que les USA imposent. Sur place la jeunes filles et d'autre malheureuses arrêtées avec elle, bien que très pudiques et voilées de la têtes aux pieds sont obligées et se déshabiller devant les militaires américains. Celles qui tentent de résister sont mises à poil de force avec leurs vêtements découpés.


La nudité est imposée systématiquement et les autres prisonniers dont sont petit ami ont pu voir Sara toute nue et honteuse menottée les mains dans le dos. Les responsables et stratèges américains considèrent la nudité forcée comme un outil coercitif et de discipline très efficace et facile à mettre en oeuvre qui ne coute rien (pas la peine d'acheter des uniformes orange ou jaune de prisonniers). C'est très humiliant et déstabilisant pour Sara car elle n'a jamais exposé son corps dénudé et c'est dégradant pour elle d'être moquée et vue par tour le monde sans aucun vêtements. Les américains exhibent les femmes prisonnières nues comme des trophées pour rabaisser le plus possible leurs égos et les rendre docile.


Les pauvres victimes sont pour le plaisir des gardiens forcer d'écarter grand leurs fesses pour ouvrir leurs chattes et anus pour des inspections publique en profondeur.


Ensuite dans la salle d'interrogatoire, Sara est molestée et subie divers châtiments corporels en compagnie d'autres détenues d'infortune. Elles sont soumises notamment au supplice de "la perche" qui consiste à attacher toute nue la captive à une sorte de perche de perroquet pour lui fmetre des coups de cannes dans les fesses et  oui flageller les plantes des pieds (falaka, bastinado).


Après les pieds des suspectes sont aussi longuement chatouiller et lécher jusque a ce que ce soit insupportable


Nudité humiliation et châtiments corporels lors des interrogatoires musclés.
Torture d'une prisonnière nue avec la perche du perroquet (ass and feet).

Elles sont aussi promener nues et forcer de servir les repas des hommes, de faire le ménage jusque a ce que les services de renseignements obtiennent des aveux pour envoyer les femmes prisonnières à Guantanamo Bay ou à Abou Ghraib.


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Interrogatoire renforcé.


Visite d'une prison réputée pour sa dureté.


samedi 18 juin 2022

L'omniprésence de la nudité forcée en prison.

Femme prisonnière nue.
Femme nue attachée et exhibée aux barreaux de sa cellule.

 La nudité des prisonniers est normale dans cette prison.


Durant la seconde guerre du golfe entre 2003 et 2011, une période ou les Etats Unis ont envahi l'Irak, renverser le gouvernement et occuper le pays plusieurs années. Les américains dans le cadre de la lutte contre le terrorisme ont ouvert toute une série de centre de détention officiels ou officieux et des prisons secrètes partout dans le monde.


Bien que l'imposition de la nudité aux captifs de guerre n'a rien d'originale et soit pratiqué depuis des siècles que ce soit durant l'antiquité ou les romains faisaient parader nus les prisonniers défaits, au moyen âge et pendant la période moderne. Dans cette prison le déshabillage des prisonniers est ouvertement et sans le moindre complexe admis par les autorités militaires comme une pratique imposée faisant partie du processus officiel.


Suite à la révélation dans les médias du scandale des prisonniers humiliés, les dirigeants US ont tenter de présenter ça comme des actes isolés orchestrés par des brebis galeuses. Sauf que de multiples témoignages divers et variés contredisent cette version.


Selon les soldats, la nudités est générale et omniprésente et parfaitement ordinaire et que le staff trouve cela normal car ça fait parti du processus mis en place par le renseignement militaire. Pour les soldats et employés divers qui travaillent dans le centre de détention, la nudité est une méthode approuvée par les plus haut responsables.


Des observateurs internationaux ayant pu visiter la prison ont constater que les prisonniers étaient forcés de défiler nus les uns devant les autres et devant les les gardiens ayant d'être placés nus en cellule.


Un témoin anonyme se souvient avoir traverser l'aile de la prison et vue une jeune femme prisonnière attachée avec un bandeau sur les yeux complètement nue et pieds nus aux barreaux d'une cellule dans le couloir. Ses seins et ses parties intimes étaient visibles par tout le monde. 


Lorsque cet observateur, choqué et surpris a demander aux responsables pourquoi cette femmes se trouve dans cette situation dégradante. Il lui a été expliquer que cette jeune femme de 27 ans nommée Jada  a été  évaluée a son arrivé par une commission du renseignement militaire et placée sous le statut de prisonnière de haute sécurité dans le cadre de la guerre contre le terrorisme. Elle est la nièce d'un responsable de l'ancien régime en fuite ce qui justifie son placement en détention sans inculpation ni explication pour une durée indéterminée selon la loi américaine faite votée par Georges W Bush connue sous le nom de "Patriot Act" et fortement critiquée par les organisations de défense des droits de l'homme.


Vue son statut juridique et ses antécédents, ses vêtements, chaussures, effets personnels et même ses bijoux lui ont été confisquée durant la fouille à nu d'admission et elle a été conduite nue dans sa cellule.


Il est a noté que les inspections et fouilles peuvent être pratiqué par des gardes hommes ou femmes sur les détenus et que les prisonnières se déshabillent souvent devant des hommes, ce qui est une violation des convention de Genève et des préceptes religieux.


Les interrogateurs et les psychologues considèrent que mettre nue une femme de culture traditionnel très conservatrice est très efficace pour la soumettre et la rendre docile, et ça permet aussi de montrer aux prisonniers mâles que si leurs femmes, filles, soeurs cousines sont arrêtées, elles seront misent nue devant des hommes et exhibées sans le moindre respect pour leur pudeur et dignité.


Jada qui comme la plupart des femmes arabes irakiennes ne sort que voilée  a du retirer ses vêtements, c'est très traumatisant et honteux dans sa culture. Les autorité US affirme pratiquer des fouilles qui nécessite la nudité complète des prisonnières sans distinction de religion, et que leurs vêtements sont confisqués et mis sous scellés. Du point de vue des gardiens ce n'est pas humiliant ni un abusif de d'enfermer des personnes sans vêtements et les femmes nues distraient bien les gardes.


L'une des surveillante se souviens de cette détenue " Elle était timide et réservée, pudique, couverte de la tête aux pieds, quand nous lui avions appris qu'elle allait devoir se déshabiller complètement elle a fait une de ces tête. Elle avait le visage rempli de détresse et de honte. Les gardiennes sont en général  sans pitié, assez méchantes et cruelles et elles font mettre à poil les femmes comme Jada sans états d'âmes.


Elle a supplier pour garder au moins sa culotte, les gardes sont intraitables et font souvent des paris pour savoir si les prisonnières ont des chattes poilues, lisses ou taillées. Jada a le sexe tout doux et parfaitement rasé ce qui a fait un heureux élu parmi les gardiens qui à remporter 30 dollars.


Jada doit exposer sa chatte et son anus devant ces pervers un peu sadique et très voyeur qui se marrent bien en la dégradant de cette façon et en profitant de sa détresse et qu'elle soit toute nue sans défense.


La prisonnière parade ensuite à poil et pieds nus comme un trophée comme le veut la tradition de la prison.


Ensuite pendant la journée la prisonnière est attachée nue les yeux bandés aux barreaux de sa cellule comme les autres personnes privées de liberté.




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Nue et tête rasée.


La règle de la nudité en prison.