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dimanche 24 novembre 2024

Une détenue nue enchainée d'Abou Ghraib

 

Nudité forcée et humiliation Abou Ghraib
Prisonnière nue en enchainée avec sa gardienne

Nudité forcée et interrogatoire renforcée des femmes.

Nous sommes en Irak, dans la prison d'Abou Ghraib dans la banlieue de Bagdad qui sert de base et de centre d’interrogatoire pour les forces militaires américaine qui occupent le pays.

Les femmes irakiennes capturées par les forces militaires qui sont incarcérées dans cette prison sont contraintes de se dévêtir entièrement, y compris devant des hommes, en contradiction avec leurs valeurs et principes religieux.

Elles sont musulmanes et elles portent toute le voile (hijab), et l'abaya, large robe traditionnelle arabe que portent les femmes du Moyen Orient. 

Chaque femme est soumise à une fouille à nue en arrivant, c'est difficile à vivre mais ici pas de voile, les hijab sont confisqués, et il faut tout retirer. Les femmes fières et dignes sont terriblement humiliées de se retrouver entièrement nues pour y être inspecter dans la nudité totale. 

Aucune négociation n'est possible sur ce sujet. En cas de refus elles sont déshabiller de force, battues, et fouettées et misent en isolement dans le noir avec des musiques assourdissantes et désagréables en permanence pendant des semaines.

Les surveillants inspectent les cheveux, les oreilles, les bouches, sous les seins et les aisselles, contrôle du nombril, et inspection du vagin et de l'anus avec une lampe torche et un doigt ganté et lubrifié, et même les doigts de pieds des prisonnières sont examinés !

Leurs vêtements sont découpés et détruit, et elles sont obligées de rester nues, aucun vêtements ni uniformes de prison ne leur est fournis.

Elles doivent défiler nues et pieds nus jusque à leurs cellules, pour "être présentées"  comme de la viande fraiches à tout le personnel de la prison (gardiens, interrogateurs, staff administratif etc.) mais aussi s'humilier devant les autres prisonniers, y compris les hommes.

La nudité totale est obligatoire et permanente. Les femmes musulmanes entre les mains des forces américaines sont nues pour être formatée et formée à perdre toute pudeur et modestie, comme elles arrivent voilées et couvertes de la tête aux pieds, par pudeur et convictions religieuses et qu'elles n'ont jamais été nues en publique et bien tout le monde doit pouvoir les voir à poil.  Elles doivent abandonner toute espoir de porter des vêtements.

Lien : 

Malika soumise à une fouille gynécologique.


vendredi 25 octobre 2024

Scandale des tortures et humiliations en prison.

Nue et enchainée dans une cellule de prison.
Nudité totale en cellule de prison.

 

Les responsables de la CIA et du renseignement militaires demandent aux gardiens de déshabiller les détenus de la prison d'Abou Ghraib et de les priver de vêtements, tout cela fait partie du processus. Les femmes irakiennes musulmanes détenues dans le complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib ne sont pas exemptées de mauvais traitements.

Elles sont gardées en isolement dans une des parties dures de la prison, dans une aile avec les autres prisonniers dit "de sécurité" ou de "haute valeur". La plupart des prisonnières irakiennes sont comme Warda  sur la photo, elles  sont emprisonnées pour avoir des liens familiaux avec des personnes recherchées et utilisées comme moyens de pression et de chantage pour inciter leurs maris, pères ou frères à se rendre.

Le processus mis en place est très humiliant : Dès l'arrivé, Warda est soumise à une fouille complétement nue. Les détenues musulmanes doivent retirer leurs voiles, robes, abaya, jupe, sous vêtements, chaussures et même leurs bas ou chaussettes pour celles qui en portent.

Pour augmenter l'humiliation et la dégradation ressentie par les femmes, les autorités ordonnent aux gardes d'assister aux déshabillage des femmes musulmanes pour utiliser leur pudeur et croyances religieuses contre elles, plusieurs hommes ont assisté à la fouille et l'inspection de Warda à poil.

Warda est passé du voile quasi intégrale à la nudité totale en quelques minutes après avoir mis ses pieds dans cette terrible prison.

Elle est nue et pieds nus en permanence.

Lien :

Incident nudité forcée.

mercredi 16 octobre 2024

Séance d'humiliation d'une prisonnière pudique

Une gardienne stricte et une prisonnière nue sous la douche.
Une gardienne et sa prisonnière nue à la douche.

Dans la prison d'Abou Ghraib pendant la seconde guerre du golfe, les gardes font tout pour humilier le plus possibles les détenus.

Lynn, une gardien américaine d'origine asiatique vient d'amener la prisonnière irakienne Zakia qui est sous sa responsabilité  prendre une douche.

La surveillante avant de s'engager dans l'armée suite aux attentats du 11 septembre 2001 étaient déjà gardienne de prison dans le civil, elle travaillait dans une prison de la région de Houston au Texas.

La détenue est très gênée de ne rien porter devant sa gardienne en uniforme, elle a honte qu'on puisse la voir toute nue, ce qui arrive souvent depuis qu'elle est incarcérée. C'est une femme de 35 ans, une bonne épouse et une mère de famille respectable, et elle porte le voile et l'abaya par respect des traditions et les préceptes de la religion musulmane. 

 Lynn  est consciente que la nudité peut être quelque chose de très infamant pour Zakia et les femmes sous sa responsabilité, et elle utilise les tabous religieux et culturels de ses prisonnières pour mieux les humilier.

Avec Lynn et les autres gardiens, les prisonnières sont à poil et pieds nus et Zakia déteste la nudité forcée.

"Montre tes gros seins, montre ton cul, et  frotte  bien ta chatte" tels sont les ordres de la gardienne qui est connue pour battre et humilier les prisonnières.

La gardienne oblige sa prisonnière à s'introduire le savon dans le vagin

Elle est odieuse avec Zakia, elle décide après la douche d'obliger la prisonnière nue à parader longuement à poil avant de la remettre en cellule.  

"Grosse vache, tant que je serais là à te garder dans cette prison je t'interdirais de porter des vêtements et des chaussures"

"Allez marche un peu grosse truie, qu'on puisse voir un peu tes grosses fesses".

"Tu n'es qu'une chienne à dresser", Lynn interdit toutes marques de pudeurs aux femmes comme Zakia, le fait de tenter de cacher ses seins, son sexe ou ses fesses avec ses mains ou ses bras est considéré comme une infraction par les surveillants.

Les femmes doivent comprendre que la pudeur est interdite et leurs sexes, fesses et seins doivent être visibles.

lundi 16 septembre 2024

Prisonnière parade nue dans les couloirs de la prison

 

Une femme nue en prison
Prison et nudité.

Une prisonnière nue escortée par un garde.

Dès l'aube, les cliquetis d'une cellule réveille la jeune femme prisonnière encore endormie , le garde américain sur un  ton sec et méprisant "Détenue n°95200451, sors de là,  tu a de la visite".

Faïza G n'est là que depuis quelques jours, la jeune femme irakienne est totalement nue et pieds nus, et elle est encore sous le choc de cette nudité forcée. Les gardiens américaines n'ont rien à faire des supplications, des cris et des pleurs des pauvres femmes incarcérées.

La jeune femme est prise par le bras sans ménagement  et tirer dans les couloirs, elle se sent terriblement humiliée d'être promener toute nue dans les couloirs, depuis qu'elle est ici, en arrivant les gardiens l'ont forcer  à enlever tout ses vêtements et les ont confisqués.

Comme la majorité des femmes musulmanes, elle porte un voile et se couvre de la tête aux pieds, et en prison, c'est à poil, zéro pudeur.

"Arrêtez !" s'exclame t'elle, "vous ne pouvez pas me faire marcher comme ça devant tout le monde ! je suis toute nue !"

Le gardien qui est un homme expérimenté n'en à strictement rien à foutre des plaintes de la détenue, décide d'allonger la promenade de sa prisonnière, "Oui tu es toute nue, c'est comme ça que nous gardons les prisonnière il va falloir t'y habituée".

Lien :

Détenue nue.


lundi 26 août 2024

La vie dans la section des femmes de la prison.



Prisonnière nue et pudique
Prisonnière nue et pudique.


Une prisonnière en confinement solitaire.


Amira est retenue confinée dans une petite cellule vide d'un mètre sur deux, avec seulement une toilette à la turque et un robinet comme arrivé d'eau et une petite fenêtre avec des barreaux, et une grande porte métallique.

Elle est stupéfaite, elle n'y croit pas, comment est ce que ça peut lui arriver ? Elle se retrouve emprisonnée après un raid des forces  armées américaines sur sa maison et en confinement solitaire dans l'aile féminine de la prison d'Abou Ghraib, sans savoir pourquoi.

Elle a envie de pleurer, elle est entièrement nue, enchainée comme un animal dans une cellule qui ressemble plus à une cage.

"J'y crois pas, comment peuvent ils faire ça ? que vais je faire là comme un animal nu et enchainé dans ce terrible endroit ? Combien de temps me garderont ils ? j'en sais rien. Pas plus que les raisons pour lesquelles je suis ici ...", Elle se questionne aussi sur ce qu'elle va faire dans cette cellule vide terriblement ennuyeuse 

Elle tente ensuite de penser plus clairement, car beaucoup de choses se sont déroulées depuis que les marines ont débarqué chez elle en pleine nuit. Elle n'a pas subie de violence. Avant d'être conduite dans le centre de détention d'Abou Ghraib, son premier interrogatoire a été simple et cordial, un officier militaire lui a simplement demander son nom, âge, adresse, profession, sur sa situation matrimoniale, son travail, et sur ce qu'elle sait des activités de ses oncles et cousins. 

Elle se demande  comment contacter sa famille, et s'interroge pour savoir si cette dernière  est au courant , car elle était seule quand les soldats ont débarqués, les voisins qui ont entendu ont probablement prévenu sa famille, qui a des relations et peut recruter un bon avocat pour faire quelques choses pour l'aider à se sortir de là.


Elle regarde les menottes à ses poignets et  les chaines à ses chevilles, elle se demande pourquoi est ce qu'ils l'ont enchainée en cellule alors qu'il n'y a aucun moyens de fuir, en plus elle est toute nue, comment imaginer qu'une jeune femme irakienne irait tenter de s'enfuir totalement à poil ? ils ne l'on pas laisser remettre de vêtements après la très intrusive et humiliante fouille d'accueil.


Elle se rappel encore la sensation du doigt ganté et lubrifié qu'un garde américain lui a introduit dans l'anus, et la honte de devoir retirer tous ses habits devant des gardes hommes. La pauvre, l'humiliation ressentie est totale, elle en rougie rien que d'y repenser.


Elle s'est déshabiller et a remis ses vêtements l'un après l'autres bien docilement en pleurant sous les regards pervers et narquois des gardiens pour l'inspection.

Elle cogite à plein de choses, à sa honte car elle n'a pas du tout envie que sa famille sache qu'elle est retenue sans vêtements car c'est très infamant pour elle.

Elle entend des bruits de bas vers sa cellule, un officier en treillis militaire et un interprète ouvrent la porte de sa cellule. L'officier est un homme grisonnant d'une cinquantaine d'années et son associé un jeune homme d'une trentaine d'année d'origine moyen oriental, probablement libanais/américain.

L'officier indique à Amira qu'elle est désormais "la prisonnière numéro 780743F" et qu'elle doit s'identifier et répondre à ce numéro qui lui sert d'identité sous peine de punition. La jeune détenue doit se lever et se mettre en position de sécurité les mains sur la tête et les jambes écartées. Le militaire et son assistant en profite pour mater ses seins et sa chatte à l'air. Puis au garde à vue et écouter avec docilité les américains, c'est la base d'un bon dressage ajoute le responsable militaire.

Il continue en disant qu'il est la pour l'informer des règles et conditions de détention dans le secteur d'isolement d'Abou Ghraib, block C. Amira est aussi informée de son  droit à poser des questions.

De règles générale la détenue devra passer 16heures par jours en cellule, avec des chaines et entraves en permanence sauf en cas de collaboration pleine et entière. Le reste du temps est consacrées aux différentes taches et activités de la prison : interrogatoire, travaux, ménage, sport obligatoire, douche une fois par jours sous réserve qu'il y ait suffisamment d'eau courante.

Amira doit aussi rester nue en permanence pendant toute sa détention, que ce soit en cellule, lors des "activités" et lors des déplacements au sein du secteur d'isolement.

La nudité est la règle,  c'est un élément essentielle et primordiale, pour la sécurité, les personnes privées de liberté n'ont pas le droit de porter de vêtements.
 
Lien :
 

dimanche 18 août 2024

La professeur Nassira K, prisonnière n°0407795

Les femmes prisonnières nues sont humiliée en permanence.
Une prisonnière nue et enchainée parade nue dans les couloirs.

Rapport sur une détenue de sécurité "Nassira"

Nassira K est une professeur à l'université et l'épouse d'un haut dignitaire du régime irakien. Elle a été potée disparue suite à son arrestation lors d'un raid sur sa maison. Les forces américaine l'ont arrêtée et emprisonnée sous le statut de "prisonnière de haute valeur".

Son avocat a retrouver sa trace quelques mois après sa capture. Tout d'abord, il faut savoir que Nassira comme les autres prisonnières d'Abou Ghraib sont gardées nues en confinement solitaire et ne sont ni maltraitées ni torturées et nourries régulièrement (riz, poulet, bananes, pomme de terre, soupe, pain, œufs etc.) 

Lorsqu'elle a été amenée dans la prison, les gardes l'ont obliger à se déshabiller, lui ont fait retirer tous ses vêtements, ses chaussures, bijoux.  

Les femmes arabes sont mises complètement nues, c'est une humiliation terrible pour Nassira.

Ses proches l’ont toujours connue très pudique et modeste, elle a toujours porter le voile et des tenues larges et couvrantes, et maintenant elle est gardée sans vêtements. Elle n'a jamais porter ne serait ce qu'un maillot de bain, et elle s'est vue imposer la nudité totale.

Les américains veulent déposséder les prisonnières de toute pudeur et dignité. Elle est pieds nus comme toutes les autres captives. Lors de sa fouille elle a du même retirer ses chaussettes, les femmes doivent être pieds nus. en permanence.

La détenue est contrainte de marcher nue dans les couloirs, les soldats aiment voir les prisonnières humiliées  parader à poil, les regarder dans les yeux pour contempler leur dégradation.

Si les américains évitent de torturer et de frapper les femmes, ils sont inflexibles sur la nudité qui n'est pas négociable. Les femmes doivent servir d'exemple, être punies et servir d'exemple...

 Liens :

Une prisonnière parade nue dans les couloirs de la prison.

dimanche 17 mars 2024

Retour du bagne en France.

Dressage discipline au bagne.
Bagne, les détenues déshabillées complétement pour le dressage.

 Les centres de lutte contre radicalisation  et délinquance en France.


Le gouvernement à déclarer avoir ouvert un programme pour lutter contre la délinquance et la radicalisation des jeunes femmes de 18 a 40 ans. Ceux sont de véritables bagnes modernes avec des conditions très strictes qui ont ouvert dans toute la France.

Les femmes considérées comme dangereuses peuvent y être internées sur demande de leurs parents, professeurs ou de leurs patrons. Les jeunes femmes condamnées à des peines de moins de 2 ans peuvent aussi bénéficier de ce programme expérimental. 

La discipline est très importante, le travail et l'obéissance sont au cœur du projet.

 

Les femmes sont soumises à des règles strictes : 

Les jeunes femmes sont juste vêtue d'un uniforme rayé primaire d'une seule pièce, et de chaines en fer aux chevilles. Elles n'ont pas le droit de choisir leurs tenue vestimentaires. Elles sont toutes pieds nus en permanence, en signe d'humilité et d'égalité, elles ne porte pas non plus de culotte ni de soutien gorge, les sous vêtements sont interdits. Elles n'ont pas non plus le droit de porter des signes religieux, les voiles (hijab), croix, étoiles de David etc. sont confisqués et strictement interdit. Toutes doivent être tête nue.

Elles sont fouillées très régulièrement et intégralement nues pour la sécurité de tous mais aussi la discipline. De plus elles doivent s'exposer sans vêtements devant des hommes, la pudeur doit être combattue, une femme qui se dit bonne citoyenne n'a pas à cacher son corps devant les autres.

Les douches sont collectives se déroulent nues et sous les yeux des surveillants. Les visite médicales aussi.

Les mises à poil sont essentielle dans le processus d'éducation et de formatage idéologique.

Lever à 6h, avec alignement dans la court et hymne nation à apprendre par coeur.

6H30 : Inspection corporels (dentition, anus, vagin, orteils, nombril, vérification de l'hygiène (test du doigt dans l'anus).

7H00 : Petit déjeuner.

08h à 11h, travail forcé aux champs.

11h passage en revue et alignement des filles nues, punition aléatoire (fessées, falaka).

12h : déjeuner.


13h à 16h, cours.

17h : Hymne national.

17H30, sport nue.

18H30 douche.

19h Repas du soir.

20h30 : passage en revue, dressage des filles les moins perforante.

22h extinction des feux.


Liens :


Punir au pensionnat.

 

Brimades au centre éducatif fermé.

 



dimanche 7 janvier 2024

Nudité, contrainte, humiliations en prison.

Nue et enchainée en isolment dans la prison.
Prisonnière nue et enchainée en confinement solitaire.

 Femme prisonnière nue en confinement solitaire.

 En 2004, pendant la seconde guerre du golfe ou les USA ont envahi l'Irak, un scandale concernant le traitement des prisonniers irakiens et irakiennes à éclaté dans la prison d'Abou Ghraib dans la région de Baghdad.

Dans partie isolement de la prison ou sont retenus les "détenus de haute valeurs", c'est à dire toutes personnes suspectées de liens avec l'ancien régime, de lies avec des groupes terroristes, de détenir des informations stratégiques sur des personnes recherché, des sources de financement de la rébellion, sur des membres de l'ancien régime en fuite, sont regroupées dans une aile de la prison en isolement dans des conditions de détentions très strictes.


Le cas d'une ancienne fonctionnaire irakienne du ministère des finances, Warda J, incarcérée plusieurs mois en confinement solitaire pour des liens familiaux avec un ancien ministre recherché est révélateur. Âgée d'une trentaine d'années, la détenue en arrivant a été soumise à une fouille à nue très stricte avec examen des cavités. Les gardiens obligent chaque femmes  arrivante à se mettre nue et leur  examinent l'anus, le vagin, la bouche, sous les seins, sous le aisselles, le nombril, les plantes des pieds, les orteils etc. pour s'assurer qu'elles ne dissimulent rien d'illégal ou de dangereux.


Les responsables de la prison, les interrogateurs de la CIA et de la police militaire  incitent les gardiens à laisser nus et enchainés les prisonniers. Pour Warda, une femme irakienne assez pieuse et conservatrice, la nudité est quelque chose de difficile à vivre et à supporter.

La technique d'interrogatoire dite de "nudité forcée" est appréciée des gardes et responsables, c'est officiellement une technique recommandée de coercition physique et psychologique pour rendre docile et coopératifs les prisonniers, et des vêtements ou des objets de confort peuvent être remis contre des informations (une forme de chantage).

Les dirigeants du secteur d'isolement ont décider que Warda et les autres femmes incarcérées devaient être soumise à la nudité complète et permanente , après la fouille aucun vêtements ne doivent être remis aux détenues.

Warda doit passer son séjour en détention nue, pieds nus et enchainée. Le régime de détention est une épreuve difficile à passer. Les décideurs insistent pour que Warda ait l'interdiction de couvrir son corps ou même de porter des chaussures minimalistes comme des tongs. La nudité est imposée aux femmes musulmanes pour accroitre  le sentiment d'humiliation et montrer la domination américaine.


Liens : 


Mise à nue, discipline, humiliation comme pratiques officielles pour les prisonnières.



mardi 2 janvier 2024

Des prisonnières gardées nues et enchainées en prison de haute sécurité

Nudité forcée dressage et discipline en prison
Nue et  enchainée en cellule de prison.


Femme toute nue et humiliée en détention.

Lorsque l'équipe d'observateur internationaux du CICR (Comité International de la Croix/Croissant Rouge) arrivant dans l'aile de la prison d'Abou Ghraib en Irak en mars 2004 pour visiter la prisonnière irakienne prénommée Zeina, et escorté par deux militaire américains en uniforme, un homme blanc et une femme noire, tous les deux ont l'air stricts et sévères.

La première chose qu'ils remarquent et qui les choquent, est que la prisonnière est totalement nue ! Et elle l'est depuis qu'elle est entre les mains des gardiens de cette prison. Elle a été amené ici  il y a trois semaine , et la première chose qu'ils ont fait c'est de la déshabiller.

Les deux gardes trouvent ça banal et normal d'avoir des prisonniers à poil, et que ça fait partie du processus standard que de fouiller les détenus sans aucun vêtements et de les garder nus pour les punir et mieux les contrôler.

Les rumeurs sont donc réelles, et les femmes ne sont pas épargnées pas ces traitements dégradants. Zeina pour ceux qui l'a connaisse, est une jeune femme très pudique, assez religieuse. Elle est une jeune femme arabe musulmane assez conservatrice, qui porte le voile islamique (hijab) et de longue robe traditionnelles par pudeur et respect des normes de sa religion.


C'est difficile d'imaginer l'humiliation qu'elle a du ressentir lorsqu'elle s'est retrouvée toute nue. Les gardes expliquent le plus naturellement du monde que ça n'a rien d'anormal et que certes c'est peut être un peu dégradant mais ce nest pas de la torture ni une forme de mauvais traitement.

"Oui on les humilie un peu, mais ça leur fait pas de mal, ça leur apprend l'humilité et puis la prison, c'est pour punir non ?" remarque le gardien.

"Et puis celle là ça lui a fait tout drôle se se retrouver à poil, comme la plupart des femmes qui arrivent ici, avec leurs accoutrements de la tête aux pieds, et bien elles doivent tout retirer avec nous !"



La nudité fait partie intégrante de la punition.
Nue, pieds nus et sans pudeur derrière les barreaux de sa cellule de prison.


Les gardes en effet ont pour consigne de mettre complètement nues les prisonnières et appliquent cette ordre sans le moindre état d'âme. Ils sont même pour la plupart très favorable à cette méthode de contrôle pour des raisons de sécurité mais pas seulement.

Tout est pensé pour humilier et détruire l'égo des femmes détenues, et leurs craintes et tabous culturels et religieux sont exploités aux maximum.  Les gardiens font tout pour pour les dresser et bafouer toute leur pudeur et dignité.

Zeina est gardée nue  et enchainée dans une cellule avec barreaux, ouvertes, dont le couloir est éclairé en permanence pour que les gardiens et les passants puissent la voir à tout moment, elle ne peut même pas faire même faire ses besoins sans que les spectateurs puissent la regarder ! Toute intimité lui est interdite.

Lorsque les gardes l'oblige à sortir de cellule, nue et pieds nus, escortée lentement de façon à ce que le plus de monde possible puisse voir Zeina à poil se balader les fesses et les seins à l'air. 

Les commentaires sont souvent moqueurs, obscènes et grossiers.


Zeina est aussi obligée de remercier régulièrement et publiquement  les américains de l'avoir libérée et apporter la civilisation la démocratie, et de lui interdire de porter des vêtements. Pour les gardiens c'est très important de voir les femmes faire leur auto critique et remettre en cause leur culture et religion.

"Merci aux glorieux civilisateurs américains, les représentant du monde libre, garant de l'ordre international de m'avoir dévoilée et dépouillée de mes vêtements archaïques, je ne mérite pas de porter des vêtements et des chaussures et je suis une détenue modèle, nue et pieds nus en signe de modestie et de respect."

"Merci d'avoir détruit mes vêtements, merci de me soumettre à des fouilles des cavités régulièrement pour ma propre sécurité et me rappeler ma place"

Zeina doit aussi écarter régulièrement ses fesses et montrer son anus pour des contrôle de sécurité.


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dimanche 15 octobre 2023

La nudité forcée fait partie du processus d’incarcération dans cette prison.

Les humiliations subies par les femmes en prison
Prisonnière parade nue et enchainée dans les couloirs de la prison.


Une prisonnière très humiliée par l’obligation d’être nue.


Zohra, 35 ans, une ancienne prisonnière d’Abou Ghraib , elle a été détenue 8 mois dans cette sinistre prison par les américains pour soupçons de liens avec l’ancien régime et financement de la résistance. C’est une femme irakienne respectable, bien éduquée qui est pharmacienne de profession et qui donne des cours à l’université de médecine. Elle est moderne mais reste tout de même pieuse et conservatrice comme la plupart des femmes orientales.

Elle reste encore choquée par ce qu’elle a subie en détention.

Après mon arrestation, les militaires m’ont transféré dans cette endroit la, la prison d’Abou Ghraib à côté de Baghdad, c’est un endroit où ils gardent toutes les personnes qu’ils suspectent d’avoir des liens avec la résistance.

Sur place, les américains ont mis en place un processus qu’ils appellent “le traitement” auquel aucune prisonnières ne peut se soustraire.

La première chose qu’ils font c’est de déshabiller les détenues. J’y ai pas échappée. Il faut enlever ses vêtements et leur remettre l’un après l’autre, ils les inspecte et les mettent dans une petite boîte. Bien sûr vous pouvez dire adieu à toute pudeur et dignité. Exit votre hijab, votre abaya, vos chaussures, vos boucles d’oreilles tout y passe même les chaussettes!

Le pire c’est quand ils vous prennent la culotte comme si c'était un trophée et vous laisse les fesses à l'air pour se moquer de vous alors que vous êtes complètement nue, les pieds nus sur le sol sale et froid.

J'ai eu l'interdiction de cacher mes seins et mon sexe avec me bras, les soldats doivent pouvoir lorgner sur les vagins et les nichons pour qu'ils puissent fair leurs remarques grossières sur les poils pubiens ou la forme des seins.

Pour vous mettre la honte le plus possible ils procèdent à des fouilles complètes des anatomies des prisonnières qui doivent écarter les cuisses et les fesses le plus possible pour qu'ils regardent à l'intérieur avec des lampes et y introduisent leurs doigts gantés imbibés de vaseline.

Après l'horrible inspection, si vous pensez qu'ils nous redonnent nos vêtements ou donne un uniforme orange de prisonnier, et bien vous rêvez, ils vous interdisent de porter le moindre vêtement !

Pire, avant de vous conduire en cellule, ils vous force a parader nue et enchainée devant tout le monde y compris des gens de votre quartier qui pourraient vous reconnaitre !


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samedi 19 août 2023

Choc culturel et humiliation de la prisonnière

 

Nudité forcée pour une femme prisonnière.
Prisonnière nue et enchaînée dans les couloirs.

L'humiliation et l'asservissement des femmes en prison.


Lors de la seconde guerre du golfe en Irak (2003/2011) ou les Etats Unis ont envahi  et occuper ce pays  et ouvert des prison comme la célèbre centre de détention d'Abou Ghraib a coté de Baghdad ou les prisonniers sont régulièrement humiliés et maltraités.


Les femmes capturées par les américains sont spécifiquement humiliées et dressées pour marquer la domination des conquérants et l'avilissement des vaincus. Lorsqu'une femme arrive comme Maha, fille d'un responsable de l'ancien régime recherché activement par les troupes de la coalition internationale, tout est fait pour choquer, humilier et avilir la détenue.


Les prisonnières sont en général des femmes respectables et pieuses  ayant été éduquer dans les valeurs traditionnelles de pudeur et modestie de la culture arabe et religion musulmane, elles portent comme Maha un voile (hijab) et des tenues longue et ample comme des larges robes pour dissimuler leurs corps et sont couverte de la tête aux pieds.


Bien sur que les militaires utilisent les tabous culturelle et religieux pour mieux contrôler et dominer les prisonniers, les gardes ont pour consigne de traiter les détenus "pires que des chiens" et que seuls les lois arbitraires, cruelle et sadiques des surveillants s'appliquent.


La jeune femme pudique est soumise à un déshabillage humiliant en public, la première chose qui arrive aux prisonnières est l'obligation de se mettre entièrement nue, les américains dépouillent les femmes de leurs signes religieux mais aussi de tout leurs vêtements, sous vêtements, bijoux, boucles d'oreilles effets personnels et chaussures ! 


Les fouilles à nu sont systématique et de rigueur dans la totale nudité, et les femmes doivent exposer leurs anus et leurs vagins en profondeur et de manière très dégradante. C'est difficile de ressentir la honte de cette pauvre femme obligée d'écarter les fesses pour ouvrir de façon dégradante son trou du cul et écarter les lèves de son sexe devant les occupants sans aucune pudeur.


Les femmes doivent exposer leurs corps sans aucune intimité devant tout le monde, y compris les autres détenus qui peuvent la reconnaitre !


Liens :


Francy Steel.


Nue derrière les barreaux de sa cellule de prison.




dimanche 9 juillet 2023

Le dressage de la prisonnière Lyla.

Le traitement visant à humilier et dresser les prisonnières nues.
Lyla, une prisonnière mise nue et forcée de faire du sport.

 Les terribles conditions de détention dans la prison pour femme.


Un membre de l'administration chargée d'enquêter sur les conditions de détention dans les prisons tenue par l'armée américaine en Irak visite le quartier de la prison d'Abou Ghraib à coté de Baghdad ou sont retenue les femmes, en particulier Lyla, 27 ans,  la fille d'un d'Houda la femme de ménage qui s'occupe de son logement dans la zone verte,  le quartier ultra sécurisé de la capitale ou se trouve l'ambassade américaine et le siège du gouvernement provisoire. L'aide ménagère lui a demander de retrouver sa fille, portée disparue depuis plusieurs semaines après un raid des marines dans son quartier.


Je n'ai pas pu refuser de rendre service à Houda concernant sa fille Lyla, qui a été mise aux arrêts et qui j'en étais sur était retenue au secret et en isolement dans la prison d'Abou Graib. De par ma position, j'ai accès à beaucoup d'endroit, et a des personnes haut placées. Obtenir une autorisation pour visiter cet endroit n'est pas si difficile pour un officier du pentagone proche de l'ambassadeur.


L'endroit est au premier abord un immense complexe, il y a les internés, des personnes retenues dans le camp, dans des tentes en général, il s'agit de détenus de droit commun ou de personnes arrêtées au hasard, et la partie dure du site, avec des bâtiments et des ailes comprenant des tas de cellule et une zone isolée.


En arrivant dans cette endroit, ce qui frappe les yeux c'est que les prisonniers sont tous complètement nus, y compris les femmes. Les gardes prennent tranquillement leur café, et m'invite à leur table.


Je leur dis brièvement expliquer la raison de ma présence et que je cherchais Lyla, une jeune prisonnière arrivée il y a peu.


Un garde avec un air assez primaire, surement un redneck, un cul terreux d'électeur républicain originaire du centre des Etats Unis lui dit qu'elle est à la gym, l'une des activité obligatoire de la prison pour maintenir en forme les détenues, et aussi et surtout, les dresser.


Là, j'ai vue quatre prisonnières, toutes complètement à poil,  Lyla était permis elles, les gardiens les obligent à faire des exercices sportifs chaque matin, jusque à l'épuisement. Quand elle m'a vu elle m'a lancé un regard extrêmement gênée, plein de honte que je n'oublierais jamais. Elle était exposée, sa chatte rasée de prêt et exhibée dans toute sorte de positions.


Une femme prisonnière forcée de faire des pompes et du gainage nue.
Les sévices et traitements humiliants en prison.

Je me suis exclamé "Les prisonnières ne doivent pas être obligées de suivre des séances de sport nues et en public ! C'est choquant " Les gardes tiennent à coeur a suivre les recommandations des autorités qui insiste sur le fait de maintenir les détenues entre 18 et 45 ans en bonne forme physique.


"Et pourquoi sont elles à poil ?"


"C'est la procédure, on ne sait pas trop, on applique les ordres, et entre nous, c'est un métier agréable"


Un autre militaire un peu bougon et l'air détaché ajoute que c'est comme ça depuis qu'il est arrivé et que c'est normal d'avoir les prisonnières nues.


Pauvre Lyla, elle et sa maman sont très pudique, c'est difficile d'imaginer ce qu'elle peut ressentir. Lorsque le l'avais rencontré elle était comme la plupart des femmes de ce pays, vêtue d'une robe large et ample et portait un foulard (hijab) cachant ses cheveux, son cou, et sa poitrine. C'est une fille pieuse et religieuses respectueuse des préceptes de la religion musulmane. Les gardes l'obligent à rester nue en permanence, a montrer ses fesses, sa chatte, ses petits seins, et a montrer ses trous bien fait partie de la routine comme pour les autres détenues.


C'est un bon moyen de maintenir l'ordre et d'apprendre l'humilité aux prisonnières. Lyla apprend à vivre nue, comme les autres, elle a abandonner toute pudeur a force d'être exhibée nue devant les gardiens qui l'harcèlent et se moquent d'elle sans cesse on lui imposant toutes sortes d'outrages et d'obscénités. 


Les gardes par exemple aiment lui faire faire des pompes et des abdos jusque à l'épuisement, lui faire faire des squats pour bien qu'on puisse voir ses fesses et sa chatte ouverte, l'obliger a se masturber en public et a jouir.


Humiliée , une prisonnière se masturbe devant les gardiens.
Une prisonnière obligée de se masturber jusque à la jouissance en public.


Liens :


Prisonnière de haute sécurité.


L'omniprésence de la nudité dans cette prison.


mardi 3 janvier 2023

Punir et ramollir les prisonniers par la nudité forcée.

 

Interrogatoire renforcée humiliation nudité bondage.
Femme attachée et exposée totalement nue en prison.

Utilisation de la technique de la  nudité forcée en prison.

Durant l'occupation de l'Irak par l'armée américaine (2003/2011), dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et pour se venger des attaques du 11 septembre 2001 les Etats Unis ont torturer et humilier des prisonniers de façon perverses et sadiques, en particulier dans le centre de détention d'Abou Ghraib, dans la périphérie de la capitale Baghdad ou d'important sévices ont été révélés dans les médias.


L'une des choses les plus spectaculaire et choquante dans cette prison est la nudité des détenus hommes et femmes, les prisonniers sont gardés sans vêtements et constamment humiliés et victimes de sévices par les gardes vicieux.


Imposer la nudité est systématique, les américains obligent les prisonniers irakiens et  les prisonnières irakiennes a se mettre nus et le rester pour les punir et marquer leur domination et leur contrôle sur les corps et les esprits.


Nezha, 29 ans  la fille d'un général de l'armée en fuite a été arrêtée et transférée dans le tristement célèbre prison lors de son arrivée soumise au processus de traitement des prisonniers :


- Tout commence par une mise à nue totale de la prisonnière, les gardes sont sans pitié et n'ont aucun respect pour sa pudeur ou ses convictions religieuses. Comme la plupart des femmes arabes musulmanes d'Irak, Nezha a reçu une éducation conservatrice et on lui a toujours enseigner la modestie et la réserve et le fait de ne pas montrer son corps et de porter des vêtements larges et amples pour le dissimuler. C'est terriblement choquant et humiliant pour une honorable jeunes fille pieuse que de devoir se déshabiller publiquement sous la contrainte devant les forces d'occupation.


La nudité est imposée et la détenue s'est retrouvée intégralement nue sous les regards curieux et attentifs des gardiens qui prennent un malin plaisir à mettre les femmes à poil et les exposer ainsi en public comme des trophées. Ils sont souvent curieux de voir ce qui se cache sous les voiles et les robes des irakiennes après les mettre toutes nues, certains font des paris sur la forme des seins, si les sexes sont poilus, épilés, l'une des responsables tient même ses petites statistiques sur cette question.


La détenue est régulièrement obligée de marcher nue et pieds nus en dehors de sa cellule et d'être exposer devant tout le monde, les femmes sont exhibées comme des trophées sous les rires et moqueries des soldats qui les force souvent à danser, gigoter les fesses ou faire des twerks devant tout le monde ...


L'une des autres pratiques humiliantes consiste au fait que la prisonnière a été attaché plusieurs fois du matin au soir les partis intimes totalement visibles par tout le monde en étant prise en photo, insultée, fessée, humiliée ...


Toute nue en prison.
Nudité forcée et sentiment de honte ressentie par les femmes prisonnières.


Liens : 


Témoignages de prisonnières.


Prison pour femmes.

dimanche 18 septembre 2022

Nue pour l'interrogatoire.

Nudité lors des interrogatoires
Prisonnière nue vers la salle d'interrogatoire

 Nudité et interrogatoire renforcé des femmes.


Dans la plupart des pays du monde, sur les différents continents, la police politique et les militaires usent de méthodes musclés et coercitives pour ramollir et faire parler les détenus. Et les femmes ne sont pas en reste, certaines pratiques sont quasiment universelles.


En Amérique latine dans les prisons tenues par des régimes militaires d'extrême droite soutenus par la France et les Etats Unis, en Europe de l'est dans les dictatures communistes satellites de Moscou, en Russie même, dans les pays arabes et du moyen orient, dans les prison secrètes ou dans les prisons militaire américaine ouvertes dans le cadre de la lutte contre le terrorisme comme à Abou Ghraib en Irak.


Certes les femmes sont minoritaires dans ses endroits qui comprennent majoritairement des détenus mâles.  Mais lorsqu'elles sont arrêtées, les policiers ou les soldats commencent toujours par obliger les prisonnières à enlever tout les vêtements. Ceux sont souvent des femmes pudiques jouissants d'un respect ou d'un prestige dans leurs communautés d'origines (institutrice de gauche, femme d'opposants ou de rebelles etc.) et sont sont obligées de se mettre totalement nues sans aucune intimité et de parader dans le plus simple appareil en attente des interrogatoires ...


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lundi 5 septembre 2022

Prisonnière réduite en esclavage.

 

Nudité forcée humiliation torture moyen âge.
Princesse réduite en esclavage.

La capture des esclaves femelles au moyen âge


Les guerres étaient dans l'antiquité  et au moyen âge une occasion de piller et de faire des prisonniers qui étaient transformés en esclaves. Sous le règne des mérovingiens, une dynastie qui règne d'environs 481 à 751, l'une des particularité de ce régime était que le pouvoir et les terres étaient partager entre les fils du roi à chaque succession, ce qui à entrainer de multiples guerres et complot fratricide entre les frères pour le pouvoir et les territoires les plus riches.


Au sein de la famille les complots et les crimes en tout genre sont extrêmement fréquent, c'est l'une des raisons de sa chute en 751.

Les pervers et les perverses et les sadiques s'en donnent à coeur joie.

La princesse Berthilde, la Belle fille du roi Sigebert, épouse d'un des rois en rivalité avec ses  deux frères coalisés contre lui  Théodebert et Clotaire V . La  princesse a  été capturée lors d'une bataille et d'un assaut contre sa place forte.

Elle est encore assez jeune, blonde bien conservée et en forme. Les guerriers l'ont apporter aux deux autres rois qui sont bien décider à humilier le clan rival.

Les vêtements de la princesses sont déchirée et ses chaussures enlevées et pour lui enlever toute dignité elle est obligée de parader totalement nue dans son château et dans la ville sous les rires des soldats et des habitants qui l'insultent, rigolent, lui crachent dessus.

L'un des soldats en voyant une flaque d'eau décide de forcer la prisonnière à boire comme une chienne à quatre pattes et le cul bien en l'air. L'un des soldats en profite pour lui mettre un coup de pieds au cul et fait tomber la captive dans la boue. Les spectateurs sont hilares.

Le but est d'enlever toute dignité à la princesse et d'en faire la dernière des cochonnes.

La princesse est ensuite mise sur une charrette et transportée exposée totalement à poil jusque a une sorte de centre ou sont retenus les captifs qui seront revendue comme esclaves.

La future esclave est jetée nue dans un cachot et enchainée. Totalement exposée, chatte ouverte et disponible pour satisfaire les guerriers.

La princesse est ensuite dressée avant d'être revendue sur un marché aux esclaves.


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jeudi 28 avril 2022

Conseil de discipline en prison.

Nudité et fouille des femmes pudiques en prison.
Prisonnière nue écarte les fesses lors d'une fouille anale et vaginale.





Enquête sur la nudité forcée comme moyen de discipline et de punition en prison.


En 2004, lorsque éclate le scandale de la prison d'Abou Ghraib durant la guerre en Irak menée par les Etats Unis, l'une des choses qui à le plus choquée l'opinion publique est l'utilisation  généralisée de la nudité comme moyen de coercition, de discipline et d'humiliation des détenus comme méthode de gestion.


Une enquête poussée à été réalisée par une ONG de défense des droits de l'homme chargée de défendre madame Nora G, une ancienne prisonnière irakienne de 37 ans incarcérée plusieurs mois en isolement sur ordre de l'administration et du  renseignement militaire  car c'est une scientifique importante en biologie et une professeure d'université. Elle a été placée sois le statut de détenue de haute importance car susceptible de détenir des information stratégique et nécessaire pour la coalition.


Une juriste chargée de tenter de défendre les droits de la détenue  a  eu l'opportunité de  visiter la détenue gardée par les Etats Unis. C'est l'une des rares femmes emprisonnées dans ce sinistre endroit.


L'enquêtrice a eu le droit de passer plusieurs heures avec Nora et témoigne ici. 


J'ai finalement après de multiples démarches administratives et juridiques longues et fastidieuses et grâce au soutient de toute l'équipe de l'ONG de défense des droits de l'homme avoir accès à une femme détenue dans l'une des prisons les plus dures du monde pour l'accompagner à un conseil de discipline interne.


Nora est âgée de 37 ans, elle est gardée en isolement quasi complet et est considérée comme une prisonnière de haute valeur et comme une potentielle menace pour la sécurité des Etats Unis pour des raisons totalement arbitraire : Elle est une scientifique et une enseignante, et donc selon les renseignements, elle est susceptible d'être impliquée dans le programme d'armes de destruction massive. Elle est retenue sans aucunes charges et pour une durée indéterminée 


Elle est en confinement solitaire  depuis 6 mois, elle dans une petite cellule de deux mètres sur trois. Sa cellule est  vide, tout objet extérieur est interdit, elle dispose d'un robinet avec arrivée d'eau, de toilettes "turques" et d'un banc avec une fine couchette pour dormir et une petite fenêtre avec une lucarne qui laisse passer en journée un peu de lumière du soleil.


Lorsqu'un gardien ouvre la porte de la cellule, la prisonnière est brune, plutôt petite et toute fine voir maigre et un peu musclée sec.


Ce qui parait tout à fait normal et naturel pour les gardiens mais très choquant pour une personne qui visite l'établissement pénitentiaire est que la prisonnière est entièrement nue et pieds nus. 


Lorsque j'ai demander aux gardiens pourquoi est ce que la détenue ne porte pas de vêtements, ils ont répondu que c'était systématique d'imposer la nudité totale. Que les ordres de leurs supérieurs hiérarchique  sont de retirer aux personnes privées de liberté toute leurs affaires, habits, effets personnels etc. lors de leur arrivé sur le site. 


Et je demande aux surveillants  "Comment avez vous laisser cette femme  sans lui donner le moindre vêtements ? c'est terriblement humiliant et c'est une forme de mauvais traitement ! "


Les gardes considèrent qu'il n'y a rien de mal à garder nus des prisonniers et que c'est pour plus de sécurité car le complexe se situe dans une zone de guerre et que les détenus peuvent dissimuler des armes et des objets dangereux alors les mettre à poil et plus simple. 


Un gardien justifie la nudité  en prenant par exemple le fait qu'un prisonnier une fois a tenter de confectionner une arme avec une brosse à dent en plastique qu'il a tenter d'aiguiser et de mettre dans son pantalon. La seul solution est donc selon lui d'interdire tout objet aux détenus.


Un autre geôlier trouve ça marrant et amusant d'appliquer les consignes de déshabiller les femmes et de les embarrasser au maximum avec la nudité et de les punir avec pour se venger des attaques du 11 septembre.


Un garde se confie et reconnait que les consignes ont pour objectif de rabaisser et briser l'égo des prisonniers et que tout est fait pour heurter la sensibilité et vexer les captifs et les mettre en situation difficile et inconfortable. Comme les autres femmes, Nora a été mise nue en arrivant, les soldats. 


La prisonnière est très pudique, pour des raisons culturelles et religieuses se déshabiller devant du public est très difficile. 


Les américains font tout pour choquer et montrer leur domination en créant une atmosphère pour avilir les personnes privées de liberté. 


La scientifique a retirer ses vêtements devant des hommes et des femmes sans aucune intimité ni respect de sa pudeur, les américains imposent a des femmes couvertes de la têtes aux pieds et voilées des déshabillage publique et un rasage des parties intimes. L'une des responsables de l'aile féminine a édicter une règle comme quoi les femmes doivent avoir le sexe rasé comme les femmes occidentales.


Nora a été très éprouvée par ces épreuves, les gardes se souviennent de l'avoir forcer à prendre des postures obscène et impudique et pris des vidéos et photos en menaçant de les montrer à sa famille. Comme elle est pudique et qu'elle tente de cacher son vagin, ses seins ou son anus les américains se sont bien moquer d'elle et l'ont ridiculiser publiquement en la faisant parader à poil dans la prison.


La responsable du secteur féminin a dit à Nora qu'elle est à poil et sans voile ni rien pour couvrir son corps et que maintenant elle n'a plus rien de respectable car une femme pieuse , musulmane et respectable ne se balade pas toute nue devant tout le monde ...


Pour leur montrer qui est le patron les américains forcent les prisonnières à marcher en tenue d'Eve dans toute la prison avant d'être jetée en cellule dans le plus simple appareil.


Les gardes demande à Nora comment elle va puis procédentà l'inspection corporelle du matin.


Les gardes lui disent "Allez ne fait pas d'histoire met toi debout et en position de sécurité (c'est à dire debout les mains sur la tête et les jambes écartées.), ne sois pas gêné par la présence d'une invitée qui en quelques sorte est ton avocate".


Les américains traitent les prisonnières comme dans un zoo, et impose des fouilles au corps 4 fois par jours, avec un contrôle minutieux des anus, vagin, bouches et même jusque entre les orteils des prisonnières ! Nora se soumet docilement à ce terrible rituel et écarte ses fesses et montre sa chatte et son anus ouvert et tousser devant un militaire américain équipé d'une petite lampe pour regarder au plus profond de son cul.


Avec le temps sa pudeur a disparu, les américains l'ont soumise et brisée et sa nudité est naturelle.


Un garde donne a la détenue un T shirt et une culotte en lui disant qu'aujourd'hui elle sort du secteur pour une audience par rapport à ses manquements disciplinaires. Nora dans un premier temps se demande pourquoi et questionne pour savoir ce qui se passe ou si elle va être libérée.


On lui dit d'enfiler le slip et le haut et de se placer en position pour être menottée. La prisonnière est ensuite accompagnée jusque dans une salle en dehors du secteur d'isolement pour y rencontrer des membres du comité de discipline de l'établissement.


Même si elle ne s'est pas faite prier pour enfiler les quelques vêtements, elle a l'air gênée d'être encore en petite culotte et tenue légère , surtout lorsqu'elle sort du secteur.


Un soldat lui dit d'arrêter de faire sa timide car elle se promène à poil habituellement sans aucun soucis devant tout le monde.  Et en se moquant qu'elle à l'habitude avec la nudité et que tout le monde a vue son trou et sa chatte...


Après plusieurs minutes de marche nous arrivons dans un grand bureau ou deux responsables l'attendent pour statuer. C'est un homme en costard cravate professionnel et une femme en tailleur chargée du suivi des détenues et du protocole dont la discipline.


L'entretien commence par des question banales et ordinaires sur son identité , sa durée de détention etc.

Ensuite Nora est questionnée sur sa tenue, elle raconte qu'en arrivant les américains l'ont forcer à se déshabiller et lui ont interdit de porter le moindre vêtements. La fonctionnaire lui a répondu que c'est normal et ordinaire ici et lui à demander si la nudité est imposée de façon permanente, partielle , l'irakienne lui répond toute nue tout le temps.


L'américaine explique à la prisonnière qu'elle est accusée de plusieurs violation du règlement : Indécence publique et relations sexuelles non autorisées avec une autre prisonnière.

Nora est effarée d'entendre ça, on l'accuse de s'être exhibée nue alors qu'on lui à pris tout ses vêtements depuis plusieurs mois.


"J'ai été promenée à poil des dizaines de fois, lors des douches je suis escortée dans le plus simple appareil jusque dans la salle de bain par des gardes, ils me forcent aussi à distribuer les repas et faire le ménage en tenue d'Eve dans toute la prison !"


C'est normal ça, mais il y a une semaine lorsque tu étais de corvée tu a été filmée nue dans une zone ou tu n'avais pas le droit d'être, et en plus tu étais à poil, c'est indécent et honteux . Ceux sont deux effractions et un acte indécent. Plusieurs membre du personnel US ont été choqué de voir une prisonnière irakienne nue faire le ménage. Tu est censée être une femme pudique et respectable ...


Et tu est aussi accusée de relations sexuelles avec une autre prisonnière dans le cadre d'une sortie dans la petite cours de récréation. Vous dansiez toutes nues et vous vous êtes frotter le sexe et embrasser devant des soldats US.

Avec le temps nous ne faisons plus trop attention  à l'absence de vêtements et c'est très difficile de se retenir.

"Rien à faire de vos état d'âmes, c'est parfaitement contraire à nos règles. Nous devons vous sanctionner. Nous avons décider que pout toi et ta compère vous devrez maintenant être nue en tout temps et toute circonstance, avec des chaines aux pieds, et vous passerez une semaine au pilori dans les couloirs avec écrit sur les fesses "Lesbienne" et perverse" en arabe et en anglais sur le corps.


Des femmes contraintes de parader entièrement nues en public dans la prison.
Une prisonnière conduite nue dans les couloirs de la prison.

Liens :


Mauvais traitement dans les geôles.


Briser l'égo des prisonnières.

vendredi 22 avril 2022

Une femme prisonnière torturée et humiliée plusieurs semaines

 

Pieds nus, bdsm, prison, chaines, fétichisme.
Les pieds nus  d'une prisonnière enchainée.





L'histoire de Mina arrêtée pour terrorisme ayant séjourner dans une prison terrifiante.


Mina est une jeune femme irakienne de 27 ans qui a passer en 2004 plusieurs mois dans les geôles du complexe de détention spéciale  d'Abou Ghraib, une prison tenue par l'armée américaine pendant la seconde guerre du golfe. Elle est l'épouse d'un riche homme d'affaire bien plus âgée qu'elle proche de l'ancien régime. Elle est issue d'une famille aisée et vit dans l'opulence. Les soldats américains l'ont arrêtée pendant qu'elle tentait de quitter le pays pour la Jordanie. Si dans un premier temps elle a été traitée avec respect et tout les égards due a une femme, mais,  lors de son arrivée dans la célèbre prison tout à changer ...

Après un voyage  de plusieurs heures dans un fourgon militaire sales, inconfortable et poussiéreux, avec trois autres prisonniers, tous solidement entravés et avec un sac noir sur la tête. Elle arrive dans l'établissement.


Prisonnière à poil dans une petite salle attendant son interrogatoire musclé.
Femme prisonnière nue, ligotée avec un sac sur la tête attends l'interrogatoire.


Mina est transportée manu militari dans la partie en dure de la prison. Une porte s'ouvre et deux femmes en treillis militaire plus costaud qu'elle l'accueille. "Bienvenu chez nous" lui dit l'officier Clara Smith, une militaire blonde athlétique d'un mètre quatre vingt., l'autre soldate est une latine assez enrobée nommée Maria Sanchez.


Mina qui parle parfaitement l'anglais leur dit qu'ils n'ont pas le droit de la garder ici et qu'ils doivent la libérer tout de suite et qu'elle veut appeler un avocat, de part son milieu sociale la prisonnière a plusieurs fois voyagé en Angleterre et aux Etats Unis.


Les gardiennes rigolent, et prennent un ton dominant, celui de personnes en position de force.  Et elles lui répondent qu'elle est une détenue de haute sécurité entre les mains de la police militaire et des services de renseignement américain, et qu'ici elle ne décide de rien et appartient aux gardes et interrogateurs.


La surveillante latine se présente, elle est en charge de la discipline et chargée de la sécurité dans l'aile réservée aux femmes de la prison. Elle informe Mina que si elle fait la maligne, l'équipe lui fera regretter d'être née et disposent de tout un tas de méthodes pour obtenir obéissance et soumission.


La blonde prend ensuite la parole pour lui dire qu'ici il ne faut pas se rebeller, et que c'est toujours les gardiens qui gagnent, cependant, les américains peuvent avoir un comportement plus humain et même être gentils.


Une autre femme en treillis vient retirer les menottes et les chaines de la prisonnière en lui disant "Tu vois nous pouvons être gentilles".


Tu sais nous n'avons pas besoin de garder les détenus attachés et menottés, "c'est impossible de fuir d'ici c'est une prison de haute sécurité, les gardes exercent un contrôle total sur les captifs  et tu comprendra bientôt pourquoi" dit l'officier Smith.


Les gardiennes expliquent brièvement que Mina va devoir passer à la fouille, qu'elle doit quitter tout ses vêtements. La prisonnière comme on peut s'y attendre refuse catégoriquement de se soumettre à cet ordre; surtout que des hommes passent dans les couloirs et peuvent la voir.


Les surveillantes ont l'habitude de voir les femmes refuser la mise à nue pourtant obligatoire. Elles font vite comprendre à la pauvre femme que la force est de leur coté et saisissent Mina qu'elles font tombée au sol avant de lui envoyée une pluie de coups légers mais suffisamment fort pour lui causer de la douleur. La jeune femme cede  rapidement en pleurant et supplie ses geôliers d'arrêté car elle va obéir.


Les américaines cessent de la malmener, bien qu'elles puissent aisément arracher ou découper les vêtements des prisonnières elles ne le font qu'en dernier ressort , elles préfèrent les forcer à retirer elles même leurs habits et faire ainsi un strip tease.


"A poil et vite !" hurlent les américaines. Elles veulent voir Mina se dépouiller elle même car c'est beaucoup plus dégradant et ça marque un acte de soumission.


Pour la détenue Mina c'est très difficile, c'est une femme issue d'un milieu très conservateur, bien élevée et bien éduquée, et se déshabiller en public viole sa conscience et toutes ses normes culturelles et religieuses. L'officier Clara Smith lui ordonne de se découvrir et de "montrer son corps, d'enlever son voile et sa tenue arabe traditionnelle pour nous montrer comment Dieu l'a faite" et ajoute en ricanant ". L'autre geôlières ajoute que toute personne qui arrive en prison passe ici à la mise à poil, les jeunes, les vieilles  sans aucune exception, alors retire tout et vite ! Ici toute désobéissance peut entrainer de sévères punitions.


Voyant que la prisonnière hésite encore, Clara Smith frappe violemment une table pour faire comprendre à Mina qu'elle perd patience et que les coups risquent de pleuvoir si elle ne s'exécute pas tout de suite.


La prisonnière n'a d'autre choix que de coopérer, en pleurnichant elle commence par enlever sa veste son hijab, ses chaussures, chaussettes, puis elle défait sa robe pour se retrouver en T shirt culotte.


Les surveillances frappent à coup de matraque contre les murs en hurlant à la prisonnière d'enlever le reste, elle ôte son t shirt, elle ne porte pas de soutien gorge, car sa poitrine n'est pas très grosse et le t shirt est suffisant pour cacher ses tétons qui peuvent parfois pointer.

Et elle descend sa culotte qui lui tombe sur les chevilles, la voici toute nue.


La prisonnière est inspectée comme un animal, sa tête est palpée et ses cheveux vérifiés , ses oreilles, sa bouche s dentition, sa langue, et même ses narines. Puis ses seins sous soulevés, et ses aisselles controlées ses pieds et ses orteils sont aussi écartés et scruté avec attention ...


Quand il est temps d'inspecter l'intimité de la prisonnière elle doit écarter les jambes et recevoir des doigts gantés dans le vagin pour une inspection très profonde , et le clitoris de la captive est volontairement stimulé jusque à la faire un peu mouiller ...


Ensuite elle doit se pencher en avant, écarter les fesses et se faire prendre un doigt qui rentre bien en profondeur dans son anus.


Mina est ensuite conduite nue et menotté les mains dans le dos, car ici comme lui a dit Clara, il s'agit de punir les ennemis des Etats Unis, "on a le droit de vous garder à poil, porter des vêtements n'est pas un droit reconnu aux prisonniers ici".


La pauvre femme très pudique est offerte aux regards sans restriction de ses geôlières, mais aussi de tout le staff pénitentiaire et les autres détenus. Elle est pleine de rage, de sentiment d'impuissance et d'humiliation mais n'a pas d'autre choix que de se montrer docile et de se taire.



Les couloir de l'aile de la prison ou sont gardés les femmes sont loin d'être désert, des gardiens et des gardiennes en uniforme font des aller retour, la nudité de la prisonnière parait tout à fait normal, une autre femme prisonnière est transportée attachée sur un lit à roulette, elle est bien évidemment complètement nue et elle cri et pleure et tente de se débattre. Mina l'a reconnue, il s'agit d'une présentatrice TV de la chaine principale de l'ancien régime. Zahia M, 41 ans, bien conservée, assez ronde mais très mignonne ses seins sont gros et massifs et bougent dans tout les sens,  ses cuisses sont maintenues écartées pour bien montrer que sa chatte a été rasée et ses lèvres sont ouverte à la vue de tous, un gode vibrant lui a été enfoncé dans le cul. Elle est conduite dans une salle spéciale pour interrogatoire.


La déchéance de Zahia, autrefois connue pour son élégance, toujours bien habillée, maquillée etc. choque beaucoup Mina qui fondamentalement n'est pas dans ne situation plus enviable que la célèbre journaliste.



En continuant la marche jusque en cellule, Mina remarque que deux prisonnières nues sont forcer de prendre des poses dégradantes et de faire du sport à poil (jumping jack, burpees,  courir a poil dans les escaliers avec les seins qui remuent etc.) devant des soldats américains qui se masturbent et rigolent de leurs victimes.


Plusieurs prisonnières de tout âges sont attachées totalement à poil aux barreaux de leurs cellule en exhibition totale dans les couloirs de la prison et soumises a des sons très désagréables et des musiques très forte en permanence.


Après cette marche de la honte, Clara lui explique qu'ici Mina comme les autres est entièrement nue, car les américains ont décider de punir et d'humilier au maximum leurs ennemis.



Une fois placée en cellule, Mina est forcée de manger  une purée dégoutante à quatre pattes comme une chienne dans une gamelle avec l'interdiction de manger avec ses mains pendant qu'une soldate lui enfonce une banane dans l'anus. Les gardiennes rient ostensiblement de la terrible dégradation imposée à Mina.


"Ici l'ordre et la discipline sont très stricte, nous traitons les captifs comme pire que des chiens, tu vivra à poil, mangera comme une bête devant nous."


Mina est ensuite mise au lit, attachée sur une banquette pour la nuit. Devoir  être  complètement nue , avoir la chatte et les seins exhibés sans aucune pudeur ni respect pour sa dignité, les gardes hommes ou femmes viennent régulièrement la mater et parfois tripoter sa poitrine et lui titiller les tétons pour les faire durcir. Il n'y a rien de plus humiliant pour elle.

Punition et sanction disciplinaire en prison : le fouet
Prisonnière fouettée nue.



Le lendemain matin, les gardiennes viennent prendre Mina et trois autres prisonnières pour leur imposer une terrible séance de fouet en public. Les victimes sont d'abord longuement suspendues par les poignet, leurs orteils touchant à peine le sol, avant d'être battues et fouettées pendant plusieurs minutes.




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samedi 29 janvier 2022

Torture et humiliation sexuelles sur une femme prisonnière.

Humiliation et torture BDSM d'une prisonnière nue.
Femme nue et maltraitée en prison.

Prisonnière déshabillée, maltraitée et humiliée par les interrogateurs et les gardiens de prison.


Pendant la seconde guerre du Golfe (2003/2011), les Etats Unis ont détenus et torturer des prisonniers dans la prison militaire d'Abou Ghraib, près de la capitale Baghdad. Les femmes détenues sont en petit nombre et elles ont le statut  de prisonnières "de haute valeurs" et soumises à des interrogatoires renforcés.


Si la partie aménagée est officiellement interdite aux soldats masculins hommes, le règlement ne concerne pas les interrogateurs de sexe masculin, ni les mercenaires et les civils employés par la prison.


Plusieurs témoins rapportent de l'état d'esprit régnant dans le staff concernant le traitement des femmes captives.


Une ancienne engagées "Nous devons appliquer les ordres, procédures et règlements sans réfléchir, de plus les cadres de l'armée nous avaient dit de les traiter comme des moins que rien, pire que des chiens, comme des déchets. Quand un nouveau prisonnier arrive il faut le mettre à poil et le terroriser. En général ils n'aiment pas ça du tout, certains nous supplie de leur laisser garder le slip mais à poil c'est à poil, ils doivent tout retirer, les ordres sont les ordres et on les applique sans états d'âme et froidement."


Elle continue plus loin : "Lorsqu'une femme arrive,  comme cette scientifique d'environ 35 ans, Rania, toute menue et frêle, arrêtée pour ses liens avec des personnes activement recherchées par la coalition et soupçons de financement de la rébellion. Comme pas mal d'autre femmes, elle est toute voilée et vêtue de vêtements traditionnel et couverte de la tête aux pieds. Et bien ont l'oblige a se mettre entièrement nue, si elle n'obtempère pas on la déshabille de force et lui découpe ses vêtements, on l'exhibe devant des hommes et on lui fait prendre des photos très embarrassante dans des postures dégradantes."


"Rania comme les autres prisonnières a fait une de ces têtes quand elle a compris qu'on allait la mettre à poil et permettre a des hommes de la voir nue, son regard étaient plein de honte, de détresse, et de résignation."


"Certaines surveillantes sont très dominatrice et autoritaire et totalement insensibles aux pleurs, elles savent à quel point a nudité peut être humiliante et dégradante pour ces pauvres femmes de culture arabe et musulmanes, et ça les fait marrer et elles prennent du plaisir à rabaisser et déshumaniser les détenues."


Concernant la période de détention de Rania, la soldate américaine donne plus de précisions.


Sur ordres des interrogateurs,  "Il faut deja savoir que lors de la fouille d'accueil, les femmes irakiennes incarcérées sont selon leur profil placées sous différents statuts : "Très haute sécurité", celles là sont nues en permanence et placée dans des petites cellules totalement vide  en confinement solitaire et sous surveillance permanente de deux gardes. Les autres sont autorisées a porter un uniforme orange  de prisonnière, mais sans sous vêtements les culottes et soutien gorge sont confisqués pour des raisons de sécurité les couvre chefs religieux comme les voiles et les hijabs sont aussi interdites aux prisonnières qui doivent rester têtes nues.

A noter aussi que toutes les femmes sont systématiquement gardées pieds nus, sans chaussures, pas même des tongs."


Sur le sort de Rania : "Les gardes doivent suivent les consignes des interrogateurs du renseignement militaire et  forcent Rania à se déshabiller en public  dans les couloirs en prévision des interrogatoires. Ceci dit la prisonnière ne porte qu'une simple et modeste tunique orange sans rien en dessous. Ses plantes des pieds sont sales à force de marcher sur le sol. Ses vêtements lui sont confisqués parfois plusieurs jours.


Elle est torturée nue et en public, parfois un interrogateur masqué vient lui imposer divers sévices pervers et sadiques, la prisonnière est attachée nue les mains dans le dos avec une corde au cou, et les tortionnaires viennent lui pincer ses tétons, lui palper de façon agressive ses petits seins, lui introduire des doigts dans les fesses puis la forcer a renifler en se moquant d'elle et de son hygiène déplorable, elle est aussi fouettée et soumise au supplice de la flagellation des plantes de pieds (appelés Falaka ou Bastinado) et des mines sur les seins.

Une prisonnière nue soumise au supplice du falaka/Bastinado.
Falaka  ou Bastinado (flagellation des pieds).


Pour être exemplaire et terroriser tout le monde les humiliations et les punitions ont lieu en public, des femmes sont traiter de façon terrible, dans des postures les plus dégradantes possibles."



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