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mercredi 23 avril 2025

Incident nudité forcée en prison.

 

Nudité forcée en prison
Nue en cellule.

Femme nue dans sa cellule de prison.

Dans les entrailles de la prison militaire d’Abou Ghraib, Mounia, 32 ans, Irakienne, professeure de lycée respectée, gît nue, enchaînée, dans une cellule d’isolement. Cousine d’un ancien cadre du ministère de l’Intérieur, traqué par la coalition internationale, elle est devenue une "prisonnière de sécurité". Son crime ? Rien de prouvé. Son châtiment ? Une nudité imposée, crue, humiliante.

Mounia, femme pieuse, toujours drapée de la tête aux pieds, conforme aux codes de sa foi musulmane, a été dépouillée de tout. Son avocat, sidéré, raconte le choc : "Ma cliente, nue, exposée, enchaînée comme un animal." Officiellement, cette nudité est une mesure de "sécurité" pour prévenir la contrebande. Mais un responsable, sous couvert d’anonymat, lâche une vérité plus sordide : "On les force à rester nues pour les briser, pour les punir." Les femmes musulmanes, en particulier, sont visées, leur pudeur transformée en arme contre elles.

À son arrivée, Mounia a subi une fouille à nue, procédure standard. Mais ce qui suivit n’a rien de standard : on lui a refusé tout vêtement. "Pas d’autorisation", a-t-on justifié. Dans l’Irak brûlant, où la chaleur suffocante rendrait le port de vêtements facultatif selon certains gardes, elle est laissée à vif, sans voile, sans dignité, sans aucun signe de sa culture ou de sa religion. Le statut de "prisonnière de sécurité"

 Liens : Rapport visite prison

dimanche 12 janvier 2025

Ma femme humiliée et incarcérée en Amérique

Fouille collective humiliante
Fouille et humiliation publique.

Les gardiens américains de la prison de conté de Greenwood  ont pour consigne d'humilier et de dresser les détenus pour réduire la délinquance et les incivilités. Le shérif est l'un des plus sévères du pays, il est très populaire et est appuyé par le gouverneur républicain pro Trump.

Mon épouse, Rania, une femme franco marocaine musulmane, qui était la pour ses études s'est faite arrêtée lors d'une manifestation en faveur de la Palestine et la police l'a conduite dans le centre de détention du conté.

Sur place, Rania était avec 3 autres femmes américaines,  l'une est membre d'un gang, l'autre est probablement là pour fraude fiscal les gardiens les ont placé dans une salle réservée à l’accueil

D'une part, elles sont misent toutes nues et soumises à des fouilles et inspections très poussées devant tout le monde, y compris des hommes. Les gardiens aiment faire comprendre aux femmes quand ils leurs ordonne d’enlever leurs vêtement, tout bien sur, "Il faut tout montrer aux gardiens" ricane un des surveillants.

En Amérique les femmes peuvent être fouillées par des gardiens hommes au nom de l'égalité entre les sexes, et de plus sans aucune intimité devant tout le monde, les femmes culturellement pudiques et réservées comme mon épouses doivent elles subir le même processus humiliant : Se déshabiller et se faire fouiller en public.

Le shérif a décider que la nudité était  naturelle, et dans sa prison, les femmes sont toutes traitées de la même façon sans distinction de religion: Nue, pieds nus avec fouilles des anus et des vagins, dessous les seins et entre les orteils.

Aucune intimité n'est prévue, surtout depuis le retour de Trump, ou les autorités sont autorisées à utiliser de méthodes punitives dont les fouilles corporelles et les mise à poil en publique font partie.

Les délinquantes sont en général humiliées pour l'exemple et en public pour générer de la crainte.

 

Lien : 

 

En garde à vue.

 


dimanche 8 décembre 2024

Femme incarcérée pour terrorisme

 

Les conditions de détention dans les prisons de haute sécurité pour les femmes arrêtées et incarcérées dans le cadre de la lutte contre les terrorisme sont très difficiles et sont dénoncées par de multiples organisations de défense des droits de l'homme.

Najoua B, une détenue américano syrienne impliquée dans une tentative d'attentat avorté avec son mari est détenue en isolement dans une prison de haute sécurité.

Elle est condamnée à 8 ans de prison, sous surveillance permanente dans une cellule de ségrégation vide d'environ 2 mètres sur deux, avec seulement "des toilettes à la turque".

Aucun confort n'est permis, sa cellule est éclairée en permanence. De plus, la prisonnière est contrainte de rester nue et pieds nus en permanence. Elle est sous le statut de nudité permanente, avec l'interdiction de porter le moindre vêtements, même lors de ses rares visites avec un avocat ou avec sa famille.

Les fouilles sont quotidienne, avec des examens agressifs et intrusifs sans aucun respect pour sa pudeur et sa dignité, les gardiennes l'obligent à ouvrir son anus et son vagin de façon obscène tous les jours et en public.

Elle passe en général plus de huit heures par jours debout les mains sur la tête quand elle n'est pas de corvée ou soumise à des travaux forcés.

Elle a l'interdiction de regarder les gardiens dans les yeux, de leur adresser la parole sans autorisation, ou de communiquer avec d'autres détenus.

Najoua est régulièrement ré éduquée, dans le but de la soumettre et de la déradicaliser, elle est filmée nue et régulièrement prise en photo à poil et les images sont diffusées.

L'hymne nationale des États Unis retenti deux fois par jours et elle doit l'écouter et le chanter.

Lien : 

Haute sécurité.

samedi 30 novembre 2024

Conditions de vie rustique en prison.

Femme enfermée nue en cellule.
Prisonnière dort nue sur le banc de sa cellule.

Nue en cellule d'isolement.

Nous sommes en avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib tenue par les forces militaires américaines en Irak. 

Dans la section ou sont détenues les femmes irakiennes arrêtées par les États Unis. Elles sont là pour diverses raisons :  Suspectes de soutenir le terrorisme, de liens avec l'ancien régime, de financer la résistance, d'avoir des informations stratégiques etc.

Les prisonnières sont gardées en isolement dans des petits cachots vides sans aucun confort. Il n'y à pas que les cellules qui sont nues, les détenues sont aussi gardées à poil en permanence.

Les prisonnières en arrivant doivent retirer leurs vêtements pour la fouille traditionnelle, bien sur, c'est très humiliant et dégradant, surtout pour des femmes musulmanes très pudiques, les gardes américains obligent les femmes à vivre nues et à s’exposer devant les hommes.

Il faut se dévoiler, tout y passe, le hijab, la robe, les chaussures, les femmes doivent être entièrement nues y compris les pieds nus.

Une femme connue comme étant l'épouse d'un ministre en fuite dort entièrement à poil  sur le banc de  sa petite cellule. Elle ne porte aucun vêtements depuis son incarcération en dehors de ses chaines et menottes ...

Lien :

Zeyna nue en détention.

vendredi 1 novembre 2024

Traitement choc pour les femmes en prison.

Humiliée et punir les femmes en prison.
Prisonnière tirée de sa cellule toute nue.

Prison d'Abou Ghraib, Irak, incident  nudité forcé du 6 mai 2004.

La nouvelle détenue Malika vient d'être placée en cellule, elle est totalement à poil, entravée et bâillonnée, à peine quelques minutes après "son installation" , les gardiens sont venus la chercher pour l'humilier et lui apprendre les règles.

Non seulement les prisonnières irakiennes musulmanes doivent être nues et pieds nus en cellule, mais elles sont aussi obligées de parader et de s'exhiber nues devant tous le monde : devant l'équipe de surveillance et le personnel administratif et militaires, mais aussi devant les autres captives et les prisonniers masculins, si possible devant des membres de sa famille et de son quartier.

Les gardes aiment voir les prisonnières terrifiées et et humiliées. Malika était quelques minutes avant complétement voilée de la tête aux pieds comme une bonne musulmane respectueuse des traditions et des préceptes de sa religion, et là, elle est complétement nue et exposée devant tout le monde.

Lien :

Histoire BDSM.


 

dimanche 13 octobre 2024

Linda en centre de réhabilitation.

 

Centre de réhabilitation et de déradicalisation.
Une prisonnière nue devant sa cellule.

 Linda et la nudité forcée en prison.

Linda, 31 ans, 1,60m pour 52 kilos est une jeune femme américaine d'origines syriennes. Elle est née dans en Californie de parents originaires du moyen orient. Elle est incarcérée dans un centre de détention spéciale pour fait de terrorisme et de conspiration. Son ex petit ami l'a entrainée avec elle dans sa folie, si son rôle n'est pas facile à déterminer, plusieurs armes et beaucoup d'argent liquides ont étés retrouvés à son domicile, ce qui suffit à l'accusation pour lui faire risquer plusieurs années de prison.

Devant le doute, un juge lui à proposer le marché suivant : 15 ans de prison dans un centre de détention classique sans libération conditionnelle , ou 5 ans dans une unité de réhabilitation et déradicalisation.

L'avocat de la détenue a fortement encourager sa cliente à faire le second choix, sans forcément en connaitre toutes les clauses et conditions.

Sauf que le programme de réhabilitation est très stricte. Si Linda s'attendait à passer son temps à regarder la télévision, faire du sport avec les autres détenues, avoir des cours de cuisine ou de morale civique le temps de purger sa peine, et bien elle s'est beaucoup trompée.

En centre de réhabilitation les détenues sont confinées dans de petites cellules en isolement, vide avec une simple couchette surélevée, des toilettes turques et un robinet d'eau. Tout autre objet étranger est interdit.

L'autre fait marquant est que Linda doit se conformer aux règles qui obligent les prisonnières à être complétement nues en permanence. Bien que musulmane pratiquante et portant le hijab et de longues robes traditionnelles, elle s'est déshabiller pour la fouille et aucun vêtements ne lui a étés remis par la suite. Elle est nue depuis au moins deux ans.

Si les premières semaines de nudité ont été difficiles, elle est maintenant tout à fait à l'aise avec son corps, elle discute avec les gardiens en souriant sans même chercher à cacher ses seins ou son vagin, comme si elle avait oubliée toute pudeur.

Elle n'a par exemple aucune gêne à montrer son anus, même aux inconnus.

Les activités sont très strictes, réveil à 5H30 pour la lever du drapeau et l'hymne américain, puis sport à poil, douche, petit déjeuner.

Ensuite il y a des travaux forcées, puis des cours de civisme et c'est le déjeuner. 

Linda en début d'après midi est régulièrement obligée de faire son auto critique, de remercier les États Unis de lui laisser une seconde chance et d'encourager les nouvelles prisonnières en montrant l'exemple.

Lorsqu'une nouvelle a du mal avec la nudité forcée, Linda lui explique qu'avant d'arriver ici elle était voilée de la tête aux pieds et que personnes en dehors de son ex et de son docteur ne l'avait vue à poil, et maintenant ça va faire deux ans qu'elle est toute nue, et que tous va bien, "c'est très agréable de marcher pieds nus, et de ne pas avoir à réfléchir à sa garde robe, et puis c'est marrant d'être à poil je trouve, j'ai oublier la sensation de porter des vêtements et quand je sortirais je ne sais pas comment je pourrais me ré adapter aux vêtements et aux chaussures, je vais travailler dans un camp nudiste en Californie."

Lien :

Détenue enchainée à poil aux barreaux de la cellule.

dimanche 15 septembre 2024

Enquete sur un incident impliquant la nudité de deux femmes prisonnières.

 

les femmes prisonnières obligées de rester nues en permanence.
Deux prisonnières nues et pieds nus en cellule.

Révélation sur le scandale sévices  et nudité forcée à la prison militaire d'Abou Ghraib en 2004.

Robert, Un ancien gardien de la prison discute avec John,  un fonctionnaire américain du traitement de deux femmes irakiennes arrêtées  par erreur pendant qu'il exercait le poste de surveillant à Abou Ghraib pendant la guerre en Irak.

Marwa et Lamia sont deux femmes ayant été photographiées et filmées nues par les gardes et l'agent cherchent à en savoir plus sur les circonstances de cet incident dans une discussion informelle avec Robert.

 

- Alors Robert, j'aimerais avoir ton témoignage et ton retour d'expérience sur ton job de gardiens de prison en Irak. Nous avons tous entendus parler dans la presse des actes de tortures et de mauvais traitements imposés aux prisonniers irakiens,  mais qu'en est t'il des femmes irakiennes détenues sous votre garde ?

 

J'ai lors de ma mission  d'enquête rencontrée Lamia, elle n'a pas voulue me parler de son expérience carcérale mais elle avait l'air très choquée. Elle a étudier aux États Unis.

 

- Oui je m'en souviens, cette fille est arrivée avec une autre femme d'a peu près son âge. Elles sont restées quelques semaines après elles sont sorties. Elles étaient innocentes.

 

- Oui, c'est bien elles, j'espère que les gardiens n'ont pas oser les déshabiller et les humilier quand même.


- Euh, et bien c'est comme pour toutes les autres, c'est la même procédure. Nous les gardiens nous suivons les ordres et appliquons ce qu'on nous montre.


- J'imagine que les autorité américaines ont pris en compte le contexte politique, culturel et religieux pour ce type de prisonnières spécifique.


- A Abou Ghraib les gardes font déshabiller les femmes "cul nu".


- Mais vous ne pouvez pas faire ça. En Irak, les habitants sont arabes et musulmans majoritairement, la nudité est taboue, et encore plus pour les femmes qui doivent sortir couvertes de la tête aux pieds. Il faut des mesures respectant les us et coutumes locales.


- Nous sommes des gardiens de prison, pas des anthropologues ou des guide touristiques. Ces deux  femmes ont été soumises à la procédure habituelle , et dans nos coutumes les détenus ont les fesses à l'air !


- J'espère que dans le cas Lamia et sa copine Marwa, les gardes n'ont pas oser les mettre à poil..

 

- Quand une femme arrive à Abu Ghraib l'une des premières qu'on fait c'est de la déshabiller, donc elles se sont déshabiller ensembles. C'était marrant de voir ces deux jeunes femmes musulmanes voilées et respectables enlever leurs vêtements devant nous, gardes américains. Nous adorons voir leur honte et leur détresse dans leurs yeux. Quelle bonne leçon d'humilité pour ces femmes qui sont peut être des terroristes que nous devons vérifier.


- Mais ne trouves tu pas que c'est terriblement humiliant pour elles ?

 

- Oui, elles se sont mises à pleurer et sont devenues rouges de honte. Elles ont protesté aussi contre le fait que des hommes puissent les voir se dénuder. Elles se sont déshabiller le plus lentement possible, et elles ont tenter de gagner du temps mais nous avons l'habitude ...

Je veux vous signifier qu'elles ont facilement enlever leurs chaussures, mais qu'ensuite elles ont tenter de ralentir les opérations. Lamia s'est plus rapidement retrouvée en petite culotte et chaussettes  mais Marwa a prétexter refuser d'enlever  son voile et invoquer le respect de ses convictions religieuses.

Nous avons bien rigoler, en tant que gardiens,  nous traitons toutes les femmes de la même manière, que ce soit en Irak ou aux Etats Unis. Nous traitons des prostituées, des voleuses, des avocates, des politiciennes, des supporters des terroristes, des banquières,  des bourgeoises arrogantes, des innocentes aussi, et  qu'elles soient athées, musulmanes; chrétiennes, juives etc.

Bien sur aucune n'a envie de se retrouver toute nue et inspectée par des gardes comme nous.

 

C'est un bon moyen de les remettre en place de forcer une femme à se dénuder.

 

- C'était des innocentes, elles ont été arrêtées car elles étaient là au moment endroit et au mauvais moment, ça doit être horrible ce qu'elles ont subies les pauvres, je comprend qu'elles n'aient pas très envie d'en parler. 

 

- Moi j'en garde un super souvenir. Certaines prisonnières sont grosses ou vieilles ce qui n'est pas toujours sexy, mais ces deux là tout le monde veut les voir à poil. Et les fouilles et déshabillage sont aussi pour leur bien être et sécurité. Et puis c'est juste des vêtements, les détenues doivent comprendre qu'en prison il faut mettre sa pudeur de coté. Lamia et Marwa étaient trop pudique, vous vous rendez compte quand même que Marwa a tenté d'invoquer sa religion et sa culture pour refuser une fouille à nue ?

Elle était là, avec son grand voile et sa large tenue en disant qu'il ne fallait pas qu'elle retire ses vêtements devant des hommes !

Si elle ici c'est qu'il y a une raison. Nous sommes pour la justice et nous voulons voir les coupables, criminels et autres terroristes se mettre à poil. Marwa s'est vite rendue compte qu'elle  n'a aucune chance et qu'elle serait déshabiller de force en cas de résistance. Tous le monde aime voir les méchants quitter leur vêtements et parader les fesses à l'air car ce n'est que JUSTICE, il rendre dignité aux victimes en dépouillant les coupables.

J'ai décider aussi par soucis d'équité  qu'elle devrait être toute nue la première.

Un gardien inspecte deux prisonnières nues très pudiques et humiliées.
Deux prisonnières obligées de s'exposer nues devant un gardien.


- Mais c'est quand même un peu abusif d'obliger les femmes à se découvrir devant des gardiens hommes, même aux Etats Unis ça ne se fait pas.


Et alors, bien sur que si ça se fait, nous sommes les champions de la démocratie et du progressisme, les hommes et les femmes sont égaux, pourquoi un gardien ne pourrait il pas imposer une fouille à nu à une prisonnière ? Et cette Marwa, il fallait bien lui apprendre à nous respecter, nous avions tous très envie de la voir à poil. D'ailleurs quand nous l'avons promener toute nue dans les couloir de la prison et dans la court, pour la montrer a des prisonniers de son quartier, et bien certains ont eu du mal à la reconnaitre sans ses vêtements !

- Ne me dit pas que vous les avez obligées à se promener nues !?


- C'est une petite tradition ici, quand des femmes arrivent, ont les déshabillent pour la fouille et elles paradent nues comme des trophées. Les prisonnières sont nues, pieds nus.


Liens :

Procédure d'incarcération.

Torture, humiliations... Les photos qui ont révélé l'horreur d'Abou Ghraib

jeudi 5 septembre 2024

histoire BDSM : Un avocat et sa cliente gardée nue dans une affaire de terrorisme

Prisonnière nue et sa gardienne en prison.
Une détenue nue conduite par sa gardienne dans les couloirs de la prison.

Le cas de Leila J, détenue pour terrorisme dans une prison de haute sécurité.

 Leila J est une jeune femme de 28 ans née à New York, de parents originaires de Syrie et de Jordanie, mais c'est une citoyenne américaine ayant fait de brillantes études de biologie moléculaire et de sciences politiques. C'est une fille de bonne famille, de la haute classe moyenne américaine d'origine arabe.

Ses parents avant cette sinistre affaire étaient très fiers d'elle, de bonne études, un bon travail comme cadre dans une entreprise de haute technologie dans la Silicone Valley avec le salaire qui va avec. Elle porte le voile depuis l'age de 15 ans, ce qui aux États Unis ne causent aucun problème pour aller à l'école, suivre de hautes études ou même trouver un bon travail, c'est même un avantage, Leila n'a jamais subie de discrimination. 

Les rares fois ou elle aurait pu subir des discrimination c'est quand des blancs la prenne pour une sorte de mexicaine ou de migrante sud américaine, mais vue son anglais parfais, ses tenues pudiques et classes de haute facture,  ça n'arrive pratiquement jamais. Son père est un riche commercial et un ingénieur réputé qui est propriétaire de plusieurs immeubles, vote pour Donald Trump car à ses yeux, c'est un homme juste et bon qui favorise les affaires et les droits des propriétaires et qui en même temps soutient les valeurs traditionnelles chrétiennes et musulmane. Bref Leila est issue d'un milieu privilégié libéral et conservateur.

Leila a pourtant commis une erreur qui lui vaut les problèmes qu'elle rencontre aujourd'hui. Comme beaucoup de jeunes filles, elle est tombé amoureuse d'un bad boy, de Malik, un américain d'origine noire et converti à l'islam. Malgré le fait que sa famille soit plutôt hostile à ce type de relation, sa famille préfère largement voir Leila fréquenté un riche américain de la communauté arabe a accepté en attendant que leur fille rompe avec lui en comprenant qu'elle n'a rien à faire avec un type comme ça.

Malheureusement Leila a compris beaucoup trop tard qu'elle aurait du écouter sa famille.

Malik avait plusieurs projets assez funestes, il avait pour objectif d'attaquer un candidat pendant la campagne, la police a bien sur arrêter ce terroriste potentiel, mais des armes ont été retrouvé dans la voiture de Leila.

La jeune femme a été arrêtée pour conspiration, complicité de tentative de meurtres et de terrorisme, des choses très graves qui ne peuvent lui éviter d'aller en détention même pour une personne riche en Amérique.

La prison du comté comporte une aile pour les détenus suspectés de terrorisme, de crimes contre l'etat, de conspiration ou des crimes particulièrement odieux qui ont choqué l'opinion publique.

En prison Leila n'a droit à aucune faveur,  lors  du processus d'admission elle est obligée de retirer son hijab, et le reste de ses vêtements d'ailleurs et ses chaussures et bien sur ses chaussettes. Puis elle est soumise à une fouille corporels avec un examen très intrusif de l'anus et du vagin, elle a senti le doigt ganté et lubrifié de la gardienne lui pénétrer bien profond ses orifices avant d'être déclarer clean.

Pour augmenter l'humiliation, les juges américains autorisent des gardiens hommes à participer et à filmer les fouilles à nu des femmes, pour prévenir les abus et s'assurer que tout se passe bien.

Ensuite les gardiens l'ont prise en photo intégralement nue et certaines de ces images diffusées dans les médias.

La suite de la procédure veut que ses empreintes digitales  soit enregistrées. Elle doit se soumettre à quelques prélèvement ADN (salive, cheveux), et lui ont raser les poils du pubis. Cette dernière mesure est l’œuvre du sévère Juge Mc Glane, qui  a réussi à faire passer cette mesure sous prétexte de décence et d'hygiène. Bien que ce soit au fond qu'une mesure pour punir et humilier d'avantage les détenues.

Leila n'a pas obtenu d'uniforme même minimal ni de chaussures, car les juges ont estimé qu'elle est une détenue de haute valeur, susceptible de détenir des informations importantes, et que par sécurité elle doit rester nue le temps de l'enquête. Au Etats Unis les "garde à vue" en matière de terrorisme et d'atteinte à la stabilité de l'etat peuvent durer plusieurs mois et les suspects détenus dans les prison du comté.

 

Face à cette situation, le père de Leila a saisi l'un des meilleurs avocats, mais vue la gravité de la situation, c'est seulement trois semaines après l'incarcération de Leila qu'il a eu l'autorisation de la rencontrer.

L'avocat s'est rendu dans la salle dédiée aux rencontre avocat/détenus, après avoir patienter quelques minutes, Leila est entrée par la porte escortée par deux gardes en uniforme. Leila était intégralement nue et pieds nus, chose qui choqua l'avocat, et qui selon lui porte atteinte à sa dignité et sa liberté religieuse.

"J'ai trop honte que tu me vois comme ça, je suis toute nue, juste avant de te rencontrer un homme m'a imposer une fouille très profonde et m'a pincer les seins. Ma cellule n'est pas très loin d'ici, mais pour m'humilier ils m'ont obligée à marcher ten faisant le tours de tous les couloirs de la prison en incitant tout le monde à m'insulter et me traiter de putes et de terroriste à poil ! juste avant d'ouvrir la porte ce garde là m'a mis la main aux fesses et a tenter de faire rentrer ses doigts dans mon cul !"

Leila se met à pleurer, "ils m'insultent tout le temps, me donne des fessées, se moquent de moi" .

L'avocat qui s'attendait à ce genre de situation tente de rassurer Leila tente de la réconforter " Je suis désolé de tout ce qui arrive, ceux sont des choses qui m'échappent."

La jeune femme pleure encore "pardon j'ai trop honte d'être à poil comme ça devant toi je n'arrive pas à me concentrer ni à me retenir. "

"Ne t’inquiète pas tu n'es pas la première cliente que je rencontre nue, ceux sont les autorité pénitentiaire et les juges qui t'interdisent de porter des vêtements et des chaussures, ne les laisse pas t'avoir ils utilisent la nudité forcée comme moyen de pression psychologique pour te faire craquer. Je me souviens de notre dernière rencontre avec ton père l'été dernier; tu portais un joli hijab jaune et une belle tunique arabe brodée et un jean basket, et maintenant malgré toi tu es toute nue"

"Je t'en supplie fais quelques choses pour que je puisse me couvrir."

"J'ai fais la requête ce matin et les juges ont unanimement refusé, sauf rebondissement tu devra rester nue et pieds nus pendant encore plusieurs mois jusque au procès. Les juges ont refuser ma requête." 

"Concentre toi sur ceux qui pourrait prouver ton innocence et te faire libérer".

Lien :

Une femme devient nudiste après plusieurs mois en détention BDSM.



mardi 27 août 2024

Une détenue musulmane pieds nus et sans voile en uniforme orange de prisonnière.

Prisonnière musulmane en uniforme court et orange, pieds nus et sans hijab.
Prisonnière pieds nus en uniforme dans sa cellule de prison.

Déshabillée et dévoilée en prison.

Malika, 30 ans est une femme musulmane qui vient d'être incarcérée et mise en détention pour un mois dans l'attente de son procès suite  un différent avec ses voisins.

Dans ce comté les femmes musulmanes  portant le voile sont très minoritaire et rien n'est prévue en terme d’accommodement et d'uniforme pour respecter leurs libertés religieuses en détention.

Le Shérif est un homme strict et sévère, élu par ses citoyens pour faire respecter l'ordre et la justice.

Quand Malika est arrivée, elle a été soumise au même processus que les autres : Ses affaires, son argent, ses bijoux,  ses papiers, sa montre et ses vêtements religieux lui ont été confisqué lors de la fouille  à nu d'entré en prison, puis ses empreintes digitales ont été prise ainsi que des photographies d'identité sans son voile.

Le Shérif à une politique budgétaire minimaliste en matière d'uniforme, étant situé dans un Etat chaud du sud des Etats Unis, les détenues n"ont le droit que de porter une culotte blanche inconfortable et une chemise orange très courte de prisonnière.

Les prisonnières  sont toutes pieds nus, et n'ont pas le droit de porter de soutien gorge.

Le Shérif refuse toute modification de sa politique carcérale pour des raisons de sécurité et de neutralité religieuse.


Lien :

Laïcité : une étudiante voilée punie.

 

dimanche 25 août 2024

Nue en cellule de haute sécurité.

La nudité dans les prison de haute sécurité.
Prisonnière nue dans prison de haute sécurité.


Une prisonnière de guerre irakienne d'Abou Ghraib.

Dans la prison d'Abou Ghraib, les forces américaine détiennent les prisonniers de guerre les plus important (responsables, membres et proches de l'ancien régime, membre de la résistance, terroristes etc.). Et les interrogatoires renforcés sont en vigueur, et l'une des choses les plus spectaculaire est la nudité forcée.

La célèbre journaliste présentatrice  de la télévision nationale, Neyla A, y est retenue en confinement solitaire sous le statut de "prisonnière de sécurité". Elle est soumise à des conditions  de détention très difficiles et éprouvantes. Elle est maintenue enchainée, 23h sur 24 dans une petite cellule vide et sans confort avec juste un banc dur et des toilettes. Et aussi ce qui est frappant, c'est qu'elle est gardée sans vêtements.

Neyla est connue comme une femme riche, élégante, pudique (elle porte un foulard chic de musulmane), et elle est gardée nue, ses jolies chaussures de luxe qu'elle porte habituellement lui sont confisquées et elle doit marcher et vivre pieds nus de façon humble. Bien que les gardiens lui on enlever son hijab, dont le port est totalement interdit

La jeune femme est obligée de rester nue, y compris devant des hommes, les détenues musulmanes doivent être humiliée et dominée et donc priver de vêtements.

Elle est enchaînée. 

 Lien : 

Femme nue  BDSM.

mardi 2 janvier 2024

Des prisonnières gardées nues et enchainées en prison de haute sécurité

Nudité forcée dressage et discipline en prison
Nue et  enchainée en cellule de prison.


Femme toute nue et humiliée en détention.

Lorsque l'équipe d'observateur internationaux du CICR (Comité International de la Croix/Croissant Rouge) arrivant dans l'aile de la prison d'Abou Ghraib en Irak en mars 2004 pour visiter la prisonnière irakienne prénommée Zeina, et escorté par deux militaire américains en uniforme, un homme blanc et une femme noire, tous les deux ont l'air stricts et sévères.

La première chose qu'ils remarquent et qui les choquent, est que la prisonnière est totalement nue ! Et elle l'est depuis qu'elle est entre les mains des gardiens de cette prison. Elle a été amené ici  il y a trois semaine , et la première chose qu'ils ont fait c'est de la déshabiller.

Les deux gardes trouvent ça banal et normal d'avoir des prisonniers à poil, et que ça fait partie du processus standard que de fouiller les détenus sans aucun vêtements et de les garder nus pour les punir et mieux les contrôler.

Les rumeurs sont donc réelles, et les femmes ne sont pas épargnées pas ces traitements dégradants. Zeina pour ceux qui l'a connaisse, est une jeune femme très pudique, assez religieuse. Elle est une jeune femme arabe musulmane assez conservatrice, qui porte le voile islamique (hijab) et de longue robe traditionnelles par pudeur et respect des normes de sa religion.


C'est difficile d'imaginer l'humiliation qu'elle a du ressentir lorsqu'elle s'est retrouvée toute nue. Les gardes expliquent le plus naturellement du monde que ça n'a rien d'anormal et que certes c'est peut être un peu dégradant mais ce nest pas de la torture ni une forme de mauvais traitement.

"Oui on les humilie un peu, mais ça leur fait pas de mal, ça leur apprend l'humilité et puis la prison, c'est pour punir non ?" remarque le gardien.

"Et puis celle là ça lui a fait tout drôle se se retrouver à poil, comme la plupart des femmes qui arrivent ici, avec leurs accoutrements de la tête aux pieds, et bien elles doivent tout retirer avec nous !"



La nudité fait partie intégrante de la punition.
Nue, pieds nus et sans pudeur derrière les barreaux de sa cellule de prison.


Les gardes en effet ont pour consigne de mettre complètement nues les prisonnières et appliquent cette ordre sans le moindre état d'âme. Ils sont même pour la plupart très favorable à cette méthode de contrôle pour des raisons de sécurité mais pas seulement.

Tout est pensé pour humilier et détruire l'égo des femmes détenues, et leurs craintes et tabous culturels et religieux sont exploités aux maximum.  Les gardiens font tout pour pour les dresser et bafouer toute leur pudeur et dignité.

Zeina est gardée nue  et enchainée dans une cellule avec barreaux, ouvertes, dont le couloir est éclairé en permanence pour que les gardiens et les passants puissent la voir à tout moment, elle ne peut même pas faire même faire ses besoins sans que les spectateurs puissent la regarder ! Toute intimité lui est interdite.

Lorsque les gardes l'oblige à sortir de cellule, nue et pieds nus, escortée lentement de façon à ce que le plus de monde possible puisse voir Zeina à poil se balader les fesses et les seins à l'air. 

Les commentaires sont souvent moqueurs, obscènes et grossiers.


Zeina est aussi obligée de remercier régulièrement et publiquement  les américains de l'avoir libérée et apporter la civilisation la démocratie, et de lui interdire de porter des vêtements. Pour les gardiens c'est très important de voir les femmes faire leur auto critique et remettre en cause leur culture et religion.

"Merci aux glorieux civilisateurs américains, les représentant du monde libre, garant de l'ordre international de m'avoir dévoilée et dépouillée de mes vêtements archaïques, je ne mérite pas de porter des vêtements et des chaussures et je suis une détenue modèle, nue et pieds nus en signe de modestie et de respect."

"Merci d'avoir détruit mes vêtements, merci de me soumettre à des fouilles des cavités régulièrement pour ma propre sécurité et me rappeler ma place"

Zeina doit aussi écarter régulièrement ses fesses et montrer son anus pour des contrôle de sécurité.


Liens : 




samedi 28 octobre 2023

Nezha, prisonnière dans une prison américaine.

Les gardes obligent les prisonnières à se déshabiller
Femme dénudée en cellule de prison.

Zoom sur  une détenue la prison militaire américaine d'Abou Ghraib.


Lors de la seconde guerre du golfe en Irak, les Etats Unis ont pris le contrôle de la prison d'Abou Ghraib dans les environs de Baghdad et en ont fait un centre de détention et d'interrogatoire pour y détenir les "combattants illégaux" détenus pour diverses raisons : terrorisme, membre de la rebellion, personnes liées à l'ancien régime etc. 

Force est de constater que cette prison abrite des détenus de profil très différent, il y a parmi eux beaucoup de personnes n'ayant pas de réels rapport avec les fait évoqués plus haut, qui se sont retrouver incarcérer pour ds raisons parfis absurdes ou douteuses : dénonciation calomnieuse, femmes "otages" détenus pour faire pression sur les familles et inviter les hommes recherchés à se rendre, de simple opposants ou critiques de l'ordre américains ...

Plusieurs femmes y sont retenues, dont une jeune femme connue sous le nom de Nezha dont on ignore s'il s'agit d'un pseudonyme ou pas. Elle est gardée avec d'autres dans une aile de la prison spécifique dans le quartier d'isolement dans des conditions très strictes.

Les américains l'ont amener car il l'a soupçonne d'être proche d'un ancien cadre du régime et d'avoir été sa maitresse et la détenue pour faire pression sur lui. 

Le lieutenant chef de la garde se souvient d'elle. Il nous apprend  lors de son entretien devant la commission d'enquête du sénat que cette détenue fait environ 1.60m pour 45 à 50 kilos. Elle est incarcérée pour liens avec l'ancien régime.

L'admission comporte une fouille. Comme dans les prison américaines, ces inspections se font  "à nue". Les femmes comme Nezha  doivent aussi y passer. Il n'y a pas de traitement de faveur pour les femmes, ni aucune pitié. 

Les fouilles à nu sont pour les autorité américaines  un élément essentiel pour briser et soumettre les captives  dans ce pays du moyen orient ou la culture arabe et la religion musulmane enseigne la pudeur et la modestie. 

Comme les autres détenues, Nezha doit remettre tout ses vêtements, sous vêtements,  effets personnels et être minutieusement inspectée de partout en entrant dans le centre de détention. En arrivant en détention l'objectif des américains et de soumettre et montrer qui est le patron, les détenues sont dépouillées de tout tissus mais aussi de toute dignité.

La prisonnière doit retirer son voile islamique (hijab) sa longue robe arabe traditionnelle, car ici il faut oublier toute pudeur et toute identité. Les signes d'appartenance culturel et religieux sont détruit sous les regards horrifiés des prisonnières, mais ici tout est fait pour détruire l'ancienne personnalité de la détenue et en faire une nouvelle personne docile et soumise.

Les fouilles sont très intrusives et la prisonnière est obligée d'ouvrir ses fesses et de présenter son anus et son vagin, de soulever les seins, d'ouvrir la bouche, d'écarter ses doigts de pieds pour remuer les orteils.



Uniforme orange de prisonnière.
Femme en uniforme de prisonnière.

Après les fouilles, les femmes sont laissées nues et exposées pour le fun et pour permettre aux gardes et aux personnels de découvrir les nouvelles avec les "fesses à l'air". 

Ensuite c'est selon le profil et le degré de coopération, la plupart doivent rester nues, certaines ont des culottes blanches et les plus chanceuses ont le droit à un uniforme orange court et une culotte et paire de tong.

Dans cette prison tout est fait pour avilir et rabaisser le plus possible les détenues comme Nezha. Le but est de reconditionner  et de remodeler leur personnalités et pour cela les tabous culturels et religieux sont utilisés. Nezha est pudique, musulmane pratiquante, et on l'oblige a parader nue devant tout le monde sous les rires et les moqueries des américains hilare de dominer les femmes et fiers de leur interdire de porter des vêtements.

Aucune pudeur, aucune dignité, les seules récompenses sont des uniformes très court et des culottes.


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dimanche 15 octobre 2023

La nudité forcée fait partie du processus d’incarcération dans cette prison.

Les humiliations subies par les femmes en prison
Prisonnière parade nue et enchainée dans les couloirs de la prison.


Une prisonnière très humiliée par l’obligation d’être nue.


Zohra, 35 ans, une ancienne prisonnière d’Abou Ghraib , elle a été détenue 8 mois dans cette sinistre prison par les américains pour soupçons de liens avec l’ancien régime et financement de la résistance. C’est une femme irakienne respectable, bien éduquée qui est pharmacienne de profession et qui donne des cours à l’université de médecine. Elle est moderne mais reste tout de même pieuse et conservatrice comme la plupart des femmes orientales.

Elle reste encore choquée par ce qu’elle a subie en détention.

Après mon arrestation, les militaires m’ont transféré dans cette endroit la, la prison d’Abou Ghraib à côté de Baghdad, c’est un endroit où ils gardent toutes les personnes qu’ils suspectent d’avoir des liens avec la résistance.

Sur place, les américains ont mis en place un processus qu’ils appellent “le traitement” auquel aucune prisonnières ne peut se soustraire.

La première chose qu’ils font c’est de déshabiller les détenues. J’y ai pas échappée. Il faut enlever ses vêtements et leur remettre l’un après l’autre, ils les inspecte et les mettent dans une petite boîte. Bien sûr vous pouvez dire adieu à toute pudeur et dignité. Exit votre hijab, votre abaya, vos chaussures, vos boucles d’oreilles tout y passe même les chaussettes!

Le pire c’est quand ils vous prennent la culotte comme si c'était un trophée et vous laisse les fesses à l'air pour se moquer de vous alors que vous êtes complètement nue, les pieds nus sur le sol sale et froid.

J'ai eu l'interdiction de cacher mes seins et mon sexe avec me bras, les soldats doivent pouvoir lorgner sur les vagins et les nichons pour qu'ils puissent fair leurs remarques grossières sur les poils pubiens ou la forme des seins.

Pour vous mettre la honte le plus possible ils procèdent à des fouilles complètes des anatomies des prisonnières qui doivent écarter les cuisses et les fesses le plus possible pour qu'ils regardent à l'intérieur avec des lampes et y introduisent leurs doigts gantés imbibés de vaseline.

Après l'horrible inspection, si vous pensez qu'ils nous redonnent nos vêtements ou donne un uniforme orange de prisonnier, et bien vous rêvez, ils vous interdisent de porter le moindre vêtement !

Pire, avant de vous conduire en cellule, ils vous force a parader nue et enchainée devant tout le monde y compris des gens de votre quartier qui pourraient vous reconnaitre !


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vendredi 21 juillet 2023

Le traitement et les interrogatoires des prisonnières.

La procédure humiliante imposée aux femmes dans cette prison.
Une prisonnière nue et enchainée.


L'unité ou sont détenues les femmes prisonnières d'Abou Ghraib en Irak.


Les femmes arrêtées par les troupes d'occupation et qui considérées comme étant des détenues de haute valeur ou "De sécurité" dans la terminologie officielle américain sont en général transportées dans l'unité de la prison d'Abou Ghraib prés de Baghdad. Ces femmes peuvent être des scientifiques, des professeurs, des anciennes responsables du parti au pouvoir ou de l'ancien régime, des femmes suspectées de financer ou soutenir la rébellion, ou simplement les filles, épouses, cousines etc. d'un homme activement recherché par la coalition et elles servent de moyen de pression et  sont utilisées pour faire du chantage sur les rebelles et les inciter a se rendre.

Les méthodes  les plus répandues et utilisées par les américains en vue des interrogatoires renforcés des détenues (Enhanced Interrogation) pour extraire des informations sont énumérées ci dessous : 

- Nudité : Les femmes sont traitées comme les hommes et sont interrogées et gardées entièrement nues.  Les responsables des interrogatoire estiment qu'il faut utiliser les tabous culturels et religieux ne pas faire d'exception pour les femmes. La grande majorité des prisonnières sont  musulmanes conservatrice avec des habitudes traditionaliste et portent le voile (hijab) et des robes larges et amples en signe de respect pour leur culture qui demande aux femmes d'être pudiques et modestes. La plupart sont très choquées lorsqu'elles doivent se mettent nue et ont l'interdiction de porter des vêtements.

- Confinement et pression mentale : Elles sont souvent entravée et retenues dans de petites cellules vides et  sombres, sans  le moindre confort, sans literie, et bien sur sans vêtements. Il est à noter que pour inviter les prisonnières à coopérer pleinement, , les interrogateurs proposent d'accorder du confort aux prisonnières : comme être autorisée a s'habiller, dormir sur matelas,  avoir meilleur nourriture, accéder à la lecture, obtenir le droit de sortir plus souvent, de cellule, faire diverses activités, ne plus avoir de chaines ou de menottes etc., En échange d'une coopération , c'est a dire avant tout donner des informations et obéir docilement. Ce chantage est au coeur du processus de coercition physique et psychologique.

- Fouille : De plus les fouilles et inspections corporels sont très fréquentes, et les hommes peuvent fouiller les femmes au mépris des conventions de Genève. Les femmes sont soumises a des fouilles vaginale et rectale très strictes et très souvent selon le degré de vigilance décidé par la direction. L'une des prisonnière s'est plainte au CICR de subir plus de 6 inspections de ses  cavités intimes par jours par un gardien homme, qui lui insère ses doigts dans les fesses à chaque fois.

- Humiliations : Obligation de marcher nue en dehors des cellules, pour se rendre aux interrogatoires, aux douches, aux visites médicales, dans la cours de promenade. Certaines même disent être forcées de travailler nue. Ces exhibitions se déroulent devant les gardiens mais aussi devant les autres prisonniers, avec par exemple le témoignage d'une ancienne détenue qui nous informe que les femmes doivent à tours de rôle distribuer les repas dans le secteur des hommes, totalement nues et pieds nus.

Debout et nue en attente de l'interrogatoire.
Photo d'une prisonnière nue devant un garde.



- Prise de photos et de vidéos : Les prisonnières sont photographiées nues dans des positions obscènes avec souvent des graffitis insultants et a connotation sexuel sur le corps. Les gardiens menacent régulièrement les femmes d'envoyer les images compromettantes à leurs familles, ce chantage met une grande pression sur les prisonnières. Les photographies sont aussi diffusés et échanger régulièrement entre gardiens, elles auraient une valeur marchande. 

Chantage: les prisonnières prisent nues en photo dans les postures dégradantes et menace de diffusion des photos à leurs familles.
Une prisonnière photographiées nue dans une position obscène.



Stress position : Elles sont régulièrement obligées de rester dans des positions difficile, pendant plusieurs heures. Comme par exemple rester les mains sur la tête, ou accroupi sur de longue période.


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vendredi 14 juillet 2023

Une femme nue et agitée dans sa cellule de prison.

Nudité forcée en confinement solitaire.
Femme nue et entravée dans sa cellule de confinement solitaire.

Scandale en prison : Incident nudité forcée n°20041144


Rapport d'enquête  n°20041144.


Objet de l'enquête : Une photo a été diffusé montrant une femme prisonnière nue et menotté aux poignets et aux chevilles et agitée dans un cellule d'isolement du complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib.Date : 14 novembre 2003.


Localisation : Prison d'Abou Ghraib, Baghdad, Iraq, section d'isolement.


Nom de la prisonnière impliquée : Rania B.


numéro d'écrou : RB04119

Raison de l'incarcération : Rania B est une scientifique proche de l'ancien régime, et a ce titre suspecte de détenir des informations stratégiques.


Statut : Prisonnière de sécurité de "Haute Valeur".


Régime de détention : En confinement solitaire.


Profession : Scientifique.


Age : 32 ans.


Taille : 167 cm


Poids 55 kilos.


Nationalité : Irakienne.


Religion : musulmane sunnite.


Groupe sanguin : B Positif.


Couleur cheveux : Noirs.


Couleur des yeux : Noirs.


Note : Différents témoins ont affirmé devant la court de justice que la prisonnière numéro d'écrou RB04119 était agitée et furieuse lors de son placement en confinement solitaire. La détenue a très mal vécue l'obligation de se déshabiller. La procédure pour les détenus de haute sécurité étant très stricte et ne souffrant d'aucune exceptions.

Lors de son arrivée, elle a refuser d'enlever ses vêtements pour la fouille de sécurité. Les surveillants ont du lui donner un coup de taser et menacer de lui arracher  et découper ses vêtements de force. La jeune femme a invoquer sa religion et sa culture pour refuser la mise à nue. Les gardes ont refuser sa demande et l'ont faite enlever tous ses vêtements.


La prisonnière a donner un coup de pieds à un garde lors de la fouille de son anus, l'un des gardiens avec une lampe et un gant était en train d'inspecter son rectum et d'y introduire un doigt a été frappé au visage. La détenue a donc été inspectée en profondeur par l'anus et le vagin et "mise au trou", en confinement solitaire pour un mois. La détenue a plusieurs fois crier et hurler pour réclamer des vêtements.

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Nue en confinement solitaire.

dimanche 9 juillet 2023

Rapport : Incident femme nue en cellule.

Nudité forcée et confinement solitaire en prison.
Photo d'une femme nue et menottée dans sa cellule de prison en confinement solitaire.

 Rapport d'incident impliquant une détenue.


Rapport n°20041143 

Date : 9 novembre 2003

Localisation, Iraq, prison d'Abou Ghraib, section d'isolement.

Objet de l'enquête : Une photo présentant une femme nue et menottée dans une petite cellule a été retrouvé dans l'appareil photo d'un gardiens incriminé dans le scandale.

Nom de la prisonnière : Hinda F.

Profession : Enseignante en lycée.

Age : 27 ans.

Taille : 1,63 m.

Poids 57 kilos.


Raison de l'incarcération  : Elle est suspectée de liens avec l'ancien régime et de soutien à la rebellion du fait de ses liens familiaux. Son cousin est recherché et elle est susceptible d'avoir des informations pouvant mener à sa capture.

Traitement :  Madame F a volontairement suivis les instructions (prise d'empreintes etc.) et s'est montrée coopérative  jusque a ce qu'on lui demande de mettre ses vêtements dans une boite en carton. Deux agents masculins l'ont obligé a retirer tous ses vêtements sous la menace de la force.

Hinda F a fait preuve d'indiscipline à plusieurs reprises, en particulier lors des déshabillages. La détenue a refuser d'enlever ses vêtements lors de la fouille corporelle, et d'être nue en cellule comme le veut le traitement standard de la prison.

Propriété : Sac à main bleu, une montre, un collier en argent, des boucles d'oreilles, une chaine de cheville, carte de crédit, passeport, quelques pièces et billets, Robe noire ample et longue, voile bleu (hijab), chaussure de sport, chaussettes blanche, culotte et soutien gorge blanc dentelle assortie.

Notes : Prisonnière très hostile à l'idée d'être nue en public, pudique, fière, soumise à un régime de nudité stricte, avec des fouilles régulière (trois fois minimum par jours) très intrusives avec touché rectal et vaginal, inspection de la bouche, des oreilles du nombril et entre les doigts de pieds. Les fouilles sont essentielles pour maintenir l'ordre et la sécurité. Elles sont jugées aussi très efficace pour apprendre l'humilité et la soumission des prisonnières.

La détenue doit porter des entraves en permanence.


Très facile à humilier, déteste être promener nue dans les couloirs, déteste prendre sa douche en commun avec les autres prisonnières sous les regard des gardiens. Elle est resté 9 mois nue avant d'être libérée.


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mercredi 5 juillet 2023

Des pilleuses et émeutières humiliées nues par la police

Répression policière :Toute nue en garde à vue
Sévices et humiliations en garde à vue après les émeutes.

 

Répression et sévices en France après les violentes émeutes contre la police.

Plusieurs filles qui on participer aux émeutes et aux pillages dans cette ville de province en France ont été arrêtées et placées en garde à vue dans le commissariat centrale de police de la ville.


Les jeunes femmes se plaignent d'avoir été maltraitées et humiliées par les flics. Mélanie et Sana, 22 ans et 19 ans ont été prise en flagrant délit en train de piller un magasin de cosmétique. 


Les deux jeunes femmes affirment avoir été durement punies, elles accusent les policiers de les avoir déshabiller et de les avoir laisser  à poil pendant toute la durée de leurs garde à vue, soit trois jours. Le pire c'est qu'elles ont été gardé dans des cellules ouvertes et à la vue de tous.


Le ministère de l'intérieur a régit en reconnaissant pratiquer des fouilles à nu systématiquement pour s'assurer qu'aucune filles ne cache sur elles d'objets dangereux comme le règlement de la GAV le prévoit.


Seulement le commissaire aurait pris différentes initiatives, d'une part, comme la police était très occupée, il n'y avait plus assez de policiers pour surveiller les filles, il a donc fait appel a des volontaires, des citoyens qui soutiennent l'ordre et la morale, des républicains partisans des gens de bien.


Ces volontaires républicains, se sont vue confier par la police des missions de surveillances, et les filles ont donc étaient exposées nues, avec des moqueries, insultes, crachats. Gérard, 58 ans, 1,74m pour 95 kilos, un retraités enrobé,  membre du parti Renaissance aurait plusieurs fois obliger Mélanie a écarter les fesses et soulever ses seins, il lui aurait même fait une fouille rectale. Lorsque un journaliste a demander à Mélanie si c'était vrai, elle est devenue toute rouge et a refuser de répondre.


Géraldine, 39 ans, mère au foyer, électrice de Macron aurait pris Sana par les oreilles et lui aurait fait faire le tours du commissariat toute nue avec un bonnet sur la tête. "Nous devons punir les délinquants par des châtiments corporels et des humiliations publiques."


Les filles ont aussi été fessées devant tout le monde.


Liens : 


Vidéo d'une fouille corporelle nue.


Polémique en GAV.


jeudi 29 juin 2023

Punir et humilier une prisonnière jugée arrogante.

 
Nudité forcée en prison
Humiliation pour une femme prisonnière exposée à poil.


Une femme apprend l’humilité en prison.


Cet incident se déroule en mars 2004 pendant la guerre en Irak dans la tristement célèbre prison d’Abou Ghraib connue pour les abus et les tortures pratiquées par les gardes américains sur les prisonniers irakiens.


Une femme irakienne de 29 ans, Léna, une juriste  très hostile aux États Unis ayant protesté et dénoncé l’invasion américaine a été arrêtée sur décision de plusieurs personnes responsables de l’armée et de l’administration intérimaire américaine qui gère provisoirement le pays  qui estiment qu’il faille la faire taire un certain temps et lui rabatte son caquais. 

La décision prise consiste a utilisé la loi dite du patriotAct qui permet aux États Unis d’arrêter toutes personnes susceptibles de menacer le sécurité nationale pour une durée indéterminée en envoyant la jeune femme dans une prison spéciale et secrètes sans appliquer les conventions de Genève.


Léna est rapidement devenu la bête noire des américains par ses actions de défense des droits civiques et politiques et sa dénonciation du pillage du pays par les grandes entreprises américaine suite à la guerre en particulier le trafic d'couvre d'art et d'objets anciens et la corruption pour obtenir des contrats pétroliers à prix avantageux. Cet activisme a irriter plusieurs personnes importantes bien décidées à la faire taire et lui faire payer. Monter des accusations bidon de soutient à la résistance  est très simple et notre pauvre militante s'est vite retrouvée prise dans l'enfer des prisons militaires US ...

La jeune femme a été placée sur la liste des personne recherchée par la coalition internationale comme représentant une menace pour la sécurité nationale et arrêtée lors d'un contrôle  à un des nombreux check point de la capitale, Baghdad.

Léna a ensuite été envoyée a Abou Ghraib pour y être "traitée", c'est à dire dresser et humilier par des gardes pervers et sadiques.

C'est une jeune femme fière, éduquée, ayant séjourné plusieurs fois aux Etats Unis pour y étudier l'économie et le droit, elle a des amis dans ce pays et parle parfaitement l'anglais. C'est aussi une femme de bonne famille et de culture assez conservatrice, éduquée dans le respect des tradition musulmanes et arabes qui demandent aux femmes d'être pudiques et réservée tout en étant assez ouverte sur le monde.

La première chose que font les gardes c'est d'obliger la détenue à se mettre nue, de retirer tout ses vêtements devant des femmes et des hommes sans aucune pudeur ni intimité. Il faut mettre à poil cette salope  hurle l'un des militaires. Ça l'a rendra moins arrogante estime une gardienne en rigolant en voyant  l'embarras et la honte que ressent la prisonnière qui tente de contenir une forte envie de pleurer.

Oui les rumeurs qu'elle entendait sur les humiliations subies par les prisonniers n'étaient pas que des ragots et sont bien réelles. Et oui elle allait y passer, elle aussi, difficile d'imaginer le sentiment d'avilissement et de honte qu'une pieuse femme peut ressentir face à la nudité totale obligatoire.

Si cette jeune femme est incarcérée dans ce sinistre endroit ce n'est pas sans raisons,  bien sur  que que les gardes obligent les femmes comme elle à se foutre à poil sans aucune pitié ni respect pour leur statut, du point de vue des gardes américains la jeune prisonnière représente une menace et est une ennemie des Etats Unis, et par conséquent elle doit être durement punie et humiliée et privée de tout droit !



Fière et digne dans son élégante tenue traditionnelle musulmane (robe large arabe abaya, foulard belle chemise etc. ) elle doit retirer ses vêtements pièces par pièces, tout y passe, y compris la culotte, les chaussettes, les surveillants se moquent d'elle car elle est toute nue devant tout le monde et qu'elle fait moins l'arrogante comme ça.


L'une des gardiennes vicieuses dit en souriant "Et Si i nous la faisions faire le tours de la prison  à poil et l'exhibions devant tout le monde, beaucoup de gens aimeraient voir ce que ça donne une femme voilée toute nue ?"

La prisonnière a du faire une longue marche en étant totalement exposée, le pire c'est que personne n'est étonné ni surpris de voir une prisonnière irakienne nue en train de parader  et subir des insultes et moqueries. Léna connaissait les USA ou elle avait été plusieurs fois en voyage ou elle avait quelques amis et ne comprenait pas pourquoi elle était traité pire qu'une bête.
 
Personne ne manifeste la moindre compassion  ni le moindre respect pour elle. La plupart des prisonniers hommes et femmes sont sans vêtements.

Les gardiens font durer l'exhibition en laissant les nouvelles à poil pendant très longtemps dans les couloirs pour que tout le monde puisse voir la "marchandise". 

Se retrouver les fesses à l'air, les seins à l'air, le minou visible est le lot commun des femmes qui passent dans cette terrible prison ou les humiliations sexuelles, les mauvais traitements et la déshumanisation sont systématique.


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mardi 27 juin 2023

Le traitement dégradant imposé aux femmes dans la prison.

 

Nudité forcée et honte pour les femmes.
Prisonnière nue attachée aux barreaux de sa cellule.

Des femmes humiliées nues et maltraitées par les gardiens de la prison.


Lors de la seconde guerre du golfe de 2003 à 2011 ou les Etats Unis ont occupé l'Irak, les responsables militaires américains ont autorisé la torture et les mauvais traitements systématiques dans les centre de détention sous leur autorité pour tenter d'obtenir des informations stratégiques.

Toute les personnes arrêtées pour des infractions présumées à la sécurité nationale US p et susceptibles de représenter un intérêt en terme de renseignement sont systématiquement l'objet de mauvais traitements allant d'insultes à des contraintes physiques et psychologiques importantes pouvant être assimilable à de la torture.

Les officiers de la police militaire ont mis au point tout un processus visant à rendre les prisonniers coopératifs et dociles en vue des interrogatoires. Ces procédures implique des techniques de mauvais traitements basées sur les traitements inhumains et dégradants et des humiliations souvent à caractère sexuelles et des punitions sévères afin d'obtenir des aveux.


Dans la prison d'Abou Ghraib, dans un premier temps et ce qui est le plus frappant et spectaculaire c'est que les détenus sont dans 90% des cas gardés totalement nus et sans aucun confort dans leurs cellules de confinement solitaire,  les rares à porter un uniformes sont ceux qui se sont montré coopératifs et ont donner des informations aux interrogateurs.


Les quelques femmes prisonnières n'échappent pas à cette infâme procédure. Lors de l'arrivée d'une prisonnière , les gardiens ont pour consigne de la soumettre à une pression maximale. La plupart sont très conservatrice et pudique de par leurs valeurs culturelles et leurs croyances religieuses et portent des tenues traditionnelles couvrants entièrement le corps de la tête aux pieds.


Les américains utilisent les tabous culturels et religieux comme des moyens de coercition psychologiques, certes déshabiller des prisonniers dans le cadre de fouille de sécurité dans certaines situations peut être acceptable si c'est justifier et réaliser dans un contexte respectant la pudeur et la dignité des personnes privées de liberté. Mais les gardiens ont pour consigne de mettre nus les détenus de la façon la plus humiliante qu'il soit, en public, sans rien pour cacher pas même une serviette ou un paravent.


Les femmes irakiennes qui arrivent voilées de la têtes aux pieds n'échappent pas à ce traitement, les gardes commencent par les humilier à fond en les forçant à enlever leurs vêtements en public, devant des hommes sous des menaces de coups, d'insultes, rires,  moqueries et commentaire dégradants sur leurs corps, la taille et la formes de leurs  seins, leurs sexes lisses ou poilus etc.


La technique de la nudité forcée fait partie du processus de traitement des détenus est appliquée de façon systématique et avec zèle par les gardiens sur ordre de leurs supérieurs, les prisonnières se retrouvent donc complètement nues, sans rien pour couvrir leurs parties les plus intimes. Cette politique vise à forcer les suspects à collaborer et a divulguer des informations en échange de produits hygiéniques, de literie, de la possibilité de s'habiller, la possibilité  de manger une nourriture plus variée etc.


Porter des vêtements n'est pas un droit mais une faveur accordée aux plus coopératifs. Ceci dit les uniformes ne sont délivré qu’aux hommes et rien n’est prévue pour les femmes. Ce qui fait que les américains préfèrent les laisser sans vêtements meme en  cas de coopération…


Un autre traitement en plus de la nudité imposée dénoncée est le fait que les prisonnières sont obligées de marcher et parader nue et pieds nus dans les couloirs et les locaux du centre de détention pour aller dans la salle des douches, aux interrogatoires ou pour les promenades.


Honte et dressage des prisonnières misent à poil.
Humiliation sexuelle des prisonnières exhibées à poil.

Liens :


Camp de prison BDSM.


Le dressage.