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vendredi 20 septembre 2024

Histoire BDSM : L'humiliation d'une prisonnière pudique en prison.

Nudité forcée et conditionnement des prisonnières musulmanes.
Nue et pieds nus dans une position stressante et dégradante.

Humilier et dégrader pour faire parler.

 

Les femmes irakiennes qui sont faite prisonnières par nos forces armées et qui arrivent dans la prison militaires d'Abou Ghraib sont des cibles importantes : elles peuvent détenir des informations stratégiques et vitales ou être impliquées dans des actes de rebellions ou de terrorisme. Il est important que les gardes n'aient aucune pitié ni aucun états d'âmes à leur imposer le traitement qu'elles méritent.

Les gardes doivent être sans aucun scrupules et appliquer les consignes des responsables de la prison et des interrogatoires, c'est crucial pour la réussite de la mission qui est de collecter des informations.

Ces femmes sont souvent assez importantes dans leurs société d'origines : professeur, scientifique, pharmacienne, journaliste, femmes d'affaires ou femmes de riche famille, bref la plupart sont issue de la bourgeoisie de l'ancien régime.

Elles sont aussi pour la plupart musulmanes sunnites avec quelques fois des chiites, et ont des valeurs très conservatrices et suivent  une religion qui leur enseigne la pudeur et la modestie depuis leur petites enfance. Elles n'ont jamais ne serait ce que porter un maillot de bain en public à la piscine ou à la plage, ni porter de mini jupe débardeur par exemple. Elles portent des voiles (hijab) pour couvrir leurs cheveux et cou, et de longues robes arabe traditionnel appelé "Abaya", certaines sont même quasiment couverte de la tête aux pieds ou d'autre portent des grand ensemble noir appelé tchador.

Tout ces attirails de vêtements ont une valeur morale et religieuse aux yeux de ces femmes, ceux sont des marqueurs identitaires. Alors nos responsables ont décider d'utiliser les tabous culturelles et religieux des détenus contre eux, nous devons exploiter leurs faiblesses.

Par exemple cette professeur de lycée que vous pouvez voir sur la photo,  Houda D, c'est la cousine d'un ancien ministre et une femme très pudique, pieuse et respectée qui à former beaucoup d'élèves à la langue anglaise, qui a beaucoup voyager dans le monde arabe et en Europe, elle parle arabe et l'anglais, mais se débrouille aussi en allemand et en français.

C'est très humiliant pour elle quand elle a mis les pieds dans la prison d'Abou Ghraib. Les gardes l'ont dépouiller de ses papiers d'identité, de sa montre, de ses bijoux,  de son argent, de ses effets personnels, de ses boucles d'oreilles avant obliger à se déshabiller.

Comme 95% des femmes incarcérées ici, elle a coopérer,  il n'y a pas besoin d'utiliser la force car les femmes comprennent qu'elles n'ont pas le choix, les gardes sont nombreux et trop costauds et n'hésiteront pas à les frapper si nécessaire.

Le déshabillage doit être public et avoir lieu devant des hommes, car les femmes musulmanes ont le droit de se dévoiler devant d'autre femmes dans leur vie privée, d'aller voir une gynécologue etc. Alors il faut les humilier en présence d'homme. Certains gardes préfèrent obliger les femmes à d'abord enlever leurs voiles, d'autre laissent les femmes enlever un à un leurs vêtements, pour ça nous recommandons aux gardes de suivre leur feeling.

Les gardes ont fait enlever le voile d'Houda en premier, l'une des gardiennes est très hostiles au hijab qu'elle voit comme un signe d'arriération et de domination des femmes. Ensuite il faut qu'elle enlève tout, c'est bien de rire, d'insulter et se moquer d'une prisonnière dans cette situation pour accroître son malaise et son embarras. Des hurlements comme "à poil" "montre ton cul" sont toujours sympa pour l'ambiance.

Obligez là à regarder les gardes dans les yeux quand elles enlèvent leurs vêtements et qu'elles se font traiter de putes.

Une fois déshabillée, faite quand même attention à ne pas oublier de confisquer les chaussettes ou les tongs (flip flop) car même si ça n'a pas été le cas pour Houda à qui les gardes ont découvrir ses pieds, par le passé certaines prisonnières ont pu garder leurs chaussettes et ce n'est pas permis.

Houda, une fois nue et pieds nus a été pris d'une crise de panique, toute rouge et s'est mise à pleurer.

Elle doit suivre les ordres et tourner sur elle même lentement pour que les gardes puissent voir ses seins, ses fesses, sa chatte à l'air. Elle doit prendre des poses obscènes et dégradantes; ouvrir ses fesses et sa chatte, lever les seins, remuer ses orteils. Les gardes l'a traite de singe et de vaches pendant l'opération. "Elle mange trop" "sa chatte pue" voilà le genre de commentaire à faire dans ce type de situation.

La fouille des cavités est très importante, il faut toujours que les gardes insèrent leurs doigts dans l'anus et la chatte des captives, pour la sécurité bien sur, mais aussi pour marquer la domination et le contrôle.

Les femmes doivent avoir le sexe lisse donc le pubis rasé, les touffes de poils sont interdites.

Les photographies sont très importantes, tant pour remplir le dossier, que pour mieux les humilier en affichant les images des prisonnières nues un peu partout dans la prison avec leurs noms, age, date de naissance, lieu de résidence pour les humilier devant leur peuple.

Faite la ensuite se promener nue pour que le staff puisse découvrir la viande fraiche. Dites lui qu'elle n'est qu'une pute qui s'exhibe à poil sans voile.

C'est le processus de base qu'il faut pour dépouiller la prisonnière de tout ses droits, de sa liberté, et surtout de sa dignité.


Lien :

Une détenue promenée à poil dans les couloirs.

lundi 6 décembre 2021

Dégrader, briser l'égo, humilier, dresser, maltraiter les prisonnières au quotidien

 

Travaux forcés pour une femme prisonnière nue et humiliée.
Une prisonnière nue et travaux forcés.

Humiliations, pressions physiques et psychologiques sur les prisonnières de guerre.


Durant la seconde guerre du golfe (2003/2011) les Etats Unis d'Amérique ont envahi l'Irak suite aux attaques du 11 septembre 2001et ont pris le contrôle de la prison d'Abou Ghraib près de Baghdad pour en faire un centre de détention regroupant des prisonniers de haute importances dit de "sécurité" ou les conventions de Genève ne sont pas appliquées et ou l'armée et la police militaire ont carte blanche pour interroger les suspects de façon musclés et d'utiliser de méthodes assimilables à de la torture.


Les personnes arrêtées par la coalition internationale et soupçonnée de liens avec l'ancien régime, de soutenir la rébellion , de liens avec le terrorisme international ou de détenir des informations stratégiques sont très souvent transférées dans cette prison pour subir des interrogatoires renforcés.


Yousra L,  une femme de 31 ans qui travaille dans l'industrie pharmaceutique a passé 4 mois dans le complexe pénitentiaire. C'est une scientifique et une ancienne apparatchik du régime déchu, une femme très bien placée socialement, éduquée. Les gardes américains qui se sont occupés d'elle pendant sa période de captivité l'ont traiter selon les procédures standard de la prison et avaient carte blanche pour dresser, rabaisser et humilier tout les détenus en préparation des interrogatoires.


Susan Sanchez, une ancienne militaire ayant servie dans la prison comme surveillante des femmes prisonnières se souvient tout d'abord avoir ressenti un certain choc en arrivant et en constatant que :

 "La majorité des personnes privées de liberté sont gardées nues. Il était difficile d'avoir une explication claire et officielle. Cette situation parait normal pour les gardes plus anciens, c'est pour certains une procédure que le renseignement militaire leur a dit de mettre en place, un ordre a simplement appliqué sans poser de question. 

Un collègue m'a dit aussi que par raison de sécurité il est plus facile de contrôler les prisonniers lorsqu'ils sont nus car certains cachent des objets illicites si on les autorise à porter des vêtements. Quand je lui demande si ce n'est pas dégradant, il m'a répondu que ça l'est peut être mais qu'ici c'est une zone de guerre et que nous sommes dans un endroit dangereux et que la sécurité du personnel passe avant tout autre considération."

D'autre témoins sont tout aussi claires dans cette politique de nudité générale et totale imposée aux détenus, un ancien militaire sous couver d'anonymat raconte que "Nous ne faisons qu'appliquer les ordres, déshabiller les prisonniers pour les fouiller et les garder sans vêtements faisait partie de la procédure standard. Traiter les captifs comme des chiens et avec mépris et cruauté était aussi une consigne que venait souvent répéter les gens du renseignement."


Susan Sanchez reprend en faisant référence a la prise en charge de la femme prisonnière Yousra L, "Lors de ma prise de poste, je me suis occupé des femmes retenues, il n'y en avait pas beaucoup, l'une d'entre elles , Yousra, était une prisonnière de haute valeur car  suspectée d'être une cadre de l'ancien régime et donc d'avoir des informations importantes en matière de renseignement. Lorsqu'elle est arrivée sur le site, elle était habillée de noir et presque intégralement voilée, c'est une femme moderne et ouverte mais qui respecte les normes sociales de son environnement et les traditions. Les gardes l'ont obliger a se déshabiller complètement pour la fouille (strip search) obligatoire.


Comme les autres détenus, elle a très mal pris l'opération de déshabillage, être obligée de s'exposer nue lorsqu'on est une personne respectable et bien élevée est très difficile et c'est pour ça que pour ramollir et discipliner les prisonniers, ordre à été donner d'imposer la totale nudité.


Yousra est très humiliée d'être mise toute nue en public et d'être priver de toute pudeur, elle est sans aucune défense et les gardes aiment faire des commentaires salaces et vicieux sur ses gros seins, ses fesses ou sa chatte qui a été rasée lors de l'admission. En effet, la des responsables de l'aile ou son garder les femmes estime que les Etats Unis sont là pour apporter le progrès et la civilisation au Moyen Orient et que tondre le vagin des prisonnières fait partir de cette mission civilisatrice."


Une autre ancienne responsable  de l'aile ou les femmes sont gardées, Helen Chapard  confirme que ce type de traitement déshumanisant et dégradants sont monnaie courante dans la prison.

"Rabaisser, dégrader, humilier, ici tout est fait pour briser l'égo des femmes, qu'on garde et exposent totalement nue en permanence, à qui on oblige d'écarter l'anus et le vagin devant des gardes masculins pour accroitre encore plus le sentiment de honte et de vulnérabilité ressentie, Yousra était tout le temps à poil et les gardes l'ont prise en photo ainsi en lui disant que les images seraient diffuser à sa famille et dans toute la prison pour en faire un exemple. Ce type de chantage et de menace est aussi une pratique courante pratiqué dans ces locaux. 

La cheffe de la section américaine (elle même d'origine arabe) est très claire : nudité totale pour les femmes, obligation d'être pieds nus, tonte forcée des pubis. Si dans les prison américaine les femmes musulmanes peuvent s'habiller et porter le voile, pas question ici car l'objectif est d'imposer des humiliations et vexations à caractère culturelles et religieux aux détenus. La nudité doit faire partie de la punition.


discipline de vie  stricte, Yousra a du faire des corvée et travailler nue. Toute tentative de pudeur est punie, cacher ses seins ou ses fesses devant un garde est une infraction, Yousra a été punie plusieurs fois ( fessée, falaka, torture des seins) par la responsable sadique.


Pour les torturer, les gardes imposent des exercices sportifs jusque à l'épuisement".



Fin.


Modèle sur la photo Trina Michaels.


Liens : 


Histoire BDSM de prisonnières.


Ridiculiser les détenues.


Nudité forcée en prison.