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mercredi 10 septembre 2025

Une détenue en confinement solitaire.

La prison ou les femmes sont gardées nues.
Toute nue et sans pudeur lors de l'interrogatoire.

Une respectable prisonnière découvre la nudité forcée.

Sabrina a été profondément traumatisée par son séjour de trois mois en confinement solitaire dans la prison d'Abou Ghraib. Ce lieu infernal, où les forces américaines imposaient une domination absolue sur les détenues irakiennes, l'avait brisée psychologiquement, la forçant à une soumission totale à travers des rituels d'humiliation constants.

Comme pour les autres femmes irakiennes détenues par les forces américaines en isolement dans le quartier spécial du complexe pénitentiaire, les fouilles qui se déroulent totalement nues sont très fréquentes. Avant et après chaque sortie, chaque visite, les gardes estiment que les femmes doivent être vraiment punies. Ils savourent ces inspections dégradantes, forçant les détenues à ouvrir leurs chattes et leurs anus devant les gardes hommes, sous des regards lubriques et moqueurs. "Écarte plus grand, salope, qu'on voie si tu caches quelque chose dans tes trous", ricanaient-ils souvent, transformant chaque fouille intime en un spectacle d'humiliation pure. Sabrina sentait son esprit se fissurer à chaque fois, son corps exposé comme un objet, sa dignité respectable piétinée sous le poids de cette dégradation féminine impitoyable.

Comme les autres, Sabrina doit quitter ses vêtements dès son arrivée : abaya, hijab, robe, sous-vêtements, chaussures, chaussettes et tous ses effets personnels ont été confisqués sans pitié. Pour montrer leur pouvoir et leur domination totale, les détenues musulmanes sont contraintes à une nudité forcée permanente devant les gardiens. Pas de voile pour cacher leur honte, pas de tissu pour préserver leur modestie – juste une vulnérabilité crue, exposée à chaque instant. Sabrina, autrefois une femme fière et respectable, se sentait régresser à un état de soumission animale, son corps nu tremblant sous les regards insistants, son esprit hurlant en silence contre cette perte de contrôle absolue.

Comme les autres, elle fait moins la fière à devoir répondre aux questions des militaires en étant à poil et exposée. Les interrogateurs, avec un sadisme calculé, l'obligent d'abord à se présenter devant eux toute nue, les mains sur la tête, les jambes écartées. "Répète après moi : je suis une prisonnière nue, soumise et dégradée", ordonnaient-ils, forçant Sabrina à articuler ces mots humiliants d'une voix brisée, tandis que des rires étouffés résonnaient dans la pièce froide. Chaque interrogation devenait une séance de soumission psychologique, où ses réponses haletantes étaient entrecoupées de larmes de honte, son intimité offerte comme un trophée de guerre. La nudité forcée n'était pas seulement physique ; elle rongeait son âme, la transformant en une ombre de femme, éternellement marquée par cette humiliation en prison.

Au fil des jours, Sabrina apprenait à anticiper les ordres, à baisser les yeux devant les gardes, à accepter sa dégradation comme une seconde peau. Mais le traumatisme persistait, un feu intérieur qui consumait sa résistance, la laissant à jamais prisonnière de ces souvenirs de domination militaire et de nudité imposée.

 

Lien : 

Confinement Solitaire BDSM. 

dimanche 10 novembre 2024

Déshabiller les femmes en prison.

 

Toute nue devant les gardiens.
Prisonnière nue et pieds nus.

L'humiliation et la nudité imposées aux prisonnières.

 Prison d'Abou Ghraib, Irak,  mai 2004.

Rania, 34 ans une ancienne magistrate et proche d'un ex ministre recherché par la coalition internationale menée par les USA en Irak est prisonnière depuis quelques jours, et les autorités militaires estiment qu'elle est un "gros poisson", un personne susceptible de détenir des informations stratégiques et de tenir un rôle dans la rébellion. A ce titre elle est considérée comme une détenue de haute valeur et incarcérée dans le centre de détention de haute sécurité d'Abou Ghraib ou sont emprisonnés les terroristes et membres de l'ancien gouvernement.

Le régime carcéral strict comporte des traitements très humiliant et dégradant très difficile à supporter, en particulier pour les femmes arabes et musulmanes comme Rania. La politique pénitentiaire vise a humilier, dissuader, soumettre et rendre  totalement  dépendant les prisonniers.

Rania savait qu'elle devrait se mettre toute nue et pieds nus, elle n'a donc pas été surprise de devoir remettre toutes ses affaires aux gardiens qui les ont ranger dans un carton. Puis de devoir se soumettre à une fouille très profonde, une gardienne lui à fait prendre des tas de positions impudiques et dégradantes, comme l'obliger à tousser en écartant les fesses, remuer ses orteils, secouer ses cheveux, et se prendre un doigt ganté et lubrifié dans l'anus et la chatte.

Pour remplir sa fiche de détenue n°200416111984, les surveillants prennent aussi ses empreintes digitales, sa taille, son poids, l'a prennent en photo nue sous différentes couture et de pieds en tête. 

L'un des gardiens pose quelques question à la détenue sur son âge, date de naissance, situation matrimonial, si elle a des enfants, lieu de naissance, religion, profession, adresse etc..

Mais contrairement à ce qu'elle pensait, après cette procédure dégradante, on ne lui a pas remis le moindre vêtements, ni ses vêtements personnels, ni d'uniformes , et bien sur pas de chaussures.

Lorsqu'elle a demander pourquoi, les gardiens américains lui ont révélé que, sur ordre des responsables de la prison et des interrogateurs , il est interdit aux femmes de porter des vêtements. Comme les détenues sont des femmes moyen orientales, de cultures très conservatrices pudiques et de religion musulmane, il faut les conditionner à vivre nue.

La prisonnière n°200416111984 savait qu'il y avait que très peu de chances que les gardiens de prison acceptent que les prisonnières puissent porter le voile hijab et des tenues traditionnelles, mais elle ne s'attendait pas à devoir rester toute nue, elle pensait qu'ils lui remettrait au moins un uniforme jaune ou orange comme dans les série américaine ou à Guantanamo et de devoir rester pieds nus.

 

Lien : 

Nue en confinement solitaire.


dimanche 28 janvier 2024

La stricte discipline de la prison pour femme.

 

Corvée et travaux forcés en prison
Travail forcé , une prisonnière nue lave.

La prison doit punir et dresser. 

Dans la prison d'Abou Ghraib, pendant la seconde guerre du golfe, les forces armée américaines détiennent des milliers de prisonniers irakiens, dont des femmes. Les conditions de détentions sont très strictes et sévères. Hoda, une irakienne de 33 ans, arrêtée par les forces américaines pour soupçon de financement de la rébellion et pour ses liens avec l'ancien régime raconte dans un journal avoir subie un traitement difficile.
 
La trentenaire s'est retrouvé emprisonnée à Abou Ghraib pendant 5 mois, elle affirme avoir vécu des moments éprouvants et reste choquée même après sa libération.

Dans son long témoignage que nous résumerons ici, elle rapporte que les soldats américains ont fait du secteur ou sont détenues les femmes "un enfer", "une machine à broyer" et que tout est fait pour avilir et "dresser" les prisonnières.
 
Elle nous apprend que les prisonnières irakiennes sont gardées en confinement solitaire dans de petites cellules d'un mètre sur deux, sombre, sans confort (pas de matelas, toilette à la turque, nourriture fade etc.). Avec l'interdiction de parler sans autorisation, l'obligation de baisser les yeux devant les américains etc.

Comme pour les  prisonniers de sexe masculin, Hoda doit passer son séjour nue. Les prisonnières musulmanes et chrétiennes sont toutes interdites de porter des vêtements. Les américains pour dresser et "décoincer "les détenues, dont la pudeur est jugées "archaïque" et contraire à la culture démocratique ont fait de la prison "un centre nudiste".
 
Hoda a vue ses vêtements être découpés et détruit par les gardiens en arrivant, sa culotte volée, et ses chaussures confisquées.

Les femmes comme elle qui porte le voile et de longue robe arabe traditionnels sont systématiquement déshabiller complétement devant des hommes et en publique. Hoda s'est faite mettre à poil devant tout le monde, les gardiens sont très rudes et ordonnent en hurlant en arabe et en anglais "A poil !" "Allez vite salope! ", "déshabillez vous", "faut tout enlever !"
"Si vous ne supportez pas de vous trimbaler les fesses à l'air fallait pas être des terroristes !".

Les gardes sont sans aucun respect et ne ressentent aucune pitié ni empathie lorsqu'une femme arrive. C'est même avec un plaisir sadique non dissimulé qu'ils humilient les prisonnières. La nudité forcée et les fouilles des cavités sont l'une des bases du "traitement". 
"Vous êtes peut être pudique, mais nous, on vous met à poil, on vous interdit de porter vos vêtements ridicules et obscurantistes, vous aimez vos hijabs, vos voiles, vos larges robes, et bien ici, vous êtes sans rien ! Vos chattes sont à l'air et vous vous promenez cul nu".

 
"Salope, on va t'apprendre à faire la pudique, tu retire tout, tes chaussures et tes chaussettes aussi."
 
Hoda est ensuite inspectée de la tête aux pieds avec fouille des cavités (doigt ganté et lubrifié dans le cul et la chatte). Les détenues sont très régulièrement soumises à des fouilles anales et vaginales.

Les détenues sont aussi photographiées nues et pieds nus, subissent un prélèvement d'ADN, des relevées d'empreinte digitales.

Les femmes pendant leur période de détention doivent rester nues, elles ont l'interdiction de porter des vêtements ou de couvrir leurs corps.

Hoda explique que cette politique de nudité forcée est ordonnée par les plus hautes sphères dirigeantes de la prison. Un gardien lui aurait expliquer que les ordres sont de forcer les prisonnières à rester nues en permanence à la fois pour des raisons de sécurité et d'économie (absence de moyens de fournir des uniformes). Mais aussi pour instrumentaliser leurs craintes culturels et religieuses. Les femmes arabes et musulmanes doivent être rééduquées et reconditionnées pour perdre toute pudeur et modestie.
 
La nudité totale et permanente des prisonnières est la règle ici. Hoda nous dit que toutes les femmes sans exception sont obligées de s'exhiber en permanence. 
 
Les repas sont distribués les matin, midi et soir, et une femme est chargée de les servir aux autres détenus, hommes et femmes. Hoda était  régulièrement obligée de servir nue certains homme de son quartier qui l'ont reconnue. 
 
Les américains aiment forcer les femmes à être nues devant leurs proches.
 
Les douches sont collectives, et se déroulent devant les gardiens qui ont le droit de vérifier que les femmes se lavent bien la chatte et les fesses. 

En plus des distribution, les femmes doivent aussi "travailler" et faire toutes les corvées nécessaires au bon fonctionnement et à la propreté de la prison.

Les prisonnières nues récurent le sol, le nettoient, passent le balais et la serpillière sur le sol, lavent les douches. Tout doit être nickel sous peine de sanction collectives et de punitions.

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