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dimanche 11 août 2024

Une prisonnière interdite de porter des vêtements.

 

Naked Female prisoner
Une détenue nue et pieds nus.

Les prisonnières n'ont pas le droit de porter des vêtements en détention.

L'une des règles les plus discuter mise en place par l'armée dans la prison d'Abou Ghraib en Irak est la nudité forcée imposée aux détenus hommes comme femmes.

Impossible d'échapper à ce traitement même pour une ancienne professeure d'université irakienne, très respectée dans le milieu scientifique, ancienne titulaire d'une chaire à la fac de science, et détenue pendant plusieurs mois le temps que les forces américaines fassent "quelques vérifications" sur son rôle dans l'ancien régime et s'assurer qu'elle n'entretient pas de liens avec des groupes rebelles ou terroristes.

C'est une femmes très courageuse, l'une des rares prisonnières qui  témoigne de la question des femmes irakiennes détenues à Abou Ghraib, dont les médias n'ont que très peu parler contrairement aux sévices imposées aux hommes.

Si elle affirme ne pas avoir subies de violences physiques ou sexuelles pendant sa détention au secret.

Il faut savoir que la plupart des détenus restent en isolement sans droit d'avoir un avocat ni de contact avec leurs familles et leurs proches pendant de longue période pouvant aller de quelques semaines à six mois. Car les détenus sont dit de "sécurité" et ne jouissent pas de leurs droits fondamentaux depuis la loi sur le Patriot Act.

Ensuite, ça devient un peu plus difficile pour elle de parler car c'est quelque chose de difficile à vivre pour une femme arabe et musulmane, mais elle a le courage d'en parler, c'est l'interdiction de porter des vêtements. C'est très gênée et toute rouge qu'elle nos avoue que les gardiens américains l'ont obliger à rester à poil pendant sa détention.

De plus elle devait être nue devant tout le monde, y compris les autres prisonnières (qui sont elles aussi gardées nues) et même devant les hommes.

En arrivant elle savait que les gardiens allaient lui imposer une fouille, très probablement à poil, mais jamais qu'ils lui confisqueraient ses vêtements et ses chaussures sans même lui remettre d'uniforme orange ou jaune comme à Guantanamo bay ou dans les films US qu'elle avait vus à la TV. Les gardes n'oublient jamais d'obliger les femmes qui porteraient des bas ou des chaussettes à les enlever, les pieds nus sont obligatoires.

De plus les femmes sont photographiées nues sous toutes les coutures  pour compléter les dossiers des détenues. Ces photos sont consultables partout et pour tout le monde, et les gardes collent une photo de chaque prisonnières nues  et pieds nus sur la porte de sa cellule avec son nom, adresse, lieu de résidence écrit en arabe et en anglais.

Ce traitement punitif est humiliant a été mis en place en haut lieu, c'est des protocoles validés par le département d’État à la défense, les autorités américaines ont décider d'humilier et de sanctionner le plus sévèrement possible les personnes suspectées de terrorisme.

La professeur d'université explique aussi que les femmes voient leur vêtements découpés et déchirés, en particulier les hijabs et les robes traditionnelles. Les gardes imposent la nudité totale aux pieuses et pudiques détenues musulmanes très conservatrices, elle explique qu'une gardienne l'a longuement sermonner contre le voile et que le but est que les femmes oublient même la sensation de porter des vêtement.

Tout est fait pour humilier et faire perdre toute pudeur et dignité aux détenues : Fouilles anales et vaginales devant des hommes, parader nue, y compris devant les prisonniers irakiens, douche collective, visite médicale nue devant un médecin homme, sport à poil etc.

 

Liens :

Prison de haute sécurité.

jeudi 13 juillet 2023

Prisonnière de guerre humiliée en prison.

Histoire d'humiliations et nudité forcée en prison.
Deux femmes prisonnières enchainées nues.

 

Des sévices et  la nudité forcée pour les femmes en prison.

Leyla Z, 28 ans a été capturée lors d'une opération de ratissage des Marines contre les rebelles  en novembre 2004 dans le quartier de Baghdad ou elle habite. Sur le terrain son interrogatoire est resté correct et courtois, les soldats lui ont posé des questions simples sur son identité, son âge, sa profession, et pris note de ses informations personnelles.

Seulement cette jeune professeure irakienne est considérée comme une détenue pouvant avoir des informations stratégiques pour la coalition du fait qu'elle enseigne dans un lycée fréquenté par les enfants des élites de l'ancien régime, dont beaucoup d'ancien ministre. 

Le renseignement militaire et la CIA ont donc décider qu'elle devait être retenue pour vérification, et elle a été placée dans un véhicule militaire et transférée dans le complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib dans les environ de Baghdad, que l'armée américaine utilisent comme centre de détention et d'interrogatoire.


En arrivant dans la sinistre et tristement réputée prison, elle a été soumise aux procédures standard très humiliante et dégradantes que les militaires imposent aux prisonniers.


Dans un premier temps, il y a la fouille, qui doit être approfondie et qui se déroule nue, même pour les femmes comme Leyla. D'autres femmes  irakienne  comme Houda 31 ans sont aussi été incarcérées en même temps qu'elle, elles portent toute  sauf Houda qui est en pyjama, une robe amples et large  traditionnelle arabe, et un voile islamique (hijab) couvrant leurs chevelure. C'est des personnes culturellement pudique, réservées, et les gardes les ont regroupé ensemble pour les "accueillir".


Les gardiens ont reçu comme consigne d'être intraitable sur le déshabillage, c'est un élément clé du processus d'accueil. L'égo et la dignité de Leyla et des prisonnières doivent y prendre un coup.


Quelques semaines avant l'arrivée de Leyla et d'Houda, lors de l'arrivée des premières femmes dans cette prison, les gardiens américains se sont montrer plus respectueux avec les femmes qu'envers les hommes détenus. Les femmes lors des fouilles avaient la possibilité de garder leurs sous vêtements pour respecter les normes culturels et religieuses alors que les mâles étaient à poil, et  elles avaient la possibilité de garder leurs vêtements civils et leurs voiles, et certaines femme placées en isolement pouvaient garder leurs culottes.

Quant aux chaussettes, c'était l'anarchie niveau réglementaire, une jeune détenue irakienne  avaient pu conserver ses chaussettes lors des inspections  en prétextant avoir froid aux pieds et les surveillants en question avaient accepté pour lui faire plaisir et ne pas l'embarrasser., Mais d'autre gardes, considéraient que ça peut être  utiliser comme arme par destination et donc que c'est dangereux, obligeaient les prisonnières a les enlever lors des fouilles.

Mais depuis la visite du général Miller, l'ordre a été instaurer et les femmes sont soumises aux même conditions strictes que les hommes. Les prisonnières ont donc perdue tous leurs privilèges et obéissent  au même régles que les hommes : la nudité totale.

Leyla et les autres détenues sont très choquée de se voir ordonner  sévèrement par une grande soldate  américaine  blonde en anglais et en arabe de déshabiller. 

La surveillante militaire en uniforme ordonne d'abord "Retirez vos voiles, vos chaussures et vos effets personnels c'est a dire  vos montres, bijoux, boucles d'oreilles, papiers d'identité  et mettez les dans la boite en carton, on vous les rendra à votre sortie ..." 


Les femmes sont brièvement soumises à des relevées d'empreintes digitales et un soldat remplit leurs fiches administratives avant que la gardienne en chef donne l'ordre terrible "enlevez les robes, , les chaussettes, les bas,  les culottes, les soutiens gorges et tout le reste immédiatement !"

Les nouvelles détenues ont été surprise par le fait de devoir se dévêtir tout de suite, en public, les unes devant les autres sans aucune intimité, et surtout devant des soldats hommes qui ricanent. Elles appréhendent toutes d'être exposées nues devant d'autres personnes que leurs maris.


C'est une très grande honte et une terrible humiliation pour une femme arabe conservatrice  et respectable de devoir enlever ses vêtements, et de surcroit devant l'occupant qui montre sa domination.

Pendant qu'elles ôtent leurs robes, la gardienne leur dit en arabe et en anglais sur un ton ironique et cruel "Ne soyez pas timide mes petites, les garçons ici présent vous pouvoir se rincer l'oeil et se délecter de votre mise à nu. Ils sont curieux de voir vos gout en matière de sous vêtements. Certaines femmes ici se sont présenter avec des dessous très sexy sous leurs abayas et grand voile, et si vos chattes sont poilues ou rasées, de la forme de vos seins, bref vous n'aurez plus aucun secrets !"

"Mieux vaut ne pas être pudique" ajoute elle.

Leyla n'a jamais imaginer devoir tout enlever, surtout que les gardiens regardent les femmes avec insistance et rigolent en voyant leurs gêne.

Leyla enlève  d'abord ses chaussettes Houda est déjà pieds nus, les américains l'ont arrêtée en pyjama, elle n'a plus que sa petite culotte blanche. 

Les autres pleurent en retirant leurs soutien gorges devant les soldats qui se moquent d'elles.

La dernière instruction concerne les culottes, les prisonnières doivent les baisser sur leurs chevilles et les donner aux surveillants.

Elles sont entièrement nues, mains sur la tête, et exposées comme des bêtes aux regarde de tous, les américains les inspectent comme des bêtes en riant et prenant des photos des détenues dans des positions obscènes et dégradantes, Leyla a du se pencher en avant et toucher ses orteils pendant qu'on lui écarte les fesses et lui met un doigt dans l'anus pour vérifier qu'elle ne cache rien !

La fouille intrusive oblige aussi les femmes a ouvrir leurs chattes pour se faire doigter, leur bouche, a soulever leurs seins, les américains les fouillent même entre les orteils !


Les détenues sont ensuite enchainées, et aucun vêtements ne leur est remis, "Vous resterez nues en permanence, sauf pour les visites et les éventuels sortie hors du site."


Liens :