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samedi 17 mai 2025

Prisonnière pudique sanctionnée.

Pas de pudeur en prison lors des fouilles
Fouettée et sanctionnée par les gardiens de prison.

 Fouettée et fessée en prison.

Par une journée étouffante de 2004, Amira 42 ans, arriva à la prison d'Abou Ghraib, le cœur lourd de honte et de peur. Détenue pour de vagues accusations de « risques pour la sécurité » à la suite d’une dénonciation mensongère d’un voisin, elle se tenait dans une pièce en béton sans fenêtre, entourée de cinq autres Irakiennes, toutes dans la vingtaine. Certaines arrêtées lors de rafles, d’autres trahies par des liens familiaux ou par pur hasard, elles partageaient la même indignité. Amira, élevée dans la pudeur et la préservation de sa dignité, tremblait à l’idée de se dévêtir.

Leurs vêtements civils, hijabs et effets personnels remplissaient une caisse qu’une soldate américaine avait déjà emportée. L’ordre aboyé résonnait dans l’esprit d’Amira : « Déshabillez-vous ! Tout, maintenant ! Pas de pudeur ici, détenues ! » Les gardiens – hommes et femmes soldats savourant leur autorité – lançaient des ordres d’une voix méprisante, indifférents aux sensibilités culturelles des femmes. Amira, paralysée par la honte, hésita, ses mains tremblantes agrippant son hijab. « Plus vite ! » cria une gardienne. Son retard, bien qu’involontaire, fut perçu comme une désobéissance.

La fouille à nu obligatoire et l’inspection des cavités corporelles, effectuées devant le groupe, constituaient la première étape pour briser les nouvelles détenues. La politique des soldats semblait conçue pour maximiser l’humiliation. Alors que des mains gantées exploraient son corps, y compris une inspection anale invasive, Amira sentit ses joues s’enflammer de honte. Les jeunes femmes pleuraient en silence, les yeux rivés au sol. Un soldat ricana : « Si tu n’aimes pas ça, tu n’avais qu’à obéir plus vite, terroriste ! »

Pour son hésitation à se déshabiller, Amira fut immédiatement punie. « Tu veux traîner ? » lança une gardienne. Au lieu de passer à l’étape suivante, elle fut forcée de poser nue pour ses photos d’admission, le flash de l’appareil gravant son humiliation. Puis, les gardiens la traînèrent dans une petite pièce à l’écart, où deux soldates lui administrèrent cinq coups de lanière en cuir sur le dos, chaque coup un rappel cinglant de son impuissance. La douleur était vive, mais c’était l’exposition – son corps dénudé devant des étrangères – qui la blessait le plus profondément.

La fouille fut suivie d’une pulvérisation de désinfectant et d’une douche froide en groupe, les femmes exposées sous les regards des soldats. Puis vint le rasage obligatoire du pubis, effectué avec des rasoirs émoussés par une soldate indifférente, ajoutant une nouvelle couche d’humiliation. Amira, comme les autres, sentit son intimité violée davantage, son corps exposé sans égard pour sa dignité. La perte de son hijab, qui couvrait ses cheveux, lui donna l’impression qu’on lui volait son identité. Elle serra ses bras contre sa poitrine, désespérée de se protéger.

Après la punition, Amira fut envoyée directement dans une cellule d’isolement pour une nuit – toujours sans vêtements – pour « apprendre à obéir rapidement »

Lien : 

Traitement et procédures d'incarcération.

dimanche 13 avril 2025

Difficile d'être à poil au bizutage étudiant

Pas de pudeur lors du bizutage étudiant
Le bizutage publique : les filles à poil.

 

Dans les établissements d’enseignement supérieur en France, les bizutages sont une tradition solidement ancrée, surtout dans les cités universitaires où les nouvelles étudiantes, souvent intimidées, sont jetées dans l’arène dès les premières semaines. Sur ce campus de banlieue parisienne, une école d’ingénieurs réputée pour son ambiance impitoyable, les étudiantes de première année, majoritairement d’origine maghrébine, se distinguent par leur pudeur et leur réserve. Habituées à des codes stricts, elles se heurtent de plein fouet à la vie étudiante française : une jungle libertine, débridée, où l’exhibitionnisme l'impudeur sont la norme. Si pour beaucoup de filles de vingt ans, la nudité est une banalité, pour ces âmes timorées, se dévoiler est une torture impensable.

Mais ici, pas de quartier. Le week-end d’intégration (le bizutage), organisé par le BDE (Bureau Des Étudiants), est un passage obligatoire, une machine à broyer pudiques. Les nouvelles, à peine arrivées, sont accueillies comme du bétail par une horde d’anciens surexcités, des tyrans autoproclamés drapés dans leur arrogance. Les règles sont claires, hurlées dans un mégaphone pour que nul n’ignore : « Vous n’êtes rien ici ! Vous obéissez, ou vous dégagez ! » La tradition, implacable, ne tolère aucune exception. Chaque première année doit se plier au rituel infâme : tout enlever. Absolument tout. Pas de demi-mesure, pas de négociation. Soutiens-gorge, culottes, foulards et même les chaussettes tout finit en tas sous les rires gras et les sifflets d’une foule déchaînée.

Pour les filles pudiques, c’est un cauchemar éveillé. Certaines tentent de résister, les joues brûlantes, les mains crispées sur leurs vêtements, murmurant des supplications inaudibles. Mais les anciens, impitoyables, n’ont que faire de leurs larmes. « Déshabille-toi ou on le fait pour toi ! » aboie une organisatrice, une troisième année au regard d’acier, tandis que ses sbires, armés de ciseaux, s’approchent dangereusement. Les plus récalcitrantes sont traînées au centre de la cour, sous les projecteurs, où une sono crache des basses assourdissantes. Là, elles deviennent le clou du spectacle : leurs vêtements sont arrachés sans ménagement, parfois découpés en lambeaux, sous les huées d’un public en transe. Les insultes fusent, crues, vicieuses, conçues pour briser. « T’as cru que c'est la mode d'être pudique ici ? Montre tout, espèce de coincée ! »

Pour pimenter l’humiliation, les anciens rivalisent d’idées tordues. Les nouvelles, nues et pieds nus, sont forcées à défiler en rang, bras en l’air, sous des jets d’eau glacée ou de peinture fluorescente qui marque leur peau comme une sentence. On leur impose des jeux absurdes : ramper dans la boue, danser sur des podiums improvisés, ou pire, se livrer à des chorégraphies grotesques pendant qu’on les filme sans relâche. Les vidéos, bien sûr, circuleront plus tard, menace implicite pour garantir leur soumission future. Pas une once de compassion ne vient adoucir leur calvaire. Les anciens, enivrés par leur pouvoir, se repaissent de chaque cri, de chaque regard fuyant, de chaque corps tremblant.

Certaines filles, brisées, finissent par céder, espérant que l’épreuve s’arrête là. Mais le bizutage ne s’arrête jamais vraiment. Les jours suivants, les moqueries continuent, les surnoms humiliants collent à la peau, et les plus fragiles deviennent des cibles permanentes. Sur ce campus, la pudeur n’est pas une vertu : c’est une faiblesse.

Lien :

La tutrice et sa bizute. 

 




jeudi 12 décembre 2024

Une fille tente d'échapper au bizutage.

 

Bizutage bien organisé.

Les bizutages sur ce campus universitaires sont très bien organisés, c'est très difficile pour les filles récalcitrantes d'y échapper, même pour les plus malignes et rusées comme Sabrina.

Sabrina est étudiante en première année d'études de commerce à l'IUT (Institut Universitaire de Technologie) rattaché à l'université. Elle est d'origine marocaine par son père et espagnol par sa mère. Elle à grandie dans une banlieue assez aisée du 92, c'est plutôt une bonne étudiante, elle a obtenu le bac avec mention très bien.

Sabrina connaissait avant de s'inscrire le fait que sur ce campus, les bizutages sont très ancrés dans les mœurs et ont toujours lieux sous le nom de "journée d'intégration". Et elle veutà tout prix éviter d'y participer car elle est très pudique et porte le voile et l'abbaya comme toute bonne musulmane.

Le jours du bizutage, la jeune fille s'est rendu dans la bibliothèque universitaire (BU) du campus au lieu d'aller dans l'amphi principal de l'université ou les nouveaux doivent se réunir selon les "convocations".

Mais elle ne sait pas que les bizuteurs ont toujours une longueur d'avance sur les nouveaux. En effet, le BDE (Bureau des Étudiants) organisent avec le soutient de l'administration de l'université, des services de la mairie, et disposent de listes et d'informateurs permettant de retrouver toutes les personnes qui tentent d'échapper à la journée d'intégration.

Grace à la complicité de la bibliothécaire et des caméras de sécurité, les anciens ont pu identifier qu'une fille avait l'air de tenter d'éviter d'aller au rendez vous officiel et se serait cacher dans la bibliothèque en faisant semblant de lire des livres alors qu'elle est plutôt adepte de ChatGPT pour ses cours ...

Les anciens sont bien rodés, équipés de talkie-walkie   ont vite envoyé un groupe s'occuper de la récalcitrante.

Une fois sur place, Sabrina est directement identifiée et les anciens lui demande de se lever et si elle sait qu'elle doit être théoriquement dans l'amphi principal pour le début de la journée d'intégration.

La jeune femme fait mine de ne pas bien comprendre et répond qu'elle révise. Les anciens étant expérimenté et devinant qu'elle n'a pas envie d'aller au bizutage lui disent que ça a commencer dans l'amphi, et qu'elle doit se déshabiller ici, car les autres premières années sont à poil et qu'il n'est pas juste qu'elle passe moins de temps toute nue que les autres.

Sabrina rougie et dit "Non, mais vous n'allez tout de même pas me faire me déshabiller ça va pas la tête non" avec un air hautain et arrogant propre aux gamines gâtées comme elle. "Je suis voilée quand même, je peux pas l'enlever".

Les bizuteurs, insensibles lui disent de retirer ses vêtements ici devant tout le monde, sinon ils useront de la force, car c'est le bizutage, tout le monde à poil sans distinction, on met sa culture et sa religion de coté  et qu'il faut tout montrer".

C'est horrible pour Sabrina mais elle n'a pas le choix et sait parfaitement qu'ils vont lui arracher ses habits et lui infliger des sévices et des punitions.

Il faut tout enlever même la culotte et les chaussettes. Sabrina qui était couverte de la tête aux pieds s'est retrouvée à poil en quelques minutes, et devant tout le personnel de la BU.

La honte, les anciens l'oblige à parader à poil devant les autres les mains sur la tête pour que tout le monde puisse bien reluquer ses seins, sa chatte sans poil ses fesses à l'air.

Faut pas être pudique pendant le bizutage.




Lien : 

La tradition du bizutage en milieu étudiant.


vendredi 29 novembre 2024

Deux filles pudiques lors du bizutage

 

Nue soirée intégration étudiante.
Deux filles pudiques défilent nue bizutage.

 Soirée d'intégration des nouvelles.

Les soirées dans les bars dans les villes universitaires en début d'années scolaires réservent souvent des spectacles et surprise agréable grâce à cette super tradition du bizutage, pour les patrons de bars et boite de nuit c'est une période importante, qui attire beaucoup de clients : Des étudiants bien sur mais aussi des curieux , dont beaucoup d'homme qui aiment assister aux différents spectacles.

Ces rituels du bizutage sont admis et soutenus par les directions des grandes écoles et par les autorités locales.

Les nouvelles filles sont très encadrés par les anciens durant ces moments. Je me souviens de deux filles , Annabelle et Farida, deux filles pas très à l'aise dans l'ambiance festive et déjantée. Encadrées par plusieurs anciens, les deux étudiantes en IUT de technique de commercialisation sont contrainte de se déshabiller, et complétement, une dizaine d'autres filles sont complétement à poil, certaines l'acceptent avec le sourire, d'autre résignées se soumettent et certaines crient et pleurent mais les anciens sont intraitables sur cette question, les filles sans exception doivent obéir à l'ordre de se mettre à poil.

Nos deux jeunes filles sont très pudiques, mais il leur faut tout enlever la pudibonderie n'est pas tolérée, les culottes doivent être enlevées, et même les chaussettes !

Les filles rouges de honte tentent de cacher leurs seins et leurs fesses, et les anciens décident de les faire parader à poil et pieds nus pour les décoincées car de toute façon elles doivent passer la soirée à poil.

Elles ne doivent pas cacher leurs seins, car il faut les montrer à tout le monde.

Lien : 

Groupe de bizutes.

 

mardi 19 novembre 2024

Prisonnière pudique conduite à la douche.

 

Aucune intimité pour la prisonnière nue.
La prisonnière se douche nue devant son gardien.

Les humiliations quotidiennes subies par les femmes en prison.

Les femmes irakiennes incarcérées dans la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak, entre les mains des forces américaines sont humiliées et maltraitées tous les jours.

Amira vient d'être amené dans la salle des douches pour la première fois depuis son arrivé, les gardes l'ont conduite nue et pieds nus, après l'avoir obliger à parader à poil dans toute la prison sous les rires, insultes, moqueries et huées.

Les gardes en uniforme militaire l'a regarde de façon stricte et sévère. "Lève les yeux salope", la pauvre prisonnière très pudique et honteuse d'être à poil, c'est une femme arabe et musulmane qui porte le voile et s'habille de façon large et ample avec de longues robes traditionnelles  pour cacher ses formes comme la majorité de ses compatriotes.

"Ici tu es à poil compris ?" les gardes obligent les détenues à rester nues pour les reconditionner et leur faire perdre toute pudeur. La prisonnière pudique doit apprendre à montrer son intimité aux hommes comme aux femmes. "Pute, ici tu montre ta chatte, tes seins, ton cul, tu dois rien cacher, et tout exposer".

Si Amira en principe gardée nue en cellule d'isolement, les gardes obligent les femmes à s'exhiber nues publiquement. Elle doit parader nue et pieds nus, il va de soit que la nudité totale étant requise dans toute la prison et pas seulement en cellule.

Lien : 

Douche devant les gardes hommes.

lundi 18 novembre 2024

Les femmes n'ont pas le droit de porter de vêtements en prison.

Toute nue et sans pudeur.
Femme nue et pieds nus en prison.

 Nudité totale pour la jeune prisonnière pudique.

Dans la prison militaire d'Abou Ghraib, les femmes irakiennes musulmanes et arabe comme Meriem n'ont pas le droit de couvrir leurs corps et doivent rester nues en permanence et devant tout le monde.

Au mépris de leur culture et de leur religion, ces pauvres femmes souvent innocentes, dont le seul "crime" est d'avoir un proche recherché par la coalition sont soumises à des conditions de vie terriblement humiliante.

Ce qui choque le plus Meriem et ses compagnes, c'est l'obligation d'être nue.

Les musulmanes pratiquantes sont très pudiques et portent le voile (hijab) et sont couvertes de la tête aux pieds. Alors les responsables des interrogatoires, pour utiliser les tabous  culturels et les faiblesses des prisonnières décident qu'elles doivent être nues et pieds nus en permanence.

Meriem qui était voilée et couverte de la tête aux pieds doit se soumettre aux ordres des gardiens, elle n'a de toute façon pas le choix car les femmes récalcitrantes qui tentent de se rebeller sont mise à poil de force et sans ménagement, elle sait que toute résistance est stupide et inutile et ne fera qu'augmenter ses problèmes. De plus tout refus de coopérer est punit "du mitard", enfermement à poil dans une mini cellule isolée ...

La détenue doit subir de multiples fouilles plusieurs fois par jours, les gardiens estiment qu'en apprenant à montrer son vagin, son anus, ses fesses, ses pieds, la jeune femme oubliera sa pudeur et deviendra comme les femmes américaines occidentales.

Meriem demande souvent pourquoi est ce qu'on la fouille puisque elle est toute nue et qu'ils savent qu'elle ne cache rien. La réponse est qu'elle doit se soumettre et montrer son corps à tous le monde en guise de punition et qu'il ne faut plus ressentir de pudeur et adopter le nudisme. Et qu'il faut quand même contrôler ce qu'elle pourrait cacher dans ses fesses ...

 Lien : 

Exhibition forcée en prison.

vendredi 15 novembre 2024

Le cas d'une jeune prisonnière pudique.

 

Obligée d'être nue en prison.
Femme prisonnière fessée nue car pudique.

Mise à poil sans ménagement en prison.

Abou Ghraib en avril 2004.

Sa famille et ses amis avertirent plusieurs fois Maya, 22 ans,  qu'elle devait faire attention à ce qu'elle dit et ce qu'elle fait. Cette jeune fille musulmane irakienne refuse de voir son pays occupé par les troupes américaines et a émis des critiques un peu trop prononcées au yeux des autorités d'occupation.

C'est une fille assez timide et réservée, elle est célibataire et n'a pas de petit ami. Elle porte le voile et de longues robes arabes traditionnelles depuis l'âge de 16 ans. Elle une musulmane assez pratiquante, cette jeune fille ne s'est jamais mise de maillot de bain à la plage ou à la piscine par respect de sa religion et des valeurs de pudeur et de modestie que sa famille lui à transmise et enseigner depuis son enfance.

Mais elle n'a pas sa langue dans sa poche, même si c'est une personne assez introvertie, quand elle n'accepte pas quelque chose, elle le dit et le manifeste et est capable de s'énerver. Bien que l'incident soit assez minime, il lui a valut de passer plusieurs semaines en détention, sous le statut de "combattante ennemie" et "détenue de haute valeur" pour avoir dénoncer le fait que certaines étudiantes se prostituaient avec des soldats américains. L'une de ces dernière l'a dénoncer à ses "clients" pour se venger.

La jeune fille ne s'attendait pas à se faire arrêter pour ça, et encore moins se retrouver dans la tristement célèbre prison d'Abou Ghraib.

En arrivant dans la prison, dans l'aile féminine du site, il faut savoir que la fouille est un élément clé du processus, la jeune détenue a découvert stupéfaite et terrifiée qu'en prison son hijab est interdit, ainsi que les robes traditionnelles arabe.

Mais pas seulement, d'abord pour l'inspection, c'est toute nue, totalement à poil qu'il faut être, il faut aussi enlever les chaussures, la jupe, le T Shirt, la montre, les bijoux, et bien sur aussi la culotte, le soutien gorge et même les chaussettes !

Les gardiens n'ont aucun respect pour les coutumes et la religion des captives, et ne tolèrent pas la pudeur et la modestie, c'est nue et pieds nus en permanence.

Maya a beau pleurer, protester et supplier, les gardes s'en amusent.

Manifester de la pudeur est interdit, Lorsque Maya tente de dissimuler ses seins ou son sexe, elle est fessée et menacée d'aller au cachot pour ça.

Lien :

Pas de pudeur en prison.


vendredi 8 novembre 2024

La prison d'Abou Ghraib

 

Nudité difficile à vivre en prison.
L'humiliation de la nudité forcée ressentie par les femmes prisonnières.

Les femmes humiliées et soumises.

Les femmes irakiennes détenues dans la prison militaire d'Abou Ghraib par les forces américaine en 2004 sont soumises aux techniques d’interrogatoires musclées.
 
Lorsqu’une femme arrive, elle est complétement déshabillées lors du processus d'accueil pour une fouille très approfondie de tout le corps  respect Elles sont traitées sans aucuns respects pour leur religion, leur culture et leurs coutumes qui sont ignorés et méprisés par les gardiens. C'est très difficile pour une pieuse et respectable femme arabe et musulmane d'enlever sonvoile (hijab) ainsi que tous ses vêtements devant des gardiens hommes, les gardiens font même retirer les boucles d'oreilles, les tampons hygiéniques et les pinces à cheveux ...
Les fouilles avec inspection des cavités sont très régulières, parfois plusieurs fois par jours.
 
Les détenues sont privées de vêtements et de chaussures (et de chaussettes , car elles sont pieds nus bien sur), la totale nudité est obligatoire, avec des exhibitions obligatoire et public pour les humilier et dégrader profondément.

 
Les femmes sont gardées en isolement, sans contact avec l'extérieur, sans inculpation, elles ne savent pas ou elles sont et sont désorientées en permanence.
 
Elles sont en confinement solitaire dans des petites cellules de deux mètres sur deux, avec juste une petite arrivée d'eau et des toilettes à la turque, sans matelas ni aucun objets.

Les femmes sont obligées de rester debout, immobiles, et exposées à poil devant tout le monde.

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jeudi 31 octobre 2024

Une fille proteste contre la visite médicale obligatoire.

C'est toute nue qu'il faut être à la visite médicale universitaire.
Baisser et enlever sa culotte à la visite médicale.

Le protocole de la visite médicale de la Fac.

 La visite médicale de la fac est toujours redoutée pour les filles les plus pudiques et un peu coincées. Car il n'y a pas trop de place pour la pudeur, les autorités universitaires sont très peu respectueuse de la modestie et les examens médicaux peuvent paraître intrusifs.

Cette visite médicale est obligatoire, sans le tampon du médecin, c'est impossible de valider l'année donc les filles qui veulent réussir doivent la passer et ne peuvent pas l'éviter.

Les filles sont convoquées par petite groupe à l'infirmerie du campus universitaire, après quelques vérification administratives (identité, filière etc.) et le remplissage d'un bref questionnaire médicale, elles sont prises en charge par des infirmières et soignantes très autoritaires et pas très sympathique.

"Elles nous ont réunis avec plusieurs filles de toutes les filières et nous ont faite nous déshabiller" dit timidement Sara, "Elles nous ont dit de de garder que nos culottes et d'enlever tout le reste, et que si nous n'obéissons pas, elles nous mettraient à poil et nous fesseraient."

"C’était trop la honte de se retrouver les seins à l'air devant des filles qu'on connaissait à peine" "Nous devions même enlever nos chaussettes pour la visite c'est trop abusé, même ça c'est interdit il faut être pieds nus".

Ensuite les infirmières font différents examens de la vision, de l'audition, prennent la taille et le poids des filles, ainsi que leur tension et mesurent leur capacité pulmonaires.

"Ensuite, elles nous font aller l'une après l'autre dans le bureau du docteur. J'ai failli pleurer car il fallait enlever nos culottes et se présenter toute nue".

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Examen médicale gênant.


 

lundi 23 septembre 2024

Linda passe la visite médicale de la fac.

 
Les étudiantes soumisent à l'examen gynécologique.
Examen gynécologique pendant la visite médicale.
 

Visite médicale embarrassante.

 "Linda F !" appela l'infirmière du centre de médecine préventive universitaire du campus, l'endroit ou se déroulent les visites médicales obligatoires pour les étudiantes en première année.

"Suivez moi" dit  gentiment l'infirmière en blouse blanche. Elle conduit l'étudiante dans une salle d'examen médicaux sommes toute assez simple et classique, avec une table d'examen au milieu, tout pour une balance médicale électrique peser et mesurer, du matériel médical, des affiches de prévention collées aux murs, des étagères bien en ordres et un un bureau avec un PC et une chaise en face.

"Alors Linda, vous pouvez vous asseoir le médecin arrive, déposez votre veste sur le porte manteau.

Le médecin arrive, c'est un homme de 40 ans, assez beau et sportif en blouse blanche.

"Bonjour je suis le docteur Seddik, j'espère que tu vas bien, c'est aujourd'hui ta visite médicale, tu a besoin que je te valide l'examen  et que je te déclare apte pour pouvoir valider ton année. Nos étudiants étant amener à travailler en entreprise  ou dans l'administration pour leurs stages, nous devons nous assurer que tout aille bien au niveau santé.

Après quelques questions sur son âge, ses habitudes alimentaires , sa consommation d'alcool de tabac et de drogue, et après avoir consulter son carnet de santé, le docteur déclare que tout à l'air d'aller bien mais qu'on va voir tout ça pendant l'examen médical.

"Déshabille toi derrière la cloison, y compris tes sous vêtements".

L'ordre du médecin résonne encore dans la tête de Linda, dans quelques instants elle sera complétement nue devant ce docteur parfaitement inconnu qui ressemble plus à un playboy qu'a l'image qu'elle se fait d'un médecin ...

Mais son avenir est en jeux, donc elle n'a pas le choix.

"Oui la culotte aussi bien sur j'ai dit tout" car Linda hésite à l'enlever.

"Tu as toujours tes chaussettes il faut aussi les enlever voyons Linda, une visite médicale se déroule toujours pieds nus.".

Etudiante se déshabille à la visite médicale.
Il fait enlever les chaussettes et être pieds nus à la visite médicale.

 

Ensuite le docteur utilise son stéthoscope pour écouter le cœur et la respiration de Linda, il en profite pour lui titiller les tétons et fait exprès de placer le métal froid sur le bout des seins de l'étudiante, lorsqu'il vérifier les poumons, Linda sent la main du docteur passer entre ses fesses  pendant qu'elle inspire et expire le plus fort possible ...

Il passe ensuite à la dentition, Linda se sent comme un animal, plus exactement un cheval, puis son cou, regarde dans ses oreilles en disant en rigolant "qu'il faut vérifier tout les trous ..." Ce qui glace le sang de l'étudiante.

"Ouvre grand la bouche et fait Ahh" dit le docteur en enfonçant sa main dans la bouche de la jeune fille qui failli vomir.

"Bien, passons aux nichons, les seins pardons" et ni un ni deux il se met à palper la poitrine de Linda dans tout les sens et à lui caresser en même temps "Oh tu es sensible, ça pointe", et je vois qu'en bas ça mouille", mais que ce passe t"il Linda ?


La jeune femme est tétanisée devant le comportement du docteur, mais en même temps elle a plus envie de se doigter voir plus, se faire baiser.


Après s'être fait plaisir, le docteur donne une tape sur les fesses de Linda et lui dit "Allez file sur ta table, pose tes petites fesses là bas"


Le docteur palme la jeune fille sur la table d'examen, il commence par le ventre qu'il malaxe bien, puis les cuisses, vérifient les pieds et même entre les orteils "C'est bien Linda tu ne sens pas mauvais des pieds contrairement à beaucoup de tes camarades crados", par contre y'a quelque chose qui coule de ta chatte ça t'arrive souvent ? voyons ça.

L'anus a l'air serré, mais il est propre, l'hygiène anal est important, par contre pour ta chatte va falloir trouver une solution, on va appeler un plombier pour déboucher tout ça, il a de gros outil pour régler tout ça".

Le docteur de la fac est un vrai pervers.
Examen gynécologique pervers à la fac.

"Écarte bien les cuisses", et là stupéfaite Linda voit arrivé Jean Pierre le mécano de la France, l'homme à tout faire, le concierge du campus avec des drôles d'objet".

"L'avant de la boutique ou l'arrière" dit Jean pierre en essayant de masquer son érection et rangeant son zizi tout dur dans son froc. Elle a toujours sut que ce mec était un pervers, un vieux qui vient lui enfiler un gode dans la chatte "sous prétexte qu'il y a une fuite de liquide non identifié !

Le pire c'est qu'elle jouit "comme une salope" avec ses petits gémissement de chienne. Linda est proche de l'orgasme, elle ne répond plus de rien ...


Lien :

Lamia et le médecin.


vendredi 6 septembre 2024

Les bizuts nus sur l'estrade de l'amphthéâtre.

 

La nudité collective lors des bizutages étudiants.
Les bizuts à poil et exposés sur l'estrade.

Les anciens obligent les nouveaux à s'exhiber à poil.

 Lors d'un bizutage, il ne faut pas être pudique parce qu'on se retrouve vite totalement à poil et exhibé en public dans l'ambiance électrique et festive de la rentré.

Les nouveaux sont présentés par petit groupe aux anciens et aux spectateurs dans un amphithéâtre. Ils sont bien sûr nus et pieds nus avec l’obligation de tout montrer.

Après heureusement qu'il fait encore chaud, car passer une après midi à poil est plus facile l'été que dans le froid.


Lien :

 

Le bizutage des étudiantes.

lundi 26 août 2024

La vie dans la section des femmes de la prison.



Prisonnière nue et pudique
Prisonnière nue et pudique.


Une prisonnière en confinement solitaire.


Amira est retenue confinée dans une petite cellule vide d'un mètre sur deux, avec seulement une toilette à la turque et un robinet comme arrivé d'eau et une petite fenêtre avec des barreaux, et une grande porte métallique.

Elle est stupéfaite, elle n'y croit pas, comment est ce que ça peut lui arriver ? Elle se retrouve emprisonnée après un raid des forces  armées américaines sur sa maison et en confinement solitaire dans l'aile féminine de la prison d'Abou Ghraib, sans savoir pourquoi.

Elle a envie de pleurer, elle est entièrement nue, enchainée comme un animal dans une cellule qui ressemble plus à une cage.

"J'y crois pas, comment peuvent ils faire ça ? que vais je faire là comme un animal nu et enchainé dans ce terrible endroit ? Combien de temps me garderont ils ? j'en sais rien. Pas plus que les raisons pour lesquelles je suis ici ...", Elle se questionne aussi sur ce qu'elle va faire dans cette cellule vide terriblement ennuyeuse 

Elle tente ensuite de penser plus clairement, car beaucoup de choses se sont déroulées depuis que les marines ont débarqué chez elle en pleine nuit. Elle n'a pas subie de violence. Avant d'être conduite dans le centre de détention d'Abou Ghraib, son premier interrogatoire a été simple et cordial, un officier militaire lui a simplement demander son nom, âge, adresse, profession, sur sa situation matrimoniale, son travail, et sur ce qu'elle sait des activités de ses oncles et cousins. 

Elle se demande  comment contacter sa famille, et s'interroge pour savoir si cette dernière  est au courant , car elle était seule quand les soldats ont débarqués, les voisins qui ont entendu ont probablement prévenu sa famille, qui a des relations et peut recruter un bon avocat pour faire quelques choses pour l'aider à se sortir de là.


Elle regarde les menottes à ses poignets et  les chaines à ses chevilles, elle se demande pourquoi est ce qu'ils l'ont enchainée en cellule alors qu'il n'y a aucun moyens de fuir, en plus elle est toute nue, comment imaginer qu'une jeune femme irakienne irait tenter de s'enfuir totalement à poil ? ils ne l'on pas laisser remettre de vêtements après la très intrusive et humiliante fouille d'accueil.


Elle se rappel encore la sensation du doigt ganté et lubrifié qu'un garde américain lui a introduit dans l'anus, et la honte de devoir retirer tous ses habits devant des gardes hommes. La pauvre, l'humiliation ressentie est totale, elle en rougie rien que d'y repenser.


Elle s'est déshabiller et a remis ses vêtements l'un après l'autres bien docilement en pleurant sous les regards pervers et narquois des gardiens pour l'inspection.

Elle cogite à plein de choses, à sa honte car elle n'a pas du tout envie que sa famille sache qu'elle est retenue sans vêtements car c'est très infamant pour elle.

Elle entend des bruits de bas vers sa cellule, un officier en treillis militaire et un interprète ouvrent la porte de sa cellule. L'officier est un homme grisonnant d'une cinquantaine d'années et son associé un jeune homme d'une trentaine d'année d'origine moyen oriental, probablement libanais/américain.

L'officier indique à Amira qu'elle est désormais "la prisonnière numéro 780743F" et qu'elle doit s'identifier et répondre à ce numéro qui lui sert d'identité sous peine de punition. La jeune détenue doit se lever et se mettre en position de sécurité les mains sur la tête et les jambes écartées. Le militaire et son assistant en profite pour mater ses seins et sa chatte à l'air. Puis au garde à vue et écouter avec docilité les américains, c'est la base d'un bon dressage ajoute le responsable militaire.

Il continue en disant qu'il est la pour l'informer des règles et conditions de détention dans le secteur d'isolement d'Abou Ghraib, block C. Amira est aussi informée de son  droit à poser des questions.

De règles générale la détenue devra passer 16heures par jours en cellule, avec des chaines et entraves en permanence sauf en cas de collaboration pleine et entière. Le reste du temps est consacrées aux différentes taches et activités de la prison : interrogatoire, travaux, ménage, sport obligatoire, douche une fois par jours sous réserve qu'il y ait suffisamment d'eau courante.

Amira doit aussi rester nue en permanence pendant toute sa détention, que ce soit en cellule, lors des "activités" et lors des déplacements au sein du secteur d'isolement.

La nudité est la règle,  c'est un élément essentielle et primordiale, pour la sécurité, les personnes privées de liberté n'ont pas le droit de porter de vêtements.
 
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samedi 24 août 2024

Les femmes déshabillées lors des prises de guerre

La nudité forcée est difficile à vivre pour les prisonnières musulmanes pudiques.
Nue et pieds nus lors de la prise de photo en prison.

Humilier les prisonnières de façon systématique.


Lors de la seconde guerre du golfe de 2003 à 2011, les États Unis ont envahi l'Irak et occupé ce pays et ouvert divers cente de détention  dont la tristement célèbre scandale qui à frapper la prison d'Abou Ghraib dans les environs de la capitale Bagdad.

Les médias ont beaucoup parler du sorts et des sévices subis par les hommes, mais assez peu des femmes prisonnières qui sont passées dans les geôles US.

Comme pour les hommes, la nudité et les humiliations sont au cœur du protocole de détention et d'interrogatoire renforcé mis en place par le renseignement militaire.

A l'image de Yamina, 35 ans, commerçante importante dans son quartier et soupçonnée de lien avec l'ancien régime, les femmes irakiennes sont soumises à un traitement stricte et musclé.

Lorsqu'une femme passe entre les mains des gardiens d'Abou Ghraib, elle est obligée de se déshabiller sans aucun respect pour sa pudeur et sa dignité. Elles sont littéralement dépouillées, dévoilées et déculottées sous les rires des gardiens.

La nudité forcée est jugée essentielle, pour humilier les détenues musulmanes arabes, il faut les punir et les mettre à poil, les gardes en général découpent ou brulent les voiles et les robes des prisonnières devant elles, elles doivent aussi retirer leurs sous vêtements et leurs chaussettes pour celles qui en portent, les détenues sont toutes nues et pieds nus et pour des raison officielles de propretés et d'hygiène les prisonnières doivent avoir la zone vaginale et anale rasée.

L'humiliation est totale.


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Histoire BDSM à Abou Ghraib.




 

lundi 19 août 2024

Nudité forcée et systématique dans cette prison.

La nudité forcée est difficile à vivre pour les femmes pudiques en prison.
Une prisonnière pudique tente de dissimuler son corps en prison.

Durant la seconde guerre d'Irak, dans les semaines qui ont suivi le déclenchement des photos et vidéos de prisonniers nus  dans la prison militaire Abou Ghraib, les autorités américaines se sont d'abord défendue en expliquant que ceux sont des actes isolés et en accusant une équipe de gardiens voyous.

Mais les enquêtes officiels et celles menées par des ONG et des journalistes indépendants révèle que  la nudité forcée des prisonniers était omniprésente systématiquement imposée dans  la partie dure de la prison a tel point que certains soldats la première fois témoignent qu'on leur a tout de suite expliquer que la nudité des détenus était "normale et ordinaire" pour toute personne habituée des lieux.


Certes des cas de nudité forcée  des prisonniers de guerre sont dénoncés dans diverses prison à travers le monde, mais à Abou Ghraib selon divers témoignages de soldats, d'anciens détenus et de rapports officiels d'organisation de défense des droits de l'homme, la pratique consistant a garder à poil les prisonniers s'est rapidement developper et généraliser ce qui semblant naturel et normal  pour les soldats et gardiens.


Cette pratique a commencer des juillet 2003 suite a des consignes données par la police militaire de déshabiller certains suspects pour "les préparer" en vue des interrogatoires. Certains détenus étaient mis à poil et humiliés par les interrogateurs et selon les responsables de l'armée les résultats obtenus par cette expérience  sont très positifs en terme de renseignement. 


Pour les militaires la nudité forcée est une technique d'interrogatoire qui fait l'unanimité  simple à mettre en place et efficace pour ramollir les suspects et les responsables de la prison ont décider de l'autoriser pour "de bonnes raisons".


Très vite,  pour les gardiens , le fait de s'habiller pour un détenu  n'est plus considérer comme un droit mais comme une faveur.


Quelques semaines après de plus en plus de personnes détenues sont gardées nues, les américains confisque les vêtements des prisonniers  lors de leurs arrivés pour faire pression sur eux et exercer un  chantage très simple : Toute personne doit pleinement coopérer pour avoir la possibilité de porter des vêtements.


Les prisonniers défilent nus en arrivant ce qui est vite devenu, du point de vu des gardiens comme une sorte de tradition, de rite de passage imposé aux captifs.


Les femmes ne sont pas épargnées , et certaines ont été trouvées gardées totalement nues dans leurs cellule et avaient l'interdiction formelle de tenter de cacher leurs sexe, fesses ou seins même devant les visiteurs.

Lorsque les membres du comité internationale de la croix rouge ont retrouver une femme connue sous le pseudonyme d'Houda  d'environs 34 ans incarcérée dans le complexe pénitentiaire  d'Abou Ghraib après avoir été arrêtée  un mois plus tôt durant  un raid sur sa maison.


La femme, horrifiée à l'idée d'être exhibée et  en voyant les gardes et les observateurs a tout de suite tenter par réflexe de pudeur de cacher ses seins avec ses bras et de dissimuler son sexe avec ses jambes.


Un colonel responsable du renseignement militaire explique aux membres du comité que : 


"la nudité fait partie du processus. Le cas de cette prisonnière est typique, c'est une femme culturellement très pudique a qui on enseigne la modestie depuis l'enfance et dans sa religion la nudité est quelque chose de très honteux. L'une des premières choses à faire pour la rendre coopérative docile et briser sa personnalité est de s'en prendre a son égo et a son identité en la dépouillant de sa liberté, de ses droits, de ses papiers, argents  et surtout de sa dignité. Et pour cela, il y a la mise à nue systématique en arrivant".

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Nudité imposée.

samedi 6 janvier 2024

Les détenues sont humiliées tous les jours


Humiliation en prison : des femmes pudiques doivent se déshabiller nues.
Femmes pudiques forcées d'être nues en public.

La situation très difficiles des femmes prisonnières des forces américaine.

En juillet 2004, pendant la seconde guerre en Irak, éclate le scandale des tortures et mauvais traitements qu'infligent les soldats américains aux détenus irakien dans la prison d'Abou Ghraib dans les environs de la capitale, Baghdad. Plusieurs journalistes enquêtent et ont put rencontrer et interroger des anciennes femmes prisonnières irakiennes qui témoignent du traitement inhumain et dégradant imposé aux femmes.


L'une des ancienne prisonnière raconte sous anonymat que les gardiens militaires américains hommes et femmes traitent durement les femmes et les humilient chaque jours.


Les femmes irakiennes arabe et musulmane sont dévoilées et complètement déshabillées devant des hommes pour mieux les humilier. Elle reste choquée comme toutes les autres détenues par les fouilles à nu et les fouilles des cavité  répétées parfois plusieurs fois par jours, et qui se déroulent devant des hommes.

Les prisonnières sont interdites de porter des vêtements et des chaussures, prennent des douches collectives nues sous les yeux des gardiens, sont photographiées à poil, doivent parader nues devant les autres prisonniers et faire des taches diverses (lavage des sols, corvées, , préparation et distribution des repas etc.).

Les femmes ici sont souvent des institutrice, professeurs, bourgeoises journaliste, paysannes et les américains leur imposent d'être nue et pieds nus en permanence, sans pudeur, pour les punir et les dresser.

La nudité et les fouilles à nu sont dans cette prison des punitions cruelles et sans pitié imposées a des femmes souvent innocentes. Pour les gardiens et autorité pénitentiaires, les détenues doivent toutes être "traitées" et leur traitement est "amplement mérité" à partie du moment ou elles ont été arrêtées.

Les surveillants sont strictes et aiment dominer et humilier les captives de guerre, les obliger de rester nues devant tout le monde, les forcer à montrer leurs grosses fesses, leurs seins et chattes avec l'interdiction de les cacher sous peine de punition.

Les américains sont fiers de dominer les femmes pudiques, de les forcer a s'exposer en tenant des propos pro nudiste, chaque prisonnière doit répéter en arabe et en anglais différents propos du type "Je vous remercie de me garder nue". Les gardiens interrogent régulièrement les femmes pour les railler "Sur le fait qu'elles de baladent les fesses à l'air".



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