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dimanche 4 février 2024

Rapport de visite de la détenue n°974598 (Kenza J)

 

Prisonnière nue assise et enchainée dans sa cellule
Femme enchainée nue et pieds nus en cellule de prison.

Note sur le traitements des femmes irakiennes dans la prison d'Abou Ghraib en avril 2004.

Un mémo déposé par un agent lors de son témoignage devant la commission d'enquête suite au scandale des tortures et des mauvais traitements.

La personne interrogée est un agent du secrétariat d’État à la défense ( équivalent du ministère des armées) chargé de superviser traitement des prisonniers de guerre de guerre pendant la seconde guerre d'Irak. Le fonctionnaire a été envoyé le 7 avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib pour rencontrer Kenza J, une jeune femme irakienne arrêtée quelques semaines avant, et cousine d'un ancien haut fonctionnaire activement recherché par la coalition.

"Je suis arrivé le 7 avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib pour prendre des renseignement sur Kenza J, la cousine d'une personne activement recherchée par l'armée. Elle a été arrêtée pour ses liens familiaux et faire pression sur son parent pour qu'il se rende, et aussi parce qu'elle est susceptible de par sa position de détenir des informations stratégiques capitales. C'est donc ça qui justifie sont statut de prisonnière de haute sécurité et son placement en isolement et au secret sans avocat pour une période indéterminée.

L'équipe de gardiens et le responsable de la partie dure de la prison m'ont accueillis. Après quelques présentation j'ai pu accéder à la détenue.

La prisonnière étaient nue et pieds nus, mais elle n'avait aucune traces de blessure ni de maltraitances sur le corps. Elle semblait calme et n'avait pas l'air d'avoir peur. Elle était juste gênée d'être nue. 

Le responsable des interrogatoires ordonnent aux gardiens de confisquer les vêtements des détenus, pour les hommes comme pour les femmes, et j'ai pu constater  les autres femmes irakiennes retenues dans la même section sont elles aussi gardées sans le moindre vêtements.

Le renseignement militaire, les administrateurs de la prison sont parfaitement conscient de cette pratique, puisque les femmes sont transportées et déplacer nues pour aller aux interrogatoires, aux douches, aux sorties (qui consiste à se rendre dans une toute petite court pour prendre l'air ou faire un peu d'exercice).

Ces pratiques sont récurrente, j'ai pu voir une autre détenue irakienne nue et menottée les mains dans le dos et ramener manu militari dans sa cellule après un interrogatoire. Cette situation avait l'air parfaitement normale pour les gardiens et toute l'équipe d'Abou Ghraib.

Prisonnière nue escortée par sa gardienne en uniforme de la salle d'interrogatoire vers sa cellule.

 

J'ai demandé à la détenue si tout allait bien et si elle voulait voir un médecin, j'ai aussi demander au responsable des gardiens dont j'ai oublier le nom de lui rendre ses vêtements. Avec un garde il a fait mine d'aller les chercher, puis au bout de 20 minutes, il a dit qu'il ne les avait pas trouver.

Les vêtements et les effets personnels des prisonnières sont mélangés dans une armoire dans un bureau administratif de l'autre côté du secteur. C'est impossible de les retrouver, surtout qu'un administrateur m'a parler de vols, il a constater que les culottes des prisonnières étaient systématiquement confisquées et utilisées pour torturer et humilier les prisonniers hommes (souvent attachés à poil avec des sous vêtements féminins sur la tête).

 

Kenza J m'a confirmé que les autres prisonnières sont nues, et que le chef des gardiens est hypocrites et menteur, qu'il n'a aucunement l'intention de permettre à la moindre femmes de s'habiller.

 J'ai donc insister après du responsable pour en savoir plus sur les vêtements des prisonnières, et qu'il fallait au moins remettre à Kenza et aux autres les vêtements qu'il est possible de leur remettre.

Ce dernier m'a dit que c'était impossible, puisque il n'y avait jamais eu la moindre livraison d'uniforme de prisonnière faute de moyens, et que les vêtements dans l'armoire sont abimées ou peuvent servir de pièce à conviction.

Ces arguments étaient un peu bancales mais je n'avais aucune autorité pour faire changer les choses, et il avait l'air d'avoir des appuis parmi ses supérieurs.


Kenza m'a dit que pour une femme musulmane et arabe, la nudité était très difficile, surtout au début. Sa religion enseigne la pudeur et la modestie, les femmes ici retenues sont toutes très traditionnelles et conservatrices. Kenza,  comme l'autre détenue que j'ai croisée escortée nue prénommée Leila m'a dit qu'elle portait le hijab (voile islamique) et une robe arabe large qui couvre toutes ses formes, et qu'elle n'avait jamais été nue en public ni même porter un maillot de bain.

 En arrivant à Abou Ghraib, elle s'est faite déshabiller complétement pour une fouille très approfondie (la procédure prévoit un examen gynécologique et anal). Puis qu'ensuite aucun vêtements n'est rendus aux femmes qui sont placées en cellule totalement à poil après une parade de la honte.

Le chef des gardes participe toujours au processus et assiste au fouilles et à toutes les étapes de l'incarcération des femmes.

Ici les femmes sont obligées de se montrer nues devant les hommes, le gardien estime que les femmes irakiennes doivent être punies et humiliées, et donc être à poil.

Il aime voir arriver une détenue, bien couverte de son voile, digne, qui en quelques minutes se retrouve sans dignité et entièrement nue et soumise aux gardiens.

Même les culottes et les chaussettes sont interdites, la détenue n°974598 a demandé à pouvoir au moins porter des tongs ou des chaussettes pour marcher car le sol est sale et froid. Le responsable des surveillants a rigoler et a dit que tant qu'il sera là les prisonnières sous sa responsabilité seront 100 % nue et pieds nus.

Concernant l'autre détenue que j'ai croisé, Leila, j'ai pu selon mon mandant demander des informations sur elle et lui parler. Elle est une journaliste proche des médias de l'ancien régime.

Elle m'a dit que les prisonnières sont prises en photo totalement à poil, devant, derrière, sur les cotés et que ces photos sont mises dans des fiches mais qu'elles circulent au sein de la prison.

Les gardes pour ma visite avaient retirer ces images, mais sur la porte de chaque cellule, il y a des photos nues de chaque prisonnières sur les portes de leurs cellules, donc des photos de leurs anus ouvert lors des fouilles ou dans des positions obscènes.

 

Liens : 

 

Les femmes humiliées publiquement en prison.


 

jeudi 29 juin 2023

Punir et humilier une prisonnière jugée arrogante.

 
Nudité forcée en prison
Humiliation pour une femme prisonnière exposée à poil.


Une femme apprend l’humilité en prison.


Cet incident se déroule en mars 2004 pendant la guerre en Irak dans la tristement célèbre prison d’Abou Ghraib connue pour les abus et les tortures pratiquées par les gardes américains sur les prisonniers irakiens.


Une femme irakienne de 29 ans, Léna, une juriste  très hostile aux États Unis ayant protesté et dénoncé l’invasion américaine a été arrêtée sur décision de plusieurs personnes responsables de l’armée et de l’administration intérimaire américaine qui gère provisoirement le pays  qui estiment qu’il faille la faire taire un certain temps et lui rabatte son caquais. 

La décision prise consiste a utilisé la loi dite du patriotAct qui permet aux États Unis d’arrêter toutes personnes susceptibles de menacer le sécurité nationale pour une durée indéterminée en envoyant la jeune femme dans une prison spéciale et secrètes sans appliquer les conventions de Genève.


Léna est rapidement devenu la bête noire des américains par ses actions de défense des droits civiques et politiques et sa dénonciation du pillage du pays par les grandes entreprises américaine suite à la guerre en particulier le trafic d'couvre d'art et d'objets anciens et la corruption pour obtenir des contrats pétroliers à prix avantageux. Cet activisme a irriter plusieurs personnes importantes bien décidées à la faire taire et lui faire payer. Monter des accusations bidon de soutient à la résistance  est très simple et notre pauvre militante s'est vite retrouvée prise dans l'enfer des prisons militaires US ...

La jeune femme a été placée sur la liste des personne recherchée par la coalition internationale comme représentant une menace pour la sécurité nationale et arrêtée lors d'un contrôle  à un des nombreux check point de la capitale, Baghdad.

Léna a ensuite été envoyée a Abou Ghraib pour y être "traitée", c'est à dire dresser et humilier par des gardes pervers et sadiques.

C'est une jeune femme fière, éduquée, ayant séjourné plusieurs fois aux Etats Unis pour y étudier l'économie et le droit, elle a des amis dans ce pays et parle parfaitement l'anglais. C'est aussi une femme de bonne famille et de culture assez conservatrice, éduquée dans le respect des tradition musulmanes et arabes qui demandent aux femmes d'être pudiques et réservée tout en étant assez ouverte sur le monde.

La première chose que font les gardes c'est d'obliger la détenue à se mettre nue, de retirer tout ses vêtements devant des femmes et des hommes sans aucune pudeur ni intimité. Il faut mettre à poil cette salope  hurle l'un des militaires. Ça l'a rendra moins arrogante estime une gardienne en rigolant en voyant  l'embarras et la honte que ressent la prisonnière qui tente de contenir une forte envie de pleurer.

Oui les rumeurs qu'elle entendait sur les humiliations subies par les prisonniers n'étaient pas que des ragots et sont bien réelles. Et oui elle allait y passer, elle aussi, difficile d'imaginer le sentiment d'avilissement et de honte qu'une pieuse femme peut ressentir face à la nudité totale obligatoire.

Si cette jeune femme est incarcérée dans ce sinistre endroit ce n'est pas sans raisons,  bien sur  que que les gardes obligent les femmes comme elle à se foutre à poil sans aucune pitié ni respect pour leur statut, du point de vue des gardes américains la jeune prisonnière représente une menace et est une ennemie des Etats Unis, et par conséquent elle doit être durement punie et humiliée et privée de tout droit !



Fière et digne dans son élégante tenue traditionnelle musulmane (robe large arabe abaya, foulard belle chemise etc. ) elle doit retirer ses vêtements pièces par pièces, tout y passe, y compris la culotte, les chaussettes, les surveillants se moquent d'elle car elle est toute nue devant tout le monde et qu'elle fait moins l'arrogante comme ça.


L'une des gardiennes vicieuses dit en souriant "Et Si i nous la faisions faire le tours de la prison  à poil et l'exhibions devant tout le monde, beaucoup de gens aimeraient voir ce que ça donne une femme voilée toute nue ?"

La prisonnière a du faire une longue marche en étant totalement exposée, le pire c'est que personne n'est étonné ni surpris de voir une prisonnière irakienne nue en train de parader  et subir des insultes et moqueries. Léna connaissait les USA ou elle avait été plusieurs fois en voyage ou elle avait quelques amis et ne comprenait pas pourquoi elle était traité pire qu'une bête.
 
Personne ne manifeste la moindre compassion  ni le moindre respect pour elle. La plupart des prisonniers hommes et femmes sont sans vêtements.

Les gardiens font durer l'exhibition en laissant les nouvelles à poil pendant très longtemps dans les couloirs pour que tout le monde puisse voir la "marchandise". 

Se retrouver les fesses à l'air, les seins à l'air, le minou visible est le lot commun des femmes qui passent dans cette terrible prison ou les humiliations sexuelles, les mauvais traitements et la déshumanisation sont systématique.


Liens : 



lundi 26 juillet 2021

La nudité comme méthode de gestion de la prison

 

Nudité forcée et humiliations publiques de femmes prisonnières nues.
Une femme prisonnière nue parade dans les couloirs.

Déshabiller les prisonniers comme politique officielle 


Fin 2003 début d'année 2004, dans la prison militaire américaine d'Abou Ghraib en Irak, le haut commandement américain a approuvé l'utilisation massive de la nudité comme technique d'interrogatoire et comme moyen de maintenir l'ordre et la sécurité dans l'enceinte du camp de prisonnier. Les gardes et les surveillants de base ont donc reçue des consignes visant à garder complètement nus une grande partie des prisonniers retenus sur le site. Les témoins, que ce soit d'ancien employés, des juristes internationaux des hauts gradés chargés de superviser la prison sont unanimes : On y voit des prisonniers nus, c'est même la majorité; 70 % sont complètement nus, les autres sont parfois des simples slips et certains les plus coopératifs ont des uniforme orange ou jaune de prisonnier.


La plupart des gardes n'ont aucun scrupules à appliquer les consignes. Une femme de 24 ans, étudiante ayant passer 3 mois en détention pour soupçons de liens avec la rébellion témoigne.


"Les soldats ont fait irruption sur le campus de l'université et ont placés tout les étudiants présent dans le principale amphithéâtre. Comme j'étais représentante d'une association étudiante proche du parti au pouvoir et la directrice de la section des jeunesses nationalistes, les militaires ont décider de m'arrêter avec deux autres étudiants, j'étais la seules fille. Ils nous ont bander les yeux et mis les menottes dans le dos avant de nous installés dans des fourgons militaires.


La première journées ils nous ont gardé dans une base militaire et ils nous posaient des questions sur notre identité, de là ou nous habitions etc. Même si ce n'était pas le grand luxe, nous étions nourris et traité correctement. C'est deux jours après que les choses ont changée et que les vrais problèmes ont commencés.


Un groupe de militaires encagoulés est venu me prendre, pareil ils m'ont mis un sac sur la tête et m'ont attaché les mains et les chevilles avant de me placer dans un véhicule militaire, pour un long trajet de plusieurs heures, j'ai commencer à avoir envie de faire pipi, et à avoir faim. Il faisait chaud et il y avait beaucoup de poussières, ce trajet était désagréable.

J'étais bien contente quand nous nous sommes arrêtés. Les militaires m'ont livrée aux surveillants de cette grande prison, je n'ai pas tout de suite connu mon lieu exacte de détention, les gardiens m'ont tout de suite dit que c'était ma nouvelle maison et m'on découvert les yeux.


Deux femmes en uniformes et rangers et un homme m'ont pris en charge. Ils m'ont dit qu'ici il ne valait mieux pas parler aux gardiens ni contester les ordres sous peine d'être sévèrement sanctionné.


Ils m'ont faite avancée dans les couloir et conduite dans une petite salle ouvertes, ils ont enfiler une paire de gant et l'une des gardiennes s'est approchée de moi par derrière pour me m'enlever les menottes et les chaines et de mettre les mains sur la tête. Puis l'ordre suivant me retenti encore dans les oreilles, ils me l'ont dit en arabe et en anglais : 


- "Déshabille toi, donne nous tes vêtements l'un après l'autre, y compris tes chaussettes,  ta culotte, ton soutien gorge, nous voulons te voir comme le jours de ta naissance."

Ce fut très choquant la première fois, même si je m'y attendais un peu car j'ai vue plusieurs séries et films américains ou des scènes en prison montre des gens devant se mettre totalement nue  pour une inspection complète avant de se voir remettre un uniforme de détenus jaune, orange ou rouge. J'espérais que les américains ne m'imposent pas ça, car je suis modeste et pudique et jamais aucun homme ne m'avais vu nue avant cela, et depuis ce jours là, exposer ma nudité allait devenir une sorte de routine quotidienne.


Oui qu'il en soit  c’est un choc mais je n'ai pas d'autre choix que d'obéir et de  faire ce qu’on me demande c’est à dire leur remettre mes vêtements. Ils sont trop costaud et je n’ai aucune chance de leur résister.

Avec une bonne dose de honte j’ai commencé par enlever mes habits devant eux. J’ai vraiment pas été élevée comme ça et je trouve l’obligation d’être totalement nue pour la fouille d’entrée en prison  très difficile. Surtout qu’ici les hommes sont autorisés à voir les fouilles des femmes et inversement les gardiennes peuvent voir les prisonniers mâles se faire inspecter.

Vous imaginez bien que les américains se fiche de ma culture et de ma religion qui m’inculque depuis ma plus tendre enfance des valeurs de pudeur et de modestie. L’une des premières choses qu’ils font aux femmes qui arrivent ici c’est de les déshabiller intégralement pour ce terrible rituel dégradant. Ils n’ont aucun état d’âmes a humilier les femmes ! 

J’ai retiré mon voile hijab qui couvre mes cheveux et mon cou et l’ai remis à une gardienne qui l’a pris et inspecté minutieusement . C’est strictement interdit en prison. Les femmes n’ont pas le droit de  le porter. Puis j’ai enlevé ma vestes, mes chaussures et ma chemise. Le staff a encore une fois vérifié qu’il n’y avait rien de caché dans les habits.

C’est ensuite au tour de mon jean d’y passer...

Je porte le hijab mais je m’habille en partie à l’européenne car les femmes de ma famille sont assez modernes. Mais la j’étais en petite tenue devant eux ..

J’ai du me mettre pieds nus et leur donner mes chaussettes qu’une surveillante a retourner avant de la placer dans un carton avec le reste de mes affaires.


J’ai commencé à pleurer puis une américaine m’a hurlé dessus pour que je retire mes sous vêtements.

« Retire tout ! »


J’ai supplié de pouvoir garder ma culotte et mon soutien-gorge en leur promettant que je ne cachais rien mais les gardes sont sans pitié.


« Nos règles sont très claires nous exigeons la nudité totale. Notre politique c’est la tolérance zéro, si vous n’obéissez pas et ne vous soumettez pas immédiatement à nos ordre nous utiliserons la force et des vêtements seront découpés. Les femmes rebelles ici sont vites matées.»

Je n’ai vraiment pas eu envie ce jours là d’être dépouillée de force alors j’ai remis mon soutien-gorge et l’ai tendu à l’une des soldates. Elle l’examina et vérifia chaque  points de ce dernier et retourna même le bonnet.

J’ai ensuite fermé les yeux et fait tomber ma culotte sur mes pieds nus et je me suis baissée pour la ramasser et la donner à une gardienne.

J’ai eu l’interdiction de cacher ma poitrine et mon sexe car ils m’ont fait mettre les mains sur la tête et les jambes écartées. Les américains détiennent tout le pouvoir dans la prison, ils nous déshumanisent et dégradent des l’arrivée !

Entièrement nue, ils observent et scrutent mon corps, de la tètes aux orteils. Ils m’avait même mis un doigt dans les fesses et un doigt dans vagin !!!


Ensuite après cette affreuse fouille les américains n’ont amené dans la section ou sont détenues les femmes. Elles étaient nues et exposées 24/24 et 7/7 aux regards des gardes habillés et des autres prisonniers.


Liens :

 

Naked behind bars.


Obligatoirement nue.


Exposée et humiliée.



dimanche 4 avril 2021

Garde à vue, nudité, humiliation, interrogatoire musclé

Nudité totale en détention.
Prisonnière nue entre les mains de sa gardienne en uniforme.

Reportage exceptionnel dans l’un des commissariats de la BAC féminine. 


Vous le savez tous, depuis quelques mois, suite à différents événements, face à la hausse de l’insécurité et du terrorisme, le gouvernement a dû revoir profondément sa politique sécuritaire. Les pouvoirs de la police et des services de défenses ont étés considérablement renforcés. La politique gouvernementale est claire : la sécurité passe maintenant bien avant les libertés, et l’efficacité policière et la culture du résultat nécessite de revoir fondamentalement la notion de droit de l’homme, qui est exclue maintenant des procédures sécuritaires au profil de méthodes jugés plus efficace. Sans sombrer dans la barbarie, le gouvernement à élaborer un système de répression de la population et de la jeunesse alliant droit de l’homme. La notion de torture est redéfinie, et bien que la torture soit toujours interdite, ses limites ont été redessinées. 

Interrogatoire renforcés et difficiles.



La définition juridique de la tortue adoptée par le gouvernement est la suivante : « La torture consiste à infliger volontairement à une personne des douleurs durables laissant des séquelles physiques. ». Cette nouvelle définition qui remplace l’ancienne, à l’avantage de donner aux autorités un éventail plus large de sanctions, mesures coercitives et de méthodes pour faire parler les individus suspectés de crimes, délits, atteintes à l’ordre public, à la paix publique, à la sureté de l’Etat et des Institutions, ou toute personnes potentiellement menaçantes pour le bien public dont l’Etat est le garant.

Nudité forcée et humiliation en Garde à vue
Femme exposée et attachée nue (humiliation publique et sexuelle).



Ces réformes juridiques donnent donc à l’Etat plus de moyens pour assurer la sécurité collective, et donne les mains libres à la police pour travailler librement et sereinement. Le gouvernement a bien aussi décidé de sortir définitivement de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, et de ne plus la respecter, pour ne plus être ennuyé par sa Cours qui selon le gouvernement, porte atteinte à la souveraineté de l’Etat.


La plupart des commissariats ont donc revu leurs méthodes suite aux réformes gouvernementales. Le gouvernement ayant décidé de renouveler les effectifs et de faire appel à de personnelles ici du monde BDSM (Bondage, Domination et Sado masochisme), dont le savoir-faire est reconnue pour alliée « torture » et sécurité (il est hors de question pour le gouvernement que des gens meurt ou soit mutiler suite à des interrogatoire musclés) , le ministère de l’intérieur à donc naturellement fait appel à des équipes de dominatrices et de dominateurs sadomasochistes pour aider les suspect à parler sans risque pour leur vie et santé.
Nous allons ici nous immerger dans un commissariat dirigé par un groupe de femme. Une BAC (brigade anti-criminalité) féminine. La commissaire principale, Miléna est une dominatrice lesbienne blonde de 30 ans, recrutée pour son savoir-faire pervers et sadique. Elle est assistée de son adjointe Wafa, une autre dominatrice brune arabe sans pitié. Les deux femmes dirigent un commissariat, et nous ont fait le privilège, à nous, de nous ouvrir leur porte pendant 48 heures pour que nous puissions les voir travailler. Elles sont accompagnées d’une équipe de policiers, hommes et femmes. La mixité est importante selon la patronne, elle permet de mieux humilier les suspects. « Les hommes n’ont en générale que le rôle de brutes, de gros bras, et leurs organes phallique peut être utilisé lors des interrogatoires. Après rien ne nous empêche de faire appel à des hommes spécialistes », nous explique Wafa.

La loi prévoit bien que toute allégation de torture à l’égard des forces de sécurité est un crime contre l’Etat et une injure à la police, et que c’est passible de poursuite. Nous avons le droit de parler de « torture » à condition d’y mettre des parenthèses, car il est inconcevable que dans un Etat démocratique, que la police républicaine puisse torturer des gens alors qu’elle protège les libertés publiques, et que la première des libertés et la sécurité. Et que toute atteinte même symbolique portée à la police est considéré comme une incitation à la violence et au terrorisme.


Après ce bref appendice, nous allons nous présenter notre reportage exclusif en immersion dans un centre de police qui arrête et fait parler des suspects hommes et femmes accusés de toutes sortes de crimes et délits.


Une nuit en Garde à vue pour des manifestantes.

La police anti-émeute, les CSR ont à a des manifestants et manifestantes, les manifestants sont triés selon leur sexe, les garçons avec les garçons et les filles avec les filles, et chaque groupe et mis dans un fourgon de police. Par chance, un groupe de fille est arrivé dans la nuit vers 22 h dans notre commissariat.
Les filles arrêtées on violer la loi en manifestant sans autorisation, elles ne risquent rien, hormis une éventuelle amende de quelques centaines d'Euros, bien maigre sanction pour nos policiers, qui trouve ça trop léger, ces femmes on porter selon eux atteinte à l'autorité de l'Etat et doivent être sanctionnées. La police décide donc de profiter de le temps que leur laisse la garde à vue, et de leurs nouveaux droits pour punir et humilier ces femmes opposantes à la politique gouvernementale, car ici les travailler pour leurs sous tirés des informations n’a pas grande importance, mais ces filles peuvent servir d’amusements pour nos enquêteurs. La durée de Garde à vue pour ce genre d’affaire est de 24 heures, qui peuvent être mise à profil bien sûr pour leur passer l’envie d’exprimer des opinions illégitimes (NDLR : le Comité de Protection de la Liberté de la Presse nous oblige à écrire la dernière phrase.).

Les manifestantes arrivent par la porte de derrière, on les laisse une dizaine de minutes dans une pièce en attendant de savoir ce qu’on va leur faire. Miléna est occupée à travailler au corps une journaliste suspectée d’outrage au président. C’est donc Wafa qui supervise brièvement la garde à vue de ces filles et elle vient les chercher, escorté de deux armoires à glace, deux flics à l’air cruels et violent. Wafa leur annonce leur mise en garde à vue pour comme nous l’avons dit, manifestations illégales et pour « avoir des idées de merde à tendance gauchistes ou droit de l’hommiste ». Wafa les qualifie de « groupes de putes » à qui il faut apprendre le respect. Elle leur explique leurs droits « Vous êtes toutes placées en Garde à vue, vous êtes sous notre responsabilité, et vous n’avez pas beaucoup de droit à part nous obéir et ne pas nous faire chier car nous sommes occupé ».

«Vous êtes 5, âgées de 19 à 26 ans, la plupart de vous êtes des étudiantes en histoire ou en Art, nous avons Mélanie 19 ans, Anissa 26 ans (la plus vieille et elle ont le corps tatoué.), Charlène 20 ans, Jessica et Marie toutes les deux 22 an. On va s’amuser avec vous cette nuit ». Leur dit la policière rebeu qui passe auprès de chacune d’elles et les impressionne.

« Bien vérification d’identité faire, bande de petites prétentieuse d’intellectuelles, faisons connaissance, déshabillez-vous et posez vos vêtements dans les paniers ». Ordonne l’agent.

Les filles stupéfaites hésitent, Jessica ouvre sa bouche, et se prend dans l’instant suivant une baffe de la patronne adjointe.


Humiliation et asservissement sexuelle BDSM en prison
Homosexualité forcée pour les prisonnières nues.



Nudité forcée, humiliations et sévices.


« A poils tout de suite » dit fermement W afa. Les filles retirent leurs manteaux, veste ou pull pour celles qui en ont.

« Plus vite, que ça, à Poil » hurle les flics, une fois en sous-vêtement Jessica et Mélanie arrête et se mettent à pleurer. Elles se prennent une rafale de claques.

« A poils es filles, je vous ais ordonner de vous déshabiller, ça veut dire vous enlevez tout ». Leur dit froidement Wafa.

Une fois les cinq filles totalement nues devant Wafa et les policiers hommes. Wafa, nous, à affirmer en privé préférait que le déshabillage et fouille à nu se déroule en présence d’hommes et de femme pour accroître la gêne et l’humiliation des pudiques.

Les filles sont escortées toute nues dans une autre partie du commissariat, elles marchent pieds nus sur le sol glacé et sont placées en salle de fouille, elles s’inquiètent, car elles sont déjà toutes nues.

Wafa leur ordonne l’une après l’autre de passer au milieu de la pièce, et de s’exhiber. Les filles doivent l’une après l’autre ouvrir la bouche, défaire leurs cheveux, soulever leurs poitrines et faire bouger leurs seins, montrer leurs plantes de pieds. Et surtout, écarter grand les fesses pendant que Wafa leur pointe une lampe en direction du trou du cul et regarde en n’hésitant pas à y mettre ses doigts gantés et le faire lécher aux filles qui trouvent ça dégoutant et vomissent pour certaines. Les filles sont aussi contraintes de se regarder nues mutuellement, par faire connaissance, Wafa entendait par là les forcer à se regarder mutuellement le entrailles de leur cul et chattes sous les rires des autres flics.

Une fois les anus passés en revue. Wafa les laisse mijoter et ferme la salle. Les filles pleurent et s’angoissent, elles entendent des bruits de chiens, des aboiements.

Puis les flics reviennent avec un gros chien noir. « Il va s’assurer que vous n’ayez pas de drogue ». Les filles doivent se mettre debout les mains sur la tête et écarter les jambes pendant qu’un flic dirige le chien vers le vagin de chacune d’entre elles. Le chien renifle les chattes et les lèche.

Wafa ordonne à ses sbires de saisir Jessica, et de lui écarter les chevilles pour rendre sa chatte accessible aux chiens, un autre flic passe une sorte de crème sur les organes de la prisonnière, et le chien lui lèche longuement la chatte. Elle sent le museau du chien sur son clitoris, et la langue du clébard qui lui rentre entre les lèvres. Elle ne peut s’empêcher de gémir au contact de la langue rugueuse du chien. Jessica est pleine de plaisir, mais de honte aussi.

Les autres filles sont effrayées, mais aussi émoustillées devant cette scène. Wafa passe à nouveau en revue les organes génitaux des filles. Anissa est celle qui mouille le plus, Wafa lui fait remarquer qu’elle mouille comme une chienne elle aussi. Et que Jessica est une chienne en chaleur, et qu’elle doit lécher la chatte d’Anissa.

« À genoux chienne de Jessica, léche ta copine » ordonne la dominatrice, après avoir mis un coup de cravache à la chienne.

Jessica est en train de nettoyer les parties intimes d’Anissa. 

Wafa observe les chattes et les culs des trois autres filles. « Anissa, rends service à Marie, mais lèche lui bien le cul, je crois qu’elle a pété la sale truie ».

Marie doit se pencher en avant et écarter les fesses, et Anissa s’agenouiller. Face à l’hésitation, Wafa colle le visage d’Anissa entre les fesses de Marie pour la forcer à y passer la langue.

Les filles sont ensuite remises debout et alignées. Et le chien leur repasse une autre fois autour du cul « Pour le plaisir » dit Wafa.

La fouille terminée. Wafa s’en va, elle a d’autres personnes à faire parler, ces filles-là n’ont aucun intérêt niveau renseignement nous dit-elle. Il faut juste les humilier et les rendent soumis, et se détendre avec elle.

« Je vous laisse entre les mains des gardiens de la paix. ». Dit elle en partant.


Interrogatorie musclé nue pour femme prisonnière.
Prisonnière nue en attente d'interrogatoire.



Cruauté gratuite.


Les policiers mâles les font bouger, elles sont promenées à poil bien sûr, puis on leur prend leurs empreintes, et en photo. Les photos sont prises nues, on les photographie de face, de poil, mais on prend aussi en photo leurs seins, fesses, anus, vagin et pieds, ainsi que toute nue de plein pied. C’est la nouvelle procédure. Les flics les amènent en salle de détente, ou ils forcent les filles à sautiller toutes nues devant eux et s’amusent de leurs seins qui bougent.



Les jeunes prisonnières sont ensuite placées dans une petite cellule froides et puante ou elles reste nues et serrées comme des sardines.



On viendra ensuite les chercher une à une pour les interroger et les faire signer des papiers d’aveux. Chose facile à obtenir.



Liens : 



Sévices à la prison des femmes.



Contention et restriction en prison.








samedi 3 avril 2021

Des prisonnières humiliées et abusée pendant leur séjour en camp militaire.

 


Femme nue dans sa cellule de prison pendant la torture.
Prisonnière nue et exhibée en cellule.


La cruauté d'une l'équipe de surveillant de nuit dans la section féminine de la prison.



Introduction.


Un témoin nous parle du sort réservé aux femmes détenues dans la prison militaire d'un pays d'Amérique latine après une révolution réussie. Les prisonnières sont des femmes liées à l'ancien régime et des riches femmes d'affaires arrêtées pour liens avec l'insurrection. Le pouvoir en place tente d'assoir son pouvoir et ferme les yeux sur les débordements causés par les militaires et policiers du nouveau régime.

Les nuits sont propices aux abus, le groupe responsables de la section qui accueille les femmes est composée de tarée et de pervers sexuels. Les gardiens et gardiennes sont recrutés parmi les classes défavorisée et sont avide de revanche sur leurs anciens maîtres. Leur méchanceté s'exerce particulièrement sur les femmes.

L'enfer commence à la nuit tombée quand une équipe de surveillants cruelle arrive. En général une femme est prise par hasard, l’équipe investie sa cellule, elle doit se déshabiller et retirer tout ses vêtements et attendre nue dans le couloir que sa pièce soit contrôlée, chose très simple car les cellules sont petites et se comptent de simples toilettes turques, d’un lavabo et éventuellement d’un tapis pour dormir et les plus chanceuses ont un matelas.


La nuit d'Anna.


Un soir c’est tombé sur Anna, une détenue qui est arrivée il y a peu, 

Elle a 25 ans et  porte une robe traditionnelle, dans ces prison il n'y a pas d'uniforme pour les captifs qui conservent leurs vêtements civils.

Elle n’est pas encore assez amusante pour les gardes du soir, l’équipe surveillante est de facto mixte contrairement aux déclarations officielles car les hommes présents le sont sous le statut de "policier militaires". La pauvre femme, elle a passé un sale moment cette nuit là. Elle est une femme d'affaire  accusée de corruption, c'est une affaire de droit commun sans intérêt pour les interrogateurs de l'armée. Elle est battue pour avoir refuser de se déshabiller, puis elle est conduite dans une salle composée de lit de camps ou sont allongées et exposées d'autres femmes, toutes à poil, attachées pieds et mains aux barreaux des lits.

Anna et les autres sont pleines de honte d'être exposées ainsi au regards du public, les autres femmes ont les organes génitaux rasés, l'une a même été tondue ! 

Cette salle d'exposition est libre d'accès pour les gardes et membres du staff pénitentiaire, et ils ont tous leurs lubies et obsessions perverses !

Une surveillante décide de s'occuper de la chatte de la détenue, elle contrôle et rase les prisonnières dès qu'elle le peut.


Elle tourne autour d'Annaet des autres captives, touche les vagins pour vérifier qu'ils soient bien lisses. La nouvelle doit apprendre à être propre et lisse comme les autres, dans un premier temps elle passe un coup de tondeuse  et badigeonne celui de la femme d'affaire de mousse avant de lui faire la moule imberbe et soyeuse.

La jeune prisonnière est maintenant "toute propre" et se sent encore plus nue de montrer son sexe sans poils.

Une ancienne surveillante du soir nous en apprend plus sur les perversions des gardiennes et les types de soirées qu'elles imposent aux prisonnières :

"Les soirs les gardes vont chercher des femmes plus ou moins au hasard sauf celles qui sont sous le protection des renseignements qu'on a pas le droit de toucher.
Bon bien sur on maltraite un peu les prisonnières mais rien de bien méchant dit elle avec un sourire narquois. Enfin pas tant que ça.

On les humilie un peu comme nous le recommande la CIA. On fait rien de mal à part les forcer à rester nues, la plupart viennent de milieux respectables, conservateurs et traditionnel  c'est amusant les premiers jours de les voir à poil et horrifiées, suppliantes et choquées. Comme la nouvelle là, Anna, une femme d'affaire  lol, on en entend des bonnes tout les jours. Allongée à poil sur le lit le minou épilé elle faisait pas trop la maligne avec les autres arabes, attachées sur des lits les jambes écartées !

On les laisse mijoter comme ça en prenant des photos et en les branlant de temps en temps jusque à ce que leurs chattes soient toutes humides. La nouvelle mouille vite lorsque on la doigte. Les autres ont l'habitude de ce type de traitements même si beaucoup font semblants on sait qu'elles aiment ça et que c'est pour leur bien !

Homosexualité forcée pour groupe de femmes prisonnières nues
Des femmes prisonnières nues forcée d'être lesbiennes.



Pour Anna, qui est brune à la peau mate, assez embêtée et de taille plutôt petite, elle doit faire 1.70m pour 60 kilos. On a eu l'idée de jouer avec des glaçons qu'on balade sur son corps, le froid l'a fait vite réagir, on lui à nettoyer le vagin avec le glaçon jusque a ce que le clitoris et les lèvres  soient toutes glacées , puis nous lui avons insérer dans la chatte ! Elle en a eu un autre dans l'anus aussi, c'était vraiment marrant de la voir se trémousser et se dandiner en émettant des petits gémissements lorsque le glaçon fond dans ses entrailles.

Ensuite les femmes choisies sont détachées des lits, pour Anna c'est sa première parade nue, nous amenons les prisonnières à poil dans une salle plus loin qui nécessite de marcher nue dans les couloirs et d'être vue par les autres détenus hommes et femmes, pour les anciennes devoir parader nues est une pratique de routine.

Anna doit mettre les mains sur la tête et avancé en étant visible par tout le monde, il y a un passage devant des prisonniers masculins, le groupe de femme marche pieds nus et les plantes des pieds commencent à se salir et noircir.

Les gardiens de nuit aiment faire parader les prisonnières à poil et les exposer publiquement.

Une fois arrivée, Anna et les autres détenues doivent courir, sautiller et faire des exercices sportifs de monter de genoux, les gros seins de ces femmes montent de descendent et ça fait rire le staff.

Les captives doivent se tripoter les nichons mutuellement et se les lécher sur ordres des lesbiennes, Anna pour la première fois doit avoir des rapports avec d'autres femmes, elle sent les lèvres et les dents d'une autre femme qui lui mordille les tétons.

"les prisonnières ici s'habituent a se soumettre a nos exigences et deviennent vite de petites salopes lesbiennes bien soumises.
On n'aime pas celles qui jouent les prudes et les mijaurées et ont les force à faire des pratiques sexuelles salaces, cette salope de bourgeoise doit comprendre qu'on fait ça pour son bien."

Les anciennes prisonnières sont de vraie lécheuse de chattes et de cul, Anna ne peut retenir sont plaisir de se faire baiser par les autres prisonnières qui lui explorent ses trous et lui bouffent la chatte, elle sent des langues lui chatouiller le clitoris et l'anus  et lui rentrez dans les orifices intimes.

"ahaha on les fait se gouiner entre elles, elles aiment ça ces salopes et deviennent si vite accroc au sexe entre femmes."

On prends des photos pour immortaliser cela.

Une autre surveillante ce rappelle de cette nuit là " Anna après avoir eu plusieurs orgasmes a du lécher les pieds sales d'une autre détenue jusque a ce que les traces noirs disparaissent totalement.


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lundi 22 février 2021

Institut: Nue dans le bureau de la directrice ...

Nudité et exhibition au foyer pour jeunes femmes : Obligation d'être nue
Toute nue devant la directrice du foyer.


Lola a 20 ans, c'est une jeune fille qui vient d'arriver dans un institut assez stricte chargée d'assurer l'éducation des jeunes femmes ayant des problèmes sociaux éducatifs. Le foyer pour jeunes filles ou elle est inscrite est adepte des châtiments corporels et des punitions bien humiliantes.


Lors de l'accueille, les jeunes filles sont convoquées dans le bureau de la directrice, une femme très stricte et sévère adepte de l'autoritarisme.


Lola comme les filles de son âge n'est pas habillée de façon très correcte aux yeux de la patronne des lieux. La directrice explique qu'ici aucune fille n'a le droit, dans aucune circonstance de remettre en question un ordre, et qu'elle est là pour inculquer la discipline aux jeunes femmes comme elle. La première leçon de discipline, l'ordre donné à Lola est d'enlever tout  ses vêtements.


La jeune fille hésite et la directrice la reprend vite en lui donnant l'ordre d'être "à poil".


Lola doit se déshabiller devant la directrice mais la porte du bureau est ouverte et certaines filles aiment regarder comment sont traitées les nouvelles. Lola doit se soumettre et se déshabille, elle retire son chemisier, sa jupe, puis elle se retrouve en sous vêtements.


La directrice ordonne "Et le reste ? retire tout'.


Lola défait donc ses souliers, elle ôte ensuite ses bas, puis son soutien-gorge et sa culotte pour se retrouver nue comme au premier jours de sa naissance.


Les jeunes filles doivent toutes se présenter nues devant la directrice lors du premier entretien en signe d'obéissance et de soumission.

Lola doit ensuite mettre les mains sur la tête et écarter les jambes , elle est toute rouge et les autres filles ont le droit de venir pour la regarder toute nue. Sa chatte et son anus sont exposés et commentés par les autres filles.

"Hahaha elle n'est pas vierge" dit l'une des anciennes en regarde de près la foufoune de Lola.


Et son cul dit une autre en ricanant, un garçon l'a t'il visiter ?


Puis c'est le silence total, la directrice explique à Lola qu'elle sera punie pour chaque fautes commises.


Lola va recevoir une grosse fessée toute nue et en publique, c'est une méthode pour s'assurer que les nouvelles comprennent qui est la patronne. Lola doit se mettre sur les genoux de sa maitresse et se reçoit une série de claques sèches et brutales , elle crie et commencer à pleurer car ses fesses brulent et se mettent à rougir.


Les fessées sont douloureuses, toutes les pensionnaires craignent la directrice suite à ça, le peur de recevoir une fessée renforce la discipline et l'ordre.


Lola pleure et se sent misérable de se prendre une fessée toute nue devant toutes les autres filles, elle sait que les autres se moque de ses fesses toutes rouges.


Une fois la correction de la soumise terminée, Lola doit se mettre à genoux et embrasser les pieds de la directrice en signe de soumission. La situation est rabaissante, que penseraient les autres si ils savaient que Lola est comme une chienne à poil en train de lécher les bottes d'une femme qui la domine ? Quel déchéance  pour le le premier jours.


Ensuite, on décide arbitrairement que Lola devra passer sa première jours entièrement nue, pour que les autres filles fassent connaissance avec elle sans qu'elle ne puisse rien cacher. Lola subie un bizutage en règle, elle est forcer de lécher les chattes et les cul des autres filles, certaines lui rote ou lui pète dessus.


Les garces l'a promène à quatre pattes comme une chienne, l'insultent, lui enfoncent des petits objets dans les fesses comme des godes ou des plugs.


Fin.



Modèle sur la photo : Lola X et Princess Donna Dolores.


Liens :


Bizutage collectif