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dimanche 14 septembre 2025

Humilier et ridiculiser une prisonnière.

Humiliation psychologique lors des interrogatoires.
Humilier toute nue devant les gardiens et gardiennes de prison.

 Ridiculiser et dégrader les détenues.


Dans les murs sombres de la prison d'Abu Ghraib en Irak, pendant la seconde Guerre du Golfe, les troupes américaines détenaient des femmes soupçonnées de liens avec l'insurrection. Ces prisonnières étaient à la merci de gardiens cruels et sadiques, qui avaient carte blanche pour briser leur esprit par l'humiliation et les abus. La discipline était absolue : soumission totale aux règles impitoyables, où la nudité forcée et les fouilles intimes par des mains masculines impitoyables étaient la norme pour maximiser la honte.

Dalila, une détenue musulmane voilée, accusée de soutien à la rébellion, était leur cible favorite. Pudique et fière, elle incarnait la résistance brisée. Confinée dans une cellule exiguë d'un mètre sur deux, vide et oppressante, elle était souvent extraite pour servir d'outil de distraction érotique aux gardiens. Nue en permanence – car pour les "prisonnières de haute importance" comme elle, l'humiliation maximale exigeait une exposition totale –, Dalila devait tourner sur elle-même, exhibant ses courbes sous tous les angles, la peau frémissante sous les regards lubriques. À quatre pattes, elle marchait, l'anus ouvert et vulnérable, bien visible, sentant l'air froid caresser ses parties intimes tandis que les rires moqueurs résonnaient.

Les gardes, mixtes hommes et femmes, savouraient la détresse dans ses yeux sombres, la honte brûlante qui rougissait sa peau mate. "Chienne, tu fais moins la fière comme ça ?", lançaient-ils en riant, profitant de sa pudeur innée pour amplifier leur plaisir sadique. Souvent désignée comme "le clown" de la prison, Dalila était traînée hors de sa cellule pour divertir la troupe. Les soldats dessinaient sur son corps nu des gribouillis pervers : "Spank me" en lettres grasses sur ses fesses rebondies, des insultes dégradantes tracées au marqueur indélébile sur ses seins et son ventre, transformant sa chair en toile vivante d'humiliation érotique.

Forcée à s'humilier verbalement, Dalila devait réciter d'une voix tremblante : "J'aime être nue devant mes maîtres supérieurs, les gardiens et gardiennes. Je suis fière d'avoir enlevé mon voile, mes vêtements et mes chaussures pour être enfin nue et libre." Chaque mot arraché renforçait sa soumission, un mélange enivrant de terreur et de résignation qui excitait les gardes.

 

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Discipline stricte en prison. 

samedi 12 avril 2025

Une bonne fessée et des humiliations pour une jeune fille pudique.

 

Punir et fesser les filles pudiques
Les filles doivent être reprises en main par des éducatrices sévères et strictes.

 Aïcha une étudiante punie par une éducatrice.

Dans un pensionnat isolé, où des jeunes filles de toutes origines sont envoyées pour corriger leurs écarts de conduite ou leurs lacunes académiques, l’ordre règne en maître. Les règles, gravées dans un règlement validé par une ordonnance ministérielle, prônent une discipline inflexible, où l’humiliation et la soumission sont des outils privilégiés. Les éducatrices, dotées d’une autorité incontestée, veillent à ce que chaque infraction soit châtiée avec une précision presque rituelle.

Aïcha, 21 ans, est une jeune musulmane au caractère bien trempé. Toujours vêtue de vêtements amples et d’un hijab impeccablement noué, elle arbore sa pudeur comme un étendard. Placée dans ce foyer par la justice pour absentéisme à l’université et comportement rebelle, elle défie les règles avec une insolence calculée : retards, remarques cinglantes, refus de se plier aux consignes. Mais ce soir, c’est une autre faute qui attire l’attention : son hijab, qu’elle porte ostensiblement malgré les rappels répétés sur la laïcité imposée dans l’établissement.

Dans le réfectoire, l’atmosphère est lourde. Madame Claire, l’éducatrice en chef, se tient au centre, imposante. Son tailleur strict et son regard perçant lui confèrent une aura de domination froide. Elle savoure ces moments où elle peut briser les résistances, surtout celles des filles pudiques comme Aïcha, dont la retenue l’agace autant qu’elle l’inspire. Les autres pensionnaires, assises en silence, savent qu’un spectacle se prépare.

« Aïcha, tonne Claire, tu as encore manqué tes cours, tes notes sont désastreuses, et tu persistes à défier la laïcité de cet établissement avec ce voile. Sans parler de cette pudeur excessive qui te pousse à te croire au-dessus des règles. Ce soir, tu vas apprendre ce qu’il en coûte. »

Aïcha, adossée à une chaise, croise les bras, un sourire narquois aux lèvres. « La laïcité ? Vous voulez juste me contrôler. Et ma pudeur, c’est pas votre problème. J’suis majeure, Madame, vous pouvez pas me forcer à quoi que ce soit. »

Un frisson parcourt l’assemblée. Les filles échangent des regards, impressionnées par l’audace d’Aïcha. Claire, loin d’être déstabilisée, esquisse un sourire cruel. « Oh, Aïcha. Tu penses que ton petit numéro m’impressionne ? Le règlement que tu as signé autorise des mesures… disons, éducatives. Et j’adore corriger les filles dans ton genre. Déshabille-toi. Complètement. »

Aïcha écarquille les yeux, feignant l’indignation. « Quoi ? Hors de question ! Vous savez que je porte le voile, que je suis pudique. Vous voulez m’humilier, c’est ça ? »

Claire s’approche, sa voix devenant un murmure menaçant. « Exactement. Les pudiques dans ton genre ont besoin d’une leçon d’humilité. Retire tout, y compris ce hijab. Ou je m’en chargerai moi-même. »

Aïcha hésite, jouant la révolte. Elle secoue la tête, lance un « C’est abusé ! » théâtral, mais au fond d’elle, une part secrète s’éveille. La sévérité de Claire, son autorité implacable, éveillent en elle une étrange fascination. Elle proteste pour la forme, mais son cœur bat plus vite à l’idée de céder. Lentement, elle commence à dénouer son hijab, ses doigts tremblants trahissant un mélange de honte et d’excitation. Le tissu glisse, révélant ses cheveux noirs. Puis viennent la tunique, le pantalon, les chaussettes. Elle marque une pause devant ses sous-vêtements, lançant un regard de défi à Claire.

« Continue, ordonne l’éducatrice, impatiente. Une soumise ne cache rien. »

Aïcha soupire bruyamment, mais obéit, laissant tomber ses derniers vêtements. Nue, elle croise les bras sur sa poitrine, jouant la gêne. « Satisfaite ? » lance-t-elle, provocatrice.

Claire la toise, savourant sa victoire. « Pas encore. Les bras le long du corps. Montre-toi. »

Aïcha obéit, un éclat rebelle dans les yeux, mais son souffle s’accélère. Elle sent tous les regards sur elle, et l’humiliation, orchestrée avec soin par Claire, la trouble plus qu’elle ne veut l’admettre. Claire désigne une chaise au centre de la pièce. « Viens ici. Sur mes genoux. »

Aïcha avance, chaque pas amplifiant cette tension délicieuse entre résistance et soumission. « Vous êtes malade, marmonne-t-elle, mais elle s’allonge sans trop protester, son corps frémissant d’anticipation. La position, humiliante, la ramène à une vulnérabilité qu’elle feint de détester.

Claire pose une main ferme sur son dos. « Ceci est pour ton bien, Aïcha. Pour ton insolence, ton voile, ta pudeur mal placée. » Sa voix est un mélange de reproche et de satisfaction. La première claque s’abat, vive et sonore. Aïcha sursaute, un gémissement lui échappe. Les coups suivants s’enchaînent, méthodiques, chaque claque ponctuée d’une leçon : « Tu apprendras… à obéir… à respecter… mon autorité. »

Les fesses d’Aïcha rougissent, la douleur se mêlant à une chaleur qu’elle refuse d’admettre. Elle serre les dents, jouant la rebelle, mais ses larmes, quand elles coulent, sont autant de honte que de relâchement. Claire, experte, sait exactement jusqu’où pousser. Quand elle s’arrête, Aïcha tremble, à la fois brisée et étrangement apaisée.

« Relève-toi, ordonne Claire. Au coin, mains sur la tête. Deux heures. »

Aïcha se redresse, lançant un dernier regard de défi. « Vous êtes dure, quand même, » murmure-t-elle, mais elle obéit, prenant place face au mur. Nue, exposée, elle sent l’humiliation peser sur elle, mais au fond, une part d’elle savoure cette discipline stricte, cette perte de contrôle orchestrée par Claire. Les autres filles observent, certaines intimidées, d’autres intriguées. Claire arpente la salle, triomphante. « Que ceci soit une leçon pour vous toutes. Défiez-moi, et vous connaîtrez la même correction. »

Le pensionnat, avec ses méthodes controversées, affiche un taux de réussite inégalé. Les filles, même les plus rebelles, finissent par plier, façonnées par la main de fer de Claire. Aïcha, elle, commence à comprendre qu’elle pourrait bien aimer ces jeux de pouvoir, même si elle ne l’admettra jamais à voix haute.

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La maison de correction.

lundi 13 janvier 2025

La déchéance de Safia

Fouille humiliante et déshumanisante en prison.

 La prison et l'humiliation.

En prison, Safia n'est plus qu'un numéro d'écrou, et une victime de l'arbitraire et de la brutalité des gardes qui prennent un malin plaisir à l'humilier et la dégrader en permanence.

La prison dans ce compté tenue par un shérif républicain est l'une des plus sévère du pays, malgré les protestations des organisations de gauche et des ONG de défense des droits de l'homme, toutes les requêtes et poursuites juridiques ont été repoussées par les juges qui estiment que le shérif est en droit d'utiliser toutes les méthodes qu'il souhaite dans le cadre des directives du gouvernement.

Le shérif ordonne au gardiens d'humilier, de dresser et de soumettre totalement les détenues.

Les femmes fières et respectables comme Safia, une musulmane pratiquante, condamnée à 30 jours de prison pour avoir participer à une manifestation pour la Palestine sont très choquées, sur place, elle est obligée de se mettre toute nue, de se déshabiller en public, sous les insultes et les moqueries des gardes.

 "A poil", les prisonnières sont "dressées" pour obéir aux ordres, en prison, la pudeur et la modestie n'ont pas leur place ici.

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Voyage dans les pires prisons du monde.

mercredi 1 janvier 2025

Le réveil difficile de pas mal de femme le 1er janvier.

Drunk girl is sleeping naked
Une fille se réveil à poil dans un lit inconnu le 1er janvier.

Le premier janvier, quand une femme se réveille à poil chez des inconnus ...

 Aujourd'hui, en ce 1er janvier 2025, des milliers de femmes après une nuit de fête, de débauche,  de consommation d'alcool et de diverses substances plus ou moins légales durant la fête du nouvel ans se réveillent avec le gueule de bois, dans des endroits totalement inconnus, avec un mal de crane et la bouche pâteuse, mais pas seulement ...

Beaucoup de femmes vivent l'expérience, chaque année, de se réveiller à poil dans des lits ou des canapés, avec comme question : Qu'est ce que je me suis prise dans la chatte et dans le cul hier soir ?

Par exemple ici sur la photo, Amélie ici à l'anus et le vagin irrités, elle espère qu'ils ne sont pas passer à plus de 10.

Elles ne se rappellent même pas des mecs qui les ont ramener chez eux, en général, c'est de toute façon des mecs moches et peu recommandables qui les ont baiser toute la nuit. En général, ils jettent les vêtements des filles, comme ça quand elles se réveillent, elles ne peuvent pas s'habiller et doivent rester à poil.

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Dormir toute nue.


 

dimanche 1 septembre 2024

Prisonnière "de haute sécurité".

Les prisonnières nues dans les couloirs
Les femmes alignées nues dans les couloirs de la prison.

Le sort des femmes arrêtées et placées sous le statut de "prisonnières de haute sécurité".

 En 2004, pendant la guerre en Irak (2003/2011), des dizaines de femmes irakiennes ont été arrêtées et détenues par les forces d'occupation américaine et gardées dans la tristement célèbre prison d'Abou Ghraib dans les environs de la capitale Baghdad.

Les femmes sont retenues dans une aile de la prison qui leur est réservée. Elles sont accusées de liens avec l'ancien régime, l'insurrection, le terrorisme ou de financer de la rébellion. Elles sont souvent simplement liées par des liens familiaux à des personnes recherchées.

Ces détenues sont isolées des autres, privées de contact avec leurs familles et n'ont pas le droit de consulter d'avocat ni d'avoir accès à leurs dossiers.

Elles sont gardées 23h/24 en confinement, n'ont droit qu'à une douche par semaine, et la nourriture est de mauvaise qualité. 

Leurs vêtements sont confisquées et détruit, leurs chaussures aussi, alors que la plupart d'entre elles portent le hijab et l'abaya en tant que respectables musulmanes conservatrices, à Abou Ghraib on leur interdit de porter le moindre vêtements.

Quand une femme arrive, elle doit se déshabiller pour la fouille toujours très complète (inspection des anus et vagins), ses vêtements sont confisqués et elle apprend qu'en prison, c'est la nudité obligatoire.

Les femmes sont régulièrement alignées nues dans les couloirs pour que tout le monde puissent les voir nues et profiter du spectacle.

Les interrogateurs estiment que les femmes doivent perdre toute pudeur et rester nues, qu'il faut utiliser leurs tabous culturels et religieux pour les rendre plus dociles. Comme elles sont très modeste et qu'aucune d'entre elles n'a jamais oser ne serait ce que mettre un bikini à la piscine, il faut les forcer à rester à poil et tout monter aux hommes. Leurs voiles sont interdits, comme le reste de leurs vêtements, elles doivent avoir les seins et les fesses à l'air, leurs pieds sont nus car les chaussures sont interdites et les bas collants et chaussettes sont bien sur prohibés.

Elles sont forcer de se regarder nues les uns les autres, la pleine nudité est spectaculaire dans ce secteur; difficile d'imaginer qu'en arrivant ces femmes étaient complétement voilées, et qu'elles sont  alignées toutes nues.

Tout est fait pour humilier les femmes, les obligation de montrer leurs seins, de remuer les fesses sous les rires des gardiens. Les gardes font tout pour les dégrader, sans cesses elles sont obliger de remercier leurs gardes de leur avoir apporter la liberté.

L'hymne des États Unis raisonne deux fois par jours et les détenues doivent se mettre en position de respect et l'écouter attentivement.


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Humiliation et choc culturel.


dimanche 22 mai 2022

Humiliation et dressage d'une femme réduite en esclavage BDSM.

 

Esclave BDSM nue et bien dressée.
Esclave nue expose son cul avec fierté sur ordre d'un dresseur.

Une femme avilie et réduite en esclavage.


Qui aurait penser que la femme sur cette image avait, à l'époque de la pudeur, de la dignité, une situation sociale et qu'elle était respectée ?


Elle s'appelait Andrea et était la fille d'un riche homme d'affaire proche d'un régime dictatorial d'Europe de l'Est. Elle a reçue une bonne éducation et avait de part son statut social un très bon poster avec de bon revenus.

Mais les Etats Unis et les services occidentaux ont organiser un coup d'état qui à déclencher une guerre civil dans le pays et le régime est tombée après plusieurs années de guerre. Andrea a été capturée et faite prisonnière dans un raid. Son père s'est enfuit dans un pays allié.


Comme prisonnière de guerre, Andrea a perdue tout ses droits, les révolutionnaires adverses l'ont dépouillée de tout ses vêtements et bijoux et enfermée dans une petite cage totalement nue pendant plusieurs jours. 


Pour se financer, ce type de groupe armé pratique tout les trafics possibles y compris celui des femmes. Andrea est donc vendue pour son potentielle à une organisation de dressage et de revente de femelles.


Après un "contrôle technique" qui consiste en une horrible et profonde inspection totalement nue de la tête aux pieds et de devoir ouvrir la chatte et l'anus le plus possible aux acheteurs.


Ensuite l'esclave est enfermée nue  et enchainée dans une petite cellule noire avec peu d'eau et de nourriture et sans aucune dignité ni hygiène et sans possibilité de prendre une douche.


La soumise est exhibée sans cesses, insulter, forcer d'être promener comme une chienne, de pisser et de faire caca devant tout le monde, de manger dans une gamelle nue à quatre pattes avec les fesses en l'air.


L'objectif est de faire perdre toute pudeur et dignité et d'avilir au maximum l'esclave pour lui faire perdre toute volonté et la soumettre totalement.


Ensuite une fois qu'Andrea est bien dressée et soumise, elle est vendue a des riches perles qui l'utilisent comme esclaves et jouet sexuelles en lui accordant un statut juridique proche de l'animal de compagnie et de la domestique.


C'est une esclave de l'est qui sert à distraire les riches occidentaux, elle se met à quatre pattes comme une bête et ouvre ses fesses sur commande et de façon tout à fait naturel.



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dimanche 1 mai 2022

Une femme interrogée nue sans pudeur.

 

Nudité forcée pour les femmes durant les interrogatoires.
Prisonnière attachée nue pendant l'interrogatoire.

La nudité forcée lors des interrogatoires.


L'une des choses pour laquelle les femmes ayant été incarcérée et détenue par l'armée américaine durant la seconde guerre d'Irak (2003/2011) garde le plus d'amertume sont les obligations de se déshabiller et les humiliations.


Lorsque les forces armées américaine arrêtent des femmes irakiennes, en général pour des raisons de soupçons de liens avec l'ancien régime, de soutient à la résistance ou encore de liens familiaux important avec des personnes recherchées. Si les femmes  prisonnières sont relativement exemptées d'agression physique, de passage à tabac, de torture hard etc. Elles n'en demeurent pas moins soumises à des mesures de sécurité très stricte, d'isolement (confinement solitaire), d'humiliation, de mesures vexatoires et de pression psychologique très forte.


C'est comme le cas rapporte d'Houda, une jeune femme détenue plusieurs semaines en 2004 pour avoir  été soupçonnée d'organiser des manifestations contre la présence américaine.


Les personnes emprisonnées avec Houda sont majoritairement des hommes et deux trois femmes, elles ont été amenées dans un centre de détention militaire spéciale près de Baghdad. Sur place Houda et les quelque femmes ont étés contraintes de retirer leurs vêtements devant une gardienne blonde américaine accompagnés de 3 soldats hommes et femmes dans une pièce ou la porte reste grande ouverte et avec une fenêtre qui rend les déshabillage visible par les gens qui passent de l'extérieur.


Les américains obligent les prisonnières à retirer leurs hijab (voile), et tout le reste ; vêtements, sous vêtements, bijoux, chaussettes, chaussures pour une fouille public visibles par les soldats hommes et même par les prisonniers qui peuvent tout entendre et voir.


Les militaires se moquent et rient de voir les prisonnières nues devoir prendre des poses gênantes et humiliantes pour l'inspection qui est très complète : bouches, oreilles, aisselles, nombril, entre les fesses, doigts de pieds etc. Et bien sur inspection anale et vaginale avec l'obligation de pencher pendant que la gardienne regarde le fond de leurs trou du cul avec une lampe torche. Certains prennent des photos des femmes nues.


Ensuite Houda n'a pas eu la possibilité de remettre le moindre vêtements car elle a du attendre d'être interrogée entièrement nue par un agent du renseignement et de la police militaire et subir des remarques avilissantes.

Dans la prison d'Abou Ghraib les détenus interrogés le sont et toujours complètement nus. Houda garde un très mauvais souvenir car après la fouille elle a attendu plusieurs heures à poil et pieds nus et a été exhibée devant ses camarades d'études et des gens de sont quartier.

Ce processus est validé par les autorités militaires américaines qui le trouve très simple efficace et facile à mettre en place. Houda et ses compagnes d'infortune restent très choquées par cette expérience 


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samedi 23 avril 2022

Des lesbiennes vicieuses dressent une catholique coincée (BDSM).

 

Soumise blonde nue en bondage exhib.
Soumise nue et ligotée totalement à poil.

Deux filles sadiques font d'une catholique une lesbienne docile.


Marie est tombée sous le joug de deux perverses lesbiennes qui ont fait d'elle leur jouet et esclave. Cette femme blonde, catholique, conservatrice et bourgeoise est en présence de ces deux garces obligée de se déshabiller et forcée d'être la seule a rester entièrement nue et interdite de porter le moindre vêtements.


Elle est au service de ces dominatrices  et doit faire toutes les corvées domestiques, le ménage, leur servir à voir et à manger, cuisiner pour elles.


Elles aiment aussi l'humilier et la rabaisser en l'obligeant a lécher oralement leurs chattes toutes mouillées et à lui introduire des doigts dans le cul pour la faire mouiller.


Une des domina est adepte du bondage et du ligotage et impose à Marie d'être attachée et exhibée nue plusieurs heures dans des positions dégradante et totalement exhibée.et disponible pout tout les sévices et outrages possibles...


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Humiliation et dressage d'une soumise pisseuse.

vendredi 4 février 2022

Dressage à poil d'un soumis nu en public (Roucisme).

 

Mec soumis traité comme un chien et humilié
Dogtraining, soumis à poil et humilié en public.

Un roux humilié nu  et traiter comme un sous homme par une bande.


Lucas, un jeune homme de 30 ans environs, c'est un roux, un rouquin et sa chevelure lui a value d'être asservi et humilié par une bande de délinquant vouant une haine particulière au peuple roux.


Avec les crises récentes (épidémies, guerres, crise économique, réchauffement climatique etc.) les superstitions et les croyances étranges reviennent en force. Le peuple cherche des boucs émissaires, des responsables à tout les malheur de ce monde, et les roux sont les cibles idéales.


Le racisme anti roux n'étant pas reconnu contrairement à d'autre forme de racisme,  plusieurs groupes sectaires  et pervers dont les membres sont persuadés que les roux sont les fils du diables et de véritables démons incarnés émergent dans beaucoup d'endroit en France.


Le gouvernement français soutient en sous main ces actions visant à trouver des responsables et calmer la colère de la populace. Le racisme anti roux est devenu la doctrine officielle de plusieurs partis politiques français.


Lucas a été humilié durement par ce gang, ça a très vite commencer à sentir le roussi pour lui quand il a été pris à partie par deux mecs dominants et baraqués qui lui reproche la couleur de ses cheveux.



La victime est amenée dans un coin à l'écart dans la cité pour une séance d'humiliation et de dressage public. La foule accuse ce roux de porter malheur et de diffuser des épidémies de coronavirus et de risquer de provoquer un tremblement de terre. 



Pour exorciser et tenter de sauver l'humanité,  la solution est de punir l'incarnation du mal et d'humilier l'agent du diable en public.


Pour l'humilier, Lucas est d'abord forcer de se mettre totalement à poil en public sous les rires et insultes des membres de la bande et du public.


La mise à poil est totale, nu, pieds nus sans aucune parcelle de tissu pour couvrir son corps, le soumis doit être dressé, humilié, fessée, dégradé pour perdre toute humanité.


Lucas est promener à poil avec une laisse comme un chien en pleine rue dans l'indifférence et le mépris général.


Les voyous lui crachent dessus, lui donnent des claques sur les fesses et le force à écarter pour que son anus soit bien visible et ouvert !


Aucune dignité ne lui est permise !


 

Fessée public et mise à poil d'un soumis roux.
Un soumis dressé à poil et fessé nu.


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lundi 17 janvier 2022

Vidéo d'un bizutage hard

 


Une fille bizutée qui a perdue à la lutte humiliée et baisée par le public.


Dans cet institut universitaire les bizutages sont vicieux et très crash, la tradition veut que les filles de premières années luttent nue en public, ces combats se déroulent dans une atmosphère torride et toutes les perversions lesbiennes sont permises pour gagner.

La perdante devient la soumise et l'esclave sexuelle des anciens qui peuvent la baiser en public et tout lui faire.

Lyla vient de perdre son match de lutte, elle est donc l'esclave et aucune humiliations ne lui sera épargnées !


Bizutage, la fille qui perd le combat de lutte humiliée et baisée en public.
Un bizutage hard qui se termine par un gang bang de la perdante.



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vendredi 3 décembre 2021

Une femme baisée nue et en public par un groupe dans une laverie ( vidéo BDSM).

 

BDSM Hard : une femme soumise nue se fait humilier et baiser de façon dégradante dans une laverie en public.


Une bande de pervers a organiser un gang bang dans une laverie pour baiser et humilier une soumise SM en public.



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Asservissement sexuel.

mercredi 3 novembre 2021

Femme terroriste arrêtée à poil par la police.

 

Nudité, menottes et chaines pour une femme suspecte.
Mise à poil et menotté pendant l'arrestation.

Une Femme nue et dressée par la police lors de son arrestation.


Aux Etats Unis depuis plusieurs année nous assistons à une recrudescence de la violence, des incivilitées et du terrorisme qui ont contraint les polices des différents Etats à durcir leurs mesures et à employer des méthodes de plus en plus dures et dissuasives.


Léna, une étudiante libanaise en économie résident aux USA a été arrêtée et humiliée sous de fausses accusations de terrorisme suite a de la dénonciation calomnieuse de la part d'un voisin. La police fédérale à immédiatement réagi et envoyer une équipe d'intervention appréhender la jeune femme à son domicile, un appartement d'un quartier assez aisé.


Une fois la perquisition commencer, Léna a du se déshabiller complètement pour une fouille à nu devant des policiers hommes, cette procédure est validée et justifiée par la justice pour des raison de sécurité aux Etats Unis des gardiens et des policiers hommes peuvent fouiller des femmes et inversement des femmes peuvent fouiller les hommes.


L'étudiante a du retirer tout ses vêtements, y compris sa culotte et ses socquettes qui sont interdites en détention dans la loi de cette Etat. En effet les sous vêtements et les chaussettes peuvent servir à dissimuler des objets de contrebandes ou etre utiliser comme des armes, la police doit les confisquer à tout suspect.


Intégralement nue et menottée aux poignets et aux chevilles, forcer de marcher pieds nus dans l'immeuble et dans la rue, la jeune femme a été emmener au commissariat centrale pour des vérification d'identité et détenue plusieurs jours le temps de l'enquête.


La suspecte a été retenue sans avoir le droit de porter le moindre vêtements et exposées à poil à la vue de tous.



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Garde à vue musclée.


Humiliation et nudité au poste de police.



vendredi 10 septembre 2021

Pas de place pour la pudeur à la visite médicale de la Faculté

 

Une fille étudiante doit passer sa visite médicale de prévention toute nue
Fille pesée et mesurée toute nue par le docteur et l'infirmière.

Les visites médicales de l'enseignement supérieur


C'est la rentré universitaire et cette année après presque deux ans de pandémie de Covid 19, la rentré est quasiment normale, et les services de médecine universitaire préventive vont pouvoir conformément à la loi faire passer les visites médicales obligatoire pour tout les étudiants en première année. 


L'épidémie ayant empêcher un suivis sérieux, cette année c'est le retour à l'ordre et aux tradition du passé.


Camille, 20 ans,  une jeune étudiante blonde est l'une des premières à passer à l'infirmerie du campus pour passer sa visite. Son témoignage risque de faire un peu peur aux étudiantes un peu pudique et coincée car même si la visite médicale est relativement courte, environ une demi heure, la visite se veut très complète.


La jeune fille n'a pas de problème avec la nudité donc se mettre toute nue devant le docteur et l'infirmière ne lui pose pas trop de problème.


D'autre filles par exemple ont très mal pris l'obligation de se déshabiller totalement (pieds nus, seins nus, fesses à l'air etc.) et son ressorties du cabinet médicale choquée et en pleurant à chaude larme car leurs pudeurs ont été malmenées.


l'examen comporte une importante palpation des seins et un bref et rapide examen gynécologique et contrôle de l'anus.


Liens :


Visite médicale avec docteur autoritaire.



Examen gynécologique obligatoire.







mardi 10 août 2021

Visite médicale sans pudeur.

 

Une fille dénonce les visites médicales obligatoires  humiliantes à l’université
Étudiante auscultée toute nue et les seins palpés par le médecin.

Les humiliantes visites médicales dénoncées par les étudiantes.


Elodie 20 ans plusieurs autres jeunes filles étudiantes dans cet IUT (Institut Universitaire Technologique rattaché à l’Universite)  de province se plaignent du comportement des médecins de du caractère intrusif, autoritaire et peu respectueux de la pudeur et de l’intimité des étudiants pendant les visites médicale obligatoires.

Élodie témoigne des méthodes archaïques en matière de prévention santé dans son établissement d’enseignement supérieur.

“J’ai reçu ma convocation pour passer la visite médicale obligatoire à l’infirmerie de l’IUT. La bas après avoir vérifier nos papiers et nos documents, l’infirmière nous oblige à nous déshabiller, comme les autres filles j’ai du retirer tout mes vêtements devant cette vieille !”

Certaines filles ont protestes et ont voulu garder leurs habits mais l’infirmière à menacer de les faire exclure alors elles ont du se foutre a poil en pleurant.

Nous devons être toutes nues devant l’infirmière qui nous mesure, nous pèse et procède à des tests de visions et d’auditions.

Je précise que nous devons être pieds nus et retirer nos chaussettes, bas, collants car selon elle une jeune femme est plus féminine les pieds découverts et c’est bien plus hygiénique.
Il faut aussi enlever la culotte!

Ensuite on doit aller à poil dans le cabinet du médecin qui nous interroge et nous examine sous toutes les coutures. Bien sûr que si nous avons droit à la totale: palpation des seins, inspection gynécologique, examen de l’anus etc...”

La direction de l’IUT n’a pas souhaité répondre aux sollicitations des journalistes et affirme simplement que les visites médicales sont obligatoires.


Liens :






mercredi 28 avril 2021

La maison de correction pour jeunes filles (histoire de fessée)

Pensionnat : les filles reçoivent la fessée et sont humiliées à poil
Des filles attendent de recevoir une fessée toutes nues des mains de leur éducatrice.

Dans un centre de rééducation pour jeunes femmes.


Avec les nouvelles réformes dont la loi sur le séparatisme, le gouvernement a décider de faire plusieurs réformes concernant la répression de la délinquance des jeunes filles, et plusieurs maisons de correction pour jeunes femmes ont été ouvert dans toute la France. Ces centre accueillent des filles en décrochage scolaires, des filles radicalisées, des petites délinquantes. Pour ces filles ces établissements sont la dernière chance avant la prison.

Le centre éducatif fermé est un ensemble imposant de bâtiments entouré par un grand mur dans les environs d'une ville moyenne d'Ile de France.

L'une des choses que nous avons remarqués c'est que quatre jeunes filles étaient absolument nues et marchaient à poil dans les locaux en direction d'une salle de punition publique. Nous étions choqués au début avant que les responsable éducatifs viennent nous expliquer que l'établissement à un règlement intérieur qui prévoit des punitions et châtiments corporels en cas de non respect des consignes et des règles de vivre ensemble au sein du foyer.

Ces quatre filles sont toutes adultes et ont entre 21 ans et 28 ans, nous explique notre guide. lorsqu'une nouvelle arrivante arrive, nous leur prenons leurs papiers d'identités, leurs cartes de crédits, leurs vêtements civils, ici l'uniforme est obligatoire pour toute comme à l'ancienne. Le maquillage, les parfums, les bijoux, sont aussi interdit. Les filles sont déshabillées complètement et  pour leur séjour, on leur donne de nouveaux vêtements, des chaussures convenable, des sous vêtements réglementaires et un uniforme scolaire, une trousse de toilette, et une nuisette pour dormir. Les filles sont toutes pareils, elles ont toutes les mêmes objets et vêtements à disposition.

Ces mesures évite la jalousie entre filles, les vols, ainsi que d'abîmer ou de perdre des vêtements important et ça met toutes les filles a égalité.


Les douches sont collectives et se déroule à poil.


Les filles perdent vite toute pudeur et modestie dans cette endroit du fait de la nudité imposée de façon très fréquente et elles n'ont aucune intimité.


Les filles ici sont nues car elles attendent de recevoir une fessée, la fessée associée à la nudité est très efficace car ça permet d'allier douleur et humiliation et créer un sentiment de vulnérabilité chez les punies.

Leurs éducatrices ont jugées nécessaire de les sanctionner car leur chambre est mal tenue, certaines sont trop souvent en retard en cas et ça nécessite une punition pour rectifier leur comportement. Elles s'habituent à s'exhiber pour recevoir des fessées à poil devant les autres filles.


Après les fessées, les filles doivent rester nues les fesses à l'air et toutes rouges pour méditer sur leurs fautes et accroitre leur sentiment d'humiliation.

Ses fesses sont toutes rouges après avoir reçue une fessée punitive.
Après sa fessée, la jeune fille est exposée et humiliée les fesses à l'air.


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Pensionnat : une nouvelle reçoit une fessée et est humiliée nue.



 

dimanche 25 avril 2021

Vidéo : Des filles baisées par une lesbienne au bizutage étudiant.


 Vidéo : Des filles bizutées se font baiser par une lesbienne dominatrice.



Les filles sont toutes nues pour leur traditionnel bizutage et se font baiser sauvagement par une ancienne.




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samedi 24 avril 2021

Un frère humilie sa soeur soumise musulmane

Cette soumise musulmane voilée aime la soumission et l'humiliation.
Une soumise musulmane expose docilement son anus et sa chatte aux voyeurs.

 Obscurantisme et perversion dans cette famille de pervers sadiques.


Après l'adoption de la loi républicaine sur le séparatisme, et devant l'impossibilité pour le père et le frère de la famille A, ces derniers ont humilier et maltraiter leur soeurs Nadia et lui ont imposer plein de choses perverses.

Le frère de Nadia a tenter de consulter plusieurs médecins et gynécologue en vue d'imposer un mariage  à sa soeur. Du fait de la loi, aucun médecin ne peut certifier que la jeune fille est vierge. 

Le frère à passer plusieurs annonces pour marier sa soeur, sur des sites de rencontres communautaires. Il a vraiment traiter sa soeur comme de la marchandise. Lorsqu'un prétendant était intéressé pour épouser Nadia, son frère l'obligeait à se déshabiller complètement dans le salon, à l'exception de son hijab (voile islamique) qu'elle avait le droit de conserver pendant ces "rencontres".


Nadia était nue avec un simple couvre chef religieux, les mecs prétendants et son frères pouvaient regarder ses seins, sa chatte, ses pieds, lui tripoter les seins et lui mettre des doigts dans la chatte et le cul pour vérifier si elle est vierge et surtout si c'est une vrai salope soumise qui mouille bien. 

Nadia devait  aussi répondre en public a des questions inquisitrices sur la sexualité , car les inspecteurs ont trouver des traces de pénétration anales dans son cul et des irritations sur son vagin pouvant laisser penser qu'elle s'est faite baiser il y a peu de temps.


La pauvre soumise à du se mettre à quatre pattes et écarter et étirer ses fesses le plus possible pour bien exposer son petit anus pour que les prétendants y mettent leurs doigts ou leurs langues pour la tester sexuellement avant un éventuelle mariage.


Nadia qui est pieuse et très religieuse aime beaucoup la soumission, être dégradée, traitée comme un objet sexuelle et subir toutes sortes de sévices vicieux.


La loi sur le séparatisme à déjà des effets pervers ...


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Arabe milf soumise.





mercredi 14 avril 2021

Vidéo d'humiliation lors d'un bizutage d'étudiantes.


 Vidéo prise pendant un bizutage de lesbiennes.


Les anciennes de la résidence universitaires rentrent de force dans les chambres des nouvelles pour les bizuter de façon très hard et perverse. 

Les anciennes mettent à poil les nouvelles et les force à faire le ménage nue, puis elles sont contrainte de faire des cochonneries entre filles et de devenir des lesbiennes brodeuses de chatte.

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jeudi 1 avril 2021

Une soumise nue s'exhibe

 

Femme nue expose sa chatte et son cul
Femme soumise nue en posture d'exhibitionniste 

Zoé la soumise nue


Cette jeune fille est de nature très docile et soumise depuis qu'elle a découvert les joies de la sexualité. Lors de ses études après le BAC, , elle a du aller dans une résidence universitaire et quitter sa famille pour rejoindre une ville lointaine. 


Les autres étudiants ont vite remarqués qu'elle était vraiment très obéissante et qu'il était facile d'abuser d'elle. Elle aime obéir, mais aussi être rabaissée par diverses insultes et traitements dégradants, ses camarades l'humilient en l'a forçant à rester à poil, ce qui l'a fait mouiller (elle doit souvent se masturber en public sous les rires et regards pervers des autres).


Zoé n'a aucunes fierté ni dignité et elle tire sont plaisir en étant gentille et faisant plaisir aux autres.


Elle sert de domestique nue, elle fait le ménage, les corvées, la cuisine, le repassage etc. pour les autres étudiants, et si elle ne travail pas bien, elle est punie et corrigée par des fessées, coups de badines, martinets sur les fesses et les plantes de ses pieds nus.


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Soumise et sa Maitresse.



dimanche 21 mars 2021

Une prisonnière soumise à la nudité forcée et à des sévices

 

Humiliation et nudité forcée : une femme prisonnière attachée et exposée nue aux barreaux de sa cellule guise de punition.
Femme prisonnière menottée nue au barreaux de sa cellule.

De la nudité imposée et des humiliations de la prison.

Un Scandale en vue à la prison de haute sécurité ?

 Des politiques auraient donner des directives visant à imposer des pratiques d'interrogatoire renforcées  et direction  de la prison aurait accepté contre des pots de vins ? C’est une nouvelle fois que cette prison faite parler d’elle dans les médias et les  rapports internationaux. 

Une ancienne détenue, de nationalité Française affirme avoir subi des traitements dégradants et inhumains, et avoir été témoins de choses horribles. Cette personne ayant été emprisonnée que deux mois avant d’être libéré par l’action de son ambassade, elle témoigne à charge contre le système pénitencier. 


Elle affirme devoir sa liberté que grâce à la protection diplomatique de l'Union Européenne et l’argent de sa famille. Lisa M  travaillait dans une grande entreprise internationales et elle s’est fait arrêter par la police politique  en marge d’une manifestation contre le gouvernement pro américain. La jeune femme est jugée en comparution immédiate, pour destruction de biens publics et coup et blessures à agent, et condamnée à  8 mois de prison ferme.

Ayant eu le bon réflexe de prévenir les autorités consulaires, c’est peut-être ce qui l’a sauvée de l’enfer. Nous vous laissons son témoignage.


« Après un jugement express, pour avoir été arrêtée au mauvais endroit au mauvais moment, les autorités m’ont envoyé dans une prison très éloignées de là où ils m’a jugé. Les policiers m’ayant conduite là-bas ne comprenaient d’ailleurs pas pourquoi m’envoyer à la prison de G, dans la campagne de ce pays  à trois heures de route de la capitale.


Les gens étaient gentil, polis, et le verdict est tombé brutalement, je pensais qu’en faisant appel ça irait, mais le juge à insister pour que je sois incarcéré d’office. Les policiers de mon escorte ne m’ont mis les chaînes aux pieds et les menottes qu’en sortant de la voiture, pour me remettre aux gardiennes de la prison ; ils étaient désolés de devoir faire ça. Je ne leur en veux pas.


 La remise fut plus difficile, les gardiennes en uniforme et casquette bleue m’ont prise comme un objet dangereux, leur attitude contraste avec celle des policiers.


On me fit entrer et présenta la prison, à gauche, la section homme, à droite celle des femmes, et derrière nous le bâtiment administratif, et encore après le quartier haute sécurité, la centrale. Puis on me conduit vers la droite, dans le quartier A.


 Les gardiennes me disent qu’ici faut se tenir calme, ne pas faire d’embrouille, que je ferais mieux de passer mes huit mois tranquilles, et espérer sortir dans cinq ou six. Je passe brièvement dans le bâtiment administratif pour prises des empruntes digitales et de photographie  de face et profil.


Une fois entré, ça reste très vétuste malgré quelques travaux de remise à neuf, on me conduit dans « une salle de fouille » comme le disent les gardiennes, là-bas, elles m’interrogent sur mon nom, prénom, âge, origines en vue d’établir un dossier, et de répondre simplement aux questions par oui ou par non, ou de donner les informations précises demandées. »

«  Es-tu bien Lisa M? ».  Oui


«  A tu des Problème psychiatrique ? »« Non jamais »


« Quel est ta Tailles, ton  poids,  et ta pointure ? » « 1.71 m pour 64 kilos,  je chausse du 38. ».

«De quelle origine raciale es tu ? »«  Métisse, blanche par mon père, wasp si vous préférez et afro-américaine par ma mère. »


 Cette question m’a choquée, je ne m’y attendais pas, même chez nous en France , ils font attention à ne pas trop faire ce genre de profilage. 


Humiliation et obligatoire de parader à poil dans le couloir de la prison
Prisonnière transportée nue dans les couloirs de la prison.


 Ensuite l’une des surveillantes m’a demandé de lui donner mon portefeuille, ma montre, mon téléphone, et mes bijoux (collier, bague, boucle d’oreilles), mes clés, mon argent,  et tout autre objet. Elle les a prisenoté sur un document, puis mis dans un sachet sous le scellé et ranger dans une consigne en me disant que tout me sera rendu à la sortie.  Elles m’ordonnent ensuite de me déshabiller, et de remettre mes vêtements à une surveillante qui les enregistre sur un papier après brève description. Elles inspectent minutieusement chaque vêtement.  J’enlève d’abord mon tailleur, puis mes chaussures, qu’elles enregistrent sur la feuille de consignations des vêtements.« Un tailleur noir de marque ; une paire de bottes courte en cuir  » Je leur remets ensuite mon bustier et mon pantalon«Un pantalon de type jean de marque… ».  Sans surprise, je savais que la nudité était obligatoire et que toute résistance inutile, mes chaussettes rejoignirent la table, me retrouvant pieds nus sur du béton.

Ma culotte et mon soutien-gorge suivirent. Être nue pour prendre une douche ou lors d’un examen médical ne m’a jamais dérangé plus que ça, n’étant pas spécialement pudique. Mais ce déshabillage dirigiste met la personne soumise en état d’infériorité, devant des gardiennes voyeuses qui ne cachent pas leur plaisir de rabaisser et avilir les autres. Elles me forcent à tourner à poil sur moi-même, et recherchent toute trace distinctives, elles ont inscrit ma trace de l’opération de l’appendicite et mes tatouages, l’un à la cheville gauche, et l’autre en bas du dos. Elles prennent leur temps de vous exhiber, de devoir rester sans rien les mains derrière la nuque pendant qu’elles rangent vos vêtements et remplissent leurs formulaires.Il faut ensuite soulever ses cheveux, et une gardienne les inspecte minutieusement, puis regarde dans les oreilles et trous de nez, l’une m’a mise sa main ganté de latex dégoutant  dans la bouche,  pour m’inspecter les dents, sous la langue et dans le fonds de la gorge. Elle m’a aussi palpé les seins qu’elle a soulevés et regarder sous les bras, dans le nombril, puis à écarter mes orteils un à un et passer sa main sous la plante de mes pieds. Elles m’ont ensuite fait sautiller nue devant elles, et forcer à me pencher en avant en écartant les fesses et en toussant le plus fort possible plusieurs fois, et me faire faire des squats les jambes écartées et tousse encore… L’humiliation ne s’arrête pas là, l’une des gardiennes ayant un doute m’a mis un doigt lubrifié dans l’anus et le vagin. Puis direction la douche, toujours nues, pour une douche tiède de quelques minutes, avant une autre épreuve, la désinfection, quand une surveillante vous jette une sorte de poudre horrible après la douche. Puis direction l’infirmerie pour une visite médicale, où une gardienne est présente. Le médecin me pèse, me mesure sous toutes les coutures, puis prise de sang et radio des poumons, la doctoresse s’intéresse ensuite à ma contraception, et m’a prescrit une pilule pour le mois, et m’a fait subir un examen gynécologique complet visant à voir selon elle à la fois eue des rapports avant de venir, si je suis enceinte, et de vérifier que je ne cache rien, tout ça sous le regard pervers de la surveillante qui n’en perd pas une miette. Sous escorte de la voyeuse.

Dégradation et asservissement d'une femme détenue
Humiliation , prisonnière nue la tête dans les toilettes.


Ensuite comme toutes les autres femmes prisonnières, elles m'ont donner un exemplaire du règlement de la prison et m'ont conduite dans ma cellule toute nue à la vue de tout le monde.


Liens :


Nudité en confinement solitaire.


Humilier et briser l'égo des prisonniers.