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vendredi 12 septembre 2025

Toute nue pour la visite médicale.

Se déshabiller pour la visite médicale sans pudeur
Toute nue pour l'examen médicale de la fac.

 

La visite médicale universitaire.

 

À l'Université de Paris, la visite médicale obligatoire pour les étudiantes de première année prenait une tournure encore plus humiliante. Léa, la libertine audacieuse en mini-jupe et top décolleté, Aisha, la musulmane voilée dans sa longue robe modeste, et Marie, la brunette ordinaire en jeans et sweat-shirt, attendaient nerveusement dans la salle d’attente du centre médical. Une pancarte à l’entrée précisait : « Pour des raisons d’hygiène, toutes les étudiantes doivent se présenter pieds nus. » Les trois filles, déjà mal à l’aise, ôtèrent leurs chaussures, exposant leurs pieds nus sur le carrelage froid. Léa arborait une pédicure rouge éclatante, Aisha des pieds délicats et légèrement calleux, et Marie des pieds simples, sans vernis, un peu rougis par la gêne.

L’infirmière, Mme Dupont, les appela d’un ton sec : « Mesdemoiselles, suivez-moi. L’examen se fera en groupe pour gagner du temps. Le Dr. Moreau et son interne, Julien, vous attendent. » La salle d’examen, stérile et intimidante, sentait l’antiseptique. Une table gynécologique trônait au centre, entourée d’instruments luisants et de miroirs grossissants. Le sol glacé sous leurs pieds nus amplifiait leur vulnérabilité. Le Dr. Moreau, un homme imposant au regard dominateur, les toisa. Julien, l’interne de 25 ans, semblait nerveux mais excité, ses yeux glissant sur leurs pieds exposés.

« Déshabillez-vous jusqu’à la culotte et le soutien-gorge, et asseyez-vous sur la table. Restez pieds nus, bien sûr, » ordonna le docteur, sa voix chargée d’une autorité implacable. Léa se dévêtit avec aisance, sa lingerie rouge contrastant avec ses pieds vernis, qu’elle remuait avec un sourire provocant. Aisha, tremblante, ôta sa robe et son hijab, révélant une culotte blanche et un soutien-gorge simple, ses pieds nus semblant si fragiles sur la table. Marie, rouge de honte, se déshabilla à contrecœur, ses pieds nus crispés contre le métal froid.

« Enlevez vos soutiens-gorge, » commanda le Dr. Moreau. Léa libéra ses seins voluptueux, ses tétons déjà durs sous l’air frais. Aisha, au bord des larmes, dégrafa le sien, exposant une poitrine menue, ses pieds se recroquevillant de honte. « Pas de pudeur ici, baissez les bras, » gronda le docteur. Marie suivit, ses seins moyens frémissant, ses pieds nus pressés l’un contre l’autre pour se réconforter.

Julien s’approcha, gants en latex, pour la palpation mammaire. « On vérifie les anomalies. » Il commença par Léa, soupesant ses seins, pinçant ses tétons durcis. « Bien fermes, et regardez ces pointes… Très sensibles, » commenta le docteur avec un rictus salace. Léa gloussa, ses orteils se crispant d’excitation. Pour Aisha, l’examen fut un supplice : Julien malaxa ses seins délicats, tirant doucement sur ses tétons sombres. « Votre corps réagit malgré vous, n’est-ce pas ? » murmura-t-il, ses yeux glissant vers ses pieds nus, qu’elle essayait de cacher. Marie subit le même traitement, ses tétons pincés sous les regards des autres, ses pieds nus exposés ajoutant à son humiliation.

« Maintenant, enlevez vos culottes et mettez-vous à quatre pattes sur la table, côte à côte. Pieds bien visibles, talons relevés, » ordonna le Dr. Moreau. Léa s’exécuta avec un frisson de plaisir, son sexe rasé luisant, ses pieds cambrés mettant en valeur sa pédicure. Aisha, en pleurs, révéla une toison soignée, ses pieds nus tremblants alors qu’elle se positionnait en levrette. Marie, mortifiée, exposa son intimité, ses pieds nus crispés contre la table. Le docteur s’approcha avec un thermomètre rectal. « Julien, prenez la température. Et notez l’état des pieds – l’hygiène est essentielle. »

Julien, lubrifiant le thermomètre, l’inséra d’abord dans l’anus de Léa, qui gémit doucement, ses orteils se recourbant. « Trois minutes. Et vos pieds sont impeccables, mademoiselle, » dit-il, effleurant sa voûte plantaire, ce qui la fit frissonner. Pour Aisha, l’invasion fut un choc, son corps se crispant, ses pieds nus se contractant sous l’humiliation. « Détendez-vous. Vos pieds sont propres, mais un peu secs. On vérifiera mieux après, » commenta le docteur, sadique. Marie haleta lorsque le thermomètre pénétra son anus, ses pieds nus tressaillant sous le regard perçant de Julien.

Ensuite, le lavement. Julien inséra une poire d’eau tiède dans chaque anus, une par une. Léa rit nerveusement, ses orteils s’agitant alors que le liquide la remplissait. Aisha murmura des prières, ses pieds nus crispés de honte. Marie serra les dents, ses pieds glissant légèrement sur la table. « Retenez cinq minutes, puis allez aux toilettes. Et marchez pieds nus, pas de chaussures dans cette salle, » ordonna le docteur, les forçant à rester exposées, leurs pieds nus ajoutant une couche d’humiliation.

Après le lavement, elles furent pesées et mesurées, toujours nues et pieds nus. Le Dr. Moreau inspecta leurs pieds de près, palpant les voûtes et les talons. « Léa, pédicure parfaite, mais un peu d’audace dans votre démarche, non ? Aisha, vos pieds sont délicats, mais trop crispés – détendez-vous. Marie, pieds ordinaires, mais propres. » Les commentaires, mêlés de sous-entendus, amplifiaient leur malaise.

Enfin, la position gynécologique : jambes écartées dans les étriers, sexes exposés, pieds nus bien en vue. Le docteur examina la vulve de Léa, écartant ses lèvres. « Humide, comme prévu. Et ces pieds cambrés… Vous aimez être regardée, n’est-ce pas ? » Léa frissonna, ses orteils se contractant. Pour Aisha, l’examen fut un calvaire : « Une vulve si pure, mais réactive. Vos pieds tremblent, c’est révélateur, » dit-il, insérant un spéculum avec des commentaires vicieux. Marie, les jambes écartées, sentit les doigts gantés explorer son vagin et son anus, tandis que Julien caressait distraitement la plante de ses pieds, ajoutant une humiliation subtile. « Bien dilatée. Et ces pieds, si sensibles… »

L’examen s’acheva sur un dernier ordre : "Rhabillez-vous" Les trois filles, marquées par cette domination psychologique et l’exposition de leurs corps – pieds nus inclus – quittèrent la salle, emportant avec elles un mélange de honte, de stress et d’étranges frissons.

 

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Lesbienne à la visite médicale. 

 

 

 

mercredi 10 septembre 2025

Une détenue en confinement solitaire.

La prison ou les femmes sont gardées nues.
Toute nue et sans pudeur lors de l'interrogatoire.

Une respectable prisonnière découvre la nudité forcée.

Sabrina a été profondément traumatisée par son séjour de trois mois en confinement solitaire dans la prison d'Abou Ghraib. Ce lieu infernal, où les forces américaines imposaient une domination absolue sur les détenues irakiennes, l'avait brisée psychologiquement, la forçant à une soumission totale à travers des rituels d'humiliation constants.

Comme pour les autres femmes irakiennes détenues par les forces américaines en isolement dans le quartier spécial du complexe pénitentiaire, les fouilles qui se déroulent totalement nues sont très fréquentes. Avant et après chaque sortie, chaque visite, les gardes estiment que les femmes doivent être vraiment punies. Ils savourent ces inspections dégradantes, forçant les détenues à ouvrir leurs chattes et leurs anus devant les gardes hommes, sous des regards lubriques et moqueurs. "Écarte plus grand, salope, qu'on voie si tu caches quelque chose dans tes trous", ricanaient-ils souvent, transformant chaque fouille intime en un spectacle d'humiliation pure. Sabrina sentait son esprit se fissurer à chaque fois, son corps exposé comme un objet, sa dignité respectable piétinée sous le poids de cette dégradation féminine impitoyable.

Comme les autres, Sabrina doit quitter ses vêtements dès son arrivée : abaya, hijab, robe, sous-vêtements, chaussures, chaussettes et tous ses effets personnels ont été confisqués sans pitié. Pour montrer leur pouvoir et leur domination totale, les détenues musulmanes sont contraintes à une nudité forcée permanente devant les gardiens. Pas de voile pour cacher leur honte, pas de tissu pour préserver leur modestie – juste une vulnérabilité crue, exposée à chaque instant. Sabrina, autrefois une femme fière et respectable, se sentait régresser à un état de soumission animale, son corps nu tremblant sous les regards insistants, son esprit hurlant en silence contre cette perte de contrôle absolue.

Comme les autres, elle fait moins la fière à devoir répondre aux questions des militaires en étant à poil et exposée. Les interrogateurs, avec un sadisme calculé, l'obligent d'abord à se présenter devant eux toute nue, les mains sur la tête, les jambes écartées. "Répète après moi : je suis une prisonnière nue, soumise et dégradée", ordonnaient-ils, forçant Sabrina à articuler ces mots humiliants d'une voix brisée, tandis que des rires étouffés résonnaient dans la pièce froide. Chaque interrogation devenait une séance de soumission psychologique, où ses réponses haletantes étaient entrecoupées de larmes de honte, son intimité offerte comme un trophée de guerre. La nudité forcée n'était pas seulement physique ; elle rongeait son âme, la transformant en une ombre de femme, éternellement marquée par cette humiliation en prison.

Au fil des jours, Sabrina apprenait à anticiper les ordres, à baisser les yeux devant les gardes, à accepter sa dégradation comme une seconde peau. Mais le traumatisme persistait, un feu intérieur qui consumait sa résistance, la laissant à jamais prisonnière de ces souvenirs de domination militaire et de nudité imposée.

 

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Confinement Solitaire BDSM. 

dimanche 1 juin 2025

Toute nue dans le bar pendant le bizuage.

 

Danser toute nue au bizutage
Elles dansent et se trémoussent nues dans un bar étudiant au bizutage.

Danser et se trémousser à poil au bizutage.

 

Dans une petite université parisienne nichée au cœur du 13e arrondissement, l’automne marque chaque année le retour d’une tradition aussi légendaire que controversée : le week-end d’intégration, ou plutôt, le bizutage déguisé sous ce nom festif. Les anciens, autoproclamés gardiens des coutumes estudiantines, orchestrent une soirée où les nouveaux doivent se plier à leurs règles, dans un mélange d’excès, d’humour douteux et de débordements.

Camille, 19 ans, fraîchement arrivée de son village provençal, est une étudiante en première année de licence de biologie. Réservée, presque timide, elle a grandi dans une famille où la pudeur est une seconde nature. Habituée à porter des vêtements amples et à éviter les regards indiscrets, elle redoute déjà cette soirée d’intégration dont tout le monde parle avec un mélange d’excitation et de crainte. Mais, poussée par la pression sociale et la peur d’être mise à l’écart, elle se rend au vieux bar rock du quartier, un lieu aux murs tapissés de posters vintage et au sol collant de bière renversée.

À son arrivée, l’ambiance est électrique. La musique hurle, les lumières clignotent, et une foule d’étudiants s’agite dans une chaleur étouffante. Mais ce qui frappe Camille, c’est le spectacle qui s’offre à elle : plusieurs nouvelles, déjà intégrées au « rituel », déambulent dans le bar, entièrement nues, certaines riant nerveusement, d’autres visiblement au bord des larmes. Camille sent son cœur s’accélérer. Elle, qui rougit rien qu’à l’idée de porter un décolleté, se sent soudain projetée dans un cauchemar.

Un groupe d’anciens, portant des t-shirts fluorescents marqués « Bizutage Squad », l’intercepte à peine franchie la porte. « Bienvenue, la nouvelle ! » lance un grand barbu avec un sourire carnassier. « Ce soir, tu fais ce qu’on te dit. Et on commence fort : tout le monde à poil ! » Les rires fusent autour d’elle, et Camille, pétrifiée, tente de bafouiller une excuse. « Je… je ne suis pas très à l’aise, je peux peut-être juste… » Mais une fille aux cheveux bleus, une des anciennes, l’interrompt : « Pas de chichi, ma belle. C’est la règle. Si tu veux être des nôtres, tu joues le jeu. »

Camille sent ses joues s’enflammer. À la maison, elle ne se déshabille jamais devant personne, pas même sa propre sœur. Même à la plage, elle garde un paréo bien noué autour de la taille. Mais ici, pas d’échappatoire. Les anciens l’entourent, et elle comprend vite que résister ne fera qu’empirer les choses. Tremblante, elle commence à retirer sa robe à fleurs, un vêtement modeste qu’elle avait choisi pour se sentir en sécurité. Les sifflements et les rires des spectateurs, clients du bar mêlés aux étudiants, résonnent dans ses oreilles comme une tempête. Elle retire son soutien-gorge, puis sa culotte, chaque geste lui coûtant un effort surhumain. Ses mains tremblent, et elle tente de cacher son corps avec ses bras, mais un ancien lui tape sur l’épaule : « Pas de cachette, princesse. On assume ! »

Le pire arrive quand une fille lui ordonne d’enlever ses petites ballerines blanches, son dernier rempart contre l’humiliation. « Pieds nus, c’est la règle ! » Camille proteste faiblement : « Mais… le sol, il est dégueulasse… » Un éclat de rire général lui répond, et un ancien renchérit : « T’inquiète, ça forge le caractère ! » À contrecœur, elle pose ses pieds nus sur le sol poisseux, sentant la crasse et les éclaboussures de bière sous ses orteils. Elle grimace, mais n’a pas le temps de s’appesantir : on la pousse vers le centre de la piste.

Là, sous les regards avides des clients et les éclats de rire des anciens, Camille doit défiler, nue comme au premier jour, ses petits seins exposés et son corps frêle frissonnant dans l’air moite du bar. Les sifflets fusent, certains clients lèvent leur verre en riant, et elle entend des commentaires graveleux sur ses courbes. « Pas mal pour une coincée ! » lance un type au comptoir. Camille, rouge de honte, baisse les yeux, fixant le sol pour éviter les regards. Chaque pas est une torture, la sensation du sol sale sous ses pieds nus amplifiant son malaise.

Mais les anciens ne s’arrêtent pas là. Pour pimenter la soirée, ils imposent un jeu : les nouvelles doivent danser en duo, corps contre corps, sous les acclamations de la foule. Camille se retrouve collée à une autre fille, tout aussi mal à l’aise, leurs corps nus glissant l’un contre l’autre dans une chorégraphie imposée par les cris des anciens. La musique techno fait vibrer le sol, et Camille, au bord des larmes, tente de se concentrer sur les pas pour oublier les regards lubriques qui la transpercent.

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Déshabiller au bizutage. 

samedi 17 mai 2025

L'arrivée des femmes en prison.

 

Détenues nues et humiliées
Groupe de prisonnières nues et humiliées.

 Humiliation collective des nouvelles détenues.

Mars 2004Dans l’enceinte oppressante de la prison d’Abou Ghraib, sous commandement américain, quinze femmes avançaient en file, nues, pieds nus, leurs chaînes cliquetant à chaque pas hésitant. Âgées de 21 à 41 ans, elles étaient entravées, poignets liés derrière le dos, chevilles enserrées par des fers. Le protocole strict de la prison imposait une nudité totale, sans exception, même les culottes avaient été retirées lors de leur arrivée, une règle humiliante mais nécessaire et systématique. Parmi elles, Amira, une Irakienne de 22 ans, marchait, tête baissée, les joues trempées de larmes. Aucune accusation réelle ne pesait contre elle, juste une dénonciation anonyme, peut-être motivée par une vieille rancune. Comme ses codétenues, arrêtées pour des raisons floues – liens familiaux, erreurs, ou simple malchance –, elle subissait cette « promenade » nue, exposée aux regards.

Le couloir, glacial et métallique, semblait absorber leurs sanglots. Les gardiennes américaines, appliquant le protocole avec une froideur implacable, aboyaient des ordres "à poil", certaines raillant la nudité des détenues. Pour Amira, élevée dans une famille pieuse où la pudeur était sacrée, cette nudité forcée était une violation insupportable, une offense à sa foi et à sa dignité. Chaque pas, pieds nus sur le sol rugueux, renforçait sa honte. Elle tentait de se recroqueviller, de cacher son corps, mais les chaînes rendaient tout mouvement futile. À ses côtés, Noor, 28 ans, partageait son désarroi. Arrêtée à cause de son frère, suspecté sans preuves, elle pleurait.

Pourtant, toutes ne ressentaient pas la même détresse. Layla, 41 ans, arrêtée par erreur lors d’une rafle, avançait avec une résignation stoïque. Habituée aux dures réalités de la vie, elle acceptait cette nudité comme une épreuve de plus, un fardeau temporaire. De même, Sarah, 25 ans, semblait indifférente, son esprit déjà brisé par des mois de détention. Pour elles, la nudité, bien que dégradante, n’était qu’une formalité administrative, un protocole à endurer. Mais pour Amira et d’autres, chaque instant était un supplice, un affront à leurs croyances religieuses et à leur sens de la décence.

Le protocole de sécurité pour les détenues " de haute valeur" d’Abou Ghraib était clair : aucune exception, aucun vêtement, pas même un tissu pour couvrir leur intimité. Les gardiennes insistaient sur cette règle, criant que toute tentative de se couvrir entraînerait des punitions. Lors de leur arrivée, Amira avait tenté de garder sa culotte, un réflexe désespéré. Une soldate lui avait hurler dessus en lui arrachant la culotteriant : « Cul nu comme tout le monde, ou tu souffres. » Depuis, Amira n’osait plus résister. Elle avançait, les pieds nus, le corps exposé, redoutant que des photos prises à son insu ne soient un jour publiées, éternisant sa honte.

Les détenues étaient dirigées vers une salle d’enregistrement, toujours nues, toujours enchaînées. Les gardiennes, satisfaites de leur obéissance, continuaient leurs moqueries, certaines prenant plaisir à souligner la vulnérabilité des femmes. 

 

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Kahina en prison.

dimanche 11 mai 2025

La soirée chaude du bizutage ( ou d'intégration).

Bars et bizutage
Filles dansent nues et pieds nus au bizutage étudiant


 Bars étudiant durant le bizutage.

 

Les soirées d’intégration estudiantines sont des rituels légendaires, où l’alcool coule à flots dans les bars du centre-ville, et où les bizutages flirtent avec l’excès, mêlant traditions ancestrales et débordements charnels. Les mœurs sont plus libres, mais les hiérarchies estudiantines restent impitoyables, surtout pour les nouvelles, ciblées pour leur timidité ou leur air "coincé".

Le bar L’Antre du Vice, un bouge enfumé du centre-ville, est bondé ce vendredi soir. Les néons rouges clignotent, la bière bon marché inonde les tables, et une foule d’étudiants enfiévrés hurle des chansons paillardes. C’est la soirée d’intégration de la fac de droit, et le bizutage bat son plein. Les anciens, autoproclamés maîtres du chaos, ont orchestré un spectacle aussi cruel que lubrique, où les premières années, surtout les filles, sont les proies désignées.

Jessica, 19 ans, frêle brunette aux joues rosies par la honte, n’a jamais aimé les foules. Pudique, réservée, elle a grandi dans une petite ville où les regards indiscrets la mettaient déjà mal à l’aise. Ce soir, elle regrette d’avoir mis sa jupe plissée et son chemisier sage : ils font d’elle une cible parfaite pour les anciens, qui adorent briser les "saintes-nitouches". À ses côtés, d’autres bizutes tremblent, notamment Sophie, une blonde menue qui serre les pans de son cardigan comme un bouclier, et Clara, une étudiante en histoire au visage fermé, qui marmonne des supplications pour garder sa culotte en coton blanc.

Dans l’amphithéâtre, plus tôt dans la soirée, l’ambiance était déjà électrique. Les anciennes, vêtues de cuir et de rictus moqueurs, ont traîné Jessica, Sophie, Clara et trois autres bizutes sur l’estrade. "À poil, les coincées !" rugit la foule, un chœur de voix avinées. Les ordres claquent comme des fouets : "Enlevez tout, ou on le fera pour vous !" Jessica tremble, ses doigts maladroits s’emmêlent sur les boutons de son chemisier. Sophie, en larmes, s’accroche à sa culotte, bégayant : "S’il vous plaît… juste ça… laissez-moi la garder…" Une ancienne, une grande brune aux ongles vernis de rouge, éclate de rire et arrache le sous-vêtement d’un geste sec, le brandissant comme un trophée sous les hourras.

Clara, elle, croit s’en tirer en oubliant – ou feignant d’oublier – ses chaussettes rayées. "T’es sérieuse, la ringarde ?" aboie une ancienne, la forçant à les retirer sous les sifflets moqueurs. Une autre bizute, une rousse prénommée Manon, tente de négocier en gardant ses bas résille, arguant qu’ils "font partie du look". L’argument ne passe pas : une ancienne les déchire sauvagement, laissant des marques rouges sur ses cuisses. Pas d’échappatoire. La pudeur est un crime ici, et les plus timides sont punies avec zèle.

Nues sous les sifflets, les bizutes doivent exhiber leurs corps. Jessica tente de cacher ses seins, mais une ancienne lui écarte les bras d’un geste brusque. "Montre tout, poupée ! Ouvre grand, qu’on voie la marchandise !" Sophie, effondrée, sanglote en écartant ses cuisses, tandis que Clara, mâchoire serrée, obéit en fixant le sol. La foule exulte, certains filment avec des caméscopes VHS, vestiges d’une époque où l’intimité n’avait pas de prix. Manon, elle, bombe le torse avec un sourire crispé, espérant désamorcer l’humiliation par une fausse assurance.

Après l’amphi, les anciennes organisent une "parade des délices", une tradition perverse où les bizutes, toujours nues, doivent défiler dans les couloirs de la fac, puis à travers le campus. Les rires et les quolibets pleuvent, des mains baladeuses frôlent leurs corps. Jessica, pieds nus sur l’asphalte froid, sent son cœur cogner. Sophie trébuche, ses chaussettes oubliées désormais un lointain souvenir, tandis que Clara murmure des jurons, maudissant chaque pas.

Le clou de la soirée, c’est le bar. L’Antre du Vice est le théâtre final de ce rituel dépravé. Les bizutes, toujours dévêtues, sont poussées à l’intérieur sous les hourras des clients, un mélange d’étudiants, de profs libidineux et de piliers de comptoir. La musique, un tube de synthpop des années 80, pulse dans l’air saturé de sueur et de désir. Jessica est hissée sur une table poisseuse, Sophie et Clara sur le comptoir, où elles doivent improviser des danses lascives.

Manon, la rousse, prend les devants. Elle grimpe sur le bar, ses hanches ondulant au rythme de la musique, ses mains glissant sur ses courbes avec une sensualité forcée mais convaincante. La foule hurle d’approbation, lançant des billets froissés. Sophie, maladroite, tente de l’imiter, ses mouvements saccadés trahissant sa panique. Une ancienne lui glisse un shot de vodka, qu’elle avale en grimaçant, et bientôt, elle se laisse aller, ses seins tressautant sous les flashs des appareils photo. Clara, elle, reste raide, ses déhanchés mécaniques arrachant des rires moqueurs. "Bouge ton cul, la nonne !" crie un client, jetant une poignée de pièces à ses pieds.

Soudain, les anciennes annoncent le clou du spectacle : un "concours de Miss Bizute". Chaque fille doit défiler sur le comptoir, nue, et exécuter une performance pour séduire la foule. Les critères ? "Charme, culot et chaleur !" ricane une ancienne, un mégaphone à la main. Manon ouvre le bal, jouant la carte de la provocatrice : elle s’agenouille, cambre le dos et lance des baisers, provoquant une ovation. Sophie, poussée par l’alcool, tente une danse plus audacieuse, se caressant les hanches sous les sifflets. Clara, toujours rétive, se contente d’un tour rapide, les bras croisés, ce qui lui vaut des huées et une pluie de serviettes en papier.

Jessica, dernière à passer, est paralysée. "Danse, ma jolie ! Montre-leur ce que t’as !" crie une ancienne, un verre de gin à la main. Elle monte sur le comptoir, les jambes flageolantes, et tente un déhanché timide. La foule, impatiente, scande : "Plus chaud ! Plus chaud !" Une ancienne lui tend un autre shot, qu’elle boit d’un trait. L’alcool embrume son esprit, et, portée par la musique, elle se surprend à onduler, ses mains frôlant ses seins. Les hourras redoublent, et pour la première fois, elle sent une étrange montée d’adrénaline.

Le concours s’achève dans un délire collectif. Manon est couronnée "Miss Bizute", une écharpe en papier toilette autour du cou. Mais le véritable défi suit : les bizutes doivent "servir" les clients. Pas de plateaux ni de verres, non. Elles doivent se pencher, offrir leurs courbes aux mains des spectateurs, qui rient et s’enhardissent. Jessica, forcée de s’asseoir sur les genoux d’un étudiant éméché, sent ses doigts rugueux explorer son dos. Sophie, à moitié ivre, rit nerveusement en dansant pour un groupe de profs. Clara, elle, refuse de bouger, mais une ancienne la pousse vers un client, qui lui glisse un billet dans les cheveux.

Dans ce chaos, une énergie perverse flotte. Certaines bizutes, brisées puis libérées par l’adrénaline, commencent à jouer le jeu, défiant leurs bourreaux avec une insolence nouvelle. Manon, portée par sa victoire, improvise un strip-tease théâtral sur le comptoir, arrachant des rires et des applaudissements. Jessica, elle, reste en retrait, mais une ancienne remarque son regard. "T’inquiète, chérie, l’an prochain, c’est toi qui donneras les ordres."

 

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Bizutage hard et public. 

 

samedi 12 avril 2025

Une bonne fessée et des humiliations pour une jeune fille pudique.

 

Punir et fesser les filles pudiques
Les filles doivent être reprises en main par des éducatrices sévères et strictes.

 Aïcha une étudiante punie par une éducatrice.

Dans un pensionnat isolé, où des jeunes filles de toutes origines sont envoyées pour corriger leurs écarts de conduite ou leurs lacunes académiques, l’ordre règne en maître. Les règles, gravées dans un règlement validé par une ordonnance ministérielle, prônent une discipline inflexible, où l’humiliation et la soumission sont des outils privilégiés. Les éducatrices, dotées d’une autorité incontestée, veillent à ce que chaque infraction soit châtiée avec une précision presque rituelle.

Aïcha, 21 ans, est une jeune musulmane au caractère bien trempé. Toujours vêtue de vêtements amples et d’un hijab impeccablement noué, elle arbore sa pudeur comme un étendard. Placée dans ce foyer par la justice pour absentéisme à l’université et comportement rebelle, elle défie les règles avec une insolence calculée : retards, remarques cinglantes, refus de se plier aux consignes. Mais ce soir, c’est une autre faute qui attire l’attention : son hijab, qu’elle porte ostensiblement malgré les rappels répétés sur la laïcité imposée dans l’établissement.

Dans le réfectoire, l’atmosphère est lourde. Madame Claire, l’éducatrice en chef, se tient au centre, imposante. Son tailleur strict et son regard perçant lui confèrent une aura de domination froide. Elle savoure ces moments où elle peut briser les résistances, surtout celles des filles pudiques comme Aïcha, dont la retenue l’agace autant qu’elle l’inspire. Les autres pensionnaires, assises en silence, savent qu’un spectacle se prépare.

« Aïcha, tonne Claire, tu as encore manqué tes cours, tes notes sont désastreuses, et tu persistes à défier la laïcité de cet établissement avec ce voile. Sans parler de cette pudeur excessive qui te pousse à te croire au-dessus des règles. Ce soir, tu vas apprendre ce qu’il en coûte. »

Aïcha, adossée à une chaise, croise les bras, un sourire narquois aux lèvres. « La laïcité ? Vous voulez juste me contrôler. Et ma pudeur, c’est pas votre problème. J’suis majeure, Madame, vous pouvez pas me forcer à quoi que ce soit. »

Un frisson parcourt l’assemblée. Les filles échangent des regards, impressionnées par l’audace d’Aïcha. Claire, loin d’être déstabilisée, esquisse un sourire cruel. « Oh, Aïcha. Tu penses que ton petit numéro m’impressionne ? Le règlement que tu as signé autorise des mesures… disons, éducatives. Et j’adore corriger les filles dans ton genre. Déshabille-toi. Complètement. »

Aïcha écarquille les yeux, feignant l’indignation. « Quoi ? Hors de question ! Vous savez que je porte le voile, que je suis pudique. Vous voulez m’humilier, c’est ça ? »

Claire s’approche, sa voix devenant un murmure menaçant. « Exactement. Les pudiques dans ton genre ont besoin d’une leçon d’humilité. Retire tout, y compris ce hijab. Ou je m’en chargerai moi-même. »

Aïcha hésite, jouant la révolte. Elle secoue la tête, lance un « C’est abusé ! » théâtral, mais au fond d’elle, une part secrète s’éveille. La sévérité de Claire, son autorité implacable, éveillent en elle une étrange fascination. Elle proteste pour la forme, mais son cœur bat plus vite à l’idée de céder. Lentement, elle commence à dénouer son hijab, ses doigts tremblants trahissant un mélange de honte et d’excitation. Le tissu glisse, révélant ses cheveux noirs. Puis viennent la tunique, le pantalon, les chaussettes. Elle marque une pause devant ses sous-vêtements, lançant un regard de défi à Claire.

« Continue, ordonne l’éducatrice, impatiente. Une soumise ne cache rien. »

Aïcha soupire bruyamment, mais obéit, laissant tomber ses derniers vêtements. Nue, elle croise les bras sur sa poitrine, jouant la gêne. « Satisfaite ? » lance-t-elle, provocatrice.

Claire la toise, savourant sa victoire. « Pas encore. Les bras le long du corps. Montre-toi. »

Aïcha obéit, un éclat rebelle dans les yeux, mais son souffle s’accélère. Elle sent tous les regards sur elle, et l’humiliation, orchestrée avec soin par Claire, la trouble plus qu’elle ne veut l’admettre. Claire désigne une chaise au centre de la pièce. « Viens ici. Sur mes genoux. »

Aïcha avance, chaque pas amplifiant cette tension délicieuse entre résistance et soumission. « Vous êtes malade, marmonne-t-elle, mais elle s’allonge sans trop protester, son corps frémissant d’anticipation. La position, humiliante, la ramène à une vulnérabilité qu’elle feint de détester.

Claire pose une main ferme sur son dos. « Ceci est pour ton bien, Aïcha. Pour ton insolence, ton voile, ta pudeur mal placée. » Sa voix est un mélange de reproche et de satisfaction. La première claque s’abat, vive et sonore. Aïcha sursaute, un gémissement lui échappe. Les coups suivants s’enchaînent, méthodiques, chaque claque ponctuée d’une leçon : « Tu apprendras… à obéir… à respecter… mon autorité. »

Les fesses d’Aïcha rougissent, la douleur se mêlant à une chaleur qu’elle refuse d’admettre. Elle serre les dents, jouant la rebelle, mais ses larmes, quand elles coulent, sont autant de honte que de relâchement. Claire, experte, sait exactement jusqu’où pousser. Quand elle s’arrête, Aïcha tremble, à la fois brisée et étrangement apaisée.

« Relève-toi, ordonne Claire. Au coin, mains sur la tête. Deux heures. »

Aïcha se redresse, lançant un dernier regard de défi. « Vous êtes dure, quand même, » murmure-t-elle, mais elle obéit, prenant place face au mur. Nue, exposée, elle sent l’humiliation peser sur elle, mais au fond, une part d’elle savoure cette discipline stricte, cette perte de contrôle orchestrée par Claire. Les autres filles observent, certaines intimidées, d’autres intriguées. Claire arpente la salle, triomphante. « Que ceci soit une leçon pour vous toutes. Défiez-moi, et vous connaîtrez la même correction. »

Le pensionnat, avec ses méthodes controversées, affiche un taux de réussite inégalé. Les filles, même les plus rebelles, finissent par plier, façonnées par la main de fer de Claire. Aïcha, elle, commence à comprendre qu’elle pourrait bien aimer ces jeux de pouvoir, même si elle ne l’admettra jamais à voix haute.

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La maison de correction.

Défiler et parader nue au bizutage étudant

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mercredi 15 janvier 2025

La prison avilie les femmes fières et digne

 

Humiliation intégrale en prison
Se mettre à poil et écarter les fesses devant un gardien de prison

Nudité et fouille en prison pour briser les prisonnières.

Dans cette prison américaine, depuis le retour de Donald Trump au poste de président, les autorités pénitentiaire en mis en place des mesures de discipline et de contrôle très strictes pour soumettre totalement les captives.

Les autorités utilisent les fouilles et la nudité forcée comme mode de gestion de la prison pour soumettre et humilier totalement les femmes prisonnières.

Nora, une jeune femme américaine d'origine arabe  et musulmane arrêtée lors d'une manifestation pour la Palestine a été condamnée à 30 jours de prison fermes pour une juge locale pro Trump et pro Israël.

La juge, réputée très sévère et sans pitié n'épargnent rien aux femmes qu'elles condamnent, chaque jours de prison doit être une punition; même pour les infraction mineures.

Nora en arrivant a été soumise à la fouille complétement nue et pieds nus, et la juge a décider d'autoriser des hommes à regarder, de plus, le traditionnel mugshot et les prises d'empreintes se sont déroulés dans la plus totale nudité.

Le voile (hijab) est totalement interdit, ainsi que les vêtements et les chaussures car la juge a stipuler que Nora serait dangereuse et suicidaire et donc sous le statut de nudité totale et permanente.

Nora n'aurait jamais dans ses pires cauchemar devoir exhiber l'anus et tousser devant tout le monde,  plusieurs fois par jours.

Les gardes se moquent d'elle et l'insulte régulièrement de putes, de chienne, de terroristes, et elle doit payer, morfler.

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Nudité forcée en détention.

jeudi 26 décembre 2024

Malika une étudiante musulmane bizutée dans les années 1980

Journée d'intégration bizutage.
Nue devant les garçons pendant le bizutage étudiant.

Bizutage classique dans les années 1980

Nous sommes dans une faculté de droit d'une université du centre de la France en 1987, une époque ou le bizutage était ouvertement accepté et même encouragé par les autorités.

Témoignages de Malika, l'une des rares étudiantes musulmanes d'origines nord africaine (Tunisie) qui portait le voile (hijab) à cette époque.

Dés la première semaine, en général vendredi ou samedi, tous les étudiants en premières années étaient regrouper dans l’amphithéâtre pour la cérémonie d'intégration organisée par les anciens. Le bizutage était incontournable à l'époque, c'était impossible d'y échapper sous peines d'exclusion sociale et de toute façon les anciens allaient chercher les récalcitrantes qui tentaient d'esquiver.

J'étais l'une des seules étudiantes musulmanes voilées, je portais le hijab depuis 16 ans, à l'époque c'était autorisé même au lycée. L'ambiance était festives et électriques, beaucoup chantaient des chansons idiotes ou paillardes , avec pas mal d'alcool, de la bière surtout. Puis les anciens nous ont regrouper par petit groupes de  5 à 6 filles, nous étions des "bans de poissons frais" selon les termes utilisés par les anciens.

Ensuite c'est mon groupe qui a été invité a se rendre sur l'estrade, les anciens me regardaient avec un air narquois et l'une d'entre elle a ordonner avec un haut parleur "Vous vous déshabiller ! Aujourd'hui, il faut tout enlever, pas de place pour la pudeur, ni pour les complexes, ni pour la religion ou le statut social, tout le monde à poil !"

Les spectateurs hurlaient et criaient toutes sortes de propos du type "à poil" "montrez nous leurs chattes" etc.

J'ai tenter de protester en disant que j'étais musulmane, pudique et voilée, mais rien à faire, une des anciennes s'est mise à crier "hahaha elle se prend pour une saint avec son voile ! on dirait une bonne soeur et on va la libérer et la décoincer un peu !"

Dans les gradins certains hurlaient "mettez la à poil, pas de religieuse ici, tous le monde à égalité".

Deux garçons sont venus en disant d'en finir avec "ce cinéma et cette fasse pudeur et de tout enlever". et ils m'ont enlever mes vêtements en commençant par mon hijab.

Ils nous ont exposés toutes nues devant tout le monde, j'ai du les remercier de m'avoir sauver et libérer, puis nous avons du faire la marche de la libération entièrement nues en défilant sur le campus universitaire.

Toutes les filles étaient nues et pieds nus, beaucoup comme moi étaient très honteuses, mais c'était les règles et traditions de l'époque.

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Bizutage et pudeur.


mardi 24 décembre 2024

Bizutage : Une "tutrice" et sa bizute.

 

Pas de pudeur pendant le bizutage.
Toute nue et exposée sa chatte au bizutage dans le bar.

La tutelle lors du bizutage.

Lors du bizutage dans l'enseignement supérieur, dans certains établissement comme cette école d'infirmière réputée, les anciens étudiants sont chargés d'initié et de former les nouveaux, ce système s'appelle la tutelle.

Julia, une étudiante originaire d'Alsace, autoritaire de troisième année prend en charge Safia, une jeune étudiante musulmane de banlieue.

La jeune fille est très pudique , elle porte le voile islamique hijab et des tenues traditionnelles , mais avec Julia, c'est intolérable, et elle va profiter de sa tutelle pour dresser Safia.

Julia force Safia à se déshabiller de gré ou de force, ayant été elle même bizutée quand elle était première année, elle est absolument sans scrupules ; surtout pour "traiter" une fille nouvelle et particulièrement pudique comme cette fille en hijab.

"Je vais te mettre à poil et t'obliger à tout montrer aux garçons et aux clients du bar".

C'est un véritable choc des cultures, Julia est sans pitié, et force Safia à s'exposer entièrement nue dans un bar étudiant.

Avec Julia c'est complétement à poil, les supplications de la jeune filles n'ont aucun effets sur elle, ici pas de place pour la religion, Safia n'a pas de choix sous l'autorité de Julia, elle doit se défaire de son accoutrement, pas de place pour l’obscurantisme et la pudibonderie avec sa tutrice !

Avec Julia, il faut se soumettre et obéir, elle est adepte de la totale nudité des soumises lors du bizutage, Safia doit enlever tout, y compris ses chaussures et ses chaussettes et se présenter nue et pieds nus devant le public. Les bizutes musulmanes doivent être à poil et exposées en public pour en faire des "bonne étudiantes".

Julia désire voir sa "protégée" renoncer à toute pudeur, Safia doit écarter les cuisses pour montrer sa chatte et son anus bien ouvert, non seulement à sa maitresse mais aussi aux autres personnes, Julia aime aussi jouer et exposer les seins de la bizute.

Puis narguer et se moquer de Safia à poil. Julia aime présenter sa disciple aux autres étudiants en présentant "Safia toute nue" "montre tes seins"



Une fille nue lors du bizutage étudiant.
Le bizutage des jeunes filles à poil.

 

Julia est très fière de bizuter Safia.

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Bizutage à l'ancienne.


jeudi 12 décembre 2024

Une fille tente d'échapper au bizutage.

 

Bizutage bien organisé.

Les bizutages sur ce campus universitaires sont très bien organisés, c'est très difficile pour les filles récalcitrantes d'y échapper, même pour les plus malignes et rusées comme Sabrina.

Sabrina est étudiante en première année d'études de commerce à l'IUT (Institut Universitaire de Technologie) rattaché à l'université. Elle est d'origine marocaine par son père et espagnol par sa mère. Elle à grandie dans une banlieue assez aisée du 92, c'est plutôt une bonne étudiante, elle a obtenu le bac avec mention très bien.

Sabrina connaissait avant de s'inscrire le fait que sur ce campus, les bizutages sont très ancrés dans les mœurs et ont toujours lieux sous le nom de "journée d'intégration". Et elle veutà tout prix éviter d'y participer car elle est très pudique et porte le voile et l'abbaya comme toute bonne musulmane.

Le jours du bizutage, la jeune fille s'est rendu dans la bibliothèque universitaire (BU) du campus au lieu d'aller dans l'amphi principal de l'université ou les nouveaux doivent se réunir selon les "convocations".

Mais elle ne sait pas que les bizuteurs ont toujours une longueur d'avance sur les nouveaux. En effet, le BDE (Bureau des Étudiants) organisent avec le soutient de l'administration de l'université, des services de la mairie, et disposent de listes et d'informateurs permettant de retrouver toutes les personnes qui tentent d'échapper à la journée d'intégration.

Grace à la complicité de la bibliothécaire et des caméras de sécurité, les anciens ont pu identifier qu'une fille avait l'air de tenter d'éviter d'aller au rendez vous officiel et se serait cacher dans la bibliothèque en faisant semblant de lire des livres alors qu'elle est plutôt adepte de ChatGPT pour ses cours ...

Les anciens sont bien rodés, équipés de talkie-walkie   ont vite envoyé un groupe s'occuper de la récalcitrante.

Une fois sur place, Sabrina est directement identifiée et les anciens lui demande de se lever et si elle sait qu'elle doit être théoriquement dans l'amphi principal pour le début de la journée d'intégration.

La jeune femme fait mine de ne pas bien comprendre et répond qu'elle révise. Les anciens étant expérimenté et devinant qu'elle n'a pas envie d'aller au bizutage lui disent que ça a commencer dans l'amphi, et qu'elle doit se déshabiller ici, car les autres premières années sont à poil et qu'il n'est pas juste qu'elle passe moins de temps toute nue que les autres.

Sabrina rougie et dit "Non, mais vous n'allez tout de même pas me faire me déshabiller ça va pas la tête non" avec un air hautain et arrogant propre aux gamines gâtées comme elle. "Je suis voilée quand même, je peux pas l'enlever".

Les bizuteurs, insensibles lui disent de retirer ses vêtements ici devant tout le monde, sinon ils useront de la force, car c'est le bizutage, tout le monde à poil sans distinction, on met sa culture et sa religion de coté  et qu'il faut tout montrer".

C'est horrible pour Sabrina mais elle n'a pas le choix et sait parfaitement qu'ils vont lui arracher ses habits et lui infliger des sévices et des punitions.

Il faut tout enlever même la culotte et les chaussettes. Sabrina qui était couverte de la tête aux pieds s'est retrouvée à poil en quelques minutes, et devant tout le personnel de la BU.

La honte, les anciens l'oblige à parader à poil devant les autres les mains sur la tête pour que tout le monde puisse bien reluquer ses seins, sa chatte sans poil ses fesses à l'air.

Faut pas être pudique pendant le bizutage.




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La tradition du bizutage en milieu étudiant.


lundi 9 décembre 2024

Exhibition lors du bizutage d'étudiantes

 

En début d'année universitaire, dans cette ville dynamique universitaire cotière  du sud de la France, nous pouvons assister à de très jolis spectacles et assister à des scènes surprenantes.

Les étudiantes, en particulier les bureaux des anciens (BDE) des différentes écoles et institut universitaires présents sur la ville rivalisent en matière de bizutage. L'école d'infirmière, l'IUT, et l'école d'architecture organisent chacune de leur côté des "journées d'intégration" (nom officiel du bizutage).

Les passants et promeneurs sur l'avenue de la plage, il fait encore chaud à cette période de l'année et les touristes sont encore présent en septembre/octobre, ont pu assister à des choses étonnantes qu'on ne voit pas tous les jours. trois jeunes filles ont été obligées de se promener entièrement nues dans le centre ville et à coté de la plage, dans une zone de forte affluence à la vue de tous.

Mélanie, Naïma, et Carla, trois filles de l'IUT étaient promener mains sur la tête avec obligation de tout montrer aux passants.

Ces filles sont aussi bien sur pieds nus, Naïma la musulmane portait des baskets avec des chaussettes qu'elle a du retirer, les deux autres étaient en tongs (flip flop).

Les filles étaient aussi obligées de danser sur des sons des spices girls, de Denzel, et de chanter des slogans débiles.

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Bizutage pour les filles.

dimanche 8 décembre 2024

Femme incarcérée pour terrorisme

 

Les conditions de détention dans les prisons de haute sécurité pour les femmes arrêtées et incarcérées dans le cadre de la lutte contre les terrorisme sont très difficiles et sont dénoncées par de multiples organisations de défense des droits de l'homme.

Najoua B, une détenue américano syrienne impliquée dans une tentative d'attentat avorté avec son mari est détenue en isolement dans une prison de haute sécurité.

Elle est condamnée à 8 ans de prison, sous surveillance permanente dans une cellule de ségrégation vide d'environ 2 mètres sur deux, avec seulement "des toilettes à la turque".

Aucun confort n'est permis, sa cellule est éclairée en permanence. De plus, la prisonnière est contrainte de rester nue et pieds nus en permanence. Elle est sous le statut de nudité permanente, avec l'interdiction de porter le moindre vêtements, même lors de ses rares visites avec un avocat ou avec sa famille.

Les fouilles sont quotidienne, avec des examens agressifs et intrusifs sans aucun respect pour sa pudeur et sa dignité, les gardiennes l'obligent à ouvrir son anus et son vagin de façon obscène tous les jours et en public.

Elle passe en général plus de huit heures par jours debout les mains sur la tête quand elle n'est pas de corvée ou soumise à des travaux forcés.

Elle a l'interdiction de regarder les gardiens dans les yeux, de leur adresser la parole sans autorisation, ou de communiquer avec d'autres détenus.

Najoua est régulièrement ré éduquée, dans le but de la soumettre et de la déradicaliser, elle est filmée nue et régulièrement prise en photo à poil et les images sont diffusées.

L'hymne nationale des États Unis retenti deux fois par jours et elle doit l'écouter et le chanter.

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Haute sécurité.

jeudi 5 décembre 2024

Un gardien témoigne du sort réservé aux prisonnières.

Forcer les femmes à rester nue en prison.
Humiliation collective en prison.

Témoignage exclusif d'un ancien garde de la prison.

Les détenues irakiennes de la prison militaire américaine d'Abou Ghraib sont traitées comme pires que des bêtes. Ces femmes sont fouillées à poil et en  public devant tout le monde sans aucun respect pour leur dignité et leur pudeur !

C'est sur qu'entre nos mains, elles perdent vite toute traces de timidité et de pudeur, nous avons pour consigne de les garder complétement nues et pieds nus en permanence 24/24h et 7/7j. Nous les dressons pour leur apprendre le respect et l'humilité, qu'elles soient musulmanes sunnites, chiites, chrétiennes ou peu importe, elles sont toutes à poil.

Elles arrivent très pudiques, voilées de la têtes aux pieds avec leurs abayas et hijab, des tenues pudiques couvrant tous leurs corps et nous les déshabillons devant tout le monde pour les humilier et remettre en place !

Elles sont forcées de parader  nues dans toute la prison pour que les gardes puissent les voir à poil, ainsi que les autres prisonniers car c'est bien de les humilier devant leur communauté, de montrer aux hommes ce qu'ont fait à leurs femmes.

Elles sont interdites de tout morceau de tissu et doivent tout montrer,  et accepter la nudité et d'être vues à poil.

Nous les inspectons et fouillons plusieurs fois par jours pour s'assurer qu'elles ne dissimulent rien sous leurs seins, dans leurs cavités (anus et vagin), entre leurs orteils, dans leurs bouches car les femmes peuvent cacher plein de truc en elle ce qui nécessite une vigilance absolue.

Nous nous moquons d'elles, faisons sans cesses des remarques sur leurs seins, la forme de leur cul, sur l'odeur de certaines, elles doivent se sentir comme pire que des bêtes.

Nous leur hurlons dessus des ordres pervers comme "écarte tes fesses et ouvre ton anus de pute".

Elles ne mettrons jamais de voile, ni de robe, ni de culotte, soutien gorge, chaussures ou chaussettes tant qu'elles seront sous notre garde dans cette prison. C'est 100% nue.

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Humiliation publique.

mardi 26 novembre 2024

Une femme pudique parade et est humiliée nue en prison.

Sport et exercice phyique nue.
Exercice physique nue en prison.

 Dalila, 28 ans est arrivée dans la prison militaire américaine d'Abou Ghraib en Irak, elle y a passé quelques mois pour soupçons de soutient à la résistance et liens avec l'ancien régime. En arrivant, les gardiens américains l'ont obliger à se mettre toute nue et pieds nus avec les autres femmes irakiennes arrêtées en même temps qu'elle.

Les détenues irakiennes de confession musulmanes comme Dalila qui portent le voile (hijab) et se couvrent de la tête aux pieds sont soumises à un processus très dégradant : Les gardes lui indique avec ses compagnonnes d'infortune "C'est le moment de la fouille, Il faut tout enlever" "Vous devez être entièrement nues", les femmes si elles ne coopèrent pas sont de toute façon déshabiller de force, fouettée et placer en isolement.

"Votre religion vous apprend à être pudique et à cacher vos corps, et bien ici on va vous apprendre à vivre nue, la nudité est essentielle , oubliez toute pudeur, ici pas de voile, pas de culotte, pas de soutien gorge, ni de chaussures ou de chaussettes, vous devez rester nues et pieds nus en permanence, abandonnez toute pudeur".

Les fouilles des cavités sont "pratiquées très régulièrement , on vérifie dans vos anus, vagins, sous vos seines, entres vos orteils, nombril, bouche, oreilles si vous ne cacher rien de dangereux".

Les femmes musulmanes étant pudiques, elles sont forcées de s'exhiber nue, en particulier de faire des exercices physiques et sportifs parfois jusque à l'épuisement , Dalila doit courir et monter et descendre les escaliers nues.

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Nudité forcée.


dimanche 24 novembre 2024

Une détenue nue enchainée d'Abou Ghraib

 

Nudité forcée et humiliation Abou Ghraib
Prisonnière nue en enchainée avec sa gardienne

Nudité forcée et interrogatoire renforcée des femmes.

Nous sommes en Irak, dans la prison d'Abou Ghraib dans la banlieue de Bagdad qui sert de base et de centre d’interrogatoire pour les forces militaires américaine qui occupent le pays.

Les femmes irakiennes capturées par les forces militaires qui sont incarcérées dans cette prison sont contraintes de se dévêtir entièrement, y compris devant des hommes, en contradiction avec leurs valeurs et principes religieux.

Elles sont musulmanes et elles portent toute le voile (hijab), et l'abaya, large robe traditionnelle arabe que portent les femmes du Moyen Orient. 

Chaque femme est soumise à une fouille à nue en arrivant, c'est difficile à vivre mais ici pas de voile, les hijab sont confisqués, et il faut tout retirer. Les femmes fières et dignes sont terriblement humiliées de se retrouver entièrement nues pour y être inspecter dans la nudité totale. 

Aucune négociation n'est possible sur ce sujet. En cas de refus elles sont déshabiller de force, battues, et fouettées et misent en isolement dans le noir avec des musiques assourdissantes et désagréables en permanence pendant des semaines.

Les surveillants inspectent les cheveux, les oreilles, les bouches, sous les seins et les aisselles, contrôle du nombril, et inspection du vagin et de l'anus avec une lampe torche et un doigt ganté et lubrifié, et même les doigts de pieds des prisonnières sont examinés !

Leurs vêtements sont découpés et détruit, et elles sont obligées de rester nues, aucun vêtements ni uniformes de prison ne leur est fournis.

Elles doivent défiler nues et pieds nus jusque à leurs cellules, pour "être présentées"  comme de la viande fraiches à tout le personnel de la prison (gardiens, interrogateurs, staff administratif etc.) mais aussi s'humilier devant les autres prisonniers, y compris les hommes.

La nudité totale est obligatoire et permanente. Les femmes musulmanes entre les mains des forces américaines sont nues pour être formatée et formée à perdre toute pudeur et modestie, comme elles arrivent voilées et couvertes de la tête aux pieds, par pudeur et convictions religieuses et qu'elles n'ont jamais été nues en publique et bien tout le monde doit pouvoir les voir à poil.  Elles doivent abandonner toute espoir de porter des vêtements.

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Malika soumise à une fouille gynécologique.


mercredi 20 novembre 2024

La police arrête nue les suspectes.

Fesses menottes pieds nus bondage BDSM
BDSM bondage menotte nue pieds nus.

La police déshabille une suspecte.

Une femme suspectée de terrorisme arrêtée complétement nue lors d'une opération de police dans ce quartier bourgeois de banlieue parisienne.

Sara se souviendra longtemps de cette soirée ou les flics ont débarqués chez elle en pensant qu'elle était en train de préparer des attentats. Des voisins animés de mauvaises intentions et plutôt jaloux ont signalr à la police que la jeune femme avait un comportement suspect et parlerait d'attaque imminente contre la sécurité publique.

Lors de la perquisition, les policiers ont obligées Sara à se déshabiller complétement, certes la jeune femme était en short culotte et t shirt  qu'elle a due enlever car c'était le soir et elle se préparait à dormir.

La police à justifier cette mesure au nom de la sécurité.


Menottée, la jeune femme a du parader nue et pieds nus dans son immeuble et dans son quartier avant d'être conduite au commissariat dans une marche de la honte.

Les accusations se sont vite révélées fausses et Sara à été innocentée puis libérée.

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Déshabillée par la police.