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mardi 9 septembre 2025

La nudité lors des visites médicales étudiantes obligatoire.

 

Nue pendant la visite médicale.
Une patiente se fait peser nue lors de la visite médicale.

Visite médicale étudiante à l'ancienne.

 

Le couloir du dispensaire universitaire, un boyau glacial aux néons tremblotants, semblait tout droit sorti d’un film d’horreur de série B. Nous étions en 1980, et la visite médicale annuelle des étudiantes était un rite de passage où l’humiliation rivalisait avec la bureaucratie. Alignées en sous-vêtements, pieds nus sur le carrelage gelé, les filles formaient une mosaïque humaine : des origines diverses, des tempéraments allant de la pudeur monacale à l’exhibitionnisme décomplexé, toutes soumises au regard tyrannique de Madame Dubois, l’infirmière en chef. Avec son chignon d’acier et son sourire de guillotine, elle semblait dire : « Vous êtes à moi, et vous allez le sentir. »

Tout commençait dans le gymnase reconverti en annexe médicale, où l’odeur de désinfectant se mêlait à celle de l’angoisse. « En sous-vêtements, mesdemoiselles ! Et plus vite que ça ! » aboya Madame Dubois, claquant des mains comme un metteur en scène sadique. Les aides-soignantes, surnommées les « Cerbères », patrouillaient, prêtes à bondir sur la moindre récalcitrante. Les vêtements s’entassaient sur des bancs : jeans délavés, jupes à volants, chemisiers à motifs psychédéliques, et surtout, les chaussettes – un festival de socquettes blanches, de modèles à rayures fluo, et même de vieilles chaussettes trouées, témoins des budgets étudiants.

Aïcha, voilée et réservée, incarnait la gêne absolue. Elle ôtait son foulard avec des gestes lents, comme si chaque mouvement était une trahison. Ses chaussettes grises, qu’elle tenta de garder comme un ultime bouclier, furent vite repérées. « Les chaussettes, mademoiselle ! On n’est pas chez les nonnes ! » siffla une Cerbère. Aïcha, rouge de honte, se retrouva en culotte blanche et soutien-gorge démodé, ses pieds nus crispés sur le sol. À l’opposé, Valérie, la rebelle peroxydée, faisait un show. Elle laissa tomber son haut avec une lenteur calculée, révélant une lingerie noire audacieuse, et lança ses chaussettes léopard comme des confettis. « Profitez du spectacle, les filles ! » lança-t-elle, déclenchant des rires.

Marie, la catholique fervente, marmonnait des prières en défaisant sa jupe, ses chaussettes beiges montant jusqu’aux mollets, un choix d’une austérité biblique. « Dépêchez-vous, ce n’est pas l’heure de la messe ! » railla Madame Dubois. Sonia, d’origine antillaise, était déjà en culotte, ses chaussettes arc-en-ciel à moitié baissées, chantonnant du zouk. « C’est pas un défilé de mode ! » grogna une aide-soignante, mais Sonia riposta : « Mes chaussettes, elles ont plus de style que votre blouse ! »

Les internes, jeunes médecins en herbe, observaient depuis un coin, prétendant consulter des dossiers. Pierre, le plus culotté, lançait des piques : « Jolies chaussettes, mademoiselle… un cadeau de grand-mère ? » dit-il à Marie, qui vira écarlate. Valérie contre-attaqua : « Occupe-toi de ta stéthoscope, docteur, mes chaussettes ont plus de fans que toi ! » Aïcha, elle, fixait le sol, priant pour disparaître.

Mais Madame Dubois veillait. Quand elle surprit Leila et Claire en train de glousser tout en bataillant avec leurs chaussettes dépareillées, sa voix claqua : « Vous deux ! Baissez vos culottes, et vite ! » Les filles, pétrifiées, furent traînées au centre, forcées de se dévêtir sous les regards mi-choqués, mi-amusés. Leurs chaussettes – à pois pour Leila, une vieille grise pour Claire – ajoutaient une note comique à leur humiliation. « Retournez dans le rang ! » ordonna Madame Dubois. Leila, mortifiée, se cacha derrière Claire, qui haussa les épaules : « Au moins, nos chaussettes font jaser ! »

Une fois déshabillées, les étudiantes furent alignées dans le couloir, en culotte, soutien-gorge et pieds nus, exposées comme des trophées dans une vitrine perverse. Les chaussettes, abandonnées sur les bancs, semblaient narguer leurs propriétaires, vestiges d’une dignité envolée. Aïcha serrait ses bras contre sa poitrine, son regard fuyant les passants – étudiants égarés ou techniciens de surface – qui jetaient des coups d’œil curieux. Valérie, elle, bombait le torse, sa culotte en dentelle rouge défiant quiconque de la juger. Marie triturait un chapelet imaginaire, tandis que Sonia lançait des blagues osées, indifférente aux regards.

« Silence ! » hurla Madame Dubois, brandissant une règle en bois. Malheur à celles qui osaient parler. Fatima, surprise en train de chuchoter, fut tirée du rang. « Vous trouvez ça drôle ? » siffla l’infirmière, avant de lui administrer une fessée théâtrale, sous les rires nerveux. Puis, dans un élan de cruauté, elle ordonna à Fatima de remettre sa culotte… sur la tête. « Et vos chaussettes sur les mains, pour faire bonne mesure ! » ajouta-t-elle, sadique. Fatima, rouge mais hilare, obéit, ses chaussettes à rayures pendant lamentablement.

La salle d’examen était un autre cercle de l’enfer. Pierre, l’interne à peine diplômé, jouait les apprentis sorciers avec un zèle suspect. « Tout nu, mesdemoiselles, on n’a pas toute la journée ! » lançait-il, un sourire narquois aux lèvres. Poids, taille, tout était noté sous l’œil de Madame Dubois, qui cherchait la moindre faille. « Trois kilos de trop, mademoiselle Leclerc ? Trop de croissants ? » ironisait-elle, provoquant des ricanements.

L’examen devenait plus vicieux. Pierre palpait les seins avec une lenteur exagérée, son « Tout va bien ici » sonnant comme une provocation. La prise de température rectale, annoncée comme une sentence, faisait grimacer les plus aguerries. « Baissez-vous, ce n’est qu’une formalité, » assurait-il, mais son ton trahissait un amusement malsain. Aïcha, qui avait débuté la journée en tremblant, lança un regard de défi à Pierre, comme si sa pudeur s’était muée en audace. Valérie, fidèle à elle-même, plaisanta : « C’est un thermomètre ou un accessoire de cinéma, docteur ? »

Les touchers rectaux et vaginaux, administrés avec une froideur clinique, étaient le clou du spectacle. « Détendez-vous, » murmurait Pierre, mais les filles grimaçaient sous ses sarcasmes.

Ceux et celles qui ont vécu ces visites médicales collectives en gardent un souvenir indélébile, mélange de malaise, d’absurde et d’une étrange nostalgie. Entre l’autorité implacable des soignants, les chaussettes abandonnées comme des reliques, et les rires nerveux, c’était un théâtre où la pudeur était mise à nu. Aïcha, qui était arrivée voilée et tremblante, quitta le dispensaire en riant avec Valérie, son voile légèrement de travers, ses chaussettes soigneusement rangées dans son sac. « Si je dois être à poil, autant que ça vaille le coup, » glissa-t-elle, un sourire espiègle aux lèvres. Valérie tapa dans ses mains : « T’es une championne ! » Même Madame Dubois, en les voyant partir, esquissa un rictus, comme si, l’espace d’un instant, elle reconnaissait leur victoire.

 

Nue à la visite médicale de la fac
Examen clinique d'une étudiante nue à la visite médicale.

Lien :

Visite médicale autoritaire et humiliante. 


mardi 3 mai 2022

Manque de pudeur, examen gynécologique et abus de pouvoir lors des visites médicales.

 

Lesbienne passe une visite médicale nue avec test gynécologique.
Soumise nue à un examen gynécologique par une doctoresse lesbienne.

Visite médicale obligatoire : des étudiantes se plaignent d'une doctoresse lesbienne perverse et dominatrice.


Plusieurs jeunes filles étudiantes dénoncent la  visite médicale obligatoire de l'enseignement supérieur de l'infirmerie du campus universitaire. Ce contrôle de santé effectué par une doctoresse et une infirmière serait selon elles très intrusif, dégradant, irrespectueux et très difficile à vivre et remettent en cause la politique de l'établissement.


Plusieurs filles comme Clémence ou Aziza témoignent du comportement selon elles abusifs de l'équipe médicales qui serait composer de lesbiennes dominatrice qui abuseraient de leur pouvoir pour asservir des jeunes filles.


Les deux filles qui osent témoigner et avoir écrit une lettre de protestation au président de l'université ont été convoquées quelques jours avant au centre de santé de médecine préventive. Elles rapportent une organisation très peu respectueuse de la pudeur et très envahissant dans la vie privée.


Lorsque une étudiante arrive, elle est reçue par l'infirmière qui lui pose un tas de questions générales sur leur état civil, âge, parcours universitaire, vie sociale, puis personnel  sur leur forme, état de santé générale,  antécédent médicaux, opération, consommation de drogue ou d'alcool, problème éventuelle de sommeil, si elles se sentent en isolement ,  ont des problème familiaux etc. Et pour ensuite arriver à des questions de plus en plus intimes sur leur vie sexuelle comme par exemple la pratique de la sodomie, de leurs premières règles, leurs premiers rapports,  de savoir si elles ont un suivis gynécologique ou pas et quand remonte la dernière consultation, si elles ont des petits copains etc.


Ensuite l'infirmière pratique deux test: de l'audition et de la vision. Ensuite les deux filles dont l'attestation concorde disent avoir étés dirigées vers une cabine à double portée avoir reçu l'ordre de se déshabiller et de tout enlever même la culotte car la doctoresse doit procéder à un examen gynécologique car Aziza n'a pas consulter de gynécologue depuis longtemps et Clémence prétend être vierge, chose à laquelle l'infirmière ne croit absolument pas et qui devra être vérifier.


Ensuite la patiente est reçue par une femme médecin très sexy, Aziza se souvient avoir été prise à partie et engueuler par la doctoresse pour avoir oublier de retirer ses chaussettes et de se présenter pieds nus. La femme médecin est très à cheval sur la procédure et la discipline et prétend faire appliquer les consignes du ministère de la santé qui imposent un examen physique et clinique complet des jeunes femmes.


Les deux étudiantes rapportent dans un premier temps avoir été soumises à différentes mesures (taille, poids, tours de ventre, tours de poitrine etc.), des tests de réflexes sur les coudes, genoux, plantes des pieds, des tests de souplesse et examen de la colonne.


Ensuite elles sont examinées cliniquement : écoute du coeur et des poumons, prise de tension, rapide test d'effort en faisant des flexions (squats) toute nue avec prise de pouls pour contrôler le rythme cardiaque avant et après l'effort.


Ensuite l'infirmière est arrivée et les filles rapportent avoir été tripotées de toute part par les deux soignantes en uniforme , des palpations approfondies et très appuyées des seins, des doigt dans l'anus, des caresses du clitoris, des embrassades forcées avec la langues, des orteils à  sucer et lécher. 


La doctoresse fait avoir un orgasme a toute les étudiantes selon les témoignages.


La doctoresse aurait dit publiquement au sujet des patientes que : "C'est toutes des lesbiennes refoulées et les baiser lors des examens les décoincent et leur fait du bien."



Examinée nue et sans pudeur par l'infirmière lors de la visite médicale étudiante.
Toute nue et pudique à la visite médicale.

Le président de l'université par un communiqué de presse a dit soutenir son équipe médicale qui est selon lui très professionnel et donner pour consigne d'examiner une seconde fois les plaignantes pour s'assurer de leurs bonne santé mentale.



Liens : 


Le protocole de la visite médicale.


L'examen gynécologique en médecine universitaire de prévention.


Autorité et humiliation dans le monde de la santé.


samedi 29 janvier 2022

Vidéo: Un médecin pervers abuse d'une jeune patiente nue

 


Un docteur pervers baise une fille nue lors de la visite médicale (Vidéo).



Vidéo d'une visite médicale universitaire qui tourne mal. Le médecin de prévention de l'université convoque une étudiante qu'il fait mettre à poil pour l'examen clinique et gynécologique. La jeune fille étant très sexy, le docteur qui reste un homme ne peut pas s'empêcher de lui lécher la chatte et de la baiser.

Sexe avec l'infirmière lesbienne.
Une infirmière lesbienne baise une femme blonde pendant l'examen.


Avec la crise économique et la crise sanitaire de plus en plus de soignants et de médecins baisent leurs patientes pour le moindre prétexte.


Liens : 




vendredi 10 septembre 2021

Pas de place pour la pudeur à la visite médicale de la Faculté

 

Une fille étudiante doit passer sa visite médicale de prévention toute nue
Fille pesée et mesurée toute nue par le docteur et l'infirmière.

Les visites médicales de l'enseignement supérieur


C'est la rentré universitaire et cette année après presque deux ans de pandémie de Covid 19, la rentré est quasiment normale, et les services de médecine universitaire préventive vont pouvoir conformément à la loi faire passer les visites médicales obligatoire pour tout les étudiants en première année. 


L'épidémie ayant empêcher un suivis sérieux, cette année c'est le retour à l'ordre et aux tradition du passé.


Camille, 20 ans,  une jeune étudiante blonde est l'une des premières à passer à l'infirmerie du campus pour passer sa visite. Son témoignage risque de faire un peu peur aux étudiantes un peu pudique et coincée car même si la visite médicale est relativement courte, environ une demi heure, la visite se veut très complète.


La jeune fille n'a pas de problème avec la nudité donc se mettre toute nue devant le docteur et l'infirmière ne lui pose pas trop de problème.


D'autre filles par exemple ont très mal pris l'obligation de se déshabiller totalement (pieds nus, seins nus, fesses à l'air etc.) et son ressorties du cabinet médicale choquée et en pleurant à chaude larme car leurs pudeurs ont été malmenées.


l'examen comporte une importante palpation des seins et un bref et rapide examen gynécologique et contrôle de l'anus.


Liens :


Visite médicale avec docteur autoritaire.



Examen gynécologique obligatoire.







lundi 24 mai 2021

Visite médicale annuelle du pensionnat

 

Nudité et pudeur à la visite médicale
Jeune fille toute nue pour la visite médicale

Une jeune fille soumise à la visite médicale du foyer pour jeunes filles.


Lorsqu'une jeune femme âgée entre 18 et 26 ans  arrive dans le foyer pour jeunes mineurs de l'ASE tenue par une association très traditionaliste ayant pour mission d'assurer la promotion sociale par l'éducation, elle doit passer une visite médicale une fois par ans.


Dans ce lieue de vie les règles sont strictes et les filles soumises à une discipline très strictes. Les jeunes filles comme Sarah, une fille de 22 ans, placée dans cette institution pour des problèmes familiaux, ses parents étant en conflit, et ne pouvant pas assurer la poursuite de ses études.


Lors de cette fameuse journée de visite médicale, les filles sont appelées en petit groupe, les anciennes sont expérimentées et moins pudiques que les nouvelles souvent gênées et honteuse la première fois.


Les filles ont rendez vous le matin à l'infirmerie, ou après avoir remplie un questionnaire médicales et un dossier administratifs, elles doivent aller dans un petit vestiaire avec l'ordre de se déshabiller pour ne garder que la culotte. Sarah ce jours la s'est faite reprendre par une surveillante car elle n'avait pas retirer ses chaussettes tout de suite. Les filles doivent être pieds nus pour diverses raisons : les balances pour les pesées calculent la masse graisseuse et la composition corporelle. De plus pour des raisons d'hygiène et de tradition, les pieds doivent être découverts.


La première partie de l'examen est assez simple, l'infirmière et une pionne font passer des tests d'audition, de vision aux jeunes filles, puis elles sont pesées et mesurées en petites culotte, on leur prend aussi les mensurations (tours des hanches, tours de poitrines, des cuisses etc.). Un test des capacités respiratoires et pulmonaires et aussi au programme.


Ensuite l'infirmière reçoit les patientes dans son petit bureau, certaines sont gênées de devoir rester debout en petite culotte pour l'entretien sur les habitudes, si elles se sentent bien, leur alimentation, si elles font du sport, leur contraception, et sur leurs vaccinations.


Ensuite les filles sont envoyées dans la salle d'examen du médecin, c'est le moment le plus redouté car avant d'entrer, les culottes doivent être retirées car c'est toute nue qu'il faut se présenter devant le médecin.


Sarah comme toute les autres filles doit s'assoir sur la table d'examen médicale pour que le docteur lui prenne sa tension, écoute son coeur et sa respiration avec un stéthoscope, lui observe les oreilles, les yeux, le nez, la bouche et le fond de la gorge. Un bref examen de la dentition est aussi pratiqué. 


Puis le docteur palpe longuement les seins de la jeune fille, avant de lui palper le ventre.


Ensuite les réflexes de Sarah sont vérifiés au niveau des coudes, des genoux et des plantes des pieds, les orteils sont aussi inspectés pendant la visite médicale.


Sarah doit aussi s'allonger pour un bref examen gynécologique qui consiste d'avoir à contrôler si la jeune fille est vierge ou pas, le docteur examine la vulve, et écartent les lèvres vaginales de la jeune fille pour s'assurer que toute aille bien.




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samedi 20 février 2021

Histoire de visite médicale lesbienne

 

Toute nue pour l'examen gynécologique avec une doctoresse lesbienne
Examen gynécologique par une doctoresse lesbienne.

Visite médicale érotique : Yasmine rencontre Angélique.


Le centre médical a été renforcé, la direction de l’Université et la Région ont donné plus de moyens, pour agrandir et rénover les locaux, et recruter plus de médecins, d’infirmières, et d’assistantes sociales pour permettre à la médecine étudiante de bien fonctionner.

Angélique Dupuis, 43 ans, médecin généraliste, avec les cheveux châtains foncés des yeux verts, origine française (aquitaine) 1.72 m pour 60 kilos, assez grande et élancée, médecin généraliste devant faire passer aussi des visites médicales préventives à l’Université pour les étudiants. Elle est intégrée à l’équipe pluridisciplinaire du SUMP (service Universitaire de Médecine préventive.) depuis la rentrée de septembre 2015, ou elle a été intégrée à l’équipe médicale et sociale lors du renforcement d’effectif.

La mission du docteur Dupuis consiste principalement à faire passer les visites médicales de prévention obligatoire pour les étudiants primo entrants à l’Université, et d’assurer certaines consultations médicales sur rendez-vous. Elle doit se rendre dans l’infirmerie du campus universitaire les mardis et jeudis, le reste du temps, elle assure une permanence à l’hôpital ou elle travail en tant du médecin généraliste depuis 10 ans.

Angélique a accepté ce poste au SUMP pour diverses raisons. D’abord, elle souhaite diversifier ses activités et enrichir ses expériences, et voir plus de monde, découvrir un nouveau public. Deuxièmement, elle est encore jeune, mais elle a grandi dans un milieu assez aisé, loin de la « vraie vie », et elle s’intéresse à la santé des jeunes, et des jeunes femmes en particuliers. Elle est bi sexuelle et avoir un contact avec des jeunes filles n’est pas pour lui déplaire, elle ne l’a bien pas sûr pas signalé lors de son entretien d’embauche avec le directeur du centre de médecine préventive.

Elle milite dans diverses associations féministes pour le respect du droit des femmes, et la situation sanitaire de la jeunesse l’inquiète, en effet, beaucoup de jeunes ne consulte quasiment jamais de médecins, pour faute de moyens, d’informations, ou par négligence. Donc beaucoup de jeunes étudiants sont en situation de détresse, pour le docteur Angélique, c’est une occasion « d’agir sur le terrain », d’agir et de prévenir des soucis de santé à des personnes parfois vulnérable. 


C’est un peu comme une mission humanitaire, et un moyen de défendre et d’agir pour ses principes d’égalité dans l’accès à la santé et à l’information, ainsi que pour défendre le droit des femmes à la santé.


Le renforcement des moyens et l’arrivée de nouvelles personnes, motivées comme le docteur Angélique renforcent la cohésion et la motivation générale de l’équipe qui décide de mieux servir les étudiants dans de biens meilleurs conditions pour l’année universitaire à venir.


Yasmine quant à elle, est étudiante, elle a 20 ans, elle décide de porter le voile islamique à l’âge de 16 ans, mais le problème est que son port est interdit dans les lycées, la loi sur la laïcité oblige. La jeune fille décide donc de faire pression sur ses parents pour que ces derniers la mettent au CNED (cours par correspondance).


Après avoir obtenu le baccalauréat, série ES (économique et Social), elle prend quelques mois pour vivre un peu, voyager, et ensuite elle décide de reprendre des études à l’Université. Elle s’inscrit en licence d’Économie Gestion à la fac. Elle souhaite faire des études dans ce domaine pour ensuite pouvoir travailler dans la finance. Elle est assez religieuse malgré ses projets. Elle est d’origine tunisienne, musulmane pratiquante.


Les étudiants sont informés en début d’années, lors de la réunion de pré rentrée qu’une visite médicale est obligatoire et organisée par le SUMP, et qu’ils recevront une convocation par courrier par e-mail durant l’année.


Yasmine, l’étudiante voilée, reçoit sa convocation par la poste à la  décembre , pour lui dire qu’elle devra se présenter à la visite médicale préventive quelques semaines après en janvier de l'année suivante, le jeudi 21 janvier à 15 heures. La lettre indique que la visite médicale est obligatoire, de s’y rendre en ayant une bonne hygiène, d'apporter sa carte étudiante et son carnet de santé, et de ramener aussi tout document en rapport avec la santé (radio, bilan sanguin, etc.).


Tous les étudiants reçoivent cette invitation à passer à l’infirmerie. Yasmine même si globalement ne s’en inquiète pas, elle est un peu surprise, car elle est une jeune adulte de 20 ans, elle pense que les visites médicales scolaires sont des histoires anciennes pour les enfants et adolescents, de plus ses souvenirs de la visite médicale au collège l’a gêne un peu, car elle s’était retrouvée en petite culotte devant le docteur pour sa visite médicale en 5 éme. 

Nudité et visible médicale , c'est à poil.
Il faut se mettre toute nue lors de la visite médicale.




Comme tous autres les étudiants, l’idée de devoir se rendre à la visite médicale ne l’emballe pas, mais quand il faut y aller, faut y aller, pas le choix, c’est obligatoire, et de toute manière, ça justifiera une absence à un TD qu’elle trouve chiant. 


Elle en parle un peu avec sa copine Jessica qui lui dit « Ne t’en fais pas mal belle, j’y suis passée et je n’en suis pas morte ce n’est qu’une formalité de routine, c’est vite fait. ». Yasmine note tout ça dans l’agenda de son i phone pour ne pas oublier puis passe à autre chose.
Puis notre étudiante prépare ses cours tranquillement, elle révise ses partielles début janvier, qu’elle passe avec brio, c’est une bonne étudiante. Ce n’était pas si facile que ça que de passer le Bac par correspondance, ça demandait beaucoup d’auto discipline et de maturité, et donc elle s’est très vite adaptée à la fac.


Le docteur Dupuis quand à elle est en service depuis plus de deux ans ici,  et  elle assure les consultations en médecine générale et certaines visites médicales de prévention, elle en voit passer des gens. Elle fait beaucoup de prévention et d’éducation à la santé, car il y a un nombre d’étudiants, pas extrêmement important, mais existant tout de même qui n’a pas d’accès très important à la santé et en situation de détresse social. Elle fait de son mieux pour aider les étudiants et les inciter à se faire aider.


Nos deux protagonistes vaquent à leurs activités en attendant le 21 janvier.
Le mercredi 21 janvier 2015.


Yasmine se rend en cours la matinée de jeudi, c’est un cours qu’elle aime bien, de 10 h 30 à 12 h 30, elle a pu dormir tard. Ensuite, elle devait normalement se rendre en TD à 15 h, mais aujourd’hui, elle a une visite médicale, donc son absence est justifiée, c’est marqué sur la convocation de toute manière, les étudiants sont dispensés de cours lors de leur convocation à la consultation médicale.
Elle prend donc un déjeuner tranquille au restaurant universitaire avec ses copines, puis se détend et repose un peu avant d’aller à l’infirmerie.


Angélique Dupuis a quant à elle passé sa matinée en consultation, des étudiants ayant pris rendez-vous quelques jours à l’avance pour divers problèmes ou pour avoir un certificat médical pour la pratique du sport.


Il est presque 15 h, le docteur est en place dans son bureau cabinet, et l’infirmière qui l’assiste prépare les fiches et s’apprête à accueillir les étudiants pour une après-midi de visite médicale. Comme il y a pas mal de monde, l’université accueille beaucoup d’étudiants, chaque personne est convoquée avec 10 minutes d’intervalles, l’infirmière se charge de l’accueil et des formalités administratives. 


Puis après le passage avec l’infirmière, l’étudiant est envoyé dans le bureau du médecin, car la visite se passe en deux temps : partie administrative et général avec l’infirmière, et la seconde partie avec un médecin. Angélique et le docteur Gérard reçoivent les étudiants après le passage avec l’infirmière, il faut deux médecins pour que le système puisse tourner normalement, sans retard, et proposer une visite complète.


Yasmine arrive à l’heure, l’infirmière lui remet un dossier à compléter avec un stylo, et lui propose de patienter quelques minutes qu’on puisse la recevoir. La jeune fille remplit tranquillement le questionnaire médical.


L’infirmière ayant terminé ses préparatifs, elle passe voir les deux médecins, elle leur signale que la première personne de l’après-midi est une fille, et qu’elle porte un hijab, car c’est une musulmane. C’est donc naturellement le Docteur Angélique Dupuis qui l’a prendra en charge. Car on préfère faire des accommodements raisonnables, en cas d’impossibilité, ce serait bien sur un médecin homme qui aurait pris en charge Yasmine, mais là, si il y a un médecin femme, on estime que ce sera plus simple et plus facile pour la communication. 

Il n’y a jamais eu de problèmes réels, mais la direction du centre de santé recommande aux médecins et personnel de mettre les étudiants dans les meilleures conditions possibles, ce qui inclus un strict respect de leurs opinions, et prise en compte de leur culture. On estime qu’il est plus facile pour un médecin de sexe féminin d’avoir un bon relationnel avec une patiente musulmane, qu’elle sera plus à l’aise, et donc plus ouverte lors de la visite qui donnera de meilleurs résultats pour elle.


Yasmine est un peu stressée, certes, elle est adulte, mais elle est assez pudique, elle se souvient encore de sa visite médical scolaire au collège, et n’en garde pas un bon souvenir, toute cette ambiance lui rappel l’infirmerie de son collège, même odeur d’infirmerie, même blancheur, mais les locaux sont neufs et la salle d’attente plus spacieuse et plus agréable. Et puis elle est adulte maintenant.


Nudité et pudeur lors des examens médicaux
Femme pesée et mesurée toute nue par une infirmière lors de sa visite médicale.



La docteure Angélique se prépare à recevoir sa patiente, elle n’a pas eu encore à rencontrer d’étudiante en hijab, c’est la première fois pour elle, elle est dans une université où il n’y a pas beaucoup de musulmans, elle a déjà eu à faire avec des filles maghrébines, mais jamais une qui portait le voile. Yasmine, quant à elle, ne sait pas trop ce qui va se passer, mais elle se souvient de Jessica et ses paroles.


L’infirmière arrive et prend en charge l’étudiante arabe, elle lui reprend le dossier qu’elle a rempli et lui demande de la suivre dans son bureau.


Yasmine s’assoit devant l’infirmière qui lui demande de lui remettre son carnet de santé, et lui pose quelques questions d’usages sur son adresse, si son nom s’écrit bien comme ça , puis sur le choix de sa filière, si ça lui plait, comment elle se sent à l’université, si avec sa famille tout se passe bien, elle lui pose aussi des tas de questions sur l’isolement, sur sa vie en dehors de la fac, sur sa consommation de drogue et d’alcool, Yasmine répond bien évidement non, l’infirmière lui dit que c’est pour remplir le dossier.
Puis elle passe à ses antécédents médicaux, Yasmine a été opérée de l’appendicite à 7 ans et des dents de sagesse en anesthésie locale à 18 ans, hormis ça, rien a signalé, elle lui demande aussi si elle fait du sport, Yasmine court un peu de temps en temps et marche pas mal, la nurse l’a félicité. L’infirmière lui dit que certains vaccins ne sont pas à jour, et qu’elle peut les faire ici. Mais l’infirmière veut maintenant parler un peu de sexualité, lui en demander si elle connaît les moyens contraceptifs. Yasmine répond que oui, elle est allée à l'école et qu’elle connaît tout ça, l’infirmière s’excuserait presque en lui disant encore une fois que c’est pour le dossier. Et de ne pas oublier d’avoir des rapports protégés et qu’il  est recommandé de voir un gynécologue une fois par an.


Bien lui dit l’infirmière, maintenant asseyez-vous dans ce couloir, le transmet le dossier au médecin et il va vous recevoir dans quelques minutes.


Ok ok dit l’étudiante qui patiente en regardant son téléphone.
Angélique reçoit le dossier et le lit attentivement, elle enfile sa blouse blanche et son stéthoscope, se lave bien les mains, et se dirige vers le couloir ou l’attend l’étudiante pour lui dire d’entrer dans le cabinet/bureau médical.


« Bonjour, dit-elle en tendant sa main vers l’étudiante pour la saluer, je suis le docteur Angélique Dupuis, ravie de vous recevoir. Veuillez entrer s’il vous plaît. ».


Bonjour,


L’étudiante s’installe devant le médecin qui reprend le questionnaire rapidement, et lui demande quelques précisions, elle veut savoir si elle fait souvent du sport, Yasmine dit que oui, elle s’entretient physiquement.


Bien, nous allons commencer les choses sérieuses dit le docteur. « Veuillez défaire votre manche que je puisse prendre votre tension. ».


La jeune fille soulève le col de sa manche pour que le médecin puisse fixer le brassard du tensiomètre.
« 12.3 » de tension ça va dit le médecin.


«  Je vais prendre quelques mesures, retirez d’abord vos chaussures que je puisse savoir votre taille. ».
Yasmine ôte ses converses blanches et se présente sous la toise en chaussettes.


Le docteur l’a mesuré, 1.65 m, vous faite. Maintenant, placez-vous ici, et regarder l’affiche, je vais vous montrer des lettres, dites mois si vous les voyez.


Yasmine a une bonne vision.


Toute nue devant le docteur c'est normal.
Fille sexy nue à la visite médicale.



«Veuillez s’il vous plaît vous défaire de votre couvre-chef, ce sera mieux pour le reste des examens, vous savez, nous sommes entre filles, aucun homme ne viendra, nous avons fait exprès pour que vous soyez à l’aise à la visite médicale, donc ce serait bien que vous ôtiez votre foulard pour le reste de l’examen. »


« Oui, d’accord » après tout, elle ressent un respect de la part du personnel médical, et elle n’a aucune raison de refuser. Elle défait son voile et bandana dessous le voile, elle découvre ses beaux cheveux noirs bouclés. Et son cou.


Angélique lui dit qu’elle est très jolie et lui sourit. Le docteur lui tend ensuite un casque, « Je vais vérifier votre audition ». Puis le médecin lui ordonne en douceur, mais fermement de retirer le haut.


Yasmine ne fait pas d’histoire et ôte sa tunique et son débardeur, car c’est une femme et la visite est obligatoire. Angélique, constate un petit trouble chez Yasmine, et se rend compte qu’elle aime le pouvoir que lui confère son statut de médecin sur cette étudiante qui ne lui déplaît pas, c’est le moins qu’on puisse dire. Yasmine est un peu excitée de dévoiler son corps à une doctoresse  inconnue qui lui plaît.


Le docteur parcourt le haut du corps de l’étudiante avec son stéthoscope, elle lui dit que ça risque d’être un peu froid. Le docteur remarque certains frissons de la part de létudiante quand elle promène son outil sur son dos. Sa peau est super douce se dit le docteur, et elle sent bon le parfum.


« C’est  lady Million votre parfum ? Il vous va très bien » lui demande le docteur.
« Oui, merci » dit l’étudiante en rougissant.


Le docteur angélique pose le stéthoscope près des seins et les frôle « Respirez fort ». Elle a une belle lingerie sexy se dit elle tout en gardant un air concentré. Elle baisse ensuite le stéthoscope vers le ventre. Elle remarque que le rythme cardiaque de la jeune fille accélère, et qu’elle rougie un peu. Le docteur lui frôle la peau avec ses doigts, ces  petites caresses ne font qu’augmenter les frissons de l’étudiante musulmane.


« Très bien mademoiselle ». Angélique à l’idée d’aller un peu plus loin et de profiter de la situation.
«Pouvez-vous retirer le bas, je dois vous peser et procéder à un bilan biométrique, donc pas de pantalon ni de chaussettes. ».


Yasmine rougit, mais ne fait pas d’histoire, elle commence à être chauffée à l’idée de se déshabiller. Elle défait sa ceinture de jean, et le retire, elle enlève ses chaussettes aussi et découvre de jolis pieds nus vernis. La voici en petite tenue.


Le docteur lui demande de monter sur la balance. « 55 kilos. »,pas mal.


Je vais calculer votre IMC (Indice de Masse Corporelle), c’est de 21.5, parfait corpulence normale.
« Je dois procéder à des mesures plus précises, la taille, le poids et l’IMC , c’est bien, mais je dois faire un bilan infirmier plus complet comportant un bilan biométriques pour vérifier vitre bonne santé , en particulier au niveau de la nutrition ». Elle prend un mètre et décide de mesurer l’étudiante un peu plus en détail.


Docile, la jeune fille reste debout en petite culotte, soutien-gorge pieds nus pendant que la doctoresse lui prend le tour de poitrine « 82 cm ». Yasmine est rouge de honte, mais en même temps très excitée d’être reluqué sous toutes les coutures par Angélique, qui prend ensuite son tour de taille « 61 cm » et son tour de hanches « 90 cm ». Le docteur lui dit qu’elle est parfaite comme ça en souriant. Yasmine gênée et contente lui dit merci.


«Bien, je dois vérifier votre poitrine, c’est important, et m’assurer que tout est normal, je dois enlever aussi votre soutien-gorge. ».


Les deux protagonistes se sont pris au jeu, Yasmine se laisse retirer son soutif par le docteur puis lui caresse délicatement les seins, ce n’est plus vraiment médical, mais ce n’est pas grave. Yasmine à l’air de ne pas trop s’en rendre compte et sa poitrine est bien raide et ses seins pointent. Le docteur prend son temps, elle presse un sein après l’autre avec minutie et douceur, elle demande ensuite à la musulmane de mettre les mains sur sa nuque pour mieux examiner les seins. Elle lui presse, malaxe et caresse les seins pendant au moins 5 bonnes minutes, qui s’apparente plus à un massage, Yasmine gémie un peu, et le docteur fait comme si de rien n’était.


« Parfait, votre poitrine est parfaite, rien à signaler ».


Angélique lui demande si tout va bien, car Yasmine est rouge comme une tomate, mais très heureuse. La jeune femme dit oui d’une petite voix.


Toujours en gardant une assurance, elle demande avec douceur et fermeté à sa patiente de s’allonger sur la table d’examen.


Yasmine marche en culotte et s’allonge comme demander, elle est timide et adopte une posture timide. Angélique a pris plaisir à la regarder se trémousser en petite culotte et salive à l’idée qu’elle va pouvoir certainement bien la tripoter et plus si affinité.


Allongée, le docteur lui palpe le cou, la nuque, Angélique meurt d’envie de l’embrasser et de la lécher. Mais elle doit garder une allure professionnelle.


Elle pratique aussi un examen bref de la bouche et la gorge de l’étudiante, elle lui demande d’ouvrir grand la bouche, et de faire « Ah », rien à signaler, mais ce geste permet de temporiser un peu pour la suite, car Angélique est chaude et se retient de sauter sur Yasmine.
Elle lui palpe ensuite l’abdomen et le ventre, minutieusement et en douceur. Yasmine se tortille sous la douceur des mains du médecin.


Elle lui fait aussi passer un test de réflexe assez rapide, sur les coudes et les genoux avec un marteau.
Le docteur lui parle ensuite les ganglions à l’aine, une occasion de passer les mains sur ses cuisses, à l’entrejambe, Yasmine commence à avoir chaud et transpirer.
Le docteur prend le pouls de la patiente, d’abord aux poignets, puis aux chevilles, Yasmine est de plus en plus chaude.


Angélique examine ensuite les pieds de Yasmine, elle observe d’abord la plante de ses pieds, elle remarque que ses pieds sont très propres, mais qu’elle doit avoir l’habitude de marcher pieds nus. Elle scrute ensuite ses orteils et regarde même entre les orteils. « Vos pieds sont parfaits ». Elle teste ensuite les réflexes de la voûte plantaire de Yasmine, et elle lui demande plusieurs fois de serrer et desserrer les doigts de pieds. Angélique aime beaucoup les pieds féminins, sans être totalement fétichiste, elle aime masser et lécher les pieds nus des autres filles. Le docteur lui croque un à un les orteils et passe sa langue entre chaque doigt de pieds ; Yasmine est très sensible et en prend du plaisir.


Angélique lui demande si elle est souvent pieds nus, elle lui dit qu’il est très bon pour la santé et la circulation sanguine de rester pieds nus pour une femme, Yasmine lui dit que oui, elle est pieds nus chez elle la plupart du temps. La doctoresse approuve en disant que le corps à besoin d’air, et les orteils de s’aérer. Qu’elle est très propre et qu’elle a une très bonne hygiène corporelle, et que ce n’est pas le cas pour toutes les étudiantes.


Yasmine reçoit comme consigne de s’allonger sur le dos. Le docteur angélique lui baisse la culotte, sa culotte est maintenant au niveau des genoux. Angélique enfile des gants médicaux et met un peu de vaseline sur ses doigts pour badigeonner l’anus de Yasmine.


« Nous sommes adultes, la température se prend avec plus de précision par les voies rectales » dit le docteur. Au point où elles en sont, autant jouer le jeu jusque au bout et en abuser se dit la femme médecin.
Le docteur lui écarte doucement les fesses pour dévoiler son petit anus, une petite rondelle à lécher et titiller, puis elle frotte un peu l’anus de l’étudiante pour l’assouplir un peu, avant d’écarter encore un peu les fesses pour planter le thermomètre dans le petit trou du cul.


Le thermomètre dans l'anus pour prendre la température à la visite médicale
Prise de température rectale pour un fille nue pendant la visite médicale.



« Ca y est, c’est rentrer, il va falloir attendre deux à trois minutes pour une vraie prise de température. N’avez-vous pas eu mal Yasmine ?».


Non, ça va répond la beurette, à la fois terriblement excitée et un peu honteuse.
Sous prétexte de vérifier que le thermomètre en verre ne bouge pas, le docteur en profite pour toucher le fessier de la fille arabe. Et elle lui ôte sa culotte en disant « Vous serez plus à l’aise sans pour le reste de la visite médicale. ».


L’étudiante n’a pas de température, 37.1 degré, tout à fait normal. Elle doit se retourner et est nue comme un vert devant le docteur qui veut littéralement la manger.


« Ne vous en faites pas Yasmine, j’ai l’habitude de voir des corps dévêtus et nous sommes bien chauffés ici ».
«Je vois que vous n’êtes pas suivis par un gynéco, c’est l’occasion, aujourd’hui, c’est gratuit, donc je vais vous préparer la chaise gynécologique. »


Yasmine est tremblante et très chaude, elle mouille fortement. La doctoresse lui dit de monter sur le fauteuil gynécologique, et de mettre ses fesses près du bord et de placer ses petits pieds dans les étriers « Ils sont un peu froid, car c’est en métal, désolée » dit Angélique.


Le docteur de la fac fait face à l’étudiante nue et les jambes écartées sur le fauteuil de gynéco, Yasmine est très humide à l’idée d’être soumise à un examen vaginal.


Angélique lui palpe le bas-ventre doucement, puis passe sa main sur les organes génitaux, elle les caressent et pressent doucement. L’étudiante est toute mouillée, mais totalement épilée. Elle enfile d’abord un doigt dans la chatte, puis un second. Yasmine ressent plein de plaisir de sentir les doigts d’Angélique bougés en elle. Elle gémit et mouille beaucoup.



Elle pose ensuite son pouce sur le clitoris, et le presse et le masse doucement, ce qui donne plein de plaisir à Yasmine qui pousse des petits gémissements de plaisir. Après l’avoir bien chauffée, la doctoresse lui ordonne de changer de position, de se mettre à quatre pattes, nue pour lui examiner les voies rectales.
L’ordre suffit à mettre encore plus le feu chez Yasmine qui sait qu’elle va se prendre un ou plusieurs doigts dans le cul.


Angélique dirige une lampe vers ses fesses, et enfile une autre paire de gants et se lubrifie les doigts, et masse l’anus de la jeune fille avant d’y faire rentrer un doigt et de pousser, de l’enfoncer le plus possible. Yasmine sent quelque chose bougé dans son intimité et en ressent plein de plaisir, elle mouille de plus bel aux va-et-vient du doigt d’Angélique.


Puis Yasmine sent un second doigt pénétrer son derrière, et encore plus de bien-être elle ressent.
Le docteur Angélique n’en peut plus non plus, elle décide de se déshabiller, elle retire sa blouse, sa veste, sa jupe, et se retrouve en sous-vêtement avec ses escarpins et porte jarretelles. Yasmine doit se remettre en position d’examen gynéco, et Angélique lui lèche l’abricot. « Je dois vous essuyez tout ça » lui dit elle avant de lui bouffer la chatte.

Jambes écartées et totalement exposée lors de la visite médicale gynécologique
Examen gynécologique d'une étudiante nue.



Yasmine se relève et déshabille le docteur, elle lui défait tout, elle retire les chaussures et les collants de la doctoresse à l’arrache, puis sa culotte et son soutif sautent aussi. Les deux femmes s’embrassent à pleine bouche, se touchent, se tripotent. Elles s’allongent sur le sol pour faire l’amour de façon torride.
Les deux femmes se dévore mutuellement, elles se tripotent, se chatouillent, se s'embrassent et se léche de partout. Elles se lèchent mutuellement les doigts et les plantes de pieds, gémissent, avant de jouir mutuellement sous leurs caresses masturbatoires.


Ensuite, les deux femmes se rhabillent, se roulent une pelle, et la doctoresse signe le papier officiel comme quoi, Yasmine a bien passé sa visite médicale.


Angélique dit à Yasmine que les consultations sont gratuites pour elle, et qu’elle l’attend très prochainement pour de nouveaux examens.


Après avoir bu un verre d’eau et un dernier petit bisou, Yasmine enfile ses vêtements et remet son hijab, et la doctoresse, ses habits et sa blouse. Nos deux femmes se séparent et se promettent de se revoir bientôt.
« Jouir et se donner du plaisir sont bons pour la santé » ajoute Angélique en souriant.



Liens : 


Se déshabiller devant le docteur.


Nousbis blog d'histoires bisexuelles 


mardi 16 février 2021

Medical BDSM : une doctoresse asservie sexuellement une soumise (Vidéo)


 Vidéo : une femme dressée et humiliée par une doctoresse SM.


Dans cet hôpital, une doctoresse maltraite et humilie sexuellement les patientes qu'elle transforme en esclave sexuelles.


Une petite brune toute mignonne vient d'être admise dans le service, la femme médecin la reçoit et lui ordonne de se déshabiller, de se mettre toute nue et de s'allonger sur le lit. Elle retire son haut, ses chaussures (escarpins) et ses sous vêtements pour être à poil et se masturbe nue sur le lit.


Quand la dominatrice arrive, elle lui file une bonne route, une paire de claque, puis une fessée toute nue avant de lui enfoncer un plug dans le cul !


La soumise doit ensuite brouter la chatte de sa Maîtresse, lui lécher le vagin, se faire baiser baiser et baiser.



Ces méthodes de sexe thérapie sont de plus en plus pratiqué dans les hôpitaux.


Liens :


Vidéo d'examen gynécologique.