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samedi 10 février 2024

Harcèlement sexuel, nudité forcée, fouille humiliantes pour prisonnières de guerre.

 

Femme dressée et humiliée par les gardiens de prison.
Prison et humiliation.

Un interrogateur explique l'importance des humiliations et des inspections des prisonnières en terme de renseignement militaire.


Depuis les temps immémoriaux que les guerres existent, les prisonniers et prisonnières de guerre ont toujours représenter un enjeux important, qu'ils soient symbolique comme faire des défiler de prisonniers nus et de vendre les femmes comme esclave, économique comme au moyen âge ou les nobles capturés étaient rançonnés, et surtout en terme de domination du peuple conquis et de renseignement militaire et stratégique.

Les Etats Unis d'Amérique ont développer un grand savoir faire pour "traiter" les détenus et les briser et les rendre dociles et coopératifs. Dans la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak pendant la seconde guerre du golfe (2003/2011), les américains ont mis en place un processus de traitement pour briser et rendre docile les captifs et les faire parler et avouer lors des interrogatoires.

Les femmes sont particulièrement visées et appréciées par les gardiens, à l'image de Salma,  prisonnière irakienne 34 ans, pharmacienne de profession, de milieu aisé, d'une conservatrice et pleine de traditions religieuses musulmanes et arabes, sont durant la première étape de leur admission dans cette prison sont dépouiller de leurs identités, argents, effets personnels, montres, bijoux, boucles d'oreilles, de toute liberté et aussi de leurs vêtements.

Cette respectable,  pieuse et bien éduquée  jeune femme s'est retrouvée très humiliée quand on lui a fait retirer son voile (hijab) qui lui couvre la tête, pour qu'elle soit priver de son identité culturelle et religieuses, qui est interdit dans la prison, ainsi que le reste de ses vêtements ses chaussures.et même ses sous vêtements et chaussettes !

Le déshabillage des prisonnières se déroulent devant un public mixte avec obligatoirement la présence d'homme pour accroitre le sentiment dégradation des femmes. Lorsque Salma a appris qu'elle devait être nue en présence d'homme elle a pleurer et était toute rouge de colère et les yeux plein de honte.

Le processus a pour but de dépouiller la prisonnière de tout ses droits, de sa liberté et de sa dignité et de la briser.

La détenue doit ensuite prendre des postures obscène et dégradante pour que tout le monde puisse voir quand elle écarte les fesses et sa chatte sous les rires et doit toucher ses orteils, pour les gardiens c'est un spectacle, ces femmes si pudiques sont des prisonnières et elles doivent être totalement exhibées de la têtes aux orteils !

Les cavités intimes sont explorés la pieuse femme se prend un long toucher rectal puis vaginal.

Avant le placement en cellule la jeune femme a été laissée nue et pieds nus au milieu des couloirs de la prison pour ensuite faire une parade à poil devant le staff et les autres prisonniers. Pour les interrogateurs c'est important de permettre aux gardes et aux membres du personnel découvrir  ces femmes sans culotte ni aucun tissu pour se couvrir et de profiter du choc et de voir à quel point c'est humiliant et gênant pour elles.

La prisonnière déteste toujours ce moment ou pour la première fois , elle est soumises à l'obligation d'exposer les recoins les plus intimes de leurs corps. Le tout devant les soldats  américains qui ne respectent pas sa vie privée, ni sa dignité,  et lui fait savoir qu'elle n'a aucun droits.
 
Les consignes données aux gardiens  sont de pratiquer des fouilles intimes très régulièrement et de façon minutieuse tant pour des raisons de sécurité mais aussi pour apprendre l'obéissance et la soumission.
 
Utilisez leur religion pour mieux les humilier, demandez leur si elles sont contente d'être à poil entre nos mains. Moquez vous d'elles, du fait que leurs fesses soient à l'air, attribuez leur des sobriquets comme "cul nu" , "pute".
 
Faite lui remarquer  qu'elle n'a pas de droit de porter des vêtements, et qu'elle doit rester nue et pieds nus alors qu'une bonne musulmane est censée être pudique, couverte et voilée. 

Salma par exemple est obligée de répéter plusieurs fois par jours qu'elle est fière et heureuse d'être nue.
 
C'est important pour les reconditionner de leur faire répéter  des paroles comme "Je ne mérite pas de porter des vêtements".

Nos ennemis doivent payer, il est normal de les humilier, les perdants lors des guerres sont en général mis à poil et soumis, nous devons perpétuer cette longue tradition de domination.



Liens : 
 




dimanche 4 février 2024

Rapport de visite de la détenue n°974598 (Kenza J)

 

Prisonnière nue assise et enchainée dans sa cellule
Femme enchainée nue et pieds nus en cellule de prison.

Note sur le traitements des femmes irakiennes dans la prison d'Abou Ghraib en avril 2004.

Un mémo déposé par un agent lors de son témoignage devant la commission d'enquête suite au scandale des tortures et des mauvais traitements.

La personne interrogée est un agent du secrétariat d’État à la défense ( équivalent du ministère des armées) chargé de superviser traitement des prisonniers de guerre de guerre pendant la seconde guerre d'Irak. Le fonctionnaire a été envoyé le 7 avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib pour rencontrer Kenza J, une jeune femme irakienne arrêtée quelques semaines avant, et cousine d'un ancien haut fonctionnaire activement recherché par la coalition.

"Je suis arrivé le 7 avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib pour prendre des renseignement sur Kenza J, la cousine d'une personne activement recherchée par l'armée. Elle a été arrêtée pour ses liens familiaux et faire pression sur son parent pour qu'il se rende, et aussi parce qu'elle est susceptible de par sa position de détenir des informations stratégiques capitales. C'est donc ça qui justifie sont statut de prisonnière de haute sécurité et son placement en isolement et au secret sans avocat pour une période indéterminée.

L'équipe de gardiens et le responsable de la partie dure de la prison m'ont accueillis. Après quelques présentation j'ai pu accéder à la détenue.

La prisonnière étaient nue et pieds nus, mais elle n'avait aucune traces de blessure ni de maltraitances sur le corps. Elle semblait calme et n'avait pas l'air d'avoir peur. Elle était juste gênée d'être nue. 

Le responsable des interrogatoires ordonnent aux gardiens de confisquer les vêtements des détenus, pour les hommes comme pour les femmes, et j'ai pu constater  les autres femmes irakiennes retenues dans la même section sont elles aussi gardées sans le moindre vêtements.

Le renseignement militaire, les administrateurs de la prison sont parfaitement conscient de cette pratique, puisque les femmes sont transportées et déplacer nues pour aller aux interrogatoires, aux douches, aux sorties (qui consiste à se rendre dans une toute petite court pour prendre l'air ou faire un peu d'exercice).

Ces pratiques sont récurrente, j'ai pu voir une autre détenue irakienne nue et menottée les mains dans le dos et ramener manu militari dans sa cellule après un interrogatoire. Cette situation avait l'air parfaitement normale pour les gardiens et toute l'équipe d'Abou Ghraib.

Prisonnière nue escortée par sa gardienne en uniforme de la salle d'interrogatoire vers sa cellule.

 

J'ai demandé à la détenue si tout allait bien et si elle voulait voir un médecin, j'ai aussi demander au responsable des gardiens dont j'ai oublier le nom de lui rendre ses vêtements. Avec un garde il a fait mine d'aller les chercher, puis au bout de 20 minutes, il a dit qu'il ne les avait pas trouver.

Les vêtements et les effets personnels des prisonnières sont mélangés dans une armoire dans un bureau administratif de l'autre côté du secteur. C'est impossible de les retrouver, surtout qu'un administrateur m'a parler de vols, il a constater que les culottes des prisonnières étaient systématiquement confisquées et utilisées pour torturer et humilier les prisonniers hommes (souvent attachés à poil avec des sous vêtements féminins sur la tête).

 

Kenza J m'a confirmé que les autres prisonnières sont nues, et que le chef des gardiens est hypocrites et menteur, qu'il n'a aucunement l'intention de permettre à la moindre femmes de s'habiller.

 J'ai donc insister après du responsable pour en savoir plus sur les vêtements des prisonnières, et qu'il fallait au moins remettre à Kenza et aux autres les vêtements qu'il est possible de leur remettre.

Ce dernier m'a dit que c'était impossible, puisque il n'y avait jamais eu la moindre livraison d'uniforme de prisonnière faute de moyens, et que les vêtements dans l'armoire sont abimées ou peuvent servir de pièce à conviction.

Ces arguments étaient un peu bancales mais je n'avais aucune autorité pour faire changer les choses, et il avait l'air d'avoir des appuis parmi ses supérieurs.


Kenza m'a dit que pour une femme musulmane et arabe, la nudité était très difficile, surtout au début. Sa religion enseigne la pudeur et la modestie, les femmes ici retenues sont toutes très traditionnelles et conservatrices. Kenza,  comme l'autre détenue que j'ai croisée escortée nue prénommée Leila m'a dit qu'elle portait le hijab (voile islamique) et une robe arabe large qui couvre toutes ses formes, et qu'elle n'avait jamais été nue en public ni même porter un maillot de bain.

 En arrivant à Abou Ghraib, elle s'est faite déshabiller complétement pour une fouille très approfondie (la procédure prévoit un examen gynécologique et anal). Puis qu'ensuite aucun vêtements n'est rendus aux femmes qui sont placées en cellule totalement à poil après une parade de la honte.

Le chef des gardes participe toujours au processus et assiste au fouilles et à toutes les étapes de l'incarcération des femmes.

Ici les femmes sont obligées de se montrer nues devant les hommes, le gardien estime que les femmes irakiennes doivent être punies et humiliées, et donc être à poil.

Il aime voir arriver une détenue, bien couverte de son voile, digne, qui en quelques minutes se retrouve sans dignité et entièrement nue et soumise aux gardiens.

Même les culottes et les chaussettes sont interdites, la détenue n°974598 a demandé à pouvoir au moins porter des tongs ou des chaussettes pour marcher car le sol est sale et froid. Le responsable des surveillants a rigoler et a dit que tant qu'il sera là les prisonnières sous sa responsabilité seront 100 % nue et pieds nus.

Concernant l'autre détenue que j'ai croisé, Leila, j'ai pu selon mon mandant demander des informations sur elle et lui parler. Elle est une journaliste proche des médias de l'ancien régime.

Elle m'a dit que les prisonnières sont prises en photo totalement à poil, devant, derrière, sur les cotés et que ces photos sont mises dans des fiches mais qu'elles circulent au sein de la prison.

Les gardes pour ma visite avaient retirer ces images, mais sur la porte de chaque cellule, il y a des photos nues de chaque prisonnières sur les portes de leurs cellules, donc des photos de leurs anus ouvert lors des fouilles ou dans des positions obscènes.

 

Liens : 

 

Les femmes humiliées publiquement en prison.


 

samedi 19 février 2022

Prison, confinement solitaire et conventions de Genève.

 

Naked female prisoner in cell.
Une prisonnière nue attend l'inspection corporelle.

Le sort des femmes prisonnières de haute sécurité.


On en sait désormais plus sur le traitement subi par les femmes prisonnières irakiennes dans la prison d'Abou Ghraib.


Un rapport d'une ONG (Organisation non gouvernementale) sur l'une des détenues, Nadia, 33 ans, incarcérée plusieurs mois dans ce centre  pour ses liens avec des membres importants de l'ancien régime renversé par la coalition menée par les Etats Unis vient de paraitre.


Prisonnière sous le statut de "détenu de haute sécurité" ou de "haute valeur", elle est soumise à des règles de détention très strictes et parfois jugées inhumaines et dégradantes. Ce type de prisonnier est retenue dans la partie dure du site, à l'isolement sans aucun contact avec le monde extérieur.


La prisonnière Nadia est gardée nue et enchainée dans une toute petite cellule vide ne comportant qu'une banquette pour dormir,  un seau d'eau pour faire ses besoins et qui est changer une fois tout les trois jours, et un petit robinet pour l'accès à l'eau. Nourrie une fois par jours avec du riz, du poulet et parfois une banane ou un oeuf.


Comme beaucoup de prisonniers hommes, la jeune femme lors de sont arrivé a été obligée de se déshabiller et de rester sans aucun vêtements en confinement solitaire. Si les autorités reconnaissent que les fouilles sont systématique et obligatoire et qu'elles imposent la mise à nue totale des prisonnières pour des raisons de sécurité, la pratique de garder nu les détenus en confinement solitaire serait d'éviter tout suicide, toutes tentatives de dissimuler des armes, objets dangereux ou illicite et serait un excellent moyen de garantir l'ordre et la sécurité dans le pénitencier. C'est officieusement une technique utilisée et approuvée  par les plus haute autorités militaires, politiques et du renseignement  pour humilier et mettre la pression sur les prisonniers pour les rendre coopératifs et les faire parler lors des interrogatoires dit "renforcés".


Pour Nadia, ses affaires, ses vêtements  et ses chaussures lui ont été confisqués en arrivant. Son statut de femme arabe respectable et pieuse musulmane en a pris un coup lorsque les gardes américains lui ont imposer un strip tease intégral.


Se voir imposer la nudité est un puissant moyen d'intimidation, et d'humiliation psychologique. Et dans le cas d'une femme culturellement conservatrice comme Nadia c'est encore plus dégradants, c'est une humiliation totale et inimaginable que les gardiens lui ont fait ressentir.


Nadia est contrainte d'enlever tous ses vêtements sous le prétexte de vérifier que la prisonnière n'a rien cacher d'illégal ou de dangereux dans son corps pour elle, pour les gardiens et autres prisonniers. Les autorités US insistent sur la nécessité d'assurer la sécurité. Aucune exception n'est admise la nudité totale est de rigueur. Elle doit défaire son voile (hijab), sa robe traditionnel, ses sous vêtements sexy en dentelle, ses chaussures etc. Le tout devant des hommes et des femmes pour accroitre la honte ressentie.


Une fouille et un examen de l'anus et du vagin de chaque prisonnières est aussi pratiquée. Nadia qui est arrivée habillée de façon pudique et conservatrice s'est retrouvée 5 minutes après à poil et contrainte d'écarter ses fesses devant des gardes, quelle déchéance !


La détenue n'a pas le droit de porter des vêtements, ses vêtements civils sont mis sous scellé et confisqués et aucun uniformes ne lui a été remis. Nadia est obliger de vivre nue et pieds nus comme la plupart des autres détenus.


Jamais elle n'aurait imaginer subir ça un jours, être totalement exposée, de plus la nudité forcée fait ressentit une très forte vulnérabilité que les interrogateurs de la police militaire utilise pour ramollir les prisonniers en vue des interrogatoires.


L'armée américaine pour parer a tout accusation de viols ou d'agression sexuelle impose aux femmes des inspections et des contrôle médicaux hebdomadaires.

Prisonnière nue attachée et ligotée par un docteur.
Attachée nue sur une table d'auscultation médicale.

Nadia comme les autres femmes prisonnières est régulièrement amenée, nue bien sur, dans une petite salle avec des objets médicaux pour subir une inspection corporelle. La femme est attachée et cinglée toute nue sur une table d'auscultation, pour se faire examiner le corps, le docteur et l'inspecteur cherche toute traces de violence, marques, traces, contusions, blessures, chaque centimètre de peaux de la détenue est controlé, même entre ses orteils.


Liens : 


Deux femmes nues en captivité.


Témoignage d'une femme en prison.




mardi 23 novembre 2021

Des prisonniers gardés nus en permanence.

 

Nudité totale obligatoire en cellule de prison.
Femme nue et enchainée dans sa cellule de prison.

Prisonnière nue et enchainée dans sa cellule.


La nudité et les humiliations sexuelles sont des techniques d'interrogatoire et de contrôle des prisonniers utilisées par l'armée américaine et les services de renseignements.


En Irak, à la prison d'Abou Ghraib, en 2003/2004 sous la responsabilité des forces armées US dépouiller les détenus et les garder sans vêtements est une pratique omniprésente et généralisée.


Les procédures de conditionnement des prisonniers visent à créer un sentiment de stress et d'inconfort constant, associé a de la peur et de la vulnérabilité et une sensation d'impuissance et de contrôle totale des gardiens sur les captifs.


De plus, les humiliations liés a des tabous culturelles et religieux augmentent le sentiment de dégradation de la personne privée de liberté et permettent de rabaisser fortement l'égo.



Pour les gardiens imposer la nudité totale aux personnes enfermées  et les garder enchainée est normal et habituel.


Linda, 31 ans, une femme fonctionnaire de l'ancien régime renversé par la coalition internationale a passer plusieurs mois en détention pour ses liens avec l'ancien régime. Elle a été déshabillée et interdite de porter des vêtements en cellule et dans la prison. Ce traitement est très outrageant pour elle, qui a été élevée et a grandie dans une culture religieuse et très pudique que de devoir se présenter nue devant le staff pénitencier, les autres prisonniers et rester à poil en cellule.


Lorsque des membres d'ONG ont enquêter et on découvert que Linda était gardée nue et pieds nus et enchaînée en permanence, les responsables américains justifient l'absence de vêtement de la prisonnière par le fait qu'il fasse chaud et que s'habiller ne soit pas nécessaire, par le fait d'avoir reçu l'ordre de mettre nu les détenus de haute valeurs gardés dans cette prison et de les détenir totalement à poil pour les ramollir car ça fait partie du processus.




Liens :








mercredi 20 octobre 2021

Interrogatoire renforcé, nudité forcée et stress position.

 

Prisonnière nue et attachée forcée de s'exposer à poil sans aucune pudeur.
Une femme prisonnière forcée de s'exhiber entièrement nue dans les couloirs de la prison.

Prisonnière nue exposée en public.



Sophia 35 ans est exhibée nue et attachée dans les couloirs de sa prison dans un sentiment de honte et d’humiliation imposée. Cette femme respectable et respectée est humiliée et rabaissée par ce traitement dégradant.


Cette femme est une "prisonnière de sécurité", une notion floue inventée par les Etat Unis en riposte des attentats du 11 septembre qui associées a la loi "Pariot act" permet aux forces armées américaine, service de renseignement et à l'administration d'arrêter toutes personnes suspectées de menacer la sécurité nationale US pour une durée indéterminée et sans avocats. Les interrogatoires musclés et des methodes s'apparentant à de la torture et a des mauvais traitements sont aussi approuvés par les plus hauts dirigeants du pays.


Les Etats Unis ont en outre créer une coalition internationale et envahie l'Irak sous le faux prétexte des armes de destruction massives et du pseudo soutient au terrorisme de l'ancien régime renversé.


Sophia a été arrêtée par l'armée américaine durant la seconde guerre du golfe (2003-2011)lors d'une perquisition sur son lieu de travail. C'est une femme éduquée, riche, de bonne famille qui est professeure de science à l'université. Son mari exerce des responsabilités au sein du ministère de l'intérieur et du parti au pouvoir ce qui fait que les autorités considèrent Sophia comme une prise de guerre importante.


Pour l'administration américaine Sophia est potentiellement susceptible de détenir des information importantes et stratégiques et par conséquent, des hauts gradés de la police militaire ont décider de la  transférée dans la célèbre prison militaire d'Abou Ghraib tenue par l'armée US qui est devenu le centre d'interrogatoire principal des services de renseignements dans la région et qui regroupe des détenus de haute importance. Une aile de la prison est consacrée à ce type de  détenus qui sont garder isoler et au secret.


Les gens du renseignement militaire et les hauts fonctionnaire du département d'état à la défense ont étudier divers moyens de contourner les conventions de Genève et faire parler les détenus rapidement et obtenir du résultat.


Après plusieurs discussions et plusieurs études, plusieurs façon de traiter les prisonniers en vue de les rendre coopératif et de les brise ont été mis en place : La privation de sommeil, l'imposition de position stressante, les humiliations, les manipulations du régime alimentaire, la privation de sens, jouer sur les phobies culturelles et religieuses, la peur des chiens ou des insectes, interrogatoire longue durée, mise à nu publique et nudité prolongée, le maintient en isolement et en confinement solitaire etc.


Dans cette partie de la prison l'un des caractères les plus frappant et les plus marquant et la nudité imposée à l'immense majorité des prisonniers, plus de 80% des personnes privées de liberté sont sans vêtements, quelque uns portent des slip et une infime minorité des uniforme orange ou jaune.


La CIA estime que c'est une méthode simple et efficace pour adoucir les suspects et les rendre dépendant tout en améliorant la sécurité.


Sophia est l'une des rares femmes retenue dans ce pénitencier. Lorsqu'elle est arrivée sur le site, elle a été soumise à une mise à nu imposée et  complète associée à une fouille corporelle  avec inspection de la tête aux orteils et comportant un examen de l'anus et du vagin. 


Bien qu'elle soit une femme moderne et très éduquée, elle porte des vêtements traditionnels arabe (grande et longue robe) et un hijab (voile) sur les cheveux en signe de pudeur et de modestie et de respect pour sa religion et sa culture. Les gardes n'ont aucun scrupule a déshabiller les femmes comme elle, c'est terrible de devoir se mettre totalement nue et de se faire  exposée à poil  sans aucune pudeur aux regard des hommes et des femmes du staff ainsi que par les autres détenus dont peut être certains sont des  membres de sa famille.


Si les fouilles impliquant la nudité  sont une pratique habituelle et de routine dans les prisons américaines, ici dans ce centre de détention, les hommes peuvent participer aux fouilles à nue des femmes prisonnières et inversement les femmes gardes peuvent voir les prisonniers mâles soumis à des fouilles.


Ce choix est fait en fonction du contexte : accroitre le sentiment de honte et d'humiliation des captifs pout qui la nudité est un taboue culturel et religieux. Sophia et les quelques autres femmes incarcérées qui arrivent habillée de façon pudique et souvent complètement voilée  sont soumise à ce traitement : aucun respect pour leurs dignité ni leur sentiment religieux ! La prisonnière est 100% nue, rien pour couvrir sa poitrine, aucun tissus pour dissimuler  ses fesses et sa chatte, aucune chaussures pour masquer ses pieds nus !


Les soldats ont forcer Sophia a se déshabiller devant des gardes hommes et ils lui  ont interdit de porter des vêtements. Ils savent que la nudité provoque un grand sentiment d'humiliation chez ces femmes pour des raisons culturelles.

En plus d'utiliser des méthodes habituelle vexations, de dépersonnalisation,  de déshumanisation  et de rabaissement des nouveaux arrivant comme la fixation d'un numéro de matricule d'identification de prisonnier, le confiscation des vêtements civils et des effets personnels, bijoux, montre, boucles d'oreilles etc. Et bien sur l'interdiction de tout vêtements ou objets ethnique ou religieux (voile, couvre chef, Djellabah, Abaya) donc obligation d'être tête nue sans couvre chef en détention.


Les autorités pour renforcer le sentiment d'humiliation sexuel, mais aussi culturel et religieux obligent les femmes à parader et déambuler entièrement nues jusque a leurs cellules ! 


Sophia n'a pas échappée a cette difficile épreuve. Les gardes aiment la contraindre à  parader à poil sous les rires gras des soldats américains qui n'hésitent jamais à faire la moindre remarques salaces ou à imposer des postures humiliantes et dégradante à la prisonnière nue. 


Ils attachent aussi régulièrement la femme pour l'exposer et l'exhiber nue  en pleine journée et en public à la vue de tous dans les couloirs de l'aile de la prison car ils trouvent ça "fun" et amusant.


Modèle sur la photo : Cecilia Vega.



Liens :


Le traitement des femmes à la prison militaire.


Une prisonnière se fait tondre la tête par ses gardiens !


La nudité forcée en détention.


mercredi 17 juin 2020

Prison de haute sécurité et prisonnière nue



Obligation d'être nue en permanence et enchainée pour des raisons de sécurité dans cette prison américaine.
Détenue nue et enchainée en cellule de prison.

Prisonnière nue et enchaînée dans sa cellule de prison.

Ici nous sommes dans  l’une des prisons pour femme  les plus dures des États Unis qui accueille les prisonnières les plus dangereuses du monde. On y trouve des meurtrières, des trafiquantes de narcotiques, des terroristes, des dangereuses empoisonneuses etc.

Cette section particulièrement attire note attention puisque les femmes y sont gardées totalement nues et enchaînées en permanence. Officiellement pour des raisons de sécurité.

Nous remarquons,  Sana, une détenue française d’origine arabe  incarcérée ici depuis 8 mois pour des faits de terrorisme international. Les forces armées américaines l’ont capturé sur un champ de bataille du moyen orient avant de l’a transférée ici aux États Unis. 

Lorsque nous arrivons Sana vient juste de rencontrer son avocat, et les gardiens l’escortent pour la ramener dans sa cellule. Ici lorsqu’une détenue a une visite ou un parloir, et qu’elle doit aller dans une autre section de la prison, on lui remet en générale temporairement  une culotte, et une tunique orange de prisonnière ainsi qu’une paire de tongs en plastique. Mais elle doit se déshabiller avant de rentrer en cellule comme le prévoit le règlement.

C’est la première fois que cette femme porte des vêtements depuis qu’elle est ici, comme c’est une prisonnière suspectée de terrorisme, elle n’a pas eu tout de suite droit à un avocat , ni de visites lors des premiers mois.

Lors de son arrestation en territoire étranger par commando des forces spéciales, elle n’a pas penser qu’elle serait extradée en Amérique pour soupçons  complicité dans des attaques contre des intérêts américains.

Après un passage dans des camps militaires, elle est envoyée sur décision de la justice aux États Unis. Depuis le départ de Bush, la prison de la base  Guantanamo bay a Cuba n’accueille plus de nouveaux prisonniers, et les femmes sont incarcérées dans les prisons les plus sécurisées du pays. Elle attend son procès.

Le jours ou Sana est arrivée ici, elle s’est fait mettre nue de force par les gardes après avoir refuser les ordres de mise à poil pour la fouille, une partie de ses vêtements ont été déchirer et détruit pendant l'opération. Donc les gardes sont très attentifs et sur le qui vive lors de cet opération.

Sana vit nue et enchainée comme les autres prisonnières dans sa petite cellule vide d'isolement, car c'est ici une prison de haute sécurité et tout objet extérieur est strictement interdit.

Ses premières semaines étaient difficiles, mais elle s'est habituée a être à poil en permanence et a devoir exposer son intimité sur ordre à n'importe quels moment car ici il n'y a pas de place pour la pudeur ni la dignité.

Liens :

Strip Search and mandatory nudity