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Prison et humiliation. |
Blog érotique et pornographique consacré au Bdsm ( Bondage Domination et Sado Masochisme). Les principaux fantasmes abordés : prisonnières nues, visites médicales, nudité forcée, fessées et autres punitions, bizutage, filles en pensionnat, exhib, pieds féminins, fétichisme etc. Suite de l'ancien blog https://camp-bdsm.blogspot.com
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Prison et humiliation. |
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Femme enchainée nue et pieds nus en cellule de prison. |
Un mémo déposé par un agent lors de son témoignage devant la commission d'enquête suite au scandale des tortures et des mauvais traitements.
La personne interrogée est un agent du secrétariat d’État à la défense ( équivalent du ministère des armées) chargé de superviser traitement des prisonniers de guerre de guerre pendant la seconde guerre d'Irak. Le fonctionnaire a été envoyé le 7 avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib pour rencontrer Kenza J, une jeune femme irakienne arrêtée quelques semaines avant, et cousine d'un ancien haut fonctionnaire activement recherché par la coalition.
"Je suis arrivé le 7 avril 2004 dans la prison d'Abou Ghraib pour prendre des renseignement sur Kenza J, la cousine d'une personne activement recherchée par l'armée. Elle a été arrêtée pour ses liens familiaux et faire pression sur son parent pour qu'il se rende, et aussi parce qu'elle est susceptible de par sa position de détenir des informations stratégiques capitales. C'est donc ça qui justifie sont statut de prisonnière de haute sécurité et son placement en isolement et au secret sans avocat pour une période indéterminée.
L'équipe de gardiens et le responsable de la partie dure de la prison m'ont accueillis. Après quelques présentation j'ai pu accéder à la détenue.
La prisonnière étaient nue et pieds nus, mais elle n'avait aucune traces de blessure ni de maltraitances sur le corps. Elle semblait calme et n'avait pas l'air d'avoir peur. Elle était juste gênée d'être nue.
Le responsable des interrogatoires ordonnent aux gardiens de confisquer les vêtements des détenus, pour les hommes comme pour les femmes, et j'ai pu constater les autres femmes irakiennes retenues dans la même section sont elles aussi gardées sans le moindre vêtements.
Le renseignement militaire, les administrateurs de la prison sont parfaitement conscient de cette pratique, puisque les femmes sont transportées et déplacer nues pour aller aux interrogatoires, aux douches, aux sorties (qui consiste à se rendre dans une toute petite court pour prendre l'air ou faire un peu d'exercice).
Ces pratiques sont récurrente, j'ai pu voir une autre détenue irakienne nue et menottée les mains dans le dos et ramener manu militari dans sa cellule après un interrogatoire. Cette situation avait l'air parfaitement normale pour les gardiens et toute l'équipe d'Abou Ghraib.
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Prisonnière nue escortée par sa gardienne en uniforme de la salle d'interrogatoire vers sa cellule. |
J'ai demandé à la détenue si tout allait bien et si elle voulait voir un médecin, j'ai aussi demander au responsable des gardiens dont j'ai oublier le nom de lui rendre ses vêtements. Avec un garde il a fait mine d'aller les chercher, puis au bout de 20 minutes, il a dit qu'il ne les avait pas trouver.
Les vêtements et les effets personnels des prisonnières sont mélangés dans une armoire dans un bureau administratif de l'autre côté du secteur. C'est impossible de les retrouver, surtout qu'un administrateur m'a parler de vols, il a constater que les culottes des prisonnières étaient systématiquement confisquées et utilisées pour torturer et humilier les prisonniers hommes (souvent attachés à poil avec des sous vêtements féminins sur la tête).
Kenza J m'a confirmé que les autres prisonnières sont nues, et que le chef des gardiens est hypocrites et menteur, qu'il n'a aucunement l'intention de permettre à la moindre femmes de s'habiller.
J'ai donc insister après du responsable pour en savoir plus sur les vêtements des prisonnières, et qu'il fallait au moins remettre à Kenza et aux autres les vêtements qu'il est possible de leur remettre.
Ce dernier m'a dit que c'était impossible, puisque il n'y avait jamais eu la moindre livraison d'uniforme de prisonnière faute de moyens, et que les vêtements dans l'armoire sont abimées ou peuvent servir de pièce à conviction.
Ces arguments étaient un peu bancales mais je n'avais aucune autorité pour faire changer les choses, et il avait l'air d'avoir des appuis parmi ses supérieurs.
Kenza m'a dit que pour une femme musulmane et arabe, la nudité était très difficile, surtout au début. Sa religion enseigne la pudeur et la modestie, les femmes ici retenues sont toutes très traditionnelles et conservatrices. Kenza, comme l'autre détenue que j'ai croisée escortée nue prénommée Leila m'a dit qu'elle portait le hijab (voile islamique) et une robe arabe large qui couvre toutes ses formes, et qu'elle n'avait jamais été nue en public ni même porter un maillot de bain.
En arrivant à Abou Ghraib, elle s'est faite déshabiller complétement pour une fouille très approfondie (la procédure prévoit un examen gynécologique et anal). Puis qu'ensuite aucun vêtements n'est rendus aux femmes qui sont placées en cellule totalement à poil après une parade de la honte.
Le chef des gardes participe toujours au processus et assiste au fouilles et à toutes les étapes de l'incarcération des femmes.
Ici les femmes sont obligées de se montrer nues devant les hommes, le gardien estime que les femmes irakiennes doivent être punies et humiliées, et donc être à poil.
Il aime voir arriver une détenue, bien couverte de son voile, digne, qui en quelques minutes se retrouve sans dignité et entièrement nue et soumise aux gardiens.
Même les culottes et les chaussettes sont interdites, la détenue n°974598 a demandé à pouvoir au moins porter des tongs ou des chaussettes pour marcher car le sol est sale et froid. Le responsable des surveillants a rigoler et a dit que tant qu'il sera là les prisonnières sous sa responsabilité seront 100 % nue et pieds nus.
Concernant l'autre détenue que j'ai croisé, Leila, j'ai pu selon mon mandant demander des informations sur elle et lui parler. Elle est une journaliste proche des médias de l'ancien régime.
Elle m'a dit que les prisonnières sont prises en photo totalement à poil, devant, derrière, sur les cotés et que ces photos sont mises dans des fiches mais qu'elles circulent au sein de la prison.
Les gardes pour ma visite avaient retirer ces images, mais sur la porte de chaque cellule, il y a des photos nues de chaque prisonnières sur les portes de leurs cellules, donc des photos de leurs anus ouvert lors des fouilles ou dans des positions obscènes.
Liens :
Les femmes humiliées publiquement en prison.
Une prisonnière nue attend l'inspection corporelle. |
On en sait désormais plus sur le traitement subi par les femmes prisonnières irakiennes dans la prison d'Abou Ghraib.
Un rapport d'une ONG (Organisation non gouvernementale) sur l'une des détenues, Nadia, 33 ans, incarcérée plusieurs mois dans ce centre pour ses liens avec des membres importants de l'ancien régime renversé par la coalition menée par les Etats Unis vient de paraitre.
Prisonnière sous le statut de "détenu de haute sécurité" ou de "haute valeur", elle est soumise à des règles de détention très strictes et parfois jugées inhumaines et dégradantes. Ce type de prisonnier est retenue dans la partie dure du site, à l'isolement sans aucun contact avec le monde extérieur.
La prisonnière Nadia est gardée nue et enchainée dans une toute petite cellule vide ne comportant qu'une banquette pour dormir, un seau d'eau pour faire ses besoins et qui est changer une fois tout les trois jours, et un petit robinet pour l'accès à l'eau. Nourrie une fois par jours avec du riz, du poulet et parfois une banane ou un oeuf.
Comme beaucoup de prisonniers hommes, la jeune femme lors de sont arrivé a été obligée de se déshabiller et de rester sans aucun vêtements en confinement solitaire. Si les autorités reconnaissent que les fouilles sont systématique et obligatoire et qu'elles imposent la mise à nue totale des prisonnières pour des raisons de sécurité, la pratique de garder nu les détenus en confinement solitaire serait d'éviter tout suicide, toutes tentatives de dissimuler des armes, objets dangereux ou illicite et serait un excellent moyen de garantir l'ordre et la sécurité dans le pénitencier. C'est officieusement une technique utilisée et approuvée par les plus haute autorités militaires, politiques et du renseignement pour humilier et mettre la pression sur les prisonniers pour les rendre coopératifs et les faire parler lors des interrogatoires dit "renforcés".
Pour Nadia, ses affaires, ses vêtements et ses chaussures lui ont été confisqués en arrivant. Son statut de femme arabe respectable et pieuse musulmane en a pris un coup lorsque les gardes américains lui ont imposer un strip tease intégral.
Se voir imposer la nudité est un puissant moyen d'intimidation, et d'humiliation psychologique. Et dans le cas d'une femme culturellement conservatrice comme Nadia c'est encore plus dégradants, c'est une humiliation totale et inimaginable que les gardiens lui ont fait ressentir.
Nadia est contrainte d'enlever tous ses vêtements sous le prétexte de vérifier que la prisonnière n'a rien cacher d'illégal ou de dangereux dans son corps pour elle, pour les gardiens et autres prisonniers. Les autorités US insistent sur la nécessité d'assurer la sécurité. Aucune exception n'est admise la nudité totale est de rigueur. Elle doit défaire son voile (hijab), sa robe traditionnel, ses sous vêtements sexy en dentelle, ses chaussures etc. Le tout devant des hommes et des femmes pour accroitre la honte ressentie.
Une fouille et un examen de l'anus et du vagin de chaque prisonnières est aussi pratiquée. Nadia qui est arrivée habillée de façon pudique et conservatrice s'est retrouvée 5 minutes après à poil et contrainte d'écarter ses fesses devant des gardes, quelle déchéance !
La détenue n'a pas le droit de porter des vêtements, ses vêtements civils sont mis sous scellé et confisqués et aucun uniformes ne lui a été remis. Nadia est obliger de vivre nue et pieds nus comme la plupart des autres détenus.
Jamais elle n'aurait imaginer subir ça un jours, être totalement exposée, de plus la nudité forcée fait ressentit une très forte vulnérabilité que les interrogateurs de la police militaire utilise pour ramollir les prisonniers en vue des interrogatoires.
L'armée américaine pour parer a tout accusation de viols ou d'agression sexuelle impose aux femmes des inspections et des contrôle médicaux hebdomadaires.
Attachée nue sur une table d'auscultation médicale. |
Nadia comme les autres femmes prisonnières est régulièrement amenée, nue bien sur, dans une petite salle avec des objets médicaux pour subir une inspection corporelle. La femme est attachée et cinglée toute nue sur une table d'auscultation, pour se faire examiner le corps, le docteur et l'inspecteur cherche toute traces de violence, marques, traces, contusions, blessures, chaque centimètre de peaux de la détenue est controlé, même entre ses orteils.
Liens :
Deux femmes nues en captivité.
Témoignage d'une femme en prison.
Femme nue et enchainée dans sa cellule de prison. |
Une femme prisonnière forcée de s'exhiber entièrement nue dans les couloirs de la prison. |
Sophia 35 ans est exhibée nue et attachée dans les couloirs de sa prison dans un sentiment de honte et d’humiliation imposée. Cette femme respectable et respectée est humiliée et rabaissée par ce traitement dégradant.
Cette femme est une "prisonnière de sécurité", une notion floue inventée par les Etat Unis en riposte des attentats du 11 septembre qui associées a la loi "Pariot act" permet aux forces armées américaine, service de renseignement et à l'administration d'arrêter toutes personnes suspectées de menacer la sécurité nationale US pour une durée indéterminée et sans avocats. Les interrogatoires musclés et des methodes s'apparentant à de la torture et a des mauvais traitements sont aussi approuvés par les plus hauts dirigeants du pays.
Les Etats Unis ont en outre créer une coalition internationale et envahie l'Irak sous le faux prétexte des armes de destruction massives et du pseudo soutient au terrorisme de l'ancien régime renversé.
Sophia a été arrêtée par l'armée américaine durant la seconde guerre du golfe (2003-2011)lors d'une perquisition sur son lieu de travail. C'est une femme éduquée, riche, de bonne famille qui est professeure de science à l'université. Son mari exerce des responsabilités au sein du ministère de l'intérieur et du parti au pouvoir ce qui fait que les autorités considèrent Sophia comme une prise de guerre importante.
Pour l'administration américaine Sophia est potentiellement susceptible de détenir des information importantes et stratégiques et par conséquent, des hauts gradés de la police militaire ont décider de la transférée dans la célèbre prison militaire d'Abou Ghraib tenue par l'armée US qui est devenu le centre d'interrogatoire principal des services de renseignements dans la région et qui regroupe des détenus de haute importance. Une aile de la prison est consacrée à ce type de détenus qui sont garder isoler et au secret.
Les gens du renseignement militaire et les hauts fonctionnaire du département d'état à la défense ont étudier divers moyens de contourner les conventions de Genève et faire parler les détenus rapidement et obtenir du résultat.
Après plusieurs discussions et plusieurs études, plusieurs façon de traiter les prisonniers en vue de les rendre coopératif et de les brise ont été mis en place : La privation de sommeil, l'imposition de position stressante, les humiliations, les manipulations du régime alimentaire, la privation de sens, jouer sur les phobies culturelles et religieuses, la peur des chiens ou des insectes, interrogatoire longue durée, mise à nu publique et nudité prolongée, le maintient en isolement et en confinement solitaire etc.
Dans cette partie de la prison l'un des caractères les plus frappant et les plus marquant et la nudité imposée à l'immense majorité des prisonniers, plus de 80% des personnes privées de liberté sont sans vêtements, quelque uns portent des slip et une infime minorité des uniforme orange ou jaune.
La CIA estime que c'est une méthode simple et efficace pour adoucir les suspects et les rendre dépendant tout en améliorant la sécurité.
Sophia est l'une des rares femmes retenue dans ce pénitencier. Lorsqu'elle est arrivée sur le site, elle a été soumise à une mise à nu imposée et complète associée à une fouille corporelle avec inspection de la tête aux orteils et comportant un examen de l'anus et du vagin.
Bien qu'elle soit une femme moderne et très éduquée, elle porte des vêtements traditionnels arabe (grande et longue robe) et un hijab (voile) sur les cheveux en signe de pudeur et de modestie et de respect pour sa religion et sa culture. Les gardes n'ont aucun scrupule a déshabiller les femmes comme elle, c'est terrible de devoir se mettre totalement nue et de se faire exposée à poil sans aucune pudeur aux regard des hommes et des femmes du staff ainsi que par les autres détenus dont peut être certains sont des membres de sa famille.
Si les fouilles impliquant la nudité sont une pratique habituelle et de routine dans les prisons américaines, ici dans ce centre de détention, les hommes peuvent participer aux fouilles à nue des femmes prisonnières et inversement les femmes gardes peuvent voir les prisonniers mâles soumis à des fouilles.
Ce choix est fait en fonction du contexte : accroitre le sentiment de honte et d'humiliation des captifs pout qui la nudité est un taboue culturel et religieux. Sophia et les quelques autres femmes incarcérées qui arrivent habillée de façon pudique et souvent complètement voilée sont soumise à ce traitement : aucun respect pour leurs dignité ni leur sentiment religieux ! La prisonnière est 100% nue, rien pour couvrir sa poitrine, aucun tissus pour dissimuler ses fesses et sa chatte, aucune chaussures pour masquer ses pieds nus !
Les soldats ont forcer Sophia a se déshabiller devant des gardes hommes et ils lui ont interdit de porter des vêtements. Ils savent que la nudité provoque un grand sentiment d'humiliation chez ces femmes pour des raisons culturelles.
En plus d'utiliser des méthodes habituelle vexations, de dépersonnalisation, de déshumanisation et de rabaissement des nouveaux arrivant comme la fixation d'un numéro de matricule d'identification de prisonnier, le confiscation des vêtements civils et des effets personnels, bijoux, montre, boucles d'oreilles etc. Et bien sur l'interdiction de tout vêtements ou objets ethnique ou religieux (voile, couvre chef, Djellabah, Abaya) donc obligation d'être tête nue sans couvre chef en détention.
Les autorités pour renforcer le sentiment d'humiliation sexuel, mais aussi culturel et religieux obligent les femmes à parader et déambuler entièrement nues jusque a leurs cellules !
Sophia n'a pas échappée a cette difficile épreuve. Les gardes aiment la contraindre à parader à poil sous les rires gras des soldats américains qui n'hésitent jamais à faire la moindre remarques salaces ou à imposer des postures humiliantes et dégradante à la prisonnière nue.
Ils attachent aussi régulièrement la femme pour l'exposer et l'exhiber nue en pleine journée et en public à la vue de tous dans les couloirs de l'aile de la prison car ils trouvent ça "fun" et amusant.
Modèle sur la photo : Cecilia Vega.
Liens :
Le traitement des femmes à la prison militaire.
Une prisonnière se fait tondre la tête par ses gardiens !
La nudité forcée en détention.
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Détenue nue et enchainée en cellule de prison. |