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mercredi 20 novembre 2024

La police arrête nue les suspectes.

Fesses menottes pieds nus bondage BDSM
BDSM bondage menotte nue pieds nus.

La police déshabille une suspecte.

Une femme suspectée de terrorisme arrêtée complétement nue lors d'une opération de police dans ce quartier bourgeois de banlieue parisienne.

Sara se souviendra longtemps de cette soirée ou les flics ont débarqués chez elle en pensant qu'elle était en train de préparer des attentats. Des voisins animés de mauvaises intentions et plutôt jaloux ont signalr à la police que la jeune femme avait un comportement suspect et parlerait d'attaque imminente contre la sécurité publique.

Lors de la perquisition, les policiers ont obligées Sara à se déshabiller complétement, certes la jeune femme était en short culotte et t shirt  qu'elle a due enlever car c'était le soir et elle se préparait à dormir.

La police à justifier cette mesure au nom de la sécurité.


Menottée, la jeune femme a du parader nue et pieds nus dans son immeuble et dans son quartier avant d'être conduite au commissariat dans une marche de la honte.

Les accusations se sont vite révélées fausses et Sara à été innocentée puis libérée.

Lien :

Déshabillée par la police.


mercredi 29 décembre 2021

La mésaventure d'une étudiante arrêtée par erreur.

 

Prisonnière photographiée nue pendant le mugshot.

Emprisonnée et humiliée par inexactitude.



Houda est une étudiante de 25 ans, en droit, elle est irakienne et vit a Baghdad en 2004 en pleine occupation américaine. Constatant l'instabilité et le désordre elle décide de fuir pour être en sécurité dans un pays voisin. 


C'est une jeune femme de classe moyenne, éduquée, qui parle en plus de sa langue natale l'Arabe, parfaitement l'anglais et elle a de bonne bases en russe et en allemand. Elle est assez moderne même si elle s'habille de façon mixte, à la fois occidentale (jean, baskets) et traditionnel (voile, tunique, robe large a motif).

C'est une fille assez droite, organisé et disciplinée. 


Une après midi en mai 2004, pendant qu'elle se dirigeait vers une station de bus pour réserver un voyage  en vue de quitter le pays, une patrouille américaine l'arrête.


Les soldats l'ont braquer avec leurs fusils d'assauts en lui hurlant de ne pas bouger et mettre les mains sur la tête et de ne pas bouger. Les soldats ont pris le sac de la fille et vider ses poches avant de l'embarquer dans un fourgon militaire après l'avoir menottée et mis un sac noir  étouffant  sur la tête.


La jeune femme dont le nom ressemble a celui de l'épouse d'un responsable de l'ancien régime très recherché est la véritable cause de son arrestation. Comme c'est une prisonnière de haute valeur, elle est transférée directement dans la prison sous contrôle militaire US d'Abou Ghraib. Ce pénitencier  sert de centre d'interrogatoire spéciale et de lieu ou des prisonniers de haute importance sont gardés par les forces de la coalition.


A son arrivée, deux autres femmes sont présente, elles ont environs 40 ans totalement voilée dans de "long tchador".


Les gardes en uniforme militaire leur ordonne sèchement  en anglais de poser leurs vêtements sur le sol.


Constatant une forme d'incompréhension , l'un des gardes leur dit plus calmement en arabe et en anglais lentement qu'il faut enlever les vêtements et les bijoux et autres effets personnels car elles sont prisonnières des Etats Unis dans le cadre de la guerre contre le terrorisme, et qu'ici la procédure veut que les détenus se déshabiller en arrivant.


Houda et les autres  commencent à pleurnicher et à supplier.


Le garde répond qu'il s'agit ici de lois et de règles et que ce n'est pas négociable. et si elles ne le font pas elles seront mises nues de force et durement punies pour désobéissance.


Un soldat tend un sac à Houda et lui dit d'y mettre ses vêtements, Se mettre nue publiquement et encore plus devant des hommes est très difficile pour des femmes culturellement si pudique qui n'ont jamais oser mettre ne serait ce porter un bikini en public pour aller à la plage ou à la piscine. Et c'est encore pire car les déshabillage se font devant des hommes.


Mais sous l'autorité des militaires personnes n'osent résister, de toute manière se serait peine perdue les vêtements de ceux qui résiste sont déchirés ou découpés.


Houda entend les pleurs des autres femmes et comprend qu'elles enlèvent leurs habits. Elle enlève ses chaussures, oui défait son hijab (couvre chef porté par les musulmanes autrement appeler voile), elle fait ensuite glisser son jean sur ses pieds, puis elle retire sa montre son collier  et ses boucles d'oreilles avant d'enlever sa tunique. Il ne lui reste plus que ses sous vêtements et ses chaussettes. 



Elle remarque qu'un garde arrache brutalement le slip d'une autre captive qui se retrouve à poil.


L'étudiante est prise par deux soldats qui arrachent sa lingerie et lui retirent les socquettes.


Houda et ses deux partenaires de malheur se retrouvent entièrement nues, pieds nus, sans rien pour couvrir. Pour les soldats ce n'est qu'une pratique commune et routinière que de mettre à poil les captifs.

Les trois femmes sont escortés jusque dans une salle d'identification, pour y subir une prise d'empreintes digitales, des prélèvements d'ADN (salive, prise d'un cheveux). Et surtout une séance horrible  de prise de photo totalement nues (mugshot).




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