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vendredi 14 juillet 2023

Une femme nue et agitée dans sa cellule de prison.

Nudité forcée en confinement solitaire.
Femme nue et entravée dans sa cellule de confinement solitaire.

Scandale en prison : Incident nudité forcée n°20041144


Rapport d'enquête  n°20041144.


Objet de l'enquête : Une photo a été diffusé montrant une femme prisonnière nue et menotté aux poignets et aux chevilles et agitée dans un cellule d'isolement du complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib.Date : 14 novembre 2003.


Localisation : Prison d'Abou Ghraib, Baghdad, Iraq, section d'isolement.


Nom de la prisonnière impliquée : Rania B.


numéro d'écrou : RB04119

Raison de l'incarcération : Rania B est une scientifique proche de l'ancien régime, et a ce titre suspecte de détenir des informations stratégiques.


Statut : Prisonnière de sécurité de "Haute Valeur".


Régime de détention : En confinement solitaire.


Profession : Scientifique.


Age : 32 ans.


Taille : 167 cm


Poids 55 kilos.


Nationalité : Irakienne.


Religion : musulmane sunnite.


Groupe sanguin : B Positif.


Couleur cheveux : Noirs.


Couleur des yeux : Noirs.


Note : Différents témoins ont affirmé devant la court de justice que la prisonnière numéro d'écrou RB04119 était agitée et furieuse lors de son placement en confinement solitaire. La détenue a très mal vécue l'obligation de se déshabiller. La procédure pour les détenus de haute sécurité étant très stricte et ne souffrant d'aucune exceptions.

Lors de son arrivée, elle a refuser d'enlever ses vêtements pour la fouille de sécurité. Les surveillants ont du lui donner un coup de taser et menacer de lui arracher  et découper ses vêtements de force. La jeune femme a invoquer sa religion et sa culture pour refuser la mise à nue. Les gardes ont refuser sa demande et l'ont faite enlever tous ses vêtements.


La prisonnière a donner un coup de pieds à un garde lors de la fouille de son anus, l'un des gardiens avec une lampe et un gant était en train d'inspecter son rectum et d'y introduire un doigt a été frappé au visage. La détenue a donc été inspectée en profondeur par l'anus et le vagin et "mise au trou", en confinement solitaire pour un mois. La détenue a plusieurs fois crier et hurler pour réclamer des vêtements.

Liens : 


Nue en confinement solitaire.

mardi 27 juin 2023

Le traitement dégradant imposé aux femmes dans la prison.

 

Nudité forcée et honte pour les femmes.
Prisonnière nue attachée aux barreaux de sa cellule.

Des femmes humiliées nues et maltraitées par les gardiens de la prison.


Lors de la seconde guerre du golfe de 2003 à 2011 ou les Etats Unis ont occupé l'Irak, les responsables militaires américains ont autorisé la torture et les mauvais traitements systématiques dans les centre de détention sous leur autorité pour tenter d'obtenir des informations stratégiques.

Toute les personnes arrêtées pour des infractions présumées à la sécurité nationale US p et susceptibles de représenter un intérêt en terme de renseignement sont systématiquement l'objet de mauvais traitements allant d'insultes à des contraintes physiques et psychologiques importantes pouvant être assimilable à de la torture.

Les officiers de la police militaire ont mis au point tout un processus visant à rendre les prisonniers coopératifs et dociles en vue des interrogatoires. Ces procédures implique des techniques de mauvais traitements basées sur les traitements inhumains et dégradants et des humiliations souvent à caractère sexuelles et des punitions sévères afin d'obtenir des aveux.


Dans la prison d'Abou Ghraib, dans un premier temps et ce qui est le plus frappant et spectaculaire c'est que les détenus sont dans 90% des cas gardés totalement nus et sans aucun confort dans leurs cellules de confinement solitaire,  les rares à porter un uniformes sont ceux qui se sont montré coopératifs et ont donner des informations aux interrogateurs.


Les quelques femmes prisonnières n'échappent pas à cette infâme procédure. Lors de l'arrivée d'une prisonnière , les gardiens ont pour consigne de la soumettre à une pression maximale. La plupart sont très conservatrice et pudique de par leurs valeurs culturelles et leurs croyances religieuses et portent des tenues traditionnelles couvrants entièrement le corps de la tête aux pieds.


Les américains utilisent les tabous culturels et religieux comme des moyens de coercition psychologiques, certes déshabiller des prisonniers dans le cadre de fouille de sécurité dans certaines situations peut être acceptable si c'est justifier et réaliser dans un contexte respectant la pudeur et la dignité des personnes privées de liberté. Mais les gardiens ont pour consigne de mettre nus les détenus de la façon la plus humiliante qu'il soit, en public, sans rien pour cacher pas même une serviette ou un paravent.


Les femmes irakiennes qui arrivent voilées de la têtes aux pieds n'échappent pas à ce traitement, les gardes commencent par les humilier à fond en les forçant à enlever leurs vêtements en public, devant des hommes sous des menaces de coups, d'insultes, rires,  moqueries et commentaire dégradants sur leurs corps, la taille et la formes de leurs  seins, leurs sexes lisses ou poilus etc.


La technique de la nudité forcée fait partie du processus de traitement des détenus est appliquée de façon systématique et avec zèle par les gardiens sur ordre de leurs supérieurs, les prisonnières se retrouvent donc complètement nues, sans rien pour couvrir leurs parties les plus intimes. Cette politique vise à forcer les suspects à collaborer et a divulguer des informations en échange de produits hygiéniques, de literie, de la possibilité de s'habiller, la possibilité  de manger une nourriture plus variée etc.


Porter des vêtements n'est pas un droit mais une faveur accordée aux plus coopératifs. Ceci dit les uniformes ne sont délivré qu’aux hommes et rien n’est prévue pour les femmes. Ce qui fait que les américains préfèrent les laisser sans vêtements meme en  cas de coopération…


Un autre traitement en plus de la nudité imposée dénoncée est le fait que les prisonnières sont obligées de marcher et parader nue et pieds nus dans les couloirs et les locaux du centre de détention pour aller dans la salle des douches, aux interrogatoires ou pour les promenades.


Honte et dressage des prisonnières misent à poil.
Humiliation sexuelle des prisonnières exhibées à poil.

Liens :


Camp de prison BDSM.


Le dressage.


mardi 3 janvier 2023

Punir et ramollir les prisonniers par la nudité forcée.

 

Interrogatoire renforcée humiliation nudité bondage.
Femme attachée et exposée totalement nue en prison.

Utilisation de la technique de la  nudité forcée en prison.

Durant l'occupation de l'Irak par l'armée américaine (2003/2011), dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et pour se venger des attaques du 11 septembre 2001 les Etats Unis ont torturer et humilier des prisonniers de façon perverses et sadiques, en particulier dans le centre de détention d'Abou Ghraib, dans la périphérie de la capitale Baghdad ou d'important sévices ont été révélés dans les médias.


L'une des choses les plus spectaculaire et choquante dans cette prison est la nudité des détenus hommes et femmes, les prisonniers sont gardés sans vêtements et constamment humiliés et victimes de sévices par les gardes vicieux.


Imposer la nudité est systématique, les américains obligent les prisonniers irakiens et  les prisonnières irakiennes a se mettre nus et le rester pour les punir et marquer leur domination et leur contrôle sur les corps et les esprits.


Nezha, 29 ans  la fille d'un général de l'armée en fuite a été arrêtée et transférée dans le tristement célèbre prison lors de son arrivée soumise au processus de traitement des prisonniers :


- Tout commence par une mise à nue totale de la prisonnière, les gardes sont sans pitié et n'ont aucun respect pour sa pudeur ou ses convictions religieuses. Comme la plupart des femmes arabes musulmanes d'Irak, Nezha a reçu une éducation conservatrice et on lui a toujours enseigner la modestie et la réserve et le fait de ne pas montrer son corps et de porter des vêtements larges et amples pour le dissimuler. C'est terriblement choquant et humiliant pour une honorable jeunes fille pieuse que de devoir se déshabiller publiquement sous la contrainte devant les forces d'occupation.


La nudité est imposée et la détenue s'est retrouvée intégralement nue sous les regards curieux et attentifs des gardiens qui prennent un malin plaisir à mettre les femmes à poil et les exposer ainsi en public comme des trophées. Ils sont souvent curieux de voir ce qui se cache sous les voiles et les robes des irakiennes après les mettre toutes nues, certains font des paris sur la forme des seins, si les sexes sont poilus, épilés, l'une des responsables tient même ses petites statistiques sur cette question.


La détenue est régulièrement obligée de marcher nue et pieds nus en dehors de sa cellule et d'être exposer devant tout le monde, les femmes sont exhibées comme des trophées sous les rires et moqueries des soldats qui les force souvent à danser, gigoter les fesses ou faire des twerks devant tout le monde ...


L'une des autres pratiques humiliantes consiste au fait que la prisonnière a été attaché plusieurs fois du matin au soir les partis intimes totalement visibles par tout le monde en étant prise en photo, insultée, fessée, humiliée ...


Toute nue en prison.
Nudité forcée et sentiment de honte ressentie par les femmes prisonnières.


Liens : 


Témoignages de prisonnières.


Prison pour femmes.