vendredi 1 septembre 2023

Interview d'un gardien de prison

 

Fouille intime en prison, écarter les fesses est humiliant.
Une prisonnière nue écarte les fesses pendant la fouille.

A propos de la nudité forcée et des humiliations des prisonnières.


Extrait d'un entretien entre un des responsable américain  de la prison d'Abou Ghraib en Irak et d'une juge chargée de l'enquête suites aux révélations dans la presse concernant les sévices et tortures subis par les prisonniers, en particulier la nudité forcée.


Le juge Elizabteh Smith interroge  le colonel Peter Robertson, l'un des responsables de la prison pendant la période ou les sévices et les abus ont eu lieux.


"Suite au scandale qui a entaché la réputation des Etats Unis dans le monde, je voudrais en savoir plus sur le traitement des prisonniers et des procédures d'incarcérations en vigueur dans l'établissement."


"C'est toujours avec grand plaisir que je coopère avec la justice de mon pays."


"Ravie de le savoir, venons en aux faits, concernant les humiliations, j'ai entendu avant vous une jeune femme, une étudiante  irakienne de 27 ans, Safia qui s'est plaint lors de son séjours d'avoir été arrêtée sans aucunes raisons valables et d'avoir été gravement humilier et dégrader."


"Dans une zone de guerre votre honneur, elle était suspectée de préparer des attaques anti américaine et de représenter un danger pour notre pays, l'incarcérer était la solution."


"Safia a été menottée, les militaires lui ont mis une cagoule sur la tête et l'on peloter et tripoter en arrivant dans la partie de la prison ou vous détenez les femmes, puis vous l'avez faite se déshabiller en présence d'autre gardes hommes et femmes et sans aucun respect pour sa pudeur, puis elle a été jetée à poil en cellule, ses vêtements ayant étés détruits et sa culotte volée."


"Hum ce n'est pas tout a fait ça Madame la Juge."


"Nous avons les enregistrement vidéos et les photographies qui sont explicites."


"Oui car la procédure pour que tousse passe bien exige que nous filmions, pour justement ne pas être accuser de tortures et de mauvais traitements, Safia n'a subie aucun abus ni aucune violences physiques."


La juge masquant son agacement " Ce traitement me semble quand même déraisonnable et abusif, une femme arrêtée sans raisons et traiter de la sorte dans ce contexte mérite quelques explications."


"J'ai estimer que les femmes âgées de 21 à 40 ans dans le quartier de Baghdad ou elle a été arrêtée étaient suspecte, la police militaire m'avait demander officiellement d'arrêter toutes les jeunes femmes pas trop grosses et sexy selon les standard occidentaux qui nous tombait sous la main, j'ai donc appliquer les ordre. Celles que nous trouvions trop grosse, car ces femmes là bouffent beaucoup de sucrerie n'étaient jamais inquiétées bien sur. Là dans ce cas là, il y aurait eu une erreur."


"Hum" répond la juge, entre étonnement et consternation. "C'est une politique assez idiote mais vous n'avez fait qu'appliquer les ordre comme un bon soldat.


"Oui c'est ça madame la juge."


"Vous avez crier sur  cette pauvre fille et vous l'avez fesser pour qu'elle se déshabille et prise en photo nue et enregistrer la fouille en vidéo."


"Oui, car elle a refuser de retirer ses vêtements devant nous sous prétexte que nous sommes des hommes et qu'elle est pudique et musulmane, alors pour nous couvrir dans ces situations là nous filmons tout pour justement ne pas pouvoir être accuser de quoi que ce soit.

Par expérience je peux vous dire que la fessée est un très bon moyens de maintenir l'ordre chez les femmes. Alors je lui ai coller une fessée pour la faire obéir et lui ai dis qu'on allait la foutre à poil de force.

Elle a donc accepter de coopérer et a retirer ses vêtements en pleurnichant et baissant la tête.

Quant aux prises de photos photos  c'est la procédure d'identification officielle des détenus, et la vidéo sert à prévenir tout accusation d'abus. "


"Mais certaines photos ont été publier dans des magasines porno et sur des sites internet  du même genre ?".


"C'est faux, certaines sociétés achètent ce type de photo et de vidéo pour les organisme de formation en sécurité et rien d'autre, c'est tout à fait légal."


"En visionnant la vidéo nous pouvons voir que Safia était en larme pendant son déshabillage, et qu'elle a demander de garder sa montre, sa culotte et ses chaussettes car le sol serait sale et froid, et ça a été refuser par vous et vos collègues."


"J'ai toujours en étant guidé par conscience professionnel, la prisonnière doit se mettre toute nue, C'est 100% nue, donc pieds nus, fesses à l'air, sexe visibles et seins exposés.

La culotte, faut bien lui enlever pour lui fouiller entres les fesses et dans l'anus, et aussi pour regarder sa petite chatte lisse. Ls chaussettes ? et puis quoi encore ? Tant que je serais là les prisonnières seront pieds nus !


"Plusieurs fois, sur la vidéo, nous pouvons la voir vous  supplier de cacher ce spectacle à la vue de tous, hors vous l'avez obliger a se soumettre à une fouille en public et d'écarter les fesses".


"Oui car je dois vous rappeler que nous sommes dans une zone de guerre, et que nos moyens sont limités, il n'y a pas de rideau ni de porte. Nous devons voir si les détenues ne cachent rien dans leurs orifices intimes"


"Vous avez aussi découper et bruler ses vêtements de façon perverses en la narguant pendant qu'elle était horrifiée."


Oui car nous détruisons toutes traces de l'identité culturelle et religieuse de la prisonnière qui arrive, les vêtements traditionnels arabes et musulmans sont interdit et considérés comme des objets de contrebandes à détruire. C'est très important de remodeler l'esprit de la nouvelle en lui faisant comprendre que toutes ses convictions et ses principes seront méprisés et bafoués. Safia est arrivée emmitouflée dans une large robe couvrant tout son corps et les cheveux et le cou couvert d'un hijab (voile). Ici il n'y à pas de place pour la pudeur, la dignité ou la vie privée. Nous devons leur apprendre le mode de vie démocratique et occidental.


"Vous l'avez ensuite fait défiler lentement, totalement nue et pieds nus dans toute la prison pour que tout le monde monde puisse la voir, le staff bien sur, mais aussi les criminels et autres personnes internés."


"Oui c'est une tradition ici, les nouvelles doivent parader nue, c'est bon pour traiter leurs pudibonderie maladive et les humilier. Ca distrait aussi nos gars qui font un travail difficile et trouvent ça fun."


"On parles aussi d'un véritable trafic de culotte qui aurait été mis en place dans le complexe pénitentiaire"


"Les interrogateurs cherchent par tout les moyens à acquérir des culottes pour humilier les prisonniers masculins en leur foutant sur la tête, ils nous donnaient des sous pour qu'on leur fournisse les culottes prélevées sur les prisonnières. En détention les culottes sont interdites et considérées comme des objet dangereux de contrebande, alors autant que ces morceaux de tissus soient utile et si on peut monétiser tout ca ..."


"Certains rapports nous informe aussi qu'un système de pari avec des sommes en jeux aurait été mis en place, par rapport à la pilosité des prisonnières ?"


"Oui nos gars font des paris, quand ils voient  une nouvelle prisonnière arrivée, habillée à l'arabe c'est a dire totalement couverte de la tête aux pieds, et bien ils se demandent quelles types de sous vêtements elle peut bien porter, et bien sur comme sont les poils de sa chatte et si elle s'épile ou pas. C'est un jeux d'essayer de deviner."


Interrogatoire militaire renforcé.
Femme nue devant ses interrogateurs en prison.


Image d'une fouille au corps pendant que le gardien obligent la prisonnière nue à faire des squats et de tousser très fort pour voir si quelques choses sort de ses orifices.