dimanche 26 février 2023

Le terrible bizutage de Chloé en grande école.


Tradition et humiliation à poil au bizutage.
Exhibition totale d'une fille nue lors du bizutage.

Asservissement et humiliations des filles lors du bizutage.



Dans certaines grandes écoles de l'enseignement supérieur, des milieux assez fermés, élitistes et quelque peu éloignés de la société ont des traditions et des coutumes très anciennes et parfois un peu sexiste et machistes aux regards d'un bon français de 2023.


Chloé, un jeune fille brillante et moderne après un Bac avec mention et deux ans de préparation SUP intensive a pu rejoindre l'école de ses rêves pour se préparer à intégrer l'ENA.


Sauf que des les premiers jours, elle est "prise en main" par les garçons pour y être "dressée", "prise en charge"  et "mise au pas" selon les usages ancestraux de l'établissement.


Les anciens ont mis au point toute une organisation et un système de contrôle pour y asservir les filles.


La nouvelle est tout de suite prise à partie par les anciens qui rentre dès la première soirée dans sa chambre  de la résidence étudiante pour s'occuper d'elle. Ils fouillent d'abord la chambre et toutes les affaires de Chloé, qui proteste comme la plupart des nouvelles qui éduquées de façon moderne et féministes pensent avoir des droits, mais ce n'est pas le cas ici dans cet endroit bloqué dans les temps anciens.


Ils prennent les papiers et l'argent de l'étudiante, lui confisque ses sous vêtements et toute sa lingerie qui est interdite par la coutume des anciens.


Ensuite les garçons ne vont pas par quatre chemin et ordonnent à la nouvelle de se mettre à "poil". Chloé n'a pas trop le choix, car sinon les anciens lui enlèvent ses vêtements de force et les découpent.


Le dressage consiste a décoincée et exhibée chaque nouvelle pour lui faire perdre toute traces de pudeur.


Chloé est forcée de s'exhiber nue dans des positions humiliantes et très dégradante, ouvrir sa chatte et son anus devant tout le monde, elle est aussi obligée de danser  de façon sexy et et passer une inspection corporels intime.



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Toute nue dans le parc au bizutage.

samedi 25 février 2023

Deux femmes pudiques retrouvées nues en cellule de prison.

 

De la nudité forcée en prison de haute sécurité.
Deux femmes enfermées nues en cellule.

Deux jeunes femmes humiliées nues pendant leur détention.



Témoignage d'un juriste membre d'une organisation internationale de défense des droits de l'homme chargé d'enquêter sur l'arrestation de deux jeunes filles arrêtées par erreur sans aucune justifications par les troupes US lors d'une opération menée sur un campus universitaire. Cet observateur a pu retrouver et visiter les deux femmes gardées dans la prison d'Abou Ghraib en 2004 pendant la seconde guerre du golfe, cette prison est célèbre pour les abus et les sévices institués par les gardiens contre les prisonniers, en particulier les humiliations à caractères sexuels autour de la nudité forcée.


"J'ai été mandaté par une ONG et les familles des deux jeunes femmes retenues arbitrairement par les force de la coalition internationale en 2004 en Irak, Linda 30 ans est responsable administratif et pédagogique dans l'université et Sara 26 ans , étudiante en doctorat.

Nous avons pus grâce a des connaissances au sein de l'administration de l'occupant retrouver la traces des deux filles, elles étaient détenues dans l'aile des "prisonniers de haute valeurs" de la prison d'Abou Ghraib.

C'est deux femmes pudiques, issue de milieux assez bourgeois et aisés, assez pieuses, elle portent toutes les deux le voile et une abaya même si elles sont relativement moderne et bien éduquées elles restent assez conservatrice et modeste car ayant grandie dans les valeurs arabes et musulmanes.


Lorsque j'ai pu atteindre leur cellule  escorté par un surveillant, j'ai constaté que les deux prisonnières étaient complètement nues et totalement  humiliées par cette situation, elles avaient la tête baissée  tentaient de cacher leurs seins et leurs parties intimes par pudeur et étaient très embarrassées elles étaient aussi toutes rouges.

Le garde se moque d'elles en leur disant que tout le monde a vue leurs nichons, chattes et fesses lors des parades et des fouilles ou les prisonnières sont régulièrement exposées nues  devant tout le monde pour divertir les américains.


Le responsables des surveillant m'a ensuite expliquer que la nudité et les humiliantes fouilles à nu font parti du processus standard de la prison pour assurer la sécurité et rendre les détenus dociles, soumis,  obéissants, et plus coopératifs lors des interrogatoires.


Linda et Sara lors de leur accueil ont été forcées de retirer leurs effets personnels, montres, bijoux, et aussi leurs vêtements, tout, y compris les sous vêtements, les chaussures et les chaussettes.



Sara raconte même avoir du enlever son tampon hygiénique en face d'un gardien qui faisait claquer un gant en caoutchouc lubrifié en souriant de manière lubrique et vicieuse  avant l'inspection des anus et des vagins des prisonnières.


Les deux jeunes femmes se plaignent d’être gardées sans vêtements. Linda honteuse en train de tenter de dissimuler sa poitrine avec ses bras me dit que les américains l’oblige à rester toute nue et pieds nus en permanence depuis son arrivé.

"S'il vous plait dites leurs de nous rendre nos vêtements, ils nous interdisent d'en porter et ne respectent pas notre pudeur, c'est trop la honte d'être retenue dans cette situation, ils nous oblige à servir le repas des prisonniers hommes à poil, ainsi qu'a faire des danses et du sport devant eux, ils ne nous laisse même pas porter des chaussures, nos pieds sont sales et plein de poussière et parfois le sol est froid."

Sara ajoute que les gardiens "Nous interdisent même de cacher nos seins et nos fesses, ils m'ont punie d'une fessée une fois pour avoir mis mes bras devant ma chatte devant un garde qui voulait voir entre mes cuisses."



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jeudi 23 février 2023

Exercice sportifs nue et humiliation de la prisonnière.

 

Sport et exercice à poil en prison pour humilier.
Prisonnière forcer de faire des exercices physiques nue jusque à l'épuisement .

Des femmes forcées de faire des exercices physique nue en prison.


Nous sommes une fin d'après midi  d'avril 2004 dans  une aile de la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak près de la capitale Baghdad. Deux gardes américains, un homme et une femme discutent assis dans les escaliers en surveillant du coin de l'oeil une prisonnière qui doit monter et descendre les escaliers en courant complètement nue. 

Le bruit de ses pieds nus sur le sol marque sa nudité. La prisonnière doit avoir 30 ans, peut être un peu moins. Il est difficile d'imaginer en la voyant dans cette situation , qu'avant d'être entre les mains des américains, cette jeune femme était une respectable professeur dans un lycée chic de la capitale, qu'elle portait le voile et une tenue traditionnelle arabe et qu'elle n'aurait jamais oser ne serait ce que porter un maillot de bain une pièce à la plage.


Suite aux attentats du 11 septembre 2001 et à l'opération d'invasion de l'Irak décidée l'administration américaine du président Bush a décider de mener une politique très dure et bien plus stricte envers les personnes arrêtées dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. En Irak la police militaire et la CIA donnent pour consignes aux gardiens du complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib pour ramollir les détenus et les rendre coopératifs et soumis.


Les gardiens en regardant la scène disent : "Nous sommes sans pitié avec ces femmes, nous les soumettons à une routine et une discipline pour des corriger et les dresser. De le faire obéir et comprendre qui est la patron. Ah ça, pour leur en faire baver, les gardes rivalisent toujours de méchanceté et de cruauté avec ces pauvres prisonnières terrorisées.


Il y a beaucoup d'exercices physique et sportifs, de corvées , de lavage de cerveau, de mesures de dépersonnalisation. Bien sur, l'humiliation est au coeur du processus de traitement, les femmes sont souvent nues. Elles arrivent en générale complètement voilées et couvertes de la tête aux pieds et elles se retrouvent à poil exhibées totalement , ils savent que la nudité est particulièrement honteuse et bafoue particulièrement la dignité de ces femmes arabes et musulmanes alors ils font tout pour les embarrasser au maximum.


Leurs vêtements en arrivant sont en général confisqués et souvent détruit et bruler car les soldats considèrent que ceux sont des signes d'aliénation culturels et religieuses à détruire. Elles reçoivent des uniformes très simples, sans sous vêtements et sont gardées pieds nus.


Elles sont mises toutes nues pour un oui ou pour un non n'importe quels moments.



Toute nue pour être dresser par la gardienne sadique.
Femme humiliée nue et maltraitée par une gardienne en prison.


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Humiliations et tortures des prisonnières.

mardi 21 février 2023

Incident nudité forcée et humiliations à la prison


Dressage et exhibition des prisonnières à poil.
Prisonnières exhibées et alignées nue dans les couloirs de la prison.


Les prisonnières torturées et humiliées par des gardes.


Dans la prison d'Abou Ghraib à coté de Baghdad  tenue par l'armée américaine durant la seconde guerre d'Irak, il y a aussi des femmes et pas seulement des hommes qui y sont retenues prisonnières. Elles sont gardées par les gardes américains dans une aile en dur de la prison.

L'intervention des Etats Unis s'est fait sous le prétexte fallacieux des armes de destruction massives et en réalité pour le contrôle des puits de pétrole et les intérêts US au moyen orient.

Après le renversement du régime en place s'en suit l'installation d'un régime favorable et une occupation militaire. Les forces armée arrêtent toutes personnes suspectées de liens avec la rébellion, l'ancien régime, et peuvent être détenues sans inculpation pour des périodes indéterminées conformément à la loi dit "Patriot Act".


Plusieurs femmes sont incarcérées dans le fameuse prison célèbre pour les sévices, elles sont souvent les épouses, soeurs, filles ou cousines d'homme recherchés, des institutrices, anciennes fonctionnaire du régime déchu etc.



Comme, un soir d'octobre 2003,  l'ancienne professeur de lycée, Linda G, 31 ans,  qui  été vue et prise en photo alignée avec trois autres prisonnières  dans un couloir d'une aile de la prison.


Elle était totalement nue, exposée publiquement, tout  comme les autres captives et encadrées par les gardiens.


Ceux sont des femmes respectables et respectées dans leurs communautés d'origine, en général pieuses et modeste et très pudique de par leur culture arabe et religion. 



Linda comme chaque femmes incarcérée est soumise à une fouille très stricte dès son arrivé. C'est une épreuve choquante et dégradante qui exige d'elle la nudité totale que la procédure américaine impose et systématise pour dresser, ramollir,  choquer et soumettre les détenus.

La jeune femme conservatrice s'est retrouvée toute nue devant tout le monde car ces fouilles se déroulent sans aucune intimité ni respect de la pudeur. Les gardiens aiment obliger les prisonnières à se déshabiller complètement pour les humilier au maximum. 

Devoir enlever tout ses vêtements devant ces spectateurs qui inspectent tout scrupuleusement de la tête aux pieds, même entre les fesses, ou un gardien lui a fait écarter avant de lui introduire un doigt dans le cul pour s'assurer qu'elle ne cache rien d'illégal.

La chatte aussi est fouillée.

Les femmes sont  régulièrement interdite de porter des vêtements dans cette prison, de plus les prisonnières ont l'interdiction de tenter de cacher leurs seins, fesses, sexe qui doivent être accessible et toute manifestation de pudeur  est interdite.


Quasiment choques jours, une ou plusieurs femmes étaient misent à poil et exposées en public et soumises aux insultes, moqueries et railleries. Elles étaient obliger de montrer leurs seins, leurs fesses, leurs chattes a tout le monde, de danser nues, de faire du sport etc.

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dimanche 19 février 2023

Laïcité française : Une étudiante voilée punie nue et humiliée

 

Ecarter les fesses en public, une punition humiliante et efficace.
Une étudiante punie et humiliée nue doit écarter les fesses.

Une étudiante sévèrement punie pour non respect de la laïcité


Dans le bureau de la CPE,  proviseur  de l'école  et la chef des surveillants observent joyeusement Aaliyah, la jeune fille qu'ils sont en train de punir et d'humilier pour de multiples entorses aux règles de l'établissement.

La jeune fille est toute nue à l'exception de son hijab (voile islamique porté par les musulmane), placée sur un petit canapé à genoux avec l'ordre d'écarter les fesses pour que tout le monde puisse voir son anus ouvert et les lèvres de sa chatte rasées. La porte du bureau de discipline est toujours ouverte pour servir d'exemple et accroitre le sentiment d'humiliation des punies et permettent aux curieux de prendre des photos et de filmer avec leurs téléphones portables.

Le sexe de l'étudiante est un peu humide et ouvert car elle a eu droit à un petit examen de ses cavités. Depuis le lancement du plan de prévention contre la radicalisation les étudiantes sont systématiquement fouillée intimement par sécurité.


Aaliyah a refuser d'enlever son couvre chef en cours plusieurs fois contrairement à la loi de 2004 qui interdit tout porte de signes religieux par les élèves, et de plus elle a sécher plusieurs cours d'EPS (Éducation Physique et Sportive) car elle ne voulait pas se mettre en maillot de bain pour aller à la piscine et porte des tenues traditionnelles jugées trop couvrantes comme des abayas et des longue robe arabe.


Face à ces atteintes aux valeurs républicaines et au règlement intérieur, la CPE et le proviseur ont convoqué la jeune fille pour l'interroger et lui apprendre la discipline.

Les responsables du lycée ont tout d'abord demandé  :


"Sais tu pourquoi es tu là Aaliyah ?"


"Euh je sais pas trop mon retard de ce matin ?" répond la jeune fille naïvement.


"Muhm mademoiselle fait la maligne, intéressant, je crois plutôt que c'est par rapport à ta tenue et ta fausse pudeur mal placée, nous allons te punir et faire de toi un exemple.


La CPE en souriant de façon narquoise rappelle que les punitions se déroulent toujours nue, alors A POIL !"

S'ils vous plait pas toute nue, je mettrais plus de voile, je vais l'enlever  mais ne mettez pas nue c'est trop la honte.


Le proviseur lui répond que le règlement intérieur est très claire et que les étudiantes punies doivent être toute nue, car c'est plus dissuasif et exemplaire d'humilier à fond et depuis que les châtiments corporels et les humiliations ont étaient mises en place, le taux d'incivilité et de délits à considérablement baissé et que cette réforme est une réussite.


Aaliyah avait deja vue plusieurs filles et garçons punis et à poil mais jamais elle n'aurait imaginer être à leur place, c'est pluton une voyeuse qui va se faire exhiber, surtout que la porte est grande ouverte et que les étudiants curieux s'attroupent pour venir voir la punition et son curieux de voire l'étudiante sans ses vêtements.


La CPE dit ensuite "Nous ferons une légère exception aujourd'hui avec un air vicieux, pour te donner une leçon tu garde ton voile, mais tu enlève tout le reste de suite  ou je te rosse les fesses !


Tu retire tout, chaussures, chaussettes, robe, culotte, soutien gorge !


Une fois presque nue à l'exception de son hijab la jeune fille doit s'exhiber devant tout les élèves ravis de voir ses seins, ses fesses, ses pieds nus et bien sur ses orifices.


L'étudiante pleure et promet de respecter la laïcité et de ne plus porter de voile mais le proviseur et la CPE son inflexibles.


L'écartement des fesses est difficile, elle doit avec ses mains ouvrir le plus possibles pour que ses anus et sa chatte pour que les élèves prennent des photos et se moquent d'elle, surtout Rosa qui se souvient que le jours de sa punition, Aaliyah avait applaudie et sifflée toute excitée.


Ensuite Aaliyah est fessée devant tout le monde jusque a ce que ses fesses soient toutes rouges et zébrées.



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jeudi 16 février 2023

Une femme humiliée et dégradée en prison.

 

Humiliation, une prisonnière nue tenue en laisse marche à quatre pattes comme une chienne.
Prisonnière nue et tenue en laisse lors d'une parade humiliante en prison.

Un témoin raconte le sort de sa grande soeur emprisonnée.


Le frère de Yamina 28 ans, femme prisonnière détenue en 2004 pendant 6 mois  dans la sinistre prison sous contrôle de l'armée américaine  d'Abou Ghraib située près de Baghdad en Irak. Cette prison est connue pour les sévices et tortures imposés par les cruels et sadiques gardiens et gardiennes américains contre les prisonniers et prisonnières irakiens.

"Ma soeur est en prison depuis 4 mois après que des militaires américains l'aient arrêtée pour d'obscure raison. En arrivant, ils l'ont obliger à se mettre toute nue ! elle qui si pudique a due enlever ses vêtements devant tout le monde y compris devant des hommes ! 

Elle porte le voile et une abbaya (longue robe traditionnelle  qui couvre tout son corps et les américains lui ont fait tout retirer publiquement , les prisonnières  ici sont des femmes conservatrices, très pudiques qui ont été élevée dans la modestie enseignée par la religion musulmane et la culture arabe, tout est fait pour les briser et les choquer psychologiquement. Les gardiens se sont moquer d'elle pendant qu'ils l'a dépouillaient. Ils lui disaient d'un ton narquois "Alors toi qui te prend pour une femme bien, Nous allons te dévoiler, te déchausser, te déculotter et te faire écarter les fesses pour t'ouvrir l'anus, qu'est ce que ça fait d'être à poil devant tout le monde ?".

Ils gardent les prisonniers à poil et ne font pas d'exception pour les femmes.


Pour l'humilier les gardes l'ont obligée à faire le tours de la prison totalement nue, pieds nus. Chaque prisonnières est soumise à cette parade de la honte en arrivant.




Femme humiliée publiquement en prison.
Faire des flexion toute nue pour humilier et regarder entre les fesses des prisonnières.



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mercredi 15 février 2023

Humiliations et sévices en prison.

 

Nudité forcée sévices et humiliation d'une prisonnière.
Prisonnière punie et exposée toute nue par les gardes pour l'humilier.

La coercition et les humiliations en détention.


Pendant la seconde guerre du golfe entre 2003 et 2011, comme de nombreux autres Etats, les USA ont mis en places des méthodes pour "traiter" les prisonniers de guerre et les rendre dociles, coopératifs et les faire divulguer toutes les informations qu'ils peuvent avoir sur l'ancien régime, la résistance, ou les organisations terroristes.


L'une des plus courantes méthodes utilisée et très simple à mettre en place et apprécier des gardiens comme des officiels et des interrogateurs consiste a déshabiller complètement les suspects et captifs pour les soumettre, humilier et les rendre dociles.


Les femmes aussi sont soumises à ce processus très humiliant pour elles. C'est par exemple le cas de Yassira, une jeune femme suspecte de financer et de soutenir des rebelles en les ayant héberger chez elle. Les forces américaines ont arrêtée la jeune femme et ont décider de la garder dans la tristement célèbre prison d'Abou Ghraib dans les environs de la capitale Baghdad.


Pour une personne bien élevée, pudique et habituée a être couverte de la tête aux pieds quand elle sort en public, la mise à nue par et devant les gardes américains pour une respectable citoyenne est presque en soi une torture. Les gardiens sont souvent très attentifs et curieux de voir à quoi ressemble cette jeune femme arabe qu'ils voient habituellement habillée , ils parient entre eux pour savoir si elle se rase la chatte, si elle s'épile les jambes etc. C'est très divertissant pour eux de taquiner et de se moquer des prisonnières nues.


Yassira doit retirer ses vêtements,  absolument tous, bien sur, le hijab est interdit et retiré d'office, mais toute traces de tissus  (pas de culotte, ni même de chaussettes et ses effets personnels (boucles d'oreille , montre, bijoux etc.). car la nudité totale est exigée et imposée.


L'humiliation doit être maximale, Yassira doit se dépouiller de toute dignité et comprendre  que sa place  est en dessous de celle d'un animal dans cette prison. Son seul droit est d'obéir et de se soumettre et prendre des positions humiliantes exposants son anus, sa chatte, ses seins  pour le divertissement des américains.


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Nudité forcée et systématique.

mardi 14 février 2023

Nudité, fouille gynécologique pour une prisonnière de haute sécurité.

 

Inspection humiliante en prison.
Fouille gynécologique et examen d'une prisonnière nue.


Visite d'une femme détenue de sécurité dans un centre de détention militaire.


Le régime dans l'aile féminine de détention spéciale est très stricte voir inhumain et peu respectueux des convention de Genève. Suite aux révélations sur les actes de tortures et d'humiliations sexuelles imposées, une commission du ministère de la défense est chargé d'enquêter et de surveiller les prisonniers de sécurité arrêtés dans le cadre de la guerre contre le terrorisme et en particulier ceux capturés pendant la guerre en Irak de 2003/2011. 


Les personnes soupçonnées de liens avec l'ancien régime, les rebelles, ou des organisations terroristes hostiles aux Etats Unis sont placés sous le statut de détenus de sécurité ou de haute valeur et garder dans des conditions strictes et difficiles. Un observateur chargé de contrôler et de prévenir les abus a eu accès a plusieurs femmes prisonnières dont Anissa G une jeune femme proche de l'ancien gouvernement arrêtée sur un campus universitaire et suspectée de soutient logistique à l'insurrection et de posséder des informations essentielles et stratégiques pouvant intéressées le renseignement militaires et permettre la capture de hauts responsables avec qui elle entretien peut être des liens.

Après les révélations sur les sévices, l'armée a mis en place un système d'inspection régulier des prisonnières pour s'assurer de l'absence de violences physiques et sexuelles.


Les femmes qui  ont un statut  de "détenue de haute valeur" doivent chaque semaine subir une inspection ou la prisonnière est amenée dans une salle spéciale pour un bref entretien avec un inspecteur du département d'état et des témoins souvent des membres de la croix rouge ou d'organisation de défense des droits de l'homme.


L'inspecteur s'est tout d'abord interrogé sur le fait que la prisonnière entre la première fois intégralement nue escortée par deux soldats en uniforme US. La première question que s'est poser le fonctionnaire est pourquoi est ce qu'Anissa est amenée nue ici ? l'un des témoins a poser les interrogations suivantes : Pourquoi est elle sans aucun vêtements ni chaussures ? pourquoi n'a t'elle pas d'uniforme ni même de robe ?

Avant tout chose la prisonnière est examinée de la tête aux pieds, pour que l'inspecteur puisse voir si son corps porte des marques, des contusions, des blessures, il faut vraiment regarder partout même entre ses orteils, un contrôle est aussi effectué au niveau anal et gynécologique ou un vrai examen est effectué incluant un toucher rectal et vaginal avec  l'usage d'un spéculum pour chercher des signes d'abus sexuels.

La jeune détenue doit ouvrir et écarter ses cuisse pour le test, et ses fesses aussi sont écartées et son anus sondé en pleine lumière.


Ces mesures sont jugées nécessaires par l'armée pour prévenir toute accusation d'abus sexuels sur les femmes en détention même si c'est ressentie comme très intrusif et humiliant pour les femmes.


Elle explique ensuite pendant l'entretien qu'en arrivant, les gardiens américains l'ont dépouiller de tout ses vêtements, sa montre, ses boucles d'oreilles, ses bijoux, ses chaussures et de tout ce qu'elle avait sur elle.


Elle est gardée sans vêtements comme les autre femmes, enfermée la plupart du temps dans une petite cellule vide avec une petite arrivée d'eau, des toilettes turques sans fenêtre. Le port de vêtements n'est pas un droit mais une récompense selon l'interprétation américaine des conventions internationales, et seuls les prisonniers jugés coopératifs peuvent se voir fournir des uniforme de prisonniers.


Les américains rasent aussi les sexes des prisonnières, officiellement pour des raisons d'hygiène et de sécurité et pour les avoir le plus nue possible.



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Nue en cellule.

dimanche 12 février 2023

Opération de mise à nue des femmes en prison

Une gardienne déshabille une prisonnière totalement
Toute nue, il faut même enlever les chaussures !

Se déshabiller est obligatoire pour les femmes prisonnières.


Lorsque les autorités américaines qui gèrent  la prison militaire d’Abou Ghraib en Irak durant l’intervention entre 2003 et 2011 ont donné l’orde de retirer aux détenus leurs vêtements et de les priver de tout confort matériel (literie, draps etc.) pour les rendre coopératifs et plus dociles. Les femmes aussi sont soumises à la nudité forcée.

L’un des garde qui travaille dans la prison au moment des faits aux alentours de 2004 se rappel des opérations de mise à nu des prisonniers.


“C’était un matin en novembre 2003, les responsables de la prison et les policiers militaires et agents du renseignement pour des raisons de sécurité et pour rendre les détenus plus dociles et coopératifs ont décidé qu’il fallait priver les prisonniers de tout confort et les déshabiller pour des raisons de sécuritaires  car c’est un centre de détention de haute sécurité et en même temps les humilier et imposer les règles américaines."



Les équipes de surveillance passent dans chaque cellules pour dépouiller les captifs. Il y avait quelques femmes dont Nora une jeune fille de 26 ans arrêtée lors d’une fête de mariage par une équipe des commandos des marines. La jeune femme dont le nom faisait  partie des personnes recherchées par la coalition a été transférée dans le centre d’Abou Ghraib pour cette raison, c’est souvent par erreur ou confusion car cette prisonnière est dans sa vie civile vendeuse dans une bijouterie issue de la classe moyenne et commerçante et n’a pas l’air de connaître grand chose à la politique.

C’est une fille bien élevée et plutôt sympathique, qui il y a quelques mois n’aurait jamais imaginer devoir se déshabiller en public devant tout le monde.

La gardienne en chef, Cathy Olsen, Une Afro-américaine  qui s’occupe des femmes accompagnée de plusieurs auxiliaires militaire pour mener à bien cette mission.

Cette femme est à la fois cool mais dégage un aura très dominant et sait faire preuve d’autorité et de faire respecter du staff et des détenus.


L’équipe s’est rendu vers 08h dans la petite cellule de Nora. La détenue dispose d’un matelas avec des draps d’un trousseau de toilette et de ses vêtements civils qu'elle a conserver au début de son incarcération.


En l’absence d’uniforme de prisonniers orange le staff pénitentiaire avait dans un premier temps  décidé de permettre aux femmes prisonnières  de garder leurs habits civils en détention avant de changer d’avis.


L’équipe est un peu sur les nerfs car ce genre d’opération peut être délicate et certains prisonniers tentent de résister aux ordres et ont un problème avec la nudité pour des raisons culturelles et religieuses.


La gardienne en chef ouvre la porte de la cellule de Nora et lui demande d’abord  de se lever et sortir car sa pièce va être vidée. La prisonnière porte une tenue chic et élégante  car elle était invitée à un mariage  mais un peu dépareillée, sale  et pas repassée car elle n’a pas pu changer de vêtements depuis son incarcération.

La surveillante dit ensuite à la prisonnière qu’elle doit se déshabiller et de remettre ses affaires pièces par pièces, tout même la culotte et ses chaussures.

Nora qui est sous l’autorité de sa gardienne proteste et se plaint de la présence d’hommes. 

Cathy lui dit que c’est ridicule et que les gardiens hommes l’ont déjà vue toute nue plusieurs fois lors des fouilles, pendant qu’elle prend sa  douche où lors de la visite médicale ou le médecin de la prison est un homme.


Il n’y à aucune intimité, les prisonnières subissent des fouilles à nue en public. Nora est en general obéissante et soumise à sa gardienne contrairement à d’autres femmes plus rebelles.


Certaines prisonnières deviennent agressives quand elles apprennent que leurs vêtements doivent être enlevés et  celles qui tentent de résister sont mise à poil de force et leurs vêtements découpés.

Pour Nora qui est sous la responsabilité de Cathy sa première mise à nu lors de la fouille d'accueil a été très difficile comme pour toutes les femmes incarcérées ici, elle n'a jamais été nue devant des homme ni même porter de bikini sur une plage, c'est un réel choc pour des pieuses et respectables femmes musulmanes pudiques que de devoir retirer leurs vêtements en public.

Les gardes appliquent sans états d'âme les consignes et chaque femmes doit d'abord remettre ses papiers d'identité, argent, carte bancaires puis enlever ses bijoux (bagues alliances, colliers, boucles d'oreilles bracelets etc.) avant de passer à l'épreuve redoutée du déshabillage intégral ou il faut absolument tout retirer.

Pour aller plus loin les américains ont décider que Nora et les autres doivent être en état de nudité permanente.



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