mardi 14 février 2023

Nudité, fouille gynécologique pour une prisonnière de haute sécurité.

 

Inspection humiliante en prison.
Fouille gynécologique et examen d'une prisonnière nue.


Visite d'une femme détenue de sécurité dans un centre de détention militaire.


Le régime dans l'aile féminine de détention spéciale est très stricte voir inhumain et peu respectueux des convention de Genève. Suite aux révélations sur les actes de tortures et d'humiliations sexuelles imposées, une commission du ministère de la défense est chargé d'enquêter et de surveiller les prisonniers de sécurité arrêtés dans le cadre de la guerre contre le terrorisme et en particulier ceux capturés pendant la guerre en Irak de 2003/2011. 


Les personnes soupçonnées de liens avec l'ancien régime, les rebelles, ou des organisations terroristes hostiles aux Etats Unis sont placés sous le statut de détenus de sécurité ou de haute valeur et garder dans des conditions strictes et difficiles. Un observateur chargé de contrôler et de prévenir les abus a eu accès a plusieurs femmes prisonnières dont Anissa G une jeune femme proche de l'ancien gouvernement arrêtée sur un campus universitaire et suspectée de soutient logistique à l'insurrection et de posséder des informations essentielles et stratégiques pouvant intéressées le renseignement militaires et permettre la capture de hauts responsables avec qui elle entretien peut être des liens.

Après les révélations sur les sévices, l'armée a mis en place un système d'inspection régulier des prisonnières pour s'assurer de l'absence de violences physiques et sexuelles.


Les femmes qui  ont un statut  de "détenue de haute valeur" doivent chaque semaine subir une inspection ou la prisonnière est amenée dans une salle spéciale pour un bref entretien avec un inspecteur du département d'état et des témoins souvent des membres de la croix rouge ou d'organisation de défense des droits de l'homme.


L'inspecteur s'est tout d'abord interrogé sur le fait que la prisonnière entre la première fois intégralement nue escortée par deux soldats en uniforme US. La première question que s'est poser le fonctionnaire est pourquoi est ce qu'Anissa est amenée nue ici ? l'un des témoins a poser les interrogations suivantes : Pourquoi est elle sans aucun vêtements ni chaussures ? pourquoi n'a t'elle pas d'uniforme ni même de robe ?

Avant tout chose la prisonnière est examinée de la tête aux pieds, pour que l'inspecteur puisse voir si son corps porte des marques, des contusions, des blessures, il faut vraiment regarder partout même entre ses orteils, un contrôle est aussi effectué au niveau anal et gynécologique ou un vrai examen est effectué incluant un toucher rectal et vaginal avec  l'usage d'un spéculum pour chercher des signes d'abus sexuels.

La jeune détenue doit ouvrir et écarter ses cuisse pour le test, et ses fesses aussi sont écartées et son anus sondé en pleine lumière.


Ces mesures sont jugées nécessaires par l'armée pour prévenir toute accusation d'abus sexuels sur les femmes en détention même si c'est ressentie comme très intrusif et humiliant pour les femmes.


Elle explique ensuite pendant l'entretien qu'en arrivant, les gardiens américains l'ont dépouiller de tout ses vêtements, sa montre, ses boucles d'oreilles, ses bijoux, ses chaussures et de tout ce qu'elle avait sur elle.


Elle est gardée sans vêtements comme les autre femmes, enfermée la plupart du temps dans une petite cellule vide avec une petite arrivée d'eau, des toilettes turques sans fenêtre. Le port de vêtements n'est pas un droit mais une récompense selon l'interprétation américaine des conventions internationales, et seuls les prisonniers jugés coopératifs peuvent se voir fournir des uniforme de prisonniers.


Les américains rasent aussi les sexes des prisonnières, officiellement pour des raisons d'hygiène et de sécurité et pour les avoir le plus nue possible.



Liens :


Nue en cellule.

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