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dimanche 12 janvier 2025

Ma femme humiliée et incarcérée en Amérique

Fouille collective humiliante
Fouille et humiliation publique.

Les gardiens américains de la prison de conté de Greenwood  ont pour consigne d'humilier et de dresser les détenus pour réduire la délinquance et les incivilités. Le shérif est l'un des plus sévères du pays, il est très populaire et est appuyé par le gouverneur républicain pro Trump.

Mon épouse, Rania, une femme franco marocaine musulmane, qui était la pour ses études s'est faite arrêtée lors d'une manifestation en faveur de la Palestine et la police l'a conduite dans le centre de détention du conté.

Sur place, Rania était avec 3 autres femmes américaines,  l'une est membre d'un gang, l'autre est probablement là pour fraude fiscal les gardiens les ont placé dans une salle réservée à l’accueil

D'une part, elles sont misent toutes nues et soumises à des fouilles et inspections très poussées devant tout le monde, y compris des hommes. Les gardiens aiment faire comprendre aux femmes quand ils leurs ordonne d’enlever leurs vêtement, tout bien sur, "Il faut tout montrer aux gardiens" ricane un des surveillants.

En Amérique les femmes peuvent être fouillées par des gardiens hommes au nom de l'égalité entre les sexes, et de plus sans aucune intimité devant tout le monde, les femmes culturellement pudiques et réservées comme mon épouses doivent elles subir le même processus humiliant : Se déshabiller et se faire fouiller en public.

Le shérif a décider que la nudité était  naturelle, et dans sa prison, les femmes sont toutes traitées de la même façon sans distinction de religion: Nue, pieds nus avec fouilles des anus et des vagins, dessous les seins et entre les orteils.

Aucune intimité n'est prévue, surtout depuis le retour de Trump, ou les autorités sont autorisées à utiliser de méthodes punitives dont les fouilles corporelles et les mise à poil en publique font partie.

Les délinquantes sont en général humiliées pour l'exemple et en public pour générer de la crainte.

 

Lien : 

 

En garde à vue.

 


samedi 11 janvier 2025

L'arrestation de Safia par le shérif

Le processus humiliant de l'incarcération
Prise de photos nue avant d'aller en cellule.


 Safia est une jeune femme américaine musulmane d'origine arabe de parents libanais et musulmane, elle vit dans cette petite ville dans le Tennessee depuis sa petite enfance.

La jeune fille est une brillante étudiante à l'université, et par conscience citoyenne, avec le soutien de ses professeurs et certains de ses amis étudiant elle est partie manifester pour soutenir le peuple palestinien face au massacre.

La manifestation s'est mal passé, plusieurs manifestants ont attaquer les policiers et la police a du procéder à des arrestations, souvent assez arbitraire et Safia s'est malheureusement retrouvée dans le lot et se retrouve officiellement accusée d'attroupement illégaux.

Les manifestants et manifestants sont conduites dans les locaux du shérif  locale avec un petit centre de détention du conté géré par ce dernier, pour les gardes à vue.

Le shérif est un homme qui prend très au sérieux la sécurité et dont la prison est très redoutée par les femmes.

Safia est une personne très pudique mais le shérif lui réserve le même sort qu’à toutes les malheureuses détenues.

Les rares femmes musulmanes voilées comme Safia sont soumises à la procédure : prises d’empreintes, et la fouille à nue et la prise de photographies.

Safia doit tout enlever devant le représentant de la loi, et mettre sa pudeur de côté, se mettre toute nue est très difficile pour elle car c'est une fille pudique, peu de gens hormis son ex et les médecins l'ont vue à poil, et comme toute bonne musulmane elle porte le voile (hijab) et s'habille de façon très modeste.

Elle supplie et invoque divers droits pour refuser la fouille, elle prétend que ses droits constitutionnel sont bafoués, car devoir se déshabiller en public et devant des hommes serait une grave violation de sa dignité !

Hors avant elle, les juges ont estimé que les méthodes du shérif étaient parfaitement légales et justifiées pour des raisons de sécurité.

Le shérif filme toujours les fouilles et laisse assister des témoins pour prévenir toute accusation d'agression sexuelles.

La jeune femme n'a pas son mot à dire, le shérif est stricte et sans concession : il exige la plus totale nudité : même les montres et les élastiques à cheveux sont confisqués !

Il faut tout enlever, être nue et pieds nus pendant tout le processus de fouilles et d'enregistrement.

 

 Lien : 

Humiliée et interrogée.


samedi 10 août 2024

L'équipe de Donald Trump s'insurge contre les uniformes remis aux femmes détenues pour terrorime.

Des prisonnières portant un uniforme orange
Des prisonnières en uniforme orange et pieds nus.

Campagne présidentielle USA : Remise en cause des accords et assouplissements des conditions de détention des femmes suspectées de terrorisme ?

L'équipe de campagne du candidat républicain Donald Trump dénonce les accords et concessions de l'administration de Joe Biden en matière de politique carcérale.

En effet, plusieurs femmes détenues pour terrorisme, trafic de drogue international, complot contre la sécurité nationale américaine ont obtenues certaines faveurs qui pourrait mettre à mal la sécurité nationale des USA et les équipes de surveillants chargées de les garder.

Depuis le 11 septembre 2001 ce type de prisonnier étaient incarcéré dans des prisons de haute sécurité spéciale en vue de leur réhabilitation. 

Les détenues et leurs avocats ont longuement lutter pour permettre aux femmes d'avoir le droit de porter des vêtements, certes, minimaliste : une simple culotte et un haut  d'uniforme orange assez court et des tongs (Flip Flop).

Les prisonnières pudiques ou les détenues musulmanes n'ont pas obtenue le droit de porter des uniformes plus couvrant ni de hijab (voile islamique) pour couvrir leurs cheveux. Toute manifestation d'appartenance religieuse reste interdite.

Mais pour les gardes et les pro Trump, c'est beaucoup  déjà beaucoup trop; car porter des vêtements n'a jamais été un droit, et les femmes détenues ont toute passer plusieurs mois voir pour certaines des années totalement nues sans que ça ne pose aucuns problèmes, et certaines ont même grâce à ça perdue toute trace de pudeur et adopter le nudisme comme mode de vie, ce qui est pour pour leur réhabilitation et réinsertion prochaine dans la société, et pour ça seule l'équipe de Trump en est consciente.

Depuis que les vêtements sont autorisés, les gardes alertent contre le retour de comportement dangereux, certaines femmes refusent parfois de baisser leurs culottes devant des gardes hommes et d'écarter leurs fesses pour ouvrir leurs anus.

Pour le syndicat des gardiens c'est une grave décision, et si rien n'est fait pour stopper les revendications des prisonnières, elles auront bientôt le droit de porter la burka en détention.

C'est aussi et surtout des dépenses publics inutile, du gaspillage que d'investir dans des uniformes avec les impôts des américains.

 

Depuis quelques jours, la campagne est sur le point de basculer suite à cette question, Kamala Harris pourra t'elle tenir face à Donald Trump ou finira t'elle aussi emprisonnée à poil dans une prison de haute sécurité ?


Liens : 


Nue en prison.



 

mercredi 7 août 2024

Une femme terroriste en prison, nue ou habillée ?

 

Nudité forcée comme partie intégrante de la punition.
Une détenue suspectée de terrorisme doit elle rester nue en permanence ?

Le sort d'un femme terroriste coopérantes en suspens.

Loubna G, une femme incarcérée dans une prison supermax aux États Unis a obtenu sous la présidence de Joe Biden un relatif assouplissement de ses conditions de détention.

Si Loubna, de nationalité irakienne et incarcérée pour soupçons de terrorisme a pu éviter de rester à Guantanamo Bay après avoir acceptée sa culpabilité et reconnue ses erreurs en échange d'une réduction de peine et d'un assouplissement de ses conditions de détention.

Son avocat et diverses organisation de défense des droits de l'homme ont obtenu différents droits : Détention dans une prison civil avec possibilité de recevoir des visites de sa famille, deux sorties par jours, de meilleurs repas, et surtout le droit de porter quelques vêtements : Un uniforme orange de prisonnière très court et une simple culotte blanche difforme, plus de confort, de la nourriture halal et accès aux journaux et livres.

Par contre la prison refuse à Loubna le port de soutien gorge, de chaussettes et de vrai chaussures (seul les chaussures de type "flip flop" sont autorisés dans ce type de prison).

La demande de porter le voile islamique (hijab), des uniforme plus couvrant à par contre été rejetée. La détenue doit accepté de porter des tenues très courte et d'avoir les cheveux à l'air et de se déshabiller devant des hommes lors des fouilles, et des douches collectives.

Les juges estiment qu'il n'est pas attentatoire aux libertés que de priver une femme d'objet religieux et que l'ordre et la sécurité passe avant le droit à la pudeur. 

Ceci dit, l’équipe de Donald Trump en pleine période électoral estime que c'est une erreur, et que la prisonnière doit conformément à la politique pénale US en matière de lutte contre le terrorisme être gardée nue et pieds nus, et subir plusieurs fouilles intégrale par jours avec contrôle de l'anus, de la bouche et du vagin.

De plus la détenue est nue depuis plusieurs années, il n'y a aucune raison de lui remettre ses vêtements, et le syndicat des gardiens pro Trump est hostile à l'idée de permettre à cette détenue de s'habiller, car la nudité totale et permanente doit faire partir de la sanction, surtout que la prisonnière réclame le droit de porter des signes religieux et de pudeur en plus d'un petit uniforme, ce qui la rend plus dangereuse et nécessite plus de punitions.


La campagne présidentielle US peut basculer en faveur de Trump sur cette question.

 

 Autre affaire de nudité forcée en prison.