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lundi 8 septembre 2025

Interrogatoire renforcé et nudité totale

 

Prisonnière nue
Nue pendant un interrogatoire.

Une détenue sous statut de "haute sécurité.

Les manuels d'interrogatoire préconisent la nudité totale lors des interrogatoires, et cette technique est appliquée pendant la seconde guerre d'Irak (2003/2011) par les États Unis dans les centre de détention.

Les femmes irakiennes soupçonnées de terrorisme, de liens avec l'ancien régime ou insurrection sont détenues au secret et soumises à des traitements humiliants. comme la nudité forcée.

Elles sont considérées comme des "détenues de sécurité" et donc sont interdites de porter le moindre vêtements et sont interrogées nues et pieds nus.

Comme elles sont musulmanes conservatrices et pudique, la nudité est jugées très efficace pour les humilier et les ramollir. elles sont obligées de se mettre toutes nues devant tout le monde.

La présence d'hommes est requise pour accroitre le sentiment d'humiliation, car enlever ses vêtements devant le sexe opposé est bien plus dégradant.

C'est préférable de faire pression sur elles pour qu'elle retire elles même leurs habits, sinon la force et contrainte physique est utilisée.

Nue et pieds nus, elles disent plus facilement la vérité. En prison la religion et la culture n'ont pas leur place.

Lien : 

Interrogatoire renforcé.

dimanche 18 mai 2025

Fouille nue d'une détenue pudique et soumise.


Humiliante fouille à nu
Fouille (strip search).

Fouille à nue (strip search) lors du processus d'accueil en prison.

Abou Ghraib, Irak, 2005.

 

 Noor, une Irakienne de 27 ans, était assise à l’arrière d’un Humvee, les mains entravées par des menottes en plastique, le regard baissé. Son hijab noir couvrait ses cheveux, et son abaya, légèrement poussiéreuse, témoignait de sa foi sunnite et de sa pudeur. Murmurant des versets du Coran, elle tentait de calmer son cœur affolé. Accusée à tort de complicité avec des insurgés sur une dénonciation malveillante, elle avait été arrêtée trois jours plus tôt. Aujourd’hui, elle entrait dans un centre de détention sous contrôle américain.

Le véhicule s’arrêta dans un nuage de poussière à l’arrière du complexe. Deux femmes en uniforme militaire attendaient près d’une entrée. La première, une blonde d’une trentaine d’années au chignon strict, portait des galons sur son uniforme. C’était la sergente Mitchell, dont l’autorité froide intimidait Noor. Réservée et timide, Noor évita son regard, mais ne put ignorer la prestance de cette femme, qui la troublait étrangement.

« Noor al-Hassani ? » demanda la sergente Mitchell, consultant une feuille.

Noor hocha la tête, puis murmura : « Oui… Madame. » Sa voix tremblait, et elle rougit, gênée par son propre malaise.

« Nous sommes ici pour vous prendre en charge officiellement. Placez vos mains contre le véhicule. »

Noor obéit, posant ses mains contre la carrosserie brûlante. La seconde gardienne, silencieuse, la fouilla rapidement, inspectant son hijab et ses vêtements. Noor, submergée de honte, garda les yeux rivés au sol. Les menottes en plastique furent remplacées par des menottes métalliques, froides contre ses poignets. Elle murmura une prière, implorant la force.

Les gardiennes l’escortèrent vers un bâtiment entouré de barbelés. Un panneau indiquait « Intake ». La sergente activa sa radio : « Une pour l’admission. » La porte métallique s’ouvrit dans un bourdonnement.

À l’intérieur, l’air était glacial. On la fit asseoir face à un bureau encombré de dossiers. La sergente s’installa et lut : « Noor al-Hassani, 27 ans, cheveux noirs, yeux marrons, poids approximatif : 55 kilos. Est-ce exact ? »

« Oui, Madame », répondit Noor, intimidée par l’assurance de Mitchell. Une étrange fascination pour cette femme autoritaire naissait en elle, mêlée de crainte.

« Bien. Vous allez être conduite au traitement. Vous devrez retirer tous vos vêtements – vous serez toute nue, mais ne vous inquiétez pas, c’est entre femmes. Vous serez fouillée, recevrez votre uniforme, vos photos seront prises, et vous irez en cellule. Comprenez-vous ? »

Noor hocha la tête, mais la sergente la reprit : « Réponse verbale. Appelez-moi Madame. »

« Oui, Madame », murmura Noor, les joues brûlantes. L’idée de se dévêtir la terrifiait, mais la précision « entre femmes » l’apaisa à peine.

Les gardiennes la firent lever et l’escortèrent dans un couloir gris jusqu’à une porte marquée « Processing ». La sergente activa sa radio : « Une pour le traitement. » La porte s’ouvrit, révélant une pièce austère avec une table métallique, une chaise, et un coin pour les photos. Une troisième gardienne, à la table, tenait un bac en plastique. Noor sentit son estomac se nouer.

« Nous allons retirer vos menottes », annonça la sergente. « Tenez-vous droite, mains le long du corps, face à la gardienne à la table. Suivez ses instructions, ou votre désobéissance sera signalée. Comprenez-vous ? »

« Oui, Madame », répondit Noor, la gorge serrée.

Les menottes ôtées, Noor se tint droite, tremblante. La sergente et l’autre gardienne reculèrent près de la porte. La gardienne à la table ouvrit un sac en plastique : « Retirez vos boucles d’oreilles. »

Noor n’en portait pas. « Je n’en ai pas, Madame », dit-elle doucement.

La gardienne nota quelque chose. « Retirez vos chaussures et chaussettes. »

Noor défit ses sandales usées et ses chaussettes blanches, posant ses pieds nus sur le sol glacé. La gardienne inspecta les chaussures, les chaussettes, et ordonna : « Levez chaque pied, montrez-moi la plante. » Noor obéit, humiliée, tandis que la gardienne commentait : « Vous êtes bien sensible, hein ? On dirait que vous n’avez jamais marché pieds nus. »

Noor rougit, baissant les yeux. « Maintenant, retirez votre hijab. »

Noor défit les épingles, pliant le foulard avec soin avant de le tendre. Ses cheveux noirs tombèrent sur ses épaules. « Regardez-moi ça, on dirait une nonne qui se cache », ricana la gardienne, jetant le hijab dans le bac. Noor sentit les larmes monter.

« Votre abaya. »

Noor défit les boutons, laissant l’abaya glisser à ses pieds. Elle la tendit, restant en tunique et pantalon noirs. La pièce était si froide qu’elle frissonna, croisant les bras. « Bras le long du corps », ordonna la gardienne. « Pas la peine de jouer les pudiques ici. »

Noor obéit, rouge de honte. La tunique, puis le pantalon, furent retirés. En sous-vêtements, elle se sentit exposée. La gardienne lança : « Pas très épais, votre corps. On dirait une gamine qui se cache sous tous ces tissus. »

Noor, mortifiée, garda le silence. « Retirez votre soutien-gorge. »

Les larmes coulèrent alors qu’elle dégrafait son soutien-gorge, le tendant tout en couvrant sa poitrine. « Bras le long du corps », répéta la gardienne. « Arrêtez de faire la timide, ça ne sert à rien. » Noor obéit, exposant ses seins. La gardienne ricana : « Pas grand-chose à montrer, hein ? »

« Maintenant, la culotte. »

Noor, sanglotant, fit descendre sa culotte et la tendit, se tenant nue, pieds nus sur le sol froid, les mains le long du corps. « Regardez-moi cette pudeur ridicule », commenta la gardienne. « Vous croyez que votre Dieu vous regarde ici ? »

Noor ferma les yeux, récitant une sourate en silence. La gardienne dressa la liste : « Un hijab noir, une abaya noire, une tunique noire, un pantalon noir, un soutien-gorge blanc, une culotte blanche, une paire de sandales, une paire de chaussettes. Exact ? »

« Oui, Madame », murmura Noor.

« Signez ici. » Noor signa, tremblante. « Maintenant, la fouille corporelle. Éloignez-vous de la table, tenez-vous droite, bras le long du corps. »

Noor obéit, les larmes roulant sur ses joues. La gardienne prit une lampe torche, lui ordonnant de secouer ses cheveux, de tirer ses oreilles, d’ouvrir la bouche, de soulever sa langue. Puis, elle inspecta ses mains, ses aisselles, et ordonna : « Soulevez vos seins. » Noor obéit, humiliée, tandis que la gardienne lançait : « Rien à cacher là-dessous, visiblement. »

« Écartez les jambes. Écartez vos lèvres vaginales. » Noor, sanglotant, obéit, exposant son intimité. « Toujours aussi gênée ? Vous vous y ferez », railla la gardienne, inspectant avec sa lampe. « Tournez-vous, écartez vos fesses, accroupissez-vous, toussez. » Noor s’exécuta, chaque mouvement brisant un peu plus sa dignité. Enfin, elle leva chaque pied pour une nouvelle inspection. « Vos pieds sont trop propres pour une terroriste », ironisa la gardienne.

« Fouille terminée », annonça-t-elle. « Vous pouvez prendre une douche avant l’uniforme. Suivez-moi. »

Noor, toujours nue, fut conduite à une cabine de douche ouverte. L’eau froide la fit frissonner, mais elle se lava rapidement, sous le regard de la gardienne. Revenue dans la pièce, elle attendit, tremblante, pieds nus sur le sol glacé.

La gardienne revint avec une simple combinaison orange. « Voici votre uniforme. Pas de sous-vêtements, pas de voile. Les hijabs sont interdits. Enfilez ça, pieds nus. »

Noor, horrifiée, protesta faiblement : « Madame, s’il vous plaît… mon hijab, c’est ma foi. Je ne peux pas… »

La sergente Mitchell, qui avait observé en silence, s’avança. Sa voix était ferme, mais étrangement douce : « Noor, écoutez-moi. Ici, les règles sont strictes. Pas de hijab, pas de discussion. Vous devez vous conformer. Mais je veillerai sur vous, d’accord ? Faites ce qu’on vous dit, et ça ira. »

Noor, les larmes aux yeux, hocha la tête, vaincue. Elle enfila la combinaison, qui grattait sa peau nue. Sans sous-vêtements, elle se sentait encore plus exposée, et ses pieds nus sur le sol froid renforçaient sa vulnérabilité. Le numéro 47219 était cousu sur la poitrine.

« Mains derrière le dos », ordonna la sergente. Les menottes claquèrent. On la conduisit aux photos d’identification. Noor fixa l’objectif, puis tourna la tête pour les profils, son visage marqué par la honte et la résignation.

« C’est terminé », dit la sergente. « Vers votre cellule. »

 

Lien : 

 

 Strip search. 

 

samedi 26 février 2022

Femme des forces spéciales russe en action.

 

Une guerrière nue des forces spéciales.
Femme soldate nue des troupes de choc.

Le bataillon féminin des forces spéciales russe Spetnaz en action.


Une femme soldat surentrainée et armée de l'armée russe débarque en Ukraine. C'est l'une des des meilleures unité spéciale du monde, il existe des commandos russes féminin dont les membres opèrent complètement nues et armées derrière les lignes ennemies. Cette unité qui opère dans l'ombre à pour but de traquer les terroristes, les ennemis de la patrie, les pro occidentaux, effectuer des opérations de reconnaissances et de sabotages, démoraliser et terrifier l'ennemi  lors des opérations militaires russes officielles ou officieuses.


Ces femmes sont très entrainée, elles maitrisent l'usage de toutes les armes, savent piloter tout type de véhicules, sont exportent en art martiaux et combat rapprocher, sont des sportives de très haut niveau capable de survire dans toute les situation, bref ce sont en quelques sortes des Rambo féminin version russe.


Ces horde de guerrières nues sont partie à l'assaut de l'Ukraine et du monde.


Svetlana, une de ces soldates d'élite a débarqué nue et pieds nus en Ukraine et a obtenu la soumission de plusieurs bataillons ukrainien en quelques jours. 


Les expert militaires russes jugent qu'envoyer des femmes nues créer un choc dans les rangs de l'adversaire qui les désoriente et permet de prendre l'avantage sur eux et d'obtenir plus rapidement leur reddition.


Plusieurs officiers ennemis ont été vu soumis, rampant aux pieds de ces femmes dominante et conquérantes.


Liens :


Walk of shame.


Un couple de civil asservit et humilié par l'armée.

mercredi 6 octobre 2021

Interrogatoire d'une prisonnière politique.

 


L'interrogatoire d'une fille de bonne famille.



Durant la domination des Etats Unis sur l'Amérique latine et particulièrement dans le contexte de la guerre froide  (1948/1991) ou les Etats Unis ont mener une guerre d'influence contre l'URSS qui représentait le communisme. Les Etats Unis ont installer et soutiennent des régime de droite souvent militaire anti socialistes.


Les  dirigeants des Etats Unis ont aider ces dictatures et leurs  services de renseignement à utiliser de méthodes d'interrogatoire renforcées ou musclées dans le but de faire parler les détenus et de démanteler toute opposition et faire taire toute contestation.



Un rapport rendu public parle d'une femme prisonnière connue sous le pseudonyme de "Ruby" ayant séjourné plusieurs mois dans une prison de la police politique superviser par l'armée US dans un pays d'Amérique centrale.

La jeune femme après avoir été arrêtée à un point de contrôle par des policiers, qui du fait de ses liens familiaux (son oncle est émigré en Italie et a écrit plusieurs livres favorable à la démocratie et à une plus juste redistribution des richesses) ont décider de la placer dans une prison spécialisée dans les interrogatoires.




Ruby est une fille de bonne famille, bien éduquée, une bourgeoise citadine , son seul tord est que son oncle est recherché, il est suspecté de financer la rébellion et d'avoir des informations importantes sur plusieurs autres opposants en fuite et de détenir des informations stratégiques.


Ruby est transportée dans un fourgon militaire  avec un sac sur la tête et enchainée aux mains et aux pieds en direction du fameux centre d'interrogatoire.


La prisonnière est maintenue manu militari entre les mains de deux gardiens en treillis  militaire qui l'a traine vers une pièce ou plusieurs spécialistes l'attendent.


Ruby cris et demande "Ou  suis je ?" "Que me voulez vous ?" mais les gardes l'ignorent totalement.


Une fois la détenue arrivée dans la "salle d'accueil", les interrogateurs se présente de façon strict et lui disent bonjour de manière relativement cordiale. Les gardes enlèvent les chaines de la prisonnière.


Ruby doit vite comprendre qu'on lui demande de se déshabiller :  "Enlève tes vêtements, bijoux, piercing et tout vos effets personnels s'il te plait."


"Quoi ?" répond la détenue choquée.


"Oui l'ordre est simple, tu te déshabille, tu retire tout, ce qui inclus tes chaussettes, soutien-gorge, culotte, mais aussi boucles d'oreilles, piercings, épingles à cheveux, tout quoi."



"Tu te met toute nue, rien ne doit couvrir tes fesses et tes seins, ainsi que tes pieds, si tu ne coopère pas nous utiliserons la force et tu terminera à poil."



Après le mise à nu humiliante, Ruby est interrogée à poil ligotée en bondage sur une chaise en étant masturber jusque à l'orgasme, puis on lui impose d'autre orgasmes.



Les femmes ont la capacité à pouvoir enchainer les jouissances l'une après l'autre, et ça devient insupportable après trois ou quatre




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lundi 30 août 2021

Un inspecteur des prisons témoigne.

Nudité totale pendant la détention.
Nue lors de l'inspection de contrôle des détenus.

 Une prisonnière gardée nue en détention.

En 2004 après les révélations sur le scandale de la torture et des mauvais traitements  pratiqués par l’armée américaine et les services de renseignements américains en Irak dans la prison sous controlé US d’Abou Ghraib située près de Baghdad.


Les responsables américains ont réagi en affirmant que désormais ils respecteront les conventions de Genève et qu’ils feront cesser les mauvais traitements. Les prisonniers doivent être bien traité et bien nourris et les prisonniers peuvent être visités régulièrement par un inspecteur.


Les ONG et l’inspecteur ont vite demandé à avoir accès aux détenus les plus à risque c’est à dire les femmes et les détenus de “haute valeurs”. L’inspecteur a remarqué le cas d’une femme prisonnière, Sara,  âgée de 25 ans environ et placée en détention préventive pour ses liens avec les rebelles.


L’inspecteur témoigne dans un rapport sur les conditions de détention que la captive n’a pas subie de torture ni d’agression sexuelles.


Lors des visites, la prisonnière est amenée dans une salle où l’attend l’inspecteur et une femme médecin militaire  totalement nue manu militari entre les mains de deux gardiens hommes en uniforme de soldats.


L’inspecteur a remarqué qu’elle venait sans vêtements ni chaussures. Alors que normalement, elle devrait porter de quoi se couvrir et au moins une paire de tongs aux pieds.
Certes les règlements internationaux acceptent la nudité imposée lors de fouilles ou d'examen de contrôle médicaux , mais là, la prisonnière était intégralement nue et exposée aux hommes et aux femmes.


La détenue est inspectée de la tête aux pieds, avec un contrôle de sa tension artérielle et de son rythme cardiaque, son vagin et son anus sont controlés pour s'assurer qu'elle n'a aucunes traces d'agressions aussi.


Lorsque l'inspecteur a fait son rapport et a présenter ses recommandations à l'administration pénitentiaire en se demandant pourquoi la détenue a l'air de s'être habituée a vivre nue et pieds nus ?


Les responsables de la prison ont rappeler que dans cette section de la prison la nudité est fréquente et généralisée pour des raisons de sécurité et de contrôle des détenus, et par le fait du manque d'uniforme et de vêtements à donner aux détenus. Que Sara est placée sous le statut de "full strip" qui implique la nudité totale et permanente dans les locaux de la prison. 




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vendredi 27 août 2021

Humiliation et dressage des prisonnières.

 

humiliation et nudité forcée
Humiliante fouille des anus des prisonnières.

Cruauté et discipline en prison.


Des gardes américains dans la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak humilient régulièrement les prisonniers. Dans l'aile ou sont retenues les femmes prisonnières les conditions de détention sont très diffuse et humiliantes.


Un témoin,  proche d'une ex détenue qui est sa cousine  rapporte que les femmes  sont gardée dans des  petites cages ouvertes de deux mètres sur deux  sans aucun confort ni aucune intimité, avec un seau d'eau pour faire leurs besoins naturels , une couverture pour celles qui sont coopérait et une assiette et rien d'autre. Les femmes dorment à même le sol. 


Sa cousine, une jeune femme,  lors de son arrivée a été forcée de retirer ses vêtements et de se mettre nue pour une fouille à corps complète en publique. Ensuite la détenue à du parader  et déambuler en tenue d'Eve dans les couloirs de la prison jusque a se retrouver jetée dans une "cellule" digne d'une cage de chien dans un chenil.


Les prisonnières sont enfermées nues et gardées sans le moindre vêtements. Les américains leur impose des fouilles anales plusieurs fois par jours pour briser tout pudeur et toute dignité chez les femmes.



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mercredi 26 mai 2021

L'arrestation et l'interrogatoire d'une femme.



Toute nue, une détenue forcée de parader à poil.
Femme prisonnière escortée nue par un garde.

Une prisonnière soumise à des méthodes d'interrogatoires renforcés.


Une femme prisonnière se souvient de la honte et de l'humiliation qu'elle a ressentie lors de son passage en prison dans la partie d'une prison réservée aux "détenus de haute valeurs". C'est une détenue âgée d'environs 35 à 40 ans, c'est une cadre de la grande banque nationale qui a été arrêtée par l'armée américaine lors d'une opération de ratissage dans son quartier. La prisonnière étant une personnalité importante liées au ministre des finances en fuite, le service de renseignement US a décider de transférer cette prisonnière à Abou Ghraeb, une prison sous contrôle militaire des Etats Unis dont une aile est dédiée  pour les prisonniers importants (insurgés, ancien responsable du régime déchu, terroristes etc.).


Zahia est économiste de formation, elle est assez mure, maigre à la peau blanche et brune. Elle possède un doctorat en science économique et financière, ce qui lui a permis d'obtenir un poste important dans son pays malgré qu'elle soit une femme. C'est une femme respectée qui donne aussi des cours à l'université aux étudiants en plus de ses responsabilités. Elle porte en général des tenues strictes er porte un châle sur les cheveux par respect des traditions. 

Si son arrestation s'est déroulée sans incidents et dans de bonne conditions, son arrivée  et son séjour dans la sinistre prison lui reste comme une très mauvaise et traumatisante expérience.


Zahia est transférée par hélicoptère, puis amenée dans les locaux en dur du site du camp de prisonnier. Elle remplit d'abord divers documents administratifs avant d'être conduire dans la pièce d'admission de l'aile de la prison destinés aux détenus sensibles.


Quatre femmes en treillis militaire et portant des bottes rangers, toutes sont très athlétique et très costaud et beaucoup plus grande que Zahia qui n'a aucune chance de pouvoir leur résister physiquement car elles sont toutes bien trop fortes et puissantes pour elle.


Zahia reçoit l'ordre de se déshabiller complètement pour la fouille et la confiscation  vêtements civils et des effets personnels. 


Elle proteste mais elle se prend rapidement un strict  rappel à l'ordre qui lui explique que "Ici les prisonniers doivent suivre nos règles, les hommes et les femmes doivent retirer leurs vêtements sans exception avant de pénétrer dans le lieue de détention. La nudité est habituelle."


"Vous ne pouvez pas faire ça" crie Zahia en anglais.


Les gardiennes rigolent et répondent "Si nous le pouvons et nous le ferons".


"S'il vous plait je vous en supplie ne faite pas ça." reprendre la détenue.


"Pas d'inquiétude c'est la procédure ici ça ne prend pas beaucoup de temps." répondent les militaires, même si pour la prisonnière ça parait une éternité.


Zahia doit retirer son foulard qu'elle porte  sur les cheveux plus par tradition que par conviction. Elle retire ensuite ses chaussures.


La captive demandent ensuite si elle peut être fouiller par dessus ses vêtements, les américains disent "Non, il faut se dévêtir totalement" .


Zahia retire sa jupe et ses collants qui sont placés sous scellés par les gardiens. La prisonnière comprend qu'elle ne pourra bientôt plus rien cacher. C'est ensuite au tours de son chemisier d'être aux mains de ses geôliers.


Zahia panique car elle n'a plus que sa culotte et son soutien gorge. Elle pleure et demande qu'on lui laisse ses sous vêtements, et elle demande "pourquoi devoir se mettre nue ?"


Les gardes répondent que c'est "la procédure habituelle pour les détenus, pour des raisons de sécurité et de discipline et parce que ceux sont les ordres."


Zahia est mortifiée et retire le reste de ses vêtements pour être intégralement nue. Le sentiment de honte est palpable et elle se sent déshonorée et dégradée. Elle est complètement exposée, ses seins, fesses, et sa chatte sont visibles, sa nudité n'est pas seulement physique, elle est aussi émotionnel et elle se sent dépourvue de toute protection.

Une gardienne prend une lampe et enfile des gants en caoutchouc pour d'abord palper la tête et la chevelure de Zahia, lui vérifier ses oreilles, son nez, sa bouche, et même sa dentition et sous la langue. La surveillante pénitentiaire vérifie même le fond de sa gorge. Elle vérifie aussi sous ses seins et ses aisselles on l'a forçant à sautiller toute nue. Ses seins étant petits l'opération se passe vite. 

L'humiliation ne s'arrête pas là, Zahia doit écarter les jambes pour qu'une gardienne vienne fouiller son intimité.  La surveillante introduit ses doigt dans le vagin de la détenue tout en lui titillant le clitoris pour provoquer de la gêne et de l'excitation forcée. Puis c'est au tour de l'anus d'être vérifié, on lui écrase fortement les fesses et un doigt lui rentre dans le trou du cul.


La prisonnière est très humiliée, pour finir les surveillantes luis inspectent aussi le nombril, les orteils et les plantes des pieds. Elles l'ont fouiller de vraiment partout. 


Après la fouille, la femme est enchainée aux chevilles et menottés comme dans toutes les prisons de haute sécurité US.


Zahia est entrainée hors de cette salle sous escorte tout en se sentant très humiliée tant par l'inspection qu'elle vient de subir que par le fait d'être promener nue dans les couloirs.


Personne n'a l'air de trouver étrange la nudité de la prisonnière ici. Les gardiens et gardiennes l'ignorent pour la majorité d'entre eux tellement voir des captifs à poil est fréquent ici car seul les prisonniers se montrant coopératifs et ayant donner des informations sont autorisés à porter des vêtements. Le chemin vers la salle d'interrogatoire est très long pour la prisonnière pudique qui est visible par tout le monde, les prisonniers hommes peuvent la voir ainsi, quelle honte pour elle.


La salle de travail (des interrogatoires) est très crainte, Zahia étant une femme importante et à protéger, elle ne peut pas subir de violences, ni aucunes tortures physiques ou coups, mais par contre les agents de la CIA lui impose une technique spéciale visant à forcer la détenue à avoir de multiples orgasmes jusque à ce qu'elle parle.


La détenue est allongée nue sur une table les jambes écartées  le corps exposé a ses geôliers.  Des interrogateurs hommes et femmes pour la première fois ont fait découvrir à la prisonnière qu'elle peut jouir plusieurs fois de suite par des coups de langues féminines répétées sur la chatte, des godes et des doigts dans la chatte et l'anus, des pinces aux seins.

Après chaque orgasme, la détenue est invitée à parler et à tout avouer avant qu'on en déclenche un second.


Nudité et honte pour les femmes prisonnières.
Prisonnière nue et enchainée sous la garde d'un surveillant.

 

vendredi 14 mai 2021

Préparation aux interrogatoires musclés en prison

 

Femme prisonnière nue et exhibée
Femme exposée nue dans les couloirs de la prison en guise de punition.

Nudité forcée et humiliation en prison.


Durant les années 2000 à 2010 les Etats Unis au nom de la lutte contre le terrorisme et la promotion de la démocratie et des droits de l'homme ont mener plusieurs guerres sur plusieurs front et avec la loi appelée "Patriot Act" qui permet aux forces américaines (armée et renseignement) de détenir des personnes hors de tout cadre légale et sans respecter les conventions de Genève.


Le président et le  secrétaire d'état à la défense ont autorisé les des techniques d'interrogatoires comportant des  méthodes de coercitions physiques et psychologiques dont certaines sont considérées comme formes de tortures et des sévices infamants. Ces moyens sont utilisés contre les personnes considérée comme ayant une valeur  en terme de renseignement et sont applique de façon systématique.


Zahia, environs 30 ans, une femme d'affaire proche du régime de l'ancien dictateur renversée par les Etats Unis dans un pays du moyen orient a passée 6 mois en détention dans une prison militaire entre les mains des américains avant d'être libérée.


Elle affirme avoir été victimes d'abus et d'humiliations durant cette période.


"Lorsque nous arrivons après plusieurs heures de voyage dans des fourgons militaires sur le site dure de la prison d'Abou Ghraib, nous sommes avec une cagoule sur la tête  et menottés, ils nous conduisent dans une grande salle ou nous devons nous déshabiller, c'est encore pire pour nous les femmes car on nous apprend l'importance de la modestie et de la pudeur dans notre culture, et eux nous déshabille en public. On se retrouve dépouiller de tous nos vêtements et ils nous fouille vraiment partout même juste entre nos orteils et dans nos anus et vagin avec des chiens qui nous reniflent le derrière !".


L'ancienne prisonnière se rappel de la honte ressentie la première fois : "Sans vêtements, sans rien du tout pour cacher nos corps, ils nous humilie et rigolent de nous savoir ainsi honteuses et vulnérables".


Elle continue "Ensuite nous devons marcher et défiler nues jusque dans nos cellules, c'est très choquant de devoir parader à poil devant le staff de la prison (gardien, membre de l'administration et de la police militaire) autres prisonniers hommes et femmes qui sont pour l'immense majorité d'entre eux gardés nus. Les américains disent qu'il fait chaud alors il n'y a pas besoin de porter des vêtements, et que de toute façon ils n'ont pas beaucoup d'uniforme de prisonnier."


Zahia ajoute "Les cellules sont en béton et totalement vides et sans lumières".


"La journée pour m'humilier ils m'ont attachée pendant plusieurs heures totalement nue sur le poteau au milieu du couloir de la prison  dans des positions dégradantes et exposée à la vue de tous".


C'est en général le processus utilisé par les autorités de l'armée pour préparer et ramollir les détenus en attendant les interrogatoires.


Liens :


La prison des soumises.


Nudité et pressions psychologiques.




vendredi 7 mai 2021

Femme soumise à des interrogatoires renforcés.


nudité bondage et scenario BDSM.
Prisonnière d'un bondage et orgasme forcé nue.

La fille du général.


Une association de défense des droits de l'homme affirme que d es femmes et des jeunes filles proche de personne recherchée par les troupes américaines sont gardées en détention de façon arbitraire et sans motifs réels par l'armée. Et qu'elles sont soumises à des traitements dégradants. Aujourd'hui nous avons accès à un rapport qui concerne une jeune femme arabe irakienne, fille d'un général de l'armée de l'ex dictateur renversé par la coalition internationale dirigée par les Etats Unis en 2003. Elle est âgée de 29 ans environs. Son prénom a été modifiée et elle est identifiée sous le pseudonyme de Lilia.


Elle a été arrêtée lors d'un raid d'un commando sur la maison familiale, son père, un haut gradé étant absent, les américains ont embarqué sa fille. Si les autorité américaines affirment respecter les conventions de Genève, et que les détenus sont correctement nourris et non maltraités,  la situation de Lilia comme de beaucoup d'autres personnes privées de liberté est jugés inquiétante et problématique pour les organisations de défense des droits de l'homme pour plusieurs raisons. 


Lilia est sous le statut de "détenu de haute valeur" ce qui fait qu'elle est gardée dans une partie spécifique de la prison ayant pour objectif de faire parler les prisonniers et comme étant une zone de sécurité maximum. Elle est donc retenue au secret sans aucune inculpation pour une période indéterminée. 


De plus, depuis son arrivée, elle est gardée toute nue en permanence, les gardiens conformément aux consignes qu'ils ont reçu ont sans aucune explications dépouiller Lilia de tout ses vêtements, bijoux, montre, effets personnels, et de ses chaussures. La prisonnière est détenue dans la plus totale nudité dans une  petite cellule elle même vide, uniquement composé d'un ban pour dormir et de toilettes turques.


La prisonnière est régulièrement interrogée par les militaires qui cherche à avoir des informations sur son père. Elle doit à chaque fois marcher nue dans le couloir qui mène à la salle d'interrogatoire, si elle ne souffre pas de violence physique, elle est régulièrement attachée nue sur le sol les jambes bien écartées  et exposée en publique. Des gardiennes lesbiennes en profitent pour lui imposer des multiples orgasmes forcés en lui mettant des doigts dans le cul et la chatte, en lui léchant les seins et les pieds, en utilisant des godes et des plugs à mettre dans ses orifices.


Après chaque orgasme elle reprend son souffle et c'est partie pour une autre séance de masturbation forcée et intensive. Elle à avouer tellement de choses sous ce traitement que les militaires en ont finalement tirer peu de chose, aucune information viables.


Liens : 


Interrogatoire d'une femme nue.

mardi 4 mai 2021

La prison des soumises nues

 

Nudité et confinement solitaire.
Groupe de prisonnières nues en confinement solitaire.

Prison de la soumission BDSM.


Depuis les années 2000, les grandes puissances ont pris quelques décisions entre elle, hors du cadre de l'ONU et des conventions de Genève pour répondre aux problématiques géopolitique du 21 émetteur siècle. Pour ne jamais être considéré comme des Etats pratiquant la torture tout en s'évitant de respecter certaines normes du droit international. Les grandes puissances, au lieu de jouer chacune de leur coté ont décider de mettre en commun certains moyens pour détenir des opposants, criminels, terroristes et trafiquants  de drogue et d'armes internationaux. La Chine, l'Angleterre, l'Iran, les Etats Unis, la Russie, le Brésil, le Mexique, l'Afrique du sud, l'Arabie Saoudite et la France ont décider d'un pacte de détention secret. 


De multiples prison secrètes sont donc créer dans le cadre de ce projet, dont une qui est réservée pour les femmes. On trouve de ces prisons en général dans des pays africains, d'Amérique Latine ou des pays arabes pour des raisons de discrétion. Ces camps de détention sont tenus dans des régions isolés et discrètes pour éviter que des journalistes curieux viennent s'y mêler. C'est pour éviter de nouveaux scandales qui peuvent porter atteinte à l'image de certains pays comme les affaires autour de Guantanamo, Abou Ghraib, camps chinois, goulags communistes etc. C'est une nouvelle forme de solidarité internationale.


Les prisonnières ont entre 18 et 50 ans, pas plus, et elles purgent des peines de prison pour diverses raisons :  On y trouve des femmes  politiques corrompues,  des opposantes politiques,  des femmes terroristes, des femme militantes dans des organisations de gauche ou écologiste, des prostitués, des trafiquantes importantes et même des féministes ou des militantes lesbiennes. Les Etats y envois leur prisonnières selon leurs propres critères. Le but de la prison est d'apprendre l'ordre et la soumission aux femmes incarcérées pour leur permettre à terme de se ré insérer dans la société.


Ce centre de détention est régie par les règles d'une prison de haute sécurité et des règles du BDSM (Bondage, Domination, Sado Masochisme). Les femmes détenues sont originaires de tout pays, une journaliste française ayant un peu trop critiquer l'ancien président français Nicolas Sarkozy Séverine est une femme brune de 30 ans, française, elle est bien habillée et elle est dans un bus à destination de ce pénitencier féminin en compagnie de femmes venues du monde entier. A bord du bus il y a Vanessa, une américaine  blonde de 23 ans ayant été condamnée pour trafic de stupéfiant pour couvrir sont petit ami, un baron de la mafia en fuite. On trouve aussi Maria, une criminelle brésilienne de 41 ans, elle a la peau mate et le corps couvert de tatouage. Reem 30 ans, une dissidente saoudienne habillée tout en noir et couverte de la tête aux pieds, et Mili  40 ans, une démocrate chinoise.

Nue lors d'une séance de bondage
Femme prisonnière mise nue et bondage avant interrogatoire.


Le bus arrive et passe plusieurs portails avec des barbelés, avant d'entrer dans une zone clôturée et fermée.


Les gardiens sont des hommes et des femmes, habillés en uniforme noirs, avec des bottes militaires. Les nouvelles arrivantes sont invitées à descendre du bus et à se rendre dans un bâtiments non loins de l'entrée principale. Elles sont accueillies par la directrice , une femme blonde d'une cinquante d'année, probablement une allemande qui à un anglais parfait, elle porte un tailleur noir  et des escarpins de la même couleur. Elle est entourée de gardes femmes et hommes accompagnés de gros chiens d'attaque,  elle parle sur un ton ferme et stricte.


"Bienvenue, je suis la dirigeante de cette prison, vous êtes des prisonnières soumises à nos règles visant à vous inculquer des valeurs permettant la vie en société (NDLR : lavage de cerveau). L'une des premières choses ici, c'est qu'il n'y à pas d'uniforme, la nudité totale est imposée aux prisonnières pour mieux vous punir, vous faire comprendre vos places de soumises, vous exhiber et exposer comme de la viande fraiche, et pour des raisons de sécurité : Etre nu rend impossible le fait de cacher sur soit des armes ou des objets illicites.

Alors maintenant, déshabillez vous, retirez vos vêtements."


Les détenues sont un peu choquées même si elles savent toutes qu'en prison il y a des fouilles à nus, elles s'attendaient à un peu plus d'intimité et que ce ne serait pas en public.


"Vous enlevez tout, chaussures, chaussettes, bas, collants, culottes, soutiens-gorges et tout le reste."  Répète la directrice.

Les prisonnières se déshabillent chacune à leur manière, mais elles sont toutes très humiliées de devoir s'effeuiller devant tout le monde.

Interrogatoire de prisonnière BDSM
Nue et attachée sur une chaise pour l'interrogatoire.


Les femmes sont alignées nues comme au jours de leur naissance  avec les piles de vêtements à leurs pieds. Les gardiennes inspectent les corps des détenues sans ménagement, tout est contrôlé de la têtes aux orteils, et chaque femmes se prend un doigt dans l'anus et un dans le vagin et la bouche, car toutes les cavités naturelles sont vérifiées. Les prisonnières même si elles ont l'air honteuses, mouillent, leurs chattes commencent à s'humidifier par cette humiliante entré en matière.

Les captives sont aussi tripoter et harceler sexuellement par les gardiens qui leur frotte la chatte, leu mettent des claques sur les fesses et leur pincent les tétons. Ensuite les femmes sont entravées au niveau des chevilles.

Le programme de détention est en partie basé sur l'humiliation et la dégradation, la femme n'est ici qu'un objet et sont obliger de pratiquer des choses peu avouables. Chaque prisonnière est  : 


- Exhibée nue et privée de pudeur, claquée, fessée, insultée, peut se voir tirer les cheveux, etre contrainte de se masturber devant les autres, être soumise à des orgasmes forcés, attachée dans diverses position de bondage.

- Les prisonnières sont aussi obligée d'avoir des relations lesbiennes entre elles.


- De prendre des douches nues et de s'introduire des savons dans la chatte et le cul.


- De lutter nue entre elles sous les rires des gardiens.


- Soumise aux travaux forcés etc.


Esclavage BDSM et prison
Travaux forcés pour une femme prisonnière nue.



Liens : 


Enhenced interrogation.


Perverpeper le site des perversions lesbiennes.


lundi 26 avril 2021

Prisonnière nue en confinement et interrogatoire renforcé


Une femme prisonnière nue et humiliée attachée en bondage avec un sac sur la tête pour un interrogatoire très dur.
Prisonnière nue un sac sur la tête attachée sur une chaine pour l'interrogatoire musclé.


La prisonnière nue pendant l'interrogatoire renforcé.


C'est l'un des quartier de la prison militaire le plus terrible : celui ou sont regroupés et détenus les prisonniers de hautes valeurs susceptibles d'avoir des informations importantes pour les forces de la coalition militaires qui utilisent des méthodes et des techniques d'interrogatoires renforcés dans le but de mettre une pression maximale et de stressée le plus possible les prisonnier pour les briser et les faire parler. Même si la majorité des détenus sont de sexe masculins, certaines femmes sont soumises à ce traitements. L'une des soeurs d'un insurgé, Marwa est passée par là et le fait qu'elle soit une femme ne lui a pas faciliter les choses.


Bienvenue en Enfer, Welcome to hell.


La prisonnière est déshabillée totalement lors de son arrivée, et elle est laissée dans une  mini cellule cellule vide totalement à poil avec une cagoule sur la tête  et entravée aux poignets et aux chevilles. Deux interrogateurs viennent l'a voir, l'un lui pisse dessus,  et l'autre lui attrape les chevilles et l'a trainer dans l'urine toute jaune et dégoutante..


Après quelques heures passées dans ce trou, deux autres soldats viennent l'a prendre pour interrogatoire, elle est escortée nue dans les couloirs direction la salle d'interrogatoire.

Elle est à genoux, en face d'elle il y a un bureau avec deux hommes et une femme qu'elle ne peut pas identifier.


On installer des bracelets en cuir sur ses poignets, puis on les fixe à une barre horizontale, ses pieds touche à peine le sol, elle est à moitié suspendue, elle ne tient que par la pointe des pieds. on lui écarte les jambes et fixe les chevilles au sol. Tout le poids de son corps est sur ses mains et le bout de ses pieds, la douleur arrive rapidement dans cette position.


"Après ça tu parlera sale chienne !" Hurle un militaire.


L'autre soldat, un, afro américain d'une trentaine d'année, il passe d'abord le fouet lentement   sur le corps nu de la prisonnière, en lui passant sur le sexe,  tout en puis pinçant le bout des seins.


Interrogatoire musclé.


"Tu va aimer le fouet salope, et tu nous dira tout ce que tu sais pétasse."


Puis l'autre soldat frappe le premier coup.


Slaaap le coup est très sec et très fort, il laisse une marque sur le bas du dos de la détenue qui pousse un hurlement instantané.


Le tortionnaire attends quelques instant et lui donne un second coup aussi fort, un autre cri de la jeune femme.


Les frappes se répètent et chacune  laisse une trace zébrée, l'interrogateur frappe sur les fesses qui sont pleine de marques, mais vise aussi les cuisses, le dos et parfois les épaules.


La prisonnière  s'évanouie, on la réveil avec des claques.


La femme militaire, en retrait lui demande son nom.


"Je m'appelle Marwa X"


"Tu mens" répond l'une des deux brutes qui lui pince les seins.


"Ton métier ?"


"Ingénieur en génie civil"  dit elle épuisée.


"Tu mens" et le soudard lui claque les seins.


"Tu est notre ennemie salope, alors parles, dis nous comment tu a comploter contre nous !"


Epuisée, Elle répond qu'elle ne sait pas ce qu'ils veulent, elle était journaliste, jamais eu aucun rapport avec la politique.


"Ton frère, ou est il ?"


"Je ne sais pas"


"Menteuse, nous l'avons arrêté, il est en route vers Guantanamo."


"Quand l'a tu vu pour la dernière fois ?"


"Lors de la chute de la capitale, il m'a dit qu'il partait aider des blessés par les bombardements, puis il n'est jamais revenu."


"Tu mens !" et le malabar lui met une baffe sur les parties génitales.


"Je vois que tu ne coopère toujours pas pétasse" dit l'interrogatrice.


Toujours attachée et au bord de l'effondrement, les deux sbires sortent des pinces du tiroir d'un bureau, ils les installent d'abord sur chaque mamelons, ils en disposent d'autre sur toute l'auréole mammaires, puis ils s'en prenne à ses lèvres vaginales, vulves et clitoris.


La prisonnière les supplie de retirer les pinces, ça lui fait très mal.


"Nous les retirerons quand tu parlera et cessera de nous mentir. Si tu parles, nous te rendons tes vêtements, et tu aura un certain confort, mais si tu ne parle pas tu restera comme ça, nue et nous te questionneront régulièrement jusque a ce que tu parle." explique calmement la femme militaire chargée de délier les langues.


"Mais je ne sais rien  !" dit  la prisonnière en pleurant.


"Au début toutes les personnes entre nos mains disent ça, mais nous, nous voulons des informations. qui sont les amis de ton frère  ?"


"Je ne sais pas." répond encore Marwa.


"Quel lieu fréquentait-il ? qui sont ses amis ?"


"Il allait souvent au café du centre ville parler avec des étudiants , des jeunes." répond la jeune femme.


Tu nous donnera la liste des noms et des lieux.


Les américains ôtent les pinces du corps de la suspecte.


Nous allons vérifier tout ça. Reconduisez là en cellule.


Avant de la remettre en cellule d'isolement, Marwa est passée au jet froid par des militaires, ces derniers prennent un malin plaisir à viser ses seins et ses parties génitales. Sa cellule est nettoyée de la même manière, mais elle restera  nue, entravée, on lui retire juste sa cagoule avant de l'enfermer.


Elle reste enfermée à l'isolement, elle n'entend que des bruits, des cris, hurlements. On lui sert chaque jours une nourriture immondes.


Les interrogatoires se répètent, plus ou moins violent ou humiliants, toujours les mêmes questions, et les mêmes réponses.



samedi 17 avril 2021

Prisonnière nue soumise à une marche de la honte.

Lavender Rayne prisonnière nue parade dans la campagne
Femme forcée de parader toute nue et enchainée (bdsm, bondage).

L'armée pratique des sévices et des humiliations envers les femmes prisonnières.



Lorsque l'armée a pris le contrôle de cette région du nord est, plusieurs raids ont été lancés contre des villages et des maisons suspectées d'abriter des rebelles, mais sur place, les soldats n'ont trouver personnes, hormis quelques femmes, filles ou soeurs d'homme recherchés comme insurgés.



Les militaires ont arrêtées les femmes du village pour quelques vérifications, et certaines sont soumises à des sévices très humiliants. Des témoins rapporte qu'une femme âgée d'environs 32 ans, institutrice et responsable d'une association de défense du droit des travailleurs et épouse d'un opposant en fuite a été maltraiter et dégradé publiquement.



La jeune femme a été forcée de se déshabiller dans la rue par les soldats qui l'ont mise entièrement nue et sont même aller jusque à bruler ses vêtements et l'ont dépouiller de ses bijoux, de sa montre et de ses effets personnels.

La prisonnière à poil était aussi victime d'humiliation, les soldats lui ont imposer une marche de la honte (walking shame) elle a été bâillonnée, ses seins serrés et ligotés en bondage, et forcer de marcher toute nue dans le village et les campagnes aux alentours. 


Quelle humiliation c'était pour elle d'être exposée et exhibée comme du vulgaire bétails sous les rires et les moqueries des habitants ? 


Que doit elle ressentir pendant sa déchéance ?


Lorsqu'elle est arrivée au camp militaire, elle est devenue le jouet sexuel des soldats qui l'a giflait à volonté, lui crachaient dessus, pouvaient lui explorer les orifices , lui palper et pincer les seins, lui donner des fessées, l'enculer et la forcer a sucer tout les hommes du camp.



Liens : 


Interrogatoire musclé nue.


L'humiliation de l'incarcération.





jeudi 15 avril 2021

Prisonnière nue et interrogatoire musclé

Femme nue et soumise à décharge électrique en prison
Prisonnière nue menacée de torture électrique pendant l'interrogatoire.

Arrestation et interrogatoire musclé pour une prisonnière nue.


Sara a 28 ans, et est journaliste de profession. Issue de la moyenne bourgeoise , elle a eu l'opportunité de suivre des études supérieures alors que la majorité des autres femmes ont peut accès à l'éducation dans son pays.


Le métier de journaliste très difficile à exercer, mais en se censurant et évitant de déplaire au gouvernement en place, il est quand même possible d'exercer sa profession.


Son époux, ancien haut fonctionnaire, est porté disparue depuis la chute du gouvernement de ... renversé par les troupes américaine après seulement quelques semaines de guerre.


C'est le chaos lors de la conquête de la capitale par les troupes US,  SaRA reste dans un premier temps à chez elle pendant quelques semaines en espérant que l'ordre revienne. Les américains multiplient les raids dans son quartier. Constatant l'insécurité grandissante, elle décide de fuir vers un pays voisin, pour rejoindre des membres de sa famille et être en sécurité.


Avant de partir, elle se rend dans un bâtiment du gouvernement provisoire chapeauté par les américains, pour récupérer des papiers concernant sa propriété et s'assurer que tout se passera bien en son absence, et recruter des gardes pour sa maison. Elle tombe sur un  secrétaire américain, qui prend ses papiers d'identité , pendant que Sara passe dans les archives s'assurer que ses titres de propriété soient en règle, et en faire des photocopies.


Arrestation et détention arbitraire.


Une fois ces paperasses terminés, elle retourne à l'accueil, ou l'américain lui dit d'attendre un peu, et cherche à savoir ce qu'elle compte faire dans les jours qui viennent. Le yankee lui explique que ses papiers n'ont pas l'air en règle, et qu'elle doit attendre pour des vérifications. 


Après deux heures d'attentes, un humvee arrive avec plusieurs soldats. La jeune femme est officiellement en état d'arrestation. Elle se retrouve menottée les mains dans le dos, et on lui met une capuche sur la tête, et la dépose à l'arrière du véhicule. Elle a beaux protester et demander des explications, rien n'y fait, on lui dis de fermer sa gueule et de rester calme.


Le voyage se passe en silence. Elle est conduite dans une prison géré par l'armée. 

Elle est remise à deux gardiennes en treillis militaire et casquettes, et conduite  manu militari dans un bâtiment à l'intérieur du camp de détention. Les deux femmes sont froides, l'air dures, athlétique avec des démarches robotisés.

Elles déposent la prisonnière dans une salle, ou des soldates l'attendent.


La soldate en chef est une grande et blonde en tenue militaire, et responsable de la police militaire chargée du renseignement, elle a entre 35 et 40 ans, musclée, environs 1.75m. Elle dit à Sara qu'elle l'a retient ici pour quelques vérifications pour une durée indéterminée.


Puis elle interroge la prisonnière.


Es tu bien Sara X ?


Oui.


Quel est ton âge ?


28 ans



Es tu mariée ?


Oui


Qui est ton époux ?


Yanis Y


A tu des enfants ?


Non ?


Ta profession ?


journaliste


Qui es ton employeur ?


Un médias spécialisé dans l'actualité et le sport.


La profession de ton mari ?


Fonctionnaire


Ou est il ?


Je ne sais pas, il a disparu depuis la chute de la capitale. Il m'a dit qu'il passerait et n'est jamais rentrer.


Une idée d'ou il pourrait se trouver ?


Non aucune. Avez vous une idée ?


Hum c'est moi qui pose les questions ici, si j'avais une idée de la réponse je ne te le demanderait pas. 


Etes vous enceinte ?


Non je ne le suis pas.


problèmes de santé ?


Rien de spécial non plus.


Je vois  dans votre dossier que vous avez séjourner au USA, dans quel but ?


J'y suis aller pour un stage de journalisme, et j'y est  travailler pour un petit journal  pendant quelques mois. Je suis rester dans ce pays un ans et demi.


Votre époux était il avec vous ?


Il venait me voir tout les deux à trois mois.


Que faisait il  chez nous ?


Il venait en touriste et pour me tenir compagnie, il  gagne bien sa vie, il pouvait se permettre de voyager facilement. 


A tu aimer ton séjours  chez nous?


Oui beaucoup.


Ah oui dans quel endroit a tu vécue ?


Près de Chicago


Pourquoi suis je là ?


Difficile de te dire maintenant, Je ne sais pas. Peut être  devra tu éclairer certaines  choses pour prouver que tu es innocente.  Mais c'est moi qui pose les questions ici. Je reprend, pourquoi après avoir passer tout ce temps là chez nous, tu es rentrée ici ?


Mon mari ne pouvait pas être médecin là bas, enfin si, mais il lui aurait fallu reprendre toute ces études là bas, pas le temps ni les moyens.


Pense tu qu'il aurait eu honte de gagner moins d'argent que toi ?


Oui je le pense, il disait aussi vouloir aider sa population, son pays.


Que pense tu de l'idée de quitter le pays ?


C'est le chaos ici, plus rien ne fonctionne. Donc je souhaite partir.


La discussion est terminée pour le moment, nous la reprendrons plus tard conclue la soldate.


Une autre militaire demande à Sara de vider ses poches, de donner portefeuille, montre, bijoux, boucle d'oreilles, clés, argent liquide et tout autre objet personnel. Les effets sont noté, consignés et mis dans un sachet sous scellé et ranger dans une consigne. "On vous les rendra à la sortie. ajoute l'agent."


Nudité forcée, brimades et humiliations.



Les militaires se présente, et invite Sara à se déshabiller.  Elle leur en demande la raison, et la responsable des opérations lui répond que la procédure d'entrée exige qu'on examine, fouille et inspecte les prisonniers et les prisonnières. Sara demande à nouveaux pourquoi, Jane lui répond qu'elles font leur travail, et que tout le monde est soumis à la même procédure. Les femmes passées ici avant elle y ont toute passées. Elle ajoute qu'il n'y a rien d'humiliant , et que si la détenue fait la difficile, elles lui retireront et découperont ses vêtements de force, et que finalement elle sera nue, alors on invite gentiment chaque nouvelles prisonnières à  comprendre qu'elle ferait mieux de coopérer pour que tout ce passe bien.


Bondage, nudité et prisonnière nue enchainée.
Humiliation et nudité forcée pour une femme en prison.



La jeune femme, après quelques hésitations,  comprends très vite qu'elle ne peut rien faire face à ces soldates entrainées et baraquées, toute résistance est futile. 

Elle retire ses chaussures, une paire de ballerine et découvre ses petits pieds nus vernis, puis défait son hijab noir, couvre chef religieux, pour découvrir une belle et longue chevelure noire légèrement bouclé, pourquoi les femmes arabes portent elles cela dit Jane, ici tu n'en aura pas besoin, on est entre femmes. La surveillante en chef  remet affaires à l'une des gardienne qui les enregistre minutieusement. Sara retire aussi son abaya beige (longue robe traditionnel) , bouton par bouton. Jane  lui dit qu'elle a été éduquée dans une église protestante très stricte, mais qu'elle prends ses distance sa foi.


La prisonnière demande à nouveau pourquoi elle est là,  en pleurant, la commandante lui répond qu'on lui dira peut être en temps voulus. La détenue est en sous vêtement  blanc et sexy.


Après quelques hésitations,Sara demande si elle peut conserver le minimum, qu'être nue la dérange. Les soldats sont stricts  lui dit de "tout retirer, car une inspection se déroule dans la nudité totale". La jeune fille indécise défait son soutien gorge qui laisse ses seins à l'air. Puis elle se débarrasse de son ultime sous vêtement, la militaire prend et observe sa petite culotte en dentelle blanche," Tu  cache un attirail sacrément sexy" lui dit elle tout en reniflant le sous vêtement.


La prisonnière est nue devant ses geôlières. Elle doit d'abord tourner sur elle même, les gardiennes cherchent des marques et signes distinctif comme des cicatrices, tatouages ou tout autres traces. Sara n'a pas de tatouage, mais possède une cicatrice suite à une opération de l'appendicite.


Sara est mesurée et pesée nue, 1.70m pour 57 kilos.


"Main sur la nuque !" ordonne une gardienne. pendant que les habits et affaires de la détenue sont vérifiés par une autre soldate.


Elles lui font ensuite défaire et soulever sa chevelure, qui est inspecté minutieusement. "Cheveux noir long légèrement frisé" notent elles. Puis l'une des miliaires avec une main gantée regarde et inspecte ses oreilles, regarde avec une lampe dans les narines, observe sa dentition et fouille dans la bouche. "RAS concernant la bouche". "Yeux marrons très foncé".



Une soldate vient palper les seins de la prisonnières, puis les soulève, ils sont de taille moyenne avec des tétons rosés. Puis la prisonnière doit soulever les bras pour montrer ses aisselles, le nombril est aussi vérifié.


La détenue est ensuite soumise à un outrage de plus, on lui demande de sautiller nue devant les militaires, puis de se pencher en avant en  écartant les fesses et toussant fort plusieurs fois, elles vont même jusque à lui imposer de prendre des positions de squats et de tousser pour vérifier que rien ne tombe se ses orifices génitaux et anaux. La détenue doit aussi lever ses pieds, qui sont inspecter, la plante est palpée, et les orteils écarté l'un après l'autres.


Des femmes soldates lesbiennes.



Une autre militaire  lui met son doigt lubrifier dans l'anus et le vagin et va très profond.

"Hum, mais elle mouille,  il faut faire des vérifications supplémentaires, peut être qu'il n'y avait pas besoin d'utiliser du lubrifiant car il y en a beaucoup de cyprine  et c'est un lubrifiant naturel et écologique.". dit la soldate.


Sara est allongée sur une table, ou tout d'abord, les américaines lui rase la chatte, car elles ont pour mission d'apporter la civilisation, et elles estiment que ça en fait partie. Si elle ne coopère pas, on  menace de lui raser la tête !


La pauvre prisonnière voit son vagin passer à la tondeuse. 

"Voilà une chatte fraiche toute humide et appétissante" dit Jane.


Les gardiennes se mettent à lui lécher le vagin à tour de rôle, Puis elle sent 4 bouches et 4 langues qui lui embrasse et suce tout le corps, les lèvres de ces lesbiennes se baladent sur ses seins, entres ses doigts de pieds.


Les soldates se déshabillent partiellement et découvrent leurs seins que Sara lèche et suce. La soldate blonde embrasse le ventre et le nombril de la détenue, et prends un de ses tétons entre les lèvres, qu'elle aspire et suce longuement , et malaxe l'autre seins avec son autre  mains.


La blonde écarte les cuisses de la jeune femme, et l'a couvre de baiser, puis elle fait des bisous sur les petites lèvres de l'organe sexuel de la prisonnière, avant d'y enfoncer un doigts et d'ouvrir le sexe et lui aspirer le clitoris avec la bouche. Elle le mâchouille, le mordille le suce longuement   jusque à ce que la prisonnière ait des spasmes orgasmiques, une soldate lesbienne  l'embrasse goulument.



Sara s'écroule de plaisir dans de long gémissements.



Après cette entrée en matière,  notre prisonnière se voit remettre un bracelet d'identification avec un numéro d'identifiant qu'elle doit retenir et qui lui sert désormais d'identité. On lui remet ensuite un uniforme orange (sans sous vêtements) de prisonnière comme à Guantanamo et une pair de tongs.




Liens :



Prisonnière nue tondue (tête rasée et humiliée).




Nudité forcée et sévices en prison.