dimanche 28 janvier 2024

La stricte discipline de la prison pour femme.

 

Corvée et travaux forcés en prison
Travail forcé , une prisonnière nue lave.

La prison doit punir et dresser. 

Dans la prison d'Abou Ghraib, pendant la seconde guerre du golfe, les forces armée américaines détiennent des milliers de prisonniers irakiens, dont des femmes. Les conditions de détentions sont très strictes et sévères. Hoda, une irakienne de 33 ans, arrêtée par les forces américaines pour soupçon de financement de la rébellion et pour ses liens avec l'ancien régime raconte dans un journal avoir subie un traitement difficile.
 
La trentenaire s'est retrouvé emprisonnée à Abou Ghraib pendant 5 mois, elle affirme avoir vécu des moments éprouvants et reste choquée même après sa libération.

Dans son long témoignage que nous résumerons ici, elle rapporte que les soldats américains ont fait du secteur ou sont détenues les femmes "un enfer", "une machine à broyer" et que tout est fait pour avilir et "dresser" les prisonnières.
 
Elle nous apprend que les prisonnières irakiennes sont gardées en confinement solitaire dans de petites cellules d'un mètre sur deux, sombre, sans confort (pas de matelas, toilette à la turque, nourriture fade etc.). Avec l'interdiction de parler sans autorisation, l'obligation de baisser les yeux devant les américains etc.

Comme pour les  prisonniers de sexe masculin, Hoda doit passer son séjour nue. Les prisonnières musulmanes et chrétiennes sont toutes interdites de porter des vêtements. Les américains pour dresser et "décoincer "les détenues, dont la pudeur est jugées "archaïque" et contraire à la culture démocratique ont fait de la prison "un centre nudiste".
 
Hoda a vue ses vêtements être découpés et détruit par les gardiens en arrivant, sa culotte volée, et ses chaussures confisquées.

Les femmes comme elle qui porte le voile et de longue robe arabe traditionnels sont systématiquement déshabiller complétement devant des hommes et en publique. Hoda s'est faite mettre à poil devant tout le monde, les gardiens sont très rudes et ordonnent en hurlant en arabe et en anglais "A poil !" "Allez vite salope! ", "déshabillez vous", "faut tout enlever !"
"Si vous ne supportez pas de vous trimbaler les fesses à l'air fallait pas être des terroristes !".

Les gardes sont sans aucun respect et ne ressentent aucune pitié ni empathie lorsqu'une femme arrive. C'est même avec un plaisir sadique non dissimulé qu'ils humilient les prisonnières. La nudité forcée et les fouilles des cavités sont l'une des bases du "traitement". 
"Vous êtes peut être pudique, mais nous, on vous met à poil, on vous interdit de porter vos vêtements ridicules et obscurantistes, vous aimez vos hijabs, vos voiles, vos larges robes, et bien ici, vous êtes sans rien ! Vos chattes sont à l'air et vous vous promenez cul nu".

 
"Salope, on va t'apprendre à faire la pudique, tu retire tout, tes chaussures et tes chaussettes aussi."
 
Hoda est ensuite inspectée de la tête aux pieds avec fouille des cavités (doigt ganté et lubrifié dans le cul et la chatte). Les détenues sont très régulièrement soumises à des fouilles anales et vaginales.

Les détenues sont aussi photographiées nues et pieds nus, subissent un prélèvement d'ADN, des relevées d'empreinte digitales.

Les femmes pendant leur période de détention doivent rester nues, elles ont l'interdiction de porter des vêtements ou de couvrir leurs corps.

Hoda explique que cette politique de nudité forcée est ordonnée par les plus hautes sphères dirigeantes de la prison. Un gardien lui aurait expliquer que les ordres sont de forcer les prisonnières à rester nues en permanence à la fois pour des raisons de sécurité et d'économie (absence de moyens de fournir des uniformes). Mais aussi pour instrumentaliser leurs craintes culturels et religieuses. Les femmes arabes et musulmanes doivent être rééduquées et reconditionnées pour perdre toute pudeur et modestie.
 
La nudité totale et permanente des prisonnières est la règle ici. Hoda nous dit que toutes les femmes sans exception sont obligées de s'exhiber en permanence. 
 
Les repas sont distribués les matin, midi et soir, et une femme est chargée de les servir aux autres détenus, hommes et femmes. Hoda était  régulièrement obligée de servir nue certains homme de son quartier qui l'ont reconnue. 
 
Les américains aiment forcer les femmes à être nues devant leurs proches.
 
Les douches sont collectives, et se déroulent devant les gardiens qui ont le droit de vérifier que les femmes se lavent bien la chatte et les fesses. 

En plus des distribution, les femmes doivent aussi "travailler" et faire toutes les corvées nécessaires au bon fonctionnement et à la propreté de la prison.

Les prisonnières nues récurent le sol, le nettoient, passent le balais et la serpillière sur le sol, lavent les douches. Tout doit être nickel sous peine de sanction collectives et de punitions.

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dimanche 21 janvier 2024

Une femme forcée de parader nue.

 

Walk of shame, naked female prisoner paraded naked
Marche de la honte (Walking Shame) pour une prisonnière.

Punition et humiliations publiques en temps de guerre.



Nous sommes  sur une route une mâtiné de septembre 2004 en Irak dans la périphérie de la capitale Baghdad pendant l'occupation américaine de ce pays (2004/2011). Nous prenons la direction d'une petite ville ou nous avons rendez vous avec l'institutrice d'une école qui a appeler les journalistes pour dénoncer le comportement irrespectueux des soldats américains dans la région et leurs méfaits.(bruits, violence, racket, etc.).

Soudain, de loin, nous apercevons une voiture de type gros SUV 4X4 militarisé avec une silhouette humaine derrière.

Quand nous sommes plus proche nous nous rendons compte qu'une femme totalement nue est tenue en laisse et contrainte de marcher sur le bas coté de la route pour une sorte de "Parade" organisée par des militaires occupants.

Nous constatons avec effarement que la femme exhibée est notre contact ! La pauvre femme est trainée nue et pieds nus dans les rues et sur les routes autour de sa ville.

Pour faire , taire toute contestation et terroriser  la population, les soldats usent de techniques basées sur l’humiliation et la nudité.
 

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samedi 20 janvier 2024

Les prisonnières nues humiliées collectivement par les gardes.


Les gardes de la prison d'Abou Ghraib humilient des femmes prisonnières nues
Groupe de femmes nues et humiliées par les gardiens de prison.

 Un groupe de prisonnières nues en prison.

Pendant la seconde guerre du golfe, en 2004, les forces américaines détiennent des milliers de prisonniers et prisonnières dans la tristement célèbre prison d'Abou Ghraib près de Bagdad, la capitale de l'Irak.
 
A l'intérieur de la partie dure de la prison, dans une aile  d'isolement ou sont retenues les femmes irakiennes. Les responsables des interrogatoires demandent régulièrement aux gardes et soldats américains d'humilier et maltraiter régulièrement les prisonnières.
 
Ces derniers appliquent les consignes sans état d'âme.

L'un des "conseils" est d'obliger les femmes à se mettre nues et les  de ridiculiser. La majorité des détenues sont musulmane, culturellement très pudique, avec des conviction religieuses fortes. Elles portent en général de longue robes traditionnelles arabe, et des voiles (hijab, foulard) par respect de leur religion.
Les gardes les obligent à rester à poil, leur interdisent de porter des vêtements et des chaussures.
 
L'un des surveillant militaire témoigne anonymement :  "Les supérieurs nous ont féliciter plusieurs fois pour notre travail. Les femmes arrivaient complétement voilées et couvertes, et elles étaient rapidement déshabillées, terrifiées, sans défenses et humiliées. Bien sur, il y en a toujours une qui nous supplie de lui laisser au moins ses sous vêtements, certaines aussi prétendent avoir froid aux pieds et que le sol est sale pour conserver leurs chaussettes. Et bien nos supérieurs peuvent nous rappeler à l'ordre si on fait pas attention, au début certains gardes un peu négligents avaient par mégardes parfois autorisées certaines irakiennes à garder des chaussettes, ou même une culotte.  Par exemple une jolie détenue avait prétendu avoir froid aux pieds et a été autorisé par un garde étourdi à garder ses chaussettes, une autre portait une culotte de contrebande. Nos responsables ont vite décider de mettre de l'ordre et de réunir toute les femmes, 100% nues, celle avec la culotte avait été fouettée publiquement pour possession d'objet illicites...

Bref depuis ces quelques rappels à l'ordre  de la part des commandants, les prisonnières sont vraiment nues. Lors des appels, chaque femme doit se présenter par son numéro de matricule et de cellule, sa section,et dire en arabe ou en anglais (pour les anglophones) qu'elle se présente "nue, pieds nus, avec le chatte et l'anus ouvert et les seins visibles en toute circonstances."

Pour les humilier, les gardiens les réunissaient dans les couloirs pour leur faire faire des exercices sportifs, les pauvres femmes devaient faire des jumping jack, des flexion extension, des burpees, des montés de genoux, sautiller, marcher en canard jusque à l'épuisement. Les seins et les grosses fesses de certaines prisonnières bougeaient dans tous les sens ce qui faisaient vraiment marrer les gardiens.

Une petite grosse irakienne était souvent victime de la méchanceté des gardes, ils l'a trainait en laisse, l'obligeait a lécher le sol, à faire pipi devant eux, à aboyer comme une chienne.
 
Les prisonnières doivent chaque soir s'aligner dans les corridors de la section pour être "dresser" , en général elles doivent l'une après l'autre mettre les mains sur leurs têtes, tourner sur elles même, voir danser à poil pour distraire les militaires, prendre des postures obscènes et dégradantes.
 
 
 Liens :
 
 
 

dimanche 14 janvier 2024

Le bizutage des étudiantes

 

Nudité forcée et bizutage étudiant.
Filles marchent dans les rues lors du bizutage.

Les filles doivent parader nue dans le centre ville pendant le bizutage traditionnel.


Chaque début d'année universitaire, en septembre et en octobre, des bizutages ont lieux, souvent officieusement soutenu par les institution locale et encouragé comme tradition faisant partie du patrimoine.

Dans ce petit village du sud de la France, les filles de premières années d'études supérieurs sont systématiquement soumises de gré ou de force aux épreuves du bizutage.

Les habitants, les commerçants et les touristes ont pour habitude de voir des jeunes filles déambuler nues dans les rues et les magasins du centre ville.

Le premier samedi de la rentré, les anciens ont décrété que les filles devaient être réunis dans les locaux universitaires, nous assistons parfois à de véritable traque, ou les anciens fouillent toutes les résidences du CROUS, les cantines, les bibliothèque, les salles de cours, et tout le campus pour y trouver toute les primo arrivantes.

Le système est bien rodé, avec la complicité du personnel, et des autorités,  quasiment aucune filles ne peut y échapper. 

Les filles sont prisent par petit groupe, au début elles sont en général assez détendues et amusées, mais quand elles arrivent dans l'amphi principal, ou le conseil des gardiens de la tradition (Le BDE Bureau Des Étudiants) a décider de les réunir , et ou elle découvrent que celles arrivées avant elles sont totalement nues et exhibées, les plus pudiques pleurent ou se mettent à fortement angoisser.

L'ambiance est terrible, les nouvelles sont "inviter" à enlever leurs vêtements devant tout le monde, certains anciens hurlent "A poil !" d'autre incitent "gentiment" avec un sourire narquois les filles à obéir, car de toute façon elles devront être nues.

 

Le strip tease se déroule sur l'estrade devant le public, les filles doivent tout enlever et présenter leurs seins, leurs fesses, leurs chattes pour se présenter. Gare aux pudiques, leurs vêtements sont arrachés ou découpés et sont bien plus dresser que les autres.

Les filles doivent même retirer leurs chaussures, chaussettes, socquettes, bas etc. Les filles qui oublient d'être pieds nus sont parfois humilier et sanctionner.


Chaque nouvelles doit s'identifier : donner son nom, prénom, classe, et ouvrir ses fesses  et exposer son anus et sa chatte sous les rires des étudiants pervers.

Certaines pleurent, puis les filles doivent défiler et parader nues dans tout le campus, mais aussi dans le centre ville pour amuser les touristes.


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Nue au bar pendant le bizutage.


Nudité forcée pendant le bizutage.


mercredi 10 janvier 2024

Prisonnière mise à nue et forcée de parader dans la honte.

 

Prisonnière parade nue en prison.
Une femme trainée nue dans les couloirs de la prison.

Nous savons peu de choses sur la zone du centre de détention d'Abou Ghraib ou sont retenues les femmes irakiennes faites prisonnières par les troupes américaines dans le cadre de l'occupation militaire. Une aile de la partie en dure de la prison serait le lieu de détention des femmes.


La communication avec le monde extérieur est très restreinte, les avocats et observateurs internationaux n'y ont que très peu accès et les communications sont censurées. Seul des témoignages des familles et des visiteurs anonymes, et de quelques anciennes détenues délivrés morceau par morceau dans la presse informent le grand public.


Les informations  et les images ayant fuitées laissent penserque les conditions de détention des femmes sont très dures, voire inhumaine et pouvant s'apparenter à de la torture et en contradiction avec les conventions de Genève.


Le discipline y est stricte et impitoyable, l'humiliation et la déshumanisation sont au coeur du traitement des prisonnières, avec la nudité forcée, les manipulation du sommeil, le régime alimentaire restreint, et les punitions et châtiment corporels sont régulièrement administrés dans le plus total arbitraire. réguliers et délivrer arbitrairement.


Ces méthodes sont approuvés par les plus haute autorités militaires et du renseignement en vue de préparer les interrogatoires et au reconditionnement mental et psychique des prisonnières.


Sur une des photos parue dans la presse, nous pouvons voir , dans un couloir l'un des interrogateurs tirer par une laisse une prisonnière totalement nue, les yeux bandés et menottée les mains dans le dos conduite en salle d'interrogatoire.


Une ONG de défense des droit de l'homme pense avoir identifier la prisonnière nue sur le cliché. Ce serait Nora R, une commerçante, arrêtée  pour une erreur d'identité lors d'un raid sur son quartier.


Elle est connue comme étant très sympathique, pudique, réservée, elle porte une tenue traditionnel arabe et le hijab comme toute bonne musulmane. C'est une femme respectée dans son quartier. 


Son cas révèle une politique carcérale basée sur l'humiliation et la dégradation en utilisant les tabous culturels et religieux des prisonniers pour les avilir le plus possible. Les militaires lui on enlever toute dignité en l'obligeant a se mettre complètement nue, non seulement devant des gardes hommes, mais aussi en public. 


L'humiliation de la fouille est considéré comme une part essentielle du dressage et conditionnement de la nouvelle détenue. Nora est obligée de remettre ses affaires et tout ses vêtements aux gardes qui n'en perdent pas une miette et l'ont obliger à se tourner nue sur elle même et à sautiller pendant qu'ils se marraient  en voyant ses seins partir dans tout les sens, à faire des squats et tousser, marcher comme un canard  et ouvrir ses fesses et montrer son anus dans l'hilarité générale.


La prisonnière doit aussi défiler nue très lentement dans toute la prison avant d'être conduite en cellule. C'est une tradition auquel aucune femme n'échappent pas  et que les américains aiment car voir une femme bien élevée, respectable, pieuse, se retrouvée entièrement à poil, pieds nus, sans défense et complètement exposée  à la vue de tous ! C'est une épreuve  très dégradante et inimaginable qui permet de les briser moralement et psychologiquement.


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Femme dégradée et humiliée en prison.


dimanche 7 janvier 2024

Nudité, contrainte, humiliations en prison.

Nue et enchainée en isolment dans la prison.
Prisonnière nue et enchainée en confinement solitaire.

 Femme prisonnière nue en confinement solitaire.

 En 2004, pendant la seconde guerre du golfe ou les USA ont envahi l'Irak, un scandale concernant le traitement des prisonniers irakiens et irakiennes à éclaté dans la prison d'Abou Ghraib dans la région de Baghdad.

Dans partie isolement de la prison ou sont retenus les "détenus de haute valeurs", c'est à dire toutes personnes suspectées de liens avec l'ancien régime, de lies avec des groupes terroristes, de détenir des informations stratégiques sur des personnes recherché, des sources de financement de la rébellion, sur des membres de l'ancien régime en fuite, sont regroupées dans une aile de la prison en isolement dans des conditions de détentions très strictes.


Le cas d'une ancienne fonctionnaire irakienne du ministère des finances, Warda J, incarcérée plusieurs mois en confinement solitaire pour des liens familiaux avec un ancien ministre recherché est révélateur. Âgée d'une trentaine d'années, la détenue en arrivant a été soumise à une fouille à nue très stricte avec examen des cavités. Les gardiens obligent chaque femmes  arrivante à se mettre nue et leur  examinent l'anus, le vagin, la bouche, sous les seins, sous le aisselles, le nombril, les plantes des pieds, les orteils etc. pour s'assurer qu'elles ne dissimulent rien d'illégal ou de dangereux.


Les responsables de la prison, les interrogateurs de la CIA et de la police militaire  incitent les gardiens à laisser nus et enchainés les prisonniers. Pour Warda, une femme irakienne assez pieuse et conservatrice, la nudité est quelque chose de difficile à vivre et à supporter.

La technique d'interrogatoire dite de "nudité forcée" est appréciée des gardes et responsables, c'est officiellement une technique recommandée de coercition physique et psychologique pour rendre docile et coopératifs les prisonniers, et des vêtements ou des objets de confort peuvent être remis contre des informations (une forme de chantage).

Les dirigeants du secteur d'isolement ont décider que Warda et les autres femmes incarcérées devaient être soumise à la nudité complète et permanente , après la fouille aucun vêtements ne doivent être remis aux détenues.

Warda doit passer son séjour en détention nue, pieds nus et enchainée. Le régime de détention est une épreuve difficile à passer. Les décideurs insistent pour que Warda ait l'interdiction de couvrir son corps ou même de porter des chaussures minimalistes comme des tongs. La nudité est imposée aux femmes musulmanes pour accroitre  le sentiment d'humiliation et montrer la domination américaine.


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Mise à nue, discipline, humiliation comme pratiques officielles pour les prisonnières.



samedi 6 janvier 2024

Leaks GTA 6: Lucia en prison, fouille à nue (Strip Search) et douche.

 

Prison de Vice City Etat de Leonida, fouille a nue, douche et humiliation pour Lucia et les prisonnières.
   GTA 6: Lucia fouillée et douche nue  devant les gardiens dans la prison.

GTA 6 : Fouille à nu (strip search) humiliation, nudité forcée, douche collective nue dans la prison de Lucia.

Depuis la parution du premier trailer concernant la prochaine sortie du jeux vidéos le plus attendu de tous les temps, Grand Theft Auto VI pour 2025, qui sortira sur PS5, X BOX serie X et S, et plus tard sur PC. La folie s'est emparer des internautes.

Plusieurs révélations leaks sont sorties et elles vont intéressés les joueurs pervers. Rockstar Games, pour pousser le réalisme et l'immersion, a décider que Lucia lors des phases du jeux ou elle est incarcérée dans une prison de Vice City (Miami) dans l'état de Leonida ( Floride) devra faire face à la cruauté et à la perversion des gardiens et des autres prisonnières.

 En prison pour un braquage ayant mal tournée, Lucia le personnage principale du prochain GTA sera soumise aux humiliantes procédures des prison US. En effet, les fouilles à corps y sont très fréquentes avec fouille anale et vaginale, les douches collectives nues sont obligatoire devant les gardiens et autres prisonnières, Lucia devra porter un uniforme orange de prisonnière, sans culotte, ni soutien gorge, et pieds nus (ou avec des tongs).


De plus d'après certaines révélation sur le scénario un des gardiens pervers obligeraient les femmes prisonnières à avoir des rapports lesbiens, et les prisonnières seraient aussi fessées.


Bref le jeux de Rockstar est très attendu pour 2025.


Grand Theft Auto VI Trailer 1


Les détenues sont humiliées tous les jours


Humiliation en prison : des femmes pudiques doivent se déshabiller nues.
Femmes pudiques forcées d'être nues en public.

La situation très difficiles des femmes prisonnières des forces américaine.

En juillet 2004, pendant la seconde guerre en Irak, éclate le scandale des tortures et mauvais traitements qu'infligent les soldats américains aux détenus irakien dans la prison d'Abou Ghraib dans les environs de la capitale, Baghdad. Plusieurs journalistes enquêtent et ont put rencontrer et interroger des anciennes femmes prisonnières irakiennes qui témoignent du traitement inhumain et dégradant imposé aux femmes.


L'une des ancienne prisonnière raconte sous anonymat que les gardiens militaires américains hommes et femmes traitent durement les femmes et les humilient chaque jours.


Les femmes irakiennes arabe et musulmane sont dévoilées et complètement déshabillées devant des hommes pour mieux les humilier. Elle reste choquée comme toutes les autres détenues par les fouilles à nu et les fouilles des cavité  répétées parfois plusieurs fois par jours, et qui se déroulent devant des hommes.

Les prisonnières sont interdites de porter des vêtements et des chaussures, prennent des douches collectives nues sous les yeux des gardiens, sont photographiées à poil, doivent parader nues devant les autres prisonniers et faire des taches diverses (lavage des sols, corvées, , préparation et distribution des repas etc.).

Les femmes ici sont souvent des institutrice, professeurs, bourgeoises journaliste, paysannes et les américains leur imposent d'être nue et pieds nus en permanence, sans pudeur, pour les punir et les dresser.

La nudité et les fouilles à nu sont dans cette prison des punitions cruelles et sans pitié imposées a des femmes souvent innocentes. Pour les gardiens et autorité pénitentiaires, les détenues doivent toutes être "traitées" et leur traitement est "amplement mérité" à partie du moment ou elles ont été arrêtées.

Les surveillants sont strictes et aiment dominer et humilier les captives de guerre, les obliger de rester nues devant tout le monde, les forcer à montrer leurs grosses fesses, leurs seins et chattes avec l'interdiction de les cacher sous peine de punition.

Les américains sont fiers de dominer les femmes pudiques, de les forcer a s'exposer en tenant des propos pro nudiste, chaque prisonnière doit répéter en arabe et en anglais différents propos du type "Je vous remercie de me garder nue". Les gardiens interrogent régulièrement les femmes pour les railler "Sur le fait qu'elles de baladent les fesses à l'air".



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mardi 2 janvier 2024

Des prisonnières gardées nues et enchainées en prison de haute sécurité

Nudité forcée dressage et discipline en prison
Nue et  enchainée en cellule de prison.


Femme toute nue et humiliée en détention.

Lorsque l'équipe d'observateur internationaux du CICR (Comité International de la Croix/Croissant Rouge) arrivant dans l'aile de la prison d'Abou Ghraib en Irak en mars 2004 pour visiter la prisonnière irakienne prénommée Zeina, et escorté par deux militaire américains en uniforme, un homme blanc et une femme noire, tous les deux ont l'air stricts et sévères.

La première chose qu'ils remarquent et qui les choquent, est que la prisonnière est totalement nue ! Et elle l'est depuis qu'elle est entre les mains des gardiens de cette prison. Elle a été amené ici  il y a trois semaine , et la première chose qu'ils ont fait c'est de la déshabiller.

Les deux gardes trouvent ça banal et normal d'avoir des prisonniers à poil, et que ça fait partie du processus standard que de fouiller les détenus sans aucun vêtements et de les garder nus pour les punir et mieux les contrôler.

Les rumeurs sont donc réelles, et les femmes ne sont pas épargnées pas ces traitements dégradants. Zeina pour ceux qui l'a connaisse, est une jeune femme très pudique, assez religieuse. Elle est une jeune femme arabe musulmane assez conservatrice, qui porte le voile islamique (hijab) et de longue robe traditionnelles par pudeur et respect des normes de sa religion.


C'est difficile d'imaginer l'humiliation qu'elle a du ressentir lorsqu'elle s'est retrouvée toute nue. Les gardes expliquent le plus naturellement du monde que ça n'a rien d'anormal et que certes c'est peut être un peu dégradant mais ce nest pas de la torture ni une forme de mauvais traitement.

"Oui on les humilie un peu, mais ça leur fait pas de mal, ça leur apprend l'humilité et puis la prison, c'est pour punir non ?" remarque le gardien.

"Et puis celle là ça lui a fait tout drôle se se retrouver à poil, comme la plupart des femmes qui arrivent ici, avec leurs accoutrements de la tête aux pieds, et bien elles doivent tout retirer avec nous !"



La nudité fait partie intégrante de la punition.
Nue, pieds nus et sans pudeur derrière les barreaux de sa cellule de prison.


Les gardes en effet ont pour consigne de mettre complètement nues les prisonnières et appliquent cette ordre sans le moindre état d'âme. Ils sont même pour la plupart très favorable à cette méthode de contrôle pour des raisons de sécurité mais pas seulement.

Tout est pensé pour humilier et détruire l'égo des femmes détenues, et leurs craintes et tabous culturels et religieux sont exploités aux maximum.  Les gardiens font tout pour pour les dresser et bafouer toute leur pudeur et dignité.

Zeina est gardée nue  et enchainée dans une cellule avec barreaux, ouvertes, dont le couloir est éclairé en permanence pour que les gardiens et les passants puissent la voir à tout moment, elle ne peut même pas faire même faire ses besoins sans que les spectateurs puissent la regarder ! Toute intimité lui est interdite.

Lorsque les gardes l'oblige à sortir de cellule, nue et pieds nus, escortée lentement de façon à ce que le plus de monde possible puisse voir Zeina à poil se balader les fesses et les seins à l'air. 

Les commentaires sont souvent moqueurs, obscènes et grossiers.


Zeina est aussi obligée de remercier régulièrement et publiquement  les américains de l'avoir libérée et apporter la civilisation la démocratie, et de lui interdire de porter des vêtements. Pour les gardiens c'est très important de voir les femmes faire leur auto critique et remettre en cause leur culture et religion.

"Merci aux glorieux civilisateurs américains, les représentant du monde libre, garant de l'ordre international de m'avoir dévoilée et dépouillée de mes vêtements archaïques, je ne mérite pas de porter des vêtements et des chaussures et je suis une détenue modèle, nue et pieds nus en signe de modestie et de respect."

"Merci d'avoir détruit mes vêtements, merci de me soumettre à des fouilles des cavités régulièrement pour ma propre sécurité et me rappeler ma place"

Zeina doit aussi écarter régulièrement ses fesses et montrer son anus pour des contrôle de sécurité.


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lundi 1 janvier 2024

Portrait de Zakia ancienne prisonnière


La nudité forcée en prison
Une prisonnière parade nue en prison.

La détenue 761832-F de la prison d'Abou Ghraib.


Zakia R est née à Baghdad dans la capitale de l'Irak au début des années 1980 dans une famille bourgeoise sunnite privilégiée par le pouvoir en place. 

Elle a 3 frères et deux soeurs. C'est une bonne musulmane issue d'une famille arabe conservatrice, bien éduquée, qui porte le voile islamique (hijab).

Elle a fait des études de droit et de gestion d'entreprise à l'université avant de travailler pour le ministère des finances.

Lors de l'invasion américaine de l'Irak en 2003 et du renversement du régime en place, sa famille a fui le pays vers la Jordanie,  et voulant les suivre, elle s'est faite arrêtée sur le trajet par les forces de la coalition  internationale.

Trouvant sa tentative de fuite vers l'étranger suspecte, le renseignement militaire décide de l'incarcérer pour une période de temps indéfini comme le permet la loi du "Patriot Act" votée après les attentats du 11 septembre 2001.

Zakia a été donc emprisonnée à Abou Ghraib, une prison proche de la capitale  utilisée par l'armée américaine comme centre d'interrogatoire renforcée.

Elle a passé 8 mois dans cette prison dont quasiment 6 entièrement nue !

Dans les cellules d'isolement, à Abou Graib, les détenus sont gardés sans vêtements et les femmes aussi.

Zakia doit subir une fouille à nue complète avec inspection des orifices naturels (anus, vagin, bouche, oreilles) en arrivant dans le pénitencier, à chaque visite d'un avocat, lors des visites de membre de sa famille et de multiples inspections des cavités corporels alors qu'elle était déjà nue.

Zakia comme les autres prisonnières s'est vue remettre un uniforme  en une pièce assez court et de couleur orange de détenue, et une culotte blanche,  mais elle ne peut porter cet uniforme qu'a de rares occasions : lors des visites familiale ou d'avocat, lors des "sorties" en dehors de la zone d'isolement. En dehors elle est gardée nue.

Il faut noter que les règles de la prison interdisent les soutien gorges, le maquillage, les chaussures, les chaussettes, et bien sur les voiles islamiques hijab que les prisonnières portaient avant d'être emprisonnées.

Il y a parfois jusque à 6 fouilles par jours ou Zahia doit écarter les fesses et ouvrir l'anus, écarter sa chatte, se pencher et tousser, soulever ses seins, remuer ses orteils. Ce rituel est imposé par les américains pour des raisons de sécurité, mais aussi pour contrôler et montrer qui est le patron et faire sentir aux prisonnières qu'elles sont comparable à des animaux.


Zakia est obligée de parader nue pour aller prendre sa douche une fois par semaine; devant les autres prisonnières elles aussi à poil et devant les gardiens qui vérifient qu'elles lavent bien leurs seins et fesses.


 Elle est aussi contrainte de s'exhiber nue pour les corvées comme par exemple :  aller distribuer la nourriture aux autres prisonniers et prisonnières,  de balayer et de nettoyer les couloirs.


Zakia perd toute pudeur à force d'être nue, Le processus de reconditionnement psychologique et culturelle donne des résultats très impressionnant en quelques semaines.


La détenue doit régulièrement remercier les gardiens de la garder nue et pieds nus à la place du voile.



Liens : 


Femme innocente arrêtée et humiliée en interrogatoire renforcé.