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mercredi 5 juillet 2023

Des pilleuses et émeutières humiliées nues par la police

Répression policière :Toute nue en garde à vue
Sévices et humiliations en garde à vue après les émeutes.

 

Répression et sévices en France après les violentes émeutes contre la police.

Plusieurs filles qui on participer aux émeutes et aux pillages dans cette ville de province en France ont été arrêtées et placées en garde à vue dans le commissariat centrale de police de la ville.


Les jeunes femmes se plaignent d'avoir été maltraitées et humiliées par les flics. Mélanie et Sana, 22 ans et 19 ans ont été prise en flagrant délit en train de piller un magasin de cosmétique. 


Les deux jeunes femmes affirment avoir été durement punies, elles accusent les policiers de les avoir déshabiller et de les avoir laisser  à poil pendant toute la durée de leurs garde à vue, soit trois jours. Le pire c'est qu'elles ont été gardé dans des cellules ouvertes et à la vue de tous.


Le ministère de l'intérieur a régit en reconnaissant pratiquer des fouilles à nu systématiquement pour s'assurer qu'aucune filles ne cache sur elles d'objets dangereux comme le règlement de la GAV le prévoit.


Seulement le commissaire aurait pris différentes initiatives, d'une part, comme la police était très occupée, il n'y avait plus assez de policiers pour surveiller les filles, il a donc fait appel a des volontaires, des citoyens qui soutiennent l'ordre et la morale, des républicains partisans des gens de bien.


Ces volontaires républicains, se sont vue confier par la police des missions de surveillances, et les filles ont donc étaient exposées nues, avec des moqueries, insultes, crachats. Gérard, 58 ans, 1,74m pour 95 kilos, un retraités enrobé,  membre du parti Renaissance aurait plusieurs fois obliger Mélanie a écarter les fesses et soulever ses seins, il lui aurait même fait une fouille rectale. Lorsque un journaliste a demander à Mélanie si c'était vrai, elle est devenue toute rouge et a refuser de répondre.


Géraldine, 39 ans, mère au foyer, électrice de Macron aurait pris Sana par les oreilles et lui aurait fait faire le tours du commissariat toute nue avec un bonnet sur la tête. "Nous devons punir les délinquants par des châtiments corporels et des humiliations publiques."


Les filles ont aussi été fessées devant tout le monde.


Liens : 


Vidéo d'une fouille corporelle nue.


Polémique en GAV.


mercredi 16 juin 2021

Soumise à une fouille à nu en garde à vue.

 

Une fille victime d'une fouille à nu imposée par une policière sans pitié
Etre nue et écarter les cuisses pour montrer sa chatte et son cul lors de la fouille corporelle.

Qui dit garde à vue, dit passage à poil et inspection par une policière zélée.


Claudia est une jeune femme de 25 ans qui se rappellera longtemps de sa soirée passée dans les locaux de la police d'un commissariat parisien. Elle a été controlée positive au cannabis et prise en flagrant délit d'excès de vitesse par les forces de l'ordre qui ont procédé à son arrestation et l'ont placer en garde à vue pour qu'elle s'explique.

Si la justice française ne poursuit pas ce type de délits, qui sont simplement sanctionnées par des petites amendes, certains policiers veulent que les gardes à vues soient punitives et difficiles et n'épargnent rien aux auteurs de petits délits routier. Claudia en a fait la triste expérience. 


Elle est très choquée lorsqu'une policière en uniforme et casquette est venue la chercher et l'a amener dans un petit local pour la fouille de sécurité, une procédure visant à s'assurer que le suspect ne cache aucun objet illicite sur lui, ni de drogue ou d'éléments nécessaire à l'enquête.

Claudia a due se mettre toute nue, se dénuder totalement et retirer aussi sa culotte et ses chaussettes. La policière exige la nudité totale et est intraitable sur ce sujet.

La jeune fille a d'abord été inspectée visuellement de la têtes aux pieds, on lui a même vérifier entre les orteils, dans le nombril et dans la bouche !

Elle est aussi soumise à un contrôle des cavités corporels, ce qui signifie en gros que la policière lui a contrôler de façon très humiliante la chatte et le trou du cul avec une lampe, des doigts gantés et lubrifiés lui sont renter dans le fion et le vagin.

La jeune femme est ressortie très humiliée de cette expérience.



Liens :








mercredi 26 mai 2021

Etudiante féministe arrêtée et humiliée

 

Clara, étudiante défendant le droit des femmes, se fait mettre à poil et humiliée en garde à vue prison.
Féministe humiliée et interrogée nue.


La répression des  mouvements féministes fait rage.


Clara, 23 ans vient d'être arrêtée par la police sur le campus de son université car elle a été prise en flagrant délit de diffusion de tracts féministes. Depuis que ce pays d'Amérique Latine a connu son dernier coup d'état militaire, le nouveau régime qui se veut très conservateur, traditionaliste, pro catholique, autoritaire et partisan du patriarcat et de la restauration de l'autorité masculine impose une forte répression contre les mouvements de défenses du droit des femmes.


L'une des premières mesures prise par le régime a été de supprimer le droit à l'avortement, interdire aux femmes de travailler, conduire, travailler, ou d'ouvrir un compte en banque sans l'accord de leurs tuteurs (pères, mari), et de limiter la circulation des femmes.


Clara comme beaucoup de jeunes filles de son époque a été fortement choquée, elle qui a grandit dans un une société démocratique et dans laquelle les femmes ont a peu près les mêmes droits que les hommes, ce retour en arrière est inacceptable.


Avec d'autres étudiants, elle a décider d'organiser des manifestations contre le sexisme, manque de chance pour elle, plusieurs indicateurs de la police l'ont identifiés et un escadrons de la police politique est venue très rapidement la cueillir pour l'arrêter de la placer en détention dans les locaux du ministère de l'intérieur. Les sous sol de ce bâtiment comporte une série de cellule et de salles d'interrogatoires pour "traiter" les détenus politiques.


Clara est mise nue des le début, complètement à poil, pour une fouille très stricte et intimes réalisé par des hommes. Les filles sont en général très embarrassées, Clara se sent rabaissée et à la merci de ses geôliers. 


Les agents du ministère l'ont ensuite forcer de marcher en tenue d'Eve jusque à la salle d'interrogatoire en passant devant les autres étudiants incarcérés et certains de ses professeurs. 


Dans la salle d'interrogatoire, la prisonnière nue est victime de technique de bondage perverses, elle est suspendue nue a des barres pendant que certains gardes lui donnent des coups de fouets, ou lui font des attouchements sur les seins et les fesses.


Elle est ensuite pour bien l'humilier exposée nue  dans une position très dégradante devant les autres étudiants de son amphi. Les policiers n'hésitent pas à la traiter de salope qui monte sa chatte et ses seins à tout le monde comme une pute. Comment une femme bien, une fille respectable et respectée par ses camarades peut elle être rabaissée ainsi ?


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Garde à vue et interrogatoire musclé.



mardi 20 avril 2021

Vidéo d'une fille fouillée nue en garde à vue

 


Vidéo d'une jeune femme soumise à une fouille de sécurité nue.


Les filles ressortent souvent très choquée et traumatisée de leur garde à vue que ce soit dans les postes de police américain ou français. Voici une vidéo qui parle d'elle même et qui explique pourquoi beaucoup de femmes refusent de parler de ces expériences.

Les fouille à nu ou strip search se font sans aucun respect pour la dignité ou la pudeur des prisonnières et ont lieu dans des lieu manquant fortement d'intimité : dans les cellule ou juste devant faute de moyens.

Chaque femme doit enlever ses vêtements devant une femme policière dure et sans pitié. Il n'y a aucune négociation possible, il faut se mettre toute nue, la gardienne fait tout enlever même les socquettes car il faut êtres nus pieds !

Lorsque la femme est à poil, la surveillante l'examine et vérifie tout de la têtes aux orteils, et même les cavités les plus intimes (vagin et anus sont minutieusement vérifiés et controlés).

Les femmes sont ensuite souvent laisser nue dans leurs cellule pour 24 heures, 48 heures ou 72 heures lorsque il ya suspicion de graves crimes. Les femmes nues peuvent être vue par tout le monde.


Les vêtements sont confisqués pendant les garde à vue sous prétexte qu'ils seraient des pièces à conviction nécessaire à l'enquête, ce qui force les suspecte à rester à poil, c'est bien sur une technique de pression psychologique pour faire parler les captives.


Liens :


Nue et enchainée en prison.




dimanche 4 avril 2021

Garde à vue, nudité, humiliation, interrogatoire musclé

Nudité totale en détention.
Prisonnière nue entre les mains de sa gardienne en uniforme.

Reportage exceptionnel dans l’un des commissariats de la BAC féminine. 


Vous le savez tous, depuis quelques mois, suite à différents événements, face à la hausse de l’insécurité et du terrorisme, le gouvernement a dû revoir profondément sa politique sécuritaire. Les pouvoirs de la police et des services de défenses ont étés considérablement renforcés. La politique gouvernementale est claire : la sécurité passe maintenant bien avant les libertés, et l’efficacité policière et la culture du résultat nécessite de revoir fondamentalement la notion de droit de l’homme, qui est exclue maintenant des procédures sécuritaires au profil de méthodes jugés plus efficace. Sans sombrer dans la barbarie, le gouvernement à élaborer un système de répression de la population et de la jeunesse alliant droit de l’homme. La notion de torture est redéfinie, et bien que la torture soit toujours interdite, ses limites ont été redessinées. 

Interrogatoire renforcés et difficiles.



La définition juridique de la tortue adoptée par le gouvernement est la suivante : « La torture consiste à infliger volontairement à une personne des douleurs durables laissant des séquelles physiques. ». Cette nouvelle définition qui remplace l’ancienne, à l’avantage de donner aux autorités un éventail plus large de sanctions, mesures coercitives et de méthodes pour faire parler les individus suspectés de crimes, délits, atteintes à l’ordre public, à la paix publique, à la sureté de l’Etat et des Institutions, ou toute personnes potentiellement menaçantes pour le bien public dont l’Etat est le garant.

Nudité forcée et humiliation en Garde à vue
Femme exposée et attachée nue (humiliation publique et sexuelle).



Ces réformes juridiques donnent donc à l’Etat plus de moyens pour assurer la sécurité collective, et donne les mains libres à la police pour travailler librement et sereinement. Le gouvernement a bien aussi décidé de sortir définitivement de la Convention Européenne des Droits de l’Homme, et de ne plus la respecter, pour ne plus être ennuyé par sa Cours qui selon le gouvernement, porte atteinte à la souveraineté de l’Etat.


La plupart des commissariats ont donc revu leurs méthodes suite aux réformes gouvernementales. Le gouvernement ayant décidé de renouveler les effectifs et de faire appel à de personnelles ici du monde BDSM (Bondage, Domination et Sado masochisme), dont le savoir-faire est reconnue pour alliée « torture » et sécurité (il est hors de question pour le gouvernement que des gens meurt ou soit mutiler suite à des interrogatoire musclés) , le ministère de l’intérieur à donc naturellement fait appel à des équipes de dominatrices et de dominateurs sadomasochistes pour aider les suspect à parler sans risque pour leur vie et santé.
Nous allons ici nous immerger dans un commissariat dirigé par un groupe de femme. Une BAC (brigade anti-criminalité) féminine. La commissaire principale, Miléna est une dominatrice lesbienne blonde de 30 ans, recrutée pour son savoir-faire pervers et sadique. Elle est assistée de son adjointe Wafa, une autre dominatrice brune arabe sans pitié. Les deux femmes dirigent un commissariat, et nous ont fait le privilège, à nous, de nous ouvrir leur porte pendant 48 heures pour que nous puissions les voir travailler. Elles sont accompagnées d’une équipe de policiers, hommes et femmes. La mixité est importante selon la patronne, elle permet de mieux humilier les suspects. « Les hommes n’ont en générale que le rôle de brutes, de gros bras, et leurs organes phallique peut être utilisé lors des interrogatoires. Après rien ne nous empêche de faire appel à des hommes spécialistes », nous explique Wafa.

La loi prévoit bien que toute allégation de torture à l’égard des forces de sécurité est un crime contre l’Etat et une injure à la police, et que c’est passible de poursuite. Nous avons le droit de parler de « torture » à condition d’y mettre des parenthèses, car il est inconcevable que dans un Etat démocratique, que la police républicaine puisse torturer des gens alors qu’elle protège les libertés publiques, et que la première des libertés et la sécurité. Et que toute atteinte même symbolique portée à la police est considéré comme une incitation à la violence et au terrorisme.


Après ce bref appendice, nous allons nous présenter notre reportage exclusif en immersion dans un centre de police qui arrête et fait parler des suspects hommes et femmes accusés de toutes sortes de crimes et délits.


Une nuit en Garde à vue pour des manifestantes.

La police anti-émeute, les CSR ont à a des manifestants et manifestantes, les manifestants sont triés selon leur sexe, les garçons avec les garçons et les filles avec les filles, et chaque groupe et mis dans un fourgon de police. Par chance, un groupe de fille est arrivé dans la nuit vers 22 h dans notre commissariat.
Les filles arrêtées on violer la loi en manifestant sans autorisation, elles ne risquent rien, hormis une éventuelle amende de quelques centaines d'Euros, bien maigre sanction pour nos policiers, qui trouve ça trop léger, ces femmes on porter selon eux atteinte à l'autorité de l'Etat et doivent être sanctionnées. La police décide donc de profiter de le temps que leur laisse la garde à vue, et de leurs nouveaux droits pour punir et humilier ces femmes opposantes à la politique gouvernementale, car ici les travailler pour leurs sous tirés des informations n’a pas grande importance, mais ces filles peuvent servir d’amusements pour nos enquêteurs. La durée de Garde à vue pour ce genre d’affaire est de 24 heures, qui peuvent être mise à profil bien sûr pour leur passer l’envie d’exprimer des opinions illégitimes (NDLR : le Comité de Protection de la Liberté de la Presse nous oblige à écrire la dernière phrase.).

Les manifestantes arrivent par la porte de derrière, on les laisse une dizaine de minutes dans une pièce en attendant de savoir ce qu’on va leur faire. Miléna est occupée à travailler au corps une journaliste suspectée d’outrage au président. C’est donc Wafa qui supervise brièvement la garde à vue de ces filles et elle vient les chercher, escorté de deux armoires à glace, deux flics à l’air cruels et violent. Wafa leur annonce leur mise en garde à vue pour comme nous l’avons dit, manifestations illégales et pour « avoir des idées de merde à tendance gauchistes ou droit de l’hommiste ». Wafa les qualifie de « groupes de putes » à qui il faut apprendre le respect. Elle leur explique leurs droits « Vous êtes toutes placées en Garde à vue, vous êtes sous notre responsabilité, et vous n’avez pas beaucoup de droit à part nous obéir et ne pas nous faire chier car nous sommes occupé ».

«Vous êtes 5, âgées de 19 à 26 ans, la plupart de vous êtes des étudiantes en histoire ou en Art, nous avons Mélanie 19 ans, Anissa 26 ans (la plus vieille et elle ont le corps tatoué.), Charlène 20 ans, Jessica et Marie toutes les deux 22 an. On va s’amuser avec vous cette nuit ». Leur dit la policière rebeu qui passe auprès de chacune d’elles et les impressionne.

« Bien vérification d’identité faire, bande de petites prétentieuse d’intellectuelles, faisons connaissance, déshabillez-vous et posez vos vêtements dans les paniers ». Ordonne l’agent.

Les filles stupéfaites hésitent, Jessica ouvre sa bouche, et se prend dans l’instant suivant une baffe de la patronne adjointe.


Humiliation et asservissement sexuelle BDSM en prison
Homosexualité forcée pour les prisonnières nues.



Nudité forcée, humiliations et sévices.


« A poils tout de suite » dit fermement W afa. Les filles retirent leurs manteaux, veste ou pull pour celles qui en ont.

« Plus vite, que ça, à Poil » hurle les flics, une fois en sous-vêtement Jessica et Mélanie arrête et se mettent à pleurer. Elles se prennent une rafale de claques.

« A poils es filles, je vous ais ordonner de vous déshabiller, ça veut dire vous enlevez tout ». Leur dit froidement Wafa.

Une fois les cinq filles totalement nues devant Wafa et les policiers hommes. Wafa, nous, à affirmer en privé préférait que le déshabillage et fouille à nu se déroule en présence d’hommes et de femme pour accroître la gêne et l’humiliation des pudiques.

Les filles sont escortées toute nues dans une autre partie du commissariat, elles marchent pieds nus sur le sol glacé et sont placées en salle de fouille, elles s’inquiètent, car elles sont déjà toutes nues.

Wafa leur ordonne l’une après l’autre de passer au milieu de la pièce, et de s’exhiber. Les filles doivent l’une après l’autre ouvrir la bouche, défaire leurs cheveux, soulever leurs poitrines et faire bouger leurs seins, montrer leurs plantes de pieds. Et surtout, écarter grand les fesses pendant que Wafa leur pointe une lampe en direction du trou du cul et regarde en n’hésitant pas à y mettre ses doigts gantés et le faire lécher aux filles qui trouvent ça dégoutant et vomissent pour certaines. Les filles sont aussi contraintes de se regarder nues mutuellement, par faire connaissance, Wafa entendait par là les forcer à se regarder mutuellement le entrailles de leur cul et chattes sous les rires des autres flics.

Une fois les anus passés en revue. Wafa les laisse mijoter et ferme la salle. Les filles pleurent et s’angoissent, elles entendent des bruits de chiens, des aboiements.

Puis les flics reviennent avec un gros chien noir. « Il va s’assurer que vous n’ayez pas de drogue ». Les filles doivent se mettre debout les mains sur la tête et écarter les jambes pendant qu’un flic dirige le chien vers le vagin de chacune d’entre elles. Le chien renifle les chattes et les lèche.

Wafa ordonne à ses sbires de saisir Jessica, et de lui écarter les chevilles pour rendre sa chatte accessible aux chiens, un autre flic passe une sorte de crème sur les organes de la prisonnière, et le chien lui lèche longuement la chatte. Elle sent le museau du chien sur son clitoris, et la langue du clébard qui lui rentre entre les lèvres. Elle ne peut s’empêcher de gémir au contact de la langue rugueuse du chien. Jessica est pleine de plaisir, mais de honte aussi.

Les autres filles sont effrayées, mais aussi émoustillées devant cette scène. Wafa passe à nouveau en revue les organes génitaux des filles. Anissa est celle qui mouille le plus, Wafa lui fait remarquer qu’elle mouille comme une chienne elle aussi. Et que Jessica est une chienne en chaleur, et qu’elle doit lécher la chatte d’Anissa.

« À genoux chienne de Jessica, léche ta copine » ordonne la dominatrice, après avoir mis un coup de cravache à la chienne.

Jessica est en train de nettoyer les parties intimes d’Anissa. 

Wafa observe les chattes et les culs des trois autres filles. « Anissa, rends service à Marie, mais lèche lui bien le cul, je crois qu’elle a pété la sale truie ».

Marie doit se pencher en avant et écarter les fesses, et Anissa s’agenouiller. Face à l’hésitation, Wafa colle le visage d’Anissa entre les fesses de Marie pour la forcer à y passer la langue.

Les filles sont ensuite remises debout et alignées. Et le chien leur repasse une autre fois autour du cul « Pour le plaisir » dit Wafa.

La fouille terminée. Wafa s’en va, elle a d’autres personnes à faire parler, ces filles-là n’ont aucun intérêt niveau renseignement nous dit-elle. Il faut juste les humilier et les rendent soumis, et se détendre avec elle.

« Je vous laisse entre les mains des gardiens de la paix. ». Dit elle en partant.


Interrogatorie musclé nue pour femme prisonnière.
Prisonnière nue en attente d'interrogatoire.



Cruauté gratuite.


Les policiers mâles les font bouger, elles sont promenées à poil bien sûr, puis on leur prend leurs empreintes, et en photo. Les photos sont prises nues, on les photographie de face, de poil, mais on prend aussi en photo leurs seins, fesses, anus, vagin et pieds, ainsi que toute nue de plein pied. C’est la nouvelle procédure. Les flics les amènent en salle de détente, ou ils forcent les filles à sautiller toutes nues devant eux et s’amusent de leurs seins qui bougent.



Les jeunes prisonnières sont ensuite placées dans une petite cellule froides et puante ou elles reste nues et serrées comme des sardines.



On viendra ensuite les chercher une à une pour les interroger et les faire signer des papiers d’aveux. Chose facile à obtenir.



Liens : 



Sévices à la prison des femmes.



Contention et restriction en prison.








dimanche 14 mars 2021

Mec soumis humilié et dressé par les flics en garde à vue

 

Prisonnier nu sans vêtement humilié dans sa cellule
Soumis nu en cellule.

Garde à vue musclé et humiliante pour mec soumis


Julien est un militaire d'extrême gauche, un gauchiste quoi, et lors d'une manifestation, il a été arrêté par les CRS (c'est à dire la Compagnie Républicaine de Sécurité : police anti émeute). Bien qu'il n'est pas fait grand chose, il est placée en garde à vue pour manifestation illégal et détérioration de bien public. 
La police rafle large et sans distinction. Le militant idéaliste est ensuite transféré dans l'un des commissariats de la capitale pour sa garde à vue qui dure en France 3 jours.


Les flics sont pervers et sadique et aiment humilier les petits mecs comme Julien. Le manifestant doit se mettre complètement nu devant les flics pour la fouille à corps qui est très humiliante. Il faut se déshabiller complètement, retirer tout, y compris le slip et les chaussettes. Il a le droit à la "totale", obligation de faire des flexion et de tousser fort pour qu'on contrôle qu'il ne cache rien dans ses fesses, et il a le droit aussi à un toucher rectale, un flic lui met un doigt ganté et lui badigeonne de la vaseline sur l'anus avant de lui enfoncer dans le cul.


Les policiers décident de le garder à poil, lui confisque ses vêtements et effets personnels et l'oblige à rester nu devant eux et les autres personnes privées de liberté.
De plus le pauvre Julien est toujours entravé, subie toutes sortes d'humiliations et de petits sévices (insultes, ordres, obligation de faire des exercices sportifs dégradant, reçoit des fessées, doit montrer son zizi et son anus et doit faire le ménage et les corvées sous la menace d'être condamné a un ans de prison ( les flics ont les plein pouvoir.




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jeudi 11 mars 2021

Soumis aux flics pendant sa garde à vue

 

Se déshabiller complètement pour la fouille lors d'une garde à vue au commissariat.
A poil pour la fouille à corps en Garde à vue.


Humiliation en garde à vue


Dans ce commissariat de police, les gardes à vues sont très dures et très traumatisantes. Les mecs sont dressés et humiliés pendant 48 à 72 heures par les flics qui font tout pour les faire craquer.


Robert, un homme de 40 ans travaillant dans la finance a été traitement sans pitié pendant sa GAV.  Il est soumis à une stricte fouille avec mise à nu intégrale. Les policiers l'ont dépouillé de tout ses vêtements et effets personnels, et lui ont confisquer ses affaires. 


Privé de dignité les flics lui on tripoter les couille, la bite, lui on mis un doigt dans le cul pour le conditionner à la docilité. Puis il a été menotté et jeté en cellule avec seulement un sceau pour faire ses besoins.



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jeudi 18 février 2021

Femme prisonnière gardée nue par les flics

Nudité forcée et garde à vue dans les locaux de la police.
Femme menottée toute nue en cellule.


Nudité et Garde à vue féminine.

Des policiers ont reconnu qu'une femme placée en garde à vue est restée nue pendant près de trois jours dans sa cellule et dans les locaux du commissariat.


Anna est interpellée par la police sur une route pour une raison insignifiante, les flics véreux décide de l'emmener au commissariat et de la placer arbitrairement en garde à vue pour des vérifications. 


La jeune femme est menottée les mains dans le dos pendant son interpellation. Une fois au poste de police, elle affirme que les flics l'ont déshabillée et mise à poil dans sa cellule et lui on laisser les menottes. 


La police, affirme que la suspecte à bel et bien été soumis à une fouille au corps, mais à ensuite refuser de se rhabiller. " Oui, dans la pratique, lorsqu'une personne est en garde à vue, elle doit se mettre nue pour la fouille, que ce soit un homme ou une femme. Anna ne voulait pas enlever ses vêtements alors elle y a été forcé.

Le porte-parole du commissariat ajoute que "Certains de ses vêtements ont été déchirés pendant l'opération et elle a refuser de remettre ses habits."


"Il ne fait pas froid dans nos locaux, ils sont très bien chauffés donc personne n'y a vue de problème permis les fonctionnaires de police."


La jeune femme était agitée et elle est restée les menottes dans le dos.



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vendredi 29 janvier 2021

Femme victime d'une fouille à nu humiliante

 

Fouille à nu avec fouille de l'anus et de la chatte pour une femme en garde à vue
Soumise à une fouille très poussée à poil !

Qui dit garde à vue, dit fouille à poil.


Lors d'une garde à vue (mesure judiciaire dans laquelle une personne est retenue  pendant une période déterminée par la police ou la gendarmerie car suspecté d'avoir commis des crimes ou délits ou comme témoins), avant la mise en cellule, il y a ce qu'on appelle la fouille de sécurité ou la fouille à nu.


C'est officiellement et légalement une mesure qu'on retrouve aussi en prison et dans les centre de privation de liberté qui à pour but de s'assurer que la personne arrêtée ne détient pas d'objets dangereux ou illicite, ni de drogues, poisons, ni ne cache de pièce à conviction sur elle par rapport au délit dont elle est soupçonnée. La police pratique systématiquement lors des mises sous écroue.


Procédure systématique.


Lina est arrêtée pour vol à l'étalage et placée en GAV pour 48h. La prisonnière est amenée dans la salle de fouille. La policière chargée de l'inspection lui ordonne d'abord de lui remettre tout ses effets personnels et elle en fait l'inventaire. Lina doit donner ses papiers d'identité, bijoux, montre, téléphone, objets personnels qui sont mis sous scellés.


La policière est très autoritaire et dominatrice et aime en faire baver aux prisonnières, elle ordonne à Lina de se déshabiller complètement. La suspecte doit remettre un à un ses vêtements qui sont vérifié scrupuleusement. Une fois en sous vêtements, la policière lui faire tout enlever même les chaussettes, car une fouille à nu se déroule toute nue de la tête aux pieds !


Tout collants, bas, ou chaussettes est de toute manière strictement interdit en cellule car c'est potentiellement dangereux, comme les soutien gorge, les barrettes, les lacets, ceintures  etc.


Lina ne porte plus qu'une petite culotte et la policière lui crie dessus "Baisse le slip, à poil !"


Elle donne le dernier rempart de son intimité à l'inspectrice. Elle est totalement nue et se sent un peu rabaissée et humiliée par cette nudité imposée.


Elle sent ses pieds nus sur le béton froid, l'agent de police lui inspecte les cheveux, les oreilles, lui fait ouvrir la bouche et ouvrir les lèves, tirer la langue.


Elle se fait aussi palper les seins, vérifier sous les aisselles et son nombril est vérifié. L'humiliation ne s'arrête pas là, Lina doit aussi se pencher et faire des flexion en toussant très fort pour que la police puisse voir qu'elle ne cache rien dans ses orifices naturels, il n'est pas rare que des femmes utilisent leurs vagins ou leurs anus pour y cacher des choses, donc la police doit bien s'assurer que rien n'est dissimuler dans l'intimité des femmes.


Les jambes et les pieds sont aussi inspecté, la policière va même jusque à chercher entre les orteils des prisonnières ! La policière n'hésite pas a faire des commentaires un peu salace sur l'anus et la chatte de la suspecte. La garde à vue doit impérativement être vécue comme une sanction et une punition donc la police imposer cette pratique dégradante pour assoir sa domination et son autorité.

Lorsque la policière a un doute, elle fait allongée les femmes sur une table, les jambes écartées, et leur fouille la chatte et l'anus en profondeur en y introduisant un doigt voir deux.


Cette fouille est humiliante et permet de déstabiliser les gardés à vue avant les interrogatoires.


Liens :


Strip searched and humiliated naked


Naked Female Dégradation on BDSMLR

lundi 11 janvier 2021

Les fouille à poil punitive pratiquées par la police.

 

Mecs humiliés par les flics au poste
Mecs nus lors de la fouille par les flics.


Les méthodes punitives de la police pour mater la délinquance.

Les flics de se quartier pour montrer qui sont les chefs utilisent les fouilles à nu, pratiqué systématiquement pour punir et humilier les voyous,

Ces mecs sont forcer de se mettre à poil et sont rabaisser par les policiers qui les prive de dignité et les expose à poil avec les zizis qui pendouille.


dimanche 10 janvier 2021

Des femmes humiliées et déshabillées dans le commissariat de police.

 

Des femmes prises en photo nues en garde à vue
Mug shot de prisonnière prise nue en photo.

Humiliations, sexisme, nudité forcée et abus de pouvoir dans la police.


Un groupe de femme à décider de saisir la justice, sans obtenir le moindre succès contre les pratiques d'un commissariat de police d'une région du centre de la France.


Des femmes de toutes origines, caucasiennes, maghrébines, africaines, asiatiques  et de toutes religions et de tout milieux sociaux  et âgées entre 20 et 35 ans ont lancer une protestation de groupe contre le ministère de l'intérieur suite aux pratiques controversées d'un poste de police.


Ces femmes ont étés placées en garde à vue pour d'obscur motifs, ou pour des pseudos infractions routières, des raisons futiles; et des contrôle  d'identité routinier. On se demande sur quoi juridiquement ces policiers se sont baser pour les mettre en GAV car la loi française ne prévoit pas ce type de mesures lors de ces situations. Le commissaire a justifié cette pratique  en affirmant cibler une catégorie de personnes plus susceptibles d'acte de délinquances. De plus ces arrestations donnent lieu systématiquement à des fouilles à nu avec recherche des cavités corporels.


Ces mesures sont jugées nécessaires dans ce poste de police alors qu'ailleurs la législation française interdit les fouille avec déshabillage intégral.


De plus ces fouilles à poil sont précédées de palpations souvent strictes et jugées agressives par les femmes détenues qui se retrouvent tripoter de partout souvent pas des gardes de sexe masculins qui n'hésitent pas a malaxer les seins des femmes.


Les femmes sont aussi contrainte de se déshabiller complètement devant des policiers hommes et devant me commissaire sous prétexte qu'il n'y a aucune femmes policières pour y effectuer les fouilles. Le commissariat en question dit rechercher des agents de police féminins mais que pour le moment il n'y en a pas. De plus les policiers se plaignent de coupe budgétaires bloquent tout nouveau recrutement.


Les mises à nue se font sans aucun respect de la pudeur et de l'intimité des prisonnières qui doivent ôter leurs vêtements un à un, y compris les culottes, bas, chaussettes pour être pieds nus, leurs bijoux, et même leur tampons et serviette hygiénique quand elles en porte. La nudité des prisonnières est visible depuis l'extérieur de la salle de fouille car la porte n'est jamais fermée.`Tout les fonctionnaires, visiteurs, hors personnes en détention peuvent voir le spectacle. Les femmes victimes sont souvent très traumatisée de cette exhibition forcée.


De plus par mesure de sécurité les opérations d'inspections corporels sont filmer, et les femmes prisonnières doivent être photographier nues sous toutes les coutures et prendre des postures parfois humiliantes et dégradantes.


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Strip search naked in jail


Humiliation en GAV

vendredi 25 décembre 2020

Polémique sur les fouilles à nu policière en garde à vue

 

Femmes prisonnières alignées nue pour la fouille
Des manifestantes misent nues en garde à vue dans un commissariat de police.


Les méthodes de la police pointée du doigt : des manifestantes nues au commissariat.


Un groupe de femme ayant été interpelées lors de manifestations jugées illégales se plaignent d'avoir été contrainte de se déshabiller lors de leur garde à vue dans les locaux de la police. Des photographies montrent effectivement cinq femmes totalement nues et alignées dans une salle de fouille.

Le représentant des forces de l'ordre explique que les personnes soupçonnées de délits et placées en garde à vue se voit enregistrer dans les fichiers policiers, notifier leurs droits, pris en photo, et sont soumises à une fouille visant à garantir leur propre sécurité, celles des autres personnes détenues, et des policiers.

Il faut lors des fouilles se déshabiller, pour que les policiers puissent vérifier les vêtements et le corps des suspects de façon scrupuleuse.


La police justifie cette pratique par le fait que certains dissimulent de la drogue, des objets tranchants pouvant être dangereux, les orifices intimes des femmes sont aussi controlées durant cette fouille.


Lors des manifestations les femmes arrêtées sont souvent inspectées collectivement et en groupe, alignées nues et controlées par les policières.

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Strip Search and humiliation



lundi 19 octobre 2020

Les humiliantes fouilles à nue

 

Prisonnière nue se fait fouiller l'anus.

Strip Search !


Comme son nom l'indique les fouilles à nue implique de se déshabiller. Lorsque une femme est incarcérée en prison ou placée en garde à vue elle est soumise à une procédure comportant la fameuse fouille tant redoutée.



Mesdames, mesdemoiselles , lorsque vous êtes arrêtées pour etre mise en GAV ou emprisonnée, vous êtes soumises à l'obligation de vous déshabiller complètement devant une policière ou une gardienne de zonzon.


Vos serez obligée d'enlever tous vos vêtements sans aucunes exceptions : exit vos manteaux, hauts, pantalons, jupes, chaussures, chaussettes, bijoux, pince à cheveux, culotte, slip, soutien gorge. Elles iront même jusque à vous faire retirer votre tampon intime si vous en avez un !

Ce processus fait pour des raisons de sécurité nécessite que vous soyez entièrement nues, aucunes négociations ni dérogation n'est possible.


La policière ou la surveillante quand vous serez à poil examinera d'abord vos vêtements et affaires vous fera patienter de longues minutes sans vous permettre de vous couvrir, il va falloir mettre sa pudeur de côté.


Ensuite il sera procéder à l'examen visuel de votre corps. On vérifiera vos chevaux, votre bouche, vos trous de nez et oreilles, sous vos aisselles et votre nombril, vos seins seront palpés et soulevés, vos mains et vos pieds nus seront inspectés, elles iront même jusque à regarder entre vos orteils.


Et comble de l'humiliation vous devrez vous pencher et écarter les fesses et faire des squats devant elles en montrant bien votre anus et vos vagins, et si elles ont le moindres doute, elles vous doigteront le cul et la chatte pour s'assurer que vous ne cachez rien mesdames.


Et elles prennent tout leur temps et aime vous humilier.


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Prisonnière pudique enchainée nue en cellule.

dimanche 2 août 2020

Fouille à nu en garde à vue

Déshabillage intégrale lors de la fouille en Garde a vue
"J'ai dit à poil, la culotte aussi !"

Femme soumise déshabillée en garde à vue dans un commissariat français


En France, dans les commissariats de police, lorsqu'une personne est en garde à vue, les flics pratiquent systématique la fouille de sécurité qui oblige les personnes privées de liberté à se déshabiller complètement pour s'assurer qu'elles ne cachent rien de dangereux ni aucun objets de contrebande ou nécessaire à l'enquête.

Marie, professeure de français au lycée est placée en GAV dans un centre de police pour avoir manifester dans la rue pour défendre l'école publique, manifestation illégale selon le gouvernent qui à lancer la police pour disperser brutalement les gens et arrêter les cadres pour briser le mouvement.

Marie est arrêtée et placée dans un camion de CRS avant d'être transférée dans l'un des postes de police de la région parisienne.

Sur place, avant sa mise en cellule pour 24 heures, elle est placée dans une petite salle ou une fonctionnaire du ministère de l'intérieur lui donne l'ordre de se déshabiller complètement pour la fouille de sécurité (strip search).

C'est très humiliant de devoir se mettre totalement nue devant la police pour une inspection complète de la têtes aux pieds et de devoir même retirer sa culotte et devoir tousser pour s'assurer que rien n'est cacher dans l'anus ou le vagin ...