samedi 13 juin 2020

Nudité forcée pour jeune prisonnière pudique

Nudité forcée en prison  militaire (interrogatoire renforcé)
Nue, la prisonnière par pudeur tente de cacher son corps à ses geôliers.

Une femme nue en prison tente de dissimuler son intimité.


Un ancien détenue d’un centre de détention  militaire américain accueillant des prisonniers de guerre témoigne des méthodes d’interrogatoires renforcés utilisées par les services de renseignement US et assimilés à de la torture par beaucoup de pays car ne respectant pas les conventions de Genève.

Témoignage :


Cet ex rebel ayant passé plusieurs mois en captivité pour ses liens avec l’insurrection a été particulièrement touché par le sort réservé à certaines femmes, qui bien que minoritaires sont elles aussi soumises aux mêmes traitements que les hommes.

« Elle devait avoir 25 ans environs, elle s’appelait  Nadia, les américains l’ont arrêté car elle est la nièce d’un responsable de la résistance. Ils ont penser qu’elle serait une prise de choix et qu’elle détenait des informations pouvant aider à la capture de son oncle.
Lorsque quelqu’un arrive en détention, il est mis à nu pour la fouille ( strip search and body cavity search) et inspecté de la tètes aux pieds, les gardes font meme écarter les fesses et regardent avec des lampes si les prisonniers ne cachent rien dans leurs dernières.

Ils font de même avec les quelques femmes qu’ils ont entre leurs mains. Ils aiment garder les gens nus. Ils disaient qu’ils donneraient des vêtements qu’aux personnes qui coopèrent pleinement  avec eux. 

Nadia lors de sont arrivé a été forcée de se déshabiller devant des gardiens hommes car il n’y avait pas de femmes pour la fouille à corps.
C’était terriblement humiliant pour elle, qui porte habituellement des vêtements traditionnelles et qui est très pudique, et ne s’est jamais découverte devant des étrangers ni même porter un bikini à la plage.

 Elle s’est retrouvée entièrement nue et totalement exposée sans possibilité de se couvrir. Elle pleurait et suppliait les gardiens de lui laisser le droit de porter des vêtements. Mais ses geôliers lui ont fait tout enlever même ses bijoux.

La nudité forcée est systématiquement pratiquée ici, sur ordre de la police militaire qui estime cette technique simple, efficace pour ramollir les détenus avant les interrogatoires.

La prisonnière est gardée nue, ils l’avaient placée en cellule d’isolement à poil. Lorsque les militaires ouvraient la porte de la cellule, ils riaient lorsque elle tentaient de cacher ses parties intimes avec ses bras et ses jambes, surtout que connaissant sa pudeur et sa gêne, les gardes aiment imposer à ce type de femmes des fouilles intimes de façon très fréquentes pour les mettre dans l'embarras. »

Liens :

Fantasme de la prisonnière.




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