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Humiliations des nouvelles à poil au bizutage. |
Blog érotique et pornographique consacré au Bdsm ( Bondage Domination et Sado Masochisme). Les principaux fantasmes abordés : prisonnières nues, visites médicales, nudité forcée, fessées et autres punitions, bizutage, filles en pensionnat, exhib, pieds féminins, fétichisme etc. Suite de l'ancien blog https://camp-bdsm.blogspot.com
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Humiliations des nouvelles à poil au bizutage. |
Mise à poil intégrale lors du dressage d'une rivale amoureuse. |
"A poil salope, j'ai dis tu retire tout, ta culotte, tes chaussettes, on te veux nue comme au jours de ta naissance pétasse !" Hurle Greta sur Sophie qui à du mal a se déshabiller par pudeur.
"Donne ta culotte sale pute ou je t'encule avec un manche à balais!" Continue d'hurler la dresseuse.
"Elle fait main la maline comme ça cette chienne, on va la remettre à sa place" s'exclame une autre fille de la bande.
Sophie doit mettre les mains sur la tête et écarter les cuisses pour que sa chatte et son anus soient bien visibles et exposés à la vue des filles de la bande.
"On va dresser cette truie et bien s'amuser avec elle."
Sophie doit se présenter dans cette posture dégradante "Je m'appel Sophie Larry, j'ai presque 21 ans, étudiante en science de gestion, j'habite dans le 17 eme à Paris, je suis née à Reims le 7 février 2001."
Les fille de la bande font ensuite réciter un texte à Sophie qui doit faire un discours filmé et diffusé sur les réseaux sociaux.
"Je suis sale et ma chatte pue, j'ai l'anus élargi et qui pue le sperme car je suis une vraie salope, une cochonne baisable par tout le monde Je m'excuse devant Greta d'avoir tenter de me faire son mec, je suis une pute et rien d'autre etc."
Les filles de la bande rient et se moque de leur victime nue et honteuse d'être dans cette situation difficile.
Sophie doit ensuite marcher à poil dans les couloirs de l'université et écarter les fesses le plus possible pour montrer son anus sous les rires des filles qui jouissent de la voir humiliée ainsi.
"Et si nous a faisions danser à poil ?" suggère l'une des filles.
"Oui ce serait très amusant" répond Greta.
Sophie doit danser et se trémousser nue sans aucune pudeur et ressent une honte inimaginable !
Elle doit aussi se masturber et se faire masturber par les filles qui se marrent, certaines lui mettent des doigts dans le cul et la force à renifler leurs doigts.
Liens :
Une prisonnière nue et travaux forcés. |
Durant la seconde guerre du golfe (2003/2011) les Etats Unis d'Amérique ont envahi l'Irak suite aux attaques du 11 septembre 2001et ont pris le contrôle de la prison d'Abou Ghraib près de Baghdad pour en faire un centre de détention regroupant des prisonniers de haute importances dit de "sécurité" ou les conventions de Genève ne sont pas appliquées et ou l'armée et la police militaire ont carte blanche pour interroger les suspects de façon musclés et d'utiliser de méthodes assimilables à de la torture.
Les personnes arrêtées par la coalition internationale et soupçonnée de liens avec l'ancien régime, de soutenir la rébellion , de liens avec le terrorisme international ou de détenir des informations stratégiques sont très souvent transférées dans cette prison pour subir des interrogatoires renforcés.
Yousra L, une femme de 31 ans qui travaille dans l'industrie pharmaceutique a passé 4 mois dans le complexe pénitentiaire. C'est une scientifique et une ancienne apparatchik du régime déchu, une femme très bien placée socialement, éduquée. Les gardes américains qui se sont occupés d'elle pendant sa période de captivité l'ont traiter selon les procédures standard de la prison et avaient carte blanche pour dresser, rabaisser et humilier tout les détenus en préparation des interrogatoires.
Susan Sanchez, une ancienne militaire ayant servie dans la prison comme surveillante des femmes prisonnières se souvient tout d'abord avoir ressenti un certain choc en arrivant et en constatant que :
"La majorité des personnes privées de liberté sont gardées nues. Il était difficile d'avoir une explication claire et officielle. Cette situation parait normal pour les gardes plus anciens, c'est pour certains une procédure que le renseignement militaire leur a dit de mettre en place, un ordre a simplement appliqué sans poser de question.
Un collègue m'a dit aussi que par raison de sécurité il est plus facile de contrôler les prisonniers lorsqu'ils sont nus car certains cachent des objets illicites si on les autorise à porter des vêtements. Quand je lui demande si ce n'est pas dégradant, il m'a répondu que ça l'est peut être mais qu'ici c'est une zone de guerre et que nous sommes dans un endroit dangereux et que la sécurité du personnel passe avant tout autre considération."
D'autre témoins sont tout aussi claires dans cette politique de nudité générale et totale imposée aux détenus, un ancien militaire sous couver d'anonymat raconte que "Nous ne faisons qu'appliquer les ordres, déshabiller les prisonniers pour les fouiller et les garder sans vêtements faisait partie de la procédure standard. Traiter les captifs comme des chiens et avec mépris et cruauté était aussi une consigne que venait souvent répéter les gens du renseignement."
Susan Sanchez reprend en faisant référence a la prise en charge de la femme prisonnière Yousra L, "Lors de ma prise de poste, je me suis occupé des femmes retenues, il n'y en avait pas beaucoup, l'une d'entre elles , Yousra, était une prisonnière de haute valeur car suspectée d'être une cadre de l'ancien régime et donc d'avoir des informations importantes en matière de renseignement. Lorsqu'elle est arrivée sur le site, elle était habillée de noir et presque intégralement voilée, c'est une femme moderne et ouverte mais qui respecte les normes sociales de son environnement et les traditions. Les gardes l'ont obliger a se déshabiller complètement pour la fouille (strip search) obligatoire.
Comme les autres détenus, elle a très mal pris l'opération de déshabillage, être obligée de s'exposer nue lorsqu'on est une personne respectable et bien élevée est très difficile et c'est pour ça que pour ramollir et discipliner les prisonniers, ordre à été donner d'imposer la totale nudité.
Yousra est très humiliée d'être mise toute nue en public et d'être priver de toute pudeur, elle est sans aucune défense et les gardes aiment faire des commentaires salaces et vicieux sur ses gros seins, ses fesses ou sa chatte qui a été rasée lors de l'admission. En effet, la des responsables de l'aile ou son garder les femmes estime que les Etats Unis sont là pour apporter le progrès et la civilisation au Moyen Orient et que tondre le vagin des prisonnières fait partir de cette mission civilisatrice."
Une autre ancienne responsable de l'aile ou les femmes sont gardées, Helen Chapard confirme que ce type de traitement déshumanisant et dégradants sont monnaie courante dans la prison.
"Rabaisser, dégrader, humilier, ici tout est fait pour briser l'égo des femmes, qu'on garde et exposent totalement nue en permanence, à qui on oblige d'écarter l'anus et le vagin devant des gardes masculins pour accroitre encore plus le sentiment de honte et de vulnérabilité ressentie, Yousra était tout le temps à poil et les gardes l'ont prise en photo ainsi en lui disant que les images seraient diffuser à sa famille et dans toute la prison pour en faire un exemple. Ce type de chantage et de menace est aussi une pratique courante pratiqué dans ces locaux.
La cheffe de la section américaine (elle même d'origine arabe) est très claire : nudité totale pour les femmes, obligation d'être pieds nus, tonte forcée des pubis. Si dans les prison américaine les femmes musulmanes peuvent s'habiller et porter le voile, pas question ici car l'objectif est d'imposer des humiliations et vexations à caractère culturelles et religieux aux détenus. La nudité doit faire partie de la punition.
discipline de vie stricte, Yousra a du faire des corvée et travailler nue. Toute tentative de pudeur est punie, cacher ses seins ou ses fesses devant un garde est une infraction, Yousra a été punie plusieurs fois ( fessée, falaka, torture des seins) par la responsable sadique.
Pour les torturer, les gardes imposent des exercices sportifs jusque à l'épuisement".
Fin.
Modèle sur la photo Trina Michaels.
Liens :
Histoire BDSM de prisonnières.
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Femme prisonnière menottée nue au barreaux de sa cellule. |
Un Scandale en vue à la prison de haute sécurité ?
Des politiques auraient donner des directives visant à imposer des pratiques d'interrogatoire renforcées et direction de la prison aurait accepté contre des pots de vins ? C’est une nouvelle fois que cette prison faite parler d’elle dans les médias et les rapports internationaux.
Une ancienne détenue, de nationalité Française affirme avoir subi des traitements dégradants et inhumains, et avoir été témoins de choses horribles. Cette personne ayant été emprisonnée que deux mois avant d’être libéré par l’action de son ambassade, elle témoigne à charge contre le système pénitencier.
Elle affirme devoir sa liberté que grâce à la protection diplomatique de l'Union Européenne et l’argent de sa famille. Lisa M travaillait dans une grande entreprise internationales et elle s’est fait arrêter par la police politique en marge d’une manifestation contre le gouvernement pro américain. La jeune femme est jugée en comparution immédiate, pour destruction de biens publics et coup et blessures à agent, et condamnée à 8 mois de prison ferme.
Ayant eu le bon réflexe de prévenir les autorités consulaires, c’est peut-être ce qui l’a sauvée de l’enfer. Nous vous laissons son témoignage.
« Après un jugement express, pour avoir été arrêtée au mauvais endroit au mauvais moment, les autorités m’ont envoyé dans une prison très éloignées de là où ils m’a jugé. Les policiers m’ayant conduite là-bas ne comprenaient d’ailleurs pas pourquoi m’envoyer à la prison de G, dans la campagne de ce pays à trois heures de route de la capitale.
Les gens étaient gentil, polis, et le verdict est tombé brutalement, je pensais qu’en faisant appel ça irait, mais le juge à insister pour que je sois incarcéré d’office. Les policiers de mon escorte ne m’ont mis les chaînes aux pieds et les menottes qu’en sortant de la voiture, pour me remettre aux gardiennes de la prison ; ils étaient désolés de devoir faire ça. Je ne leur en veux pas.
La remise fut plus difficile, les gardiennes en uniforme et casquette bleue m’ont prise comme un objet dangereux, leur attitude contraste avec celle des policiers.
On me fit entrer et présenta la prison, à gauche, la section homme, à droite celle des femmes, et derrière nous le bâtiment administratif, et encore après le quartier haute sécurité, la centrale. Puis on me conduit vers la droite, dans le quartier A.
Les gardiennes me disent qu’ici faut se tenir calme, ne pas faire d’embrouille, que je ferais mieux de passer mes huit mois tranquilles, et espérer sortir dans cinq ou six. Je passe brièvement dans le bâtiment administratif pour prises des empruntes digitales et de photographie de face et profil.
Une fois entré, ça reste très vétuste malgré quelques travaux de remise à neuf, on me conduit dans « une salle de fouille » comme le disent les gardiennes, là-bas, elles m’interrogent sur mon nom, prénom, âge, origines en vue d’établir un dossier, et de répondre simplement aux questions par oui ou par non, ou de donner les informations précises demandées. »
« Es-tu bien Lisa M? ». Oui
« A tu des Problème psychiatrique ? »« Non jamais »
« Quel est ta Tailles, ton poids, et ta pointure ? » « 1.71 m pour 64 kilos, je chausse du 38. ».
«De quelle origine raciale es tu ? »« Métisse, blanche par mon père, wasp si vous préférez et afro-américaine par ma mère. »
Cette question m’a choquée, je ne m’y attendais pas, même chez nous en France , ils font attention à ne pas trop faire ce genre de profilage.
Prisonnière transportée nue dans les couloirs de la prison.
Ensuite l’une des surveillantes m’a demandé de lui donner mon portefeuille, ma montre, mon téléphone, et mes bijoux (collier, bague, boucle d’oreilles), mes clés, mon argent, et tout autre objet. Elle les a prise, noté sur un document, puis mis dans un sachet sous le scellé et ranger dans une consigne en me disant que tout me sera rendu à la sortie. Elles m’ordonnent ensuite de me déshabiller, et de remettre mes vêtements à une surveillante qui les enregistre sur un papier après brève description. Elles inspectent minutieusement chaque vêtement. J’enlève d’abord mon tailleur, puis mes chaussures, qu’elles enregistrent sur la feuille de consignations des vêtements.« Un tailleur noir de marque ; une paire de bottes courte en cuir » Je leur remets ensuite mon bustier et mon pantalon«Un pantalon de type jean de marque… ». Sans surprise, je savais que la nudité était obligatoire et que toute résistance inutile, mes chaussettes rejoignirent la table, me retrouvant pieds nus sur du béton.
Ma culotte et mon soutien-gorge suivirent. Être nue pour prendre une douche ou lors d’un examen médical ne m’a jamais dérangé plus que ça, n’étant pas spécialement pudique. Mais ce déshabillage dirigiste met la personne soumise en état d’infériorité, devant des gardiennes voyeuses qui ne cachent pas leur plaisir de rabaisser et avilir les autres. Elles me forcent à tourner à poil sur moi-même, et recherchent toute trace distinctives, elles ont inscrit ma trace de l’opération de l’appendicite et mes tatouages, l’un à la cheville gauche, et l’autre en bas du dos. Elles prennent leur temps de vous exhiber, de devoir rester sans rien les mains derrière la nuque pendant qu’elles rangent vos vêtements et remplissent leurs formulaires.Il faut ensuite soulever ses cheveux, et une gardienne les inspecte minutieusement, puis regarde dans les oreilles et trous de nez, l’une m’a mise sa main ganté de latex dégoutant dans la bouche, pour m’inspecter les dents, sous la langue et dans le fonds de la gorge. Elle m’a aussi palpé les seins qu’elle a soulevés et regarder sous les bras, dans le nombril, puis à écarter mes orteils un à un et passer sa main sous la plante de mes pieds. Elles m’ont ensuite fait sautiller nue devant elles, et forcer à me pencher en avant en écartant les fesses et en toussant le plus fort possible plusieurs fois, et me faire faire des squats les jambes écartées et tousse encore… L’humiliation ne s’arrête pas là, l’une des gardiennes ayant un doute m’a mis un doigt lubrifié dans l’anus et le vagin. Puis direction la douche, toujours nues, pour une douche tiède de quelques minutes, avant une autre épreuve, la désinfection, quand une surveillante vous jette une sorte de poudre horrible après la douche. Puis direction l’infirmerie pour une visite médicale, où une gardienne est présente. Le médecin me pèse, me mesure sous toutes les coutures, puis prise de sang et radio des poumons, la doctoresse s’intéresse ensuite à ma contraception, et m’a prescrit une pilule pour le mois, et m’a fait subir un examen gynécologique complet visant à voir selon elle à la fois eue des rapports avant de venir, si je suis enceinte, et de vérifier que je ne cache rien, tout ça sous le regard pervers de la surveillante qui n’en perd pas une miette. Sous escorte de la voyeuse.
Humiliation , prisonnière nue la tête dans les toilettes.
Ensuite comme toutes les autres femmes prisonnières, elles m'ont donner un exemplaire du règlement de la prison et m'ont conduite dans ma cellule toute nue à la vue de tout le monde.
Liens :
Nudité en confinement solitaire.
Humilier et briser l'égo des prisonniers.