Affichage des articles dont le libellé est danse. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est danse. Afficher tous les articles

dimanche 1 juin 2025

Toute nue dans le bar pendant le bizuage.

 

Danser toute nue au bizutage
Elles dansent et se trémoussent nues dans un bar étudiant au bizutage.

Danser et se trémousser à poil au bizutage.

 

Dans une petite université parisienne nichée au cœur du 13e arrondissement, l’automne marque chaque année le retour d’une tradition aussi légendaire que controversée : le week-end d’intégration, ou plutôt, le bizutage déguisé sous ce nom festif. Les anciens, autoproclamés gardiens des coutumes estudiantines, orchestrent une soirée où les nouveaux doivent se plier à leurs règles, dans un mélange d’excès, d’humour douteux et de débordements.

Camille, 19 ans, fraîchement arrivée de son village provençal, est une étudiante en première année de licence de biologie. Réservée, presque timide, elle a grandi dans une famille où la pudeur est une seconde nature. Habituée à porter des vêtements amples et à éviter les regards indiscrets, elle redoute déjà cette soirée d’intégration dont tout le monde parle avec un mélange d’excitation et de crainte. Mais, poussée par la pression sociale et la peur d’être mise à l’écart, elle se rend au vieux bar rock du quartier, un lieu aux murs tapissés de posters vintage et au sol collant de bière renversée.

À son arrivée, l’ambiance est électrique. La musique hurle, les lumières clignotent, et une foule d’étudiants s’agite dans une chaleur étouffante. Mais ce qui frappe Camille, c’est le spectacle qui s’offre à elle : plusieurs nouvelles, déjà intégrées au « rituel », déambulent dans le bar, entièrement nues, certaines riant nerveusement, d’autres visiblement au bord des larmes. Camille sent son cœur s’accélérer. Elle, qui rougit rien qu’à l’idée de porter un décolleté, se sent soudain projetée dans un cauchemar.

Un groupe d’anciens, portant des t-shirts fluorescents marqués « Bizutage Squad », l’intercepte à peine franchie la porte. « Bienvenue, la nouvelle ! » lance un grand barbu avec un sourire carnassier. « Ce soir, tu fais ce qu’on te dit. Et on commence fort : tout le monde à poil ! » Les rires fusent autour d’elle, et Camille, pétrifiée, tente de bafouiller une excuse. « Je… je ne suis pas très à l’aise, je peux peut-être juste… » Mais une fille aux cheveux bleus, une des anciennes, l’interrompt : « Pas de chichi, ma belle. C’est la règle. Si tu veux être des nôtres, tu joues le jeu. »

Camille sent ses joues s’enflammer. À la maison, elle ne se déshabille jamais devant personne, pas même sa propre sœur. Même à la plage, elle garde un paréo bien noué autour de la taille. Mais ici, pas d’échappatoire. Les anciens l’entourent, et elle comprend vite que résister ne fera qu’empirer les choses. Tremblante, elle commence à retirer sa robe à fleurs, un vêtement modeste qu’elle avait choisi pour se sentir en sécurité. Les sifflements et les rires des spectateurs, clients du bar mêlés aux étudiants, résonnent dans ses oreilles comme une tempête. Elle retire son soutien-gorge, puis sa culotte, chaque geste lui coûtant un effort surhumain. Ses mains tremblent, et elle tente de cacher son corps avec ses bras, mais un ancien lui tape sur l’épaule : « Pas de cachette, princesse. On assume ! »

Le pire arrive quand une fille lui ordonne d’enlever ses petites ballerines blanches, son dernier rempart contre l’humiliation. « Pieds nus, c’est la règle ! » Camille proteste faiblement : « Mais… le sol, il est dégueulasse… » Un éclat de rire général lui répond, et un ancien renchérit : « T’inquiète, ça forge le caractère ! » À contrecœur, elle pose ses pieds nus sur le sol poisseux, sentant la crasse et les éclaboussures de bière sous ses orteils. Elle grimace, mais n’a pas le temps de s’appesantir : on la pousse vers le centre de la piste.

Là, sous les regards avides des clients et les éclats de rire des anciens, Camille doit défiler, nue comme au premier jour, ses petits seins exposés et son corps frêle frissonnant dans l’air moite du bar. Les sifflets fusent, certains clients lèvent leur verre en riant, et elle entend des commentaires graveleux sur ses courbes. « Pas mal pour une coincée ! » lance un type au comptoir. Camille, rouge de honte, baisse les yeux, fixant le sol pour éviter les regards. Chaque pas est une torture, la sensation du sol sale sous ses pieds nus amplifiant son malaise.

Mais les anciens ne s’arrêtent pas là. Pour pimenter la soirée, ils imposent un jeu : les nouvelles doivent danser en duo, corps contre corps, sous les acclamations de la foule. Camille se retrouve collée à une autre fille, tout aussi mal à l’aise, leurs corps nus glissant l’un contre l’autre dans une chorégraphie imposée par les cris des anciens. La musique techno fait vibrer le sol, et Camille, au bord des larmes, tente de se concentrer sur les pas pour oublier les regards lubriques qui la transpercent.

 Lien : 

 

Déshabiller au bizutage. 

jeudi 21 novembre 2024

Déshabiller au bizutage.

Bizutage en IUT à poil pieds nus
Nue et pieds nus obligatoire au bizutage étudiant.

Le bizutage est une ancienne tradition dans l'enseignement supérieur, les anciens élèves au nom des usages et des coutumes de leurs établissement scolaires bizutent les nouveaux dans un cycle qui se répète depuis des décennies.

Le nom officiel du bizutage est week end d'intégration, ou les nouveaux tombent sous l'autorité des anciens pour une journée et une soirée de fête et de folie.

Mélanie, 22 ans une jeune étudiante montpelliéraine débarquée à Paris pour passer sa licence pro dans les métiers de l'énergie dans un IUT (Institut Universitaire de Technologie) d'Ile de France est obligée de se rendre à la fête d'intégration organisée dans un bar dansant.

C'est une fille du sud, assez cool qui aime bien sortir et faire la fête. Fidèle à la réputation des gens de sa région, Mélanie n'est pas très ponctuelle, quand elle arrive dans le bar elle découvre que plusieurs filles sont à poil et que certaines pleurent ...

Les anciens l'a prenne rapidement en charge malgré son retard, et lui disent que ce soir elle est sous leur autorité et qu'elle va devoir rejoindre les autres nouvelles.

Les anciens lui disent d'abord qu'elle doit se déshabiller complétement comme les autres filles qu'elle peut voir.

Certes Mélanie n'est pas spécialement pudique, elle a fait du topless cette été à la place, juste en string et n'a pas de soucis de pudeur particulier, elle est à l'aise à poil chez le gynéco par exemple. Mais elle trouve ça quand même humiliant, surtout le fait d'être nue en personne d'autre habillés, car à la plage tout le monde est presque à poil ou presque.

Mais elle n'a pas trop le choix, les anciens considèrent les nouvelles comme du bétail à dresser et elle sait qu'ils lui arracheront sa petite robe de soirée très facilement et elle n'a même pas de soutien gorge.

Le pire c'est que les anciens l'obligent même à retirer ses  petites sandales ! elle espérait au moins les garder pour éviter de poser la plante de ses pieds sur le sol sale et poussiéreux du bar. 

Elle doit parader nue et pieds nus devant les clients qui matent son cul et ses petits seins.

Nudité lors du bizutage à l'IUT.
Mélanie danse nue avec les garçon au bizutage.

La jeune fille et les autres étudiantes de l'IUT doivent danser à poil, avec les garçons qui les frottent, palpent régulièrement.


Lien :

Fille pudique humiliée au bizutage.

 

samedi 16 novembre 2024

Bizutage traditionnel dans une ville universitaire

Nudité totale pendant le bizutage
Le "Bal des culs nus" pendant la journée d'intégration.


 J'admire la très bonne organisation des bizutages dans cette ville étudiante du sud de la France, chaque année les journées d'intégration (bizutage) se déroule sur le campus et dans le centre de la petite cité.

Il faut féliciter les BDE (Bureau des anciens), c'est à dire les bizuteurs, et la coopération du président de l'université, des professeurs et de tous les personnels impliqués dans la réussite de ces évènements.

Le sens du devoir, l'amour et le respect des tradition qui anime les anciens de cette institution.

C'est toujours incroyable de voir des dizaines de nouveaux et de nouvelles se faire bizuter, de voir ces jeunes et moins jeunes regrouper ensemble et totalement à poil pour des épreuves souvent spectaculaire et festives.

Ici, l'un des événements les plus connues est appelé "Le bal des culs nus", ou les nouveaux sont regrouper en plein centre ville sous les regardes des anciens mais aussi des habitants pour une parade et des danses ayant pour but de divertir.

Ce spectacle attire même des touristes. Nous comprenons donc pourquoi le bizutage perdure et ne sera jamais réellement interdit. Il fait parti du patrimoine culturel.

Les nouveaux et les nouvelles sont obligés de se déshabiller complétement, c'est un moment difficile pour les personnes pudiques, mais c'est obligatoire, les anciens sont organisés de façon quasi militaire, avec la pression et l'effet de groupe, les étudiants enlèvent leurs vêtements, il y a bien sur quelques un qui tentent de résister (les pudiques, les religieuses comme les musulmanes voilées, les bourgeoises catholiques coincées, certaines juives à l'éducation strict.) mais elles sont vite maitrisées et déshabiller de force et sans ménagement.

Les étudiants et étudiantes nus et pieds nus sont tous exhibées de la même manière sans distinction.

Ils doivent faire le tours du campus et parader à poil dans les couloirs de l'université et dans le centre ville pour se rendre "au bal".

Sur la place du centre ville, les bizutes dansent et prennent des positions parfois obscènes.

Lien :

Bizutage au gymnase.




jeudi 14 juillet 2022

L'avilissement et le dressage d'une prisonnière

 

Prisonnière nue et humiliée dans une séance d'exhibition.
Le rituel impudique de la fouille des orifices intimes des prisonnières.

Le dressage de la prisonnière Linda.


Avant d'être incarcérée et avilie Linda, 27 ans, était une femme respectable de la bourgeoisie citadine. Sauf qu'elle a été arrêtée par les forces spéciales américaines dans un raid sur sa maison. car son oncle est recherché par la coalition internationale comme membre de l'ancien régime renversé par les USA durant la seconde guerre en Irak de 2003/2011).


La prisonnière, jugée comme étant de "haute valeur" était détenue dans le secteur d'isolement de la prison réservé à ce type de prisonniers. Avant son incarcération,  même si des rumeurs disaient que les américains humiliaient les prisonniers, elle n'y a avait pas crue, et elle n'aurait jamais  oser imaginer être déshabiller et devoir s'exposer nue devant des étrangers dans des positions parfois obscènes.


Pourtant, lorsqu'elle est arrivée dans l'aile de détention en isolement pour les détenus avec son type de profil, dans un secteur de la prison en dur, ou les quelques femmes sont placée dans un couloir de l'aile principale à l'étage et les hommes sont en bas. Elle a été contrainte de se déshabiller sur ordre du staff de la prison. Les fouilles s'effectuent à nu sans respect pour l'intimité et la pudeur des femmes. Les gardiens ont pour consigne d'être intransigeant sur cette question car il en va de la sécurité, peu importe si ça peut être perçu comme humiliant par les captifs de guerre.


Linda n'avait pas droit au moindre traitement de faveur du fait qu'elle soit une femme. Le fait de retirer ses vêtements était une épreuve difficile. Pour une femme arabe et musulman qui porte le voile (hijab) plus par tradition que par convictions religieuses profonde elle doit d'abord retirer le couvre chef et dévoiler sa chevelure puis ses chaussures et le reste de ses vêtements, elle avait tenter de garder sa culotte et son soutien gorge mais les gardes n'avaient rien céder et lui ont confisqué aussi ses dessous. 


L'une des particularité dans cette section d'isolement de la prison était que les détenus étaient confinés dans des petites cellules vide ne contenant qu'un très fin tapis de couchage sur une couchette surélevée et des toilettes "à la turque". Tout autre objet  étaient strictement interdit.


Les détenus présent dans ce secteur devaient être complètement nus à tout moment. Après l'inspection corporelles Linda ne s'était pas vu remettre le moindre vêtements, ses affaires personnelles et ses chaussures avaient été mises sous scellés et consignés et aucun uniforme ne lui avait été remis.


Si la nudité  imposée pouvait paraitre difficile à vivre et choquante pour des femmes pudique et pieuse comme Linda, qui s'était  en quelques minutes retrouvée de presque intégralement voilée  à totalement  poil. Il faut dire qu'avec le temps la nudité est de plus en plus naturelle, avoir les seins, les fesses et le vagin exposés et visibles.


Le pire est ce dressage à la nudité, l'obligation régulièrement de devoir montrer sa chatte et son trou du cul sur commande comme un animal de zoo. Les pauvres femmes doivent se soumettre régulièrement à des sorte de "danse" obligatoire ou elles doivent exposer et ouvrir leurs fesses et leur chatte en public pour les montrer aux gardiens.


Liens :


Le Dressage en prison.


Vidéos de femmes déshabillées en enchainées.





dimanche 27 février 2022

Deux filles dansent et se trémoussent toutes nues au bizutage.

 

Danse sexy de femmes nues
Deux filles sexy à poil dansent érotique.

Deux étudiantes à poil et chaude pendant le bizutage.


Deux petites nouvelles arrivent dans l'enseignement supérieur dansent toutes nues durant les soirées étudiantes.



Liens :