dimanche 26 mars 2023

Ma Soeur séquestrée et victime d'une sadique vicieuse.

 

Ligotée nue et soumise
Chloe séquestrée par une lesbienne vicieuse.

Dressée par une lesbienne dominatrice.

Depuis plusieurs semaines, il sévissait dans notre région un gang de lesbiennes adepte de la séquestration et des kidnappings dirigées par une femme lesbienne très dominatrice, Greta. C'est une ancienne militaire d'origine allemande qui contrôle toute une ville et ses alentours, c'est une femme assez cruelle et un peu tarée avec des pulsions sadiques elle avait été exclue des forces armées pour des sévices sur des camarades et sur des prisonnières... La police et les autorités étaient corrompues et complice de tout ces trafics et ont bien sur laisser ce groupes agir en tout impunité.


Ma soeur, Chloé  était une jeune fille fraichement diplômée, qui venait de trouver un bon boulot dans une banque et qui s'en vantait. Bien que nous lui avions conseiller de s'installer dans une autre région, elle n'en avait fait qu'a sa tête.

Bien sur, le groupe criminel avait vite pris connaissance de la présence de Chloé, qui était rapidement devenue la cible de Greta. Ma soeur était la proie idéale pour ce type de prédateur, c'est une bourgeoise bien éduquée, peu expérimentée en matière de sexe et un peu naïve.


Une soir après le travail, Greta l'attendait dans son logement pour lui faire passer un sale moment, une séance de dressage.


La pauvre Chloé surprise a vite été ceinturée et obliger de se mettre toute nue devant ses ravisseurs, puis ligotée et bâillonnée.


La victime est d'abord exhibée et inspectée de la tête aux pieds par les vicieuses. Greta reconnait parfois devoir malmener un peu les filles, mais c'est pour "leur bien", "on les tripote de partout et on les fou à poil et ça les fait mouiller" "Nous faisons ressortir les petites salopes qui sont en elles" se vante t'elle.


Lorsque les dominatrices mettent leurs doigts dans les chattes des soumises celles ci sont toute mouillées et pleine d'excitation.


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dimanche 19 mars 2023

Mise à nue, discipline, humiliation comme pratiques officielles pour les prisonnières.

 

Fouille humiliante d'une prisonnière à poil.
Humiliation et harcèlement d'une prisonnière nue.

Dans la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak, les Etats Unis ont mis en place un système de gestion de la prison ou tout est fait pour assurer une discipline et sécurité maximum.

Les femmes sont minoritaires dans ce centre détention, elles sont quelques dizaines, âgées entre 21 et 45 ans, arrêtées souvent pour faire pression sur leurs familles car leurs frères, maris ou cousins peuvent être recherchés ou pour avoir eu un poste jugé stratégique sous l'ancien régime.


Dès leur arrivée, les prisonnières se rendent compte qu'elles se trouvent dans un environnement impitoyable et très différent de ce qu'elle connaissent. Jamais aucune d'entre elles n'auraient même pu l'imaginer vivre une situation si difficile.

Chaque femme doit immédiatement se déshabiller et présenter leurs corps nus aux gardiens pour la fouille corporelle (strip search). Les surveillants hommes et femmes supervisent tous les aspect de la discipline et du reconditionnement mentale et de la vie quotidienne des captives.


Le déshabillage a pour but de mettre chaque prisonnière à sa place, tout les effets personnels des femmes sont confisqués, tous les vêtements doivent être retirés pour une inspection de la tête aux pieds, les gardes vérifient tout : oreilles, cheveux, sous les seins et les aisselles, le nombril, de la dentition et de l'intérieur de la bouche , entre les fesses, entre les orteils et les plantes des pieds etc.

Le pire est le contrôle de l'anus et du vagin, les américains vérifient même dans les orifices des femmes s'il n'y a pas d'objets de contrebandes illicites !


Les gardes préfèrent obliger les femmes à se mettre nues d'elles même, par des ordres, pression et menaces  car c'est plus humiliant pour une femme pieuse et bien élevée de se mettre à poil sur ordre.


Les prisonnières perdent tout droit à la dignité, à l'intimité et a la pudeur en arrivant dans l'établissement.


Les interrogateurs et les autorités de la prison estiment qu'en plus d'être justifiée par des raison évidente de sécurité, le fait de déshabiller complètement les femmes ajoute beaucoup de sentiment de honte et d'humiliation pour que la détention soit une vrai punition.

Ils ont découvert l'efficacité de mettre totalement nues les prisonnières pour les rendre dociles et les faire coopérer, toute manifestation de pudeur est réprimée.


La plupart des détenues  sont de respectables femmes arabes et musulmanes et arrivent voilées, en tenue traditionnelle et elles se retrouvent nues en présence de tout le staff pénitentiaire mais aussi des autres captives et même des détenus mâles.


Les seins, les fesses, les chattes, les pieds, les cheveux des femmes sont découvert en permanence, et chaque tentative de cacher l'intimité est punie d'une fessée.


La promenade nue dans les couloir est une épreuve terrible pour les femmes entrantes, mais c'est le début du processus de rééducation. En plus d'utiliser les femmes comme outil de pression sur l'opposition et d'avertissement pour les autres et comme moyen de marquer la domination américaine, le but est la soumission et le reconditionnement mental et psychologique des prisonnières.



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Nudité imposée en détention.

samedi 4 mars 2023

Une femme humiliée et interrogée nue par erreur

 

Fouille et nudité forcée en prison.
Squat et tousse nue lors de la fouille humiliante.

Les interrogatoires renforcés et le processus d'avilissement des détenues.


Durant la seconde guerre d'Irak entre 2003 et 2011 les Etats Unis d'Amérique ont établi des procédures d'interrogatoire dites renforcés dans les centre de détention pour prisonniers de guerre, en particulier dans la célèbre prison d'Abou Ghraib ou des scandales médiatiques ont révélé au monde les sévices sadiques que les gardes américains ont imposé aux prisonniers irakiens.


Beaucoup de citoyens et citoyennes ont été arrêtés par erreur et brutalisés lors des interrogatoires.


Lors d'un audit sur les conditions de détention sur les mauvais traitements réalisé lors d'un audit sur les conditions de détention, un incident concernant  une femme âgée d'une trentaine d'année a été rapporté. Elle est nommée "Dalia" dans le rapport et a capturée dans une rafle, elle travaille dans le commerce et gère plusieurs magasins, des voisins jaloux l'ont injustement dénoncé aux américains qui l'ont placé sous le statut de "prisonnière de haute valeur".


Bien qu'étant innocente et sans aucune informations dignes d'importance. En arrivant dans la prison, les gardes américains lui ont imposer une fouille  intégralement nue, avec déshabillage  en public devant des hommes, sans aucune intimité ni respect pour sa pudeur, et elle a du soulever ses seins, sautiller plusieurs fois, et faire des squats et tousser et marcher comme une grenouille afin de voir si des objets sont cachés dans ses orifices (chatte et anus),  les surveillants sont même aller  jusque à lui faire inspection entre les doigts de pieds et sous les aisselles etc.

La suspecte a aussi été forcer de défiler toute nue  et pieds nus devant les autres prisonniers attachée les mains dans le dos.


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