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lundi 8 septembre 2025

Interrogatoire renforcé et nudité totale

 

Prisonnière nue
Nue pendant un interrogatoire.

Une détenue sous statut de "haute sécurité.

Les manuels d'interrogatoire préconisent la nudité totale lors des interrogatoires, et cette technique est appliquée pendant la seconde guerre d'Irak (2003/2011) par les États Unis dans les centre de détention.

Les femmes irakiennes soupçonnées de terrorisme, de liens avec l'ancien régime ou insurrection sont détenues au secret et soumises à des traitements humiliants. comme la nudité forcée.

Elles sont considérées comme des "détenues de sécurité" et donc sont interdites de porter le moindre vêtements et sont interrogées nues et pieds nus.

Comme elles sont musulmanes conservatrices et pudique, la nudité est jugées très efficace pour les humilier et les ramollir. elles sont obligées de se mettre toutes nues devant tout le monde.

La présence d'hommes est requise pour accroitre le sentiment d'humiliation, car enlever ses vêtements devant le sexe opposé est bien plus dégradant.

C'est préférable de faire pression sur elles pour qu'elle retire elles même leurs habits, sinon la force et contrainte physique est utilisée.

Nue et pieds nus, elles disent plus facilement la vérité. En prison la religion et la culture n'ont pas leur place.

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Interrogatoire renforcé.

dimanche 12 janvier 2025

Ma femme humiliée et incarcérée en Amérique

Fouille collective humiliante
Fouille et humiliation publique.

Les gardiens américains de la prison de conté de Greenwood  ont pour consigne d'humilier et de dresser les détenus pour réduire la délinquance et les incivilités. Le shérif est l'un des plus sévères du pays, il est très populaire et est appuyé par le gouverneur républicain pro Trump.

Mon épouse, Rania, une femme franco marocaine musulmane, qui était la pour ses études s'est faite arrêtée lors d'une manifestation en faveur de la Palestine et la police l'a conduite dans le centre de détention du conté.

Sur place, Rania était avec 3 autres femmes américaines,  l'une est membre d'un gang, l'autre est probablement là pour fraude fiscal les gardiens les ont placé dans une salle réservée à l’accueil

D'une part, elles sont misent toutes nues et soumises à des fouilles et inspections très poussées devant tout le monde, y compris des hommes. Les gardiens aiment faire comprendre aux femmes quand ils leurs ordonne d’enlever leurs vêtement, tout bien sur, "Il faut tout montrer aux gardiens" ricane un des surveillants.

En Amérique les femmes peuvent être fouillées par des gardiens hommes au nom de l'égalité entre les sexes, et de plus sans aucune intimité devant tout le monde, les femmes culturellement pudiques et réservées comme mon épouses doivent elles subir le même processus humiliant : Se déshabiller et se faire fouiller en public.

Le shérif a décider que la nudité était  naturelle, et dans sa prison, les femmes sont toutes traitées de la même façon sans distinction de religion: Nue, pieds nus avec fouilles des anus et des vagins, dessous les seins et entre les orteils.

Aucune intimité n'est prévue, surtout depuis le retour de Trump, ou les autorités sont autorisées à utiliser de méthodes punitives dont les fouilles corporelles et les mise à poil en publique font partie.

Les délinquantes sont en général humiliées pour l'exemple et en public pour générer de la crainte.

 

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En garde à vue.

 


samedi 11 janvier 2025

L'arrestation de Safia par le shérif

Le processus humiliant de l'incarcération
Prise de photos nue avant d'aller en cellule.


 Safia est une jeune femme américaine musulmane d'origine arabe de parents libanais et musulmane, elle vit dans cette petite ville dans le Tennessee depuis sa petite enfance.

La jeune fille est une brillante étudiante à l'université, et par conscience citoyenne, avec le soutien de ses professeurs et certains de ses amis étudiant elle est partie manifester pour soutenir le peuple palestinien face au massacre.

La manifestation s'est mal passé, plusieurs manifestants ont attaquer les policiers et la police a du procéder à des arrestations, souvent assez arbitraire et Safia s'est malheureusement retrouvée dans le lot et se retrouve officiellement accusée d'attroupement illégaux.

Les manifestants et manifestants sont conduites dans les locaux du shérif  locale avec un petit centre de détention du conté géré par ce dernier, pour les gardes à vue.

Le shérif est un homme qui prend très au sérieux la sécurité et dont la prison est très redoutée par les femmes.

Safia est une personne très pudique mais le shérif lui réserve le même sort qu’à toutes les malheureuses détenues.

Les rares femmes musulmanes voilées comme Safia sont soumises à la procédure : prises d’empreintes, et la fouille à nue et la prise de photographies.

Safia doit tout enlever devant le représentant de la loi, et mettre sa pudeur de côté, se mettre toute nue est très difficile pour elle car c'est une fille pudique, peu de gens hormis son ex et les médecins l'ont vue à poil, et comme toute bonne musulmane elle porte le voile (hijab) et s'habille de façon très modeste.

Elle supplie et invoque divers droits pour refuser la fouille, elle prétend que ses droits constitutionnel sont bafoués, car devoir se déshabiller en public et devant des hommes serait une grave violation de sa dignité !

Hors avant elle, les juges ont estimé que les méthodes du shérif étaient parfaitement légales et justifiées pour des raisons de sécurité.

Le shérif filme toujours les fouilles et laisse assister des témoins pour prévenir toute accusation d'agression sexuelles.

La jeune femme n'a pas son mot à dire, le shérif est stricte et sans concession : il exige la plus totale nudité : même les montres et les élastiques à cheveux sont confisqués !

Il faut tout enlever, être nue et pieds nus pendant tout le processus de fouilles et d'enregistrement.

 

 Lien : 

Humiliée et interrogée.


samedi 10 août 2024

L'équipe de Donald Trump s'insurge contre les uniformes remis aux femmes détenues pour terrorime.

Des prisonnières portant un uniforme orange
Des prisonnières en uniforme orange et pieds nus.

Campagne présidentielle USA : Remise en cause des accords et assouplissements des conditions de détention des femmes suspectées de terrorisme ?

L'équipe de campagne du candidat républicain Donald Trump dénonce les accords et concessions de l'administration de Joe Biden en matière de politique carcérale.

En effet, plusieurs femmes détenues pour terrorisme, trafic de drogue international, complot contre la sécurité nationale américaine ont obtenues certaines faveurs qui pourrait mettre à mal la sécurité nationale des USA et les équipes de surveillants chargées de les garder.

Depuis le 11 septembre 2001 ce type de prisonnier étaient incarcéré dans des prisons de haute sécurité spéciale en vue de leur réhabilitation. 

Les détenues et leurs avocats ont longuement lutter pour permettre aux femmes d'avoir le droit de porter des vêtements, certes, minimaliste : une simple culotte et un haut  d'uniforme orange assez court et des tongs (Flip Flop).

Les prisonnières pudiques ou les détenues musulmanes n'ont pas obtenue le droit de porter des uniformes plus couvrant ni de hijab (voile islamique) pour couvrir leurs cheveux. Toute manifestation d'appartenance religieuse reste interdite.

Mais pour les gardes et les pro Trump, c'est beaucoup  déjà beaucoup trop; car porter des vêtements n'a jamais été un droit, et les femmes détenues ont toute passer plusieurs mois voir pour certaines des années totalement nues sans que ça ne pose aucuns problèmes, et certaines ont même grâce à ça perdue toute trace de pudeur et adopter le nudisme comme mode de vie, ce qui est pour pour leur réhabilitation et réinsertion prochaine dans la société, et pour ça seule l'équipe de Trump en est consciente.

Depuis que les vêtements sont autorisés, les gardes alertent contre le retour de comportement dangereux, certaines femmes refusent parfois de baisser leurs culottes devant des gardes hommes et d'écarter leurs fesses pour ouvrir leurs anus.

Pour le syndicat des gardiens c'est une grave décision, et si rien n'est fait pour stopper les revendications des prisonnières, elles auront bientôt le droit de porter la burka en détention.

C'est aussi et surtout des dépenses publics inutile, du gaspillage que d'investir dans des uniformes avec les impôts des américains.

 

Depuis quelques jours, la campagne est sur le point de basculer suite à cette question, Kamala Harris pourra t'elle tenir face à Donald Trump ou finira t'elle aussi emprisonnée à poil dans une prison de haute sécurité ?


Liens : 


Nue en prison.



 

vendredi 9 août 2024

La contrebande de culottes en prison.

 

Une détenue porte une culotte de contrebande
Une prisonnière pudique en culotte cache ses seins.

Incident en prison : la contrebande d'objet illicite chez les prisonnières.

En 2004, dans la célèbre prison d'Abou Ghraib, pendant la seconde guerre d'Irak, les Etats Unis ont ouvert un centre de détention, qui inclus une section spécifique pour les femmes irakiennes.

Dans cette zone, les conditions de détention sont très difficiles, et les autorités américaines pour diverses raisons ont décider d'obliger les prisonnières à rester nues.

Cependant, cette mesure n'est pas facilement accepter par les détenues, qui aiment les vêtements et sont pudiques.

 

1/ Une détenue réfractaire à la nudité.

Une jeune femme détenue, Najoua, 28 ans, incarcérée pour avoir écrit des articles hostiles aux États Unis est à l'origine de plusieurs incidents. 

Najoua, et l'une des prisonnières les plus problématique, et très hostile au nudisme et naturisme. 

En arrivant, les femmes doivent se déshabiller pour la fouille au corps. Bien sur vous vous demandez si la procédure les obligent à se mettre nue, et bien oui, il est bien préciser aux gardes de faire retirer tous les vêtements. Najoua s'est rapidement montrer rebelle et désobéissante. Les gardiens ont du l'avertir qu'ils allaient employer la force et la menacer de lui envoyer des décharges électriques avec un taser.

Les gardes font en général  rapidement comprendre aux femmes qu'il faut obéir et se soumettre sans discussion.

Najoua est une de ces personnes qui prétend avoir des droits, hors c'est une "détenue de sécurité", et donc comme les autres captives, elle n'a ici aucun droits.

Les prisonnières sont en général musulmanes, elles portent pour 80% le voile et l'abaya par respect des règles de leur religion et de leur culture. Alors la nudité forcée est vécue comme une épreuve difficile. Najoua malgré ses protestation s'est déshabillé. 

 C'est encore pire pour une respectable et pieuse femme d'enlever ses vêtements plutôt que d'être déshabiller de force et voir ses vêtements arrachés et découpés. 

Les mises à nue des femmes sont très rarement faite par la force, la persuasion et la menace suffise amplement en général, et c'est bien plus efficace pour humilier la prisonnière de l'obliger à elle même enlever ses vêtements.

Les gardes se sont bien moqués d'elle, car elle s'est mise à poil devant eux sans dignité. 

Najoua et les autres femmes sont horrifiées de devoir s'exposer nues devant des hommes. C'est pourtant quelque chose de normal, car les femmes emprisonnées ici sont des prisonnières dites de "sécurité", soupçonnées de terrorisme, ou représentant  une menace pour la sécurité nationale.

En plus d'être privées de liberté, les femmes doivent être durement punies et humiliées, et la nudité est un moyen simple et efficace très apprécié des gardiens. Les gardes n'ont donc aucune pitié.


Ceci dit, Najoua n'est pas d'accord. Depuis son incarcération, elle ne cesse de se plaindre. Elle réclame des vêtements, cris et hurle à poil. Pire elle tente parfois de cacher ses seins ou ses parties intimes, hors ce comportement pudique est interdit. Les femmes doivent être dressées pour perdre toute traces de pudeur et de modestie.

Après avoir fait une brève présentation de la détenue signalée.

 

 2/ Corruption, insécurité, manque de moyen.

 

L'un des autres problème est la corruption de certains membres du personnelle, une sécurité poreuse, et le manque de motivation de certains surveillants négligeant. Najoua pose différent problème quand elle n'est pas à l'isolement en confinement solitaire isolée. Elle profite de chaque occasion pour se plaindre et tenter d'avoir des contacts avec l'extérieur. Par exemple, elle a tenter d'appeler un visiteur de la croix rouge pour dénoncer la situation.

Certes globalement les agents font leur travail. Mais Najoua s'est procurer des objets illicites. L'enquête n'a pas encore réussi a déterminer comment elle s'est procurer la culotte. Certains gardiens sont suspectés d'être trop permissif. 

Lors des inspections générales, des objets de confort interdit ont parfois été retrouvé. Une autre détenue, Marwa avait pu garder ses chaussettes, les gardiens lui avaient permis de les conserver sans savoir que c'était interdit. Lors de la fouille général, le responsable de secteur a été choqué et surpris qu'une détenue ait pu garder des chaussettes. Marwa a dit a un garde que le sol est froid et sale qu'elle souhaitait ne pas marcher pieds nus et un garde l'a par erreur autorisé à les garder en voulant bien faire.


Punition et sanction en prison : humiliation et exhibition à poil.
La prisonnière est exhibée et punie pour avoir porter une culotte et fait preuve de pudeur et pudibonderie.

Depuis les autorités ont remis de l'ordre et réuni les surveillant pour expliquer les règles et que tant que ces femmes sont sous la protection et la responsabilité des Etats Unis dans la prison aucune d'entre elles ne doit porter de vêtements ne serait ce qu'une culotte.

De plus une campagne de fouille a été lancer dans la section féminine pour trouver des objets illicites.

Najoua a été punie et condamnée a exposée son anus et sa chatte poilue tout les jours pendant une semaine pour lui faire comprendre que ses fesses et son sexe sont ici  visible pour le public.


Liens : 

 

Interview d'une gardienne de prison

mercredi 7 août 2024

Une femme terroriste en prison, nue ou habillée ?

 

Nudité forcée comme partie intégrante de la punition.
Une détenue suspectée de terrorisme doit elle rester nue en permanence ?

Le sort d'un femme terroriste coopérantes en suspens.

Loubna G, une femme incarcérée dans une prison supermax aux États Unis a obtenu sous la présidence de Joe Biden un relatif assouplissement de ses conditions de détention.

Si Loubna, de nationalité irakienne et incarcérée pour soupçons de terrorisme a pu éviter de rester à Guantanamo Bay après avoir acceptée sa culpabilité et reconnue ses erreurs en échange d'une réduction de peine et d'un assouplissement de ses conditions de détention.

Son avocat et diverses organisation de défense des droits de l'homme ont obtenu différents droits : Détention dans une prison civil avec possibilité de recevoir des visites de sa famille, deux sorties par jours, de meilleurs repas, et surtout le droit de porter quelques vêtements : Un uniforme orange de prisonnière très court et une simple culotte blanche difforme, plus de confort, de la nourriture halal et accès aux journaux et livres.

Par contre la prison refuse à Loubna le port de soutien gorge, de chaussettes et de vrai chaussures (seul les chaussures de type "flip flop" sont autorisés dans ce type de prison).

La demande de porter le voile islamique (hijab), des uniforme plus couvrant à par contre été rejetée. La détenue doit accepté de porter des tenues très courte et d'avoir les cheveux à l'air et de se déshabiller devant des hommes lors des fouilles, et des douches collectives.

Les juges estiment qu'il n'est pas attentatoire aux libertés que de priver une femme d'objet religieux et que l'ordre et la sécurité passe avant le droit à la pudeur. 

Ceci dit, l’équipe de Donald Trump en pleine période électoral estime que c'est une erreur, et que la prisonnière doit conformément à la politique pénale US en matière de lutte contre le terrorisme être gardée nue et pieds nus, et subir plusieurs fouilles intégrale par jours avec contrôle de l'anus, de la bouche et du vagin.

De plus la détenue est nue depuis plusieurs années, il n'y a aucune raison de lui remettre ses vêtements, et le syndicat des gardiens pro Trump est hostile à l'idée de permettre à cette détenue de s'habiller, car la nudité totale et permanente doit faire partir de la sanction, surtout que la prisonnière réclame le droit de porter des signes religieux et de pudeur en plus d'un petit uniforme, ce qui la rend plus dangereuse et nécessite plus de punitions.


La campagne présidentielle US peut basculer en faveur de Trump sur cette question.

 

 Autre affaire de nudité forcée en prison.




jeudi 18 mars 2021

Les gardiens de prison humilient une femme prisonnière

Humiliation de la fille d'un opposant politique (prisonière nue et dégradée)
Prisonnière nue et humiliée exposée sans pudeur.

Prisonnière nue et abusée.




Dans une prison sous contrôle américain en Amérique Latine ou l'armée US intervient indirectement pour contrer toute menace pour les intérêts de ses entreprises et protéger le régime politique allié. Les dirigeants Des Etats Unis ont envoyé des conseillers et des mercenaires pour garantir la survie du régime en face à une contestation populaire et un soulèvement armée.

Plusieurs prisons sont supervisées par les forces US. Surtout un camp de prisonniers prêt de la capitale ou sont réunis les détenus importants proches de l'opposition. Selon un ancien détenu, la fille d'un intellectuelle de gauche, Lorenzo Rodriguez, nommée Camilla, 26 ans est arbitrairement détenue depuis plusieurs mois dans ce sinistre endroit.


Les gardes américains, qui sont en réalité des "contractors" chargés d'effectuer certaines opérations comme mercenaires ont pour mission de gérer partiellement la prison avec les autorité locales. Pour faire régner l'ordre et une discipline de fer, ils rivalisent de méchanceté et de perversion pour terroriser les captifs et asseoir leur domination.

La "philosophie" des gardiens est que l'humiliation des détenus permet d'en assurer leur contrôle et de maintenir la sécurité du site.

Camilla, est très sexy et féminine. 

Un soir, elle est accusée de vol par les surveillant qui la soupçonnent d'avoir dérobé de la nourriture sans autorisation (il faut dire que la nourriture n'est pas bonne sauf pour quelques privilégiés qui collaborent avec le système.).

L'une des surveillantes  forceà sortir la jeune détenue de sa cellule et lui à ordonner de se mettre contre le mur, les mains sur la tête.
La pionne déshabille elle même la prisonnière, elle retire sans ménagement les chaussures de la jeune fille et lui arrache sa robe et lui  découpe ses sous-vêtements aux ciseaux. Camilla porte des socquettes que la gardienne lui retire aussi, elle a de jolies pieds, mais n'aime pas beaucoup être pieds nus sauf quand il fait très chaud. La surveillante américaine veut qu'elle soit intégralement nue.


La yankee décide chatouiller Camilla pour la torturer, elle  se dandine et ses orteils bougent dans tous les sens, elle est ensuite allongée et se fait mordiller et lécher les pieds par la gardienne qui est fétichiste des pieds féminins.

Anissa gémit, car elle est sensible à ce genre de pratique, elle aime malgré tout qu'on s'occupe de ses pieds.

La surveillante a décider qu'elle restera nue jusque à nouvel ordre, et qu'en attendant il va falloir lui donner une bonne leçon, toute nue livrée sans défense au regard des autres lui donnera une bonne leçon.

Camilla est placée au centre du couloir, et elle doit rester toute nue en équilibre sur un pied les mains sur la tête sous la menace d'être tabassé.
Puis on lui donne l'ordre de servir les repas à poil, et même d'aller dans la section des hommes pour une marche de la honte ...


Traitements cruels et dégradants pour une femme nue
Rémy Lacroix prisonnière et nue.

La prisonnière nue est aussi humiliée, elle doit marcher tenue en laisse comme une chienne, ses seins et sa chatte sont fouettés, elle doit rester nue dans des positions inconfortables et stressantes.



Modèle sur les photos : Remy Lacroix. (Wikifeet)


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dimanche 14 mars 2021

Vidéo : Un fouille à nu (strip search naked)


 Vidéo : Femme soumise à une fouille à poil au commissariat.


Les Etats Unis sont réputés pour les abus policiers, et pour avoir un système de sécurité cruel et impitoyable. Ici une jeune femme que la police à arrêtée et qui vient d'être placée en détention préventive est soumise  une fouille ou elle doit se déshabiller complètement devant une policière dominatrice et vicieuse.


La jeune femme est inspectée de la têtes aux pieds, on lui fouille même entre les doigts de pieds, elle a aussi droit de se prendre un doigt ganté dans le cul et de se faire enfoncer les doigts de la gardienne dans la chatte.


Pire, elle est laissée nue dans sa cellule sous prétexte que les vêtements civils sont interdit et que le commissariat est à court d'uniforme de prisonnier ...



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Femme victime d'une fouille humiliante


Strip Search and humiliation