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Une prisonnière pudique en culotte cache ses seins.
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Incident en prison : la contrebande d'objet illicite chez les prisonnières.
En 2004, dans la célèbre prison d'Abou Ghraib, pendant la seconde guerre d'Irak, les Etats Unis ont ouvert un centre de détention, qui inclus une section spécifique pour les femmes irakiennes.
Dans cette zone, les conditions de détention sont très difficiles, et les autorités américaines pour diverses raisons ont décider d'obliger les prisonnières à rester nues.
Cependant, cette mesure n'est pas facilement accepter par les détenues, qui aiment les vêtements et sont pudiques.
1/ Une détenue réfractaire à la nudité.
Une jeune femme détenue, Najoua, 28 ans, incarcérée pour avoir écrit des articles hostiles aux États Unis est à l'origine de plusieurs incidents.
Najoua, et l'une des prisonnières les plus problématique, et très hostile au nudisme et naturisme.
En arrivant, les femmes doivent se déshabiller pour la fouille au corps. Bien sur vous vous demandez si la procédure les obligent à se mettre nue, et bien oui, il est bien préciser aux gardes de faire retirer tous les vêtements. Najoua s'est rapidement montrer rebelle et désobéissante. Les gardiens ont du l'avertir qu'ils allaient employer la force et la menacer de lui envoyer des décharges électriques avec un taser.
Les gardes font en général rapidement comprendre aux femmes qu'il faut obéir et se soumettre sans discussion.
Najoua est une de ces personnes qui prétend avoir des droits, hors c'est une "détenue de sécurité", et donc comme les autres captives, elle n'a ici aucun droits.
Les prisonnières sont en général musulmanes, elles portent pour 80% le voile et l'abaya par respect des règles de leur religion et de leur culture. Alors la nudité forcée est vécue comme une épreuve difficile. Najoua malgré ses protestation s'est déshabillé.
C'est encore pire pour une respectable et pieuse femme d'enlever ses vêtements plutôt que d'être déshabiller de force et voir ses vêtements arrachés et découpés.
Les mises à nue des femmes sont très rarement faite par la force, la persuasion et la menace suffise amplement en général, et c'est bien plus efficace pour humilier la prisonnière de l'obliger à elle même enlever ses vêtements.
Les gardes se sont bien moqués d'elle, car elle s'est mise à poil devant eux sans dignité.
Najoua et les autres femmes sont horrifiées de devoir s'exposer nues devant des hommes. C'est pourtant quelque chose de normal, car les femmes emprisonnées ici sont des prisonnières dites de "sécurité", soupçonnées de terrorisme, ou représentant une menace pour la sécurité nationale.
En plus d'être privées de liberté, les femmes doivent être durement punies et humiliées, et la nudité est un moyen simple et efficace très apprécié des gardiens. Les gardes n'ont donc aucune pitié.
Ceci dit, Najoua n'est pas d'accord. Depuis son incarcération, elle ne cesse de se plaindre. Elle réclame des vêtements, cris et hurle à poil. Pire elle tente parfois de cacher ses seins ou ses parties intimes, hors ce comportement pudique est interdit. Les femmes doivent être dressées pour perdre toute traces de pudeur et de modestie.
Après avoir fait une brève présentation de la détenue signalée.
2/ Corruption, insécurité, manque de moyen.
L'un des autres problème est la corruption de certains membres du personnelle, une sécurité poreuse, et le manque de motivation de certains surveillants négligeant. Najoua pose différent problème quand elle n'est pas à l'isolement en confinement solitaire isolée. Elle profite de chaque occasion pour se plaindre et tenter d'avoir des contacts avec l'extérieur. Par exemple, elle a tenter d'appeler un visiteur de la croix rouge pour dénoncer la situation.
Certes globalement les agents font leur travail. Mais Najoua s'est procurer des objets illicites. L'enquête n'a pas encore réussi a déterminer comment elle s'est procurer la culotte. Certains gardiens sont suspectés d'être trop permissif.
Lors des inspections générales, des objets de confort interdit ont parfois été retrouvé. Une autre détenue, Marwa avait pu garder ses chaussettes, les gardiens lui avaient permis de les conserver sans savoir que c'était interdit. Lors de la fouille général, le responsable de secteur a été choqué et surpris qu'une détenue ait pu garder des chaussettes. Marwa a dit a un garde que le sol est froid et sale qu'elle souhaitait ne pas marcher pieds nus et un garde l'a par erreur autorisé à les garder en voulant bien faire.
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La prisonnière est exhibée et punie pour avoir porter une culotte et fait preuve de pudeur et pudibonderie.
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Depuis les autorités ont remis de l'ordre et réuni les surveillant pour expliquer les règles et que tant que ces femmes sont sous la protection et la responsabilité des Etats Unis dans la prison aucune d'entre elles ne doit porter de vêtements ne serait ce qu'une culotte.
De plus une campagne de fouille a été lancer dans la section féminine pour trouver des objets illicites.
Najoua a été punie et condamnée a exposée son anus et sa chatte poilue tout les jours pendant une semaine pour lui faire comprendre que ses fesses et son sexe sont ici visible pour le public.
Liens :
Interview d'une gardienne de prison