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dimanche 18 mai 2025

Fouille nue d'une détenue pudique et soumise.


Humiliante fouille à nu
Fouille (strip search).

Fouille à nue (strip search) lors du processus d'accueil en prison.

Abou Ghraib, Irak, 2005.

 

 Noor, une Irakienne de 27 ans, était assise à l’arrière d’un Humvee, les mains entravées par des menottes en plastique, le regard baissé. Son hijab noir couvrait ses cheveux, et son abaya, légèrement poussiéreuse, témoignait de sa foi sunnite et de sa pudeur. Murmurant des versets du Coran, elle tentait de calmer son cœur affolé. Accusée à tort de complicité avec des insurgés sur une dénonciation malveillante, elle avait été arrêtée trois jours plus tôt. Aujourd’hui, elle entrait dans un centre de détention sous contrôle américain.

Le véhicule s’arrêta dans un nuage de poussière à l’arrière du complexe. Deux femmes en uniforme militaire attendaient près d’une entrée. La première, une blonde d’une trentaine d’années au chignon strict, portait des galons sur son uniforme. C’était la sergente Mitchell, dont l’autorité froide intimidait Noor. Réservée et timide, Noor évita son regard, mais ne put ignorer la prestance de cette femme, qui la troublait étrangement.

« Noor al-Hassani ? » demanda la sergente Mitchell, consultant une feuille.

Noor hocha la tête, puis murmura : « Oui… Madame. » Sa voix tremblait, et elle rougit, gênée par son propre malaise.

« Nous sommes ici pour vous prendre en charge officiellement. Placez vos mains contre le véhicule. »

Noor obéit, posant ses mains contre la carrosserie brûlante. La seconde gardienne, silencieuse, la fouilla rapidement, inspectant son hijab et ses vêtements. Noor, submergée de honte, garda les yeux rivés au sol. Les menottes en plastique furent remplacées par des menottes métalliques, froides contre ses poignets. Elle murmura une prière, implorant la force.

Les gardiennes l’escortèrent vers un bâtiment entouré de barbelés. Un panneau indiquait « Intake ». La sergente activa sa radio : « Une pour l’admission. » La porte métallique s’ouvrit dans un bourdonnement.

À l’intérieur, l’air était glacial. On la fit asseoir face à un bureau encombré de dossiers. La sergente s’installa et lut : « Noor al-Hassani, 27 ans, cheveux noirs, yeux marrons, poids approximatif : 55 kilos. Est-ce exact ? »

« Oui, Madame », répondit Noor, intimidée par l’assurance de Mitchell. Une étrange fascination pour cette femme autoritaire naissait en elle, mêlée de crainte.

« Bien. Vous allez être conduite au traitement. Vous devrez retirer tous vos vêtements – vous serez toute nue, mais ne vous inquiétez pas, c’est entre femmes. Vous serez fouillée, recevrez votre uniforme, vos photos seront prises, et vous irez en cellule. Comprenez-vous ? »

Noor hocha la tête, mais la sergente la reprit : « Réponse verbale. Appelez-moi Madame. »

« Oui, Madame », murmura Noor, les joues brûlantes. L’idée de se dévêtir la terrifiait, mais la précision « entre femmes » l’apaisa à peine.

Les gardiennes la firent lever et l’escortèrent dans un couloir gris jusqu’à une porte marquée « Processing ». La sergente activa sa radio : « Une pour le traitement. » La porte s’ouvrit, révélant une pièce austère avec une table métallique, une chaise, et un coin pour les photos. Une troisième gardienne, à la table, tenait un bac en plastique. Noor sentit son estomac se nouer.

« Nous allons retirer vos menottes », annonça la sergente. « Tenez-vous droite, mains le long du corps, face à la gardienne à la table. Suivez ses instructions, ou votre désobéissance sera signalée. Comprenez-vous ? »

« Oui, Madame », répondit Noor, la gorge serrée.

Les menottes ôtées, Noor se tint droite, tremblante. La sergente et l’autre gardienne reculèrent près de la porte. La gardienne à la table ouvrit un sac en plastique : « Retirez vos boucles d’oreilles. »

Noor n’en portait pas. « Je n’en ai pas, Madame », dit-elle doucement.

La gardienne nota quelque chose. « Retirez vos chaussures et chaussettes. »

Noor défit ses sandales usées et ses chaussettes blanches, posant ses pieds nus sur le sol glacé. La gardienne inspecta les chaussures, les chaussettes, et ordonna : « Levez chaque pied, montrez-moi la plante. » Noor obéit, humiliée, tandis que la gardienne commentait : « Vous êtes bien sensible, hein ? On dirait que vous n’avez jamais marché pieds nus. »

Noor rougit, baissant les yeux. « Maintenant, retirez votre hijab. »

Noor défit les épingles, pliant le foulard avec soin avant de le tendre. Ses cheveux noirs tombèrent sur ses épaules. « Regardez-moi ça, on dirait une nonne qui se cache », ricana la gardienne, jetant le hijab dans le bac. Noor sentit les larmes monter.

« Votre abaya. »

Noor défit les boutons, laissant l’abaya glisser à ses pieds. Elle la tendit, restant en tunique et pantalon noirs. La pièce était si froide qu’elle frissonna, croisant les bras. « Bras le long du corps », ordonna la gardienne. « Pas la peine de jouer les pudiques ici. »

Noor obéit, rouge de honte. La tunique, puis le pantalon, furent retirés. En sous-vêtements, elle se sentit exposée. La gardienne lança : « Pas très épais, votre corps. On dirait une gamine qui se cache sous tous ces tissus. »

Noor, mortifiée, garda le silence. « Retirez votre soutien-gorge. »

Les larmes coulèrent alors qu’elle dégrafait son soutien-gorge, le tendant tout en couvrant sa poitrine. « Bras le long du corps », répéta la gardienne. « Arrêtez de faire la timide, ça ne sert à rien. » Noor obéit, exposant ses seins. La gardienne ricana : « Pas grand-chose à montrer, hein ? »

« Maintenant, la culotte. »

Noor, sanglotant, fit descendre sa culotte et la tendit, se tenant nue, pieds nus sur le sol froid, les mains le long du corps. « Regardez-moi cette pudeur ridicule », commenta la gardienne. « Vous croyez que votre Dieu vous regarde ici ? »

Noor ferma les yeux, récitant une sourate en silence. La gardienne dressa la liste : « Un hijab noir, une abaya noire, une tunique noire, un pantalon noir, un soutien-gorge blanc, une culotte blanche, une paire de sandales, une paire de chaussettes. Exact ? »

« Oui, Madame », murmura Noor.

« Signez ici. » Noor signa, tremblante. « Maintenant, la fouille corporelle. Éloignez-vous de la table, tenez-vous droite, bras le long du corps. »

Noor obéit, les larmes roulant sur ses joues. La gardienne prit une lampe torche, lui ordonnant de secouer ses cheveux, de tirer ses oreilles, d’ouvrir la bouche, de soulever sa langue. Puis, elle inspecta ses mains, ses aisselles, et ordonna : « Soulevez vos seins. » Noor obéit, humiliée, tandis que la gardienne lançait : « Rien à cacher là-dessous, visiblement. »

« Écartez les jambes. Écartez vos lèvres vaginales. » Noor, sanglotant, obéit, exposant son intimité. « Toujours aussi gênée ? Vous vous y ferez », railla la gardienne, inspectant avec sa lampe. « Tournez-vous, écartez vos fesses, accroupissez-vous, toussez. » Noor s’exécuta, chaque mouvement brisant un peu plus sa dignité. Enfin, elle leva chaque pied pour une nouvelle inspection. « Vos pieds sont trop propres pour une terroriste », ironisa la gardienne.

« Fouille terminée », annonça-t-elle. « Vous pouvez prendre une douche avant l’uniforme. Suivez-moi. »

Noor, toujours nue, fut conduite à une cabine de douche ouverte. L’eau froide la fit frissonner, mais elle se lava rapidement, sous le regard de la gardienne. Revenue dans la pièce, elle attendit, tremblante, pieds nus sur le sol glacé.

La gardienne revint avec une simple combinaison orange. « Voici votre uniforme. Pas de sous-vêtements, pas de voile. Les hijabs sont interdits. Enfilez ça, pieds nus. »

Noor, horrifiée, protesta faiblement : « Madame, s’il vous plaît… mon hijab, c’est ma foi. Je ne peux pas… »

La sergente Mitchell, qui avait observé en silence, s’avança. Sa voix était ferme, mais étrangement douce : « Noor, écoutez-moi. Ici, les règles sont strictes. Pas de hijab, pas de discussion. Vous devez vous conformer. Mais je veillerai sur vous, d’accord ? Faites ce qu’on vous dit, et ça ira. »

Noor, les larmes aux yeux, hocha la tête, vaincue. Elle enfila la combinaison, qui grattait sa peau nue. Sans sous-vêtements, elle se sentait encore plus exposée, et ses pieds nus sur le sol froid renforçaient sa vulnérabilité. Le numéro 47219 était cousu sur la poitrine.

« Mains derrière le dos », ordonna la sergente. Les menottes claquèrent. On la conduisit aux photos d’identification. Noor fixa l’objectif, puis tourna la tête pour les profils, son visage marqué par la honte et la résignation.

« C’est terminé », dit la sergente. « Vers votre cellule. »

 

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 Strip search. 

 

samedi 17 mai 2025

Prisonnière pudique sanctionnée.

Pas de pudeur en prison lors des fouilles
Fouettée et sanctionnée par les gardiens de prison.

 Fouettée et fessée en prison.

Par une journée étouffante de 2004, Amira 42 ans, arriva à la prison d'Abou Ghraib, le cœur lourd de honte et de peur. Détenue pour de vagues accusations de « risques pour la sécurité » à la suite d’une dénonciation mensongère d’un voisin, elle se tenait dans une pièce en béton sans fenêtre, entourée de cinq autres Irakiennes, toutes dans la vingtaine. Certaines arrêtées lors de rafles, d’autres trahies par des liens familiaux ou par pur hasard, elles partageaient la même indignité. Amira, élevée dans la pudeur et la préservation de sa dignité, tremblait à l’idée de se dévêtir.

Leurs vêtements civils, hijabs et effets personnels remplissaient une caisse qu’une soldate américaine avait déjà emportée. L’ordre aboyé résonnait dans l’esprit d’Amira : « Déshabillez-vous ! Tout, maintenant ! Pas de pudeur ici, détenues ! » Les gardiens – hommes et femmes soldats savourant leur autorité – lançaient des ordres d’une voix méprisante, indifférents aux sensibilités culturelles des femmes. Amira, paralysée par la honte, hésita, ses mains tremblantes agrippant son hijab. « Plus vite ! » cria une gardienne. Son retard, bien qu’involontaire, fut perçu comme une désobéissance.

La fouille à nu obligatoire et l’inspection des cavités corporelles, effectuées devant le groupe, constituaient la première étape pour briser les nouvelles détenues. La politique des soldats semblait conçue pour maximiser l’humiliation. Alors que des mains gantées exploraient son corps, y compris une inspection anale invasive, Amira sentit ses joues s’enflammer de honte. Les jeunes femmes pleuraient en silence, les yeux rivés au sol. Un soldat ricana : « Si tu n’aimes pas ça, tu n’avais qu’à obéir plus vite, terroriste ! »

Pour son hésitation à se déshabiller, Amira fut immédiatement punie. « Tu veux traîner ? » lança une gardienne. Au lieu de passer à l’étape suivante, elle fut forcée de poser nue pour ses photos d’admission, le flash de l’appareil gravant son humiliation. Puis, les gardiens la traînèrent dans une petite pièce à l’écart, où deux soldates lui administrèrent cinq coups de lanière en cuir sur le dos, chaque coup un rappel cinglant de son impuissance. La douleur était vive, mais c’était l’exposition – son corps dénudé devant des étrangères – qui la blessait le plus profondément.

La fouille fut suivie d’une pulvérisation de désinfectant et d’une douche froide en groupe, les femmes exposées sous les regards des soldats. Puis vint le rasage obligatoire du pubis, effectué avec des rasoirs émoussés par une soldate indifférente, ajoutant une nouvelle couche d’humiliation. Amira, comme les autres, sentit son intimité violée davantage, son corps exposé sans égard pour sa dignité. La perte de son hijab, qui couvrait ses cheveux, lui donna l’impression qu’on lui volait son identité. Elle serra ses bras contre sa poitrine, désespérée de se protéger.

Après la punition, Amira fut envoyée directement dans une cellule d’isolement pour une nuit – toujours sans vêtements – pour « apprendre à obéir rapidement »

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Traitement et procédures d'incarcération.

mardi 13 mai 2025

Les femmes humiliées lors des fouilles.

Strip search, humiliation collective.
Fouille collective nue très humiliante en prison.


 Femmes humiliées lors d'une rafle de l'armée.

 

Prison dAbou Ghraib en 2004.

 

 La nuit vibrait encore de l’attaque au mortier dans Al-Mansour. Les blindés américains avaient envahi le quartier, et les rafles avaient rempli un camion de quinze femmes, âgées de 19 à 35 ans, arrachées à leurs foyers sans accusation. Amina, 24 ans, institutrice, tremblait à côté de Layla, 19 ans, étudiante pieuse, de Fatima, 32 ans, mère de famille, et de Noor, 28 ans, vendeuse au tempérament rebelle. Sunnites, chiites, chrétiennes, kurdes – leur diversité importait peu. Elles étaient des corps à soumettre, des esprits à briser, dans une détention administrative sans procès.

Le convoi s’arrêta à Abou Ghraib, la prison de l’horreur. Sous des projecteurs aveuglants, les femmes furent poussées dans une cour de béton, leurs pieds nus écorchés par le sol rugueux. « Déshabillez-vous ! » hurla un soldat, secondé par un interprète irakien, la voix tremblante de honte. Les femmes se figèrent. Amina, élevée dans la pudeur, sentit ses jambes flancher. Layla, en pleurs, serra son hijab contre elle. Fatima murmura une prière, ses mains crispées sur sa robe. Noor, plus dure, lança un regard de défi, mais ses doigts hésitaient.

Les gardes, tous hommes, ne patientèrent pas. Ils s’avancèrent, arrachant foulards, abayas, tuniques. Amina tenta de retenir sa culotte, un réflexe désespéré pour préserver un semblant de dignité. Un soldat la gifla, tirant le tissu si fort qu’il se déchira. Layla, en sanglots, s’accrocha à son soutien-gorge ; un garde le coupa avec un couteau, riant de ses cris. Fatima, paralysée, oublia ses chaussettes dans la panique ; un soldat les arracha, moquant ses « pieds sales ». Noor, déterminée à ne pas supplier, enleva tout sauf sa culotte, qu’un garde fit glisser lentement, savourant son humiliation. Une femme, chrétienne, tenta de cacher ses seins ; un coup dans le dos la força à se redresser. Les vêtements, symboles de leur identité, furent jetés dans un brasier, leurs odeurs de tissu brûlé emplissant l’air.

Nues, exposées, les femmes furent alignées pour une fouille humiliante. Des gardiennes américaines, visages durs, prirent le relais, traitant les prisonnières comme du bétail. Amina sentit des doigts gantés fouiller ses cheveux, arrachant des mèches. Une gardienne lui ouvrit la bouche, inspectant ses dents, sa langue, comme si elle cherchait des armes dans sa gorge. Ses oreilles furent sondées, son nombril scruté. Puis vint le pire : on lui ordonna d’écarter les jambes. Une gardienne, sans un mot, inspecta son vagin et son anus avec une lampe et des doigts intrusifs, ignorant ses tremblements. Entre ses fesses, la fouille était brutale, déshumanisante. Layla, à côté, sanglotait, incapable de supporter l’intrusion. Fatima, stoïque, serrait les dents, mais ses yeux trahissaient sa douleur. Noor jura à voix basse, ce qui lui valut un coup. Les gardiennes passèrent aux pieds, écartant les orteils d’Amina, grattant sous ses plantes comme si la saleté était une preuve de culpabilité. Chaque femme subit ce rituel, certaines hurlant, d’autres se murant dans le silence.

Le processus se poursuivit, méthodique, implacable. Les femmes, encore nues, furent conduites à une table pour les mugshots. Une à une, elles durent fixer un appareil photo, les flashs brûlant leurs yeux. Amina, les joues inondées de larmes, entendit le clic de l’appareil immortaliser sa nudité. Layla tenta de baisser la tête ; un garde lui releva le menton de force. Les photos, elles le savaient, seraient diffusées, leur honte rendue publique.

Ensuite, une douche collective. L’eau, froide et puante, jaillissait de tuyaux rouillés. Les gardiennes hurlaient : « Lavez-vous, sales bêtes ! » Amina frotta son corps, essayant de se concentrer sur l’eau, mais les regards des gardes masculins, postés à l’entrée, la transperçaient. Fatima⁓Fatima, épuisée, s’appuya contre le mur, son corps tremblant. Noor, plus résistante, se savonna avec défi, mais même elle ne pouvait ignorer les rires. Layla, paralysée par la honte, se recroquevilla, à peine capable de bouger.

Puis vint l’épouillage. Une gardienne aspergea les femmes d’un produit chimique âcre, brûlant leur peau. Amina toussa, les yeux piquants. Layla, fragile, s’étouffa, tandis que Fatima murmura des prières pour ses enfants. Noor, malgré tout, lança un regard noir à la gardienne, qui répondit par un sourire cruel.

Chaque femme reçut un bracelet en plastique, gravé d’un numéro. Amina était désormais « 472 ». Plus un nom, juste un chiffre. Les formalités administratives suivirent : des formulaires en anglais, incompréhensibles, signés sous la menace. Amina apposa son empreinte digitale, les mains tremblantes. Layla pleurait doucement, Fatima fixait le vide, Noor serrait les poings.

Enfin, le cortège final. Enchaînées, les coudes tirés en arrière par des menottes, les quinze femmes paradèrent, nues et pieds nus, vers les cellules. Les couloirs gris d’Abou Ghraib résonnaient des insultes des gardes : « Avancez, chiennes ! ».

 

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Interrogatoire renforcé. 

mercredi 15 janvier 2025

La prison avilie les femmes fières et digne

 

Humiliation intégrale en prison
Se mettre à poil et écarter les fesses devant un gardien de prison

Nudité et fouille en prison pour briser les prisonnières.

Dans cette prison américaine, depuis le retour de Donald Trump au poste de président, les autorités pénitentiaire en mis en place des mesures de discipline et de contrôle très strictes pour soumettre totalement les captives.

Les autorités utilisent les fouilles et la nudité forcée comme mode de gestion de la prison pour soumettre et humilier totalement les femmes prisonnières.

Nora, une jeune femme américaine d'origine arabe  et musulmane arrêtée lors d'une manifestation pour la Palestine a été condamnée à 30 jours de prison fermes pour une juge locale pro Trump et pro Israël.

La juge, réputée très sévère et sans pitié n'épargnent rien aux femmes qu'elles condamnent, chaque jours de prison doit être une punition; même pour les infraction mineures.

Nora en arrivant a été soumise à la fouille complétement nue et pieds nus, et la juge a décider d'autoriser des hommes à regarder, de plus, le traditionnel mugshot et les prises d'empreintes se sont déroulés dans la plus totale nudité.

Le voile (hijab) est totalement interdit, ainsi que les vêtements et les chaussures car la juge a stipuler que Nora serait dangereuse et suicidaire et donc sous le statut de nudité totale et permanente.

Nora n'aurait jamais dans ses pires cauchemar devoir exhiber l'anus et tousser devant tout le monde,  plusieurs fois par jours.

Les gardes se moquent d'elle et l'insulte régulièrement de putes, de chienne, de terroristes, et elle doit payer, morfler.

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Nudité forcée en détention.

dimanche 12 janvier 2025

Ma femme humiliée et incarcérée en Amérique

Fouille collective humiliante
Fouille et humiliation publique.

Les gardiens américains de la prison de conté de Greenwood  ont pour consigne d'humilier et de dresser les détenus pour réduire la délinquance et les incivilités. Le shérif est l'un des plus sévères du pays, il est très populaire et est appuyé par le gouverneur républicain pro Trump.

Mon épouse, Rania, une femme franco marocaine musulmane, qui était la pour ses études s'est faite arrêtée lors d'une manifestation en faveur de la Palestine et la police l'a conduite dans le centre de détention du conté.

Sur place, Rania était avec 3 autres femmes américaines,  l'une est membre d'un gang, l'autre est probablement là pour fraude fiscal les gardiens les ont placé dans une salle réservée à l’accueil

D'une part, elles sont misent toutes nues et soumises à des fouilles et inspections très poussées devant tout le monde, y compris des hommes. Les gardiens aiment faire comprendre aux femmes quand ils leurs ordonne d’enlever leurs vêtement, tout bien sur, "Il faut tout montrer aux gardiens" ricane un des surveillants.

En Amérique les femmes peuvent être fouillées par des gardiens hommes au nom de l'égalité entre les sexes, et de plus sans aucune intimité devant tout le monde, les femmes culturellement pudiques et réservées comme mon épouses doivent elles subir le même processus humiliant : Se déshabiller et se faire fouiller en public.

Le shérif a décider que la nudité était  naturelle, et dans sa prison, les femmes sont toutes traitées de la même façon sans distinction de religion: Nue, pieds nus avec fouilles des anus et des vagins, dessous les seins et entre les orteils.

Aucune intimité n'est prévue, surtout depuis le retour de Trump, ou les autorités sont autorisées à utiliser de méthodes punitives dont les fouilles corporelles et les mise à poil en publique font partie.

Les délinquantes sont en général humiliées pour l'exemple et en public pour générer de la crainte.

 

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En garde à vue.

 


samedi 11 janvier 2025

L'arrestation de Safia par le shérif

Le processus humiliant de l'incarcération
Prise de photos nue avant d'aller en cellule.


 Safia est une jeune femme américaine musulmane d'origine arabe de parents libanais et musulmane, elle vit dans cette petite ville dans le Tennessee depuis sa petite enfance.

La jeune fille est une brillante étudiante à l'université, et par conscience citoyenne, avec le soutien de ses professeurs et certains de ses amis étudiant elle est partie manifester pour soutenir le peuple palestinien face au massacre.

La manifestation s'est mal passé, plusieurs manifestants ont attaquer les policiers et la police a du procéder à des arrestations, souvent assez arbitraire et Safia s'est malheureusement retrouvée dans le lot et se retrouve officiellement accusée d'attroupement illégaux.

Les manifestants et manifestants sont conduites dans les locaux du shérif  locale avec un petit centre de détention du conté géré par ce dernier, pour les gardes à vue.

Le shérif est un homme qui prend très au sérieux la sécurité et dont la prison est très redoutée par les femmes.

Safia est une personne très pudique mais le shérif lui réserve le même sort qu’à toutes les malheureuses détenues.

Les rares femmes musulmanes voilées comme Safia sont soumises à la procédure : prises d’empreintes, et la fouille à nue et la prise de photographies.

Safia doit tout enlever devant le représentant de la loi, et mettre sa pudeur de côté, se mettre toute nue est très difficile pour elle car c'est une fille pudique, peu de gens hormis son ex et les médecins l'ont vue à poil, et comme toute bonne musulmane elle porte le voile (hijab) et s'habille de façon très modeste.

Elle supplie et invoque divers droits pour refuser la fouille, elle prétend que ses droits constitutionnel sont bafoués, car devoir se déshabiller en public et devant des hommes serait une grave violation de sa dignité !

Hors avant elle, les juges ont estimé que les méthodes du shérif étaient parfaitement légales et justifiées pour des raisons de sécurité.

Le shérif filme toujours les fouilles et laisse assister des témoins pour prévenir toute accusation d'agression sexuelles.

La jeune femme n'a pas son mot à dire, le shérif est stricte et sans concession : il exige la plus totale nudité : même les montres et les élastiques à cheveux sont confisqués !

Il faut tout enlever, être nue et pieds nus pendant tout le processus de fouilles et d'enregistrement.

 

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Humiliée et interrogée.


jeudi 5 décembre 2024

Un gardien témoigne du sort réservé aux prisonnières.

Forcer les femmes à rester nue en prison.
Humiliation collective en prison.

Témoignage exclusif d'un ancien garde de la prison.

Les détenues irakiennes de la prison militaire américaine d'Abou Ghraib sont traitées comme pires que des bêtes. Ces femmes sont fouillées à poil et en  public devant tout le monde sans aucun respect pour leur dignité et leur pudeur !

C'est sur qu'entre nos mains, elles perdent vite toute traces de timidité et de pudeur, nous avons pour consigne de les garder complétement nues et pieds nus en permanence 24/24h et 7/7j. Nous les dressons pour leur apprendre le respect et l'humilité, qu'elles soient musulmanes sunnites, chiites, chrétiennes ou peu importe, elles sont toutes à poil.

Elles arrivent très pudiques, voilées de la têtes aux pieds avec leurs abayas et hijab, des tenues pudiques couvrant tous leurs corps et nous les déshabillons devant tout le monde pour les humilier et remettre en place !

Elles sont forcées de parader  nues dans toute la prison pour que les gardes puissent les voir à poil, ainsi que les autres prisonniers car c'est bien de les humilier devant leur communauté, de montrer aux hommes ce qu'ont fait à leurs femmes.

Elles sont interdites de tout morceau de tissu et doivent tout montrer,  et accepter la nudité et d'être vues à poil.

Nous les inspectons et fouillons plusieurs fois par jours pour s'assurer qu'elles ne dissimulent rien sous leurs seins, dans leurs cavités (anus et vagin), entre leurs orteils, dans leurs bouches car les femmes peuvent cacher plein de truc en elle ce qui nécessite une vigilance absolue.

Nous nous moquons d'elles, faisons sans cesses des remarques sur leurs seins, la forme de leur cul, sur l'odeur de certaines, elles doivent se sentir comme pire que des bêtes.

Nous leur hurlons dessus des ordres pervers comme "écarte tes fesses et ouvre ton anus de pute".

Elles ne mettrons jamais de voile, ni de robe, ni de culotte, soutien gorge, chaussures ou chaussettes tant qu'elles seront sous notre garde dans cette prison. C'est 100% nue.

Lien :

Humiliation publique.

mercredi 6 novembre 2024

Briser psychologiquement les prisonnières.

Punir et humilier les femmes en prison en les mettant nues.
Femme prisonnière entièrement nue et pieds nus.

 

 Avril 2004 dans la prison irakienne d'Abou Ghraib.

La nudité forcée et les fouilles à nu sont des punitions cruelles que les gardiens américains de la prison d'Abou Ghraib imposent sans pitié aux femmes irakiennes détenues dans ce sinistre endroit.

Ces femmes ont perdues tous droit à la dignité en arrivant dans cette prison, et elles doivent se soumettre de gré ou de force à des inspections nues très dégradantes et invasives. Les gardiens n'ont aucune pitié ni aucun états d'âmes à punir ces femmes qui sont suspectées de terrorisme.

Les femmes sont totalement humiliées dès leur arrivé. La nudité totale est obligatoire, les détenues sont pourtant de confession musulmanes et issue d'une culture moyen oriental très pudique, et les gardes sadiques et pervers forcent ces femmes à se déshabiller complétement devant eux sans aucun respect pour leurs pudeur.

Elles sont terrorisées, mais les surveillants sont là pour leur montrer qui est le patron. Vous imaginez bien que ces détenues sont toutes voilées et couvertes de la têtes aux pieds comme la majorité des irakiennes, et qu'on les obligent à tout enlever. Les femmes n'ont pas le droit de porter de voile ni aucun signe ayant une connotation culturelle ou religieuses qui sont mépriser et moquer par les gardes, donc bien sur qu'elles retirent tout, et pas seulement les hijabs ...

C'est entièrement nues qu'on les retrouve, sans aucun morceau de tissus pour dissimuler leurs corps, sans chaussures.

Elles sont exposées à poil, pieds nus sans chaussettes pour des fouilles agressives, complètes et minutieuses. Les gardes touchent  et pincent leurs seins, leurs chattes, leurs fesses tout en les insultant et se moquant des prisonnières nues.

Ensuite, le cauchemar continue, elles sont prises en photo à poil, puis obliger de parader nues jusque dans leurs cellules d'isolement en confinement solitaire.

Lien :

Groupe de femmes nues.

samedi 5 octobre 2024

La mise à nu en prison.

L'obligation d'être nue en prison.
Prisonnière nue devant les gardiens.


Femme pudique obligée d’être nue en prison.

Ce moment est très redouté par les femmes musulmanes pratiquantes comme Meriem c'est le déshabillage obligatoire et la nudité forcée que les gardiens de la prison militaire d'Abou Ghraib imposent aux détenus hommes et femmes dès l'admission.

 Ici les gardes les méprisent et prennent du plaisir à humilier une femme pudiques et voilée qui n'a jamais été exposée en publique ni en privé.

Déjà, l'un des gardiens américain avec un sourire narquois explique à Meriem qu'elle doit mettre tous ses vêtements,  son hijab, ses chaussures, ses bijoux, sa montre, ses papiers d'identités, et même ses épingles à cheveux.

Les gardes n'ont pas non plus oublier d'obliger Meriem à se mettre pieds nus car elle n'avait pas non plus envie d'enlever ses petites chaussettes.

Les prisonnières ici doivent comprendre qu'il ne fait pas être pudique, la politique de la prison obligent les gardes à  s'assurer que chaque femme soit complétement déshabillée et minutieusement fouillée (les anus , bouches et vagins sont vérifiés) mais aussi pour bien se moquer d'elle pendant l'opération.

 Ceux sont des femmes suspectées de terrorisme, les gardes doivent les mépriser et n'avoir aucun états d'âme, les mettre à poil est tout à fait normal, les femmes qui arrivent ici ne sont pas dignes de porter des vêtements.

Pour aller plus loin,  il ajoute qu'à Abou Ghraib, les femmes doivent respecter un minimum les règles de décences et d'hygiène et donc se raser la chatte, les poils pubiens étant interdit pour une sensation encore plus nue.

Lien :

La prisonnière d'Abou Ghraib.

 


mardi 1 octobre 2024

Les humiliations perverses que subissent les femmes en prison

 

Fouille des cavités nue en prison.
Prisonnière nue lors de la fouille anale et vaginale obligatoire.

Une prisonnière musulmane choquée par le processus d'incarcération.

 1/ Malika en 2024.

Aout 2024 , Malika est une femme d'origine irakienne musulmane sunnite mariée, mère de famille et est une brillante avocate, elle a 38 ans, elle habite dans une belle maison de la banlieue de Londres, en Angleterre, elle est naturalisée citoyenne britannique en 2011, et est d'origine irakienne. C'est une femme arabe, elle porte une longue et élégante robe arabe mauve et brodée, un grand hijab blanc de type satiné. Elle porte le voile depuis l'age de 14 ans, par piété et pour faire comme les femmes de sa famille très conservatrice.

Presque 20 ans après,  le fantôme de la prison d'Abou Ghraib hante encore ses jours et ses nuits. Son passage dans cette prison reste son pire cauchemar. Même plusieurs années après les faits, elle reste très choquée et a du mal à en parler à son entourage. Certes, de nos jours elle n'est plus autant sollicité qu'en 2006, date de sa sortie de prison, elle n'a pourtant passer que 5 mois dans le fameuse prison.

Même son mari ne sait pas exactement ce qui s'est passer, il sait juste qu'elle n'a pas été violée ni durement battue, elle lui a promis. Malika avait alors environs 19 ans quand elle est allée en prison, elle vivait encore en Irak, et comme plusieurs membres de sa famille étaient recherchés pour leurs liens avec l'ancien régime et leur participation à la résistance, les américains l'ont arrêtée sans motif précis, surtout pour faire pression sur les hommes de sa famille et les inciter à se rendre. C'est ce qui  explique probablement l'absence de violences physiques à son égard, et le fait qu'elle n'ait pas été interrogée durement.

Ceci dit, son estime d'elle même et ses croyances religieuses ont été misent à rude épreuve. Certaines phrases ou expression l'a font toujours frissonner. Ses joues deviennent toute rouge quand on évoque sa détention.

Malika a toujours refuser de répondre aux médias sur ses conditions de détention. Cependant, en fin de détention elle s'est plusieurs fois entretenue avec des membres du Comité International de la Croix Rouge (CICR). 

2/ La détenue n°20044558

Malika est arrivée à la prison d'Abou Ghraib en juin 2005 et elle est ressortie début d'année 2006 sous le numéro d'écrou n°20044558 . 

Les éléments que nous allons donner ci dessous sont factuels, car nous avons croiser plusieurs sources : les rapports du CICR, le rapport Taguba, le  rapport Faye, les avis de la commission d'enquête spéciale, les témoignages d'anciens gardiens et d'ancien détenus ayant acceptés de témoigner etc. Pour connaitre le mieux possible le parcours de Malika malgré ses silences.

Les personnes gardées en isolement à Abou Ghraib sont selon toutes les sources gardées sans aucun vêtements. D'ailleurs Malika lors de son arrestation portait une abaya beige et un foulard blanc et lors de sa libération elle portait juste un jogging, T shirt et des tongs, nous ne savons pas ce qui est arrivé à ses vêtement initiaux et l'ex détenue  reste très évasive quand ont lui demande.

Malika à l'instar des prisonnières irakiennes musulmanes détestent  devoir se déshabiller, pourtant, lors du processus d'admission la jeune détenue a été soumise à la fouille corporelle devant une équipe de gardes mixtes hommes femmes.

Le rapport stipule que : 

"Une soldate en uniforme ordonne à la détenue :

"Enlève ta montre, remet nous là avec tes bijoux, ton argent et tes papiers". En lui indiquant une petite boite de scellé. 

Ensuite sur un ton acide : "Débarrasse toi de tout cet accoutrement, il faut tout enlever et mettre ça dans la boite.

"Devant tout le monde ? mais il y a des hommes !"

"Oui et alors c'est leur travail, des fesses et des chattes ils en voient tous les jours il ne faut être être modeste ici, et si tu le veux ils peuvent d'aider à faire ce "strip tease" ils sont comme tu le vois assez costauds ..."

"Il faut tout enlever, d'abord les chaussures ..."

Malika se penche et défait ses converses avant de les tendre à l'américaine qui les fait examiner par ses camarades.

"Retire ton foulard"

Malika obtempère et libère sa belle chevelure noire.

"Donne nous ta robe"

La prisonnière prend quelques instant pour enlever son abaya, elle ne porte en dessous que des sous vêtements très sexy noirs en dentelle.

 "Les chaussettes sont interdites" et la détenue découvre ses jolis pieds nus.

"Ah non" grogne la jeune femme.

"Quoi tu n'es pas contente d'être pieds nus ?"

"Soutien gorge tout de suite ou je te l'arrache !" hurle un garde pour la brusquer.

 Puis on lui hurle :

"La culotte !"

"Défait tes cheveux, enlève les élastiques et les broches si tu en a".

La jeune prisonnière est inspectée de la tête aux pieds, ses oreilles, sa bouche et sa dentition sont examinés comme si elle était une bête de foire. On lui palpe les seins et le nombril, elle doit remuer ses orteils et se faire contrôler la plante des pieds.

Mais le pire c'est quand elle doit s'allonger sur le bureau des jambes écartées comme chez le gynéc pour se faire inspecter et fouiller le vagin et l'anus."

 

Malika a été contrainte subit  une fouille corporelle avec inspection de son anus et de son vagin à chaque entrée et sortie du quartier d'isolement, à chaque visite du CICR, bref quasiment une fois par jours.

De plus elle est restée nue et pieds nus la plupart du temps en isolement.


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Gardien de prison.

dimanche 29 septembre 2024

Marianne humiliée et fouillée nue sur son lieu de travail

Une comptable fouillée et humiliée par des policiers.
Fouille à nue complète d'une suspecte par les flics.

 Une employée humiliée devant ses collègues.

 Marianne, comptable âgée d'une trentaine d'années qui travail dans grande entreprise a été dénoncée anonymement par un de ses collègues comme transportant régulièrement de la drogue. Selon le courrier reçu par le commissaire de police Marianne proposerait du cannabis et d'autre produits stupéfiants plus durs et dangereux aux gens du quartier.

Elle cacherait des stocks de produits illicites dans son bureau.

Prenant l'information au sérieux, des agents de la brigades anti criminalité sont venus contrôler la suspecte.

Marianne est une femme assez calme et tranquille, elle est très surprise de voir la police rappliquer pour elle, elle pense que c'est un malentendu , elle n'a jamais fumer ne serait ce que du tabac et sait à peine reconnaitre l'odeur du shit.

Elle n'est pas très inquiète au début, sauf que la situation est vite devenue difficile et embarrassante quand les agents lui ont ordonner de se déshabiller, elle est devenue toute rouge, elle a demander si c'était possible en privé et avec une femme policier,  surtout que le policier a rajouter calmement et cyniquement "C'est une perquisition, déshabille toi ici et devant tout le monde, tu retire tout ! y compris tes chaussures et tes chaussettes".

Marianne pleure et tremble, mais elle n'a pas le choix, elle connait la réputation des policiers et elle est de nature assez soumise à l'ordre et à l'autorité.

Elle se déshabille devant les policiers, mais aussi devant ses collègues, dont certains sont choqués et ébahis, et d'autre ricanent et soutient des malheurs de la comptable ...

Certaine sortent leurs téléphones pour prendre des photos et faire des vidéos qui seront diffuser sur les réseaux sociaux. C'est très humiliant, et les flics ne voient aucun mal au fait qu'on filme ...

Marianne est complétement nue et pieds nus, elle pleure et baisse les yeux, elle n'a jamais été aussi humiliée de sa vie, le pire, c'est qu'on lui dit de sortir de son bureau, totalement à poil.

La pauvre comptable est obligée de parader nue dans les locaux de son entreprise, sous les yeux de son patron et de ses collègues dont certains se marrent en la voyant passer, l'un d'entre eux se permet même de dire "Hey la comptable est cul nu, venez voir ça les gars".


Ensuite Marianne est inspectée et fouillée de partout par deux flics, ils sont sans pitié, et la jeune femme se voit brusquement parler les seins, puis soumise à une fouille profonde de son anus et de son vagin avec l'introduction de doigt lubrifiés dans son cul.

Humiliante et dégradante fouille de Marianne ...
Fouille et inspection de l'anus et du vagin de la suspecte...

Mais le cauchemar de note comptable ne s'arrête pas là, les policiers lui confisque ses vêtement et ses chaussures pour faire des analyses. Mais comme il faut faire les bilans , elle ne peut pas rentrer chez elle et doit finir sa journée de travail complétement nue dans la honte ...


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Séquestrée nue par son patron.


dimanche 25 août 2024

Malika tente de résister et se fait déshabiller de force en prison.

La nudité et obligatoire, les prisonnières mise à poil de force
Une prisonnière déshabillée de force par les gardiens.

 Une détenue déshabillée de force par les gardiens de prison.

 

Dans la prison d'Abou Ghraib en 2004 en Irak,  les gardes font régner l'ordre et  gare à toute personne qui tente de résister. Un ancien détenu se rappel avoir vu  une jeune femme qu'il connait, Malika, une étudiante de son université qui a été arrêtée par les forces américaine pour avoir participer à des actions de protestation contre la présence américaine sur le campus.
 
La jeune femme irakienne est mate de peau, très pudique et fière, elle porte habituellement le hijab et une longue robe  traditionnelle arabe, c'est une fille forte de caractère et fervente musulmane.
Les gardes ont bien rigoler en la voyant arriver toute habillée. Ils mettent à poil tout le monde, et aiment spécialement s'occuper des femmes qui tombent entre leurs mains.

Ils détestent les femmes pudiques et voilées, vous vous doutez bien que Malika n'était pas très coopérative à l'idée d'enlever son voile et ses vêtements devant tout le monde, et bien sur devant des hommes (gardes et prisonniers masculins).
 
Après plusieurs somation ordonnant à Malika d'enlever ses vêtements comme toutes les autres.
Face à la pression la plupart des femmes retirent d'elles même  mais  les plus fières nécessites parfois l'usage de la force, car pour les gardes il est hors de question de permettre à moindre prisonnière de garder le moindre morceau de tissus.
 
Le mieux c'est quand les irakiennes se déshabillent en pleurant et suppliant car c'est bien plus dégradant pour une femme pieuse respectable de faire un strip tease public, de se soumettre au occupants.

Les gardes ont plusieurs fois expliquer que Malika finirait nue dans tous les cas, que les américains n'acceptent pas de voir leurs prisonnières couvertes. La responsable de la section se veut d'abord pédagogique. 
 
"Les détenues sont nues sans exception, nous n'acceptons pas les vêtements, c'est notre règle ici, nudité totale, les femmes ici sont nues devant les hommes aussi, sans rien cacher.".

Les déshabillages se font toujours devant des spectateurs masculins, les femmes en sont bien plus dégrader.
 
Malika est très énervée elle estime avoir le droit de rester habillée, mais la politique consiste à humilier et dégrader au maximum les détenues.

Après les sommation  d'usage, la jeune rebelle est saisie par des solides gaillards qui lui arraches ses vêtements, tout y passe y compris ses chaussures et chaussettes, car les femmes sont toutes pieds nus.

Elle sent aussi les doigts des gardes s’insérer dans son anus.


Prisonnière attachée et humiliée nue
Prisonnière attachée nue  en position de sécurité.


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samedi 24 août 2024

Les femmes déshabillées lors des prises de guerre

La nudité forcée est difficile à vivre pour les prisonnières musulmanes pudiques.
Nue et pieds nus lors de la prise de photo en prison.

Humilier les prisonnières de façon systématique.


Lors de la seconde guerre du golfe de 2003 à 2011, les États Unis ont envahi l'Irak et occupé ce pays et ouvert divers cente de détention  dont la tristement célèbre scandale qui à frapper la prison d'Abou Ghraib dans les environs de la capitale Bagdad.

Les médias ont beaucoup parler du sorts et des sévices subis par les hommes, mais assez peu des femmes prisonnières qui sont passées dans les geôles US.

Comme pour les hommes, la nudité et les humiliations sont au cœur du protocole de détention et d'interrogatoire renforcé mis en place par le renseignement militaire.

A l'image de Yamina, 35 ans, commerçante importante dans son quartier et soupçonnée de lien avec l'ancien régime, les femmes irakiennes sont soumises à un traitement stricte et musclé.

Lorsqu'une femme passe entre les mains des gardiens d'Abou Ghraib, elle est obligée de se déshabiller sans aucun respect pour sa pudeur et sa dignité. Elles sont littéralement dépouillées, dévoilées et déculottées sous les rires des gardiens.

La nudité forcée est jugée essentielle, pour humilier les détenues musulmanes arabes, il faut les punir et les mettre à poil, les gardes en général découpent ou brulent les voiles et les robes des prisonnières devant elles, elles doivent aussi retirer leurs sous vêtements et leurs chaussettes pour celles qui en portent, les détenues sont toutes nues et pieds nus et pour des raison officielles de propretés et d'hygiène les prisonnières doivent avoir la zone vaginale et anale rasée.

L'humiliation est totale.


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Histoire BDSM à Abou Ghraib.




 

Nudité forcée dans les prison de haute sécurité.

 

Les femmes ne portent pas de vêtements en prison.
Nue dans sa cellule de prison.

Enfermée et gardée nue plusieurs semaines dans la prison.

Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, les Etats Unis ont mener plusieurs guerres dont celle d'Irak ou ils ont fait de la prison d'Abou Ghraib dans les environs de la capitale Baghdad un centre de détention de haute sécurité avec des conditions de vie très difficiles.

Et les femmes irakiennes détenues sont elles aussi soumises à des traitements dégradants et à une discipline stricte.

Par exemple, une jeune femme prénommée Rania, incarcérée pour soupçons de liens avec l'ancien régime est gardée en confinement solitaire dans l'aile d'isolement de la prison. Tout d'abord, elle passe parfois plus de 23/24h enfermée dans une petite cellule en permanence allumée, sans literie, disposant seulement d'un robinet et de toilettes turques, et constamment surveillée par les gardiens.

Comme les autres personnes privées de liberté, la prisonnière est interdite de porter le moindre vêtement, les femmes sont obligées de rester nues durant leur détention.

Comme la plupart des femmes musulmanes, Rania est très pudique et porte le voile et l'abaya, mais en prison, ces tenues pudiques et religieuses sont interdites, et confisqués, ainsi que le reste des vêtements et les chaussures, les femmes reste nue et pieds nus en permanence.

Les autorités de la prison sont intraitables sur la nudité, malgré les protestations des détenues et de leurs avocats et soutient, aucun vêtement ne peut être remis à Rania ni à aucune autre prisonnières en isolement.

Sa famille et ses avocats ont quand même réussi à lui faire remettre ses lunettes, mais les autorités refusent  que la détenue puissent porter le moindre vêtements. 


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Incarcération.


vendredi 23 août 2024

La nudité forcée s'applique aussi pour les femmes prisonnières.

Prisonnière nue et pieds nus pour la fouille à corps.
Les prisonnières doivent même enlever obligatoirement leurs chaussures car c'est toute nue et pieds nus

Les femmes prisonnières doivent se déshabiller devant les gardes.


Durant la guerre en Irak entre 2003 et 2011, les observateurs ont constater que les femmes irakiennes détenues par les forces américaines dans la prison d'Abou Ghraib sont soumises à des traitements difficiles et gardées en isolement.

Les femmes incarcérées ont entre 25 et 55 ans, pour des liens avec l'ancien régime, des soupçons d'activités anti coalition, des liens avec des groupes terroristes, des liens familiaux avec des personnes recherchées (comme Mariam ici sur la photo qui est la soeur d'un officier en fuite), ou susceptibles de détenir des informations dites "stratégiques".

 Ceux qui est le plus frappant pour les visiteurs, c'est qu'à Abou Ghraib, les prisonniers sont gardés complétement nus, y compris les femmes.

Mariam, a été découverte complétement nue dans sa cellule, et des photos d'elle ont été prise durant sa fouille d'entrée. Ce fut une grande surprise de découvrir qu'elle était complétement à poil, pour les gardes c'est tout à fait normal, ça fait parti du processus, c'est une technique d'interrogatoire visant à faire pression psychologiquement sur les prisonnières, à les humilier et à les punir.

Les gardes forcent les prisonnières musulmanes  comme elle à rester nues. Celle qui par piété comme Mariam porte le voile hijab et des vêtements très amples et larges pour cacher leurs corps et dissimuler leurs formes sont très humiliées et choquées de devoir être à poil.

Le gardien responsable de la fouille et de l'arrivé de la nouvelle prisonnière lui à même fait enlever ses chaussures, car la détenue avait "oublié" et espérait que surveillant tolérerait au moins qu'elle conserve ses chaussures pour éviter d'avoir à marcher pieds nus sur le sol sale et poussiéreux de la prison.

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Prison de haute sécurité.

 

samedi 17 août 2024

Une femme obligée de se déshabiller et fouiller nue par un homme.

 

Une femme soumise à une fouille à nue par un garde qui lui inspecte l'anus et la chatte.
Une prisonnière lors d'une fouille anale en prison.

Humiliation systématique des prisonnières.

 
 Irak, 2004,  prison d'Abou Ghraib.
 
Les femmes irakiennes détenues par les forces américaines lorsqu'elles arrivent dans le complexe pénitentiaire sont en général très humiliée.

Zohra D, l'épouse d'un ancien membre du ministère de la santé en fuite, elle même médecin a été dégradée pendant sa détention. Cette femme est connue pour être très éduquée, elle enseigne aussi à l'université, c'est une femme qui a réussi socialement et reconnue dans sa communauté. C'est une membre de la bourgeoisie, elle a visiter plusieurs pays européens, elle allie modernité et tradition et est connue pour se vêtir avec élégance et pudeur.
 
Elle a été arrêtée puis transférer dans la prison. En arrivant elle découvre que les américains font tout pour humilier les femmes, le déshabillage est l'une des premières choses qui arrive, de plus elles sont forcées de retirer leurs vêtements devant des hommes.
 
Comme la majorité des détenues irakiennes sont musulmanes et très pudique, tous est fait pour les dégrader, la nudité étant particulièrement infamante, et les voiles (hijab) et autres vêtements pudiques sont prohibés, les américains veulent voir les femmes sans rien, Zohra est obligée sous la menace d'ôter ses vêtements devant un homme.


 Le processus pour maximiser la honte ressentie par les détenues, les femmes sont fouillées par les hommes, c'est très difficile , surtout que c'est en public, et qu'il faut écarter les lèvres, que les gardes leur écartent les fesses et y mettent des doigts dans le cul.

Les gardes aiment inspecter les anus et les chattes des femmes.
 
Liens :
 
 

Incident nudité forcée : Une prisonnière déshabillée devant un homme.

Une prisonnière d'Abou Ghraib se déshabille devant un garde homme.
Une prisonnière déshabillée devant un garde homme.


Une femme nue devant les gardiens. 

 
Le 16 avril 2004, des photographies d’une détenue irakienne devant un gardien américain ont étés prises en pleine journée.

Pour la punir de son comportement les responsables ont décider de lui interdire de porter des vêtements pour une semaine. 
 
Confisquer les vêtements des prisonniers est une pratique très courante dans la prison d'Abou Ghraib. 

Lors d'un entretien avec son avocat, la jeune prisonnière s'est plainte des mauvais traitements; selon elle et du fait que les femmes musulmane n’aient pas le droit de porter de voile (hijab couvre chef religieux) , ni de sous vêtements sous leurs uniformes orange de détenues est problématique.

Les femmes sont aussi pieds nus en permanence, les chaussures et les chaussettes sont strictement interdites.

Pour se venger de cette plainte, les gardiens américains ont décider de sanctionner la détenue et de lui confisquer son uniforme de prisonnière. De plus ils font exprès d'obliger la jeune femme à se dénuder devant un homme.
 
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vendredi 16 août 2024

Les éducateurs imposent des fouilles à nu aux filles

Ordre et discipline en foyer pour jeunes filles ASE
Fouille à nu en recherche de drogues

L'ordre et la discipline en pensionnat pour jeunes femme.

 

Le gouvernement a décider de prendre des mesures contre la petite délinquance et les incivilités et à fait voter des lois donnant beaucoup plus de pouvoir à la police, aux profs, aux surveillants, et aux éducateurs pour inculquer aux jeunes des notions de discipline, d'ordre et de respect des règles.

Dans ce  foyer pour jeunes filles, d'Ile de France l'atmosphère et les règles sont redevenus très strict comme au bon vieux temps, les éducateurs se font respecter. De plus de véritables mesures ont été prise contre la consommation et le trafic de drogue, tolérance 0 pour le cannabis.

Les éducateurs sont en effet autorisé à effectuer des fouilles complète et de déshabiller les jeunes filles en vue de rechercher des drogues.

Depuis, les jeunes filles dénoncent certaines choses qui sont pour elles de grave atteintes à leur dignité. 

Léa et Elodie dénonce le fait que les éducateurs les obligent à se déshabiller publiquement et devant tout le monde, parfois plusieurs fois par jours et les obligent à écarter leurs fesses et tousser pour être sur qu'elle ne cache rien dans leurs anus.

Liens :

Pensionnat pour jeunes filles stricte.


mercredi 14 août 2024

Majda change de vie après son passage en prison.

 

Lutte contre l'intégrisme : du port du voile au nudisme et l'exhibitionnisme
Avant et après, du voile intégral au nudisme.

Une ancienne prisonnière d'Abou Ghraib est maintenant une nudiste et exhibitionniste suite à son séjours en détention.

Majda F, née en 1985 dans la capitale irakienne Baghdad d'une famille conservatrice sunnite.  

Elle avait environ 20 ans en avril 2004 quand les troupes américains l'ont arrêter par erreur lors d'un raid sur son université. 

Elle s'est retrouvée dans la prison d'Abou Ghraib en isolement. 

La jeune femme y a passer plus de 7 mois sans inculpation ni réellement savoir pourquoi.

Plus tard, il lui sera révélé qu'elle a été confondue avec une autre personne recherchée et que les militaires US qui ne prennent pas de risque ont préférés l'a garder quelques mois au nom de la sécurité nationale.

C'est une femme très croyantes et pieuse, elle porte le voile  (hijab)depuis l'age de 15 ans et est très pudique.

En prison toute sa vie et ses certitudes ont été chamboulé. 

Majda a passer la plupart de son temps nue en confinement solitaire.

Les fouilles corporelles  entièrement nues sont systématiquement imposées aux femmes lors des : Entrée et sortie du bloc, avant et après chaque visite que ce soit un avocat, un défenseur des droits de l'homme ou quelqu'un de sa famille.

Majda a été strictement interdite de porter son voile en prison, ainsi que son soutien gorge, chaussettes.

Lorsqu'on lui donnait des vêtements ce n'était qu'un uniforme orange comme à Guantanamo, elle devait rester tête nue et pieds nus.

Majda a passer au moins 5 mois complet en isolement, donc totalement nue.

Les gardiens l'ont souvent photographié nue et diffuser ses photos dans toute la prison.

Majda devait parader nue et servir les repas aux autres détenus.

La jeune femme s'est plusieurs fois faite raser les poils pubiens.

La jeune femme devait régulièrement dire qu'elle remercie les gardiens de l'a garder nue et pieds nus.

En sortant de prison la jeune femme n'a pas vraiment pu retourner à sa vie d'avant, les américains lui ont donner des indemnités et elle est partie vivre en Europe ou elle est nue la plupart du temps.

Liens :


Nue en confinement solitaire.

Comment se passe l'incarcération des femmes ?

 

Forced nudity strip search and humiliation
Prisonnières nues et pieds nus.

Sa femme arrêtée et emprisonnée.

Scène se déroulant dans la prison d'Abou Ghraib en Irak en mai 2004.

Ayad a été arrêté par les troupes américaines qui occupe son pays pour divers actes de sabotages et de résistance, après plusieurs semaines d'incarcération et d'interrogatoire musclé, les forces américaines ont trouver un autre moyen plus efficace pour faire pression sur lui : Arrêter sa femme.

"Samia ton épouse,Ayad,  ne pas pas tarder à arrivé, elle est dans le bus qui arrive dans la prison, tu ne perdra rien de l’accueille qu'on lui réserve" lui dit l'un des gardes américains avec un sourire vicieux.

Les gardiens ont mis le pauvre prisonnier au première loges pour voir "le spectacle".

Le véhicule de Samia vient de s'arrêter, elle est avec 4 autres femmes, seule une ne porte pas de voile (hijab) mais simplement un jean et T Shirt, probablement une étudiante laïque de gauche qui s'habillenr à l'occidentale. Les autres femmes sont vêtues de façon traditionnel, l'une porte un tchador comme beaucoup de femmes irakiennes chiites du sud, une autre porte une robe arabe de type abaya et un hijab, la dernière est intégralement voilée de la tête aux pieds. Samia porte un joli voile et une tunique brodée avec en dessous des vêtements occidentaux (jean, basket, t shirt).

Le petit bus s'arrête  à coté d'un des bâtiments en béton, et les femmes après quelques instants. Ayad a été placé de façon à tout voir. Les gardes font signes aux prisonnières de se diriger vers les portes et d'entrer. Le groupe de femmes doit traverser plusieurs couloirs, Samia croit voir au loin une silhouette d'homme nu escorté par deux gardes en uniforme.

Les nouvelles arrivent dans le bloc cellulaire réservé aux femmes, des gardes armé de gourdins et matraques et une femme blonde d'environ 45 ans l'air stricte et autoritaire sont là. Elle semble être la directrice ou la responsable du bloc. Ayad l'a connait très bien c'est une femme froide et sans pitié qui traite les prisonniers comme des moins que rien.

Elle parle parfaitement l'arabe et l'anglais, elle commence par dire fermement avec un aire froid et sans scrupules: "Bonjour mesdames, je suis  le général Elizabeth Robertson, responsable de cette aile de la prison et ici pour vous je suis l'autorité suprême, toutes vos vies sont entre mes mains et sous mon contrôle.

La haut gradée tourne autour des prisonnières, et tire sur le voile d'une des femmes pour le défaire de sa chevelure et tomber au sol. "Ici il n'y a qu'une seule voie à suivre : mes ordres sont la loi et sous devez obéissance aux gardiens qu'ils soient hommes ou femmes. Vous n'avez aucun droits."

Elle continue "Ici on se fiche de votre religion et de votre culture, retirez moi vos horribles voiles et autres accoutrements de corbeau obscurantiste, c'est strictement interdit. De plus, pour vous faire passer l'envie de vous couvrir et vous montrer la voie à suivre, dans cette prison il n'y a pas d'uniforme pour les femmes, vous devrez perdre toutes traces de pudeur et apprendre à être nues."

 

"Enlevez tout vos vêtements, chaussures, chaussettes, soutiens gorges, et tout le reste y compris vos piercings ou les barrettes que vous pouvez avoir dans vos cheveux, et tout de suite".

Les femmes pleurent et supplient Elizabeth de dire aux hommes de partir, car elles ne veulent pas être vues par des hommes. La Générale  éclatent de dire " Ici vous n'avez aucune revendications à faire et les gardes s'impatientent et veulent mater vos corps." 

L'un des gardes saisit la détenue intégralement voilée pendant qu'un autre lui découpent ses vêtements, les autres savent rapidement que les gardes sont sans pitié et qu'elles finiront toutes à poil de gré ou de force.

La pauvre femme se débat mais après quelques seconde sa tenue est déchirée, ses sous vêtements découpés et ses chaussures et ses chaussettes retirer de force. 

Samia retire sa tunique , chaussure et jean, puis sous soutien gorge, elle est vite prise à partie pour avoir encore sa culotte et ses chaussettes, Elizabeth est intraitable sur cette question et n'a jamais autoriser de femmes à ne garder ne serait ce que des chaussettes.

Les femmes sont toutes nues et pieds nus, puis elles voient leurs vêtements et chaussures placés dans des cartons, et sont ensuite inspecter brutalement, elles se prennent toutes un doigt dans l'anus et dans le vagin.

Vient ensuite les photos nues, qui sont diffusées dans toute la prison et coller sur la cellule de chaque prisonnières. Samia et ses camarades sont 100 % nues, cheveux à l'air, les seins qui pendent, chatte rasée visibles et pieds nus.


Elles doivent défiler nues dans toute la prison, y compris devant les hommes pour humilier le plus possible.


Liens : 

Procédure d'incarcération.