Affichage des articles dont le libellé est public. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est public. Afficher tous les articles

dimanche 11 mai 2025

La soirée chaude du bizutage ( ou d'intégration).

Bars et bizutage
Filles dansent nues et pieds nus au bizutage étudiant


 Bars étudiant durant le bizutage.

 

Les soirées d’intégration estudiantines sont des rituels légendaires, où l’alcool coule à flots dans les bars du centre-ville, et où les bizutages flirtent avec l’excès, mêlant traditions ancestrales et débordements charnels. Les mœurs sont plus libres, mais les hiérarchies estudiantines restent impitoyables, surtout pour les nouvelles, ciblées pour leur timidité ou leur air "coincé".

Le bar L’Antre du Vice, un bouge enfumé du centre-ville, est bondé ce vendredi soir. Les néons rouges clignotent, la bière bon marché inonde les tables, et une foule d’étudiants enfiévrés hurle des chansons paillardes. C’est la soirée d’intégration de la fac de droit, et le bizutage bat son plein. Les anciens, autoproclamés maîtres du chaos, ont orchestré un spectacle aussi cruel que lubrique, où les premières années, surtout les filles, sont les proies désignées.

Jessica, 19 ans, frêle brunette aux joues rosies par la honte, n’a jamais aimé les foules. Pudique, réservée, elle a grandi dans une petite ville où les regards indiscrets la mettaient déjà mal à l’aise. Ce soir, elle regrette d’avoir mis sa jupe plissée et son chemisier sage : ils font d’elle une cible parfaite pour les anciens, qui adorent briser les "saintes-nitouches". À ses côtés, d’autres bizutes tremblent, notamment Sophie, une blonde menue qui serre les pans de son cardigan comme un bouclier, et Clara, une étudiante en histoire au visage fermé, qui marmonne des supplications pour garder sa culotte en coton blanc.

Dans l’amphithéâtre, plus tôt dans la soirée, l’ambiance était déjà électrique. Les anciennes, vêtues de cuir et de rictus moqueurs, ont traîné Jessica, Sophie, Clara et trois autres bizutes sur l’estrade. "À poil, les coincées !" rugit la foule, un chœur de voix avinées. Les ordres claquent comme des fouets : "Enlevez tout, ou on le fera pour vous !" Jessica tremble, ses doigts maladroits s’emmêlent sur les boutons de son chemisier. Sophie, en larmes, s’accroche à sa culotte, bégayant : "S’il vous plaît… juste ça… laissez-moi la garder…" Une ancienne, une grande brune aux ongles vernis de rouge, éclate de rire et arrache le sous-vêtement d’un geste sec, le brandissant comme un trophée sous les hourras.

Clara, elle, croit s’en tirer en oubliant – ou feignant d’oublier – ses chaussettes rayées. "T’es sérieuse, la ringarde ?" aboie une ancienne, la forçant à les retirer sous les sifflets moqueurs. Une autre bizute, une rousse prénommée Manon, tente de négocier en gardant ses bas résille, arguant qu’ils "font partie du look". L’argument ne passe pas : une ancienne les déchire sauvagement, laissant des marques rouges sur ses cuisses. Pas d’échappatoire. La pudeur est un crime ici, et les plus timides sont punies avec zèle.

Nues sous les sifflets, les bizutes doivent exhiber leurs corps. Jessica tente de cacher ses seins, mais une ancienne lui écarte les bras d’un geste brusque. "Montre tout, poupée ! Ouvre grand, qu’on voie la marchandise !" Sophie, effondrée, sanglote en écartant ses cuisses, tandis que Clara, mâchoire serrée, obéit en fixant le sol. La foule exulte, certains filment avec des caméscopes VHS, vestiges d’une époque où l’intimité n’avait pas de prix. Manon, elle, bombe le torse avec un sourire crispé, espérant désamorcer l’humiliation par une fausse assurance.

Après l’amphi, les anciennes organisent une "parade des délices", une tradition perverse où les bizutes, toujours nues, doivent défiler dans les couloirs de la fac, puis à travers le campus. Les rires et les quolibets pleuvent, des mains baladeuses frôlent leurs corps. Jessica, pieds nus sur l’asphalte froid, sent son cœur cogner. Sophie trébuche, ses chaussettes oubliées désormais un lointain souvenir, tandis que Clara murmure des jurons, maudissant chaque pas.

Le clou de la soirée, c’est le bar. L’Antre du Vice est le théâtre final de ce rituel dépravé. Les bizutes, toujours dévêtues, sont poussées à l’intérieur sous les hourras des clients, un mélange d’étudiants, de profs libidineux et de piliers de comptoir. La musique, un tube de synthpop des années 80, pulse dans l’air saturé de sueur et de désir. Jessica est hissée sur une table poisseuse, Sophie et Clara sur le comptoir, où elles doivent improviser des danses lascives.

Manon, la rousse, prend les devants. Elle grimpe sur le bar, ses hanches ondulant au rythme de la musique, ses mains glissant sur ses courbes avec une sensualité forcée mais convaincante. La foule hurle d’approbation, lançant des billets froissés. Sophie, maladroite, tente de l’imiter, ses mouvements saccadés trahissant sa panique. Une ancienne lui glisse un shot de vodka, qu’elle avale en grimaçant, et bientôt, elle se laisse aller, ses seins tressautant sous les flashs des appareils photo. Clara, elle, reste raide, ses déhanchés mécaniques arrachant des rires moqueurs. "Bouge ton cul, la nonne !" crie un client, jetant une poignée de pièces à ses pieds.

Soudain, les anciennes annoncent le clou du spectacle : un "concours de Miss Bizute". Chaque fille doit défiler sur le comptoir, nue, et exécuter une performance pour séduire la foule. Les critères ? "Charme, culot et chaleur !" ricane une ancienne, un mégaphone à la main. Manon ouvre le bal, jouant la carte de la provocatrice : elle s’agenouille, cambre le dos et lance des baisers, provoquant une ovation. Sophie, poussée par l’alcool, tente une danse plus audacieuse, se caressant les hanches sous les sifflets. Clara, toujours rétive, se contente d’un tour rapide, les bras croisés, ce qui lui vaut des huées et une pluie de serviettes en papier.

Jessica, dernière à passer, est paralysée. "Danse, ma jolie ! Montre-leur ce que t’as !" crie une ancienne, un verre de gin à la main. Elle monte sur le comptoir, les jambes flageolantes, et tente un déhanché timide. La foule, impatiente, scande : "Plus chaud ! Plus chaud !" Une ancienne lui tend un autre shot, qu’elle boit d’un trait. L’alcool embrume son esprit, et, portée par la musique, elle se surprend à onduler, ses mains frôlant ses seins. Les hourras redoublent, et pour la première fois, elle sent une étrange montée d’adrénaline.

Le concours s’achève dans un délire collectif. Manon est couronnée "Miss Bizute", une écharpe en papier toilette autour du cou. Mais le véritable défi suit : les bizutes doivent "servir" les clients. Pas de plateaux ni de verres, non. Elles doivent se pencher, offrir leurs courbes aux mains des spectateurs, qui rient et s’enhardissent. Jessica, forcée de s’asseoir sur les genoux d’un étudiant éméché, sent ses doigts rugueux explorer son dos. Sophie, à moitié ivre, rit nerveusement en dansant pour un groupe de profs. Clara, elle, refuse de bouger, mais une ancienne la pousse vers un client, qui lui glisse un billet dans les cheveux.

Dans ce chaos, une énergie perverse flotte. Certaines bizutes, brisées puis libérées par l’adrénaline, commencent à jouer le jeu, défiant leurs bourreaux avec une insolence nouvelle. Manon, portée par sa victoire, improvise un strip-tease théâtral sur le comptoir, arrachant des rires et des applaudissements. Jessica, elle, reste en retrait, mais une ancienne remarque son regard. "T’inquiète, chérie, l’an prochain, c’est toi qui donneras les ordres."

 

Lien :

 

Bizutage hard et public. 

 

lundi 21 avril 2025

C'est le bizutage il faut marcher nue en public.

A poil en public au bizutage
Parader à poil pendant le bizutage.

La marche nue et public lors du bizutage étudiant.

 

Le soleil de fin septembre cogne sur le campus universitaire, transformant le chemin central en un ruban de bitume brûlant. Inaya, nue, les poignets liés dans le dos par une corde en nylon, avance en dernière position de la file des quatre amies, forcées à défiler dans le cadre du bizutage cruel de la phase deux. Les anciens, bandanas rouges au cou, encadrent le groupe, hurlant des ordres obscènes pour humilier les premières années. La foule, massée de part et d’autre du chemin, est un mur de regards avides, de sifflets et de rires moqueurs.

Clara, la cheffe des anciens, marche à côté, un mégaphone à la main. « Remuez vos culs, les salopes ! Faites les coquines, ou on vous le fera regretter ! » Solène, en tête, obéit avec un enthousiasme provocateur, ondulant des hanches, ses fesses rondes rebondissant à chaque pas. Ses seins généreux tressautent, attirant des cris enthousiastes. Mélanie, juste derrière, avance tête baissée, ses joues écarlates, ses seins menus frémissant sous l’effort, sa peau pâle luisant de sueur. Élodie, troisième, grogne des insultes à voix basse, mais ses hanches musclées roulent malgré elle, son corps athlétique captant les regards.

Inaya, dernière, sent chaque pas comme un coup de poignard. Ses pieds nus, délicats et peu habitués à la rudesse du sol, s’écorchent sur les graviers incrustés dans l’asphalte. La chaleur du bitume irradie à travers ses plantes de pieds, lui arrachant des grimaces qu’elle dissimule sous un masque de défi. Sa peau mate, luisante sous le soleil, expose chaque courbe de son corps : ses seins pleins, aux aréoles sombres légèrement durcies par la brise, son ventre plat, et son pubis soigneusement épilé, vulnérable aux regards. Ses cheveux noirs, libérés de son hijab, cascadent sur ses épaules, collant à sa peau moite.

« Regardez la voilée ! » hurle un étudiant dans la foule, déclenchant des rires gras. « Montre ton cul, la sainte ! » Inaya serre les dents, son cœur battant à tout rompre. Elle refuse de baisser les yeux, défiant les spectateurs d’un regard brûlant. Ses hanches, malgré elle, suivent le rythme imposé par Clara, qui tape des mains comme un métronome. « Plus sexy, Inaya ! Balance-toi, ou on te fait ramper ! »

Chaque pas accentue son humiliation. La corde mord ses poignets, tirant ses épaules en arrière, forçant sa poitrine à s’offrir davantage. La foule scande : « À poil ! À poil ! » Des sifflets fusent, mêlés de commentaires crus : « Joli cul ! » « T’as déjà baisé, la coincée ? » Un ancien, posté sur le côté, tente de filmer avec son téléphone, mais Marc, un autre organisateur, le stoppe d’un geste sec : « Pas de vidéos, crétin ! On a dit pas de preuves ! »

Le chemin traverse le cœur du campus, longeant la bibliothèque vitrée où des étudiants collent leurs visages aux fenêtres, et le parvis du bâtiment administratif, où même quelques professeurs observent, l’air amusé ou gêné. In Inaya sent la honte l’envahir, mais elle canalise sa rage. Elle pense à ses amies, à leur pacte de rester unies. Solène, devant, se retourne brièvement et lui lance un clin d’œil : « T’es une bombe, meuf ! » Inaya esquisse un sourire crispé, puisant du courage dans ce soutien.

À mi-parcours, Clara ordonne une pause humiliante. « Tournez-vous, montrez vos culs ! » Les filles obéissent, pivotent pour offrir leurs fesses à la foule. Inaya, les joues en feu, se plie, exposant son postérieur rond et ferme. Les cris redoublent : « Secoue-le, la voilée ! » Elle obéit à contrecœur, ses fesses frémissant sous les rires. La honte la submerge, mais elle se redresse, refusant de craquer.

La marche reprend, plus lente, pour prolonger l’épreuve. Inaya sent ses jambes trembler, ses pieds douloureux, mais elle avance, déterminée. Le chemin s’achève près de l’amphithéâtre en plein air, où le prochain défi attend. Clara hurle : « Bien joué, les putes !

 Lien :

 

Bizutage collectif.

dimanche 13 avril 2025

Difficile d'être à poil au bizutage étudiant

Pas de pudeur lors du bizutage étudiant
Le bizutage publique : les filles à poil.

 

Dans les établissements d’enseignement supérieur en France, les bizutages sont une tradition solidement ancrée, surtout dans les cités universitaires où les nouvelles étudiantes, souvent intimidées, sont jetées dans l’arène dès les premières semaines. Sur ce campus de banlieue parisienne, une école d’ingénieurs réputée pour son ambiance impitoyable, les étudiantes de première année, majoritairement d’origine maghrébine, se distinguent par leur pudeur et leur réserve. Habituées à des codes stricts, elles se heurtent de plein fouet à la vie étudiante française : une jungle libertine, débridée, où l’exhibitionnisme l'impudeur sont la norme. Si pour beaucoup de filles de vingt ans, la nudité est une banalité, pour ces âmes timorées, se dévoiler est une torture impensable.

Mais ici, pas de quartier. Le week-end d’intégration (le bizutage), organisé par le BDE (Bureau Des Étudiants), est un passage obligatoire, une machine à broyer pudiques. Les nouvelles, à peine arrivées, sont accueillies comme du bétail par une horde d’anciens surexcités, des tyrans autoproclamés drapés dans leur arrogance. Les règles sont claires, hurlées dans un mégaphone pour que nul n’ignore : « Vous n’êtes rien ici ! Vous obéissez, ou vous dégagez ! » La tradition, implacable, ne tolère aucune exception. Chaque première année doit se plier au rituel infâme : tout enlever. Absolument tout. Pas de demi-mesure, pas de négociation. Soutiens-gorge, culottes, foulards et même les chaussettes tout finit en tas sous les rires gras et les sifflets d’une foule déchaînée.

Pour les filles pudiques, c’est un cauchemar éveillé. Certaines tentent de résister, les joues brûlantes, les mains crispées sur leurs vêtements, murmurant des supplications inaudibles. Mais les anciens, impitoyables, n’ont que faire de leurs larmes. « Déshabille-toi ou on le fait pour toi ! » aboie une organisatrice, une troisième année au regard d’acier, tandis que ses sbires, armés de ciseaux, s’approchent dangereusement. Les plus récalcitrantes sont traînées au centre de la cour, sous les projecteurs, où une sono crache des basses assourdissantes. Là, elles deviennent le clou du spectacle : leurs vêtements sont arrachés sans ménagement, parfois découpés en lambeaux, sous les huées d’un public en transe. Les insultes fusent, crues, vicieuses, conçues pour briser. « T’as cru que c'est la mode d'être pudique ici ? Montre tout, espèce de coincée ! »

Pour pimenter l’humiliation, les anciens rivalisent d’idées tordues. Les nouvelles, nues et pieds nus, sont forcées à défiler en rang, bras en l’air, sous des jets d’eau glacée ou de peinture fluorescente qui marque leur peau comme une sentence. On leur impose des jeux absurdes : ramper dans la boue, danser sur des podiums improvisés, ou pire, se livrer à des chorégraphies grotesques pendant qu’on les filme sans relâche. Les vidéos, bien sûr, circuleront plus tard, menace implicite pour garantir leur soumission future. Pas une once de compassion ne vient adoucir leur calvaire. Les anciens, enivrés par leur pouvoir, se repaissent de chaque cri, de chaque regard fuyant, de chaque corps tremblant.

Certaines filles, brisées, finissent par céder, espérant que l’épreuve s’arrête là. Mais le bizutage ne s’arrête jamais vraiment. Les jours suivants, les moqueries continuent, les surnoms humiliants collent à la peau, et les plus fragiles deviennent des cibles permanentes. Sur ce campus, la pudeur n’est pas une vertu : c’est une faiblesse.

Lien :

La tutrice et sa bizute. 

 




lundi 9 décembre 2024

Exhibition lors du bizutage d'étudiantes

 

En début d'année universitaire, dans cette ville dynamique universitaire cotière  du sud de la France, nous pouvons assister à de très jolis spectacles et assister à des scènes surprenantes.

Les étudiantes, en particulier les bureaux des anciens (BDE) des différentes écoles et institut universitaires présents sur la ville rivalisent en matière de bizutage. L'école d'infirmière, l'IUT, et l'école d'architecture organisent chacune de leur côté des "journées d'intégration" (nom officiel du bizutage).

Les passants et promeneurs sur l'avenue de la plage, il fait encore chaud à cette période de l'année et les touristes sont encore présent en septembre/octobre, ont pu assister à des choses étonnantes qu'on ne voit pas tous les jours. trois jeunes filles ont été obligées de se promener entièrement nues dans le centre ville et à coté de la plage, dans une zone de forte affluence à la vue de tous.

Mélanie, Naïma, et Carla, trois filles de l'IUT étaient promener mains sur la tête avec obligation de tout montrer aux passants.

Ces filles sont aussi bien sur pieds nus, Naïma la musulmane portait des baskets avec des chaussettes qu'elle a du retirer, les deux autres étaient en tongs (flip flop).

Les filles étaient aussi obligées de danser sur des sons des spices girls, de Denzel, et de chanter des slogans débiles.

Lien :

Bizutage pour les filles.

samedi 16 novembre 2024

Bizutage traditionnel dans une ville universitaire

Nudité totale pendant le bizutage
Le "Bal des culs nus" pendant la journée d'intégration.


 J'admire la très bonne organisation des bizutages dans cette ville étudiante du sud de la France, chaque année les journées d'intégration (bizutage) se déroule sur le campus et dans le centre de la petite cité.

Il faut féliciter les BDE (Bureau des anciens), c'est à dire les bizuteurs, et la coopération du président de l'université, des professeurs et de tous les personnels impliqués dans la réussite de ces évènements.

Le sens du devoir, l'amour et le respect des tradition qui anime les anciens de cette institution.

C'est toujours incroyable de voir des dizaines de nouveaux et de nouvelles se faire bizuter, de voir ces jeunes et moins jeunes regrouper ensemble et totalement à poil pour des épreuves souvent spectaculaire et festives.

Ici, l'un des événements les plus connues est appelé "Le bal des culs nus", ou les nouveaux sont regrouper en plein centre ville sous les regardes des anciens mais aussi des habitants pour une parade et des danses ayant pour but de divertir.

Ce spectacle attire même des touristes. Nous comprenons donc pourquoi le bizutage perdure et ne sera jamais réellement interdit. Il fait parti du patrimoine culturel.

Les nouveaux et les nouvelles sont obligés de se déshabiller complétement, c'est un moment difficile pour les personnes pudiques, mais c'est obligatoire, les anciens sont organisés de façon quasi militaire, avec la pression et l'effet de groupe, les étudiants enlèvent leurs vêtements, il y a bien sur quelques un qui tentent de résister (les pudiques, les religieuses comme les musulmanes voilées, les bourgeoises catholiques coincées, certaines juives à l'éducation strict.) mais elles sont vite maitrisées et déshabiller de force et sans ménagement.

Les étudiants et étudiantes nus et pieds nus sont tous exhibées de la même manière sans distinction.

Ils doivent faire le tours du campus et parader à poil dans les couloirs de l'université et dans le centre ville pour se rendre "au bal".

Sur la place du centre ville, les bizutes dansent et prennent des positions parfois obscènes.

Lien :

Bizutage au gymnase.




jeudi 7 novembre 2024

Bizutage : les épreuves subies par les filles dans le parc.

 

Il faut être toute nue lors des épreuves du bizutage.
Le filles  nues dans le parc lors du bizutage public.

Une épreuve lors du bizutage.

Lors de la période de la rentrée scolaires, nous pouvons dans les villes universitaires assister chaque année à des spectacles étonnant et très intéressant sur le campus et dans le centre ville. Lors des journée d'intégration tout est permis ou presque. 

Les anciens organisés autour de BDE (Bureau Des Étudiants) avec l'aide de la mairie, et des dirigeants de l'université et des grandes écoles organisent en début d'année le bizutage des nouveaux.

Les filles sont soumises à rude épreuve, d'une part l'une des premières choses, c'est qu'elles doivent se déshabiller, et complétement bien sur, la pudeur des nouvelles est mise à rude épreuve, pour certaines filles c'est assez amusant car elles sont à l'aise avec leurs corps, certaines sont même aller dans des camps nudistes ou ont fait du topless(seins nus) à la plage. Pour ce type de fille le bizutage est une sorte de fête qui prolonge l'été.

Pour d'autre c'est très difficile d'être nue, notamment pour les plus pudiques, comme les filles musulmanes voilées, les bourgeoise catholiques, les juives orthodoxes conservatrice, les filles coincées , les grosses etc. Ces filles réagissent tantôt en pleurant et se résignant à la nudité et d'autres crient, pleurent et tentent de se rebeller, ceux sont des "récalcitrantes". 

Les anciens n'ont pas le temps de faire de la psychologie à convaincre les bizutes de se mettre toutes nues, en cas de résistance, une bonne fessée et un déshabillage de force, ils sont sans pitié et totalement indifférent aux supplications des pudiques, et leurs culottes sont arrachées et découpées pendant qu'elles pleurent et eux rient comme des fous.

Les filles doivent parader à poil et pieds nus sur le campus, pour être présenter aux anciens et être exhibées pour que tout le monde puisse les voir à poil et se rincer l’œil.

Les filles pudiques ayant fait des difficultés pour se mettre à poil doivent souvent faire des exercice sportifs nues dans le parc, pour que le plus de spectateur assistent.

Les filles sont souvent ultra honteuse d'être exhibées ainsi, avec leurs seins qui gigotent dans tous les sens, de supporter les rires, moqueries et commentaires salaces des anciens et des passants, elles sont aussi asperger d'eau, de soda, de jus d'orange et de bière.

Les grosses et petites fesses des nouvelles se remuent tous azimuts. Certaines ont le cul rouge à causes des fessées reçues pour manque de coopération.

Lien :

Alignées nues pour le bizutage étudiant.


samedi 19 octobre 2024

Les humiliations subies par les prisonnières.

Humiliation collective à poil pour les prisonnières.
Humiliation collective : les femmes forcées de faire du sport nue et publiquement.

Quel sort réservé aux femmes détenues dans la prison militaire d'Abou Ghraib ?

 Avril 2004, Prison d'Abou Ghraib, Irak.


Les gardes américains estiment que les femmes irakiennes incarcérées dans la prison militaire doivent être traitées "à la dure", dressées et disciplinées. La direction de l'établissement et la CIA donne carte blanche aux surveillants pour maintenir la discipline et humilier.

Ce qui est dans un premiers temps très surprenant pour tout observateurs extérieur, c'est qu'ici les femmes musulmanes sont gardées absolument nues, elles ont l'interdiction de porter des vêtements et des chaussures. La nudité est justifiée pour des raisons de sécurité, mais aussi et surtout pour se venger des attentats du 11 septembre et punir ces femmes.

Comme elles sont très conservatrice, pudiques, du fait que leur religion l'islam leur enseigne de dissimuler leurs corps et de porter le voile et l'abaya, et bien il faut détruire leurs vêtements et leur apprendre à vivre nues et à s'exhiber.

Rien de plus humiliant pour ces femmes pieuses et respectables que de parader à poil en public devant les conquérants américains qui les insultent et se moquent d'elles. De plus elles doivent assister à la destruction de leurs vêtements religieux jugés "archaïques", "obscurantistes" et "rétrogrades" que les gardes découpent en morceaux.

Elles sont aussi souvent jugées trop grosses et rondes, car une fois à poil, les gardes remarquent que beaucoup sont en surpoids, une des gardiennes parmi les plus vicieuses et perverses a pris l'initiative d'organiser des "cours de sport" pour le fun. "Ces grosses vaches doivent morfler, et suer comme des cochonnes" ricane une des gardiennes.

Les gardes après avoir constater que les femmes étaient un peu grasses ont décider d'organiser des cours de "gym", de sport pour les faire maigrir.

Ces femmes qui pour certaines étaient complétement voilées de la tête aux pieds sont en train de sautiller à poil  avec leurs gros seins qui partent dans tous les sens. Nous pouvons entendre le bruit légers des pieds nus prisonnières qui claquent contre le sol.

Ensuite elles font des jumping jacks et des burpees.

Lien : 

Briser l'égo d'une prisonnière.

samedi 28 septembre 2024

Une fille parade nue dans les couloirs du logement étudiant lors du bizutage.

Nudité et bizutage universitaire.
Fille toute nue dans les couloirs de la fac lors du bizutage.

C'est la rentré, c'est synonyme de bizutage étudiant.

 Chaque années depuis des décennies, au mois de septembre et d'octobre, pendant les premières semaines de la rentée universitaire, il y a une tradition qui se transmet de génération en génération : le bizutage.

Ici nous pouvons voir les fesses de Clara, une jeune étudiante en économie qui est obligée de faire sa parade toute nue sous le regard des anciens, du personnel de l'université et des passants et des curieux. Si vous remarquez, ses plantes de pieds sont sales et noircis par la poussière, car la jeune étudiante doit se soumettre à la marche à poil, une tradition qui oblige les nouveaux à parader à poil dans toute l'université, sur le campus, dans le parc municipal et dans le centre ville.

Les bizutes ont parfois quelques missions comme allumer les mecs qui passent, danser, chanter, ou distribuer des gâteaux et des chocolats aux passant, car le bizutage est un jours de fête.

Clara n'est pas forcément très pudique, en témoigne ses marques de bronzages de vacances, elle fait du topless sur les plages donc cette mise à poil ne l'a pas trop dérangé contrairement à d'autres filles plus pudiques.

 

Lien : 

A poil en centre ville.

 

dimanche 21 janvier 2024

Une femme forcée de parader nue.

 

Walk of shame, naked female prisoner paraded naked
Marche de la honte (Walking Shame) pour une prisonnière.

Punition et humiliations publiques en temps de guerre.



Nous sommes  sur une route une mâtiné de septembre 2004 en Irak dans la périphérie de la capitale Baghdad pendant l'occupation américaine de ce pays (2004/2011). Nous prenons la direction d'une petite ville ou nous avons rendez vous avec l'institutrice d'une école qui a appeler les journalistes pour dénoncer le comportement irrespectueux des soldats américains dans la région et leurs méfaits.(bruits, violence, racket, etc.).

Soudain, de loin, nous apercevons une voiture de type gros SUV 4X4 militarisé avec une silhouette humaine derrière.

Quand nous sommes plus proche nous nous rendons compte qu'une femme totalement nue est tenue en laisse et contrainte de marcher sur le bas coté de la route pour une sorte de "Parade" organisée par des militaires occupants.

Nous constatons avec effarement que la femme exhibée est notre contact ! La pauvre femme est trainée nue et pieds nus dans les rues et sur les routes autour de sa ville.

Pour faire , taire toute contestation et terroriser  la population, les soldats usent de techniques basées sur l’humiliation et la nudité.
 

Liens :


dimanche 14 janvier 2024

Le bizutage des étudiantes

 

Nudité forcée et bizutage étudiant.
Filles marchent dans les rues lors du bizutage.

Les filles doivent parader nue dans le centre ville pendant le bizutage traditionnel.


Chaque début d'année universitaire, en septembre et en octobre, des bizutages ont lieux, souvent officieusement soutenu par les institution locale et encouragé comme tradition faisant partie du patrimoine.

Dans ce petit village du sud de la France, les filles de premières années d'études supérieurs sont systématiquement soumises de gré ou de force aux épreuves du bizutage.

Les habitants, les commerçants et les touristes ont pour habitude de voir des jeunes filles déambuler nues dans les rues et les magasins du centre ville.

Le premier samedi de la rentré, les anciens ont décrété que les filles devaient être réunis dans les locaux universitaires, nous assistons parfois à de véritable traque, ou les anciens fouillent toutes les résidences du CROUS, les cantines, les bibliothèque, les salles de cours, et tout le campus pour y trouver toute les primo arrivantes.

Le système est bien rodé, avec la complicité du personnel, et des autorités,  quasiment aucune filles ne peut y échapper. 

Les filles sont prisent par petit groupe, au début elles sont en général assez détendues et amusées, mais quand elles arrivent dans l'amphi principal, ou le conseil des gardiens de la tradition (Le BDE Bureau Des Étudiants) a décider de les réunir , et ou elle découvrent que celles arrivées avant elles sont totalement nues et exhibées, les plus pudiques pleurent ou se mettent à fortement angoisser.

L'ambiance est terrible, les nouvelles sont "inviter" à enlever leurs vêtements devant tout le monde, certains anciens hurlent "A poil !" d'autre incitent "gentiment" avec un sourire narquois les filles à obéir, car de toute façon elles devront être nues.

 

Le strip tease se déroule sur l'estrade devant le public, les filles doivent tout enlever et présenter leurs seins, leurs fesses, leurs chattes pour se présenter. Gare aux pudiques, leurs vêtements sont arrachés ou découpés et sont bien plus dresser que les autres.

Les filles doivent même retirer leurs chaussures, chaussettes, socquettes, bas etc. Les filles qui oublient d'être pieds nus sont parfois humilier et sanctionner.


Chaque nouvelles doit s'identifier : donner son nom, prénom, classe, et ouvrir ses fesses  et exposer son anus et sa chatte sous les rires des étudiants pervers.

Certaines pleurent, puis les filles doivent défiler et parader nues dans tout le campus, mais aussi dans le centre ville pour amuser les touristes.


Liens : 


Nue au bar pendant le bizutage.


Nudité forcée pendant le bizutage.


vendredi 7 juillet 2023

Une émeutière prise en flagrant délit et mise à poil en public.


Naked Humiliations during french riots.



Justice expéditive : Une voleuse et émeutière dressée dans un village.


Après plusieurs nuits d'émeutes et de pillage en France, et des millions d'euros de dégâts, le gouvernement français et les milices bourgeoises et fascistes ont décider de lancer la répression contre les jeunes, les pauvres et toute personnes suspectées d'avoir participer ou soutenu les émeutes urbaines.


Pour faire face à es émeutes la police française doit faire appelle a des groupes de miliciens issue de la bourgeoisies locale qui ont tout intérêt à maintenir l'ordre et la sécurité pour la protection de leurs bien et de leurs affaires.

Manon, 23 ans, est sortie plusieurs fois pour soutenir les manifestants et les encourager à détruire les biens publics et s'en prendre à la police. Alors qu'elle lançait des cailloux sur le police et criaient des slogans anti Macron, les miliciens l'ont capturée et lui ont imposer une punition humiliante et dégradante.


Manon s'est retrouvée toute nue, les citoyens en colère l'ont obliger a se déshabiller complètement dans la rue pour en faire un exemple dissuasif, avec l'approbation de la police.


Ses seins et ses fesses ont été exhibé partout ainsi que son chatte, l'humiliation est un bon moyen de punition pour donner une leçon a cette délinquante.


Liens : 


Larguée nue en guise de punition.

 

mercredi 5 juillet 2023

Des pilleuses et émeutières humiliées nues par la police

Répression policière :Toute nue en garde à vue
Sévices et humiliations en garde à vue après les émeutes.

 

Répression et sévices en France après les violentes émeutes contre la police.

Plusieurs filles qui on participer aux émeutes et aux pillages dans cette ville de province en France ont été arrêtées et placées en garde à vue dans le commissariat centrale de police de la ville.


Les jeunes femmes se plaignent d'avoir été maltraitées et humiliées par les flics. Mélanie et Sana, 22 ans et 19 ans ont été prise en flagrant délit en train de piller un magasin de cosmétique. 


Les deux jeunes femmes affirment avoir été durement punies, elles accusent les policiers de les avoir déshabiller et de les avoir laisser  à poil pendant toute la durée de leurs garde à vue, soit trois jours. Le pire c'est qu'elles ont été gardé dans des cellules ouvertes et à la vue de tous.


Le ministère de l'intérieur a régit en reconnaissant pratiquer des fouilles à nu systématiquement pour s'assurer qu'aucune filles ne cache sur elles d'objets dangereux comme le règlement de la GAV le prévoit.


Seulement le commissaire aurait pris différentes initiatives, d'une part, comme la police était très occupée, il n'y avait plus assez de policiers pour surveiller les filles, il a donc fait appel a des volontaires, des citoyens qui soutiennent l'ordre et la morale, des républicains partisans des gens de bien.


Ces volontaires républicains, se sont vue confier par la police des missions de surveillances, et les filles ont donc étaient exposées nues, avec des moqueries, insultes, crachats. Gérard, 58 ans, 1,74m pour 95 kilos, un retraités enrobé,  membre du parti Renaissance aurait plusieurs fois obliger Mélanie a écarter les fesses et soulever ses seins, il lui aurait même fait une fouille rectale. Lorsque un journaliste a demander à Mélanie si c'était vrai, elle est devenue toute rouge et a refuser de répondre.


Géraldine, 39 ans, mère au foyer, électrice de Macron aurait pris Sana par les oreilles et lui aurait fait faire le tours du commissariat toute nue avec un bonnet sur la tête. "Nous devons punir les délinquants par des châtiments corporels et des humiliations publiques."


Les filles ont aussi été fessées devant tout le monde.


Liens : 


Vidéo d'une fouille corporelle nue.


Polémique en GAV.


samedi 28 janvier 2023

Voleuse larguée nue dans la rue en guise de punition.

Punir et humilier les délinquantes.
Fille humiliée nue dans la rue et exhibée.

 Justice expéditive et vengeance personnelle.


En France en 2023 face à l'augmentation de l'insécurité et au désengagement de la police et de l'Etat nous assistons de plus en plus à l'émergence de groupes de personnes qui préfèrent se faire justice elle même et faire régner l'ordre au mépris de toute lois.

Des personnes accusées à tord ou à raison de délits et d'incivilités sont punies et humiliées par ces sortes de nouveau justiciers.

Ces nouvelles milices citoyennes s'inspecte du passé et du moyen âge pour s'occuper des perturbateurs et des voyous.


Pas plus tard que samedi dernier, une jeune fille de 19 ans, qui a tenter de voler des sous vêtements dans un magasin de lingerie féminine.


Prise en flagrant délit, les commerçant du quartier et certains passants adeptes des punitions humiliantes décident à l'unanimité de donner une leçon mémorable et spectaculaire à la voleuse pour lui faire passer l'envie de récidiver.

Le commerçant victime souffle à l'oreille des justiciers l'idée d'enlever les vêtements de la délinquantes et de la faire parader toute nue en plein centre ville et devant tout le monde pour en faire un exemple et dissuader les autres potentiels voleurs.

Les militants trouvent cette idée très juste car l'humiliation et la dégradation doivent être au coeur de la sanction comme  c'était le cas au moyen âge ou dans la série game of thrones.

La jeune fille s'est retrouvée totalement à poil malgré  ses protestations et ses gémissements. elle a du tout retirer, les justiciers lui ont même fait enlever sa culotte et ses chaussettes pour l'exhiber à poil et pieds nus.


Liens :


samedi 25 juin 2022

Nue dans un bar public lors des épreuves du bizutage.

 

A poil das le bar pendant le bizutage.
Nue dans un bar au bizutage.

Etudiante parade nue lors du bizutage traditionnel.


Le bizutage dans l'enseignement supérieur est une coutume qui perdure à toutes les époques, comme on le dit souvent, les traditions ont la dent dure.

Durant les débuts d'années universitaire  en septembre octobre de chaque année, c'est la période des fameuses journées d'intégration (ou week end) car ils ont lieu en fin de semaine.


Lors de ces bizutages, les filles de premières années sont "réunies" par petit groupes et à la chaine dans les amphithéâtres. 


Jessica étudiante de 19 ans en droit a été "invitée" manu militari par deux anciens à se rendre sur l'estrade en plein milieu d'un amphi rempli d'étudiants très chaud et excités. Elle et d'autres filles sont obligées de se mettre intégralement nues sous les hurlements du public "A poil A poil".


"Retirez tout, à poil" disent aussi sèchement les anciens. Les mise à nue sont obligatoire et se font de gré ou de force.

Pas de place pour la pudeur et la timidité ! les plus pudiques jugées coincées ont leurs vêtements arrachés et parfois déchirés.


Les bizutes doivent présenter leurs seins, fesses, ouvrir chatte en public et certaines pleurent en faisant ça.



Ensuite une traditionnelle parade à poil est organisée ou les filles nues doivent se promener ainsi dans tout l'établissement et sur le campus.


Jessica elle doit aussi aller nue et pieds nus dans un bar du centre ville pour s'exhiber devant les clients et les divertir lors des spectacles du bizutage.


Liens : 





vendredi 4 février 2022

Dressage à poil d'un soumis nu en public (Roucisme).

 

Mec soumis traité comme un chien et humilié
Dogtraining, soumis à poil et humilié en public.

Un roux humilié nu  et traiter comme un sous homme par une bande.


Lucas, un jeune homme de 30 ans environs, c'est un roux, un rouquin et sa chevelure lui a value d'être asservi et humilié par une bande de délinquant vouant une haine particulière au peuple roux.


Avec les crises récentes (épidémies, guerres, crise économique, réchauffement climatique etc.) les superstitions et les croyances étranges reviennent en force. Le peuple cherche des boucs émissaires, des responsables à tout les malheur de ce monde, et les roux sont les cibles idéales.


Le racisme anti roux n'étant pas reconnu contrairement à d'autre forme de racisme,  plusieurs groupes sectaires  et pervers dont les membres sont persuadés que les roux sont les fils du diables et de véritables démons incarnés émergent dans beaucoup d'endroit en France.


Le gouvernement français soutient en sous main ces actions visant à trouver des responsables et calmer la colère de la populace. Le racisme anti roux est devenu la doctrine officielle de plusieurs partis politiques français.


Lucas a été humilié durement par ce gang, ça a très vite commencer à sentir le roussi pour lui quand il a été pris à partie par deux mecs dominants et baraqués qui lui reproche la couleur de ses cheveux.



La victime est amenée dans un coin à l'écart dans la cité pour une séance d'humiliation et de dressage public. La foule accuse ce roux de porter malheur et de diffuser des épidémies de coronavirus et de risquer de provoquer un tremblement de terre. 



Pour exorciser et tenter de sauver l'humanité,  la solution est de punir l'incarnation du mal et d'humilier l'agent du diable en public.


Pour l'humilier, Lucas est d'abord forcer de se mettre totalement à poil en public sous les rires et insultes des membres de la bande et du public.


La mise à poil est totale, nu, pieds nus sans aucune parcelle de tissu pour couvrir son corps, le soumis doit être dressé, humilié, fessée, dégradé pour perdre toute humanité.


Lucas est promener à poil avec une laisse comme un chien en pleine rue dans l'indifférence et le mépris général.


Les voyous lui crachent dessus, lui donnent des claques sur les fesses et le force à écarter pour que son anus soit bien visible et ouvert !


Aucune dignité ne lui est permise !


 

Fessée public et mise à poil d'un soumis roux.
Un soumis dressé à poil et fessé nu.


Liens : 



dimanche 30 janvier 2022

Visite médicale cauchemardesque devant des étudiantes en médecine.

 

Humiliée et exposée lors de la visite médicale.
Nue devant le docteur et des étudiantes en médecine.

Pudeur et dignité bafoué à la visite médicale.


Eliza se souviendra longtemps de son passage à la médecine du travail. Elle vient de trouver un nouvel emploi très bien payé dans une grande compagnie d'assurance et banques, et comme tout le monde elle doit passer durant les premières semaines une visite médicale d'embauche.


Le problème enfin on peut parler ainsi, c'est que l'entreprise à passer un contrat avec la faculté de médecine, ce qui fait que les étudiants en médecine doivent participer aux visites médicales de prévention automatiquement, et que les salariées comme Eliza doivent accepter leur présence et se soumettre à tout les examens et aux ordres de l'équipe médicale.


Lorsque Eliza arrive dans le cabinet, elle doit tout d'abord passé un entretien de santé très complet sur son état de santé, ses antécédents médicaux, si elle fait du sport, boit de l'alcool, fume, a des problèmes sociaux, sur le stress et la pression au travail , avoir la bonne position sur son bureau pour ne pas avoir mal au dos etc.


C'est ensuite que les ennuis commencent, le docteur ordonne à Eliza de se déshabiller, de retirer ses vêtements pour passer aux choses sérieuses.


Eliza enlève d'abord ses chaussures, sa jupe et ses collants, puis son chemisier; il ne lui reste plus que ses sous vêtements. Le médecin du travail lui ordonne de retirer sa culotte et son soutien gorge, c'est très difficile de se mettre en tenue d'Eve devant un docteur et deux filles étudiantes inconnues.


Mais elle n'a pas le choix c'est le règlement de l'entreprise ...


Le docteur examine les seins avec de longues palpation en expliquant aux internes la technique et l'objectif. Les filles commentent la poitrine d'Eliza, le docteur examine aussi minutieusement l'anus de la jeune femme et lui impose un examen gynécologique.


Liens : 


Visite médicale du supérieur.


Bilan de santé à l'IUT.





samedi 22 janvier 2022

Le bizutage et la nudité forcée à l'école d'architecture.

 

Bizutage à poil des étudiants en première année d'école d'architecture.
Les bizuts de premières années sont à poil dans l'amphithéâtre et exhibés.


Le bizutage des étudiants en première année.

Dans l'enseignement supérieur les traditions survivent à toutes les épreuves et résistent au temps et à l'action politique. Dans certaines grandes institutions  comme dans cette école d'architecture le bizutage survit.


Il a lieue lors d'un week end en début d'année scolaire ou les anciens et les anciennes réunissent les nouveaux et les nouvelles dans un grand amphithéâtre pour une après midi et une soirée de folie.


L'une des premières choses demandés aux nouveaux c'est de se déshabiller, et complètement à poil, aucun vêtements n'est tolérés.


Les anciens hurlent "à poil" "à poil, "à poil" et sont totalement insensibles à la gêne et aux sentiments de pudeur que peuvent ressentir les bizuts. C'est un moment un peu difficile pour les plus pudiques et les plus coincés qui doivent se mettre nus en public.


Une fois tout le monde à poil, les anciens font parader les nouveaux les mains sur la têtes, seins et fesses à l'air, zizi et vagins à l'air, pieds nus dans toute l'école et dans la cours pour une exhibition amusantes pour les anciens et les passants.


 Ensuite les organes génitaux et les anus des nouveaux sont passés en revue, les chatte et les bites sont rasés à la tondeuse électrique. Les bizuts doivent écarter les fesses pour rendre bien visibles les trous de leurs fesses, les filles elles subissent en plus un test de virginité, un simulacre d'examen gynécologique en public et les vierges doivent faire des danses nues très sensuels.


Des exercices sportifs et physiques sont aussi imposés, ainsi que des spectacles humiliant, comme le fait de devoir "jouer" des pièces de théâtre érotique, nue avec des paroles salaces et des postures obscènes, mimer des actes sexuels  en public.


Des combats de lutte nues entres filles sont aussi organisés et les technique vicieuses sont autorisés (chatouille, masturbation, doigt dans le cul et la chatte, pinçage des seins et des tétons, fessée, etc.).



Liens : 



lundi 17 janvier 2022

Vidéo d'un bizutage hard

 


Une fille bizutée qui a perdue à la lutte humiliée et baisée par le public.


Dans cet institut universitaire les bizutages sont vicieux et très crash, la tradition veut que les filles de premières années luttent nue en public, ces combats se déroulent dans une atmosphère torride et toutes les perversions lesbiennes sont permises pour gagner.

La perdante devient la soumise et l'esclave sexuelle des anciens qui peuvent la baiser en public et tout lui faire.

Lyla vient de perdre son match de lutte, elle est donc l'esclave et aucune humiliations ne lui sera épargnées !


Bizutage, la fille qui perd le combat de lutte humiliée et baisée en public.
Un bizutage hard qui se termine par un gang bang de la perdante.



Liens : 


vendredi 3 décembre 2021

Une femme baisée nue et en public par un groupe dans une laverie ( vidéo BDSM).

 

BDSM Hard : une femme soumise nue se fait humilier et baiser de façon dégradante dans une laverie en public.


Une bande de pervers a organiser un gang bang dans une laverie pour baiser et humilier une soumise SM en public.



Liens :


Asservissement sexuel.