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dimanche 13 avril 2025

Difficile d'être à poil au bizutage étudiant

Pas de pudeur lors du bizutage étudiant
Le bizutage publique : les filles à poil.

 

Dans les établissements d’enseignement supérieur en France, les bizutages sont une tradition solidement ancrée, surtout dans les cités universitaires où les nouvelles étudiantes, souvent intimidées, sont jetées dans l’arène dès les premières semaines. Sur ce campus de banlieue parisienne, une école d’ingénieurs réputée pour son ambiance impitoyable, les étudiantes de première année, majoritairement d’origine maghrébine, se distinguent par leur pudeur et leur réserve. Habituées à des codes stricts, elles se heurtent de plein fouet à la vie étudiante française : une jungle libertine, débridée, où l’exhibitionnisme l'impudeur sont la norme. Si pour beaucoup de filles de vingt ans, la nudité est une banalité, pour ces âmes timorées, se dévoiler est une torture impensable.

Mais ici, pas de quartier. Le week-end d’intégration (le bizutage), organisé par le BDE (Bureau Des Étudiants), est un passage obligatoire, une machine à broyer pudiques. Les nouvelles, à peine arrivées, sont accueillies comme du bétail par une horde d’anciens surexcités, des tyrans autoproclamés drapés dans leur arrogance. Les règles sont claires, hurlées dans un mégaphone pour que nul n’ignore : « Vous n’êtes rien ici ! Vous obéissez, ou vous dégagez ! » La tradition, implacable, ne tolère aucune exception. Chaque première année doit se plier au rituel infâme : tout enlever. Absolument tout. Pas de demi-mesure, pas de négociation. Soutiens-gorge, culottes, foulards et même les chaussettes tout finit en tas sous les rires gras et les sifflets d’une foule déchaînée.

Pour les filles pudiques, c’est un cauchemar éveillé. Certaines tentent de résister, les joues brûlantes, les mains crispées sur leurs vêtements, murmurant des supplications inaudibles. Mais les anciens, impitoyables, n’ont que faire de leurs larmes. « Déshabille-toi ou on le fait pour toi ! » aboie une organisatrice, une troisième année au regard d’acier, tandis que ses sbires, armés de ciseaux, s’approchent dangereusement. Les plus récalcitrantes sont traînées au centre de la cour, sous les projecteurs, où une sono crache des basses assourdissantes. Là, elles deviennent le clou du spectacle : leurs vêtements sont arrachés sans ménagement, parfois découpés en lambeaux, sous les huées d’un public en transe. Les insultes fusent, crues, vicieuses, conçues pour briser. « T’as cru que c'est la mode d'être pudique ici ? Montre tout, espèce de coincée ! »

Pour pimenter l’humiliation, les anciens rivalisent d’idées tordues. Les nouvelles, nues et pieds nus, sont forcées à défiler en rang, bras en l’air, sous des jets d’eau glacée ou de peinture fluorescente qui marque leur peau comme une sentence. On leur impose des jeux absurdes : ramper dans la boue, danser sur des podiums improvisés, ou pire, se livrer à des chorégraphies grotesques pendant qu’on les filme sans relâche. Les vidéos, bien sûr, circuleront plus tard, menace implicite pour garantir leur soumission future. Pas une once de compassion ne vient adoucir leur calvaire. Les anciens, enivrés par leur pouvoir, se repaissent de chaque cri, de chaque regard fuyant, de chaque corps tremblant.

Certaines filles, brisées, finissent par céder, espérant que l’épreuve s’arrête là. Mais le bizutage ne s’arrête jamais vraiment. Les jours suivants, les moqueries continuent, les surnoms humiliants collent à la peau, et les plus fragiles deviennent des cibles permanentes. Sur ce campus, la pudeur n’est pas une vertu : c’est une faiblesse.

Lien :

La tutrice et sa bizute. 

 




samedi 19 octobre 2024

Les humiliations subies par les prisonnières.

Humiliation collective à poil pour les prisonnières.
Humiliation collective : les femmes forcées de faire du sport nue et publiquement.

Quel sort réservé aux femmes détenues dans la prison militaire d'Abou Ghraib ?

 Avril 2004, Prison d'Abou Ghraib, Irak.


Les gardes américains estiment que les femmes irakiennes incarcérées dans la prison militaire doivent être traitées "à la dure", dressées et disciplinées. La direction de l'établissement et la CIA donne carte blanche aux surveillants pour maintenir la discipline et humilier.

Ce qui est dans un premiers temps très surprenant pour tout observateurs extérieur, c'est qu'ici les femmes musulmanes sont gardées absolument nues, elles ont l'interdiction de porter des vêtements et des chaussures. La nudité est justifiée pour des raisons de sécurité, mais aussi et surtout pour se venger des attentats du 11 septembre et punir ces femmes.

Comme elles sont très conservatrice, pudiques, du fait que leur religion l'islam leur enseigne de dissimuler leurs corps et de porter le voile et l'abaya, et bien il faut détruire leurs vêtements et leur apprendre à vivre nues et à s'exhiber.

Rien de plus humiliant pour ces femmes pieuses et respectables que de parader à poil en public devant les conquérants américains qui les insultent et se moquent d'elles. De plus elles doivent assister à la destruction de leurs vêtements religieux jugés "archaïques", "obscurantistes" et "rétrogrades" que les gardes découpent en morceaux.

Elles sont aussi souvent jugées trop grosses et rondes, car une fois à poil, les gardes remarquent que beaucoup sont en surpoids, une des gardiennes parmi les plus vicieuses et perverses a pris l'initiative d'organiser des "cours de sport" pour le fun. "Ces grosses vaches doivent morfler, et suer comme des cochonnes" ricane une des gardiennes.

Les gardes après avoir constater que les femmes étaient un peu grasses ont décider d'organiser des cours de "gym", de sport pour les faire maigrir.

Ces femmes qui pour certaines étaient complétement voilées de la tête aux pieds sont en train de sautiller à poil  avec leurs gros seins qui partent dans tous les sens. Nous pouvons entendre le bruit légers des pieds nus prisonnières qui claquent contre le sol.

Ensuite elles font des jumping jacks et des burpees.

Lien : 

Briser l'égo d'une prisonnière.

mercredi 18 septembre 2024

Les filles les plus pudiques sont punies durement lors du bizutage.

Piment dans la chatte lors du bizutage.
Les filles nues lors du bizutage punies par du piment dans le vagin.

Le piment dans la chatte au bizutage.

Pour les filles les plus pudiques le bizutage est toujours une épreuve difficile à passer et c'est impossible d'y échapper.

C'est un rituel composés de diverses épreuves  traditionnellement organisé  en début d'année universitaire par les étudiants les plus anciens avec le soutient de la direction et des autorités. C'est quelque chose de solidement ancré dans le fonctionnement de beaucoup d'établissement d'enseignement supérieur.

L'organisation est très bien rodée et les organisateurs sont très bien organisé.

L'une des choses les plus importantes lors du bizutage, c'est que les nouvelles doivent se déshabiller, en effet, c'est un moyen pour les anciens de décoincer et de contrôler les jeunes filles, de les habituer à la vie en collectivité et le passage dans la vie d'adulte.

Les anciens vont chercher les premières années pour les réunir dans l'amphithéâtre principale de la fac, ou elles sont invitées de façon musclée à se "mettre à poil", devant tout le monde dans une ambiance électrique et festive.

Les anciens sont impitoyables, les nouveaux doivent être tous à poil, sans aucune exception pour être "présentés" c'est à dire exposés nus devant tout  le monde.

Les filles doivent être décoincées, si la majorité des bizuts se soumettent bon gré mal gré aux injonctions des anciens, il y a toujours certaines filles qui refusent pour diverses raisons d'enlever leurs vêtements.

Certaines filles complexées et pudiques, les grosses, les filles religieuses catholiques et musulmanes qui ont reçue une éducation stricte ou la modestie est une valeur essentielle ou certaines filles assez hautaine et fières font parfois de "la résistance" au déshabillage.

Les filles musulmanes voilées de la tête aux pieds sont bien sur elles aussi soumises aux rituels d'intégration du bizutage. 

Cette année, plusieurs filles réfractaires aux traditions ont été punies par les anciens dont Asma, Caroline, Mélanie, Élodie. Leur point commun est d'avoir refuser de se découvrir.

Asma est musulmane pratiquante et voilée, elle ne voulait pas enlever son voile et ses vêtements, hors lors du bizutage il faut tout enlever, les anciens ont le droit de voir les filles nues le temps d'une journée, et la pudibonderie et les croyances religieuses doivent être mise de coté ce jours là.

En ce jours spécial, les filles doivent être toutes à égalité, sans distinction de religion ou de classe sociale, juste des paires de seins, avec des chattes et des fesses c'est à dire à poil et pieds nus.

Asma a été mise à poil en public; dans l'action certaines de se vêtements ont été arrachés dont sa culotte, et la jeune fille a du montrer son anus et l'intérieur de sa chatte pendant de longue minutes.

Les filles rebelles doivent parader à poil et pieds nus plus longtemps que les filles dociles, les rebelles doivent parader dans tout le campus, et dans le centre ville pendant toute la mâtiné.

Mais pour donner l'exemple, les anciens ne s'arrêtent pas là, et les filles pudiques doivent s'introduire du piment fort dans le vagin devant tout le monde, cette punition dure et cruelle et nécessaire pour marquer l'autorité et le pouvoir des bizuteurs qui contrôlent l'esprit et le corps des nouvelles.

 

Lien : 

Embarrassée nue lors du bizutage.


 

dimanche 10 janvier 2021

Des femmes humiliées et déshabillées dans le commissariat de police.

 

Des femmes prises en photo nues en garde à vue
Mug shot de prisonnière prise nue en photo.

Humiliations, sexisme, nudité forcée et abus de pouvoir dans la police.


Un groupe de femme à décider de saisir la justice, sans obtenir le moindre succès contre les pratiques d'un commissariat de police d'une région du centre de la France.


Des femmes de toutes origines, caucasiennes, maghrébines, africaines, asiatiques  et de toutes religions et de tout milieux sociaux  et âgées entre 20 et 35 ans ont lancer une protestation de groupe contre le ministère de l'intérieur suite aux pratiques controversées d'un poste de police.


Ces femmes ont étés placées en garde à vue pour d'obscur motifs, ou pour des pseudos infractions routières, des raisons futiles; et des contrôle  d'identité routinier. On se demande sur quoi juridiquement ces policiers se sont baser pour les mettre en GAV car la loi française ne prévoit pas ce type de mesures lors de ces situations. Le commissaire a justifié cette pratique  en affirmant cibler une catégorie de personnes plus susceptibles d'acte de délinquances. De plus ces arrestations donnent lieu systématiquement à des fouilles à nu avec recherche des cavités corporels.


Ces mesures sont jugées nécessaires dans ce poste de police alors qu'ailleurs la législation française interdit les fouille avec déshabillage intégral.


De plus ces fouilles à poil sont précédées de palpations souvent strictes et jugées agressives par les femmes détenues qui se retrouvent tripoter de partout souvent pas des gardes de sexe masculins qui n'hésitent pas a malaxer les seins des femmes.


Les femmes sont aussi contrainte de se déshabiller complètement devant des policiers hommes et devant me commissaire sous prétexte qu'il n'y a aucune femmes policières pour y effectuer les fouilles. Le commissariat en question dit rechercher des agents de police féminins mais que pour le moment il n'y en a pas. De plus les policiers se plaignent de coupe budgétaires bloquent tout nouveau recrutement.


Les mises à nue se font sans aucun respect de la pudeur et de l'intimité des prisonnières qui doivent ôter leurs vêtements un à un, y compris les culottes, bas, chaussettes pour être pieds nus, leurs bijoux, et même leur tampons et serviette hygiénique quand elles en porte. La nudité des prisonnières est visible depuis l'extérieur de la salle de fouille car la porte n'est jamais fermée.`Tout les fonctionnaires, visiteurs, hors personnes en détention peuvent voir le spectacle. Les femmes victimes sont souvent très traumatisée de cette exhibition forcée.


De plus par mesure de sécurité les opérations d'inspections corporels sont filmer, et les femmes prisonnières doivent être photographier nues sous toutes les coutures et prendre des postures parfois humiliantes et dégradantes.


Liens :


Strip search naked in jail


Humiliation en GAV