mercredi 30 juin 2021

Étudiante humiliée nue

 

Une fille forcée d’être toute nue et de s’exhiber.
Elle est toute nue et exhib sa chatte de salope.

Fille mise nue et forcée de s’exhiber.



Dans la fac, une bande de garçons fait régner la terreur et impose sa loi aux autres étudiants et étudiantes.


Une jeune fille Marjorie, avec des origines asiatiques  est suivie à la sortie d’un de ses cours de maths. Elle prend le train pour rentrer chez elle.
C’est une très bonne élève et plusieurs cancres sont jaloux et jalouse d’elle.

La bande l’intercepte sur le chemin du retour.

Marjorie est amenée de force dans un bois un peu isolé.Une fois sur place et sous la menace elle doit se mettre toute nue, intégralement à poil. Sa culotte, ses chaussures, ses chaussettes tout y passe.

Elle se retrouve en tenue d’Eve, les yeux baissés main sur la tête et les jambes écartées et elle doit se présenter: donner son nom, age, cursus, ses profs etc.

Ensuite ils lui font faire des poses et des gestes humiliants et dégradants.

Elle est forcée de s’exhiber et se montrer sa charte comme une vulgaire salope, comme une pute.


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Prisonnière nue derrière les barreaux

Nudité forcée en confinement solitaire.
Prisonnière nue derrière les barreaux de sa cellule.

Déshabiller les prisonnières en confinement solitaire (isolement).


Dans la prison militaire américaine d’Abou Ghraib, qui contient un block cellulaire dans lequel sont gardés en détention les détenus de “grande valeur”. La majorité des détenus sont des hommes mais il arrive que quelques femmes y soient détenues aussi.

Elles sont classées comme “prisonnières de sécurité” un terme inventé par l’administration américaine du président Bush pour justifier la privation de liberté sans inculpation ni cadre légal de toute personne suspectée de liens avec le terrorisme ou ici sur simple soupçons d’activités contre la coalition internationale menée par les États Unis.
Après les révélations dans la presse qui ont fait scandale, plusieurs organisations internationales et ONG se sont intéressés à la situation dans ce centre de détention.

Une jeune femme, Latifa, 24 ans  recherchée par sa famille après avoir été arrêtée a un barrage routier est retenue en isolement dans cet endroit depuis 4 mois pour être suspectée d’avoir hébergé des rebelles.

Lorsque qu’elle est arrivée à l’unité d’isolement  la jeune prisonnière a été soumise à une fouille à nu selon la procédure.

Les autorités administratives admettent que la prisonnière doit se déshabiller devant 4 agents de la prison. Latifa a du retirer tout ses vêtements, ses bijoux, sa montre, et tout ses effets personnels. Elle a même dû retirer son tampon pour les règles.
La prisonnière une fois nue doit défaire ses cheveux, ouvrir la bouche, soulever ses seins, faire des flexion de jambes, puis se retourner et se pencher en écartant les fesses en toussant fort pour s’assurer qu’elle ne cache rien dans son anus.

Elle a été aussi obligée de se mettre nue devant des gardes hommes pendant ce processus et la scène a été enregistrée par un garde avec une caméra.

La direction de la prison autorise le fait de filmer les fouilles à nu (strip search) pour s’assurer qu’il n’y ait aucun abus et aucunes agressions sexuelles  sur les prisonnières.

C’est un moyen de prévention qui est vécue comme terriblement humiliant et dégradant par les femmes qui viennent d’arriver.

De plus les prisonniers sont gardés constamment nus sauf les plus coopératifs.


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Une salope expose son cul et ses pieds nus.

 

Ass and sexy soles
Fille aux belles fesses et pieds sexy.

Une coquine qui porte le hijab s’exhibe.


Sur le campus universitaire certaines filles portent le hijab ce qui n’empêchent pas certaines d’être de vrais salopes.

Lors des soirées étudiantes, cette jeune fille qui s’ennuie beaucoup n’hésite pas à retirer tout ses vêtements sauf son voile.


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dimanche 27 juin 2021

Une femme nue en prison

 

Nudité forcée et enchaînée en permanence pendant sa détention.
Une femme prisonnière nue et enchaînée devant son gardien et son avocate.

Prisonnière gardée en régime confinement solitaire.


Une avocate affirme avoir pu rencontrer sa cliente détenue au secret et sans aucunes charges officielles pendant pendant plusieurs mois dans une prison militaire gérée par les services de renseignement.

La cliente, connue sous le pseudonyme de Fahima  est brune âgée d’environ 30 ans, sa famille à lancer plusieurs appels pour la retrouver après qu’une patrouille l’ait arrêtée pendant une opération de ratissage dans son quartier. 

Les militaires américains arrêtent régulièrement des individus dont parfois des femmes sous prétexte de lutte contre le terrorisme, le narco trafic, soutient a des mouvements rebelles hostile aux intérêts Us, etc.

La loi dite du « Patriot Act » autorise l’administration américaine à détenir sans charge toute personne suspecter des crimes cités ci dessus.  

Fahima est considérée comme une détenue de haute valeur du fait qu’elle soit une jeune et brillante scientifique qui travaille à l’université et qui détient  potentiellement des informations sur le programme militaire nucléaire ou chimique  supposé de l’ancien régime chassé par les troupes US. Elle est susceptible aussi d’être en liens avec d’anciens dignitaires en fuite et peut être même de soutenir l’insurrection armée.

Pour la retrouver sa famille a fait appelle à des organisations de défenses des droits de l’homme et à des juristes spécialisés. Après un travail de longue haleine il a été possible de retrouver sa trace. La jeune femme est passée par plusieurs centres de détention secret avant d’atterrir dans la partie consacrée aux “détenus sensibles” de la partie dure du site de la prison sous contrôle US à Abou Ghraib.

Il n’a pas non plus était simple de pouvoir prendre contacte avec elle et de lui obtenir un avocat du fait du peu de coopération des autorités pénitentiaires.

Après plusieurs mois, une jeune avocate a pu visiter la prisonnière et s’entretenir brièvement avec elle.

Le témoignage de l’avocate est édifiant. 

“Ma cliente vit isolée du reste du monde depuis plus de 6 mois, elle n’a jamais pu passer de coup de téléphone, ni envoyer aucune lettre, ni contacter le moindre avocat. Aucune informations  sur des droits ne lui a été signifié, pas plus que les raisons qui justifie sa privation de liberté.

Elle est enfermée dans une petit cellule de deux mètres sur trois souvent plus de 23 heures par jours. Sans aucun confort. Elle dort sur un ban avec une petite natte . Elle dispose de toilettes turques,  c’est à dire un petit trou dans le sol pour faire ses besoins naturels avec deux reposes pieds. Elle dispose aussi d’un robinet qui ne fonctionne pas toujours.


Ma cliente se voit remettre chaque mois une petite trousse de toilette avec un savon, une brosse à dent et du dentifrice et parfois une serviette. Aucun autres objets n’est autorisés.


Elle reçoit deux repas par jours souvent très simple ( riz, poulet, œufs, bananes ...) et une bouteille de deux litres.


Elle a le droit à deux douches par semaine et a sortir une heure par jours de sa cellule pour se dégourdir les jambes, en général des surveillants l’amène dans une petite court de 8 mètres sur 8 pour y faire de l’exercice et prendre l’air.


Tout ceci est déjà très difficile à vivre et oppressif, mais le plus choquant est de savoir que ma cliente ne porte aucun vêtements et est gardée nue tout le temps.


Dans l’aile de la prison où ma cliente est retenue, les prisonniers doivent être en permanence complètement nus. La seule chose que porte ma cliente sont des chaînes et des menottes.


Les seules occasions ou un prisonnier peut se voir remette des vêtements c’est lors qu’il sort de l’unité d’isolement pour consulter un médecin, rencontrer un avocat ou un membre de sa famille lors d’une visite.


C’est très rare, en 6 mois ma cliente n’est sortie que deux fois de l’unité, une fois pour une visite médicale et une seconde fois pour un bref entretien avec moi.


Une culotte blanche et un t shirt orange de prisonniers ont été remis à Fahima. Par contre on ne lui a pas fourni de quoi couvrir ses pieds. Il n’y a pas de tongs en stock.  La prisonnière doit marcher pieds nus tout le temps.


Elle avait du enlever sa culotte et son t shirt devant le médecin.


L’administration justifie le fait de garder les prisonniers sans vêtements pour diverses raisons : C’est une prison de haute sécurité et garder les détenus nus les rend plus facile à contrôler et limite le risque d’évasion. C’est aussi un moyen de les rabaisser et de les rendre plus dociles et coopératifs, surtout en vue des interrogatoires. C’est même pour beaucoup d’interrogateurs un moyen très facile et efficace pour faire parler les suspects.


 Il n’y pas assez  d’uniforme de prisonnier. C’est tellement habituelle pour les gardiens que beaucoup considèrent que l’uniforme d’un prisonnier c’est d’être à poil.


En tout cas malgré mes protestations les autorités ont refuser le droit à ma cliente de porter des vêtements.



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samedi 26 juin 2021

Une femme gardée nue dans sa cellule de prison (pression psychologique)

 

Nudité forcée, pressions psychologiques et humiliations d'une femme prisonnière
Femme prisonnière nue attachée et exposée aux barreaux de sa cellule.


Prison de haute sécurité et nudité obligatoire.


Yasmine est une femme du moyen orient, elle est incarcérée depuis 7 semaines suite à la loi sur le "Patriot Act" voté par les Etats Unis sous l'ère Georges Bush Jr qui donne le droit aux forces armées américaine d'arrêter et de détenir sans procès ni charge toute personne suspectée de terrorisme ou de porter atteinte aux intérêts des USA.

De plus le secrétaire d'Etat à la Défense à autorisé l'armée et les services de renseignements à utiliser de techniques d'interrogatoires musclés et renforcés dans le but d'extraire toutes les informations nécessaire à la lutte des Etats Unis.


Yasmine à 28 ans, les militaires l'ont arrêtée et placée en détention à Abou Graib, une prison gérée par les  militaires. Elle est détenue dans l'aile des "détenus de haute valeurs" dans la section réservée aux quelques femmes retenues.  

C'est une étudiante en médecine, très bien éduquée, parfaitement anglophone  qui est gardée car suspectée de liens avec les rebelles de part son fiancé qui est très recherché.


Elle est accueillie sur un ton à la fois ferme et relativement amicale par les surveillants de la prison qui commence par lui poser des petites questions sympathique  pour s'intéresser à elle. Yasmine répond froidement et poliment. C'est une femme malgré tout occidentalisée, qui a vécue en Europe et aux Etats Unis de longues années avant de revenir dans son pays. Elle porte quand même une tenue traditionnelle et un long tchador noir par respect des coutumes. 


Elle est ensuite obligée de se déshabiller devant les gardes, elle a beau protester  et demander "Pourquoi enlever mes vêtements ?" les surveillants lui répondent que si la courtoisie ne fonctionne pas, ils utiliseront la force et qu'ils déchireront et arracheront les habits de Yasmine si elle tente de résister, et qu'ils sont beaucoup plus costaud qu'elle.


Elle répond qu'il y a des hommes et qu'elle préférerait faire ça devant juste des femmes. Les soldats rigolent et lui disent que ces hommes là voient des seins, des chattes et des fesses de prisonnières tout les jours car c'est leur métier.


Yasmine dégoutée s'exécute et ôte son foulard qui lui couvre les cheveux, elle n'est pas vraiment religieuse, puis ses chaussures, une paire de nike, et elle défait son long Tchador  (robe longue noire)avant de se retrouver en sous vêtements sexy.


L'une des gardienne frappe le mur de sa matraque pour rappeler à la prisonnière qu'il faut "Tout retirer y compris le soutien gorge, la culotte et les chaussettes. car nous devons examiner les gens qui entre en prison." "Nous exigeons que les hommes et les femmes que nous gardons en détention se mettent complètement nus"


Yasmine n'est pas surprise car elle a entendus parler de rumeurs comme quoi les prisonniers devaient retirer leurs vêtements y compris les sous vêtements. La prisonnière retire d'abord ses chaussettes et le contact de ses pieds nus avec le sol pas très propre n'est pas très agréable. Puis elle libère ses seins de taille moyenne, puis termine en faisant descendre sa culotte le long de ses jambes avant de la laisser tomber sur ses pieds et de la ramasser pour la remettre à la surveillante la plus proche d'elle.

La prisonnière est fouillée minutieusement, c'est très humiliant  de se voir examiner la bouche, le fond de la gorge, les orteils, sous la langue, sous les aisselles, le nombril, et même entre les orteils ...


Sans parler l'inspection de l'anus et du vagin au lampe torche avec un doigt ganté et lubrifié qui oblige Yasmine à se pencher dans une position dégradante et à écarter les fesses et les cuisses sans aucune pudeur ni respect. Yasmine doit se montrer docile car elle ne peut rien faire contre le staff du camp.


La femme prisonnière est ensuite entrainée hors de la salle d'accueil, vers les couloirs de la prison. Elle se sent affreusement humiliée de devoir parader ainsi totalement nue devant les autres prisonniers, les soldats hommes et femmes et le personnel administratif de la prison. La plupart des détenus sont nus, pour environs 90 %, quelques uns portent des slips, et seulement un ou deux sont vêtus d'uniforme orange comme à Guantanamo Bay.


En arrivant dans la petite partie des femmes, Yasmine passe devant la cellule d'une autre femme détenue, elle est âgée de 50 ans environs, elle est complètement nue elle aussi. Elle lui dit "Ma fille, je suis détenue depuis 5 mois par les américains et ils nous interdisent de porter des vêtements, je suis nue depuis mon arrivée et je m'y suis très bien habituée. Si j'ai pu le supporter, tu le pourra aussi."


L'ancienne détenue ajoute que "Si tu coopère et parle, peut être qu'ils te donneront une culotte ou un uniforme mais n'y compte pas trop, ils n'ont pas d'uniforme pour les femmes."


Yasmine est placée à poil dans sa cellule, comme pour les autres prisonniers, elle à l'obligation de rester exposée debout dans un coin de sa cellule, pour des raisons de pression psychologique, elle n'a pas le droit de s'assoir ni de s'allonger pendant 8 à 12 heures par jours, et reste attachée nue aux barreaux de la cellule la moitié de ses journées pendant le premier mois.


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Coercition psychologique lors des interrogatoires renforcés.


Terrible humiliation pour une prisonnière.









Bizutage des nouvelles prisonnières

 

Elizabeth obligée de se mettre nue avec les autres femmes pour la fouille a corps en prison.
Groupe de femme nues et aligné en prison.


Des femmes terriblement humiliées lors de leur incarcération.



Quand incarcération rime avec dégradation. Elizabeth vient d’être condamnée en comparution immédiate par un juge à 1 mois de prison ferme avec mandat de dépôt.

Elle est conduite dans un van cellulaire du ministère de la justice avec un groupe de femmes, elles aussi condamnées pour des délits mineurs à des petites peines. 

Après plusieurs heures de route. Le van arrive à destination. Les nouvelles prisonnières sont amenées dans une salle d’admission. 

Après quelques présentation Elizabeth et les autres reçoivent l’ordre de se déshabiller complètement pour la fouille corporelle (Strip Search).

Elizabeth et les autres femmes ont toutes déjà regarder des films ou des séries sur les prisons et savent qu’il y avant d’entrer en prison une fouille et qu’ensuite les détenus se voient remettre un uniforme. 

Les femmes sont choquées par le fait de devoir se mettre nues les unes devant les autres sans aucune intimité et devant des surveillants hommes.

Ces fouilles ont pour but de vérifier si le détenu cache sur lui des armes, des objets dangereux ou illicite etc.


Il n’y a à aucune place pour la pudeur, Elizabeth doit se mettre à poil. 

Les gardes crient sur les prisonnières et leurs disent de se déshabiller plus vite. La nudité totale est obligatoire.

Une fois en sous vêtements les femmes hésitent à retirer le reste mais les gardiens et gardiennes précisent bien de retirer aussi les culottes.

Une fois les prisonnières à poil, elles doivent écarter les jambes et mettent les mains sur la tête. Une surveillante avec un doigt ganté et lubrifie ausculte les vagins et les anus des femmes l’une après l’autre.

Ensuite les femmes ont le droit à une douche collective sous les regards de gardiens homme qui les matent de façon perverse. Les femmes reçoivent l’ordre de bien se frotter la chatte, les seins, les pieds. 

Ensuite les prisonnière nues sont aspergées de poudre anti poux et anti parasites.

Ensuite pour les humilier les gardiens forcent les femmes  à s’aligner nues et à marcher pour faire le tours de la prison et s’exhiber devant les hommes qui les sifflent, les insultent, menace des les baiser.
Un garde s’amuse même à leur donner des petites fesses pour les faire avancer plus vite.



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jeudi 24 juin 2021

La règle de la nudité en prison

Femme nue et fouillée par sa gardienne devant sa cellule.
Prisonnière nue et lors de l’inspection corporelle. 

Une prisonnière déshabillée devant sa cellule.


Scène de vie quotidienne dans l’unité de ségrégation de la prison militaire américaine d’Abou Ghraib lors de la seconde guerre du golfe (2003/2011).

Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et à la suite de l’opération visant à changer le régime, les États Unis occupent militairement le pays et y détiennent des milliers de personnes dont certaines sont jugées comme étant de hautes valeurs ( cadre de l’ancien régime, scientifiques, militaires, agents des renseignements, ainsi que des rebelles et des membres de groupes terroristes). Le camp de détention sert de centre d’interrogatoire pour les prisonniers les plus importants ou les plus stratégiques capturés par les forces Us.

Si une partie du site est un camp de prisonniers « classique » tenue par l’armée et une autre partie concerne les prisonniers de droits communs géré par le pouvoir civil. L’armée et les services de renseignement tiennent une unité spéciale dite d’isolement ou de ségrégation où sont détenus les personnalités importantes qui sont gardées en isolement plus ou moins complet.

Après les révélations dans la presse sur les scandales. Des avancées ont été faite pour les droit des prisonniers grâce aux pressions exercer par la presse et la société civile.

L’immense majorité des prisonniers sont des hommes mais quelques femmes peuplent aussi les lieux.

Quelques semaines  après le scandale, certains prisonniers ont eu la possibilité d’avoir accès à des avocats, ou des juristes et des représentants d’organisations internationales.

Une jeune femme prisonnière en isolement quasi complet, Kamelia  a pour la première fois depuis qu’elle a été arrêtée  il y a 8 mois à droit de voir un avocat.
Un matin, comme d’habitude, vers 06h30, les gardes en tenus militaires se rendent vers la petite cellule de la détenue, un espace restreint de 2 mètres sur 3 avec des toilettes à la turque et un petit ban surélevé avec une couchette et un robinet pour l’accès à l’eau. Aucun objets n’est permis dans cette partie de la prison.

Kamelia est réveillée, elle a 23 ans, brune, la peau banche très légèrement hâlée.
C’est une jeune fille sexy, elle est suspectée d’avoir cacher des armes et des explosifs chez elle pour aider la rébellion. A ce titre elle est considérée comme étant dangereuse et représentant un danger pour la sécurité nationale américaine. La loi du « Patriot Act » permet à l’administration US de la retenir au secret et  sans charges et sans limite de temps pendant l’enquête.

Lorsque les surveillants ouvrent la porte de la cellule, la prisonnière est allongée sur le dos, ses poignets et ses chevilles sont attachés à la banque par des menottes.
Lorsque qu’elle n’est pas sous surveillance direct, le règlement de la prison veut qu’elle soit entravée par sécurité.


La prisonnière est complètement nue et pieds nus et exposée ainsi sans aucune pudeurs. Toute son intimité est visible pour les personnes qui entrent.

La nudité totale est imposée dans cette partie de la prison. Pour les responsables américains c’est bien plus sûr pour assurer la sécurité et réduire le risque d’évasion. Et c’est un moyen simple de rendre les détenus plus dociles et de les ramollir en vue des interrogatoires.

De plus le camp se trouvant sur un théâtre de guerre, les uniformes sont très rares. Seulement quelques prisonniers ont des uniformes oranges ou jaunes, quelques un ont eu le droit de porter des slips ou des caleçons après avoir parler et donner des informations pertinentes  lors des interrogatoires, et le reste plus de 60% sont totalement nus les fesses a l’air.

Kamelia est elle sous le statut de nudité complète et permanente. Elle peut porter des vêtements seulement quand elle sort de l’unité pour des rendez-vous comme c’est le cas aujourd’hui.

Aujourd’hui est un jours spécial pour elle car c’est l’une des premières fois qu’on lui remet des vêtements depuis son incarcération.

La prisonnière se voit retirer chaînes et menottes et  est debout nue au milieu de sa cellule et des gardiens lui disent de s’habiller en anglais (langue qu’elle comprend facilement) car aujourd’hui elle a de la visite.

Kamelia ne comprend pas très bien. Un des militaires lui tends des habits : une culotte blanche, une paire de claquettes en plastique, une robe noire traditionnelle et un foulard pour la tête. Le port de soutient gorge et par contre strictement interdit.

Prisonnière toute nue dans les couloirs de la prison
Se mettre nue avant d’entrer en cellule.



La prisonnière est quand même très contente de pouvoir porter des vêtements. Avant lors de ses déplacements au sein de l’unité, elle était obligée de parader nue dans la honte devant tout le monde les seins et la chatte exposés à la vue de tous. Pour aller à la douche, à l’interrogatoire, à la court de détente etc. Les américains l’ont forcé à marcher nue devant les autres prisonniers.

Pour une fois qu’elle peut se déplacer habillée ca lui fait plaisir.

Les gardes anticipent un peu le retour de la détenue Kamelia dans ses quartiers.

Si elle s’est parfaitement habituée à vivre en tenue d’Eve. Elle était très en colère et gênée les premières semaine par la nudité obligatoire. Elle se sentait humiliée honteuse et dégradée, mais avec le temps elle 
s’est adaptée.

Après une petite heure, Kamelia revient dans le secteur d’isolement après son entrevu avec le juriste.

Elle est escortée jusqu’à devant  sa cellule.

Les gardes lui ordonne de se déshabiller et de rendre les vêtements qu’on lui a remis une heure plus tôt.
La prisonnière se met pieds nus, c’est facile elle porte des tongs qu’elle retire et elle pose ses plantes de pieds sur le béton. Elle défait ensuite son foulard et retire sa robe.
La prisonnière est en petite culotte blanche. Kamelia demande si elle a le droit de conserver sa culotte comme Latifa, une autre prisonnière qui après trois semaines de détention s’est vue remettre une culotte pour avoir coopérer.

Les surveillants lui disent « non », et de faire une demande officielle de port de culotte avec l’aide de son avocat. Le statut des détenus peut être re évalué mais ça nécessite la réunion d’une commission disciplinaire. Mais Kamelia étant suspecter d’avoir soutenu la violence, il y a peu de chance qu’elle puisse avoir le droit de porter le moindre vêtements.

La prisonnière prend un air de défi, l’un des gardes pour se moquer d’elle lui dit que tout le monde ici a vue des milliers de fois sa chatte et son cul.

En colère, Kamelia laisse tomber sa culotte sur ses pieds et fait s’envoler son sous vêtement d’un grand coup de pieds en l’air !


Elle dit qu’elle est jeune et à un très beau corps pas comme Latifa qui est un peu vielle et grosse.

La prisonnière est ensuite fouillée de la tête aux orteils avec une inspection de l’anus et du vagin et même entres les doigts de pieds avant d’être placée à poil dans sa cellule.




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mercredi 23 juin 2021

L’humiliation des nouvelles prisonnières

 

Nudité forcée et exercice physiques imposés jusque à l’épuisement en prison.
Des femmes prisonnières misent nues et forcer de faire du sport.

Le choc de l’incarcération.


Dans cette prison française, la direction et les gardes utilisent  des méthodes peu avouables et souvent cruelles pour dresser et faire régner une discipline de fer.

Les femmes sont terrorisées par la méchanceté et la perversion des gardiens.

Sous des prétextes futiles comme un regard de travers, un « vol de nourriture » des femmes en détention soit terriblement humiliées.

Les prisonnières doivent souvent se réunir dans les couloirs d’une aile de la prison. Par petit groupes, les surveillants les obligent à se déshabiller totalement en public, ils leur font tout enlever y compris les chaussettes.


Nues et pieds nus les prisonnières sont soumises à diverses brimades. Elles sont exhibées à poil et forcer de faire des exercices sportifs jusqu’à l’épuisement pour distraire les gardes et amuser les gens. 

Elles doivent faire des jumping Jack en tenue d’Eve sous les rires et moqueries des gardiens. Leurs seins partent dans tous les sens.


Elles doivent aussi danser à poil et s’exhiber. Prendre des positions difficiles et inconfortables comme devoir mettre les mains sur la tête et lever une jambe et rester en équilibre.


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Broyer l’ego des prisonnières.


Prisonnière forcée de se déshabiller devant un garde.


mardi 22 juin 2021

Traverser le campus nue lors du bizutage étudiant.

Toute nue lors du traditionnel bizutage étudiant
Toute nue et exhibée en public sur le campus pendant un bizutage.

Une fille à poil en public lors du bizutage.


Chaque année lors du début de l'année scolaire dans les grandes écoles, les Fac, les IUT, les écoles de commerces etc. De nouvelles personnes entrent dans le système d'éducation supérieure. Beaucoup de ces établissements cachent de très ancien traditions de "Bizutage", qui de nous jours à changer de nom et s'appelle plutôt journée d'intégration ou week end d'intégration, ces jeux se déroule en général sur les campus universitaires ou dans les résidences étudiantes.


Les filles les plus jolies comme Monica sont vite prise en charge par les anciens et les anciennes.  Elle est rapidement obligée de se déshabiller; et complètement à poil bien sur !  Elle n'a pas le droit de porter le moindre tissus pour se couvrir !


Les filles bizutées doivent rester nues et déambuler devant tout le monde toute la journée sur le campus pour les décoincer. Tout commence par une marche à poil ou chaque nouvelle qui est toute nue doit faire me tours du campus pour que tout le monde puisse admirer son corps et toutes les parcelles de son intimité.



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samedi 19 juin 2021

Il ne faut pas être prude et pudique à la visite médicale

 

Toute nue lors de la visite médicale d'admission
Examen gynécologique et test de virginité lors de la visite médicale.

La visite médicale d'admission en pensionnat pour jeunes filles.



Lorsqu'une jeune femme arrive dans ce foyer pour jeunes en difficultés âgées de 18 à 25 ans, elle doit durant les premiers jours se présenter à la visite médicale de l'infirmerie de l'institution qui sont tenus par un médecin et une infirmière très stricte et impitoyables qui met à rude épreuve la pudeur et la timidité de la nouvelle.


Malika 21 ans, d'origine marocaine par son père et française par sa mère vient d'arriver dans ce foyer d'accueil après une rupture avec ses parents (problèmes relationnels important). Elle est longiligne et sexy,  elle porte un jean bleu ciel un peu déchirée, des converses noires comme chaussures, et un T shirt noir avec écrit "Love" en rose.


La nouvelle est convoquée dès la première semaine, une éducatrice l'accompagne jusque à l'infirmerie.


Le médecin et son assistante infirmières sont plutôt dominateurs, froids, et ressemblent beaucoup à des inquisiteurs.


Malika est un peu mal à l'aise surtout qu'au lycée et à la Fac elle s'était déjà retrouver en petite tenue devant un docteur un peu voyeur qui faisait mettre en sous vêtements toutes les filles qui passe mais jamais les garçons, drôle de coïncidence non ?


La jeune fille est assise face au bureau pendant qu'elle est interrogée sur ses antécédents médicaux, son alimentation, si elle pratique du sport, si elle veut un certificat médicale d'aptitude, sur les opérations qu'elle a subie ou les traitements qu'elle suit, sur son statut vaccinal, sur le Covid 19,  sur son isolement social etc.


 Puis les questions deviennent plus intime, quand est ce qu'elle a eu ses dernières règles, à quel âge ça a commencer, si elle ressent des douleurs ou des problèmes particulier pendant cette période. Et elle devient très gênée quand on lui demande quand est ce qu'elle a eu des rapports sexuels pour la dernière fois, et si ces derniers étaient protégés ou pas etc. Malika répond qu'elle est vierge. Le médecin reste sceptique et l'infirmière dit "Nous vérifierons tout ça pendant l'examen clinique".


Malika reçoit l'ordre de se mettre en sous vêtements comme "pour les cours de sport à la piscine" et de retirer ses chaussures et aussi ses chaussettes car les filles doivent être pieds nus obligatoirement.


La nouvelle est pesée, elle fait 1.70m, puis mesurée 56 kilos, elle est un peu mince, elle a ensuite à faire un test de vision, elle a 10/10 sa vue est parfaite, idem pour l'audition. Elle doit ensuite souffler fort dans une machine pour qu'on vérifie sa capacité pulmonaire.


On lui tend ensuite un gobelet et lui donne l'ordre d'aller faire un test pipi dans les toilettes pour contrôler si la fille prend du cannabis et d'autre drogues ou pas.


Ensuite Malika reçoit l'ordre sèchement de retirer son soutien gorge et sa culotte, car la suite de la visite médicale de passe à poil, dans le plus simple appareil.


La jeune fille comprend vite qu'elle n'a pas le choix et qu'elle doit se soumettre aux ordres et à l'autorité du personne de l'institut.


Seins à l'air, fesses à l'air, Malika se fait d'abord palper et tripoter les seins de façon active sois disant pour vérifier qu'elle n'a pas de problème de développement, mais ses tétons pointent un peu.


Elle est assise sur une table d'auscultation pour y avoir le ventre palper, le coeur et les poumons écoutés, ses réflexes sont aussi testés, avant de devoir s'installer totalement exposée sur la table d'examen gynécologique pour un test de virginité.



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mercredi 16 juin 2021

Visite dans une prison ...

Femme prisonnière constamment nue et enchainée.
Prisonnière nue en cellule d'isolement.

 Prisonnière nue et enchainée dans sa cellule.


Une organisation internationale de défense des droits de l'homme a eu l'opportunité de visiter l'une des prisons militaires tenue par l'armée américaine dans le cadre de sa campagne contre le terrorisme et pour la promotion de la liberté et de la démocratie. Les Etats Unis ont ouvert un peu partout dans le monde des centre de détention dont certains sont célèbres comme la prison de Guantanamo Bay à Cuba, ou celle d'Abou Ghraib, ainsi que les prisons secrètes un peu partout dans le monde.


 Le président américain et son secrétaire d'Etat à la défense à autoriser divers traitements et techniques d'interrogatoires  comprenant des méthodes d'interrogatoire musclés et des techniques de coercition psychologique et physique dont beaucoup s'apparentent à de la torture et à des mauvais traitements.


Suite à tout ces scandales, différents médias et plusieurs ONG et associations d'avocats et de juriste internationaux ont décider de militer avec l'aide des familles des personnes incarcérées (souvent sans procès ni aucunes charges réelles) pour améliorer le sort des détenus et obtenir leur libération.


Après beaucoup  efforts des associations , les autorité militaire US ont du ouvrir les portes de certain camp de prisonniers et contraint de laisser certains inspecteurs visiter des prisonniers. 


Une femme âgée d'environs 30 à 35 ans dont le pseudonyme est Leyna, dont la famille réclame des nouvelles depuis plusieurs semaines, et qui avait été arrêtée par les forces spéciales dans une opération dans son quartier. Cette femme est une professeur d'université suspectée de liens fort avec l'ancien régime renversé par les USA.


 Un avocat a pu s'entretenir avec elle 15 minutes. L'une des premières choses concernant les conditions de détention, c'est que la prisonnière est gardée dans une petite cellule vide en isolement, qui ne contient qu'un petit banc pour dormir, des toilettes turques et une petite fenêtre pour parfois laisser passer la lumières. Aucun autres objets n'est autorisé.


De plus, la prisonnière est complètement nue, dans la prison en isolement ou sont détenus les personnalité de "haute valeur" les prisonniers sont gardés sans aucun vêtements. Les responsables affirment que des vêtements (culotte, T shirt ou blouse et paire de tongs) sont prêtés aux détenus que lors de leur sortie de l'unité, pour aller consulter leurs avocats, un médecin, ou autre et qu'ils sont déshabillés  et fouillés à nouveaux avant de rentrer en cellule. La prisonnière s'habitue tant bien que mal à la nudité permanente et obligatoire.


Leyna est arrivée très pudique et gênée la première fois qu'on lui à demander de se dévêtir entièrement  pour l'inspection corporelle, surtout "qu'elle a du se mettre à poil devant tout le personnel du pénitencier dès le début" nous dis l'un des gardes témoins. 


"Nous pouvons comprendre que mettre la prisonnière nue ait put lui faire ressentir un terrible sentiment de honte et d'humiliation, mais pour nous qui travaillons ici c'est normal, on applique les consignes sans états d'âmes et des détenus à poil on en vois tout le temps même si la première fois ça peut etre un peu troublant de constater autant de nudité." ajoute l'ancien surveillant.


"Ah Leyna, comme pour toutes les personnes retenus en isolement, elle est totalement à poil et soumise à une inspection de sont sexe et de son anus au moins deux fois par jours par un gardien ou une gardienne qui s'assure qu'elle ne cache rien dans ses partis intimes."


"Elle avait du mal à écarter les fesses et montrer son trou à tout le monde au début mais maintenant elle fait ça sans trop se poser de question, c'est devenue une pratique de routine pour elle." Ajoute le surveillant.


Les prisonniers sont aussi constamment entravés par sécurité, nus et entravés, les prisonniers ne peuvent pas s'enfuir facilement.



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Un autre rapport.


Prisonnière  nue et tondue (tête rasée).



Soumise à une fouille à nu en garde à vue.

 

Une fille victime d'une fouille à nu imposée par une policière sans pitié
Etre nue et écarter les cuisses pour montrer sa chatte et son cul lors de la fouille corporelle.

Qui dit garde à vue, dit passage à poil et inspection par une policière zélée.


Claudia est une jeune femme de 25 ans qui se rappellera longtemps de sa soirée passée dans les locaux de la police d'un commissariat parisien. Elle a été controlée positive au cannabis et prise en flagrant délit d'excès de vitesse par les forces de l'ordre qui ont procédé à son arrestation et l'ont placer en garde à vue pour qu'elle s'explique.

Si la justice française ne poursuit pas ce type de délits, qui sont simplement sanctionnées par des petites amendes, certains policiers veulent que les gardes à vues soient punitives et difficiles et n'épargnent rien aux auteurs de petits délits routier. Claudia en a fait la triste expérience. 


Elle est très choquée lorsqu'une policière en uniforme et casquette est venue la chercher et l'a amener dans un petit local pour la fouille de sécurité, une procédure visant à s'assurer que le suspect ne cache aucun objet illicite sur lui, ni de drogue ou d'éléments nécessaire à l'enquête.

Claudia a due se mettre toute nue, se dénuder totalement et retirer aussi sa culotte et ses chaussettes. La policière exige la nudité totale et est intraitable sur ce sujet.

La jeune fille a d'abord été inspectée visuellement de la têtes aux pieds, on lui a même vérifier entre les orteils, dans le nombril et dans la bouche !

Elle est aussi soumise à un contrôle des cavités corporels, ce qui signifie en gros que la policière lui a contrôler de façon très humiliante la chatte et le trou du cul avec une lampe, des doigts gantés et lubrifiés lui sont renter dans le fion et le vagin.

La jeune femme est ressortie très humiliée de cette expérience.



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mardi 15 juin 2021

Marche de la honte nue.

 

une femme humiliée par sa rivale et forcer de marche nue et tenue en laisse comme une chienne
Tenue en laisse toute nue et en public, terrible humiliation.


Punie et humiliée pour avoir draguer le mauvais mec.


Carla est une jeune femme brune de 25 ans qui à la mauvaise habitude de tenter de séduire un peu tout les mecs qui lui plaise et qu'elle croise sur sa route.

Elle se fiche de savoir si les hommes qu'elle convoite soient pris ou pas. Elle n'hésite jamais à critiquer les autres filles pour les dévaloriser et tenter de détruire les couples. 


Un jours, une femme qui n'a pas froid aux yeux, Catherine, une blonde élégante  a décider de faire payer à Carla tout ce qu'elle fait et de bien la remettre à sa place. 


La blonde et deux copines baraquées sont aller intercepter Carla à la sortie de son travail, elles l'ont prise à partie et emmenée dans une petite ruelle isolée.


Elles l'ont d'abord bien engueulée et lui ont mise quelques claques et l'ont attraper et fait tomber par terre et l'ont mise à poil, toute nue ! C'est trop la honte.


Catherine a ensuite proposer le deal suivant à Carla : Soit tu rentre à poil, soit tu fais le tours du quartier, une marche de la honte en tenue d'Eve et on te rend tes vêtements.


Carla à du faire une marche de la honte, tenue en laisse et totalement exhibée avec l'impossibilité de cacher son intimité.


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Forcée de faire pipi toute nue lors du bizutage étudiant.

 

Fille forcée de faire pipi toute nue en public
Elle pisse toute nue.

Pisser nue en public, une  humiliation du bizutage.


Jessica, une étudiante de 21 ans a subie un bizutage en règle lors de la première année de l'université. Comme tout les premières années , elle a été regroupé avec les nouvelles dans un amphi, et toute les filles ont du faire un strip tease et retirer tout leurs vêtements sous les rires et les hurlement des étudiants de seconde années. Certaines filles sont très pudiques et ont du mal à se déshabiller dans ce contexte.


Les filles les plus sexy et les plus canons n'ont pas le droit de se rhabiller et sont exhibée, Jessica en fait partie. Les secondes années ont pu bien observés ses seins, sa chatte, son anus.


Comme Jessica a taper dans l'oeil d'un garçon un peu pervers, ce dernier la force à rester nue et décide de l'obliger de boire beaucoup d'eau pour qu'elle fasse pipi devant tout le monde sans aucune pudeur.


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Décoincer les filles grâce au bizutage.



Humiliation sur fond de vengeance amoureuse.

 

Mise à poil par les autres filles et exhibée publiquement
Pour se venger, les autres filles l'ont mise toute nue dehors pour l'humilier.


Jalousie et vengeance et humiliations entre filles.


Trois filles du foyer d'accueil pour jeunes majeurs (18 à 25 ans) en difficultés éducatives et sociales ont mener une expédition punitive contre une quatrième, Catalina 21 ans sur fond de rivalité amoureuse.


Catalina est accusée par les autres filles d'avoir draguer leurs mecs, les filles ont des preuves, elles ont intercépter des conversions et des photos à caractères érotiques échangés entre Catalina et plusieurs mecs ...

La bande de fille à saisie la pauvre victime Catalina, elles l'ont amener de force la nuit dans un endroit isolé. La victime a du se déshabiller et retirer tout ses vêtements qui ont été découpés et jeter à la poubelle. Les filles l'ont totalement dépouillée y compris de son string et de ses chaussettes !

Car une mise à l'air c'est 100% nue, sans aucun vêtements.
 

Une fois toute nue, la victime a été humiliée et contrainte de prendre des poses humiliantes et dégradantes, de sautiller toute nue sous les rires et moqueries, de recevoir plein d'insultes, d'être prise en photo et vidéos à poil  de faire une marche de la honte à poil en public en s'exhibant au regard des passants.


Catalina a été forcer ensuite de rentrer dans le pensionnat totalement à poil.



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Humiliée lors de l'arrestation

 

Nue et dégrade en garde à vue
Femme nue allongée et menottée les mains dans le dos  par la police.

Dans les locaux du commissariat central, les suspectes sont misent nues et rabaissées.


Nos enquêteurs s'attardent aujourd'hui sur la situation dans certains postes de police de banlieue parisienne ou les femmes placée en garde à vue sont fouillées entièrement nues et souvent laisser à poil plusieurs heures par les flics.


Plusieurs jeunes femmes parlent de harcèlement et d'abus policier et se plaignent d'avoir été arrêtée pour rien du tout et retenue plusieurs heures par les policiers du quartier.


Nous avons le cas de d'Inaya une jeune fille d'origine marocaine de 22 ans, arrêtée pour outrage à agent, et mise en garde à vue de façon totalement arbitraire. 


La jeune femme a été contrainte de se déshabiller complètement,  y compris de  retirer sa culotte, ses chaussettes et son soutien gorge pour une fouille à corps. 


Elle a du exposer ses seins nus, sa chatte, son cul devant des agents de police hommes et femmes; puis les flics l'ont menottées et l'ont laissée à poil allongée sur le sol pendant plusieurs heures à la vue de tous.


Le commissaire affirme que la suspecte avait un comportement étranger et que l'équipe a préférer lui confisquer toutes ses affaires pour des raisons de sécurité et l'a garder menottée. Le tribunal à donner raison à la police suite aux plaintes des suspectes.


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Strip search naked.


Polémique sur les fouilles à nue en garde à vue.



dimanche 13 juin 2021

Femme interrogée nue.

 

Nudité et interrogatoire de femme nue
Femme interrogée nue par la police politique.

Femme arrêtée et soumise à un interrogatoire difficile.


Une institutrice placée en garde à vue par la police politique affirme avoir été humiliée et dégradée pendant sa détention. La femme a été arrêtée au petit matin et transférée dans le centre de détention du ministère de l'intérieur.

Avant l'interrogatoire, la prisonnière est forcée de retirer tout ses habits pour une fouille complète de la tête aux pieds incluant l'anus et le vagin, et aucun vêtements n'est remis à la prisonnière car ici les interrogatoires se déroulent dans la nudité complète pour les suspects.


La prisonnière doit traverser nue un couloir pour se rendre dans le bureau des interrogatoire, c'est humiliant de parader à poil devant des personnes de son entourage, quartier, et peut être certains étudiants et autres professeurs.


La pauvre institutrice est très humiliée et ressent beaucoup de honte d'être traitée ainsi. Une fois dans la salle le calvaire continu. Elle reçoit l'ordre  de mettre les mains sur la tête et d'écarter les jambes pour exposer sa chatte et son trou du cul devant les interrogateurs. 


Les policiers se moque d'elle, ils l'accusent d'être une mauvaise personne qui paradent à poil devant des hommes étrangers, de puer de la chatte, d'être sale et dégoutante et de manquer de propreté.


Le sexe de la pauvre institutrice qui est très pudique est scruter par les flics qui lui impose une séance de tripotage en règle. Les seins de la suspectes sont palper et ses tétons pincés, et on lui impose un début de masturbation. 


Ces pratiques de harcèlement sexuelles sur les prisonnières sont courantes dans ce régime tyrannique.


L'un des sadiques met un doigt dans le fion de l'institutrice avant de la forcer a renifler l'odeur de son propre cul.


Elle est ensuite prise en photo nue et dans des positions dégradantes avec la menace de les voir diffuser dans son école si elle n'arrête pas ses activités d'opposition politique.



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Nudité cagoule et interrogatoire renforcé.




samedi 12 juin 2021

Interrogatoire nue d'une prisonnière.

 

Femme prisonnière nue entre les mains de la police politique.
Suspendue nue et exhiber en prison.

Une étudiante contestataires arrêtées par la police politique.


Dans ce pays dictatorial d'Amérique du sud, la police politique possède une unité chargée de traquer les opposants, et Cecilia, une jeune étudiante critique envers le pouvoir est arrêtée pour l'exemple lors d'une manifestation.

La jeune fille est déshabillée complètement devant ses collègues.  Il est très humiliant pour cette jeune fille de se retrouver exposée toute nue devant les autres étudiants. Elle se sent très rabaissée et sans défense. Puis elle est attachée les mains en l'air dans une situation inconfortable  et exhibée nue, ses pieds nus sont tendus car elle est un peu suspendue.

La prisonnière nue est tripoter et insulter par les gardiens, avant d'être fessées et fouettées en public. Le but est de dissuader toute forme d'opposition et de critique envers le régime d'extrême droite en place.



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Humiliations à la prison pour femmes.


Dressage et humiliation des filles en résidence universitaire

 

Elle pisse toute nue dans le parc (exhib nue)
Forcer de faire pipi toute nue en public.

Humilier et rabaisser les étudiantes du campus.


Dans une résidence universitaire qui accueillent une centaine d'étudiants garçons et filles, une bande de mecs un peu pervers, les "anciens" y asservissent les jeunes femmes et leur impose des traitements pervers et humiliants.

Daphné, une jeune étudiante en économie de 20 ans vient de trouver une chambre dans cette résidence, dès les première semaines, elle est prise en main par les anciens. Elle est interceptée dans le hall de l'entrée du bâtiment et ramener dans la salle de conférence avec les autres nouvelles arrivantes pour des présentations.


Une fois sur place les étudiantes doivent se mettre complètement à poil, de gré ou de force sous la menace de recevoir des coups de ceinturons des "anciens". 


Chaque filles doit se présenter nue, les mains sur la tête, et expliquer qui elle est, donner ses papiers et son argent. Daphné à poil doit faire des tours sur elle même et s'exhiber sans aucune pudeur devant ce public.


Chaque pensionnaires doit aussi répondre à un questionnaire inquisitoire sur sa sexualité, dire à quelle âge elle s'est faite baiser pour la première fois, donner ses préférences en matière de cul etc.


Puis pour les décoincer un peu, Daphné et les autres doivent danser nue et prendre des postures humiliantes et équivoque, se masturber, se tripoter entre elles et d'accouplement lesbien.


Après quelques semaines de traitement de la sorte, les filles comme Daphné perdent toutes pudeurs et deviennent des salopes soumises. La jeune est tellement bien dressée qu'elle n'hésite pas à pisser à poil dans le parc en publique !!!


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Dressage d'une esclave.


Perverpeper histoire de lesbiennes.





mercredi 9 juin 2021

Etudiante dressée et humiliée

 

Honte et humiliation lors du dressage d’une étudiante.
Exhiber son anis de façon obscène au bizutage.

Dressage et bizutage dans l'enseignement supérieur.

Une jeune femme qui s'appelle Emma âgée de 23 ans affirme avoir été humiliée et traiter comme une moins que rien lors de son passage dans une école d'ingénieurs. Un groupe de professeurs et de surveillants terrorisaient les nouvelles.

Durant les premières semaines, Emma comme toute les autres primo arrivante a été convoquée par ce groupe de pervers. Deux ou trois filles doivent se rendre dans le bureau du surveillant principal, ou elles sont enfermées.

Si Emma veut avoir de bonne notes et décrocher un diplôme, elle doit obéir et se soumettre aux injonctions de ces vicieux.

Le premier ordre  reçu par les nouvelles c'est de se déshabiller complètement, les filles doivent remettent leurs vêtements et découvrir leurs corps devant l’équipe de voyeurs et maître chanteur.


Emma est pudique mais ses parents ont fait beaucoup d’efforts pour qu’elle puisse aller dans une école aussi prestigieuse et elle ne peut pas échouer pour si peu.


L’étudiante se met entièrement à poil avec deux autres filles en train de pleurer.


Les filles doivent s’aligner contre le mur, les mains sur la tête, et les jambes bien écartés pour qu’on puisse voir bien leurs chattes rasées.


Les filles nues doivent ensuite se présenter devant l’équipe. Donner leur âges, nom, prénom, date de naissance, ville de résidence etc. Puis montrer leurs seins qui sont pris en photo, leurs pieds, leurs fesses, leurs cuisses, le pire c’est quand elles reçoivent l’ordre de se pencher en avant et d’écarter les fesses le plus possible pour que les pervers prennent en photo leurs anus écartés.


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Le dressage des filles de la fac.


Dressage domestique.

mardi 8 juin 2021

Dans une prison américaine ...

 

Deux prisonnière se mettent nues sur ordre
Deux femmes prisonnières se déshabillent devant un gardien.

Pression psychologiques et humiliations pour les prisonnières.


Dans leur lutte pour maintenir la domination et les intérêts des Etats Unis dans le monde et lutter contre le terrorisme et toute forme d'opposition, les forces armées américaine et la CIA sont réputées pour avoir utiliser des techniques de torture dit "légère" qui ne laissent pas de traces physiques ni de séquelles et ne donne pas non plus de douleurs immense. les experts en interrogatoires ont développer diverses méthodes visant à ramollir et préparer les détenus à parler et a être coopératifs. Pour cela un contrôle totale des prisonniers et créer un sentiment d'insécurité, de dépendance complète, et de déshumanisation est nécessaire.


Même si la majorité des suspects arrêtés sont des hommes, quelques femmes sont parfois détenues et soumise à des pressions intenses. Plusieurs femmes ont été obligées de se déshabiller complètement devant des gardes hommes. Comme le cas d'une prisonnière d'Abou Ghraib âgée d'une quarantaine d'années jugées importante car proche de l'ancien régime et de sa fille arrêtée en même tant qu'elle dans une opération de ratissage.


Les deux femmes ont été exposée nue l'une devant l'autre, les contraindre à retirer leurs vêtements l'une devant l'autre est bien plus humiliants pour des femmes bien élevées et éduquées. C'est un moyen d'abattre l'estime qu'elles ont d'elles même et de faire chuter leurs égo avec la technique dit "Ego Down" pour briser la résistance mentale avant les interrogatoires.


Lors de cette opération les gardes n'ont pas hésiter à faire des commentaires humiliants sur les parties intimes des prisonnières et à les prendre en photo à poil en menaçant de montrer les images à leur famille et leurs proches.


Les prisonnières sont à 100% nues, et elles se sentent très honteuses d'être totalement exposées, sans aucun moyens de couvrir leurs seins,  leurs jambes,  leurs vagins,  leurs fesses,  leurs pieds nus des regardes inquisiteurs des gardiens et des autres personnes en détention  et sans  aucune défense face à leurs interrogateurs.



Cette exhibition forcée est très difficile mais ça amuse les surveillants qui depuis qu'ils travaillent dans ce camp de détention ont pour ordre d'humilier les captifs en leur imposant la nudité et des traitements et sévices infamants. Lorsque on demande aux agents pénitentiaires ceux qu'ils en pensent la plupart disent qu'ils font leur travail et qu'ils trouvent parfois "fun" de mettre les captives à poil surtout lorsqu'elles sont très gênées et embarrassées d'être toutes nues devant du public.


Les gardiens aiment leur dire pour se moquer d'elles, qu'elles ne sont pas très respectables car elles sont à poil, et que des femmes bien élevées ne se promènent pas sans vêtements devant les autres.


La mère est rapidement interrogée devant sa fille, elle est soumise à plusieurs orgasme forcés, les surveillantes lesbiennes lui impose de la masturbation à jouissance multiple, léchage , doigt dans le cul, tout ça devant sa fille qui elle même mouille dans ce contexte pervers.



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lundi 7 juin 2021

Des prisons punitives et inhumaines.

 

Une prisonnière nue tente de dissimuler par pudeur sont corps devant un gardien homme.
Femme prisonnière forcée de d'exposer nue devant un garde homme.

Déshumanisation des prisonnières.


Une femme ayant passer plusieurs mois dans une prison du Texas dénonce des mauvais traitements et des humiliations que les gardes de l'établissements imposeraient aux prisonniers.


Sonia a été incarcérée 4 mois pour des soupçons de migration illégale, la jeune femme est originaire de Moldavie et des policiers  américains corrompus l'ont arrêtée et placée en détention provisoire faute de pouvoir leur verser un pot de vin.


Lorsque la jeune femme est arrivée, après les procédure d'identification, les surveillants lui ont fait retirer tout ses vêtements, et ses sous vêtements et chaussettes, pour lui imposer une fouille  totalement à poil très intimidante.


Ensuite Sonia a été enchainée et menottée puis forcer de se promener nue devant les cellules des autres prisonniers pour se rendre sa propre cellule. Elle a pu voir que 90% des détenus sont à poil.


Cette marche de la honte est très humiliante pour Sonia qui ne pouvait pas cacher ses seins, ses fesses, et sa chatte qui était visible par tout le monde. Elle est ensuite placée nue dans sa cellule.


La nudité imposée est jugée conforme à la loi, donc l'administration pénitentiaire ne voit aucun mal à ne pas donner de vêtements aux détenus, selon Donald Trump ça permet même de faire pas mal d'économie, depuis son élection, la nudité est de plus en plus imposée dans les prisons du pays pour des raisons économiques ou punitives.



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Femme prisonnière privée de pudeur.

dimanche 6 juin 2021

Maison de correction pour jeunes filles.

 

Discipline stricte dans le foyer pour jeunes filles les inspections corporels nues.
Les filles se déshabillent dans le dortoir pour l'inspection du soir.

Des filles humiliées par les éducateurs du foyer pour jeunes femmes.


Un nouveau scandale en vue pour l'ASE ? dans un foyer pour jeune femme qui accueillent des jeunes filles   de 18 à 21 ans en contrat jeunes majeurs en difficultés d'insertion sociale ou avec des problèmes éducatifs, il s'est passé des choses qui ont été révélé dans la presse locale.


Les éducatrices y sont très strictes et avaient pour habitudes d'imposer des traitements dégradants et humiliants aux pensionnaires. En général elles passaient le soir avant le couché dans la chambre des filles pour des inspections justifiées pour des raisons d'éducation (s'assurer de la bonne hygiène des jeunes filles) et de sécurité.

Après  être allée aux toilettes et avoir pris la douche obligatoire, les filles doivent aller dans leurs chambres et elles doivent se déshabiller devant les éducatrices, elles enlèvent la totalité de leurs vêtements.

C'est très difficile pour certaines filles pudiques et réservées de se mettre à poil les unes devant les autres sous le regard inquisiteur des surveillantes.

Les filles sont alignées nues les mains sur la tête et les jambes écartées pour qu'on contrôle leurs vagins et leurs anus.

Pour dormir seulement une nuisette est autorisée, la culotte interdite.


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samedi 5 juin 2021

Mise nue et dressée par sa rivale.

 

Une femme trompée fait mettre sa rivale à poil,  l'humilie et l'a fait baiser par plein de mecs.
Femme humiliée et abusée à poil suite à la vengeance de sa rivale.

Règlement de compte entre filles.


Depuis quelques mois Zoé,  une bourgeoise de 28 ans,  a des relations avec un beau gosse appelé Yohan, 35 ans. Elle est cadre dans une banque, lui est un brillant architecte qui cache à sa femme sa relation extra conjugale.


Lorsque Noémie à remarqué le comportement étrange de Yohan, elle a vite mené une enquête en mandatant un détective privé spécialisé dans ce type d'affaires. En une semaine, Noémie à appris l'existence de Zoé, qui est sa conseillère financière. Folle de rage, la femme trompée réfléchis à comment se venger.


Elle décide un jours de tendre un piège à celle qui l'a trahie, de lui faire payer son acte. Elle a fait appelle a certains de ses amis pervers qui ont fait un véritable guet-apens à la banquière. 

Zoé s'est rendu dans un lieu ou elle pensait pouvoir rencontrer son amant, mais elle est piégée, Noémie lui est tombée dessus avec plusieurs mecs costauds.


Zoé est mise toute nue et pieds nus, ses vêtements arrachées et elle est forcée de faire une marche de la honte, à poil en publique dans les rues d'un quartier animé.


Elle est forcée d'exhiber ses nichons, son cul et sa chatte à tout le monde, elle, une femme bourgeoise très respectable et respectée dans sa société. C'est très humiliant pour elle de subir ceci.


Elle sera ensuite baiser collectivement , elle subira un vrai bang bang ou elle sera baiser par tout les trous, sodomiser pendant des heures.


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Rivalité perverse.