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lundi 15 mars 2021

Mauvais traitements à la prison des soumises

 

Nudité forcée et pression physiques et psychologique à la prison pour femmes soumises.
Stress position : une femme nue et attachée totalement à poil et exhibée en prison.

Femme soumise nue en prison.


Les témoignages et rapports qui se multiplie ces jours ci rapportent que des prisonnières dans une prison de haute sécurité sud américaine sont victimes de mauvais traitements et d'humiliations de la part de leurs geôliers. Le centre de détention est sous contrôle de l'armée et des forces gouvernementales qui font face à un soulèvement populaire. Les femmes soupçonnées de soutenir l'opposition sous très souvent gardées dans ce centre ou elles sont soumises à des traitements dégradants.


Le profil des détenues et le suivant : une femme âgée entre 25 et 35 ans, souvent issue de milieux intellectuel de gauche (socialiste, communiste) ou des religieuses adepte de la théologie de la libération et de la doctrine sociale de l'Eglise. Les prisonnières sont en générales des institutrices, des  professeurs de collèges ou de lycée, des universitaires, des journalistes, ou des militantes syndicalistes. Leur "seule crime" est d'avoir critiquer la junte militaire au pouvoir soutenue par les Etats Unis d'Amérique.


Suivant les directives des conseillers militaires US, les autorités de la prison usent de méthodes d'interrogatoires musclées. Les prisonnières lors de leur arrivée sont soumises à un processus très humiliant, elles sont d'abord dépouillées de tout leurs vêtements, effets personnels, bijoux (qui sont souvent volés) et misent intégralement nues en public. Ces femmes sont respectées et bien vues dans leur communauté, les obliger à se déshabiller complètement et en public devant des hommes est très difficile pour elle. Surtout que certains soldats prennent des photos et menacent les femmes de les diffuser dans leurs quartiers d'origines. Les prisonnières nues se voient imposer des poses obscènes et perverses sous les moqueries et insultes, comme de devoir écarter leurs chattes et leur fesses devant les ricanements des gardiens, ou faire des flexions toutes nues.


Après les fouilles, certaines femmes se voient remettre une sorte d'uniforme qui ressemble plus à un sac de pomme de terre rayée, les autres vont nues, toutes les femmes sont gardées pieds nus et têtes nues en signes de soumission. Un tiers des prisonnières sont "habillées" et les autres sont nues.


En plus de la nudité forcée et de l'obligation de s'exposer à poil devant les autres prisonniers et le personnel pénitentiaire, les femmes sont victimes de pressions physiques et psychologiques importantes.


Comme le fait d'être attachée et exposée nue en position de stress (stress position), d'être masturber et de devoir jouir plusieurs fois de suite lors des interrogatoire, de subir des fessées et des coup de canne sur les fesses et les plantes des pieds (falaka, bastinado). Certains témoins parlent même de relations homosexuelles imposées entre prisonnières.


La discipline est terrible, regarder un garde dans les yeux peut entrainer des coups de fouet ou d'être enfermée au motard, la nourriture y est affreuse, les conditions d'hygiène déplorable ( une douche par mois).


Liens : 


Camp BDSM pour femmes prisonnières


Femme pudique en détention


Humiliée en captivité


3 commentaires:

  1. Oui c'est comme ça dans les prisons sud-américaine,les femmes sont complètement déshabillées devant tout le monde pour intimider la population.Ensuite elles sont torturées à l'électricité sur les seins,les orteils et les organes génitaux.Les tortionnaires introduisent aussi dans le vagin et l'anus des objets contenant au cours des interrogatoires Et encore, je pense que l'on ne sait pas tout,il doit y avoir d'autres méthodes de tortures qui doivent être employées,comme l'introduction d'un journal en forme de cône dans le vagin et y mettre le feu,mais peut-être que j'affabule.

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    1. oui les mises à nu sont très fréquentes.

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    2. Pour les journals je ne sais pas je ne pense pas même si parfois peut être. En tout cas c’est pas dans les procédures standards de mettre un journal en feux dans la chattes des femmes.

      Les femmes sont fouillées toutes nues même dans les fesses et le vagin et entre les orteils.

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