samedi 15 mai 2021

Rapport de visite en Prison.

Femme prisonnière nue en cellule
Femme nue dans sa cellule de confinement solitaire.


L’inspecteur des prisons : visite à Abou Ghabir au moyen orient.

Histoire Bdsm.

Nous sommes en  semaine durant le mois de juillet 2004 dans une prison tenue par l’armée américaine dans un pays du moyen orient. L’inspecteur des prisons est un juriste expérimenté qui travaille pour une organisation internationale de défense des droits de l’homme et qui est chargé de rendre visite à une femme, Sabrina L, elle est âgée  d’une trentaine d’année et elle est  détenue depuis plusieurs mois pour des soupçons de soutien à l’insurrection et ses liens avec l’ancien régime.

Les autorités américaines ont autorisé l’inspecteur à venir visiter la prisonnière sur pression de ses avocats.


La visite commence tôt le matin vers 06h peu après le levé du soleil. Les gardes en treillis militaires et rangers accompagnent le visiteur qui est en costard cravate. Ils se rendent dans une petite cellule de 3 mètres sur 4 , ce qui est un "luxe" ici dans cette vétuste prison.


La visite

La première chose qu’on remarque lors qu’on arrive à la cellule de la détenue c’est qu’elle  est totalement vide et ne contient qu'une couchette surélevée et des toilettes "turques". Aucun autres objets quelques soit sa nature n'est permis dans cette section. Les gardiens  peuvent être des hommes comme des  femmes et on notera aussi la présence de fonctionnaires et les contractuels (mercenaires) travaillant sur place.

Sabrina est encore somnolente, elle a 30 ans. Elle mesure 1.70m pour environs 55 kilos, elle est très sexy, la peau mate , des fesses épaisses et des hanches larges et une petite poitrine naturelle. 

Elle  est un peu musclée. Sa peau est légèrement bronzée et elle a de long cheveux noirs. Elle est là depuis deux à trois mois.

Elle est une femme orientale  très éduquée, elle était cadre dans le ministère de l’économie avant sont arrestation, ce qui l'a rend importante au regard des autorités qui l'a maintienne en détention pour une durée indéterminée.

Les cliquetis de la clé ouvrant sa cellule l'a réveille. La prisonnière est nue, les pieds nus (et ici ses plantes de pieds sont noircies par la poussière et la crasse accumulés lorsqu'elle marche sur le sol pas très propre.). Elle est allongée nue sur le dos par les chevilles et les poignets sur sa banquette. Exposée totalement à poil sans aucune pudeur à la vue de ceux qui rentre dans sa cellule, ses premières semaines ont été très difficile puis elle s'est habituée. 

Sabrina comme une bonne partie des personnes privées de liberté ici sont gardés  sans aucun vêtements, c'est une section d'isolement en sécurité maximum car c'est un théâtre de guerre, les moyens manques cruellement, il n'y a que très peu d'uniforme, les rares sont donnés aux détenus coopératifs masculin, les uniforme féminin ne sont pas prévue du fait du nombre limitée de femmes. L'équipe d'interrogateurs de la police militaire et de la CIA recommande la nudité pour ramollir les détenus et les rendre plus dociles. Et pour l'équipe de surveillants, c'est bien plus sur et sécurisé  de garder les prisonniers nus. Ici savoir que les captifs sont nus ne choque personne, c’est tout à fait banal et les gardes s’y sont vite habitués.


Sabrina est une détenue jugée sensibles et de haute importance. Elle n'est pas soumise aux interrogatoires violents, mais elle doit être sous surveillance étroite 24h sur 24, elle est toujours sous contrainte la nuit, et elle doit toujours être sous la surveillance d'un garde lors de ses activités.

Les entraves de la prisonnière  lui son retirer et elle doit se lever et se mettre au garde à vous et se voit remettre son petit déjeuner. C'est un traitement de VIP peu représentatif du reste qui lui est réservé. Certes ce n'est pas de la haute gastronomie, mais elle est aussi bien nourrie que les soldats. Elle a le droit à un plateau avec une assiette de poulet frit avec du riz et quelques légumes, une banane, et un verre d'eau bien frais.

Elle est observée par une surveillante à chacun de ses geste, et il y a parfois des fonctionnaires masculins qui regardent. L'américaine chargée de la contrôler est assez froide et stricte et fait son boulot sans état d'âmes.

Sabrina  doit  tout manger devant elle, quand elle a finie, elle doit poser le plateau repas à l'entré et se mettre contre le mur les mains sur la tête pendant que la gardienne ramasse l'objet.

Ensuite elle doit se mettre devant la porte, mains sur la tête et attendre les ordres.


Elle doit bouger ses cheveux, ouvrir grandement la bouche, et surtout se soumettre à une inspection humiliantes des cavités intimes. 

La jeune femme  qui parle parfaitement l'anglais demande à la surveillante "Est ce que je peux vous montrer ma chatte et mon cul de façon plus  plus discrète ? car n'importe qui peut circuler dans le couloir et me voir dans cette situation embrassante et je ne veux pas que des hommes puissent me voir ainsi.".

La surveillante lui répond "Ne sois pas ridicule, les gardes et les contractuels voient ta chatte tout le temps car tu vis toute nue depuis plusieurs mois".

Sabrina le sait, mais devoir montrer son intimité sur commande elle trouve ça dégradant et se sent comme un animal au zoo. 

Les hommes passant par là (souvent par coïncidence la fréquentation de cette zone augmente lors des heures des inspections et des fouilles des prisonnières) s'arrêtent et ont des débuts d'érection.

"Allez c'est un ordre, dernier avertissement" dit la surveillante en uniforme militaire.

Résignée, la prisonnière prend sur elle même  se penche et écarte ses jambes pour exposer son anus rose , c'est toujours difficile à vivre que de sentir le souffle d'un gardien équipé d'une lampe vous regardez le fond des entrailles et vous faire tousser en ayant vos fesses écartées au maximum.

Puis elle doit écarter encore plus les jambes, ce matin elle est tombée, car ses pieds nus on glissés pendant l'opération, rien de mal, aucune blessure, mais les hommes qui passaient par là ont bien rigoler en l'a voyant se ramasser par terre toute nue et se relever pour reprendre sa position indécente et écarter le plus possible ses lèvres devant la gardienne, qui remarque quelques traces humide et suspect émanant du sexe de la détenue.


Sabrina avant d'être emprisonnée par les américains a entendu parler de rumeurs comme quoi les militaires humiliaient et maltraitaient les prisonniers  qu'ils détiennent, mais elle n'y a pas cru. Elle ne subie d'ailleurs aucun mauvais traitements et n'a jamais reçu le moindre coup ni la moindre insultes. 

A son  arrivée en décembre 2003, elle est soumise au processus habituel pratiqué à la section d'isolement de cette prison. Elle est accueillie et informée par le staff  qu'elle sera traitée selon les convention de Genève. Puis elle est enregistrée administrativement, ses papiers d'identité, biens, bijoux et effets personnels ont été placés sous scellés dans des cartons, ses empruntes digitales, et de sa salive pour identifier son ADN on été prélevés. Un numéro d'identifiant de prisonnier lui à aussi été délivré.

Ensuite elle a été déshabiller pour la fouille (strip search) obligatoire avant tout mouvement dans la division.

Lors qu'elle entendait parler des rumeurs de nudités forcés imposer aux arabes retenus par les américains, bien que choquée, elle imaginait bien la honte, l'humiliation que d'être dénudé en publique représentait pour les victimes, mais elle se voyait dans ses fantasmes,  elle, une femme pieuse, respectables et honorable être obliger d'être de se déshabiller devant des étrangers, que les autres puissent voir son sexe, ses gros seins à l'air, ses fesses, ses pieds, ses cheveux ... 


Pour elle qui hors de ses voyages à l'étrangers, dans des pays occidentaux ou en Asie doit être couverte de la tête aux pieds et cacher la moindre parcelle de son corps aux hommes. La nudité était un de ses fantasmes qui hantait ses nuits,

Le premier déshabillage n'est jamais facile surtout pour une personne ayant des tabou religieux et culturels important comme elle.  Lors de ses premiers jours elle était honteuse et obsédée par sa nudité. Les gardiennes s'amusent de la gêne et de la honte que ressent la prisonnière.

Lors des restrictions, que la détenue  déteste, elle est allongées et attachée solidement sur un lit ou une civière sans pouvoir bouger, nue bien sur et les jambes assez écartées pour que l'on puisse tout voir. Pour une femme comme elle c'est l'une des choses les plus dégradantes.

La nudité est difficile à supporter surtout que l'humiliation fait beaucoup mouiller Sabrina, les gardes le savent et en profitent souvent pour la mettre dans l’embarras ou pour la regarder se masturber.

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Car disons le franchement, cette prisonnière s'ennuie,  même si elle a accès a quelques livres, a une heure de sortie par jours, la possibilité de faire un peu de sport, et être toute nue stimule beaucoup sa libido et l’ennui la pousse  à se masturber.

Sa chatte est toujours humide lors des inspections, et la surveillante lui donne parfois quelques tapes sur le clitoris pour mieux l'excitée.


Après le petit déjeuner et l'inspection, la prisonnière a le droit à une heure de "sortie" ou elle est libre de menottes et de chaines et libre de ses mouvement et peut prendre l'air. Un petit enclos de 10 mètres sur 10 est dédiés aux prisonniers en isolement pour leur permettre de bouger un peu. Le climat est très chaud et le soleil tape fort dès le matin, l'heure à été choisie car une partie de l'enclos et au soleil et l'autre à l'ombre.

Sabrina  est contrainte de mettre des menottes et est enchainée par les chevilles pour le transfert dans la "cours". Elle est escortée toute nue, la cours étant partie intégrante du secteur d'isolement de la prison, il est contraire au règlement de lui fournir des vêtements pour les déplacements internes à l'unité. Car l'uniforme ici c'est la tenue de naissance.

C'est assez marrant pour les gardes de faire marcher une femme sexu  comme elle dans les couloirs. Elle a très mal pris  ces obligations de parader nue hors de sa cellule dans les couloirs de la prison  durant les premières semaines, comme  le fait de devoir aller à la douche ou dans la court de promenade  à poil et à plusieurs fois refuser d'y aller. 

Elle disait dans un anglais parfait  "Vous ne pouvez pas me faire subir ça ! je ne veux pas marcher les fesses à l'air devant tout le monde et les seins exposée devant tout le monde Donnez moi des habits  !"

Mais le staff pénitencier ne transige pas avec les règles et n'a que faire de ses humeurs.

L'equipe est assez dirons nous assez taquine et certains prennent un malin plaisir à utiliser la nudité de Sabrina  pour lui causer encore plus de gêne et de honte. Sous prétexte de perquisitionner sa cellule, la détenue a été sortie de sa cellule pour être conduite dans une pièce ouverte ou tout passants peu la voir en tenue d'Eve.

Faire parader toute nue une femme et faire plein de remarques et commentaires salaces sur son corps fait rire et amusent le personnel du camp.


Elle s'est petit à petit habituée à être sans aucun vêtements. Elle marche désormais tranquillement et la nudité lui paraît tellement naturel qu'elle est conduite à la récréation sans soucis.


Une fois dans la cours, ses menottes et chaines sont défaites, et elle est libre de ses mouvements, elle court un peu pour se décrasser les jambes, puis elle fait quelques séries de squats, des exercices de mouvement de bassins, d'épaules, puis elle pratique des étirements.

Puis elle se met à danser nue, comme si elle était toute seule, les surveillantes savent que ce comportement est suspect, car lors de ses mouvements, ses mains se rapprochent dangereusement de sa poitrine et de son vagin. 

Ensuite elle est conduite à la salle de douche. Elle est particulièrement surveillée pour soupçons de masturbation lorsqu'elle se lave. La douche est codifiée et la prisonnière  doit suivre le protocole.

Elle commence par se mouiller tout le corps, et se frotter un peu partout, puis après une ou deux minutes elle prend un carré de savon et se lave les seins, bien sous les aisselles, le ventre et le nombril, puis elle passe aux jambes et aux pieds, elle se nettoie bien les plantes et entre les orteils.


Puis elle doit passer au cul, et bien passer le savon entre ses fesses pour le faire mousser,  puis frotter pour que tout soit propre. Puis elle doit se laver la zone du vagin, qu'elle doit d'abord savonner pour qu'il y est plein de mousse, 

Puis avec le savon elle doit écarter les jambes et passer le savons partout et le faire légèrement rentrer pour bien purifier le clitoris et tout les plis de sa chatte. 

Une fois cette opération terminée, elle est invitée à se sécher et replacer en cellule.


Au alentours de 14h, deux gardes viennent chercher la détenue. Elles amènent une culotte, un haut d'uniforme de prisonnier jaune/orange et une paire de tong en caoutchouc. 

"Tiens enfile ça prisonnière, il te faut une tenue décente pour ton audience devant ton avocat , tu va voyager un peu aujourd'hui, ça te changera un peu de ton train train habituel "  lui dit une surveillante en lui tendant l'ensemble plié.

Sabrina demande "Qu'est ce que c'est ?"

"Une tenue pour circuler hors de la section d’isolement pour un entretien avec l’inspecteur des prisons.

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La jeune  inspecte les tissus et demande "Y a t'il une robe aussi et un foulard ?"


"Non pas aujourd'hui, nous n'en avons pas en réserve, enfile ça qu'on y aille."

"J'aurai besoin d'un pantalon c'est trop court comme tenue pour moi" redemande la captive.

"Nous n'avons que ça à te donner comme vêtements, c'est la tenue de prisonnières standard des prisonnières de l'armée américaine dans les pays et région chaude."

Elle met donc  la culotte, puis le haut avant d'enfiler les claquettes, les gardiennes lui mettent des chaines aux pieds et des menottes dans le dos.


La prisonnière  a de trop grosse fesses et elle est un peu serrée dans sa tenue moulante, elle se demande si être promenée toute nue n'est pas mieux ... 


Elle est toujours gênée d'être en petite culotte, mais c'est toujours mieux que les obligations de parader à poil  auxquelles elle  soumise la plupart du temps.

L'un des gardes lui met ensuite les menottes dans le dos et lui met des chaînes aux chevilles. 

Sabrina  est conduite manu militari vers une autre partie de la prison pour l’entretien. Lors de la sortie du secteur d'isolement, et donc son passage sous la  responsabilité de l’inspecteur. Il décide de lui faire retirer ses chaînes et menottes. Elle le remercie en anglais et  lui demande si elle peut avoir une robe ou un pantalon et se couvrir la tête pour rencontrer son avocat. 

Hors de la section d’isolement le staff est plus amical avec les prisonniers et après deux minutes d’attente une soldate US à accepter de lui prêter une robe, certes c'est pas une robe arabe, mais Sabrina l'a prend quand même, et je lui donne une casquette car impossible de trouver un foulard en quelques minutes.
Elle le remercie même si il ne peut pas faire beaucoup plus pour elle. Ce qui est sûr c’est que le ministère de La Défense et la direction de la prison seront prévenus de la situation.



L’entretien avec son avocat dure seulement 10 minutes quasiment chronométré et en présence d'un membre de la police militaire. Ensuite elle doit retourné en cellules.

Le règlement est très dur en isolement, Sabrina  a encore été obligée de retirer ses vêtements devant des hommes et des femmes.
Lorsque l’inspecteur a 
 raccompagné  la prisonnière,  , deux gardes l'ont prise et escorter jusqu'à sa cellule, ou ils se sont arrêtés en face. Elle reçut l'ordre de rester immobile face au mur pendant que ses chaînes et menottes lui sont ôtées.


Les surveillants lui donnent pour consigne de se déshabiller en anglais et dans un Arabe approximatif.

Les déshabillages se font toujours dans les couloirs et en public, jamais dans les cellules dansce secteur.


Elle défait les tongs et pose ses petits pieds nus  sur le sol de façon gracieuse. Elle est comme beaucoup de femmes des pays chaud tout le temps pieds nus et prend très soin de ses petons.

Elle remet aux gardes sa casquette pour découvrir sa belle chevelure noire.
Résignée, elle enlève ensuite la robe qu'on lui avait offerte et apparaît en petite culotte devant les gardes exposant ses seins ronds et bien tendus .

"La culotte, allez donne là !" Dit le garde en haussant le ton tout en restant ferme, mais non-violent.
La jeune femme  prend une voix mignonne et suppliante pour demander dans un Anglais "please" S'il vous plaît, je voudrais garder la culotte, je vous promets que je ne cache rien".

Tu connais les règles ic, n'y vois rien de personnel, mais ici les détenus n'ont pas le droit de porter de vêtements en cellule. Tu aura droit à la culotte et au t-shirt essentiellement quand tu en sort.

Le garde ajoute que les hommes et les femmes qui arrivent ici sont tous soumis aux mêmes règles édictées par l'armée américaine. Les quelques femmes ici n'ont pas de vêtement. Alors donne nous cette culotte.

La prisonnière , résignée, baisse sa culotte et l'a laisse tomber à ses pieds, toute rouge et en colère elle donne un coup de pied dans sa culotte qui s'envole dans le couloir. "Voilà je suis toute nue vous êtes content !?" hurle t'elle.


Sabrina  se tient devant les gardes à poil, provocante avec un air de défiance, l'air de dire qu'elle s'en fiche et qu'elle n'a rien à cacher.

Les gardes procèdent à une brève fouille en lui faisant ouvrir la bouche et regarder à l'intérieur avec une lumière, remuer les orteils, ils l'a font s'accroupir tousser et écarter les fesses devant eux. 

Nudité forcée et enfermement dans une petite cage
Prisonnière nue dans une cage.


Liens : 


Prison de haute sécurité.


Ça

3 commentaires:

  1. Ce genre de cage est utilisée pour expédier en soute de navire les femelles blanches en Afrique sur le marché aux truies

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  2. L'empalement est pratiqué lors de diner spectacle, la femelle est plantée nue sur un pieu au sol, mains et pieds attachés, elle est fouettée jusqu'à temps qu'elle s'affaisse perforée par le sexe ou l'anus. Les spectateurs font des paris sur le temps de résistance de la femelle

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  3. Pendant le long voyage en soute de navire, les cages sont empilées et elles urinent et se défèquent dessus

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