Enfermée nue dans une cage. |
Le conditionnement et les pressions subies par les femmes en camp de détention punitif.
Prisonnière nue soumise aux travaux forcés. |
Blog érotique et pornographique consacré au Bdsm ( Bondage Domination et Sado Masochisme). Les principaux fantasmes abordés : prisonnières nues, visites médicales, nudité forcée, fessées et autres punitions, bizutage, filles en pensionnat, exhib, pieds féminins, fétichisme etc. Suite de l'ancien blog https://camp-bdsm.blogspot.com
Enfermée nue dans une cage. |
Prisonnière nue soumise aux travaux forcés. |
Femme nue dans un camp de travail. |
Dans l'un des derniers pays communistes ayant pour religion d'Etat l'Athéisme matérialiste de Marx le régime réprime durement les pratiquants des religion et très spécifiquement les catholiques.
Irina, une femme chrétienne de 27 ans a été condamnée a deux ans de détention dans un camp de rééducation et d'insertion (ndlr : terme officiel utilisé par le régime pour parler des prisons ou sont retenus les opposants politiques et religieux).
Elle a été arrêtée en pleine nuit par la police politique après avoir été dénoncé pour avoir donner des cours de catéchisme en cachette et enseigner la bible chrétienne à des jeunes à la place des enseignement du leader suprême de la révolution.
Ces centre de détention pour le bien être du peuple et la cohésion sociale sont en réalité de véritable bagne moderne ou la discipline est très stricte et les travaux physiques obligatoire.
De plus pour les chrétiens et les chrétiennes la nudité totale est souvent imposée pour mieux les humilier et les dégrader.
Lorsque Irina est arrivée dans le camp, elle a été soumise a une fouille à nu comme dans la plupart des prisons du monde, et les gardiens ne lui on pas fourni le moindre vêtements, ni uniforme.
Les autorités socialistes justifient la nudité des chrétiens pour plusieurs raisons:
Le climat chaud permet sans problèmes de garder les détenus sans vêtements.
Les chrétiens doivent être humiliés et dégradés et rien de plus simple et efficace que de les faire travailler et s'exhiber à poil pour leur faire perdre toute dignité et tout statut social.
La dimension culturel et religieuses , le christianisme prônant la pudeur est une technique utilisée par le pouvoir communiste pour soumettre et dominer les esprits des chrétiens.
Liens :
Forcer de pisser nue en public dans un pot comme une chienne. |
Les prisonnières sont gardées nues et sans aucun respect pour leur intimité. |
Dans la prison d'Abou Ghraib près de Baghdad tenue par l'armée américaine en Irak au moyen orient, dans l'aile de la partie dure du site pénitentiaire ou sont retenus les détenus de haute sécurité (membre de l'ancien régime, haut fonctionnaire, rebelles, terroristes, anciens militaires) ainsi que les femmes arrêtées et retenues par la coalition internationale. Voir des prisonniers gardés sans vêtements est une pratique courante et routinière qu'impose les gardiens américains conseillés par la police militaire et le ministère de la défense qui autorise et encourage les techniques d'interrogatoire musclés et la nudité forcée.
Les hauts gradés ont entre autre donner pour consigne à leurs staff pénitentiaire de traiter les captifs "pire que des chiens".
Lorsqu'une femme arrive dans la prison, même si elles sont minoritaires, la procédure standard qu'on pratique sur les hommes leur est aussi imposée.
La prisonnière lorsqu'elle arrive dans le centre de détention doit retirer tout ses vêtements, bijoux, effets personnel, chaussures, papiers, argent etc. et se mettre complètement nue pour une fouille et une inspection de la tête aux pieds et des orifices intimes (les anus anus et les vagin sont minutieusement vérifiés ) avant d'être conduite dans une cellule ouverte et spartiate.
Yasmine, une femme de 28 ans, qui possède plusieurs petite commerce a été arrêtée et a passer plusieurs mois dans la prison affirme qu'aucune humiliation, aucune vexation ne lui a été épargner.
Elle témoigne que les gardes pour punir et le plus souvent par plaisir, pour le fun, ou pour se distrairent considérant les femmes comme des objets de divertissements.
Elle a été gardée nue avec d'autre prisonnières et totalement humiliée et dégradée par l'obligation de rester à poil en permanence et à la vue de tous en public sans rien pouvoir cacher avec l'interdiction stricte de tenter de dissimuler leurs seins, fesses, sexe sous peine de punition (privation ne nourriture, cachot, falaka etc.).
Les gardiens et gardiennes américaines qui ont pour habitude de voir des femmes arabes et musulmanes couverte et souvent intégralement voilées les détiennent totalement nues et pieds nus et les exhibe pour les soumettre et les remettre à leur place et les préparer à parler lors des interrogatoires.
Yasmine affirme n'avoir pas eu le droit ni la possibilité de se vêtir pendant quasiment toute sa période de détention comme la majorité des autres captives.
Liens :
Humiliation d'une prisonnière chrétienne en régime communiste.
Forcée d'être à poil et sévices.
Une femme nue sanctionnée et fouettée en prison. |
"Lorsque je suis arrivée dans cette prison, les gardes m'ont tout de suite obligée a me mettre nue et privée de tout mes vêtements et effets personnels. J'avais l'interdiction de porter des vêtements, et comme la plupart des autres prisonniers je suis nue en permanence.
Dans cette endroit s'habiller n'est pas un droit.
La discipline est très stricte, tout est fait pour soumettre les détenus à l'ordre en place et les dresser. Je devais faire des travaux forcés et des corvées, et pour un rien les surveillants peuvent nous punir et nous priver de nourriture et de toute hygiène élémentaires.
Nous avons aussi l'interdiction de parler sans autorisation sous peine de sanctions sévères.
Les punitions sont cruelles et perverses, les gardiens fouettent, donnent des fessées, des coups de martinet ou de paddle, pratique la falaka sur les pieds des prisonnières, imposent de longue exposition totalement nue en publique pour bien humilier etc.
Les cellules sont toutes petites et sans aucun confort."
Liens :
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Nue et au pilori ! |
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Écarter les fesses et exhiber le cul au bizutage. |
Nadia est une étudiante de 22 ans qui vient d'intégrer une grande école de commerce. Comme toute les nouvelles arrivantes, elle est soumise à un bizutage sexuel de la part des anciens.
Lors de ce rituel traditionnel la pudeur et la modestie de l'étudiante est mise à mal. Les secondes années obligent les nouvelles à subir des mise à nue publique.
C'est très humiliant pour une fille réservée, timide et bien élevée comme Nadia que de devoir retirer ses vêtements , tout bien sur, c'est la totale nudité qui est imposée, la bizutée doit retirer son string et ses chaussettes car c'est intégralement nue qu'il faut être.
La jeune fille doit s'exhiber et parader nue dans les couloirs de l'université et exposer son intimité et écarter les fesses pour qu'on puisse voir son anus quand un étudiant le souhaite.
Imaginez ce que représente le fait de devoir écarter les fesses pour exhiber son cul ?
La jeune femme est aussi exposée sur une estrade et les autres font des commentaires sur son corps nu et exposé et commenté par les autres.
Elle doit aussi recevoir une fessée jusque à ce que ses fesses deviennent rouges, se masturber prendre des poses obscènes, dire qu'elle est une pute soumise etc.
Liens :
A poil en publique au bizutage !
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Le port de culotte est interdit en prison. |
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Torturées toute nue à l'électricité par une lesbienne sadique. |
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Prisonnière nue en confinement solitaire. |
Dans l’univers des prisons pour femmes, il y a la fameuse prison militaire d’Abou Ghraib tenue par l’armée américaine pendant l’occupation d’un pays du moyen orient entre 2003 et 2011. Si le scandale révélé par les médias concerne des détenus hommes, des témoins ainsi que des documents d’enquêtes provenant de sources officielles et d’ONG rapporte le traitement subie par certaines femmes incarcérées
L’équipe de gardiens militaires qui gère une section du camp de prisonniers dans la partie dure du site où sont gardés les détenus de haute importance : Les personnes importantes de l’ancien régime, les suspects d’acte de terrorisme anti américains, personnes accusées de faire partie de la rébellion etc.
Ces personnes sont retenues de façon arbitraire et préventive sans forcément avoir de chef d’inculpation et dans limitation de temps. De plus beaucoup sont gardées secrètement et sans respect des droits de La défense.
Les gardes sont en général des gens assez simple et peu formés issue de la campagne américaine. Les responsables de la police militaire de du renseignement leur ont donner pour consigne de traiter les prisonniers comme des chiens, de les humilier, déshabiller, maltraiter dans le but de les préparer et ramollir pour les interrogatoires et faire régner une discipline de fer et maintenir l’ordre.
Lorsque une prisonnière connue sous le pseudonyme de Sabrina est arrivée, elle est suspectée de soutenir la résistance et de détenir des informations importantes.
Les gardes appliquent la procédure voulue par les autorités militaires.
La prisonnière reçoit l’ordre de se déshabiller complètement lors de son arrivée sur le site. L’usage veut que la personne privée de liberté remette ses affaires, effets personnels et vêtements aux gardiens pour la fouille (strip search) dans le but de rechercher des objets de contrebandes, dangereux ou illégaux. Et de retirer les vêtements civils et remettre un uniforme orange de prisonniers.
Sabrina est forcée de retirer ses vêtements devant des gardes hommes et sans aucune protection du regard des passants car les fouilles par manque de moyen et de place se déroulent dans des circonstances peu respectueuses de l’intimité et pudeur.
Sabrina a tenter de négocier pour avoir la possibilité de conserver sa culotte, mais les militaires ont refusé. Résignée la détenue a laissé tomber son sous vêtements sur ses chevilles et l'offre aux gardes.
Pour une femme pieuse, pudique, respectable et bien élevée habituée à être toujours bien couverte et habillée m, devoir enlever ses vêtements et se retrouver à poil en public sous le regard attentif et curieux des gardiens.
La détenue est inspectée par une femme soldate de la tête aux orteils. L’anus et de vagin de la détenue sont minutieusement contrôlés.
Les fouilles à nus sont une pratique routinière et les détenus doivent s'y soumettre obligatoirement et donc se déshabiller publiquement sans pudeur ni intimité. La prisonnière est exposée à poil en public sans aucun respect pour ses moeurs et sa modestie.
Ensuite, après cette terrible épreuve, Sabrina se voit remettre une tenue orange de prisonnière sans sous vêtements, interdit et elle est contrainte de rester pieds nus. C’est déshumanisant de devoir porter une tenue aussi impersonnel. De plus qu'elle est constamment enchainée aux pieds et aux poignets.
Elle est ensuite conduite dans une petite cellule équipée d’un ban et de toilettes turques et d’une mini fenêtre sans rien d’autre.
La prisonnière est soumis à une discipline très stricte et le moindre écart de conduite peut être durement sanctionné; en particulier par une punition qui consiste à placer la prisonnière en confinement solitaire pendant plusieurs jours dans des conditions très difficiles.
Sabrina a passer 9 jours au cachot pour avoir tenter de se masturber sous la douche. La jeune femme a du se mettre toute nue et ôter son uniforme avant d'être attachée à poil dans un petit trou en ayant la chatte exposée. C'est très inconfortable et humiliante d'être tenue en bondage dans cette position dégradante.
Liens :
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Une femme prisonnière nue et enchaînée devant son gardien et son avocate. |
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Femme nue allongée et menottée les mains dans le dos par la police. |
Nos enquêteurs s'attardent aujourd'hui sur la situation dans certains postes de police de banlieue parisienne ou les femmes placée en garde à vue sont fouillées entièrement nues et souvent laisser à poil plusieurs heures par les flics.
Plusieurs jeunes femmes parlent de harcèlement et d'abus policier et se plaignent d'avoir été arrêtée pour rien du tout et retenue plusieurs heures par les policiers du quartier.
Nous avons le cas de d'Inaya une jeune fille d'origine marocaine de 22 ans, arrêtée pour outrage à agent, et mise en garde à vue de façon totalement arbitraire.
La jeune femme a été contrainte de se déshabiller complètement, y compris de retirer sa culotte, ses chaussettes et son soutien gorge pour une fouille à corps.
Elle a du exposer ses seins nus, sa chatte, son cul devant des agents de police hommes et femmes; puis les flics l'ont menottées et l'ont laissée à poil allongée sur le sol pendant plusieurs heures à la vue de tous.
Le commissaire affirme que la suspecte avait un comportement étranger et que l'équipe a préférer lui confisquer toutes ses affaires pour des raisons de sécurité et l'a garder menottée. Le tribunal à donner raison à la police suite aux plaintes des suspectes.
Liens :
Polémique sur les fouilles à nue en garde à vue.
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Soumise nue en bondage attachée à un arbre. |
Dans les grandes Et riches familles de grand propriétaire terriens, l’esclavage même s’il est officiellement aboli persiste encore.
Les plus fortunés grace au pouvoir de l’argent peuvent recruter des jeunes femmes issues de milieux plus modestes et en faire des soumises et des servantes.
Une famille bourgeoise du sud de la France a ouvert les portes d’une de ses villas à certains journalistes pour leur expliquer Le conception des rapports entre les différentes classes sociales basées sur l’ordre, autorité et la soumission des inférieurs.
Dans cette famille de milliardaires, des jeunes femmes de milieux modestes sont recrutées ( dans la classe ouvrière, les banlieues françaises, parmi les migrantes) pour servir d’esclaves sexuellement dominés pour les gens de l’élite.
Lors de la visite du domaine nous avons directement remarqué qu’une jeune femme de 25 ans de type beurette était attachée et exposée toute nue à un arbre (palmiers) à côté de la piscine.
C’est Sonia, une Française d’origine maghrébine (Maroc) qui est la depuis un mois. Du fait de la situation économique catastrophique à cause de la mauvaise gestion et de la pandémie de coronavirus, la jeune femme n’a pas eu d’autres choix que d’accepter d’être la servante de cette famille.
La pauvreté et la galère ont forcer cette beurette à devenir une soumise et d’accepter des règles humiliantes.
Tout d’abord la soumise n’a pas le droit de porter de vêtements ou de chaussures sur la propriété de ses maîtres et maîtresses. Elle doit rester nue et pieds nus en permanence. La nudité lui rappelle en permanence sa place d’esclave et qu’elle est au plus bas de l’échelle sociale.
La soumise doit appeler les résidents de la villa et doit visiteurs par des titres du type « Maître » « Maîtresse », et la soumise elle n’a plus de nom ni de prénom. Elle est appelée « esclave », « pute », « chienne » etc. La jeune femme n’a pas non plus le droit de dire « Je » et doit parler d’elle comme une esclave et un numéro.
Elle a pour consignes aussi de baisser la tête et à l’interdiction de parler sans autorisation.
Sonia doit être rabaissée et humiliée tout le temps. Elle doit exposer son intimité à tout le monde sans aucune pudeur ni respect, prendre des positions de soumission dégradantes comme se mettre à genoux, écarter ses fesses et ouvrir l’anus, se masturber en public et avoir un orgasme pour divertir les gens.
Elle doit aussi faire ses besoins naturellement en public faire caca toute nue devant les gens qui la regarde est très difficile et terriblement dégradant les premières fois mais c’est un traitement digne d’un animal. Lorsque on promène son chien ce dernier pisse et chit partout dans se soucier du regard des autres, alors pourquoi est ce qu’une soumise aurait elle plus de droit qu’un chien ?
Rester à poil devant les gens habillés, et se faire baiser à volonté par n’importe qui, sucer des bites, lécher des chattes et des pieds.
Liens :
Exploitation des femmes pauvres.
Histoire Bdsm.
Nous sommes en semaine durant le mois de juillet 2004 dans une prison tenue par l’armée américaine dans un pays du moyen orient. L’inspecteur des prisons est un juriste expérimenté qui travaille pour une organisation internationale de défense des droits de l’homme et qui est chargé de rendre visite à une femme, Sabrina L, elle est âgée d’une trentaine d’année et elle est détenue depuis plusieurs mois pour des soupçons de soutien à l’insurrection et ses liens avec l’ancien régime.
Les autorités américaines ont autorisé l’inspecteur à venir visiter la prisonnière sur pression de ses avocats.
La visite commence tôt le matin vers 06h peu après le levé du soleil. Les gardes en treillis militaires et rangers accompagnent le visiteur qui est en costard cravate. Ils se rendent dans une petite cellule de 3 mètres sur 4 , ce qui est un "luxe" ici dans cette vétuste prison.
La première chose qu’on remarque lors qu’on arrive à la cellule de la détenue c’est qu’elle est totalement vide et ne contient qu'une couchette surélevée et des toilettes "turques". Aucun autres objets quelques soit sa nature n'est permis dans cette section. Les gardiens peuvent être des hommes comme des femmes et on notera aussi la présence de fonctionnaires et les contractuels (mercenaires) travaillant sur place.
Sabrina est encore somnolente, elle a 30 ans. Elle mesure 1.70m pour environs 55 kilos, elle est très sexy, la peau mate , des fesses épaisses et des hanches larges et une petite poitrine naturelle.
Elle est un peu musclée. Sa peau est légèrement bronzée et elle a de long cheveux noirs. Elle est là depuis deux à trois mois.
Elle est une femme orientale très éduquée, elle était cadre dans le ministère de l’économie avant sont arrestation, ce qui l'a rend importante au regard des autorités qui l'a maintienne en détention pour une durée indéterminée.
Les cliquetis de la clé ouvrant sa cellule l'a réveille. La prisonnière est nue, les pieds nus (et ici ses plantes de pieds sont noircies par la poussière et la crasse accumulés lorsqu'elle marche sur le sol pas très propre.). Elle est allongée nue sur le dos par les chevilles et les poignets sur sa banquette. Exposée totalement à poil sans aucune pudeur à la vue de ceux qui rentre dans sa cellule, ses premières semaines ont été très difficile puis elle s'est habituée.
Sabrina comme une bonne partie des personnes privées de liberté ici sont gardés sans aucun vêtements, c'est une section d'isolement en sécurité maximum car c'est un théâtre de guerre, les moyens manques cruellement, il n'y a que très peu d'uniforme, les rares sont donnés aux détenus coopératifs masculin, les uniforme féminin ne sont pas prévue du fait du nombre limitée de femmes. L'équipe d'interrogateurs de la police militaire et de la CIA recommande la nudité pour ramollir les détenus et les rendre plus dociles. Et pour l'équipe de surveillants, c'est bien plus sur et sécurisé de garder les prisonniers nus. Ici savoir que les captifs sont nus ne choque personne, c’est tout à fait banal et les gardes s’y sont vite habitués.
Sabrina est une détenue jugée sensibles et de haute importance. Elle n'est pas soumise aux interrogatoires violents, mais elle doit être sous surveillance étroite 24h sur 24, elle est toujours sous contrainte la nuit, et elle doit toujours être sous la surveillance d'un garde lors de ses activités.
Les entraves de la prisonnière lui son retirer et elle doit se lever et se mettre au garde à vous et se voit remettre son petit déjeuner. C'est un traitement de VIP peu représentatif du reste qui lui est réservé. Certes ce n'est pas de la haute gastronomie, mais elle est aussi bien nourrie que les soldats. Elle a le droit à un plateau avec une assiette de poulet frit avec du riz et quelques légumes, une banane, et un verre d'eau bien frais.
Elle est observée par une surveillante à chacun de ses geste, et il y a parfois des fonctionnaires masculins qui regardent. L'américaine chargée de la contrôler est assez froide et stricte et fait son boulot sans état d'âmes.
Sabrina doit tout manger devant elle, quand elle a finie, elle doit poser le plateau repas à l'entré et se mettre contre le mur les mains sur la tête pendant que la gardienne ramasse l'objet.
Ensuite elle doit se mettre devant la porte, mains sur la tête et attendre les ordres.
Elle doit bouger ses cheveux, ouvrir grandement la bouche, et surtout se soumettre à une inspection humiliantes des cavités intimes.
La jeune femme qui parle parfaitement l'anglais demande à la surveillante "Est ce que je peux vous montrer ma chatte et mon cul de façon plus plus discrète ? car n'importe qui peut circuler dans le couloir et me voir dans cette situation embrassante et je ne veux pas que des hommes puissent me voir ainsi.".
La surveillante lui répond "Ne sois pas ridicule, les gardes et les contractuels voient ta chatte tout le temps car tu vis toute nue depuis plusieurs mois".
Sabrina le sait, mais devoir montrer son intimité sur commande elle trouve ça dégradant et se sent comme un animal au zoo.
Les hommes passant par là (souvent par coïncidence la fréquentation de cette zone augmente lors des heures des inspections et des fouilles des prisonnières) s'arrêtent et ont des débuts d'érection.
"Allez c'est un ordre, dernier avertissement" dit la surveillante en uniforme militaire.
Résignée, la prisonnière prend sur elle même se penche et écarte ses jambes pour exposer son anus rose , c'est toujours difficile à vivre que de sentir le souffle d'un gardien équipé d'une lampe vous regardez le fond des entrailles et vous faire tousser en ayant vos fesses écartées au maximum.
Puis elle doit écarter encore plus les jambes, ce matin elle est tombée, car ses pieds nus on glissés pendant l'opération, rien de mal, aucune blessure, mais les hommes qui passaient par là ont bien rigoler en l'a voyant se ramasser par terre toute nue et se relever pour reprendre sa position indécente et écarter le plus possible ses lèvres devant la gardienne, qui remarque quelques traces humide et suspect émanant du sexe de la détenue.
Sabrina avant d'être emprisonnée par les américains a entendu parler de rumeurs comme quoi les militaires humiliaient et maltraitaient les prisonniers qu'ils détiennent, mais elle n'y a pas cru. Elle ne subie d'ailleurs aucun mauvais traitements et n'a jamais reçu le moindre coup ni la moindre insultes.
A son arrivée en décembre 2003, elle est soumise au processus habituel pratiqué à la section d'isolement de cette prison. Elle est accueillie et informée par le staff qu'elle sera traitée selon les convention de Genève. Puis elle est enregistrée administrativement, ses papiers d'identité, biens, bijoux et effets personnels ont été placés sous scellés dans des cartons, ses empruntes digitales, et de sa salive pour identifier son ADN on été prélevés. Un numéro d'identifiant de prisonnier lui à aussi été délivré.
Ensuite elle a été déshabiller pour la fouille (strip search) obligatoire avant tout mouvement dans la division.
Lors qu'elle entendait parler des rumeurs de nudités forcés imposer aux arabes retenus par les américains, bien que choquée, elle imaginait bien la honte, l'humiliation que d'être dénudé en publique représentait pour les victimes, mais elle se voyait dans ses fantasmes, elle, une femme pieuse, respectables et honorable être obliger d'être de se déshabiller devant des étrangers, que les autres puissent voir son sexe, ses gros seins à l'air, ses fesses, ses pieds, ses cheveux ...
Pour elle qui hors de ses voyages à l'étrangers, dans des pays occidentaux ou en Asie doit être couverte de la tête aux pieds et cacher la moindre parcelle de son corps aux hommes. La nudité était un de ses fantasmes qui hantait ses nuits,
Le premier déshabillage n'est jamais facile surtout pour une personne ayant des tabou religieux et culturels important comme elle. Lors de ses premiers jours elle était honteuse et obsédée par sa nudité. Les gardiennes s'amusent de la gêne et de la honte que ressent la prisonnière.
Lors des restrictions, que la détenue déteste, elle est allongées et attachée solidement sur un lit ou une civière sans pouvoir bouger, nue bien sur et les jambes assez écartées pour que l'on puisse tout voir. Pour une femme comme elle c'est l'une des choses les plus dégradantes.
La nudité est difficile à supporter surtout que l'humiliation fait beaucoup mouiller Sabrina, les gardes le savent et en profitent souvent pour la mettre dans l’embarras ou pour la regarder se masturber.
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Car disons le franchement, cette prisonnière s'ennuie, même si elle a accès a quelques livres, a une heure de sortie par jours, la possibilité de faire un peu de sport, et être toute nue stimule beaucoup sa libido et l’ennui la pousse à se masturber.
Sa chatte est toujours humide lors des inspections, et la surveillante lui donne parfois quelques tapes sur le clitoris pour mieux l'excitée.
Après le petit déjeuner et l'inspection, la prisonnière a le droit à une heure de "sortie" ou elle est libre de menottes et de chaines et libre de ses mouvement et peut prendre l'air. Un petit enclos de 10 mètres sur 10 est dédiés aux prisonniers en isolement pour leur permettre de bouger un peu. Le climat est très chaud et le soleil tape fort dès le matin, l'heure à été choisie car une partie de l'enclos et au soleil et l'autre à l'ombre.
Sabrina est contrainte de mettre des menottes et est enchainée par les chevilles pour le transfert dans la "cours". Elle est escortée toute nue, la cours étant partie intégrante du secteur d'isolement de la prison, il est contraire au règlement de lui fournir des vêtements pour les déplacements internes à l'unité. Car l'uniforme ici c'est la tenue de naissance.
C'est assez marrant pour les gardes de faire marcher une femme sexu comme elle dans les couloirs. Elle a très mal pris ces obligations de parader nue hors de sa cellule dans les couloirs de la prison durant les premières semaines, comme le fait de devoir aller à la douche ou dans la court de promenade à poil et à plusieurs fois refuser d'y aller.
Elle disait dans un anglais parfait "Vous ne pouvez pas me faire subir ça ! je ne veux pas marcher les fesses à l'air devant tout le monde et les seins exposée devant tout le monde Donnez moi des habits !"
Mais le staff pénitencier ne transige pas avec les règles et n'a que faire de ses humeurs.
L'equipe est assez dirons nous assez taquine et certains prennent un malin plaisir à utiliser la nudité de Sabrina pour lui causer encore plus de gêne et de honte. Sous prétexte de perquisitionner sa cellule, la détenue a été sortie de sa cellule pour être conduite dans une pièce ouverte ou tout passants peu la voir en tenue d'Eve.
Faire parader toute nue une femme et faire plein de remarques et commentaires salaces sur son corps fait rire et amusent le personnel du camp.
Elle s'est petit à petit habituée à être sans aucun vêtements. Elle marche désormais tranquillement et la nudité lui paraît tellement naturel qu'elle est conduite à la récréation sans soucis.
Une fois dans la cours, ses menottes et chaines sont défaites, et elle est libre de ses mouvements, elle court un peu pour se décrasser les jambes, puis elle fait quelques séries de squats, des exercices de mouvement de bassins, d'épaules, puis elle pratique des étirements.
Puis elle se met à danser nue, comme si elle était toute seule, les surveillantes savent que ce comportement est suspect, car lors de ses mouvements, ses mains se rapprochent dangereusement de sa poitrine et de son vagin.
Ensuite elle est conduite à la salle de douche. Elle est particulièrement surveillée pour soupçons de masturbation lorsqu'elle se lave. La douche est codifiée et la prisonnière doit suivre le protocole.
Elle commence par se mouiller tout le corps, et se frotter un peu partout, puis après une ou deux minutes elle prend un carré de savon et se lave les seins, bien sous les aisselles, le ventre et le nombril, puis elle passe aux jambes et aux pieds, elle se nettoie bien les plantes et entre les orteils.
Puis elle doit passer au cul, et bien passer le savon entre ses fesses pour le faire mousser, puis frotter pour que tout soit propre. Puis elle doit se laver la zone du vagin, qu'elle doit d'abord savonner pour qu'il y est plein de mousse,
Puis avec le savon elle doit écarter les jambes et passer le savons partout et le faire légèrement rentrer pour bien purifier le clitoris et tout les plis de sa chatte.
Une fois cette opération terminée, elle est invitée à se sécher et replacer en cellule.
Au alentours de 14h, deux gardes viennent chercher la détenue. Elles amènent une culotte, un haut d'uniforme de prisonnier jaune/orange et une paire de tong en caoutchouc.
"Tiens enfile ça prisonnière, il te faut une tenue décente pour ton audience devant ton avocat , tu va voyager un peu aujourd'hui, ça te changera un peu de ton train train habituel " lui dit une surveillante en lui tendant l'ensemble plié.
Sabrina demande "Qu'est ce que c'est ?"
"Une tenue pour circuler hors de la section d’isolement pour un entretien avec l’inspecteur des prisons.
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La jeune inspecte les tissus et demande "Y a t'il une robe aussi et un foulard ?"
"Non pas aujourd'hui, nous n'en avons pas en réserve, enfile ça qu'on y aille."
"J'aurai besoin d'un pantalon c'est trop court comme tenue pour moi" redemande la captive.
"Nous n'avons que ça à te donner comme vêtements, c'est la tenue de prisonnières standard des prisonnières de l'armée américaine dans les pays et région chaude."
Elle met donc la culotte, puis le haut avant d'enfiler les claquettes, les gardiennes lui mettent des chaines aux pieds et des menottes dans le dos.
La prisonnière a de trop grosse fesses et elle est un peu serrée dans sa tenue moulante, elle se demande si être promenée toute nue n'est pas mieux ...
Elle est toujours gênée d'être en petite culotte, mais c'est toujours mieux que les obligations de parader à poil auxquelles elle soumise la plupart du temps.
L'un des gardes lui met ensuite les menottes dans le dos et lui met des chaînes aux chevilles.
Sabrina est conduite manu militari vers une autre partie de la prison pour l’entretien. Lors de la sortie du secteur d'isolement, et donc son passage sous la responsabilité de l’inspecteur. Il décide de lui faire retirer ses chaînes et menottes. Elle le remercie en anglais et lui demande si elle peut avoir une robe ou un pantalon et se couvrir la tête pour rencontrer son avocat.
Hors de la section d’isolement le staff est plus amical avec les prisonniers et après deux minutes d’attente une soldate US à accepter de lui prêter une robe, certes c'est pas une robe arabe, mais Sabrina l'a prend quand même, et je lui donne une casquette car impossible de trouver un foulard en quelques minutes.
Elle le remercie même si il ne peut pas faire beaucoup plus pour elle. Ce qui est sûr c’est que le ministère de La Défense et la direction de la prison seront prévenus de la situation.
L’entretien avec son avocat dure seulement 10 minutes quasiment chronométré et en présence d'un membre de la police militaire. Ensuite elle doit retourné en cellules.
Le règlement est très dur en isolement, Sabrina a encore été obligée de retirer ses vêtements devant des hommes et des femmes.
Lorsque l’inspecteur a raccompagné la prisonnière, , deux gardes l'ont prise et escorter jusqu'à sa cellule, ou ils se sont arrêtés en face. Elle reçut l'ordre de rester immobile face au mur pendant que ses chaînes et menottes lui sont ôtées.
Les surveillants lui donnent pour consigne de se déshabiller en anglais et dans un Arabe approximatif.
Les déshabillages se font toujours dans les couloirs et en public, jamais dans les cellules dansce secteur.
Elle défait les tongs et pose ses petits pieds nus sur le sol de façon gracieuse. Elle est comme beaucoup de femmes des pays chaud tout le temps pieds nus et prend très soin de ses petons.
Elle remet aux gardes sa casquette pour découvrir sa belle chevelure noire.
Résignée, elle enlève ensuite la robe qu'on lui avait offerte et apparaît en petite culotte devant les gardes exposant ses seins ronds et bien tendus .
"La culotte, allez donne là !" Dit le garde en haussant le ton tout en restant ferme, mais non-violent.
La jeune femme prend une voix mignonne et suppliante pour demander dans un Anglais "please" S'il vous plaît, je voudrais garder la culotte, je vous promets que je ne cache rien".
Tu connais les règles ic, n'y vois rien de personnel, mais ici les détenus n'ont pas le droit de porter de vêtements en cellule. Tu aura droit à la culotte et au t-shirt essentiellement quand tu en sort.
Le garde ajoute que les hommes et les femmes qui arrivent ici sont tous soumis aux mêmes règles édictées par l'armée américaine. Les quelques femmes ici n'ont pas de vêtement. Alors donne nous cette culotte.
La prisonnière , résignée, baisse sa culotte et l'a laisse tomber à ses pieds, toute rouge et en colère elle donne un coup de pied dans sa culotte qui s'envole dans le couloir. "Voilà je suis toute nue vous êtes content !?" hurle t'elle.
Sabrina se tient devant les gardes à poil, provocante avec un air de défiance, l'air de dire qu'elle s'en fiche et qu'elle n'a rien à cacher.
Les gardes procèdent à une brève fouille en lui faisant ouvrir la bouche et regarder à l'intérieur avec une lumière, remuer les orteils, ils l'a font s'accroupir tousser et écarter les fesses devant eux.
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Prisonnière nue dans une cage. |
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Blonde soumise est humiliée par des lesbiennes dominantes. |
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Capture nue d’une soumise blonde aux gros seins. |
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Femme exposée nue dans les couloirs de la prison en guise de punition. |
Durant les années 2000 à 2010 les Etats Unis au nom de la lutte contre le terrorisme et la promotion de la démocratie et des droits de l'homme ont mener plusieurs guerres sur plusieurs front et avec la loi appelée "Patriot Act" qui permet aux forces américaines (armée et renseignement) de détenir des personnes hors de tout cadre légale et sans respecter les conventions de Genève.
Le président et le secrétaire d'état à la défense ont autorisé les des techniques d'interrogatoires comportant des méthodes de coercitions physiques et psychologiques dont certaines sont considérées comme formes de tortures et des sévices infamants. Ces moyens sont utilisés contre les personnes considérée comme ayant une valeur en terme de renseignement et sont applique de façon systématique.
Zahia, environs 30 ans, une femme d'affaire proche du régime de l'ancien dictateur renversée par les Etats Unis dans un pays du moyen orient a passée 6 mois en détention dans une prison militaire entre les mains des américains avant d'être libérée.
Elle affirme avoir été victimes d'abus et d'humiliations durant cette période.
"Lorsque nous arrivons après plusieurs heures de voyage dans des fourgons militaires sur le site dure de la prison d'Abou Ghraib, nous sommes avec une cagoule sur la tête et menottés, ils nous conduisent dans une grande salle ou nous devons nous déshabiller, c'est encore pire pour nous les femmes car on nous apprend l'importance de la modestie et de la pudeur dans notre culture, et eux nous déshabille en public. On se retrouve dépouiller de tous nos vêtements et ils nous fouille vraiment partout même juste entre nos orteils et dans nos anus et vagin avec des chiens qui nous reniflent le derrière !".
L'ancienne prisonnière se rappel de la honte ressentie la première fois : "Sans vêtements, sans rien du tout pour cacher nos corps, ils nous humilie et rigolent de nous savoir ainsi honteuses et vulnérables".
Elle continue "Ensuite nous devons marcher et défiler nues jusque dans nos cellules, c'est très choquant de devoir parader à poil devant le staff de la prison (gardien, membre de l'administration et de la police militaire) autres prisonniers hommes et femmes qui sont pour l'immense majorité d'entre eux gardés nus. Les américains disent qu'il fait chaud alors il n'y a pas besoin de porter des vêtements, et que de toute façon ils n'ont pas beaucoup d'uniforme de prisonnier."
Zahia ajoute "Les cellules sont en béton et totalement vides et sans lumières".
"La journée pour m'humilier ils m'ont attachée pendant plusieurs heures totalement nue sur le poteau au milieu du couloir de la prison dans des positions dégradantes et exposée à la vue de tous".
C'est en général le processus utilisé par les autorités de l'armée pour préparer et ramollir les détenus en attendant les interrogatoires.
Liens :
Nudité et pressions psychologiques.
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Groupe de prisonnières nues en confinement solitaire. |
Depuis les années 2000, les grandes puissances ont pris quelques décisions entre elle, hors du cadre de l'ONU et des conventions de Genève pour répondre aux problématiques géopolitique du 21 émetteur siècle. Pour ne jamais être considéré comme des Etats pratiquant la torture tout en s'évitant de respecter certaines normes du droit international. Les grandes puissances, au lieu de jouer chacune de leur coté ont décider de mettre en commun certains moyens pour détenir des opposants, criminels, terroristes et trafiquants de drogue et d'armes internationaux. La Chine, l'Angleterre, l'Iran, les Etats Unis, la Russie, le Brésil, le Mexique, l'Afrique du sud, l'Arabie Saoudite et la France ont décider d'un pacte de détention secret.
De multiples prison secrètes sont donc créer dans le cadre de ce projet, dont une qui est réservée pour les femmes. On trouve de ces prisons en général dans des pays africains, d'Amérique Latine ou des pays arabes pour des raisons de discrétion. Ces camps de détention sont tenus dans des régions isolés et discrètes pour éviter que des journalistes curieux viennent s'y mêler. C'est pour éviter de nouveaux scandales qui peuvent porter atteinte à l'image de certains pays comme les affaires autour de Guantanamo, Abou Ghraib, camps chinois, goulags communistes etc. C'est une nouvelle forme de solidarité internationale.
Les prisonnières ont entre 18 et 50 ans, pas plus, et elles purgent des peines de prison pour diverses raisons : On y trouve des femmes politiques corrompues, des opposantes politiques, des femmes terroristes, des femme militantes dans des organisations de gauche ou écologiste, des prostitués, des trafiquantes importantes et même des féministes ou des militantes lesbiennes. Les Etats y envois leur prisonnières selon leurs propres critères. Le but de la prison est d'apprendre l'ordre et la soumission aux femmes incarcérées pour leur permettre à terme de se ré insérer dans la société.
Ce centre de détention est régie par les règles d'une prison de haute sécurité et des règles du BDSM (Bondage, Domination, Sado Masochisme). Les femmes détenues sont originaires de tout pays, une journaliste française ayant un peu trop critiquer l'ancien président français Nicolas Sarkozy Séverine est une femme brune de 30 ans, française, elle est bien habillée et elle est dans un bus à destination de ce pénitencier féminin en compagnie de femmes venues du monde entier. A bord du bus il y a Vanessa, une américaine blonde de 23 ans ayant été condamnée pour trafic de stupéfiant pour couvrir sont petit ami, un baron de la mafia en fuite. On trouve aussi Maria, une criminelle brésilienne de 41 ans, elle a la peau mate et le corps couvert de tatouage. Reem 30 ans, une dissidente saoudienne habillée tout en noir et couverte de la tête aux pieds, et Mili 40 ans, une démocrate chinoise.
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Femme prisonnière mise nue et bondage avant interrogatoire. |
Le bus arrive et passe plusieurs portails avec des barbelés, avant d'entrer dans une zone clôturée et fermée.
Les gardiens sont des hommes et des femmes, habillés en uniforme noirs, avec des bottes militaires. Les nouvelles arrivantes sont invitées à descendre du bus et à se rendre dans un bâtiments non loins de l'entrée principale. Elles sont accueillies par la directrice , une femme blonde d'une cinquante d'année, probablement une allemande qui à un anglais parfait, elle porte un tailleur noir et des escarpins de la même couleur. Elle est entourée de gardes femmes et hommes accompagnés de gros chiens d'attaque, elle parle sur un ton ferme et stricte.
"Bienvenue, je suis la dirigeante de cette prison, vous êtes des prisonnières soumises à nos règles visant à vous inculquer des valeurs permettant la vie en société (NDLR : lavage de cerveau). L'une des premières choses ici, c'est qu'il n'y à pas d'uniforme, la nudité totale est imposée aux prisonnières pour mieux vous punir, vous faire comprendre vos places de soumises, vous exhiber et exposer comme de la viande fraiche, et pour des raisons de sécurité : Etre nu rend impossible le fait de cacher sur soit des armes ou des objets illicites.
Alors maintenant, déshabillez vous, retirez vos vêtements."
Les détenues sont un peu choquées même si elles savent toutes qu'en prison il y a des fouilles à nus, elles s'attendaient à un peu plus d'intimité et que ce ne serait pas en public.
"Vous enlevez tout, chaussures, chaussettes, bas, collants, culottes, soutiens-gorges et tout le reste." Répète la directrice.
Les prisonnières se déshabillent chacune à leur manière, mais elles sont toutes très humiliées de devoir s'effeuiller devant tout le monde.
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Nue et attachée sur une chaise pour l'interrogatoire. |
Les femmes sont alignées nues comme au jours de leur naissance avec les piles de vêtements à leurs pieds. Les gardiennes inspectent les corps des détenues sans ménagement, tout est contrôlé de la têtes aux orteils, et chaque femmes se prend un doigt dans l'anus et un dans le vagin et la bouche, car toutes les cavités naturelles sont vérifiées. Les prisonnières même si elles ont l'air honteuses, mouillent, leurs chattes commencent à s'humidifier par cette humiliante entré en matière.
Les captives sont aussi tripoter et harceler sexuellement par les gardiens qui leur frotte la chatte, leu mettent des claques sur les fesses et leur pincent les tétons. Ensuite les femmes sont entravées au niveau des chevilles.
Le programme de détention est en partie basé sur l'humiliation et la dégradation, la femme n'est ici qu'un objet et sont obliger de pratiquer des choses peu avouables. Chaque prisonnière est :
- Exhibée nue et privée de pudeur, claquée, fessée, insultée, peut se voir tirer les cheveux, etre contrainte de se masturber devant les autres, être soumise à des orgasmes forcés, attachée dans diverses position de bondage.
- Les prisonnières sont aussi obligée d'avoir des relations lesbiennes entre elles.
- De prendre des douches nues et de s'introduire des savons dans la chatte et le cul.
- De lutter nue entre elles sous les rires des gardiens.
- Soumise aux travaux forcés etc.
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Travaux forcés pour une femme prisonnière nue. |
Liens :
Perverpeper le site des perversions lesbiennes.