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lundi 14 mars 2022

Dressage des femmes en prison.

 

Prisonnière nue en cage et exposée.
Enfermée nue dans une cage.

Le conditionnement et les pressions subies par les femmes en camp de détention punitif.


Depuis les attentats du 11 septembre 2001, les Etats Unis ont créer des camps et des prisons partout dans le monde et chez eux pour y retenir les terroristes, ainsi que les opposants, les grandes criminels, les trafiquants d'armes et de drogues, etc.


Dans ces prisons, tout espoir et toute dignité humaine est interdit aux prisonniers. Les ordres de les traiter pire que des chiens sont appliqués avec zèle.


Jihane, une prisonnière irakienne arrêtée par les Etats Unis dans le cadre de la lutte du bien contre le mal décrétée par Georges W Bush Jr a été une victime de cette politique carcérale inhumaine et dégradante. Elle a été confondue avec la femme d'un terroriste en fuite et à passé un ans dans une prison en Amérique ou sont retenues certaines des femmes les plus dangereuses du monde.


Dans ce centre de détention les prisonnières travaillent tous les jours pendant plus de 10 heures, et la nourriture servie est horrible, tout est fait pour détruire moralement les détenus.


Jihane a due s'habituer à la nudité totale, les femmes et les hommes privés de liberté restent nus en permanence car les gardes américains leur nient toute humanité, tout droit à la pudeur et à la dignité. Les prisonnières n'ont plus à se soucier de leurs gardes robe.


Avant d'arriver dans cette prison Jihanne était une personnes pieuses,  fière et respectée dans sa famille et sa communauté. D'une culture très conservatrice et pudique, portant des tenues traditionnels arabe très couvrantes, ainsi que le hijab, cette femme a été très humiliée par l'obligation de se déshabiller en public devant des hommes et des femmes et la nudité forcée. 


C'est difficile pour une musulmane comme elle de se retrouver du jours au lendemain dépouillée de tout vêtements et interdite d'en porter.


Ici aucune exception, les prisonnières de toute race, ethnie, culture ou religion sont entièrement à poil.


Les femmes finissent par s'habituer à la nudité permanente.


Les fouilles et les inspections ont lieu plusieurs fois par jours et comporte une inspection entre les orteils, entre les fesses ou chaque femme doit se pencher et écarter aux maximum pour ouvrir son anus et son vagin qu'un garde vérifie en y introduisant un doigt  ganté.


Jihane n'est qu'un morceau de viande qui doit montrer sa chatte à tout le monde.


La prisonnière doit travailler très dur sous peine d'être humiliée et punie de façon cruelle.


Malgré sa pudeur à l'origine, Jihane a perdu même la sensation de porter des vêtements et reste nue en permanence. Elle est nue et pieds nus et enchainés.


La masturbation est en générale interdite même si pour les humilier, les femmes comme Jihane doivent se toucher et masturber  sous les rires des surveillants.


Les femmes sont placées nues dans des cages et exposées à la vue de tous.




Chaines, nudité et travail forcé dans le camp de prisonniers
Prisonnière nue soumise aux travaux forcés.



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samedi 15 janvier 2022

Condamnée aux Travaux forcée et nudité en camp d'internement.

 

Camp de travaux forcés et nudité obligatoire.
Femme nue dans un camp de travail.

Des chrétiennes internées dans des camps de rééducation gardées complètement nues.


Dans l'un des derniers pays communistes ayant pour religion d'Etat l'Athéisme matérialiste de Marx le régime réprime durement les pratiquants des religion et très spécifiquement les catholiques.


Irina, une femme chrétienne de 27 ans a été condamnée a deux ans de détention dans un camp de rééducation et d'insertion (ndlr : terme officiel utilisé par le régime pour parler des prisons ou sont retenus les opposants politiques et religieux).


Elle a été arrêtée en pleine nuit par la police politique après avoir été dénoncé pour avoir donner des cours de catéchisme en cachette et enseigner la bible chrétienne à des jeunes à la place des enseignement du leader suprême de la révolution.


Ces centre de détention pour le bien être du peuple et la cohésion sociale sont en réalité de véritable bagne moderne ou la discipline est très stricte et les travaux physiques obligatoire.


De plus pour les chrétiens et les chrétiennes la nudité totale est souvent imposée pour mieux les humilier et les dégrader. 

Lorsque Irina est arrivée dans le camp, elle a été soumise a une fouille à nu comme dans la plupart des prisons du monde, et les gardiens ne lui on pas fourni le moindre vêtements, ni uniforme.


Les autorités socialistes justifient la nudité des chrétiens pour plusieurs raisons: 


Le climat chaud permet sans problèmes de garder les détenus sans vêtements.


Les chrétiens doivent être humiliés et dégradés et rien de plus simple et efficace que de les faire travailler et s'exhiber à poil pour leur faire perdre toute dignité et tout statut social.


La dimension culturel et religieuses , le christianisme prônant la pudeur est une technique utilisée par le pouvoir communiste pour soumettre et dominer les esprits des chrétiens.



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Bagne et travaux forcés.

dimanche 19 décembre 2021

Une bourgeoise blanche et blonde séquestrée et humiliée par ses ravisseurs.

 

Bourgeoise humiliée contrainte de pisser à poil.
Forcer de pisser nue en public dans un pot comme une chienne.

La déchéance d'une bourgeoise kidnappée nue et humiliée.


Catherine, l'épouse d'un  grand industriel  célèbre dans la région a été kidnappée par un gang en échange d'une rançon. L'organisation mafieuse est très organisée, la riche blonde n'a eu aucune chance, rien n'a été laisser au hasard dans l'organisation de son enlèvement.


La victime a été enlevée en pleine journée dans sa villa ultra sécurisé d'un quartier huppé d'une grande ville du 78 (Yvelines).


Nous savons que la captive a été ligotée et bâillonnée puis  placée dans le coffre d'une grosse cylindrée pour être retenue dans la cave d'une horrible maison dont la localisation exacte est inconnue.


Le groupe criminel fait preuve de méchanceté et de cruauté envers les otages pour faire pression sur les familles, proches, et les entreprises afin de terroriser la région et obtenir plus rapidement le paiement du butin.


La police est totalement dépassé et certains soupçonnent certains haut gradés d'être complice de la mafia en échange de liquidité ...


Peu de victimes osent témoigner des terribles sévices imposés par les ravisseurs. Catherine a été mise totalement à poil par la force, ses vêtements ont été arrachés et ses objets de valeurs comme ses bijoux et sa montre volés et revendu au marché noir.


Nous savons que les otages sont dénudés dés les premiers instant du fait que lors des libérations: ils sont souvent relâchés complètement nus dans des bois ou même parfois en centre ville.


Pour faire pression sur les proches, les criminels prennent des photos et des vidéos des sévices et humiliation sexuelles qu'ils imposent à la blonde nue.


Pour l'humilier et l'avilir le plus possible ils l'ont entre autre obligée à faire pipi devant eux en public en riant de sa déchéance.



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vendredi 26 novembre 2021

Dans le couloir des femmes prisonnières.

 

Des femmes gardées totalement nues en cellule sans aucun respect pour leur pudeur ni dignité.
Les prisonnières sont gardées nues et sans aucun respect pour leur intimité.

Prisonnières nues et humiliées en captivité.


Dans la prison d'Abou Ghraib près de Baghdad tenue par l'armée américaine en Irak au moyen orient, dans l'aile de la partie dure du site pénitentiaire ou sont retenus les détenus de haute sécurité (membre de l'ancien régime, haut fonctionnaire, rebelles, terroristes, anciens militaires) ainsi que les femmes arrêtées et retenues par la coalition internationale. Voir des prisonniers gardés sans vêtements est une pratique courante et routinière qu'impose les gardiens américains conseillés par la police militaire et le ministère de la défense qui autorise et encourage les techniques d'interrogatoire musclés et la nudité forcée. 

Les hauts gradés ont entre autre donner pour consigne à leurs staff pénitentiaire de traiter les captifs "pire que des chiens".


Lorsqu'une femme arrive dans la prison, même si elles sont minoritaires, la procédure standard qu'on pratique sur les hommes leur est aussi imposée.


La prisonnière lorsqu'elle arrive dans le centre de détention doit  retirer tout ses vêtements, bijoux, effets personnel, chaussures, papiers, argent  etc. et se mettre complètement nue pour une fouille et une inspection de la tête aux pieds et des orifices intimes (les anus anus et les vagin sont minutieusement vérifiés ) avant d'être conduite dans une cellule ouverte et spartiate.


Yasmine, une femme de 28 ans, qui possède plusieurs petite commerce a été arrêtée et a passer plusieurs mois dans la prison affirme qu'aucune humiliation, aucune vexation ne lui a été épargner.


Elle témoigne que les gardes pour punir et le plus souvent par plaisir, pour le fun, ou pour se distrairent considérant les femmes comme des objets de divertissements.


Elle a été gardée nue avec d'autre prisonnières et totalement humiliée et dégradée par l'obligation de rester à poil en permanence et à la vue de tous en public sans rien pouvoir cacher avec l'interdiction stricte de tenter de dissimuler leurs seins, fesses, sexe sous peine de punition (privation ne nourriture, cachot, falaka etc.).


Les gardiens et gardiennes américaines qui ont pour habitude de voir des femmes arabes et musulmanes couverte et souvent intégralement voilées les détiennent totalement nues et pieds nus et les exhibe pour les soumettre et les remettre à leur place et les préparer à parler lors des interrogatoires.


Yasmine affirme n'avoir pas eu le droit ni la possibilité de se vêtir pendant quasiment toute sa période de détention comme la majorité des autres captives.




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Humiliation d'une prisonnière chrétienne en régime communiste.



De la nudité en prison.



Forcée d'être à poil et sévices.


vendredi 15 octobre 2021

Une femme séjourne dans une prison de soumission.

 

Bondage d'une femme prisonnière nue.
Une femme nue sanctionnée et fouettée en prison.

Une prisonnière politique maltraitée et humiliée.


"Lorsque je suis arrivée dans cette prison, les gardes m'ont tout de suite obligée a me mettre nue et privée de tout mes vêtements et effets personnels. J'avais l'interdiction de porter des vêtements, et  comme la plupart des autres prisonniers je suis nue en permanence.


Dans cette endroit s'habiller n'est pas un droit.


La discipline est très stricte, tout est fait pour soumettre les détenus à l'ordre en place et les dresser. Je devais faire des travaux forcés et des corvées, et pour un rien les surveillants peuvent nous punir et nous priver de nourriture et de toute hygiène élémentaires.


Nous avons aussi l'interdiction de parler sans autorisation sous peine de sanctions sévères.


Les punitions sont cruelles et perverses, les gardiens fouettent, donnent des fessées, des coups de martinet ou de paddle, pratique la falaka sur les pieds des prisonnières, imposent de longue exposition totalement nue en publique pour bien humilier etc.



Les cellules sont toutes petites et sans aucun confort."



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Nudité imposée et pudeur.



Nue en prison.



lundi 13 septembre 2021

Histoire BDSM : Des antivax kidnappent une infirmière vaccinatrice

Pilori et punition BDSM
Nue et au pilori !

Une infirmière pro vaccination mise au pilori humiliée par une bande d'opposant.



Lydia est infirmière, elle est jeune, 26 ans, plutôt sexy et bien foutue, elle exerce sa profession et en ce moment en période d'épidémie de Covid 19, l'une de ses missions et de participer aux opérations de vaccinations.


Un groupe radical  de militant antivax et anti pass sanitaire l'accuse de vacciner des gens. Ces activistes ont mener une opération punitive contre l'infirmière pour freiner la campagne d'immunisation.


La bande en fin de journée s'est introduite de force dans ce le centre de vaccination pour détruire les doses, la jeune femme était encore présente, les antivax l'ont saisie et emmener de force dans un van après l'avoir attachée et bâillonnée.


la jeune femme est ensuite conduite dans une maison isolée à la campagne, les ravisseurs ont déshabiller l'infirmière et mise totalement nue, ses vêtements ont été déchirés et découpés.


Pour l'humilier les militants ont mise au pilori la jeune femme toute nue. Lydia est très honteuse d'être exposée ainsi à poil dans ce truc digne du moyen âge.


les kidnappeurs se marrent de voir leur captive en situation embarrassante, ils n'hésitent pas à la tripoter, lui mettent des doigts dans les fesses et dans le cul, a lui coller des fessées, à lui pincer les tétons.


Les militants insultent l'infirmière et se moque d'elle et hurlent des slogans contre les laboratoires pharmaceutique.


Lydia sera finalement libérée après deux jours d'humiliations, elle a du faire une déclaration anti vaccin et critiquer Pfizer et Moderna.



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samedi 11 septembre 2021

Dressée et soumise au bizutage

 

Bizutage étudiant humiliant qui tourne mal et nudité
Écarter les fesses et exhiber le cul au bizutage.

Bizutage de rentrée.


Nadia est une étudiante de 22 ans qui vient d'intégrer une grande école de commerce. Comme toute les nouvelles arrivantes, elle est soumise à un bizutage sexuel de la part des anciens.


Lors de ce rituel traditionnel la pudeur et la modestie de l'étudiante est mise à mal. Les secondes années obligent les nouvelles à subir des mise à nue publique. 


C'est très humiliant pour une fille réservée, timide et bien élevée comme Nadia que de devoir retirer ses vêtements , tout bien sur, c'est la totale nudité qui est imposée, la bizutée doit retirer son string et ses chaussettes car c'est intégralement nue qu'il faut être.


La jeune fille doit s'exhiber et parader nue dans les couloirs de l'université et exposer son intimité et écarter les fesses pour qu'on puisse voir son anus quand un étudiant le souhaite.


Imaginez  ce que représente le fait de devoir écarter les fesses  pour exhiber son cul ?


La jeune femme est aussi exposée sur une estrade et les autres font des commentaires sur son corps nu et exposé et commenté par les autres.


Elle doit aussi recevoir une fessée jusque à ce que ses fesses deviennent rouges, se masturber prendre des poses obscènes, dire qu'elle est une pute soumise etc.



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A poil en publique au bizutage !



Pyramide de filles nues.

vendredi 3 septembre 2021

Fouille et retrait de la culotte de la prisonnière

 

Nudité imposée aux femmes dans l'unité de haute sécurité de la prison.
Le port de culotte est interdit en prison.

Obliger de se mettre nue en détention.

Nous sommes ici dans une prison de haute sécurité dans l'une des plus dures des Etats Unis qui accueille des détenus jugés dangereux ou de très haute importance : Des grands trafiquants d'armes ou de drogues, de terribles meurtrier, des terroristes internationaux, des espions étrangers, des hommes et femmes d'affaire corrompus, des personnes ingérables ailleurs s'étant déjà évader ou posant de gros problèmes de sécurité etc.


Ce centre de détention contient une unité ou les femmes sont gardées. Le règlement de la prison est très claire : le fait de porter des vêtements est interdit pour les détenus à l'intérieur de l'unité. 


Lors des sorties de l'unité  pour des visites ou des entretiens avec un avocat, ou pour un rendez vous médical, les prisonnières se voient exceptionnellement remettre des vêtements et avoir la possibilité de se vêtir.


Zora 26 ans, une jeune femme anciennement journaliste emprisonnée pour soupçons d'activité terrorisme en vertu de la loi de sécurité globale sur le "Patriot Act" a eu le droit de rencontrer un juriste pour faire le point sur sa situation. 


Pour cela l'administration pénitentiaire lui à remis des vêtements pour son entrevue.


Dans sa vie quotidienne la prisonnière ne montre aucun problème à être nue et ne montre aucunes pudeurs particulière et ne tente jamais de cacher son intimité.


Zora était très heureuse de pouvoir enfiler une culotte, un jean, un t shirt et des tongs.


Bien qu'elle s'est habituée à vivre complètement nue depuis 8 mois, lui ordonner à nouveau de se mettre en tenue d'Eve et mener cette mission à bien peut s'avérer risquée.


Lors de son retour vers sa cellule, conformément aux règles, les gardes disent à la prisonnière de se déshabiller. Si elle a défait ses tongs pour poser ses pieds nus sur le sol et enlever facilement son pantalon de jean et son haut. Elle a tenter de résister au retrait de la culotte.


Zora dit qu'elle veut garder sa culotte car elle a honte de montrer ses fesses et son vagin, que ce n'est pas décent et que ce n'est pas digne d'une personne respectable.


Les gardes rigolent et lui répondent que tout le monde a déjà vue des milliers de fois ses fesses, et même son anus de l'intérieur lors des inspections des orifices régulièrement pratiquées ici.


Zora prend un air de défi et dit "Et si je ne veux pas ?".



Un garde lui dit avec autorité  qu'elle sera en infraction et que la contrainte physique sera utilisée.



La prisonnière résignée accepte d'enlever sa culotte. Elle est en colère et hurle "Je suis toute nue et je m'en fiche ça ne me dérange pas !" en signe de défi.




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mercredi 1 septembre 2021

Des femmes séquestrées nues par un groupe criminel.

 

Kidnapper et humilier les femmes par des sadiques pervers
Torturées toute nue à l'électricité par une lesbienne sadique.

Des femmes kidnappées  nues, torturées et prises en otage.



Alice une jeune stagiaire  d'origine asiatique  de 22 ans dans une grande entreprise de pharmaceutique et sa responsable RH (ressources humaines), Claire, âgée de 29 ans ont été kidnappées par un gang à la sortie de leur travail vers 19 heures mardi dernier.


Les filles ont été capturées en un instant par les malfaiteurs qui les ont  très rapidement maitriser, ceinturer attacher et bâillonner avant de les jeter dans un fourgon pour les transporter dans une ferme isolée à la campagne pour les humilier et les torturer.


Les otages sont dressées pour obéir et perdre toute dignité. Les captives sont dépouillées de tout leurs vêtements et bijoux pour être gardée à poil et être humiliée, impuissantes et  totalement vulnérables à la merci des ravisseurs.


Les victimes sont retenues dans une ferme ou leurs geôliers viennent les tourmenter et leur faire subir plein de sévices de de dégradations.


Les filles doivent vite avouer tout les secrets de leurs entreprises et donner tout leurs contacts sous la torture électrique  sur les seins, les chattes, les pieds d'une lesbienne sadique qui prend du plaisir à maltraiter les prisonnières.



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dimanche 18 juillet 2021

Discipline et punitions humiliantes en prison

Nudité et chaines dans le cachot
Prisonnière nue en confinement solitaire.

Abus et sévices sur une prisonnière.


Dans l’univers des prisons pour femmes, il y a la fameuse prison militaire d’Abou Ghraib tenue par l’armée américaine pendant l’occupation d’un pays du moyen orient entre 2003 et 2011. Si le scandale révélé par les médias concerne des détenus hommes, des témoins ainsi que des documents d’enquêtes provenant de sources officielles et d’ONG rapporte le traitement subie par certaines femmes incarcérées 


L’équipe de gardiens militaires qui gère une section  du camp de prisonniers dans la partie dure du site où sont gardés les détenus de haute importance : Les personnes importantes de l’ancien régime, les suspects d’acte de terrorisme anti américains, personnes accusées de faire partie de la rébellion etc. 


Ces personnes sont retenues de façon arbitraire et préventive sans forcément avoir de chef d’inculpation et dans limitation de temps. De plus beaucoup sont gardées secrètement et sans respect des droits de La défense.


Les gardes sont en général des gens assez simple et peu formés issue de la campagne américaine. Les responsables de la police militaire de du renseignement leur ont donner pour consigne de traiter les prisonniers comme des chiens, de les humilier, déshabiller, maltraiter dans le but de les préparer et ramollir pour les interrogatoires et faire régner une discipline de fer et maintenir l’ordre.


Lorsque une prisonnière connue sous le pseudonyme de Sabrina est arrivée, elle est suspectée de soutenir la résistance et de détenir des informations importantes.


Les gardes appliquent la procédure voulue par les autorités militaires.


La prisonnière reçoit l’ordre de se déshabiller complètement lors de son arrivée sur le site. L’usage veut que la personne privée de liberté remette ses affaires, effets personnels et vêtements aux gardiens pour la fouille (strip search) dans le but de rechercher des objets de contrebandes, dangereux ou illégaux. Et de retirer les vêtements civils et remettre un uniforme orange de prisonniers.


Sabrina est forcée de retirer ses vêtements devant des gardes hommes et sans aucune protection du regard des passants car les fouilles par manque de moyen et de place se déroulent dans des circonstances peu respectueuses de l’intimité et pudeur.


Sabrina a tenter de négocier pour avoir la possibilité de conserver sa culotte, mais les militaires ont refusé. Résignée la détenue a laissé tomber son sous vêtements sur ses chevilles et l'offre aux gardes.

Pour une femme pieuse, pudique, respectable et bien élevée habituée à être toujours bien couverte et habillée m, devoir enlever ses vêtements et se retrouver à poil en public sous le regard attentif et curieux des gardiens.

La détenue est inspectée par une femme soldate de la tête aux orteils. L’anus et de vagin de la détenue sont minutieusement contrôlés.


Les fouilles à nus sont une pratique routinière et les détenus doivent s'y soumettre obligatoirement et donc se déshabiller publiquement sans pudeur ni intimité. La prisonnière est exposée à poil en public sans aucun respect pour ses moeurs et sa modestie.


Ensuite, après cette terrible épreuve,  Sabrina se voit remettre une tenue orange de prisonnière sans sous vêtements, interdit et elle est contrainte de rester pieds nus. C’est déshumanisant de devoir porter une tenue aussi impersonnel. De plus qu'elle est constamment enchainée aux pieds et aux poignets.


Elle est ensuite conduite dans une petite cellule équipée d’un ban et de toilettes turques et d’une mini fenêtre sans rien d’autre.


La prisonnière est soumis à une discipline très stricte et le moindre écart de conduite peut être durement sanctionné; en particulier par une punition qui consiste à placer la prisonnière en confinement solitaire pendant plusieurs jours dans des conditions très difficiles.


Sabrina a passer 9 jours au cachot pour avoir tenter de se masturber sous la douche. La jeune femme a du se mettre toute nue et ôter son uniforme avant d'être attachée à poil dans un petit trou en ayant la chatte exposée. C'est très inconfortable et humiliante d'être tenue en bondage dans cette position dégradante.


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Nudité obligatoire.


Dans une prison américaine.






dimanche 27 juin 2021

Une femme nue en prison

 

Nudité forcée et enchaînée en permanence pendant sa détention.
Une femme prisonnière nue et enchaînée devant son gardien et son avocate.

Prisonnière gardée en régime confinement solitaire.


Une avocate affirme avoir pu rencontrer sa cliente détenue au secret et sans aucunes charges officielles pendant pendant plusieurs mois dans une prison militaire gérée par les services de renseignement.

La cliente, connue sous le pseudonyme de Fahima  est brune âgée d’environ 30 ans, sa famille à lancer plusieurs appels pour la retrouver après qu’une patrouille l’ait arrêtée pendant une opération de ratissage dans son quartier. 

Les militaires américains arrêtent régulièrement des individus dont parfois des femmes sous prétexte de lutte contre le terrorisme, le narco trafic, soutient a des mouvements rebelles hostile aux intérêts Us, etc.

La loi dite du « Patriot Act » autorise l’administration américaine à détenir sans charge toute personne suspecter des crimes cités ci dessus.  

Fahima est considérée comme une détenue de haute valeur du fait qu’elle soit une jeune et brillante scientifique qui travaille à l’université et qui détient  potentiellement des informations sur le programme militaire nucléaire ou chimique  supposé de l’ancien régime chassé par les troupes US. Elle est susceptible aussi d’être en liens avec d’anciens dignitaires en fuite et peut être même de soutenir l’insurrection armée.

Pour la retrouver sa famille a fait appelle à des organisations de défenses des droits de l’homme et à des juristes spécialisés. Après un travail de longue haleine il a été possible de retrouver sa trace. La jeune femme est passée par plusieurs centres de détention secret avant d’atterrir dans la partie consacrée aux “détenus sensibles” de la partie dure du site de la prison sous contrôle US à Abou Ghraib.

Il n’a pas non plus était simple de pouvoir prendre contacte avec elle et de lui obtenir un avocat du fait du peu de coopération des autorités pénitentiaires.

Après plusieurs mois, une jeune avocate a pu visiter la prisonnière et s’entretenir brièvement avec elle.

Le témoignage de l’avocate est édifiant. 

“Ma cliente vit isolée du reste du monde depuis plus de 6 mois, elle n’a jamais pu passer de coup de téléphone, ni envoyer aucune lettre, ni contacter le moindre avocat. Aucune informations  sur des droits ne lui a été signifié, pas plus que les raisons qui justifie sa privation de liberté.

Elle est enfermée dans une petit cellule de deux mètres sur trois souvent plus de 23 heures par jours. Sans aucun confort. Elle dort sur un ban avec une petite natte . Elle dispose de toilettes turques,  c’est à dire un petit trou dans le sol pour faire ses besoins naturels avec deux reposes pieds. Elle dispose aussi d’un robinet qui ne fonctionne pas toujours.


Ma cliente se voit remettre chaque mois une petite trousse de toilette avec un savon, une brosse à dent et du dentifrice et parfois une serviette. Aucun autres objets n’est autorisés.


Elle reçoit deux repas par jours souvent très simple ( riz, poulet, œufs, bananes ...) et une bouteille de deux litres.


Elle a le droit à deux douches par semaine et a sortir une heure par jours de sa cellule pour se dégourdir les jambes, en général des surveillants l’amène dans une petite court de 8 mètres sur 8 pour y faire de l’exercice et prendre l’air.


Tout ceci est déjà très difficile à vivre et oppressif, mais le plus choquant est de savoir que ma cliente ne porte aucun vêtements et est gardée nue tout le temps.


Dans l’aile de la prison où ma cliente est retenue, les prisonniers doivent être en permanence complètement nus. La seule chose que porte ma cliente sont des chaînes et des menottes.


Les seules occasions ou un prisonnier peut se voir remette des vêtements c’est lors qu’il sort de l’unité d’isolement pour consulter un médecin, rencontrer un avocat ou un membre de sa famille lors d’une visite.


C’est très rare, en 6 mois ma cliente n’est sortie que deux fois de l’unité, une fois pour une visite médicale et une seconde fois pour un bref entretien avec moi.


Une culotte blanche et un t shirt orange de prisonniers ont été remis à Fahima. Par contre on ne lui a pas fourni de quoi couvrir ses pieds. Il n’y a pas de tongs en stock.  La prisonnière doit marcher pieds nus tout le temps.


Elle avait du enlever sa culotte et son t shirt devant le médecin.


L’administration justifie le fait de garder les prisonniers sans vêtements pour diverses raisons : C’est une prison de haute sécurité et garder les détenus nus les rend plus facile à contrôler et limite le risque d’évasion. C’est aussi un moyen de les rabaisser et de les rendre plus dociles et coopératifs, surtout en vue des interrogatoires. C’est même pour beaucoup d’interrogateurs un moyen très facile et efficace pour faire parler les suspects.


 Il n’y pas assez  d’uniforme de prisonnier. C’est tellement habituelle pour les gardiens que beaucoup considèrent que l’uniforme d’un prisonnier c’est d’être à poil.


En tout cas malgré mes protestations les autorités ont refuser le droit à ma cliente de porter des vêtements.



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mardi 15 juin 2021

Humiliée lors de l'arrestation

 

Nue et dégrade en garde à vue
Femme nue allongée et menottée les mains dans le dos  par la police.

Dans les locaux du commissariat central, les suspectes sont misent nues et rabaissées.


Nos enquêteurs s'attardent aujourd'hui sur la situation dans certains postes de police de banlieue parisienne ou les femmes placée en garde à vue sont fouillées entièrement nues et souvent laisser à poil plusieurs heures par les flics.


Plusieurs jeunes femmes parlent de harcèlement et d'abus policier et se plaignent d'avoir été arrêtée pour rien du tout et retenue plusieurs heures par les policiers du quartier.


Nous avons le cas de d'Inaya une jeune fille d'origine marocaine de 22 ans, arrêtée pour outrage à agent, et mise en garde à vue de façon totalement arbitraire. 


La jeune femme a été contrainte de se déshabiller complètement,  y compris de  retirer sa culotte, ses chaussettes et son soutien gorge pour une fouille à corps. 


Elle a du exposer ses seins nus, sa chatte, son cul devant des agents de police hommes et femmes; puis les flics l'ont menottées et l'ont laissée à poil allongée sur le sol pendant plusieurs heures à la vue de tous.


Le commissaire affirme que la suspecte avait un comportement étranger et que l'équipe a préférer lui confisquer toutes ses affaires pour des raisons de sécurité et l'a garder menottée. Le tribunal à donner raison à la police suite aux plaintes des suspectes.


Liens :


Strip search naked.


Polémique sur les fouilles à nue en garde à vue.



lundi 17 mai 2021

Soumise exposée nue et humiliée.

 

Femme soumise nue dans une villa
Soumise nue en bondage attachée à un arbre.

Règles pour traiter une esclave soumise.


Dans les grandes Et riches familles de grand propriétaire terriens, l’esclavage même s’il est officiellement aboli persiste encore.


Les plus fortunés grace au pouvoir de l’argent peuvent recruter des jeunes femmes issues de milieux plus modestes et en faire des soumises et des servantes.


Une famille bourgeoise du sud de la France a ouvert les portes d’une de ses villas à certains journalistes pour leur expliquer Le conception des rapports entre les différentes classes sociales basées sur l’ordre, autorité et la soumission des inférieurs.


Dans cette famille de milliardaires, des jeunes femmes de milieux modestes sont recrutées ( dans la classe ouvrière, les banlieues françaises, parmi les migrantes) pour servir d’esclaves sexuellement dominés pour les gens de l’élite.


Lors de la visite du domaine nous avons directement remarqué qu’une jeune femme de 25 ans de type beurette était attachée et exposée toute nue à un arbre (palmiers) à côté de la piscine. 


C’est Sonia, une Française d’origine maghrébine (Maroc) qui est la depuis un mois. Du fait de la situation économique catastrophique à cause de la mauvaise gestion et de la pandémie de coronavirus, la jeune femme n’a pas eu d’autres choix que d’accepter d’être la servante de cette famille. 


La pauvreté et la galère ont forcer cette beurette à devenir une soumise et d’accepter des règles humiliantes.


1/Nudité.

Tout d’abord la soumise n’a pas le droit de porter de vêtements ou de chaussures sur la propriété de ses maîtres et maîtresses. Elle doit rester nue et pieds nus en permanence. La nudité lui rappelle en permanence sa place d’esclave et qu’elle est au plus bas de l’échelle sociale.

2/ Perte d’identité.

La soumise doit appeler les résidents de la villa et doit  visiteurs par des titres du type « Maître » « Maîtresse », et la soumise elle n’a plus de nom ni de prénom. Elle est appelée « esclave », « pute », « chienne » etc. La jeune femme n’a pas non plus le droit de dire « Je » et doit parler d’elle comme une esclave et un numéro.


Elle a pour consignes aussi de  baisser la tête et à l’interdiction de parler sans autorisation.


3/ Humiliation permanente.

Sonia doit être rabaissée et humiliée tout le temps. Elle doit exposer son intimité à tout le monde sans aucune pudeur ni respect, prendre des positions de soumission dégradantes comme se mettre à genoux, écarter ses fesses et ouvrir l’anus, se masturber en public et avoir un orgasme pour divertir les gens. 


Elle doit aussi faire ses besoins naturellement en public faire caca toute nue devant les gens qui la regarde est très difficile et terriblement dégradant les premières fois mais c’est un traitement digne d’un animal. Lorsque on promène son chien ce dernier pisse et chit partout dans se soucier du regard des autres, alors pourquoi est ce qu’une soumise aurait elle plus de droit qu’un chien ? 


Rester  à poil devant les gens habillés, et se faire baiser à volonté par n’importe qui, sucer des bites, lécher des chattes et des pieds. 


Liens : 


Exploitation des femmes pauvres.


samedi 15 mai 2021

Rapport de visite en Prison.

Femme prisonnière nue en cellule
Femme nue dans sa cellule de confinement solitaire.


L’inspecteur des prisons : visite à Abou Ghabir au moyen orient.

Histoire Bdsm.

Nous sommes en  semaine durant le mois de juillet 2004 dans une prison tenue par l’armée américaine dans un pays du moyen orient. L’inspecteur des prisons est un juriste expérimenté qui travaille pour une organisation internationale de défense des droits de l’homme et qui est chargé de rendre visite à une femme, Sabrina L, elle est âgée  d’une trentaine d’année et elle est  détenue depuis plusieurs mois pour des soupçons de soutien à l’insurrection et ses liens avec l’ancien régime.

Les autorités américaines ont autorisé l’inspecteur à venir visiter la prisonnière sur pression de ses avocats.


La visite commence tôt le matin vers 06h peu après le levé du soleil. Les gardes en treillis militaires et rangers accompagnent le visiteur qui est en costard cravate. Ils se rendent dans une petite cellule de 3 mètres sur 4 , ce qui est un "luxe" ici dans cette vétuste prison.


La visite

La première chose qu’on remarque lors qu’on arrive à la cellule de la détenue c’est qu’elle  est totalement vide et ne contient qu'une couchette surélevée et des toilettes "turques". Aucun autres objets quelques soit sa nature n'est permis dans cette section. Les gardiens  peuvent être des hommes comme des  femmes et on notera aussi la présence de fonctionnaires et les contractuels (mercenaires) travaillant sur place.

Sabrina est encore somnolente, elle a 30 ans. Elle mesure 1.70m pour environs 55 kilos, elle est très sexy, la peau mate , des fesses épaisses et des hanches larges et une petite poitrine naturelle. 

Elle  est un peu musclée. Sa peau est légèrement bronzée et elle a de long cheveux noirs. Elle est là depuis deux à trois mois.

Elle est une femme orientale  très éduquée, elle était cadre dans le ministère de l’économie avant sont arrestation, ce qui l'a rend importante au regard des autorités qui l'a maintienne en détention pour une durée indéterminée.

Les cliquetis de la clé ouvrant sa cellule l'a réveille. La prisonnière est nue, les pieds nus (et ici ses plantes de pieds sont noircies par la poussière et la crasse accumulés lorsqu'elle marche sur le sol pas très propre.). Elle est allongée nue sur le dos par les chevilles et les poignets sur sa banquette. Exposée totalement à poil sans aucune pudeur à la vue de ceux qui rentre dans sa cellule, ses premières semaines ont été très difficile puis elle s'est habituée. 

Sabrina comme une bonne partie des personnes privées de liberté ici sont gardés  sans aucun vêtements, c'est une section d'isolement en sécurité maximum car c'est un théâtre de guerre, les moyens manques cruellement, il n'y a que très peu d'uniforme, les rares sont donnés aux détenus coopératifs masculin, les uniforme féminin ne sont pas prévue du fait du nombre limitée de femmes. L'équipe d'interrogateurs de la police militaire et de la CIA recommande la nudité pour ramollir les détenus et les rendre plus dociles. Et pour l'équipe de surveillants, c'est bien plus sur et sécurisé  de garder les prisonniers nus. Ici savoir que les captifs sont nus ne choque personne, c’est tout à fait banal et les gardes s’y sont vite habitués.


Sabrina est une détenue jugée sensibles et de haute importance. Elle n'est pas soumise aux interrogatoires violents, mais elle doit être sous surveillance étroite 24h sur 24, elle est toujours sous contrainte la nuit, et elle doit toujours être sous la surveillance d'un garde lors de ses activités.

Les entraves de la prisonnière  lui son retirer et elle doit se lever et se mettre au garde à vous et se voit remettre son petit déjeuner. C'est un traitement de VIP peu représentatif du reste qui lui est réservé. Certes ce n'est pas de la haute gastronomie, mais elle est aussi bien nourrie que les soldats. Elle a le droit à un plateau avec une assiette de poulet frit avec du riz et quelques légumes, une banane, et un verre d'eau bien frais.

Elle est observée par une surveillante à chacun de ses geste, et il y a parfois des fonctionnaires masculins qui regardent. L'américaine chargée de la contrôler est assez froide et stricte et fait son boulot sans état d'âmes.

Sabrina  doit  tout manger devant elle, quand elle a finie, elle doit poser le plateau repas à l'entré et se mettre contre le mur les mains sur la tête pendant que la gardienne ramasse l'objet.

Ensuite elle doit se mettre devant la porte, mains sur la tête et attendre les ordres.


Elle doit bouger ses cheveux, ouvrir grandement la bouche, et surtout se soumettre à une inspection humiliantes des cavités intimes. 

La jeune femme  qui parle parfaitement l'anglais demande à la surveillante "Est ce que je peux vous montrer ma chatte et mon cul de façon plus  plus discrète ? car n'importe qui peut circuler dans le couloir et me voir dans cette situation embrassante et je ne veux pas que des hommes puissent me voir ainsi.".

La surveillante lui répond "Ne sois pas ridicule, les gardes et les contractuels voient ta chatte tout le temps car tu vis toute nue depuis plusieurs mois".

Sabrina le sait, mais devoir montrer son intimité sur commande elle trouve ça dégradant et se sent comme un animal au zoo. 

Les hommes passant par là (souvent par coïncidence la fréquentation de cette zone augmente lors des heures des inspections et des fouilles des prisonnières) s'arrêtent et ont des débuts d'érection.

"Allez c'est un ordre, dernier avertissement" dit la surveillante en uniforme militaire.

Résignée, la prisonnière prend sur elle même  se penche et écarte ses jambes pour exposer son anus rose , c'est toujours difficile à vivre que de sentir le souffle d'un gardien équipé d'une lampe vous regardez le fond des entrailles et vous faire tousser en ayant vos fesses écartées au maximum.

Puis elle doit écarter encore plus les jambes, ce matin elle est tombée, car ses pieds nus on glissés pendant l'opération, rien de mal, aucune blessure, mais les hommes qui passaient par là ont bien rigoler en l'a voyant se ramasser par terre toute nue et se relever pour reprendre sa position indécente et écarter le plus possible ses lèvres devant la gardienne, qui remarque quelques traces humide et suspect émanant du sexe de la détenue.


Sabrina avant d'être emprisonnée par les américains a entendu parler de rumeurs comme quoi les militaires humiliaient et maltraitaient les prisonniers  qu'ils détiennent, mais elle n'y a pas cru. Elle ne subie d'ailleurs aucun mauvais traitements et n'a jamais reçu le moindre coup ni la moindre insultes. 

A son  arrivée en décembre 2003, elle est soumise au processus habituel pratiqué à la section d'isolement de cette prison. Elle est accueillie et informée par le staff  qu'elle sera traitée selon les convention de Genève. Puis elle est enregistrée administrativement, ses papiers d'identité, biens, bijoux et effets personnels ont été placés sous scellés dans des cartons, ses empruntes digitales, et de sa salive pour identifier son ADN on été prélevés. Un numéro d'identifiant de prisonnier lui à aussi été délivré.

Ensuite elle a été déshabiller pour la fouille (strip search) obligatoire avant tout mouvement dans la division.

Lors qu'elle entendait parler des rumeurs de nudités forcés imposer aux arabes retenus par les américains, bien que choquée, elle imaginait bien la honte, l'humiliation que d'être dénudé en publique représentait pour les victimes, mais elle se voyait dans ses fantasmes,  elle, une femme pieuse, respectables et honorable être obliger d'être de se déshabiller devant des étrangers, que les autres puissent voir son sexe, ses gros seins à l'air, ses fesses, ses pieds, ses cheveux ... 


Pour elle qui hors de ses voyages à l'étrangers, dans des pays occidentaux ou en Asie doit être couverte de la tête aux pieds et cacher la moindre parcelle de son corps aux hommes. La nudité était un de ses fantasmes qui hantait ses nuits,

Le premier déshabillage n'est jamais facile surtout pour une personne ayant des tabou religieux et culturels important comme elle.  Lors de ses premiers jours elle était honteuse et obsédée par sa nudité. Les gardiennes s'amusent de la gêne et de la honte que ressent la prisonnière.

Lors des restrictions, que la détenue  déteste, elle est allongées et attachée solidement sur un lit ou une civière sans pouvoir bouger, nue bien sur et les jambes assez écartées pour que l'on puisse tout voir. Pour une femme comme elle c'est l'une des choses les plus dégradantes.

La nudité est difficile à supporter surtout que l'humiliation fait beaucoup mouiller Sabrina, les gardes le savent et en profitent souvent pour la mettre dans l’embarras ou pour la regarder se masturber.

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Car disons le franchement, cette prisonnière s'ennuie,  même si elle a accès a quelques livres, a une heure de sortie par jours, la possibilité de faire un peu de sport, et être toute nue stimule beaucoup sa libido et l’ennui la pousse  à se masturber.

Sa chatte est toujours humide lors des inspections, et la surveillante lui donne parfois quelques tapes sur le clitoris pour mieux l'excitée.


Après le petit déjeuner et l'inspection, la prisonnière a le droit à une heure de "sortie" ou elle est libre de menottes et de chaines et libre de ses mouvement et peut prendre l'air. Un petit enclos de 10 mètres sur 10 est dédiés aux prisonniers en isolement pour leur permettre de bouger un peu. Le climat est très chaud et le soleil tape fort dès le matin, l'heure à été choisie car une partie de l'enclos et au soleil et l'autre à l'ombre.

Sabrina  est contrainte de mettre des menottes et est enchainée par les chevilles pour le transfert dans la "cours". Elle est escortée toute nue, la cours étant partie intégrante du secteur d'isolement de la prison, il est contraire au règlement de lui fournir des vêtements pour les déplacements internes à l'unité. Car l'uniforme ici c'est la tenue de naissance.

C'est assez marrant pour les gardes de faire marcher une femme sexu  comme elle dans les couloirs. Elle a très mal pris  ces obligations de parader nue hors de sa cellule dans les couloirs de la prison  durant les premières semaines, comme  le fait de devoir aller à la douche ou dans la court de promenade  à poil et à plusieurs fois refuser d'y aller. 

Elle disait dans un anglais parfait  "Vous ne pouvez pas me faire subir ça ! je ne veux pas marcher les fesses à l'air devant tout le monde et les seins exposée devant tout le monde Donnez moi des habits  !"

Mais le staff pénitencier ne transige pas avec les règles et n'a que faire de ses humeurs.

L'equipe est assez dirons nous assez taquine et certains prennent un malin plaisir à utiliser la nudité de Sabrina  pour lui causer encore plus de gêne et de honte. Sous prétexte de perquisitionner sa cellule, la détenue a été sortie de sa cellule pour être conduite dans une pièce ouverte ou tout passants peu la voir en tenue d'Eve.

Faire parader toute nue une femme et faire plein de remarques et commentaires salaces sur son corps fait rire et amusent le personnel du camp.


Elle s'est petit à petit habituée à être sans aucun vêtements. Elle marche désormais tranquillement et la nudité lui paraît tellement naturel qu'elle est conduite à la récréation sans soucis.


Une fois dans la cours, ses menottes et chaines sont défaites, et elle est libre de ses mouvements, elle court un peu pour se décrasser les jambes, puis elle fait quelques séries de squats, des exercices de mouvement de bassins, d'épaules, puis elle pratique des étirements.

Puis elle se met à danser nue, comme si elle était toute seule, les surveillantes savent que ce comportement est suspect, car lors de ses mouvements, ses mains se rapprochent dangereusement de sa poitrine et de son vagin. 

Ensuite elle est conduite à la salle de douche. Elle est particulièrement surveillée pour soupçons de masturbation lorsqu'elle se lave. La douche est codifiée et la prisonnière  doit suivre le protocole.

Elle commence par se mouiller tout le corps, et se frotter un peu partout, puis après une ou deux minutes elle prend un carré de savon et se lave les seins, bien sous les aisselles, le ventre et le nombril, puis elle passe aux jambes et aux pieds, elle se nettoie bien les plantes et entre les orteils.


Puis elle doit passer au cul, et bien passer le savon entre ses fesses pour le faire mousser,  puis frotter pour que tout soit propre. Puis elle doit se laver la zone du vagin, qu'elle doit d'abord savonner pour qu'il y est plein de mousse, 

Puis avec le savon elle doit écarter les jambes et passer le savons partout et le faire légèrement rentrer pour bien purifier le clitoris et tout les plis de sa chatte. 

Une fois cette opération terminée, elle est invitée à se sécher et replacer en cellule.


Au alentours de 14h, deux gardes viennent chercher la détenue. Elles amènent une culotte, un haut d'uniforme de prisonnier jaune/orange et une paire de tong en caoutchouc. 

"Tiens enfile ça prisonnière, il te faut une tenue décente pour ton audience devant ton avocat , tu va voyager un peu aujourd'hui, ça te changera un peu de ton train train habituel "  lui dit une surveillante en lui tendant l'ensemble plié.

Sabrina demande "Qu'est ce que c'est ?"

"Une tenue pour circuler hors de la section d’isolement pour un entretien avec l’inspecteur des prisons.

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La jeune  inspecte les tissus et demande "Y a t'il une robe aussi et un foulard ?"


"Non pas aujourd'hui, nous n'en avons pas en réserve, enfile ça qu'on y aille."

"J'aurai besoin d'un pantalon c'est trop court comme tenue pour moi" redemande la captive.

"Nous n'avons que ça à te donner comme vêtements, c'est la tenue de prisonnières standard des prisonnières de l'armée américaine dans les pays et région chaude."

Elle met donc  la culotte, puis le haut avant d'enfiler les claquettes, les gardiennes lui mettent des chaines aux pieds et des menottes dans le dos.


La prisonnière  a de trop grosse fesses et elle est un peu serrée dans sa tenue moulante, elle se demande si être promenée toute nue n'est pas mieux ... 


Elle est toujours gênée d'être en petite culotte, mais c'est toujours mieux que les obligations de parader à poil  auxquelles elle  soumise la plupart du temps.

L'un des gardes lui met ensuite les menottes dans le dos et lui met des chaînes aux chevilles. 

Sabrina  est conduite manu militari vers une autre partie de la prison pour l’entretien. Lors de la sortie du secteur d'isolement, et donc son passage sous la  responsabilité de l’inspecteur. Il décide de lui faire retirer ses chaînes et menottes. Elle le remercie en anglais et  lui demande si elle peut avoir une robe ou un pantalon et se couvrir la tête pour rencontrer son avocat. 

Hors de la section d’isolement le staff est plus amical avec les prisonniers et après deux minutes d’attente une soldate US à accepter de lui prêter une robe, certes c'est pas une robe arabe, mais Sabrina l'a prend quand même, et je lui donne une casquette car impossible de trouver un foulard en quelques minutes.
Elle le remercie même si il ne peut pas faire beaucoup plus pour elle. Ce qui est sûr c’est que le ministère de La Défense et la direction de la prison seront prévenus de la situation.



L’entretien avec son avocat dure seulement 10 minutes quasiment chronométré et en présence d'un membre de la police militaire. Ensuite elle doit retourné en cellules.

Le règlement est très dur en isolement, Sabrina  a encore été obligée de retirer ses vêtements devant des hommes et des femmes.
Lorsque l’inspecteur a 
 raccompagné  la prisonnière,  , deux gardes l'ont prise et escorter jusqu'à sa cellule, ou ils se sont arrêtés en face. Elle reçut l'ordre de rester immobile face au mur pendant que ses chaînes et menottes lui sont ôtées.


Les surveillants lui donnent pour consigne de se déshabiller en anglais et dans un Arabe approximatif.

Les déshabillages se font toujours dans les couloirs et en public, jamais dans les cellules dansce secteur.


Elle défait les tongs et pose ses petits pieds nus  sur le sol de façon gracieuse. Elle est comme beaucoup de femmes des pays chaud tout le temps pieds nus et prend très soin de ses petons.

Elle remet aux gardes sa casquette pour découvrir sa belle chevelure noire.
Résignée, elle enlève ensuite la robe qu'on lui avait offerte et apparaît en petite culotte devant les gardes exposant ses seins ronds et bien tendus .

"La culotte, allez donne là !" Dit le garde en haussant le ton tout en restant ferme, mais non-violent.
La jeune femme  prend une voix mignonne et suppliante pour demander dans un Anglais "please" S'il vous plaît, je voudrais garder la culotte, je vous promets que je ne cache rien".

Tu connais les règles ic, n'y vois rien de personnel, mais ici les détenus n'ont pas le droit de porter de vêtements en cellule. Tu aura droit à la culotte et au t-shirt essentiellement quand tu en sort.

Le garde ajoute que les hommes et les femmes qui arrivent ici sont tous soumis aux mêmes règles édictées par l'armée américaine. Les quelques femmes ici n'ont pas de vêtement. Alors donne nous cette culotte.

La prisonnière , résignée, baisse sa culotte et l'a laisse tomber à ses pieds, toute rouge et en colère elle donne un coup de pied dans sa culotte qui s'envole dans le couloir. "Voilà je suis toute nue vous êtes content !?" hurle t'elle.


Sabrina  se tient devant les gardes à poil, provocante avec un air de défiance, l'air de dire qu'elle s'en fiche et qu'elle n'a rien à cacher.

Les gardes procèdent à une brève fouille en lui faisant ouvrir la bouche et regarder à l'intérieur avec une lumière, remuer les orteils, ils l'a font s'accroupir tousser et écarter les fesses devant eux. 

Nudité forcée et enfermement dans une petite cage
Prisonnière nue dans une cage.


Liens : 


Prison de haute sécurité.


Ça

Cambriolage par des perverses lesbiennes.

 

Nue et soumise lors d’un cambriolage bdsm
Blonde soumise est humiliée par des lesbiennes dominantes.

Le nouveau type de cambriolage par des gangs de lesbiennes.


L’une des nouveautés est l’apparition d’un gang de femmes lesbiennes qui pratiquent des cambriolages très particulier : ces délinquantes ne se contentent pas de simplement voler les gens et leur dérober leurs biens : elles exploitent sexuellement leurs victimes pendant plusieurs heures avant de disparaître.


Les victimes sont en générale des jeunes femmes qui vivent seules âgées entre 20 et 40 ans de toutes origines et de toute confession qui vivent dans des maisons de quartiers résidentiels.


Les jeunes filles sont généralement surprises chez elles et rapidement ceinturées et maîtrisées. Les ravisseuses sont de très bonne lutteuses et combattantes d’après les témoignages de qui laissent que peu de chance aux femmes de se défendre.


Sarah, une jeune femme blonde de 28 ans en a fait la triste expérience. Les délinquantes l’ont dompter et malgré ses tentatives pour résister et ses débats, elles l’ont dominé et mise totalement nue !!!


Elles lui ont même retirés ses chaussettes pour la mettre pieds nus !


Une fois la victime à poil les lesbiennes lui impose des tas de petits sévices sexuels comme l’obliger à danser toute nue sous leurs rires moqueurs. L’a faire marcher à quatre pattes comme une chienne en dog training, lui donner des fessés et lui frapper et claquer les seins en lui tordant les tétons.


Une fois bien excitées les dominantes doigtent et introduisent des doigts dans le cul de leur soumise blonde.


La blonde est aussi obligée de lécher les orteils de ses maîtresses, de leur lécher l’anus et la charte longtemps jusque à ce qu’elles soient satisfaites.

Humiliation d’une femme lors d’un cambriolage qui tourne mal
Capture nue d’une soumise blonde aux gros seins.





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vendredi 14 mai 2021

Préparation aux interrogatoires musclés en prison

 

Femme prisonnière nue et exhibée
Femme exposée nue dans les couloirs de la prison en guise de punition.

Nudité forcée et humiliation en prison.


Durant les années 2000 à 2010 les Etats Unis au nom de la lutte contre le terrorisme et la promotion de la démocratie et des droits de l'homme ont mener plusieurs guerres sur plusieurs front et avec la loi appelée "Patriot Act" qui permet aux forces américaines (armée et renseignement) de détenir des personnes hors de tout cadre légale et sans respecter les conventions de Genève.


Le président et le  secrétaire d'état à la défense ont autorisé les des techniques d'interrogatoires comportant des  méthodes de coercitions physiques et psychologiques dont certaines sont considérées comme formes de tortures et des sévices infamants. Ces moyens sont utilisés contre les personnes considérée comme ayant une valeur  en terme de renseignement et sont applique de façon systématique.


Zahia, environs 30 ans, une femme d'affaire proche du régime de l'ancien dictateur renversée par les Etats Unis dans un pays du moyen orient a passée 6 mois en détention dans une prison militaire entre les mains des américains avant d'être libérée.


Elle affirme avoir été victimes d'abus et d'humiliations durant cette période.


"Lorsque nous arrivons après plusieurs heures de voyage dans des fourgons militaires sur le site dure de la prison d'Abou Ghraib, nous sommes avec une cagoule sur la tête  et menottés, ils nous conduisent dans une grande salle ou nous devons nous déshabiller, c'est encore pire pour nous les femmes car on nous apprend l'importance de la modestie et de la pudeur dans notre culture, et eux nous déshabille en public. On se retrouve dépouiller de tous nos vêtements et ils nous fouille vraiment partout même juste entre nos orteils et dans nos anus et vagin avec des chiens qui nous reniflent le derrière !".


L'ancienne prisonnière se rappel de la honte ressentie la première fois : "Sans vêtements, sans rien du tout pour cacher nos corps, ils nous humilie et rigolent de nous savoir ainsi honteuses et vulnérables".


Elle continue "Ensuite nous devons marcher et défiler nues jusque dans nos cellules, c'est très choquant de devoir parader à poil devant le staff de la prison (gardien, membre de l'administration et de la police militaire) autres prisonniers hommes et femmes qui sont pour l'immense majorité d'entre eux gardés nus. Les américains disent qu'il fait chaud alors il n'y a pas besoin de porter des vêtements, et que de toute façon ils n'ont pas beaucoup d'uniforme de prisonnier."


Zahia ajoute "Les cellules sont en béton et totalement vides et sans lumières".


"La journée pour m'humilier ils m'ont attachée pendant plusieurs heures totalement nue sur le poteau au milieu du couloir de la prison  dans des positions dégradantes et exposée à la vue de tous".


C'est en général le processus utilisé par les autorités de l'armée pour préparer et ramollir les détenus en attendant les interrogatoires.


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La prison des soumises.


Nudité et pressions psychologiques.




mardi 4 mai 2021

La prison des soumises nues

 

Nudité et confinement solitaire.
Groupe de prisonnières nues en confinement solitaire.

Prison de la soumission BDSM.


Depuis les années 2000, les grandes puissances ont pris quelques décisions entre elle, hors du cadre de l'ONU et des conventions de Genève pour répondre aux problématiques géopolitique du 21 émetteur siècle. Pour ne jamais être considéré comme des Etats pratiquant la torture tout en s'évitant de respecter certaines normes du droit international. Les grandes puissances, au lieu de jouer chacune de leur coté ont décider de mettre en commun certains moyens pour détenir des opposants, criminels, terroristes et trafiquants  de drogue et d'armes internationaux. La Chine, l'Angleterre, l'Iran, les Etats Unis, la Russie, le Brésil, le Mexique, l'Afrique du sud, l'Arabie Saoudite et la France ont décider d'un pacte de détention secret. 


De multiples prison secrètes sont donc créer dans le cadre de ce projet, dont une qui est réservée pour les femmes. On trouve de ces prisons en général dans des pays africains, d'Amérique Latine ou des pays arabes pour des raisons de discrétion. Ces camps de détention sont tenus dans des régions isolés et discrètes pour éviter que des journalistes curieux viennent s'y mêler. C'est pour éviter de nouveaux scandales qui peuvent porter atteinte à l'image de certains pays comme les affaires autour de Guantanamo, Abou Ghraib, camps chinois, goulags communistes etc. C'est une nouvelle forme de solidarité internationale.


Les prisonnières ont entre 18 et 50 ans, pas plus, et elles purgent des peines de prison pour diverses raisons :  On y trouve des femmes  politiques corrompues,  des opposantes politiques,  des femmes terroristes, des femme militantes dans des organisations de gauche ou écologiste, des prostitués, des trafiquantes importantes et même des féministes ou des militantes lesbiennes. Les Etats y envois leur prisonnières selon leurs propres critères. Le but de la prison est d'apprendre l'ordre et la soumission aux femmes incarcérées pour leur permettre à terme de se ré insérer dans la société.


Ce centre de détention est régie par les règles d'une prison de haute sécurité et des règles du BDSM (Bondage, Domination, Sado Masochisme). Les femmes détenues sont originaires de tout pays, une journaliste française ayant un peu trop critiquer l'ancien président français Nicolas Sarkozy Séverine est une femme brune de 30 ans, française, elle est bien habillée et elle est dans un bus à destination de ce pénitencier féminin en compagnie de femmes venues du monde entier. A bord du bus il y a Vanessa, une américaine  blonde de 23 ans ayant été condamnée pour trafic de stupéfiant pour couvrir sont petit ami, un baron de la mafia en fuite. On trouve aussi Maria, une criminelle brésilienne de 41 ans, elle a la peau mate et le corps couvert de tatouage. Reem 30 ans, une dissidente saoudienne habillée tout en noir et couverte de la tête aux pieds, et Mili  40 ans, une démocrate chinoise.

Nue lors d'une séance de bondage
Femme prisonnière mise nue et bondage avant interrogatoire.


Le bus arrive et passe plusieurs portails avec des barbelés, avant d'entrer dans une zone clôturée et fermée.


Les gardiens sont des hommes et des femmes, habillés en uniforme noirs, avec des bottes militaires. Les nouvelles arrivantes sont invitées à descendre du bus et à se rendre dans un bâtiments non loins de l'entrée principale. Elles sont accueillies par la directrice , une femme blonde d'une cinquante d'année, probablement une allemande qui à un anglais parfait, elle porte un tailleur noir  et des escarpins de la même couleur. Elle est entourée de gardes femmes et hommes accompagnés de gros chiens d'attaque,  elle parle sur un ton ferme et stricte.


"Bienvenue, je suis la dirigeante de cette prison, vous êtes des prisonnières soumises à nos règles visant à vous inculquer des valeurs permettant la vie en société (NDLR : lavage de cerveau). L'une des premières choses ici, c'est qu'il n'y à pas d'uniforme, la nudité totale est imposée aux prisonnières pour mieux vous punir, vous faire comprendre vos places de soumises, vous exhiber et exposer comme de la viande fraiche, et pour des raisons de sécurité : Etre nu rend impossible le fait de cacher sur soit des armes ou des objets illicites.

Alors maintenant, déshabillez vous, retirez vos vêtements."


Les détenues sont un peu choquées même si elles savent toutes qu'en prison il y a des fouilles à nus, elles s'attendaient à un peu plus d'intimité et que ce ne serait pas en public.


"Vous enlevez tout, chaussures, chaussettes, bas, collants, culottes, soutiens-gorges et tout le reste."  Répète la directrice.

Les prisonnières se déshabillent chacune à leur manière, mais elles sont toutes très humiliées de devoir s'effeuiller devant tout le monde.

Interrogatoire de prisonnière BDSM
Nue et attachée sur une chaise pour l'interrogatoire.


Les femmes sont alignées nues comme au jours de leur naissance  avec les piles de vêtements à leurs pieds. Les gardiennes inspectent les corps des détenues sans ménagement, tout est contrôlé de la têtes aux orteils, et chaque femmes se prend un doigt dans l'anus et un dans le vagin et la bouche, car toutes les cavités naturelles sont vérifiées. Les prisonnières même si elles ont l'air honteuses, mouillent, leurs chattes commencent à s'humidifier par cette humiliante entré en matière.

Les captives sont aussi tripoter et harceler sexuellement par les gardiens qui leur frotte la chatte, leu mettent des claques sur les fesses et leur pincent les tétons. Ensuite les femmes sont entravées au niveau des chevilles.

Le programme de détention est en partie basé sur l'humiliation et la dégradation, la femme n'est ici qu'un objet et sont obliger de pratiquer des choses peu avouables. Chaque prisonnière est  : 


- Exhibée nue et privée de pudeur, claquée, fessée, insultée, peut se voir tirer les cheveux, etre contrainte de se masturber devant les autres, être soumise à des orgasmes forcés, attachée dans diverses position de bondage.

- Les prisonnières sont aussi obligée d'avoir des relations lesbiennes entre elles.


- De prendre des douches nues et de s'introduire des savons dans la chatte et le cul.


- De lutter nue entre elles sous les rires des gardiens.


- Soumise aux travaux forcés etc.


Esclavage BDSM et prison
Travaux forcés pour une femme prisonnière nue.



Liens : 


Enhenced interrogation.


Perverpeper le site des perversions lesbiennes.