lundi 12 avril 2021

De la nudité en prison


Nudité en détention BDSM
Prisonnière nue conduite dans sa cellule par un gardien.

Une prison ou les femmes sont gardées nues.



Incident  impliquant la nudité avec la détenue Soraya.


Un membre de la police militaire sous couvert d'anonymat dit  avoir tenté de demander des explications à ses supérieurs sur la nudité imposée aux détenus dans la prison. Ce membre des renseignements a été rapidement écarté et témoigne pour nous de ce qu'il a vu pendant son passage dans cette prison.



"La première fois que je suis allé dans la partie en béton du site, j'ai constaté que la nudité était omniprésente qu'elle paraissait normal et naturel pour les gens qui y travaillaient depuis longtemps. Lorsque vous demandiez à quelqu'un "pourquoi sont ils nus ?", vous n'obteniez que des haussements d'épaules et des réponses évasives du style, c'est la procédure du renseignement, que les détenus ont perdu leurs vêtements et qu'il n'y a pas d'uniforme, ou tout simplement pour éviter qu'ils cachent quelques choses d'illégal. Les gardiens voyaient bien que c'était embarrassant pour les prisonniers. Certains reconnaissaient même que c'est dégradant, mais personne ne voyaient ça comme un abus. Pour les manuels de l'armée, la nudité forcée si elle est justifiée n'est pas contraire aux conventions de Genève.

La majorité des détenus sont des hommes, mais il y avait quelques femmes, certaines étaient gardée individuellement isolées à part, et d'autre étaient regroupées dans une petite aile de la prison masquée du reste par des rideaux et couverture. Je me souviens d'une détenue, Soraya âgée d'une trentaine d'années, elle était considérée comme étant de "haute valeur". Je sais qu'elle était nue et tentait de dissimuler son corps en public.
"

Le cas de la femme prisonnière ici mentionnée est bien connu. Soraya ( un pseudonyme pour respecter son anonymat) est l'une des dernières prisonnières a avoir été officiellement libérée. Elle est une proche parente d'un cousin d'un des plus fidèles ministres de l'ancien régime renversé par les Etats Unis, elle est âgée de 32 ans, et travaillait comme professeur avant l'invasion militaire US. Elle a passé plus de 6 mois et demi en détention dans les geôles américaines. Elle est maintenant en Exil en Australie et refuse toute sollicitation d'ONG pour témoigner. 

Les observateurs du CICR (Comité International de la Croix Rouge) se souviennent d'elle. Soraya était détenue à l'isolement dans la section de la prison ou sont regroupé les prisonniers de haute valeurs ou arrêtés dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et l'insurrection.


Elle était dans une petite cellule isolée du reste du block de détention. Elle était entièrement nue et sous contrôle. La cellule est toute simple : deux mètres de large pour trois mètres de long, un banc en pierre pour dormir et des toilettes "turques" et une toute petite fenêtre en hauteur, et rien d'autre. Elle n'a pas subi de torture physique ni de mauvais traitements, elle avait accès à une nourriture relativement correcte.

Lorsque les responsables américains ont été interrogé sur le fait que la prisonnière soit gardée nue, ils ont tout simplement répondu que ça faisait parti du processus, et que c'était une mesure de sécurité pour s'assurer que la prisonnière ne cherche pas à se suicider ou à cacher des objets de contrebande. Notons que l'administration justifie de la même manière les cas de nudité forcée sur les autres personnes privées de liberté.


Marche de la honte une prisonnière forcée de marcher nue en public.
Femme prisonnière nue contrainte de parader à poil.



Soraya était une femme riche et respectable et de haut niveau social, normal après tout, elle était proche de l'ex régime et membre d'une famille privilégiée. Lors de son arrestation et incarcération, elle était vêtue d'une sorte de long "tchador" noir comme les occidentaux appellent ça, et d'une abaya (longue robe arabe traditionnelle). Elle est intégralement couverte à l'exception du visage et des mains comme beaucoup de femmes orientales de son niveau social. Elle porte plus ce type de vêtement par conformisme social et tradition que par convictions religieuses.

Des fouilles humiliantes.


Lors du processus d'accueil, elle est soumise à une fouille approfondie comme tous les prisonniers, ici, c'est comme aux Etats Unis, les fouilles sont systématique et Soraya était obligée de se déshabiller devant les gardiennes. Malgré ses protestations, la jeune femme  doit retirer tous ses vêtements sous la menace d'utilisation de la force et de la contrainte physique.

Elle a très mal pris le déshabillage obligatoire, comme tout les autres détenus  qui refusent de retirer leurs vêtements et tentent aussi de négocier pour garder leurs culottes ou slips. Les gardiennes, on expliquer  à la prisonnière que la nudité totale était requise et non-négociable pour tout le monde, hommes ou femmes tout le monde doit se mettre à poil, car ce sont les règles américaines. Soraya doit se dépouiller de ses vêtements, sous-vêtements, chaussures, effets personnels et même de ses bijoux qui sont placés sous scellés.

La procédure US est choquante et dégradante pour une femme comme Soraya contrainte de se mettre nue pour une inspection complète. L'administration militaire qui gère la prison donne des manuels expliquant que les prisonniers de guerre et de droit commun détenus par l'armée doivent selon le protocole de fouilles (strip search) retirer leurs vêtements pour une inspection visuelle complète du corps, notamment vérifier les chevelures, les oreilles, les mains, les doigts , les aisselles, le nombril, le pubis, entre les fesses, et les américains sont même aller jusque à examiner ses pieds et entre ses orteils.

Soraya a dû exposer son anus et l'intérieur de son vagin aux gardes américaines, quelle honte pour une personne si pudique que de devoir exposer ses partis les plus intimes sans le moindre respect de sa pudeur. Surtout que les soldates prennent des gants en latex, de la vaseline et lui ont écarté manuellement les lèvres vaginales et les fesses pour y introduire un doigt par sécurité.

Elle fait partie de ces femmes n'ayant jamais ne serait ce que porter un maillot de bain sur une plage publique et là, les Américains l'ont mise à poil sans pitié ni état d'âmes.

Pour palier à toute accusation de viols, les Américains imposent des tests de virginité qui seront détaillés plus tard et des contrôles stricts aux femmes prisonnières d'importance.

Soraya n'a subi aucune agression physique ni violences sexuelles pendant sa détention comme le prouve les rapports médicaux hebdomadaires, du fait de son rang et sa situation, la direction de la prison à décider de la soumettre à un stricte suivie de son état de santé.


Elle a donc eu un traitement préférentiel. Un médecin était chargé de l'examiner et de l'inspecter chaque semaine (alors que l'accès à des traitements médicaux pour les autres détenus est quasi inexistant.).

Le CICR a constaté que des rapports hebdomadaires indiquant que la prisonnière était inspectée chaque semaine. Elle était conduite dans une petite salle ou un médecin et des surveillants (hommes ou femmes) en tenue militaire l'attendaient.
Son corps était examiné totalement dans la plus totale nudité. Le docteur était à la recherche de marques, d'ecchymoses, de traces de blessures, et pour cela, il doit avoir accès et vérifier la moindre parcelle de peaux de Soraya.


Humiliation à poil pour une pauvre prisonnière innocente.
Femme nue et enchainée dans une cage.



Le médecin insiste même souvent sur ses orteils, à se demander s'il n'est pas fétichiste des pieds.

Soraya est ensuite placée sur une chaise gynécologique pour un examen visant à vérifier qu'elle n'a subi aucune agression, et le docteur fait ensuite la même chose avec son anus.

Selon les documents, la jeune femme au début fut très traumatisée de ces examens sans aucun respect pour sa pudeur, mais après trois mois de détention elle s'y est habituée et ne portait même plus d'attention à sa nudité. C'est la routine de la prison.

Elle a eu la chance d'être protégée pendant sa détention, les gardes avaient interdiction de porter la main sur elle. La direction a décidé de lui imposer la nudité totale et permanente pour plusieurs raisons, avant tout sécuritaire. C'est une détenue importante qui doit être protégée d'elle-même, c'est l'une des premières femmes arrêtées par les troupes américaine. Les prisonniers males étaient tous nus et laissés ainsi dans les cellules. Après le débat au sein du conseil de la police militaire, la décision prise a été de traiter Soraya comme les autres et donc de la garder sans aucun vêtement. Le secrétaire d'Etat à la défense  autorise recommandé  la nudité aux personnes maintenues en détention par les forces américaines.


La partie "Isolement" de la prison est pour les gardiens une zone ou les prisonniers sont nus, Soraya doit l'être aussi, qu'elle soit une femme ne lui donne pas le droit de porter de vêtements.


"Soraya demandait les premières semaines tout le temps des vêtements, elle pleurait souvent, elle criait pour réclamer de quoi se couvrir, chose qui lui étaient bien sur tout le temps refuser. Elle avait beaucoup de pudeur et tentait tout le temps de cacher son corps de la vue des gardes. Ensuite, elle n'y prêtait plus aucune attention, comme si être nue était devenu normal pour elle.

Elle a perdu toute pudeur apparente en un mois.
 Elle montre tout sans ressentir la moindre gêne lors des inspections quotidienne."


S'habituer à la nudité.



Une ancienne surveillante se souvient d'une anecdote concernant cette détenue :

"Cette femme était la depuis quelques mois lorsque je suis arrivée. Elle était intégralement nue et ne manifestaient visiblement aucune pudeur devant nous, lorsque elle devait montrer ses fesses, elle le faisait. Nous pouvions de temps en temps discuter avec elle, elle nous racontait sa vie avant la prison, parlait de son ex-mari, de son quotidien ici. Nous lui donnions souvent de notre nourriture qui est meilleure que celle réservée aux autres détenus, des bonbons, des cigarettes.

Elle est devenue très intime avec un garde, tout à commencer lors des inspections ou nous avons remarqué des traces de masturbation, Soraya était, en effet, toute mouillée, la chatte pleine de cyprine lors d'une visite surprise de sa cellule. Elle était particulièrement excitée lors de l'examen de son vagin et anus.


Nue et humiliée devant sa cellule de prison avec un sac sur la tête.
    Exposée nue et attachée dans les couloirs de la prison.



Quand nous vérifions les orifices d'un prisonnier, nous utilisons habituellement du lubrifiant, mais avec Soraya, il n'y en a pas besoin, elle est très humide, nous introduisions nos doigts gantés sans problème dans son canal vaginal, ça glissait tout seul.


Un des gardes qui n'avait pas de copines est devenu très proche d'elle, il parait qu'elle a passait plusieurs nuits dans sa chambre, c'est totalement illégal, mais c'était tolérer par l'équipe.

Soraya ne pouvait pas s'enfuir, ou serait elle aller toute nue dans un pays comme ça ? Elle ne cherchait pas non plus à fuir donc, c'est passer avec l'équipe surveillante. Elle marchait nue au milieu des soldats, qui s'y sont vite habitués, c'était une prisonnière sympa.

Soraya lors de sa libération est partie accompagnée de soldat US, vers l'aéroport, elle est en Australie en couple avec cet ancien gardien.

Il parait qu'elle fait souvent du naturisme et a des problèmes avec les vêtements, elle est restée tellement longtemps toutes nue qu'elle n'aiment pas la sensation que procure le fait de s'habiller et sort souvent en oubliant qu'elle est à poil."



Liens :



Femme prisonnière tondue et humiliée à poil.



Nudité, contention et restriction en prison.





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