samedi 10 avril 2021

Femme faite prisonnière par les forces spéciale et incarcérée.

 

Femme nue attends l'interrogatoire musclé.
Femme prisonnière nue avec une cagoule sur la tête.



Des traitements inhumains et dégradants en prison.


Introduction.

Les forces spéciales US opèrent partout dans le monde et disposent de divers centre de détention pour y traiter les prisonniers, c'est à dire les ramollir pour leur sous tirer des informations importantes lors des interrogatoires. Ces prisons souvent gérées par l'armée ou située dans les prisons officiel de certains dictateurs alliés des USA au moyen orient, Europe de l'est ou Amérique latine accueille des détenus "fantômes" gardés plusieurs mois au secret. 

Ces centre de détentions ne sont pas soumis au respect des convention de Genève, et les interrogatoires sont renforcés et les captifs soumis à de haute pression physique et psychologiques.

Si la plupart des prisonniers sont des hommes, quelques femmes passent parfois par ces endroits sinistres. Jade s'est faite capturer dans un pays du moyen orient lors d'un raid des forces spéciales avant de passer plusieurs mois en enfer.


Plusieurs témoins (anciens soldats et mercenaires) se rappelle de l'état d'esprit régnant dans le staff gérant une de ces prisons. 

Jade la prisonnière humiliée.

Un ancien surveillant :


"On applique les règles et les ordres sans réfléchir sur les prisonniers, on nous a tout de suite dit de les traiter comme s'ils étaient moins que des chiens, comme des déchets.Quand ils arrivent, on les met à poil, ils n'aiment pas ça du tout ça mais on s'en fou, certains pleurent et nous supplie de leur laisser le slip mais les ordres sont les ordres, nous devons les dépouiller.


Quand une femme arrive, même si c'est plus rare et bien ont fait pareil !Quand elles sont toutes nues, on les mate et parfois certains soldats prennent des photos.


C'est plutôt marrant pour nous, de voir leur honte et détresse et nous supplier de leur donner des  vêtements".



Une ancienne soldate ayant servi dans la prison témoigne sous couvert d'anonymat de consignes données "de faire des fouilles régulières et obligatoirement sur les femmes qui arrivent, lors des arrivées elles font une de ces têtes lorsqu'elles apprennent qu'elles doivent se déshabiller devant nous".

Elle poursuit : "Certaines soldates sont très dominatrices et elles ont des tendances lesbiennes marquées font mettre à poil par plaisir. Elles se marrent bien en faisant ça. Elles savent que c'est affreusement humiliant et dégradants pour ces pauvres femmes, elles font durer le plaisir."



L'une des prisonnières, Jade âgée d'environs 26 ans d'après le dossier de l'ONG de défense des droits de l'homme, c'est une institutrice dans un village du moyen orient, une femme respectée et engagée dans la défense du droit des femmes (accès à la santé et à l'éducation). Elle est arrivée habillée de façon pudique et respectables comme la plupart des femmes de son rang. Elle est devenue la souffre douleurs de deux gardiennes lesbiennes.

Lors des soirées, ces dominatrices viennent rendre visite à la pauvre prisonnière. Elles forcent Jade à se mettre nue devant elle et lui confisquent ses vêtements, parfois plusieurs jours. 

"Un jour les soldates on déshabiller la détenue pour jouer avec son anus et ses gros seins. Les soldates aiment le derrière de la prisonnière qu'elles trouvent larges et souple. 
Elle est victime du sadisme gratuit de certaines gardiennes. Elles lui enfoncent leurs doigts dans ses fesses, parfois, elles y introduisent entièrement leurs mains !

Elles aiment allonger Jade nue sur le ventre, les fesses surélevées par un coussin, et elles mettent une canule reliée a un tuyau lui même lié a une source d'arrivée d'eau dans le fion de la prisonnière qui sent son bas ventre se remplir.

C'est vite insupportable, mais si la détenuene se retient pas, elle est battue et ses seins sont torturés et ses plantes des pieds fouettés.

Après la prisonnière, est autorisée a libérer ses intestins en s'accroupissant sur les toilettes turques de sa cellule devant les gardes sans aucune pudeur.

Les gardiennes sont ensuite allées chier et pisser sur le sol de sa cellule de l'irakienne qui a dut lécher leurs chattes et anus jusque à ce qu'ils soient tout propre"


Un soldat se souvient que "Cette femme-là est une vraie chienne, elle broute les chattes des gardiennes, lécher leurs anus jusque à ce qu'ils soient bien propres.

Les surveillantes ont ensuite saisi la prisonnière nue par les cheveux et l'ont trainer dans la pisse et les déjections !

Le lendemain matin quand l'équipe de la journée à découvert ça, une femme prisonnière nue dans une cellule sale et puante le corps badigeonné plein de merdes, ils ont hallucinés."

L'affaire a vite été étouffée, Jade a été libérée 5 mois plus tard sans aucunes explications.

Interrogatoire renforcé et humiliations
"Stress position" et nudité de deux femmes prisonnières.


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