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dimanche 18 mai 2025

Fouille nue d'une détenue pudique et soumise.


Humiliante fouille à nu
Fouille (strip search).

Fouille à nue (strip search) lors du processus d'accueil en prison.

Abou Ghraib, Irak, 2005.

 

 Noor, une Irakienne de 27 ans, était assise à l’arrière d’un Humvee, les mains entravées par des menottes en plastique, le regard baissé. Son hijab noir couvrait ses cheveux, et son abaya, légèrement poussiéreuse, témoignait de sa foi sunnite et de sa pudeur. Murmurant des versets du Coran, elle tentait de calmer son cœur affolé. Accusée à tort de complicité avec des insurgés sur une dénonciation malveillante, elle avait été arrêtée trois jours plus tôt. Aujourd’hui, elle entrait dans un centre de détention sous contrôle américain.

Le véhicule s’arrêta dans un nuage de poussière à l’arrière du complexe. Deux femmes en uniforme militaire attendaient près d’une entrée. La première, une blonde d’une trentaine d’années au chignon strict, portait des galons sur son uniforme. C’était la sergente Mitchell, dont l’autorité froide intimidait Noor. Réservée et timide, Noor évita son regard, mais ne put ignorer la prestance de cette femme, qui la troublait étrangement.

« Noor al-Hassani ? » demanda la sergente Mitchell, consultant une feuille.

Noor hocha la tête, puis murmura : « Oui… Madame. » Sa voix tremblait, et elle rougit, gênée par son propre malaise.

« Nous sommes ici pour vous prendre en charge officiellement. Placez vos mains contre le véhicule. »

Noor obéit, posant ses mains contre la carrosserie brûlante. La seconde gardienne, silencieuse, la fouilla rapidement, inspectant son hijab et ses vêtements. Noor, submergée de honte, garda les yeux rivés au sol. Les menottes en plastique furent remplacées par des menottes métalliques, froides contre ses poignets. Elle murmura une prière, implorant la force.

Les gardiennes l’escortèrent vers un bâtiment entouré de barbelés. Un panneau indiquait « Intake ». La sergente activa sa radio : « Une pour l’admission. » La porte métallique s’ouvrit dans un bourdonnement.

À l’intérieur, l’air était glacial. On la fit asseoir face à un bureau encombré de dossiers. La sergente s’installa et lut : « Noor al-Hassani, 27 ans, cheveux noirs, yeux marrons, poids approximatif : 55 kilos. Est-ce exact ? »

« Oui, Madame », répondit Noor, intimidée par l’assurance de Mitchell. Une étrange fascination pour cette femme autoritaire naissait en elle, mêlée de crainte.

« Bien. Vous allez être conduite au traitement. Vous devrez retirer tous vos vêtements – vous serez toute nue, mais ne vous inquiétez pas, c’est entre femmes. Vous serez fouillée, recevrez votre uniforme, vos photos seront prises, et vous irez en cellule. Comprenez-vous ? »

Noor hocha la tête, mais la sergente la reprit : « Réponse verbale. Appelez-moi Madame. »

« Oui, Madame », murmura Noor, les joues brûlantes. L’idée de se dévêtir la terrifiait, mais la précision « entre femmes » l’apaisa à peine.

Les gardiennes la firent lever et l’escortèrent dans un couloir gris jusqu’à une porte marquée « Processing ». La sergente activa sa radio : « Une pour le traitement. » La porte s’ouvrit, révélant une pièce austère avec une table métallique, une chaise, et un coin pour les photos. Une troisième gardienne, à la table, tenait un bac en plastique. Noor sentit son estomac se nouer.

« Nous allons retirer vos menottes », annonça la sergente. « Tenez-vous droite, mains le long du corps, face à la gardienne à la table. Suivez ses instructions, ou votre désobéissance sera signalée. Comprenez-vous ? »

« Oui, Madame », répondit Noor, la gorge serrée.

Les menottes ôtées, Noor se tint droite, tremblante. La sergente et l’autre gardienne reculèrent près de la porte. La gardienne à la table ouvrit un sac en plastique : « Retirez vos boucles d’oreilles. »

Noor n’en portait pas. « Je n’en ai pas, Madame », dit-elle doucement.

La gardienne nota quelque chose. « Retirez vos chaussures et chaussettes. »

Noor défit ses sandales usées et ses chaussettes blanches, posant ses pieds nus sur le sol glacé. La gardienne inspecta les chaussures, les chaussettes, et ordonna : « Levez chaque pied, montrez-moi la plante. » Noor obéit, humiliée, tandis que la gardienne commentait : « Vous êtes bien sensible, hein ? On dirait que vous n’avez jamais marché pieds nus. »

Noor rougit, baissant les yeux. « Maintenant, retirez votre hijab. »

Noor défit les épingles, pliant le foulard avec soin avant de le tendre. Ses cheveux noirs tombèrent sur ses épaules. « Regardez-moi ça, on dirait une nonne qui se cache », ricana la gardienne, jetant le hijab dans le bac. Noor sentit les larmes monter.

« Votre abaya. »

Noor défit les boutons, laissant l’abaya glisser à ses pieds. Elle la tendit, restant en tunique et pantalon noirs. La pièce était si froide qu’elle frissonna, croisant les bras. « Bras le long du corps », ordonna la gardienne. « Pas la peine de jouer les pudiques ici. »

Noor obéit, rouge de honte. La tunique, puis le pantalon, furent retirés. En sous-vêtements, elle se sentit exposée. La gardienne lança : « Pas très épais, votre corps. On dirait une gamine qui se cache sous tous ces tissus. »

Noor, mortifiée, garda le silence. « Retirez votre soutien-gorge. »

Les larmes coulèrent alors qu’elle dégrafait son soutien-gorge, le tendant tout en couvrant sa poitrine. « Bras le long du corps », répéta la gardienne. « Arrêtez de faire la timide, ça ne sert à rien. » Noor obéit, exposant ses seins. La gardienne ricana : « Pas grand-chose à montrer, hein ? »

« Maintenant, la culotte. »

Noor, sanglotant, fit descendre sa culotte et la tendit, se tenant nue, pieds nus sur le sol froid, les mains le long du corps. « Regardez-moi cette pudeur ridicule », commenta la gardienne. « Vous croyez que votre Dieu vous regarde ici ? »

Noor ferma les yeux, récitant une sourate en silence. La gardienne dressa la liste : « Un hijab noir, une abaya noire, une tunique noire, un pantalon noir, un soutien-gorge blanc, une culotte blanche, une paire de sandales, une paire de chaussettes. Exact ? »

« Oui, Madame », murmura Noor.

« Signez ici. » Noor signa, tremblante. « Maintenant, la fouille corporelle. Éloignez-vous de la table, tenez-vous droite, bras le long du corps. »

Noor obéit, les larmes roulant sur ses joues. La gardienne prit une lampe torche, lui ordonnant de secouer ses cheveux, de tirer ses oreilles, d’ouvrir la bouche, de soulever sa langue. Puis, elle inspecta ses mains, ses aisselles, et ordonna : « Soulevez vos seins. » Noor obéit, humiliée, tandis que la gardienne lançait : « Rien à cacher là-dessous, visiblement. »

« Écartez les jambes. Écartez vos lèvres vaginales. » Noor, sanglotant, obéit, exposant son intimité. « Toujours aussi gênée ? Vous vous y ferez », railla la gardienne, inspectant avec sa lampe. « Tournez-vous, écartez vos fesses, accroupissez-vous, toussez. » Noor s’exécuta, chaque mouvement brisant un peu plus sa dignité. Enfin, elle leva chaque pied pour une nouvelle inspection. « Vos pieds sont trop propres pour une terroriste », ironisa la gardienne.

« Fouille terminée », annonça-t-elle. « Vous pouvez prendre une douche avant l’uniforme. Suivez-moi. »

Noor, toujours nue, fut conduite à une cabine de douche ouverte. L’eau froide la fit frissonner, mais elle se lava rapidement, sous le regard de la gardienne. Revenue dans la pièce, elle attendit, tremblante, pieds nus sur le sol glacé.

La gardienne revint avec une simple combinaison orange. « Voici votre uniforme. Pas de sous-vêtements, pas de voile. Les hijabs sont interdits. Enfilez ça, pieds nus. »

Noor, horrifiée, protesta faiblement : « Madame, s’il vous plaît… mon hijab, c’est ma foi. Je ne peux pas… »

La sergente Mitchell, qui avait observé en silence, s’avança. Sa voix était ferme, mais étrangement douce : « Noor, écoutez-moi. Ici, les règles sont strictes. Pas de hijab, pas de discussion. Vous devez vous conformer. Mais je veillerai sur vous, d’accord ? Faites ce qu’on vous dit, et ça ira. »

Noor, les larmes aux yeux, hocha la tête, vaincue. Elle enfila la combinaison, qui grattait sa peau nue. Sans sous-vêtements, elle se sentait encore plus exposée, et ses pieds nus sur le sol froid renforçaient sa vulnérabilité. Le numéro 47219 était cousu sur la poitrine.

« Mains derrière le dos », ordonna la sergente. Les menottes claquèrent. On la conduisit aux photos d’identification. Noor fixa l’objectif, puis tourna la tête pour les profils, son visage marqué par la honte et la résignation.

« C’est terminé », dit la sergente. « Vers votre cellule. »

 

Lien : 

 

 Strip search. 

 

dimanche 28 janvier 2024

La stricte discipline de la prison pour femme.

 

Corvée et travaux forcés en prison
Travail forcé , une prisonnière nue lave.

La prison doit punir et dresser. 

Dans la prison d'Abou Ghraib, pendant la seconde guerre du golfe, les forces armée américaines détiennent des milliers de prisonniers irakiens, dont des femmes. Les conditions de détentions sont très strictes et sévères. Hoda, une irakienne de 33 ans, arrêtée par les forces américaines pour soupçon de financement de la rébellion et pour ses liens avec l'ancien régime raconte dans un journal avoir subie un traitement difficile.
 
La trentenaire s'est retrouvé emprisonnée à Abou Ghraib pendant 5 mois, elle affirme avoir vécu des moments éprouvants et reste choquée même après sa libération.

Dans son long témoignage que nous résumerons ici, elle rapporte que les soldats américains ont fait du secteur ou sont détenues les femmes "un enfer", "une machine à broyer" et que tout est fait pour avilir et "dresser" les prisonnières.
 
Elle nous apprend que les prisonnières irakiennes sont gardées en confinement solitaire dans de petites cellules d'un mètre sur deux, sombre, sans confort (pas de matelas, toilette à la turque, nourriture fade etc.). Avec l'interdiction de parler sans autorisation, l'obligation de baisser les yeux devant les américains etc.

Comme pour les  prisonniers de sexe masculin, Hoda doit passer son séjour nue. Les prisonnières musulmanes et chrétiennes sont toutes interdites de porter des vêtements. Les américains pour dresser et "décoincer "les détenues, dont la pudeur est jugées "archaïque" et contraire à la culture démocratique ont fait de la prison "un centre nudiste".
 
Hoda a vue ses vêtements être découpés et détruit par les gardiens en arrivant, sa culotte volée, et ses chaussures confisquées.

Les femmes comme elle qui porte le voile et de longue robe arabe traditionnels sont systématiquement déshabiller complétement devant des hommes et en publique. Hoda s'est faite mettre à poil devant tout le monde, les gardiens sont très rudes et ordonnent en hurlant en arabe et en anglais "A poil !" "Allez vite salope! ", "déshabillez vous", "faut tout enlever !"
"Si vous ne supportez pas de vous trimbaler les fesses à l'air fallait pas être des terroristes !".

Les gardes sont sans aucun respect et ne ressentent aucune pitié ni empathie lorsqu'une femme arrive. C'est même avec un plaisir sadique non dissimulé qu'ils humilient les prisonnières. La nudité forcée et les fouilles des cavités sont l'une des bases du "traitement". 
"Vous êtes peut être pudique, mais nous, on vous met à poil, on vous interdit de porter vos vêtements ridicules et obscurantistes, vous aimez vos hijabs, vos voiles, vos larges robes, et bien ici, vous êtes sans rien ! Vos chattes sont à l'air et vous vous promenez cul nu".

 
"Salope, on va t'apprendre à faire la pudique, tu retire tout, tes chaussures et tes chaussettes aussi."
 
Hoda est ensuite inspectée de la tête aux pieds avec fouille des cavités (doigt ganté et lubrifié dans le cul et la chatte). Les détenues sont très régulièrement soumises à des fouilles anales et vaginales.

Les détenues sont aussi photographiées nues et pieds nus, subissent un prélèvement d'ADN, des relevées d'empreinte digitales.

Les femmes pendant leur période de détention doivent rester nues, elles ont l'interdiction de porter des vêtements ou de couvrir leurs corps.

Hoda explique que cette politique de nudité forcée est ordonnée par les plus hautes sphères dirigeantes de la prison. Un gardien lui aurait expliquer que les ordres sont de forcer les prisonnières à rester nues en permanence à la fois pour des raisons de sécurité et d'économie (absence de moyens de fournir des uniformes). Mais aussi pour instrumentaliser leurs craintes culturels et religieuses. Les femmes arabes et musulmanes doivent être rééduquées et reconditionnées pour perdre toute pudeur et modestie.
 
La nudité totale et permanente des prisonnières est la règle ici. Hoda nous dit que toutes les femmes sans exception sont obligées de s'exhiber en permanence. 
 
Les repas sont distribués les matin, midi et soir, et une femme est chargée de les servir aux autres détenus, hommes et femmes. Hoda était  régulièrement obligée de servir nue certains homme de son quartier qui l'ont reconnue. 
 
Les américains aiment forcer les femmes à être nues devant leurs proches.
 
Les douches sont collectives, et se déroulent devant les gardiens qui ont le droit de vérifier que les femmes se lavent bien la chatte et les fesses. 

En plus des distribution, les femmes doivent aussi "travailler" et faire toutes les corvées nécessaires au bon fonctionnement et à la propreté de la prison.

Les prisonnières nues récurent le sol, le nettoient, passent le balais et la serpillière sur le sol, lavent les douches. Tout doit être nickel sous peine de sanction collectives et de punitions.

Liens: 
 






mardi 24 mai 2022

Témoignage d'humiliations de prisonnières.

 

Des femmes prisonnières nues et humiliées dans des postures obscènes.
Deux prisonnières photographiées nues dans des postures humiliantes.

Deux femmes dégradées et humiliées en détention.


Suite aux révélations sur les actes de tortures, de sévices et d'humiliation pratiquées par l'armée et les service de renseignement dans la prison militaire américaine d'Abou Ghraib en Irak en 2004 pendant la seconde guerre du golfe. Des enquêtes menées par les autorités militaires, civiles et politiques, des centaines de personnes ont témoigné avoir vue des choses surprenante et dérangeantes.


Une jeune soldat de 22 ans, engagé dans la prison comme surveillant sans réel expérience ni formation dit avoir vue un de ses cousins de 41 ans, ancien policier texan se comporter de façon très déplacée et sans aucun respect pour la pudeur et la dignité des captifs.


Devant les enquêteurs, il raconte plusieurs choses qui nous informe sur l'ambiance de cette prison sinistre et l'état d'esprit des gardiens souvent pervers et cruels.


"Je me nomme Billy Jr Schmidt, je me suis engagé sur recommandation de mon cousin, Bobby Hart qui est l'un des accusés des sévices et qu'ont peut voir sur plusieurs photos en train d'humilier les prisonniers. Il m'a aider à obtenir un diplôme dans la sécurité et m'a expliquer que je pourrais aller dans l'armée avec ça; il m'a aider a dénicher un poste de gardien de prison en Irak près de Baghdad, le salaire et l'envie de voyage étaient intéressant pour moi.


Bobby avait été plusieurs fois poursuivis pour des abus sur des suspect et différentes bavures policières ( harcèlement envers les femmes, corruption et liens avec des trafiquants de drogues et des trafiquants de femmes et de migrants latinos, il s'en est sortie en donnant quelques pots de vin aux juges et parce qu'il détient des vidéos embarrassantes pour plusieurs hommes politiques avec des prostituées immigrées.


Ceci dit pour éviter trop de scandale, d'un commun accord, on lui a recommandé de quitter quelque temps sa ville et de restaurer son image en allant défendre la Patrie contre le terrorisme et en répandant la démocratie et les droits de l'homme en Irak. Servir sous les drapeaux ne peut que le servir et son expérience et sa réputation en matière de traitement des suspects intéressait fortement l'armée.


Une fois sur place, il a été nommé comme l'un des chefs des gardiens chargé de collaborer avec les services de renseignement. 


Les premiers jours pour moi sont de la formation, il m'a appelé pour me dire que deux suspects arrivent, a ma surprise, c'était des femmes, menottées les mains dans le dos, une mère de 40 ans environs et sa fille de mon âge, 22 ans. Elles sont comme beaucoup de femme arabes irakiennes habillées en tenue traditionnelle et voilée de la tête aux pieds, seules leurs visages et mains sont visibles. Les forces armées les ont arrêtées pour des soupçons de liens avec les rebelles qui s'opposent à l'occupation de leur pays. Pour mon cousin et pas mal de gardiens et gardiennes d'ici, c'est très amusant de disposer de personne arrêtée pour rien de concret. Mon cousin aux Etats Unis était réputé pour mettre en garde à vue des femmes sous n'importe quel prétexte et de les retenir 72 heures pour les "cuisiner".


Les deux femmes sont conduite dans une salle par Bobby et une autre gardienne, Jennifer Sanchez. C'est une métisse de père mexicain catholique  et de mère américaine blanche protestante, mais elle est complètement athée. J'imaginais qu'ils prenaient des renseignements biologique, ou des prises d'ADN. 


Il ne se passa rien de mon point de vue pendant une petite heure. Soudainement, Bobby est sortie de la salle pour se rendre probablement aux toilettes, et a laisser la porte entrouverte. J'ai pas pu m'empêcher d'y jeter un coup d'oeil et ce que j'ai vu, je ne l'oublierais jamais : les deux femmes sont complètement nues et  attachées dans des positions obscènes les fesses en l'air avec l'anus et la chatte totalement ouvertes et exposées.


Elles ont la tête elles yeux baissés silencieuses, leurs visages sont tout rouges et on peut supposer qu'elles sont totalement humiliées.


Sous le choc, j'ai du mal à estimer le temps qui s'est écoulé avant que Bobby ne revienne. Il m'a dit de rentrer dans la pièce ou sont les deux femmes dénudées.


Il m'a dit ne faire que  d'appliquer les consignes, et que "La première chose à faire quand un prisonnier arrive est de le fouiller avant de les faire rentrer dans l'établissement et de les placer en cellule. Le but est de recherche de la contrebande." Il ajoute que c'est aussi "Un moyen de faire comprendre qui est le patron et de les punir, et puis avoir un boulot qui permet de mettre des femmes nues c'est assez cool je pense que tu devrais toi aussi aimer".

Il continue fiérement  : "Vois tu, nous avons forcer ces deux prisonnières à retirer tout leurs vêtements devant nous et l'une devant l'autre, elles sont vulnérables et sans défense, exposées totalement sans avoir la possibilité de dissimuler à la vue du public leur corps et leurs parties intimes".


A ce moment là Bobby est très sur de lui en affirmant ceci comme si ce qu'il est en train de faire est  bien et tout à fait normal. Il faut savoir qu'aux Etats Unis plusieurs femmes ont porter plaintes contre lui pour des faits de harcèlements sexuels et d'humiliations. Toute les affaires ont bien sur était mises sous silence mais il me semble que les responsables ont recruter Bobby pour son expérience en matière d'humiliation des femmes.


Il sort ensuite son appareil photo pour officiellement remplir le dossier des prisonnières et officieusement pour sa collection personnelle.


Il donne l'appareil à Jennifer Sanchez, qui est en train de claquer les fesses des captives pour s'amuser, et de tripoter leurs seins et d'obliger la mère et la fille à exhiber leurs chattes lisses ouvertes l'une devant l'autre en leur disant qu'elles sont traitées comme les putes et mises à poil à poil pour divertir les gens.


Bobby se met à hurler "Maintenant nous allons prendre des photos pour nos dossiers, nous faisons ça avec tout les détenus qui arrivent ici".


La plus jeune des deux prisonnières qui parlent anglais répond en pleurant "Quoi, ne faite pas ça s'il vous plait, car nous sommes toutes nues".


En souriant Bobby leur dit que "Ceux sont les règles et les pratiques dans les centre de détention américain, nous devons faire des dossiers très précis sur chaque détenus, nous nous documentons sur leurs visages et leurs corps pour plus de sécurité et une meilleur identification".


Bobby lance une salve de photos des deux femmes encore à quatre pattes les fesses en l'air.


La mère tentant de protéger sa fille dit toujours en anglais "C'est moi que vous voulez laissez la partir et remettre des vêtements".


Bobby en prenant des photos lui répond que les deux femmes sont détenues par les Etats Unis et qu'il ne peut pas les laisser partir. Ensuite "Détache les Jennifer je vais prendre des images de leurs visages et de leurs poitrines". Ils prend ensuite les seins, les chattes , les fesses avec l'anus ouvert, les pieds nus des prisonnières sont aussi photographiés.


Ensuite Bobby et sa complice regardent les photos en se marrant et en faisant des commentaires vicieux et demandent aux captives "Qu'est ce que vous pensez d'envoyer ces images à vos familles et a vos proches ?"


Les deux femmes pleurent de plus belles et supplient Bobby de ne pas faire ça.



Liens :


Dans une prison US pour femmes ...



La prison des soumises.


jeudi 3 février 2022

Une voleuse mise à poil et fessée.

 

Nudité et fessée, humiliations et châtiments corporels.
Déshabillée et mise à poil avant la fessée.

Punir, déshabiller et humilier les délinquantes pour l'exemple.


Cette jeune femme de 21 ans qui s'appelle Eva a tenter de s'introduire par effraction pour voler des objets dans une grande maison qu'elle pensait occupée par un vieux couple de retraité de plus de 80 ans. 


La délinquante pensait pouvoir dérober facilement les bijoux, la télévision, la matériel informatique et des objets de valeurs pour les revendre et s'enrichir. Hors dans cette ville, les voisins sont solidaires et les jeunes citoyennes veillent sur la sécurité des anciens.


Kathy, une femme bénévole pour la sécurité  a remarqué que Eva avait un comportement étrange avant sa tentative de cambriolage, elle faisait en effet du repérage autour du logement.


Kathy n'écoutant que son instinct a décider avec l'accord du couple de résider chez eux quelques jours "au cas ou" et de mobiliser les membres de l'association des voisins vigilants pour surveiller les alentours. Et, effectivement à un moment,  en fin de journée la jeune voleuse a tenter de s'introduire dans la maison pour y commettre un larcin.


Hors Eva était attendue; Kathy est une ancienne agent de sécurité entrainé au judo, boxe, et Jiu Jitsu Brésilien. Elle n'a pas eu de mal à maitriser la délinquante. Elle raconte elle même son exploit dans le journal municipale et a reçu les félicitations du maire.


"Je l'ai entendue venir, je me suis placée discrètement derrière une porte pour pouvoir la surprendre, ensuite j'ai allumer la lumière et je l'ai ceinturer directement au sol et fait une clé de bras pour la maitriser, étant ceinture noire JJB (Jiu Jitsu Brésilien) c'était très facile de la soumettre. Elle s'est mise à pleurer et a me supplier de la lâcher et de la laisser repartir.


C'est bien sur hors de question, elle a enfreint la loi et doit être punie, c'est ça la justice. Je l'ai un peu malmené physiquement et enfermée dans le salon. J'ai ensuite fait venir les autres filles bénévoles pour sécuriser la zone et fait descendre le couple pour qu'ils puissent voir la délinquante. 


J'ai ensuite décider de lui donner une bonne leçon en petit comité, je l'ai forcer à se mettre toute nue, je lui ai mis des coups de ceintures et hurler dessus "A poil !". Elle s'est facilement mise en sous vêtements, j'ai du insister pour qu'elle retire sa culotte et ses chaussettes. 


Une fois toute nue  et pieds nus je lui dis fait mettre un bonnet d'âne sur la tête et les filles et le couple ont rigoler, Ensuite je l'ai forcer a écarter les fesses devant le petit public. L'humiliation doit faire partie intégrante de la punition, c'est amusant de mettre à poil la voleuse devant ses victimes. Ensuite j'ai pris une ceinture et je l'ai fait mettre dans une position dégradante avant de lui fouetter les fesses. 


Le bruit des claquements étaient forts et elle devait compter les coups. Ensuite je l'ai ai mis une bonne fessée, et les filles et le couple de retraités a eu la possibilité de lui mettre des claques sur le derrière.


Ensuite nous avons appeler la police."



Châtiments corporels et humiliations pour la voleuse nue.
Punie et fouettée toute nue avec une ceinture.

La police a procéder à l'arrestation de la voleuse qui devra comparaitre devant le  tribunal correctionnel. Elle risque une condamnation a plusieurs mois de placement dans une maison de correction ou elle sera sûrement fessée, humiliée et punie à nouveaux.



Modèle sur les photos Teen Brandi.


Liens :


Une éducatrice très sévère.


Châtiments corporels.


jeudi 30 décembre 2021

Fessées et punies toutes nues en pensionnat pour jeunes filles

Humilier, dresser, fesser et punir en pensionnat.
Humiliante fessée toute nue !

 

Châtiments corporels, humiliation et fessée en pension.


Les jeunes filles en difficultés âgée de 18 à 26 ans peuvent être placée dans des foyer de correction pour personne ayant des problèmes d'insertions sociales.


Ces pensionnats ont des règlements intérieurs très strictes qui prévoient des punitions physiques et des châtiments corporels (fessée, martinet, cannes) et des humiliations (nudité, exposition, ligne à copier etc.).


Mélanie et Sarah ont 20 ans, et elles racontent que chaque semaine, les filles étaient punies et humiliées en public par l'éducatrice principale du foyer.


En effet tout les vendredi en début de soirée, les filles ayant violer le règlement intérieur ou des mauvais résultats scolaires ou dans leurs formations sont convoquées pour être sanctionnées et remises sur le droit chemin.


L'éducatrice aime faire ressentir un fort sentiment d'humiliation aux filles pour leur bien. Elle oblige les pensionnaires à se déshabiller complètement et publique, les filles punies doivent être totalement nues pour être plus soumises et vulnérables. Les filles sont nues de la têtes aux orteils avec l'interdiction de cacher leurs seins, fesses, et chattes qui doivent être exhibées et visibles dans aucunes obstructions.


Les filles perdent vite toute notion de pudeur après plusieurs sanction elles s'habituent à la nudité punitive. L'éducatrice oblige les filles a faire un acte de repentance publique toute nues avant de devoir s'allonger sur les genoux de la femme dominante pour y recevoir une fessée stricte et sévère.



Une fille s'apprête a recevoir une fessée à poil (spanked naked).
Se déshabiller et se présenter nue avant la punition (fessée).

Liens :


vendredi 1 octobre 2021

Les brimades et humiliations en centre éducatif fermé (foyer).

 

Un groupe de fille humiliées et dégradées nue.
Humiliation et brimades collective en pensionnat.

Brimades  et humiliations sexuelles au CEF (Centre éducatif fermé) pour jeune filles.


Pour faire face à la délinquance et a la radicalisation, les simples mesures répressives ne suffisent pas, le gouvernement à fait ouvert plusieurs Centre éducatif fermés , des établissements mixte, intermédiaire entre la prison et le pensionnat.


Dans la presse, il a été rapporté que des jeunes femmes disent subir des traitements dégradants et humiliants de la part des éducateurs et du directeur.


Les jeunes filles délinquantes ou en voie de radicalisation pour éviter d'aller en prison se voient proposer des placements dans ces foyers collectif dans le but de leur apprendre la discipline et les bases de la vie en société. 


Le règlement y est très stricte. Les pensionnaires doivent porter un uniforme (Chemisier blanc, jupe noire, veste, collants, chaussure de type escarpins, manteau, une tenue de sport, une tenue de nuit etc.), tout vêtements civiles venant de l'extérieur est interdit dans les locaux. La direction préfère imposer un uniforme pour mettre toute les filles à égalité, faire respecter le principe de laïcité en interdisant le port de tout signes religieux distinctif et les couvres chefs.


Les filles sont soumises  une discipline très stricte et doivent prendre leurs repas toutes ensembles au réfectoire commun.


L'une des pratiques dénoncés par les jeunes filles est la fouille à nu, en effet les pensionnaires se plaignent de devoir souvent se déshabiller complètement pour subir des inspection et mettre les mains sur la tête et se faire contrôler les anus, vagins, bouche, orteils sans aucun respect pour la pudeur et la dignité.


Le directeur de l'établissement justifie ces inspection pour des raisons de sécurité : vérifier que les pensionnaires ne dissimulent aucun objets illicite et pour des raisons éducatives : contrôler l'hygiène et la propreté des filles, celles dont les manquements sont constatés sont punies, souvent par des châtiments corporels humiliants (fessées, coups de cannes, bastinado etc.).


Elle reçoit une fessée toute nue.
Une bonne fessée toute nue sur les genoux du directeur.

Les méthodes éducatives sont aussi dénoncés, en effet les éducateurs sous prétextes d'endurcir les filles et de les éduquer, et pour montrer leur autorité forcent régulièrement les filles à s'exhiber nue, à courir et à danser à poil, a avoir des relations lesbiennes, à se masturber en publique, les fessées et autres châtiments corporels sont eux aussi délivrés devant tout le monde pour l'exemple.


Fille humiliée et punie toute nue.
Les humiliants châtiments corporels à poil.



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dimanche 6 juin 2021

Maison de correction pour jeunes filles.

 

Discipline stricte dans le foyer pour jeunes filles les inspections corporels nues.
Les filles se déshabillent dans le dortoir pour l'inspection du soir.

Des filles humiliées par les éducateurs du foyer pour jeunes femmes.


Un nouveau scandale en vue pour l'ASE ? dans un foyer pour jeune femme qui accueillent des jeunes filles   de 18 à 21 ans en contrat jeunes majeurs en difficultés d'insertion sociale ou avec des problèmes éducatifs, il s'est passé des choses qui ont été révélé dans la presse locale.


Les éducatrices y sont très strictes et avaient pour habitudes d'imposer des traitements dégradants et humiliants aux pensionnaires. En général elles passaient le soir avant le couché dans la chambre des filles pour des inspections justifiées pour des raisons d'éducation (s'assurer de la bonne hygiène des jeunes filles) et de sécurité.

Après  être allée aux toilettes et avoir pris la douche obligatoire, les filles doivent aller dans leurs chambres et elles doivent se déshabiller devant les éducatrices, elles enlèvent la totalité de leurs vêtements.

C'est très difficile pour certaines filles pudiques et réservées de se mettre à poil les unes devant les autres sous le regard inquisiteur des surveillantes.

Les filles sont alignées nues les mains sur la tête et les jambes écartées pour qu'on contrôle leurs vagins et leurs anus.

Pour dormir seulement une nuisette est autorisée, la culotte interdite.


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mercredi 26 mai 2021

Centre éducatif fermée pour jeunes filles.


Fille soumise à une fouille à nue en pensionnat pour jeune femme.
Toute nue les fesses rougies avant la fouille.


De la discipline dans les centre éducatifs fermés pour femmes.

Le ministère de l'intérieur et le ministère de la justice ont décider d'ouvrir des centres éducatifs fermés (maison de correction) pour les jeunes femmes délinquantes et radicalisées dans leur but de refaire leur éducation et de leur apprendre les règles d'ordre et disciplines de la société. Le foyer qui accueille les jeunes filles à un règlement intérieur très stricte.


1/ Tenue vestimentaire.

Les pensionnaires sont habillées par l'établissement,  aucun vêtements civils extérieurs ou objets personnels n'est autorisé. Tout signe d'appartenance communautaire ou religieux est également prohibé. Le foyer fournit les tenues réglementaires.

Deux uniformes jaunes de prisonniers.


Un manteau gris pour l'extérieur.


Des sous vêtements roses.


Une chemise de nuit obligatoire le soir.


Un peignoir.


Une paire de tong.


Une paire de chaussure de sport.


Des produits d'hygiènes sont à disposition.


2/ Horaires.

Le petite déjeuné est pris a 07h00.


la douche à 07H30.


Le levé du drapeau  et l'hymne nationale dans la court à lieu et 08h00


De 09h00 à 13h les pensionnaires suivent leur formation professionnelle ou leurs cours.


Déjeuner de 12h à 15h au self.


3/ Dortoir.

Le dortoir est collectif et toutes les filles doivent être couchée à partir de 22h00 extinction des feux. 


le réveil se fait à 06h00.


4/ Discipline et sécurité.


Pour des raisons de sécurité les éducateurs et surveillants ont le droit de procéder à des fouilles et de faire se déshabiller les pensionnaires pour des inspections complète comprenant l'anus, la bouche et le vagin.

Le foyer applique des châtiments corporels et humiliants en guise de sanction pour les jeunes filles.

Les fessées ont lieu en public, des filles peuvent être exposée entièrement nue devant le public, des coups de badines, de cravache, de martinet sont aussi possible.


Liens :


Punie par l'éducatrice.


Vidéo d'une femme fessée nue.