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vendredi 21 juillet 2023

Le traitement et les interrogatoires des prisonnières.

La procédure humiliante imposée aux femmes dans cette prison.
Une prisonnière nue et enchainée.


L'unité ou sont détenues les femmes prisonnières d'Abou Ghraib en Irak.


Les femmes arrêtées par les troupes d'occupation et qui considérées comme étant des détenues de haute valeur ou "De sécurité" dans la terminologie officielle américain sont en général transportées dans l'unité de la prison d'Abou Ghraib prés de Baghdad. Ces femmes peuvent être des scientifiques, des professeurs, des anciennes responsables du parti au pouvoir ou de l'ancien régime, des femmes suspectées de financer ou soutenir la rébellion, ou simplement les filles, épouses, cousines etc. d'un homme activement recherché par la coalition et elles servent de moyen de pression et  sont utilisées pour faire du chantage sur les rebelles et les inciter a se rendre.

Les méthodes  les plus répandues et utilisées par les américains en vue des interrogatoires renforcés des détenues (Enhanced Interrogation) pour extraire des informations sont énumérées ci dessous : 

- Nudité : Les femmes sont traitées comme les hommes et sont interrogées et gardées entièrement nues.  Les responsables des interrogatoire estiment qu'il faut utiliser les tabous culturels et religieux ne pas faire d'exception pour les femmes. La grande majorité des prisonnières sont  musulmanes conservatrice avec des habitudes traditionaliste et portent le voile (hijab) et des robes larges et amples en signe de respect pour leur culture qui demande aux femmes d'être pudiques et modestes. La plupart sont très choquées lorsqu'elles doivent se mettent nue et ont l'interdiction de porter des vêtements.

- Confinement et pression mentale : Elles sont souvent entravée et retenues dans de petites cellules vides et  sombres, sans  le moindre confort, sans literie, et bien sur sans vêtements. Il est à noter que pour inviter les prisonnières à coopérer pleinement, , les interrogateurs proposent d'accorder du confort aux prisonnières : comme être autorisée a s'habiller, dormir sur matelas,  avoir meilleur nourriture, accéder à la lecture, obtenir le droit de sortir plus souvent, de cellule, faire diverses activités, ne plus avoir de chaines ou de menottes etc., En échange d'une coopération , c'est a dire avant tout donner des informations et obéir docilement. Ce chantage est au coeur du processus de coercition physique et psychologique.

- Fouille : De plus les fouilles et inspections corporels sont très fréquentes, et les hommes peuvent fouiller les femmes au mépris des conventions de Genève. Les femmes sont soumises a des fouilles vaginale et rectale très strictes et très souvent selon le degré de vigilance décidé par la direction. L'une des prisonnière s'est plainte au CICR de subir plus de 6 inspections de ses  cavités intimes par jours par un gardien homme, qui lui insère ses doigts dans les fesses à chaque fois.

- Humiliations : Obligation de marcher nue en dehors des cellules, pour se rendre aux interrogatoires, aux douches, aux visites médicales, dans la cours de promenade. Certaines même disent être forcées de travailler nue. Ces exhibitions se déroulent devant les gardiens mais aussi devant les autres prisonniers, avec par exemple le témoignage d'une ancienne détenue qui nous informe que les femmes doivent à tours de rôle distribuer les repas dans le secteur des hommes, totalement nues et pieds nus.

Debout et nue en attente de l'interrogatoire.
Photo d'une prisonnière nue devant un garde.



- Prise de photos et de vidéos : Les prisonnières sont photographiées nues dans des positions obscènes avec souvent des graffitis insultants et a connotation sexuel sur le corps. Les gardiens menacent régulièrement les femmes d'envoyer les images compromettantes à leurs familles, ce chantage met une grande pression sur les prisonnières. Les photographies sont aussi diffusés et échanger régulièrement entre gardiens, elles auraient une valeur marchande. 

Chantage: les prisonnières prisent nues en photo dans les postures dégradantes et menace de diffusion des photos à leurs familles.
Une prisonnière photographiées nue dans une position obscène.



Stress position : Elles sont régulièrement obligées de rester dans des positions difficile, pendant plusieurs heures. Comme par exemple rester les mains sur la tête, ou accroupi sur de longue période.


Liens :






dimanche 22 janvier 2023

Le processus d'admission des femmes prisonnières (mise à nue, photographie, gynécologie etc.)

Prisonnière forcée de se mettre nue.
Femme nue en détention.

Comment est ce que les femmes suspectée de liens terrorisme sont traitées par l'administration ?

Après les attentats du 11 septembre 2001, le gouvernement des Etats Unis d'Amérique a décider de lancer plusieurs guerres en riposte et d'ouvrir des camps de détention partout dans le monde pour garder en captivité toute personnes suspectées de menacer la sécurité nationale US.


En Irak les forces de la coalition internationale ont rouvert la prison d'Abou Ghraib à coté de la capitale Baghdad,  célèbre pour ses abus et humiliations subies par les prisonniers aux mains de la police militaire américaine. 


Des femmes en nombre certes assez limité ont séjournées dans cette prison avec des conditions de vie et d'encadrement très strictes et choquant pour les femmes incarcérées tellement les humiliations, les vexations et les punitions arbitraire sont fréquentes et gratuites.


Une jeune femme mentionnée sous le pseudonyme de Nassira, 22 ans, détenue 7 mois sous l'accusation abstraite de liens avec l'ancien régime, s'est plainte selon le rapport des enquêteurs d'avoir été soumise à des traitements qu'elle estime dégradant  au processus standard d'admission des prisonniers.


Nous avons demander a d'ancien cadres du complexe pénitentiaire 


Q: quoi ce processus consiste t'il ?


Dès leur arrivée, les femmes comme Nassira que vous venez de mentionner se retrouvent dans un environnement très différent de celui auquel elles sont habituées. L'un des premiers qu'elle a reçu est celui de se déshabiller immédiatement et de mettre ses vêtements, montres, bijoux et tout effets personnels dans un petit carton de stockage puis présenter son corps aux gardiens chargés de la fouille et de l'inspection.


Q: La détenue Nassira déclare avoir du se déshabiller devant des hommes et même de devoir retirer sa culotte et sa montre et qu'on lui a même fait ôter son tampon hygiénique, est ce vrai ?


Oui, les gardes ont des consignes strictes a faire appliquer, les femmes doivent tout enlever, leurs effets personnels et tout ce qui ce trouve sur leurs corps avec lequel elles ne sont pas nées est confisqué.

Cette méthode d'introduction permet de montrer aux prisonnières qu'en arrivant ici elles n'ont plus aucun droit, en particulier le droit à la pudeur et à l'intimité.

Et donc  oui les gardiens hommes peuvent participer aux fouilles  des prisonnières  et inversement les femmes peuvent mettre à poil les détenus masculin. C'est une politique voulue et choisie.

Nassira comme la majorité des prisonnière est  très pudique de par son éducation très conservatrice arabe et musulmane et porte une long voile et une longue robe pour cacher tout son corps. Quand les agents lui ont donner l'ordre d'enlever ses vêtements elle s'est montré assez protestataire et a commencer a enlever ses vêtements que quand deux agents baraqués ont menacer de lui arracher ses habits de force. 


Q : Le rapport dit aussi d'une fois en sous vêtements elle a supplier de pouvoir conserver son slip 


Oui c'est une jeune femme très pudique pour qui le déshabillage est très difficile au début mais les gardes l'on mise  obliger a se mettre totalement  poil 


Q : La détenue se plaint d'avoir été promenée nue de façon délibérée  et prise en photo sans aucun vêtements par les gardiens, pouvez vous nous en dire plus ?


En effet les interrogateurs et les responsables de la prison ont découvert que le fait de déshabiller complètement une femme est un outil de contrôle très puissant augmentant nettement l'humiliation ressentie. Surtout en présence de public du sexe opposé  et des autres prisonniers dont certains pourraient être de sa famille ou de son quartier. Après la fouille de Nassira qui comprend un examen gynécologique et de l'anus, elle a été emmener dans une pièce d'identification pour une prise de photographie.


Elle déteste devoir défiler sans culotte ni aucun vêtements devant le staff pourtant c'est les règles établies de la prison, la prisonnière doit être exposée , d'ailleurs les gardes prennent tout leurs temps pour "découvrir" la nouvelle et comment elle est foutue. C'est aussi un moyen de faire comprendre qu'ici c'est les américains les patrons.


Liens : 


Histoire BDSM de prisonnière.


Briser l'égo et dégrader les prisonnières.

lundi 19 décembre 2022

Punitions perverses et vicieuses en prison

Prisonnière parade nue en prison.
Nudité totale.


Prisonnière  placée nue et humiliée en confinement solitaire.


Le scandale causé par la révélation dans les médias des actes de tortures, humiliations et sévices infligés par les gardes et soldats américains durant la guerre d'Irak (2003/2011) sur les prisonniers.


Les enquêteurs ont découvert que la nudité était utilisée massivement pour punir et installer une discipline de fer dans la prison. Un témoin anonyme raconte avoir vue une femme obligée de se mettre nue et placée dans une cellule punitive en confinement solitaire.

La prisonnière a 31 ans, c'est une femme irakienne de classe moyenne connue dans les fichiers sous le nom de Rania, un jours les gardes l'ont accuser de  dérober de la nourriture et  de manger illégalement sans réelles preuves des rations réservées aux américains.

Cinq gardes sont arrivés dans sa cellule pour lui imputer des larcins. 

Ils lui ont dit autoritairement "Nous savons que tu pique des paquets de bouffe, tu va être punie, nous allons te retirer tout ton confort et vider ta cellule de tout matériel de couchage  et te mettre au trou connasse.

"Nous allons aussi prendre tout tes vêtements et te mettre toute nue pour te punir."

Les gardes utilisent les mises à nu pour contrôler et maintenir la crainte et la terreur sur les prisonniers, en particuliers les femmes qui craignent spécifiquement la nudité forcée.

Les femmes prisonnières arabes sont culturellement très conservatrice, et leur religion leur enseigne la pudeur, la modestie, l'obligation de cacher son corps. Les américains prennent un malin plaisir à humilier les femmes  en les faisant retirer leurs vêtements devant tout le monde.

Se retrouver nue et retirer sois même ses vêtements devant des hommes, le staff pénitentiaire mais aussi devant d'autres prisonniers qu'elle connait peut être est terriblement humiliant pour Rania.

"Lorsque un prisonnier enfreint les règles, il est sanctionné, nous lui enlevons tout conforts, et surtout nous le mettons à poil pour l'exemple ça fait partie de nos méthodes de punition. C'est notre coutume, nos pratiques et nos règles. L'humiliation fait partie intégrante de la punition, toi ça te fera pas de mal d'être exhibée cul nu ça t'apprendre un peu l'humilité, alors, à poil !."





Humiliée et exhibée nue sans pudeur.
Attachée et exposée nue.

 


Liens : 




dimanche 19 juin 2022

Innocente arrêtée et soumise à la torture et aux humiliations

 

Deux femmes nues fessées lors d'un interrogatoire musclé.
Deux prisonnières nue torturées humiliées et fessées avec une canne.

En 2004 lors de l'invasion américaine de l'Irak sous le faux prétexte des armes de destruction massive et du sois disant soutien du régime au terrorisme international les Etats Unis ont eu beaucoup de difficultés à conquérir et surtout  maintenir l'ordre contrôler et contrôler le pays. Les dirigeants US ont choisi de mener une politique agressive pour tenter de vaincre la rébellion et les atteintes aux droits de l'homme se sont multiplier.


Un étudiant rapporte que lui et sa fiancée, Sara ont été arrêtés par les forces spéciales américaine car un de ses cousin éloigné est suspecté d'être impliqué dans la résistance et est recherché. Elle n'a aucune nouvelle de lui depuis plusieurs années et n'a aucune implication dans la rébellion et est totalement innocente.


Les troupes d'élites ont fait irruption dans la maison familiale pour la capturer et ils ont par la même occasion arrêter plusieurs personnes dans le quartier dont le futur époux de Sara.


Ils ont été ligotés et bâillonnés avant d'être  jetés dans un fourgon militaire avant d'être transférés dans un centre de détention et d'interrogatoire militaire.


La jeune fille et les autres captifs sont soumis aux traitements standard que les USA imposent. Sur place la jeunes filles et d'autre malheureuses arrêtées avec elle, bien que très pudiques et voilées de la têtes aux pieds sont obligées et se déshabiller devant les militaires américains. Celles qui tentent de résister sont mises à poil de force avec leurs vêtements découpés.


La nudité est imposée systématiquement et les autres prisonniers dont sont petit ami ont pu voir Sara toute nue et honteuse menottée les mains dans le dos. Les responsables et stratèges américains considèrent la nudité forcée comme un outil coercitif et de discipline très efficace et facile à mettre en oeuvre qui ne coute rien (pas la peine d'acheter des uniformes orange ou jaune de prisonniers). C'est très humiliant et déstabilisant pour Sara car elle n'a jamais exposé son corps dénudé et c'est dégradant pour elle d'être moquée et vue par tour le monde sans aucun vêtements. Les américains exhibent les femmes prisonnières nues comme des trophées pour rabaisser le plus possible leurs égos et les rendre docile.


Les pauvres victimes sont pour le plaisir des gardiens forcer d'écarter grand leurs fesses pour ouvrir leurs chattes et anus pour des inspections publique en profondeur.


Ensuite dans la salle d'interrogatoire, Sara est molestée et subie divers châtiments corporels en compagnie d'autres détenues d'infortune. Elles sont soumises notamment au supplice de "la perche" qui consiste à attacher toute nue la captive à une sorte de perche de perroquet pour lui fmetre des coups de cannes dans les fesses et  oui flageller les plantes des pieds (falaka, bastinado).


Après les pieds des suspectes sont aussi longuement chatouiller et lécher jusque a ce que ce soit insupportable


Nudité humiliation et châtiments corporels lors des interrogatoires musclés.
Torture d'une prisonnière nue avec la perche du perroquet (ass and feet).

Elles sont aussi promener nues et forcer de servir les repas des hommes, de faire le ménage jusque a ce que les services de renseignements obtiennent des aveux pour envoyer les femmes prisonnières à Guantanamo Bay ou à Abou Ghraib.


Liens :


Interrogatoire renforcé.


Visite d'une prison réputée pour sa dureté.


vendredi 15 avril 2022

Humiliation sexuelle et cultuelle maximale en prison.

A woman forced to strip naked in prison.
L'humiliation d'une prisonnière nue pendant la fouille (strip search).

 Une prisonnière humiliée, dégradée et maltraitée en prison.


Durant la seconde guerre du golfe (2003/2011), les Etats Unis pendant l'occupation de l'Irak ont ouvert différent centre de détention dans lesquels la torture, les humiliations, les sévices, brimades et particulièrement la nudité forcée.


Lorsque certains actes de tortures et d'humiliations ont été révélés à la presse, il y a eu un scandale concernant la prison d'Abou Ghraib près de Baghdad. Les autorités américaines ont réfuter toutes responsabilités et ont accuser des brebis galeuses d'être les seules coupables des actes d'humiliations sur les prisonniers.


Pourtant selon plusieurs sources concordantes des techniques d'interrogatoire musclés et des consignes pour maltraiter et humilier les détenus ont été approuvé par le secrétaire d'Etat à la défense le secrétaire d'Etat à la justice et par les plus haute autorité du renseignement militaire.



Les gardiens et les policiers militaires qui gèrent la prison ont bien reçu des consignes venant d'en haut visant à maltraiter et humilier les personnes privée de liberté et de les traiter pire que des chiens. 


Lorsque qu'une femme prisonnière est arrivée connue sous le pseudonyme de Hind, car les femmes sont relativement peu nombreuses,  les équipes ont interrogé des responsables sur comment les traiter, et des consignes leur ont donné officieusement été données :



"Lorsque cette détenue arrive, soumettez là à une pression maximum elle doit être maintenue dans un état permanent de soumission et de honte. N'ayez pas de doute, ne ressentez pas la moindre empathie ou pitié pour elle, car elle détient peut être des informations stratégique extrêmement importantes que nous devons savoir. Lorsqu'elle arrive, il faut lui faire comme avec les hommes, lui imposer une fouille à corps très complète et toute nue.


Il ne faut montrer aucun respect pour sa pudeur, sa culture, sa religion, les gardes hommes comme femmes peuvent participer à l'opération d'inspection de sécurité car se déshabiller devant un homme pour une femme arabe et musulmane pieuse e respectable est une très grosse humiliations, les gardes et les interrogateurs doivent jouer dessus. L'obliger à retirer tout ses vêtements est déjà un acte dégradant.


Sa religion lui impose d'avoir un comportement pudique et de couvrir tout son corps, avant d'utiliser la force si elle refuse de se dénuder, mettez lui la pression maximale en l'a menaçant et lui expliquant que de gré ou de force elle va se retrouver à poil et que tout résistance est inutile et ne ferait qu'accroitre son calvaire. C'est mieux que ce soit elle même qui retire ses propres habits.


Pendant son déshabillage, tournez autour d'elle, faite des remarques sur sa tenue vestimentaire, puis sur son corps quand elle le découvre. Interdisez lui de porter son voile et toute tenue traditionnel ayant une valeur personnelle ou culturelle pour elle. Elle doit comprendre qu'ici elle n'a plus le droit d'exprimer la moindre personnalité et qu'elle est sous notre contrôle totale, elle n'a plus de maitrise sur son corps ni sur son apparence physique.


Faite lui tout enlever, aucun vêtements ne doit lui être laissés, prenez lui tout même sa culottes, ses chaussettes, ses bijoux, boucles d'oreilles, et même les élastiques de ses cheveux ou ses tampons hygiéniques si elle en porte !


Lors des fouilles inspectez lui bien les cheveux, la bouche, les oreilles, les aisselles, sous les seins, le nombril, écartez lui les fesses pour vérifier scrupuleusement dans son anus et son vagin et aidez vous d'une lampe et n'hésitez pas à y introduire un doigt ganté. Regardez aussi ses plantes de pieds et ses orteils.


Faite des commentaires salaces et prenez du plaisir à voir sa déchéance surtout quand elle écarte ses fesses pour vous montrer son trou du cul ouvert.
 

Rasez lui les parties intimes, faite lui faire des squats toute nue les mains sur la tête et tousser fort pour la rabaisser. Vous pouvez rire devant elle de sa situation ridicule et de sa nudité.


Confisquez lui tout, puis faite la parader à poil jusque dans sa cellule ou elle doit rester totalement nue et pieds nus. Lors de la marche vers sa cellule dites lui que ce soit vrai ou pas que parmi les prisonniers, il y a des hommes de sa famille, de son voisinage, etc. Ça l'humiliera beaucoup plus et c'est bien plus efficace. 

Demandez lui pour rire ce qu'elle ressent d'être exposée les seins, la chatte et les fesses à l'air devant sa famille.


Elle n'a pas le droit de porter le moindre vêtements.elle ne possède rien et son corps doit etre exposé et accessible à le vue de tous.


Cette technique de préparation aux interrogatoire est très efficace."



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mardi 31 août 2021

Histoire BDSM de prisonnière : La nudité imposée

 

Humiliation et exposition à poil d'une femme prisonnière
Prisonnière exhibée et humiliée nue par les gardiens de la prison.



Un interrogateur militaire se souvient d'une détenue nue.


Un ancien membre de la police militaire américaine chargé des interrogatoires des prisonniers de guerre entre les mains des forces US dans la prison d'Abou Ghraib en Irak témoigne sur les actes de tortures et de mauvais traitements ordonnés par les plus haut gradés de l'armée et les autorité du pénitencier.


"En 2003 et 2004, nous étions en guerre sur le multiples terrains d'opération dans le cadre de la lutte globale contre le terrorisme. En Irak les Etats Unis avait unilatéralement décider de renverser le régime irakien qui n'avait rien à voir avec le terrorisme d'ailleurs, c'était une grosse erreur politique.


La pression pour trouver des armes chimiques et des anciens responsables était très forte et venait de la présidence et du secrétariat à la Défense. C'est dans ce contexte, l'armée m'avait recruter et affecté en Irak, comme interrogateur dans la prison d'Abou Ghraib.


 L'une des premières choses que j'ai remarqué est que les simples gardiens et surveillants de la prison ont reçue pour consignes en vue d'adoucir  les prisonniers et les rendre coopératifs, c'est à dire les faire parler, les faire dire tout ce que nous voulons savoir pour étouffer la rébellion, arrêter les membres de l'ancien régime et les terroristes.


L'une des choses les plus marquante au début, c'est que les prisonniers à interrogés sont toujours amener nus dans les salles d'interrogatoires. 


Lors d'un raid les forces spéciales ont mis la main sur une jeune femme, Radia, âgée  d'environs 27 ans, proche cousine  d'un cadre de l'ancien ministre de l'intérieur recherché activement par la coalition. C'est une prise importante pour l'armée qui estime qu'elle peut détenir des informations importantes sur les personnes que nous cherchons.


Lorsque elle est arrivée, le processus d'admission est très proche de ce que nous faisons aux Etats Unis dans une prison de haute sécurité. Les hommes comme les femmes sont fouillés strictement même si le manque de moyens ne permet pas de garantir le respect de l'intimité des détenus.


La prisonnière a du se déshabiller devant trois gardiennes par une fouille corporelle dégradante. La nudité totale est exigée pour des raison de sécurité, la prisonnière qui est pudique et très religieuse a été obliger de défaire tout ses vêtements. C'est une épreuve très difficile pour une femme culturellement pudique qui n'a jamais oser mettre un bikini pour aller à la plage ou à la piscine que de retirer ses habits alors qu'elle est visible par des soldats hommes. 

Stress position : une femme forcée de reste à poil attachée aux barreaux de sa cellule.
Prisonnière nue attachée aux barreaux de sa cellule.


Retirer son voile, sa robe, ses chaussures, mais également les sous vêtements et les bijoux est difficile, surtout qu'on n'a pas épargner à la détenue un examen de ses cavités anales et vaginales. Normalement après la fouille, il aurait fallu donner un uniforme de prisonnière jaune ou orange à la détenue et une paire de tongs. 

Cela n'a pas été fait pour sous le prétexte officiel de manque d'uniforme, et parce que officieusement les détenus de valeurs doivent être gardés nus jusque à ce qu'ils se montre coopératif.


Les gardes m'ont plus tard aussi avouer qu'ils préféraient garder sans aucun vêtements les détenus pour mieux les contrôler et dominer pour des raisons de sécurité et par la chaleur, et parce que c'est "Fun" de les foutre à poil surtout les quelques femmes.


Bien sur les voiles et tenues traditionnelles ou a connotation religieuses sont strictement interdites par le règlement de la prison pour les femmes musulmanes incarcérées donc il est impossible de remettre ses vêtements civils à Radia. La politique consiste à imposer des humiliations et des vexations a caractères culturels et religieux donc les détenues femmes  ne peuvent pas porter de voile même si c'est autorisé dans certaines prisons aux Etats Unis. ici c'est la stratégie choisie pour faire parler les détenus.


La prisonnière est donc amenée nue dans la salle d'interrogatoire pour répondre aux questions.


Bien sur, une pauvre femme comme elle parle très rapidement, elle dit tout ce qu'elle sait, et invente des choses pour nous faire plaisirs en espérant que son cauchemar s'arrête. Elle n'a aucune information intéressantes et ce qu'elle dit et même dangereux pour le travail des forces armées car aller vérifier nous fait perdre du temps et met en danger les soldats sur place.


Malgré tout la prisonnière a été humiliée régulièrement par les gardes, elle était attachée dans les escaliers dans une postures stressante et exhibée à poil les cuisses écartés pour que tout le monde voit sa chatte ouverte.


Il n'était pas rare non plus de la voir attachée nue aux barreaux de sa cellule à la vue de tous.


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Sévices et nudité en prison.


Le scandale du traitement des prisonnières.












vendredi 27 août 2021

Humiliation et dressage des prisonnières.

 

humiliation et nudité forcée
Humiliante fouille des anus des prisonnières.

Cruauté et discipline en prison.


Des gardes américains dans la prison militaire d'Abou Ghraib en Irak humilient régulièrement les prisonniers. Dans l'aile ou sont retenues les femmes prisonnières les conditions de détention sont très diffuse et humiliantes.


Un témoin,  proche d'une ex détenue qui est sa cousine  rapporte que les femmes  sont gardée dans des  petites cages ouvertes de deux mètres sur deux  sans aucun confort ni aucune intimité, avec un seau d'eau pour faire leurs besoins naturels , une couverture pour celles qui sont coopérait et une assiette et rien d'autre. Les femmes dorment à même le sol. 


Sa cousine, une jeune femme,  lors de son arrivée a été forcée de retirer ses vêtements et de se mettre nue pour une fouille à corps complète en publique. Ensuite la détenue à du parader  et déambuler en tenue d'Eve dans les couloirs de la prison jusque a se retrouver jetée dans une "cellule" digne d'une cage de chien dans un chenil.


Les prisonnières sont enfermées nues et gardées sans le moindre vêtements. Les américains leur impose des fouilles anales plusieurs fois par jours pour briser tout pudeur et toute dignité chez les femmes.



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lundi 16 août 2021

Internement psychiatrique humiliation et nudité.

 

Une patiente internée abusivement a l’hôpital psychiatrique humiliée.
Jeune patiente nue à l’hôpital psychiatrique.

Une jeune femme abusivement internée en hôpital psychiatrique humiliée.


Les médias rapportent une nouvelle polémique sur les internement psychiatrique sans consentement et les abus qu’il y a en France.


Les abus se multiplie et de plus en plus de citoyens se retrouvent hospitalisés sans leur consentement dans des hôpitaux et des cliniques privées dont les règles de fonctionnement sont très opaques et peu respectueux des droits de l’homme.


Jordana, une jeune femme de 25 ans est tombée dans e piège de son ex petit ami qui l’a fait interner sans son consentement pour se venger de leur séparation et de la sois disant paresse sexuelle de la jeune fille.


L’homme à utiliser une de ces connaissances dans le milieu médical pour produire de faux certificats médicaux. Il a ensuite avec l’aide d’un complice été porter plainte au commissariat de police en disant que Jordana aurait dévorer plusieurs chats en se roulant dans la boue (sic).


Le garçon et son complice avaient eux même capturé plusieurs chats et les riverains s’étaient plaint de la disparition de leurs félins.


Les policiers ont tout de suite cru l’histoire et le préfet a ordonné l’hospitalisation sans consentement de Jordana.


La jeune femme a passer 15 jours dans un hôpital psychiatrique privé dont elle est ressortie très choquée.


Après quelques vérifications d’identité les policiers sur ordre de la préfecture ont transféré la jeune vers l’asile.


A son arrivée les infirmières ont accueilli la jeune patiente pour lui expliquer la situation et lui donner les consignes.


L’une des premières choses dans ce centre psychiatrique est que les patients sont gardés complètement nus. 


Jordana a d’abord reçu pour consignes de se dévêtir entièrement. La jeune fille a cru halluciner et à refuser de retirer ses vêtements et dit clairement « Il est hors de question que je me déshabille devant vous ». 


Après plusieurs sommations et rappel du règlement, les infirmiers ont décider d’agir. Ils ont l’habitude de mater les nouvelles patientes un peu rebelle.


Pour des raisons de sécurité le personnel médical a le droit d’utiliser la force et la contrainte et ils ont dévêtues de force Jordana.



La nudité totale est justifiée par l’instabilité mentale présumée des personnes internées. La jeune fille est totalement dépouillée de ses effets personnels, de ses vêtements, sa montre, son téléphone tout lui est confisqué.

La jeune femme doit rester plusieurs jours entièrement nue et pieds nus dans sa chambre.


Jordana est réveillée à 07h tout les matins pour un petit déjeuner. Ensuite elle est conduite toute nue à la douche  son corps est exhibe à tous dans les couloirs.


Une fois dans la salle de douche, la patiente est lavée et passée au jet d’eau par les infirmières. C’est très humiliant.



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mercredi 30 juin 2021

Prisonnière nue derrière les barreaux

Nudité forcée en confinement solitaire.
Prisonnière nue derrière les barreaux de sa cellule.

Déshabiller les prisonnières en confinement solitaire (isolement).


Dans la prison militaire américaine d’Abou Ghraib, qui contient un block cellulaire dans lequel sont gardés en détention les détenus de “grande valeur”. La majorité des détenus sont des hommes mais il arrive que quelques femmes y soient détenues aussi.

Elles sont classées comme “prisonnières de sécurité” un terme inventé par l’administration américaine du président Bush pour justifier la privation de liberté sans inculpation ni cadre légal de toute personne suspectée de liens avec le terrorisme ou ici sur simple soupçons d’activités contre la coalition internationale menée par les États Unis.
Après les révélations dans la presse qui ont fait scandale, plusieurs organisations internationales et ONG se sont intéressés à la situation dans ce centre de détention.

Une jeune femme, Latifa, 24 ans  recherchée par sa famille après avoir été arrêtée a un barrage routier est retenue en isolement dans cet endroit depuis 4 mois pour être suspectée d’avoir hébergé des rebelles.

Lorsque qu’elle est arrivée à l’unité d’isolement  la jeune prisonnière a été soumise à une fouille à nu selon la procédure.

Les autorités administratives admettent que la prisonnière doit se déshabiller devant 4 agents de la prison. Latifa a du retirer tout ses vêtements, ses bijoux, sa montre, et tout ses effets personnels. Elle a même dû retirer son tampon pour les règles.
La prisonnière une fois nue doit défaire ses cheveux, ouvrir la bouche, soulever ses seins, faire des flexion de jambes, puis se retourner et se pencher en écartant les fesses en toussant fort pour s’assurer qu’elle ne cache rien dans son anus.

Elle a été aussi obligée de se mettre nue devant des gardes hommes pendant ce processus et la scène a été enregistrée par un garde avec une caméra.

La direction de la prison autorise le fait de filmer les fouilles à nu (strip search) pour s’assurer qu’il n’y ait aucun abus et aucunes agressions sexuelles  sur les prisonnières.

C’est un moyen de prévention qui est vécue comme terriblement humiliant et dégradant par les femmes qui viennent d’arriver.

De plus les prisonniers sont gardés constamment nus sauf les plus coopératifs.


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samedi 26 juin 2021

Une femme gardée nue dans sa cellule de prison (pression psychologique)

 

Nudité forcée, pressions psychologiques et humiliations d'une femme prisonnière
Femme prisonnière nue attachée et exposée aux barreaux de sa cellule.


Prison de haute sécurité et nudité obligatoire.


Yasmine est une femme du moyen orient, elle est incarcérée depuis 7 semaines suite à la loi sur le "Patriot Act" voté par les Etats Unis sous l'ère Georges Bush Jr qui donne le droit aux forces armées américaine d'arrêter et de détenir sans procès ni charge toute personne suspectée de terrorisme ou de porter atteinte aux intérêts des USA.

De plus le secrétaire d'Etat à la Défense à autorisé l'armée et les services de renseignements à utiliser de techniques d'interrogatoires musclés et renforcés dans le but d'extraire toutes les informations nécessaire à la lutte des Etats Unis.


Yasmine à 28 ans, les militaires l'ont arrêtée et placée en détention à Abou Graib, une prison gérée par les  militaires. Elle est détenue dans l'aile des "détenus de haute valeurs" dans la section réservée aux quelques femmes retenues.  

C'est une étudiante en médecine, très bien éduquée, parfaitement anglophone  qui est gardée car suspectée de liens avec les rebelles de part son fiancé qui est très recherché.


Elle est accueillie sur un ton à la fois ferme et relativement amicale par les surveillants de la prison qui commence par lui poser des petites questions sympathique  pour s'intéresser à elle. Yasmine répond froidement et poliment. C'est une femme malgré tout occidentalisée, qui a vécue en Europe et aux Etats Unis de longues années avant de revenir dans son pays. Elle porte quand même une tenue traditionnelle et un long tchador noir par respect des coutumes. 


Elle est ensuite obligée de se déshabiller devant les gardes, elle a beau protester  et demander "Pourquoi enlever mes vêtements ?" les surveillants lui répondent que si la courtoisie ne fonctionne pas, ils utiliseront la force et qu'ils déchireront et arracheront les habits de Yasmine si elle tente de résister, et qu'ils sont beaucoup plus costaud qu'elle.


Elle répond qu'il y a des hommes et qu'elle préférerait faire ça devant juste des femmes. Les soldats rigolent et lui disent que ces hommes là voient des seins, des chattes et des fesses de prisonnières tout les jours car c'est leur métier.


Yasmine dégoutée s'exécute et ôte son foulard qui lui couvre les cheveux, elle n'est pas vraiment religieuse, puis ses chaussures, une paire de nike, et elle défait son long Tchador  (robe longue noire)avant de se retrouver en sous vêtements sexy.


L'une des gardienne frappe le mur de sa matraque pour rappeler à la prisonnière qu'il faut "Tout retirer y compris le soutien gorge, la culotte et les chaussettes. car nous devons examiner les gens qui entre en prison." "Nous exigeons que les hommes et les femmes que nous gardons en détention se mettent complètement nus"


Yasmine n'est pas surprise car elle a entendus parler de rumeurs comme quoi les prisonniers devaient retirer leurs vêtements y compris les sous vêtements. La prisonnière retire d'abord ses chaussettes et le contact de ses pieds nus avec le sol pas très propre n'est pas très agréable. Puis elle libère ses seins de taille moyenne, puis termine en faisant descendre sa culotte le long de ses jambes avant de la laisser tomber sur ses pieds et de la ramasser pour la remettre à la surveillante la plus proche d'elle.

La prisonnière est fouillée minutieusement, c'est très humiliant  de se voir examiner la bouche, le fond de la gorge, les orteils, sous la langue, sous les aisselles, le nombril, et même entre les orteils ...


Sans parler l'inspection de l'anus et du vagin au lampe torche avec un doigt ganté et lubrifié qui oblige Yasmine à se pencher dans une position dégradante et à écarter les fesses et les cuisses sans aucune pudeur ni respect. Yasmine doit se montrer docile car elle ne peut rien faire contre le staff du camp.


La femme prisonnière est ensuite entrainée hors de la salle d'accueil, vers les couloirs de la prison. Elle se sent affreusement humiliée de devoir parader ainsi totalement nue devant les autres prisonniers, les soldats hommes et femmes et le personnel administratif de la prison. La plupart des détenus sont nus, pour environs 90 %, quelques uns portent des slips, et seulement un ou deux sont vêtus d'uniforme orange comme à Guantanamo Bay.


En arrivant dans la petite partie des femmes, Yasmine passe devant la cellule d'une autre femme détenue, elle est âgée de 50 ans environs, elle est complètement nue elle aussi. Elle lui dit "Ma fille, je suis détenue depuis 5 mois par les américains et ils nous interdisent de porter des vêtements, je suis nue depuis mon arrivée et je m'y suis très bien habituée. Si j'ai pu le supporter, tu le pourra aussi."


L'ancienne détenue ajoute que "Si tu coopère et parle, peut être qu'ils te donneront une culotte ou un uniforme mais n'y compte pas trop, ils n'ont pas d'uniforme pour les femmes."


Yasmine est placée à poil dans sa cellule, comme pour les autres prisonniers, elle à l'obligation de rester exposée debout dans un coin de sa cellule, pour des raisons de pression psychologique, elle n'a pas le droit de s'assoir ni de s'allonger pendant 8 à 12 heures par jours, et reste attachée nue aux barreaux de la cellule la moitié de ses journées pendant le premier mois.


Liens :


Coercition psychologique lors des interrogatoires renforcés.


Terrible humiliation pour une prisonnière.









mardi 8 juin 2021

Dans une prison américaine ...

 

Deux prisonnière se mettent nues sur ordre
Deux femmes prisonnières se déshabillent devant un gardien.

Pression psychologiques et humiliations pour les prisonnières.


Dans leur lutte pour maintenir la domination et les intérêts des Etats Unis dans le monde et lutter contre le terrorisme et toute forme d'opposition, les forces armées américaine et la CIA sont réputées pour avoir utiliser des techniques de torture dit "légère" qui ne laissent pas de traces physiques ni de séquelles et ne donne pas non plus de douleurs immense. les experts en interrogatoires ont développer diverses méthodes visant à ramollir et préparer les détenus à parler et a être coopératifs. Pour cela un contrôle totale des prisonniers et créer un sentiment d'insécurité, de dépendance complète, et de déshumanisation est nécessaire.


Même si la majorité des suspects arrêtés sont des hommes, quelques femmes sont parfois détenues et soumise à des pressions intenses. Plusieurs femmes ont été obligées de se déshabiller complètement devant des gardes hommes. Comme le cas d'une prisonnière d'Abou Ghraib âgée d'une quarantaine d'années jugées importante car proche de l'ancien régime et de sa fille arrêtée en même tant qu'elle dans une opération de ratissage.


Les deux femmes ont été exposée nue l'une devant l'autre, les contraindre à retirer leurs vêtements l'une devant l'autre est bien plus humiliants pour des femmes bien élevées et éduquées. C'est un moyen d'abattre l'estime qu'elles ont d'elles même et de faire chuter leurs égo avec la technique dit "Ego Down" pour briser la résistance mentale avant les interrogatoires.


Lors de cette opération les gardes n'ont pas hésiter à faire des commentaires humiliants sur les parties intimes des prisonnières et à les prendre en photo à poil en menaçant de montrer les images à leur famille et leurs proches.


Les prisonnières sont à 100% nues, et elles se sentent très honteuses d'être totalement exposées, sans aucun moyens de couvrir leurs seins,  leurs jambes,  leurs vagins,  leurs fesses,  leurs pieds nus des regardes inquisiteurs des gardiens et des autres personnes en détention  et sans  aucune défense face à leurs interrogateurs.



Cette exhibition forcée est très difficile mais ça amuse les surveillants qui depuis qu'ils travaillent dans ce camp de détention ont pour ordre d'humilier les captifs en leur imposant la nudité et des traitements et sévices infamants. Lorsque on demande aux agents pénitentiaires ceux qu'ils en pensent la plupart disent qu'ils font leur travail et qu'ils trouvent parfois "fun" de mettre les captives à poil surtout lorsqu'elles sont très gênées et embarrassées d'être toutes nues devant du public.


Les gardiens aiment leur dire pour se moquer d'elles, qu'elles ne sont pas très respectables car elles sont à poil, et que des femmes bien élevées ne se promènent pas sans vêtements devant les autres.


La mère est rapidement interrogée devant sa fille, elle est soumise à plusieurs orgasme forcés, les surveillantes lesbiennes lui impose de la masturbation à jouissance multiple, léchage , doigt dans le cul, tout ça devant sa fille qui elle même mouille dans ce contexte pervers.



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jeudi 27 mai 2021

Ridiculiser et humilier une prisonnière.

 

Prisonnière nue dégradée sous la douche
Femme nue humiliée en prison.

Une femme nue contrainte de faire des exercices physiques dégradants en prison.


Si le président des Etats Unis  et son secrétaire d'état à la défense démentent avoir donner le moindre ordre de maltraiter les personnes privées de liberté entre les mains des forces militaires, les responsables d'une des prisons gérée l'armée ou sont détenus des prisonniers de "haute valeur" (c'est à dire des captifs politiques, opposants, rebelles, et toute personnes proches de l'insurrection) donnent pour consignes aux gardiens de traiter les prisonniers et les prisonnières comme des chiens, et de les humilier, dégrader, et de les ridiculiser. 


Le but de tout ça serait de "ramollir" les suspects qui sont souvent gardés en dehors de tout cadre légal et dans l'arbitraire le plus total.


L'une des pratiques les plus courantes et qui a choquée les visiteurs du camp de prisonnier est la nudité forcé et les humiliations sexuelles. Plusieurs inspecteurs de la croix rouge,  militant d'ONG de défense des droits de l'homme et d'avocats ayant visiter les lieux dénonce le fait de garder les personnes privées de liberté sans aucun vêtements. Si les autorités reconnaissent à demi mot que certains détenus sont nus, elle le justifie pour des raisons de sécurité , certains seraient en effets en confinement solitaire, ce qui justifie l'absence d'habillement. D'autre disent aussi qu'il n'y à pas assez d'uniforme de prisonnier à fournir et donc que forcément certains sont gardés nus (sans préciser ce que sont devenus les vêtements civils des prisonniers pendant leurs arrestations ...).


D'autre sources parlent officieusement de techniques d'humiliations visant à obtenir la parfaite coopération des suspects et de les rendre vulnérables et à la merci de leurs geôliers. 


Si l'immense majorité des internés sont des hommes, quelques femmes sont retenues sur le site. L'une d'entre elle connue sous le pseudonyme de Lina, une femme d'affaires de 30 ans et proche de l'ancien régime. Son avocat affirme lors d'un contrôle inopiné dans la prison avoir découvert que sa cliente était dénudées dans sa cellule et qu'elle a subie plusieurs humiliations en rapport avec sa nudité de le part des gardes.


Les surveillants l'ont entre autre souvent forcée à s'exhiber nue et à marcher ainsi devant le staff de la prison mais aussi devant les autres prisonniers pour l'humilier. Elle a été placée à poil devant la cellule de prisonniers masculins de son quartier et a été soumise à une fouille des cavités corporels en public et contrainte de prendre des poses infamantes à connotation sexuelles devant eux (qui étaient de leurs coté contraint de se masturber devant son corps nu).


Les gardes lui ont aussi imposer des exercices sportifs dans le but de la fatiguer, la jeune femme a été aussi contrainte de courir nue les mains sur la têtes dans les douches sous les cris de "Plus vite sale pute", et d'autres insultes et moqueries.


Si les autorités reconnaissent que la prisonnière était nue, il le justifie par le fait qu'elle représente selon eux un risque pour elle même du fait qu'elle aurait demander des médicaments anti dépression, et que la nudité n'est pas "si grave".



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Sévices au camp militaire.



dimanche 2 mai 2021

Broyer les prisonnières avant les interrogatoires.


Femme nue confinée dans une petite cellule
Prisonnière nue en confinement solitaire.


Briser l'égo d'une prisonnière par l'humiliation et la dégradation.



Dans le secteur aménagé de la prison pour détenir les femmes. Il n'y a théoriquement que des surveillantes et c'est interdit aux soldats de sexe masculins, ceci dit le règlement est flou concernant les civils et les mercenaires qui interviennent aussi dans cette partie de la prison.

Plusieurs « contractors » (mercenaires) témoignent de l'état d'esprit des gardiennes lesbiennes et surveillantes de la prison.



« Les gardiennes appliquent  les règles et les ordres qu'elles reçoivent sans réfléchir. Elles doivent doivent traiter les prisonnieres comme si elles étaient moins que des chiens, comme des déchets. Lorsqu'une femme arrivent en prison ici, elle doit se mettre à poil, même si elle n'aime pas ça tout le monde s'en fiche.  Certaines femmes supplient pour conserver leurs sous vêtements mais  quand les Irakiens arrivent, on les met à poil, ils n'aiment pas ça du tout ça mais on s'en fou, certains pleurent et nous supplie de leur laisser le slip mais les ordres sont les ordres.

Quand elles sont toutes nues, on les mate sous toutes les coutures et parfois certains soldats prennent des photos.

C'est plutôt marrant pour nous, de voir leur honte et détresse et nous supplier de leur donner des  vêtements. »

Une ancienne soldate ayant servi dans la prison témoigne sous couvert d'anonymat de consignes données « D
e faire des fouilles régulières et obligatoirement sur les femmes qui arrivent, lors des arrivées elles font une de ces têtes lorsqu'elles apprennent qu'elles doivent se déshabiller devant nous ».


Elle poursuit : " Certaines soldates sont très dominatrices et elles ont des tendances lesbiennes marquées font mettre à poil par plaisir. Elles se marrent bien en faisant ça. Elles savent que c'est affreusement humiliant et dégradants pour ces pauvres femmes, elles font durer le plaisir. "



L'une des prisonnières, Hanna âgée d'environs 27 ans d'après le dossier de l'ONG de défense des droits de l'homme, elle a été raflée dans une opération de ratissage dans le sud du pays, c'est une institutrice. Elle est devenue la souffre douleurs de deux gardiennes lesbiennes.

Lors des soirées, ces dominatrices viennent rendre visite à la jeune détenue. Elles forcent Hanna à se mettre nue devant elles  et elles  lui confisquent ses vêtements, parfois plusieurs jours. 

Un jour les soldates on déshabiller la prisonnière Hanna  pour jouer avec son anus et ses seins. Les soldates aiment le derrière de la prisonnière qu'elles trouvent larges et souple. 
Elle est victime du sadisme gratuit de certaines gardiennes. Elles lui enfoncent leurs doigts dans ses fesses, parfois, elles y introduisent entièrement leurs mains !

Elles aiment allonger la prisonnière nue sur le ventre, les fesses surélevées par un coussin, et elles mettent une canule reliée a un tuyau lui même lié a une source d'arrivée d'eau dans le fion de la prisonnière qui sent son bas ventre se remplir.

C'est vite insupportable, mais si la détenue ne se retient pas, elle est battue et ses seins sont torturés et ses plantes des pieds fouettés.

Après la prisonnière, est autorisée a libérer ses intestins en s'accroupissant sur les toilettes turques de sa cellule devant les gardes sans aucune pudeur.

Les gardiennes sont ensuite allées chier et pisser sur le sol de sa cellule qui a dut lécher leurs chattes et anus jusque à ce qu'ils soient tout propre.

« Cette femme-là est une vraie chienne, elle broute les chattes des gardiennes, et elle lèche leurs anus »

Les surveillantes ont ensuite saisies la prisonnière nue par les cheveux et l'ont trainer dans la pisse et les déjections !

Le lendemain matin quand l'équipe de la journée à découvert ça, une femme prisonnière nue dans une cellule sale et puante le corps badigeonné plein de merdes, ils ont hallucinés.

L'affaire a vite été étouffée.



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lundi 26 avril 2021

Prisonnière nue en confinement et interrogatoire renforcé


Une femme prisonnière nue et humiliée attachée en bondage avec un sac sur la tête pour un interrogatoire très dur.
Prisonnière nue un sac sur la tête attachée sur une chaine pour l'interrogatoire musclé.


La prisonnière nue pendant l'interrogatoire renforcé.


C'est l'un des quartier de la prison militaire le plus terrible : celui ou sont regroupés et détenus les prisonniers de hautes valeurs susceptibles d'avoir des informations importantes pour les forces de la coalition militaires qui utilisent des méthodes et des techniques d'interrogatoires renforcés dans le but de mettre une pression maximale et de stressée le plus possible les prisonnier pour les briser et les faire parler. Même si la majorité des détenus sont de sexe masculins, certaines femmes sont soumises à ce traitements. L'une des soeurs d'un insurgé, Marwa est passée par là et le fait qu'elle soit une femme ne lui a pas faciliter les choses.


Bienvenue en Enfer, Welcome to hell.


La prisonnière est déshabillée totalement lors de son arrivée, et elle est laissée dans une  mini cellule cellule vide totalement à poil avec une cagoule sur la tête  et entravée aux poignets et aux chevilles. Deux interrogateurs viennent l'a voir, l'un lui pisse dessus,  et l'autre lui attrape les chevilles et l'a trainer dans l'urine toute jaune et dégoutante..


Après quelques heures passées dans ce trou, deux autres soldats viennent l'a prendre pour interrogatoire, elle est escortée nue dans les couloirs direction la salle d'interrogatoire.

Elle est à genoux, en face d'elle il y a un bureau avec deux hommes et une femme qu'elle ne peut pas identifier.


On installer des bracelets en cuir sur ses poignets, puis on les fixe à une barre horizontale, ses pieds touche à peine le sol, elle est à moitié suspendue, elle ne tient que par la pointe des pieds. on lui écarte les jambes et fixe les chevilles au sol. Tout le poids de son corps est sur ses mains et le bout de ses pieds, la douleur arrive rapidement dans cette position.


"Après ça tu parlera sale chienne !" Hurle un militaire.


L'autre soldat, un, afro américain d'une trentaine d'année, il passe d'abord le fouet lentement   sur le corps nu de la prisonnière, en lui passant sur le sexe,  tout en puis pinçant le bout des seins.


Interrogatoire musclé.


"Tu va aimer le fouet salope, et tu nous dira tout ce que tu sais pétasse."


Puis l'autre soldat frappe le premier coup.


Slaaap le coup est très sec et très fort, il laisse une marque sur le bas du dos de la détenue qui pousse un hurlement instantané.


Le tortionnaire attends quelques instant et lui donne un second coup aussi fort, un autre cri de la jeune femme.


Les frappes se répètent et chacune  laisse une trace zébrée, l'interrogateur frappe sur les fesses qui sont pleine de marques, mais vise aussi les cuisses, le dos et parfois les épaules.


La prisonnière  s'évanouie, on la réveil avec des claques.


La femme militaire, en retrait lui demande son nom.


"Je m'appelle Marwa X"


"Tu mens" répond l'une des deux brutes qui lui pince les seins.


"Ton métier ?"


"Ingénieur en génie civil"  dit elle épuisée.


"Tu mens" et le soudard lui claque les seins.


"Tu est notre ennemie salope, alors parles, dis nous comment tu a comploter contre nous !"


Epuisée, Elle répond qu'elle ne sait pas ce qu'ils veulent, elle était journaliste, jamais eu aucun rapport avec la politique.


"Ton frère, ou est il ?"


"Je ne sais pas"


"Menteuse, nous l'avons arrêté, il est en route vers Guantanamo."


"Quand l'a tu vu pour la dernière fois ?"


"Lors de la chute de la capitale, il m'a dit qu'il partait aider des blessés par les bombardements, puis il n'est jamais revenu."


"Tu mens !" et le malabar lui met une baffe sur les parties génitales.


"Je vois que tu ne coopère toujours pas pétasse" dit l'interrogatrice.


Toujours attachée et au bord de l'effondrement, les deux sbires sortent des pinces du tiroir d'un bureau, ils les installent d'abord sur chaque mamelons, ils en disposent d'autre sur toute l'auréole mammaires, puis ils s'en prenne à ses lèvres vaginales, vulves et clitoris.


La prisonnière les supplie de retirer les pinces, ça lui fait très mal.


"Nous les retirerons quand tu parlera et cessera de nous mentir. Si tu parles, nous te rendons tes vêtements, et tu aura un certain confort, mais si tu ne parle pas tu restera comme ça, nue et nous te questionneront régulièrement jusque a ce que tu parle." explique calmement la femme militaire chargée de délier les langues.


"Mais je ne sais rien  !" dit  la prisonnière en pleurant.


"Au début toutes les personnes entre nos mains disent ça, mais nous, nous voulons des informations. qui sont les amis de ton frère  ?"


"Je ne sais pas." répond encore Marwa.


"Quel lieu fréquentait-il ? qui sont ses amis ?"


"Il allait souvent au café du centre ville parler avec des étudiants , des jeunes." répond la jeune femme.


Tu nous donnera la liste des noms et des lieux.


Les américains ôtent les pinces du corps de la suspecte.


Nous allons vérifier tout ça. Reconduisez là en cellule.


Avant de la remettre en cellule d'isolement, Marwa est passée au jet froid par des militaires, ces derniers prennent un malin plaisir à viser ses seins et ses parties génitales. Sa cellule est nettoyée de la même manière, mais elle restera  nue, entravée, on lui retire juste sa cagoule avant de l'enfermer.


Elle reste enfermée à l'isolement, elle n'entend que des bruits, des cris, hurlements. On lui sert chaque jours une nourriture immondes.


Les interrogatoires se répètent, plus ou moins violent ou humiliants, toujours les mêmes questions, et les mêmes réponses.



vendredi 12 mars 2021

Femme nue et pudique en prison

 

Nudité imposée à la prison des femmes.
Prisonnière nue et pudique tente de cacher ses parties intimes.

Nudité forcée en prison


Emilie est une jeune française qui est emprisonnée dans une sinistre prison américaine ou la discipline est stricte et impitoyable.


Elle est arrêtée par la police militaire pour des activités subversives et hostiles aux intérêts US dans un pays étranger et placée en détention dans une prison  sous contrôle de l'armée américaine dans un endroit inconnu en Europe de l'est ou au moyen orient.


Elle est soumise à une fouille à nu. Cette pratique vise à s'assurer que le prisonnier ne détient rien de dangereux sur lui qui pourrait être utiliser comme une arme contre les autres, ainsi que des substances illicites ou des pièces à conviction. La totale nudité est exigée et l'inspection est très intrusive et traumatisante.

Emilie a fait plusieurs erreurs, la première est de croire que son passeport français lui offrirait une protection et lui éviterait une incarcération arbitraire. La seconde est d'avoir crue qu'elle disposait de la liberté d'expression et des droits fondamentaux assurés par une société démocratique. La jeune femme s'est en effet permis plusieurs fois de critiquer le gouvernement américain, son président, ainsi que les dirigeants alliés des Etat Unis. Lors d'un voyage en Europe de l'est dans un état ayant des relations très proche avec la maison blanche, Emilie a été arrêtée par la police locale pour insultes au président et menace contre la sureté national, un prétexte bidon qui sert à tout les dictateur pour arrêter arbitrairement les gens,  avant d'être livrée à la police militaire US (renseignement militaire). 


Entre les mains des services américains, Emilie est placée en confinement solitaire dans une petite cellule en béton, vide, contenant uniquement un ban de pierre avec une couchette et des toilettes et par chance dans son cas, une petite fenêtre laissant passer la lumière du jours.


Aucun autre objet n'est autorisés.


Comme les autres prisonniers, Emilie doit être complètement nue et pieds nus dans sa cellule, elle est gardée sans vêtements. Elle ne porte qu'un uniforme orange de prisonnière (jumpsuit) pour les transferts ainsi que lors des déplacements entre différentes sites de détention.


Elle est prisonnière dans un pays chaud et inconnu, donc s'habiller n'est pas une nécessité.


Elle était très pudique et gênée au début, comme la plupart des autres femmes, mais après plusieurs semaines de nudité imposée, elle oublie petit à petit sa pudeur et ce que ça fait de porter des vêtements.
Au début elle faisait tout pour cacher ses seins, son sexe, et ses fesses, mais maintenant elle les expose naturellement.



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