Blog érotique et pornographique consacré au Bdsm ( Bondage Domination et Sado Masochisme). Les principaux fantasmes abordés : prisonnières nues, visites médicales, nudité forcée, fessées et autres punitions, bizutage, filles en pensionnat, exhib, pieds féminins, fétichisme etc. Suite de l'ancien blog https://camp-bdsm.blogspot.com
samedi 10 août 2024
Une prisonnière nue d'Abou Ghraib
vendredi 21 juillet 2023
Le traitement et les interrogatoires des prisonnières.
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Une prisonnière nue et enchainée. |
L'unité ou sont détenues les femmes prisonnières d'Abou Ghraib en Irak.
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Photo d'une prisonnière nue devant un garde. |
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Une prisonnière photographiées nue dans une position obscène. |
dimanche 22 janvier 2023
Le processus d'admission des femmes prisonnières (mise à nue, photographie, gynécologie etc.)
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Femme nue en détention. |
Comment est ce que les femmes suspectée de liens terrorisme sont traitées par l'administration ?
Après les attentats du 11 septembre 2001, le gouvernement des Etats Unis d'Amérique a décider de lancer plusieurs guerres en riposte et d'ouvrir des camps de détention partout dans le monde pour garder en captivité toute personnes suspectées de menacer la sécurité nationale US.
En Irak les forces de la coalition internationale ont rouvert la prison d'Abou Ghraib à coté de la capitale Baghdad, célèbre pour ses abus et humiliations subies par les prisonniers aux mains de la police militaire américaine.
Des femmes en nombre certes assez limité ont séjournées dans cette prison avec des conditions de vie et d'encadrement très strictes et choquant pour les femmes incarcérées tellement les humiliations, les vexations et les punitions arbitraire sont fréquentes et gratuites.
Une jeune femme mentionnée sous le pseudonyme de Nassira, 22 ans, détenue 7 mois sous l'accusation abstraite de liens avec l'ancien régime, s'est plainte selon le rapport des enquêteurs d'avoir été soumise à des traitements qu'elle estime dégradant au processus standard d'admission des prisonniers.
Nous avons demander a d'ancien cadres du complexe pénitentiaire
Q: quoi ce processus consiste t'il ?
Dès leur arrivée, les femmes comme Nassira que vous venez de mentionner se retrouvent dans un environnement très différent de celui auquel elles sont habituées. L'un des premiers qu'elle a reçu est celui de se déshabiller immédiatement et de mettre ses vêtements, montres, bijoux et tout effets personnels dans un petit carton de stockage puis présenter son corps aux gardiens chargés de la fouille et de l'inspection.
Q: La détenue Nassira déclare avoir du se déshabiller devant des hommes et même de devoir retirer sa culotte et sa montre et qu'on lui a même fait ôter son tampon hygiénique, est ce vrai ?
Oui, les gardes ont des consignes strictes a faire appliquer, les femmes doivent tout enlever, leurs effets personnels et tout ce qui ce trouve sur leurs corps avec lequel elles ne sont pas nées est confisqué.
Cette méthode d'introduction permet de montrer aux prisonnières qu'en arrivant ici elles n'ont plus aucun droit, en particulier le droit à la pudeur et à l'intimité.
Et donc oui les gardiens hommes peuvent participer aux fouilles des prisonnières et inversement les femmes peuvent mettre à poil les détenus masculin. C'est une politique voulue et choisie.
Nassira comme la majorité des prisonnière est très pudique de par son éducation très conservatrice arabe et musulmane et porte une long voile et une longue robe pour cacher tout son corps. Quand les agents lui ont donner l'ordre d'enlever ses vêtements elle s'est montré assez protestataire et a commencer a enlever ses vêtements que quand deux agents baraqués ont menacer de lui arracher ses habits de force.
Q : Le rapport dit aussi d'une fois en sous vêtements elle a supplier de pouvoir conserver son slip
Q : La détenue se plaint d'avoir été promenée nue de façon délibérée et prise en photo sans aucun vêtements par les gardiens, pouvez vous nous en dire plus ?
En effet les interrogateurs et les responsables de la prison ont découvert que le fait de déshabiller complètement une femme est un outil de contrôle très puissant augmentant nettement l'humiliation ressentie. Surtout en présence de public du sexe opposé et des autres prisonniers dont certains pourraient être de sa famille ou de son quartier. Après la fouille de Nassira qui comprend un examen gynécologique et de l'anus, elle a été emmener dans une pièce d'identification pour une prise de photographie.
Elle déteste devoir défiler sans culotte ni aucun vêtements devant le staff pourtant c'est les règles établies de la prison, la prisonnière doit être exposée , d'ailleurs les gardes prennent tout leurs temps pour "découvrir" la nouvelle et comment elle est foutue. C'est aussi un moyen de faire comprendre qu'ici c'est les américains les patrons.
Liens :
lundi 19 décembre 2022
Punitions perverses et vicieuses en prison
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Nudité totale. |
Prisonnière placée nue et humiliée en confinement solitaire.
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Attachée et exposée nue. |
dimanche 19 juin 2022
Innocente arrêtée et soumise à la torture et aux humiliations
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Deux prisonnières nue torturées humiliées et fessées avec une canne. |
En 2004 lors de l'invasion américaine de l'Irak sous le faux prétexte des armes de destruction massive et du sois disant soutien du régime au terrorisme international les Etats Unis ont eu beaucoup de difficultés à conquérir et surtout maintenir l'ordre contrôler et contrôler le pays. Les dirigeants US ont choisi de mener une politique agressive pour tenter de vaincre la rébellion et les atteintes aux droits de l'homme se sont multiplier.
Un étudiant rapporte que lui et sa fiancée, Sara ont été arrêtés par les forces spéciales américaine car un de ses cousin éloigné est suspecté d'être impliqué dans la résistance et est recherché. Elle n'a aucune nouvelle de lui depuis plusieurs années et n'a aucune implication dans la rébellion et est totalement innocente.
Les troupes d'élites ont fait irruption dans la maison familiale pour la capturer et ils ont par la même occasion arrêter plusieurs personnes dans le quartier dont le futur époux de Sara.
Ils ont été ligotés et bâillonnés avant d'être jetés dans un fourgon militaire avant d'être transférés dans un centre de détention et d'interrogatoire militaire.
La jeune fille et les autres captifs sont soumis aux traitements standard que les USA imposent. Sur place la jeunes filles et d'autre malheureuses arrêtées avec elle, bien que très pudiques et voilées de la têtes aux pieds sont obligées et se déshabiller devant les militaires américains. Celles qui tentent de résister sont mises à poil de force avec leurs vêtements découpés.
La nudité est imposée systématiquement et les autres prisonniers dont sont petit ami ont pu voir Sara toute nue et honteuse menottée les mains dans le dos. Les responsables et stratèges américains considèrent la nudité forcée comme un outil coercitif et de discipline très efficace et facile à mettre en oeuvre qui ne coute rien (pas la peine d'acheter des uniformes orange ou jaune de prisonniers). C'est très humiliant et déstabilisant pour Sara car elle n'a jamais exposé son corps dénudé et c'est dégradant pour elle d'être moquée et vue par tour le monde sans aucun vêtements. Les américains exhibent les femmes prisonnières nues comme des trophées pour rabaisser le plus possible leurs égos et les rendre docile.
Les pauvres victimes sont pour le plaisir des gardiens forcer d'écarter grand leurs fesses pour ouvrir leurs chattes et anus pour des inspections publique en profondeur.
Ensuite dans la salle d'interrogatoire, Sara est molestée et subie divers châtiments corporels en compagnie d'autres détenues d'infortune. Elles sont soumises notamment au supplice de "la perche" qui consiste à attacher toute nue la captive à une sorte de perche de perroquet pour lui fmetre des coups de cannes dans les fesses et oui flageller les plantes des pieds (falaka, bastinado).
Après les pieds des suspectes sont aussi longuement chatouiller et lécher jusque a ce que ce soit insupportable
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Torture d'une prisonnière nue avec la perche du perroquet (ass and feet). |
Elles sont aussi promener nues et forcer de servir les repas des hommes, de faire le ménage jusque a ce que les services de renseignements obtiennent des aveux pour envoyer les femmes prisonnières à Guantanamo Bay ou à Abou Ghraib.
Liens :
Visite d'une prison réputée pour sa dureté.
vendredi 15 avril 2022
Humiliation sexuelle et cultuelle maximale en prison.
L'humiliation d'une prisonnière nue pendant la fouille (strip search). |
Une prisonnière humiliée, dégradée et maltraitée en prison.
mardi 31 août 2021
Histoire BDSM de prisonnière : La nudité imposée
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Prisonnière exhibée et humiliée nue par les gardiens de la prison. |
Un interrogateur militaire se souvient d'une détenue nue.
Un ancien membre de la police militaire américaine chargé des interrogatoires des prisonniers de guerre entre les mains des forces US dans la prison d'Abou Ghraib en Irak témoigne sur les actes de tortures et de mauvais traitements ordonnés par les plus haut gradés de l'armée et les autorité du pénitencier.
"En 2003 et 2004, nous étions en guerre sur le multiples terrains d'opération dans le cadre de la lutte globale contre le terrorisme. En Irak les Etats Unis avait unilatéralement décider de renverser le régime irakien qui n'avait rien à voir avec le terrorisme d'ailleurs, c'était une grosse erreur politique.
La pression pour trouver des armes chimiques et des anciens responsables était très forte et venait de la présidence et du secrétariat à la Défense. C'est dans ce contexte, l'armée m'avait recruter et affecté en Irak, comme interrogateur dans la prison d'Abou Ghraib.
L'une des premières choses que j'ai remarqué est que les simples gardiens et surveillants de la prison ont reçue pour consignes en vue d'adoucir les prisonniers et les rendre coopératifs, c'est à dire les faire parler, les faire dire tout ce que nous voulons savoir pour étouffer la rébellion, arrêter les membres de l'ancien régime et les terroristes.
L'une des choses les plus marquante au début, c'est que les prisonniers à interrogés sont toujours amener nus dans les salles d'interrogatoires.
Lors d'un raid les forces spéciales ont mis la main sur une jeune femme, Radia, âgée d'environs 27 ans, proche cousine d'un cadre de l'ancien ministre de l'intérieur recherché activement par la coalition. C'est une prise importante pour l'armée qui estime qu'elle peut détenir des informations importantes sur les personnes que nous cherchons.
Lorsque elle est arrivée, le processus d'admission est très proche de ce que nous faisons aux Etats Unis dans une prison de haute sécurité. Les hommes comme les femmes sont fouillés strictement même si le manque de moyens ne permet pas de garantir le respect de l'intimité des détenus.
La prisonnière a du se déshabiller devant trois gardiennes par une fouille corporelle dégradante. La nudité totale est exigée pour des raison de sécurité, la prisonnière qui est pudique et très religieuse a été obliger de défaire tout ses vêtements. C'est une épreuve très difficile pour une femme culturellement pudique qui n'a jamais oser mettre un bikini pour aller à la plage ou à la piscine que de retirer ses habits alors qu'elle est visible par des soldats hommes.
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Prisonnière nue attachée aux barreaux de sa cellule. |
Retirer son voile, sa robe, ses chaussures, mais également les sous vêtements et les bijoux est difficile, surtout qu'on n'a pas épargner à la détenue un examen de ses cavités anales et vaginales. Normalement après la fouille, il aurait fallu donner un uniforme de prisonnière jaune ou orange à la détenue et une paire de tongs.
Cela n'a pas été fait pour sous le prétexte officiel de manque d'uniforme, et parce que officieusement les détenus de valeurs doivent être gardés nus jusque à ce qu'ils se montre coopératif.
Les gardes m'ont plus tard aussi avouer qu'ils préféraient garder sans aucun vêtements les détenus pour mieux les contrôler et dominer pour des raisons de sécurité et par la chaleur, et parce que c'est "Fun" de les foutre à poil surtout les quelques femmes.
Bien sur les voiles et tenues traditionnelles ou a connotation religieuses sont strictement interdites par le règlement de la prison pour les femmes musulmanes incarcérées donc il est impossible de remettre ses vêtements civils à Radia. La politique consiste à imposer des humiliations et des vexations a caractères culturels et religieux donc les détenues femmes ne peuvent pas porter de voile même si c'est autorisé dans certaines prisons aux Etats Unis. ici c'est la stratégie choisie pour faire parler les détenus.
La prisonnière est donc amenée nue dans la salle d'interrogatoire pour répondre aux questions.
Bien sur, une pauvre femme comme elle parle très rapidement, elle dit tout ce qu'elle sait, et invente des choses pour nous faire plaisirs en espérant que son cauchemar s'arrête. Elle n'a aucune information intéressantes et ce qu'elle dit et même dangereux pour le travail des forces armées car aller vérifier nous fait perdre du temps et met en danger les soldats sur place.
Malgré tout la prisonnière a été humiliée régulièrement par les gardes, elle était attachée dans les escaliers dans une postures stressante et exhibée à poil les cuisses écartés pour que tout le monde voit sa chatte ouverte.
Il n'était pas rare non plus de la voir attachée nue aux barreaux de sa cellule à la vue de tous.
Liens :
Le scandale du traitement des prisonnières.
vendredi 27 août 2021
Humiliation et dressage des prisonnières.
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Humiliante fouille des anus des prisonnières. |
Cruauté et discipline en prison.
lundi 16 août 2021
Internement psychiatrique humiliation et nudité.
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Jeune patiente nue à l’hôpital psychiatrique. |
Une jeune femme abusivement internée en hôpital psychiatrique humiliée.
mercredi 30 juin 2021
Prisonnière nue derrière les barreaux
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Prisonnière nue derrière les barreaux de sa cellule. |
Déshabiller les prisonnières en confinement solitaire (isolement).
samedi 26 juin 2021
Une femme gardée nue dans sa cellule de prison (pression psychologique)
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Femme prisonnière nue attachée et exposée aux barreaux de sa cellule. |
Prison de haute sécurité et nudité obligatoire.
Yasmine est une femme du moyen orient, elle est incarcérée depuis 7 semaines suite à la loi sur le "Patriot Act" voté par les Etats Unis sous l'ère Georges Bush Jr qui donne le droit aux forces armées américaine d'arrêter et de détenir sans procès ni charge toute personne suspectée de terrorisme ou de porter atteinte aux intérêts des USA.
De plus le secrétaire d'Etat à la Défense à autorisé l'armée et les services de renseignements à utiliser de techniques d'interrogatoires musclés et renforcés dans le but d'extraire toutes les informations nécessaire à la lutte des Etats Unis.
Yasmine à 28 ans, les militaires l'ont arrêtée et placée en détention à Abou Graib, une prison gérée par les militaires. Elle est détenue dans l'aile des "détenus de haute valeurs" dans la section réservée aux quelques femmes retenues.
C'est une étudiante en médecine, très bien éduquée, parfaitement anglophone qui est gardée car suspectée de liens avec les rebelles de part son fiancé qui est très recherché.
Elle est accueillie sur un ton à la fois ferme et relativement amicale par les surveillants de la prison qui commence par lui poser des petites questions sympathique pour s'intéresser à elle. Yasmine répond froidement et poliment. C'est une femme malgré tout occidentalisée, qui a vécue en Europe et aux Etats Unis de longues années avant de revenir dans son pays. Elle porte quand même une tenue traditionnelle et un long tchador noir par respect des coutumes.
Elle est ensuite obligée de se déshabiller devant les gardes, elle a beau protester et demander "Pourquoi enlever mes vêtements ?" les surveillants lui répondent que si la courtoisie ne fonctionne pas, ils utiliseront la force et qu'ils déchireront et arracheront les habits de Yasmine si elle tente de résister, et qu'ils sont beaucoup plus costaud qu'elle.
Elle répond qu'il y a des hommes et qu'elle préférerait faire ça devant juste des femmes. Les soldats rigolent et lui disent que ces hommes là voient des seins, des chattes et des fesses de prisonnières tout les jours car c'est leur métier.
Yasmine dégoutée s'exécute et ôte son foulard qui lui couvre les cheveux, elle n'est pas vraiment religieuse, puis ses chaussures, une paire de nike, et elle défait son long Tchador (robe longue noire)avant de se retrouver en sous vêtements sexy.
L'une des gardienne frappe le mur de sa matraque pour rappeler à la prisonnière qu'il faut "Tout retirer y compris le soutien gorge, la culotte et les chaussettes. car nous devons examiner les gens qui entre en prison." "Nous exigeons que les hommes et les femmes que nous gardons en détention se mettent complètement nus"
Yasmine n'est pas surprise car elle a entendus parler de rumeurs comme quoi les prisonniers devaient retirer leurs vêtements y compris les sous vêtements. La prisonnière retire d'abord ses chaussettes et le contact de ses pieds nus avec le sol pas très propre n'est pas très agréable. Puis elle libère ses seins de taille moyenne, puis termine en faisant descendre sa culotte le long de ses jambes avant de la laisser tomber sur ses pieds et de la ramasser pour la remettre à la surveillante la plus proche d'elle.
La prisonnière est fouillée minutieusement, c'est très humiliant de se voir examiner la bouche, le fond de la gorge, les orteils, sous la langue, sous les aisselles, le nombril, et même entre les orteils ...
Sans parler l'inspection de l'anus et du vagin au lampe torche avec un doigt ganté et lubrifié qui oblige Yasmine à se pencher dans une position dégradante et à écarter les fesses et les cuisses sans aucune pudeur ni respect. Yasmine doit se montrer docile car elle ne peut rien faire contre le staff du camp.
La femme prisonnière est ensuite entrainée hors de la salle d'accueil, vers les couloirs de la prison. Elle se sent affreusement humiliée de devoir parader ainsi totalement nue devant les autres prisonniers, les soldats hommes et femmes et le personnel administratif de la prison. La plupart des détenus sont nus, pour environs 90 %, quelques uns portent des slips, et seulement un ou deux sont vêtus d'uniforme orange comme à Guantanamo Bay.
En arrivant dans la petite partie des femmes, Yasmine passe devant la cellule d'une autre femme détenue, elle est âgée de 50 ans environs, elle est complètement nue elle aussi. Elle lui dit "Ma fille, je suis détenue depuis 5 mois par les américains et ils nous interdisent de porter des vêtements, je suis nue depuis mon arrivée et je m'y suis très bien habituée. Si j'ai pu le supporter, tu le pourra aussi."
L'ancienne détenue ajoute que "Si tu coopère et parle, peut être qu'ils te donneront une culotte ou un uniforme mais n'y compte pas trop, ils n'ont pas d'uniforme pour les femmes."
Yasmine est placée à poil dans sa cellule, comme pour les autres prisonniers, elle à l'obligation de rester exposée debout dans un coin de sa cellule, pour des raisons de pression psychologique, elle n'a pas le droit de s'assoir ni de s'allonger pendant 8 à 12 heures par jours, et reste attachée nue aux barreaux de la cellule la moitié de ses journées pendant le premier mois.
Liens :
Coercition psychologique lors des interrogatoires renforcés.
Terrible humiliation pour une prisonnière.
mardi 8 juin 2021
Dans une prison américaine ...
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Deux femmes prisonnières se déshabillent devant un gardien. |
Pression psychologiques et humiliations pour les prisonnières.
jeudi 27 mai 2021
Ridiculiser et humilier une prisonnière.
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Femme nue humiliée en prison. |
Une femme nue contrainte de faire des exercices physiques dégradants en prison.
Si le président des Etats Unis et son secrétaire d'état à la défense démentent avoir donner le moindre ordre de maltraiter les personnes privées de liberté entre les mains des forces militaires, les responsables d'une des prisons gérée l'armée ou sont détenus des prisonniers de "haute valeur" (c'est à dire des captifs politiques, opposants, rebelles, et toute personnes proches de l'insurrection) donnent pour consignes aux gardiens de traiter les prisonniers et les prisonnières comme des chiens, et de les humilier, dégrader, et de les ridiculiser.
Le but de tout ça serait de "ramollir" les suspects qui sont souvent gardés en dehors de tout cadre légal et dans l'arbitraire le plus total.
L'une des pratiques les plus courantes et qui a choquée les visiteurs du camp de prisonnier est la nudité forcé et les humiliations sexuelles. Plusieurs inspecteurs de la croix rouge, militant d'ONG de défense des droits de l'homme et d'avocats ayant visiter les lieux dénonce le fait de garder les personnes privées de liberté sans aucun vêtements. Si les autorités reconnaissent à demi mot que certains détenus sont nus, elle le justifie pour des raisons de sécurité , certains seraient en effets en confinement solitaire, ce qui justifie l'absence d'habillement. D'autre disent aussi qu'il n'y à pas assez d'uniforme de prisonnier à fournir et donc que forcément certains sont gardés nus (sans préciser ce que sont devenus les vêtements civils des prisonniers pendant leurs arrestations ...).
D'autre sources parlent officieusement de techniques d'humiliations visant à obtenir la parfaite coopération des suspects et de les rendre vulnérables et à la merci de leurs geôliers.
Si l'immense majorité des internés sont des hommes, quelques femmes sont retenues sur le site. L'une d'entre elle connue sous le pseudonyme de Lina, une femme d'affaires de 30 ans et proche de l'ancien régime. Son avocat affirme lors d'un contrôle inopiné dans la prison avoir découvert que sa cliente était dénudées dans sa cellule et qu'elle a subie plusieurs humiliations en rapport avec sa nudité de le part des gardes.
Les surveillants l'ont entre autre souvent forcée à s'exhiber nue et à marcher ainsi devant le staff de la prison mais aussi devant les autres prisonniers pour l'humilier. Elle a été placée à poil devant la cellule de prisonniers masculins de son quartier et a été soumise à une fouille des cavités corporels en public et contrainte de prendre des poses infamantes à connotation sexuelles devant eux (qui étaient de leurs coté contraint de se masturber devant son corps nu).
Les gardes lui ont aussi imposer des exercices sportifs dans le but de la fatiguer, la jeune femme a été aussi contrainte de courir nue les mains sur la têtes dans les douches sous les cris de "Plus vite sale pute", et d'autres insultes et moqueries.
Si les autorités reconnaissent que la prisonnière était nue, il le justifie par le fait qu'elle représente selon eux un risque pour elle même du fait qu'elle aurait demander des médicaments anti dépression, et que la nudité n'est pas "si grave".
Liens :
dimanche 2 mai 2021
Broyer les prisonnières avant les interrogatoires.
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Prisonnière nue en confinement solitaire. |
Briser l'égo d'une prisonnière par l'humiliation et la dégradation.
Dans le secteur aménagé de la prison pour détenir les femmes. Il n'y a théoriquement que des surveillantes et c'est interdit aux soldats de sexe masculins, ceci dit le règlement est flou concernant les civils et les mercenaires qui interviennent aussi dans cette partie de la prison.
Plusieurs « contractors » (mercenaires) témoignent de l'état d'esprit des gardiennes lesbiennes et surveillantes de la prison.
« Les gardiennes appliquent les règles et les ordres qu'elles reçoivent sans réfléchir. Elles doivent doivent traiter les prisonnieres comme si elles étaient moins que des chiens, comme des déchets. Lorsqu'une femme arrivent en prison ici, elle doit se mettre à poil, même si elle n'aime pas ça tout le monde s'en fiche. Certaines femmes supplient pour conserver leurs sous vêtements mais quand les Irakiens arrivent, on les met à poil, ils n'aiment pas ça du tout ça mais on s'en fou, certains pleurent et nous supplie de leur laisser le slip mais les ordres sont les ordres.
Quand elles sont toutes nues, on les mate sous toutes les coutures et parfois certains soldats prennent des photos.
C'est plutôt marrant pour nous, de voir leur honte et détresse et nous supplier de leur donner des vêtements. »
Une ancienne soldate ayant servi dans la prison témoigne sous couvert d'anonymat de consignes données « De faire des fouilles régulières et obligatoirement sur les femmes qui arrivent, lors des arrivées elles font une de ces têtes lorsqu'elles apprennent qu'elles doivent se déshabiller devant nous ».
Elle poursuit : " Certaines soldates sont très dominatrices et elles ont des tendances lesbiennes marquées font mettre à poil par plaisir. Elles se marrent bien en faisant ça. Elles savent que c'est affreusement humiliant et dégradants pour ces pauvres femmes, elles font durer le plaisir. "
L'une des prisonnières, Hanna âgée d'environs 27 ans d'après le dossier de l'ONG de défense des droits de l'homme, elle a été raflée dans une opération de ratissage dans le sud du pays, c'est une institutrice. Elle est devenue la souffre douleurs de deux gardiennes lesbiennes.
Lors des soirées, ces dominatrices viennent rendre visite à la jeune détenue. Elles forcent Hanna à se mettre nue devant elles et elles lui confisquent ses vêtements, parfois plusieurs jours.
Un jour les soldates on déshabiller la prisonnière Hanna pour jouer avec son anus et ses seins. Les soldates aiment le derrière de la prisonnière qu'elles trouvent larges et souple.
Elle est victime du sadisme gratuit de certaines gardiennes. Elles lui enfoncent leurs doigts dans ses fesses, parfois, elles y introduisent entièrement leurs mains !
Elles aiment allonger la prisonnière nue sur le ventre, les fesses surélevées par un coussin, et elles mettent une canule reliée a un tuyau lui même lié a une source d'arrivée d'eau dans le fion de la prisonnière qui sent son bas ventre se remplir.
C'est vite insupportable, mais si la détenue ne se retient pas, elle est battue et ses seins sont torturés et ses plantes des pieds fouettés.
Après la prisonnière, est autorisée a libérer ses intestins en s'accroupissant sur les toilettes turques de sa cellule devant les gardes sans aucune pudeur.
Les gardiennes sont ensuite allées chier et pisser sur le sol de sa cellule qui a dut lécher leurs chattes et anus jusque à ce qu'ils soient tout propre.
« Cette femme-là est une vraie chienne, elle broute les chattes des gardiennes, et elle lèche leurs anus »
Les surveillantes ont ensuite saisies la prisonnière nue par les cheveux et l'ont trainer dans la pisse et les déjections !
Le lendemain matin quand l'équipe de la journée à découvert ça, une femme prisonnière nue dans une cellule sale et puante le corps badigeonné plein de merdes, ils ont hallucinés.
L'affaire a vite été étouffée.
lundi 26 avril 2021
Prisonnière nue en confinement et interrogatoire renforcé

Prisonnière nue un sac sur la tête attachée sur une chaine pour l'interrogatoire musclé.

La prisonnière nue pendant l'interrogatoire renforcé.
Bienvenue en Enfer, Welcome to hell.
La prisonnière est déshabillée totalement lors de son arrivée, et elle est laissée dans une mini cellule cellule vide totalement à poil avec une cagoule sur la tête et entravée aux poignets et aux chevilles. Deux interrogateurs viennent l'a voir, l'un lui pisse dessus, et l'autre lui attrape les chevilles et l'a trainer dans l'urine toute jaune et dégoutante..
Après quelques heures passées dans ce trou, deux autres soldats viennent l'a prendre pour interrogatoire, elle est escortée nue dans les couloirs direction la salle d'interrogatoire.
Elle est à genoux, en face d'elle il y a un bureau avec deux hommes et une femme qu'elle ne peut pas identifier.
On installer des bracelets en cuir sur ses poignets, puis on les fixe à une barre horizontale, ses pieds touche à peine le sol, elle est à moitié suspendue, elle ne tient que par la pointe des pieds. on lui écarte les jambes et fixe les chevilles au sol. Tout le poids de son corps est sur ses mains et le bout de ses pieds, la douleur arrive rapidement dans cette position.
"Après ça tu parlera sale chienne !" Hurle un militaire.
L'autre soldat, un, afro américain d'une trentaine d'année, il passe d'abord le fouet lentement sur le corps nu de la prisonnière, en lui passant sur le sexe, tout en puis pinçant le bout des seins.
Interrogatoire musclé.
"Tu va aimer le fouet salope, et tu nous dira tout ce que tu sais pétasse."
Puis l'autre soldat frappe le premier coup.
Slaaap le coup est très sec et très fort, il laisse une marque sur le bas du dos de la détenue qui pousse un hurlement instantané.
Le tortionnaire attends quelques instant et lui donne un second coup aussi fort, un autre cri de la jeune femme.
Les frappes se répètent et chacune laisse une trace zébrée, l'interrogateur frappe sur les fesses qui sont pleine de marques, mais vise aussi les cuisses, le dos et parfois les épaules.
La prisonnière s'évanouie, on la réveil avec des claques.
La femme militaire, en retrait lui demande son nom.
"Je m'appelle Marwa X"
"Tu mens" répond l'une des deux brutes qui lui pince les seins.
"Ton métier ?"
"Ingénieur en génie civil" dit elle épuisée.
"Tu mens" et le soudard lui claque les seins.
"Tu est notre ennemie salope, alors parles, dis nous comment tu a comploter contre nous !"
Epuisée, Elle répond qu'elle ne sait pas ce qu'ils veulent, elle était journaliste, jamais eu aucun rapport avec la politique.
"Ton frère, ou est il ?"
"Je ne sais pas"
"Menteuse, nous l'avons arrêté, il est en route vers Guantanamo."
"Quand l'a tu vu pour la dernière fois ?"
"Lors de la chute de la capitale, il m'a dit qu'il partait aider des blessés par les bombardements, puis il n'est jamais revenu."
"Tu mens !" et le malabar lui met une baffe sur les parties génitales.
"Je vois que tu ne coopère toujours pas pétasse" dit l'interrogatrice.
Toujours attachée et au bord de l'effondrement, les deux sbires sortent des pinces du tiroir d'un bureau, ils les installent d'abord sur chaque mamelons, ils en disposent d'autre sur toute l'auréole mammaires, puis ils s'en prenne à ses lèvres vaginales, vulves et clitoris.
La prisonnière les supplie de retirer les pinces, ça lui fait très mal.
"Nous les retirerons quand tu parlera et cessera de nous mentir. Si tu parles, nous te rendons tes vêtements, et tu aura un certain confort, mais si tu ne parle pas tu restera comme ça, nue et nous te questionneront régulièrement jusque a ce que tu parle." explique calmement la femme militaire chargée de délier les langues.
"Mais je ne sais rien !" dit la prisonnière en pleurant.
"Au début toutes les personnes entre nos mains disent ça, mais nous, nous voulons des informations. qui sont les amis de ton frère ?"
"Je ne sais pas." répond encore Marwa.
"Quel lieu fréquentait-il ? qui sont ses amis ?"
"Il allait souvent au café du centre ville parler avec des étudiants , des jeunes." répond la jeune femme.
Tu nous donnera la liste des noms et des lieux.
Les américains ôtent les pinces du corps de la suspecte.
Nous allons vérifier tout ça. Reconduisez là en cellule.
Avant de la remettre en cellule d'isolement, Marwa est passée au jet froid par des militaires, ces derniers prennent un malin plaisir à viser ses seins et ses parties génitales. Sa cellule est nettoyée de la même manière, mais elle restera nue, entravée, on lui retire juste sa cagoule avant de l'enfermer.
Elle reste enfermée à l'isolement, elle n'entend que des bruits, des cris, hurlements. On lui sert chaque jours une nourriture immondes.
Les interrogatoires se répètent, plus ou moins violent ou humiliants, toujours les mêmes questions, et les mêmes réponses.
vendredi 12 mars 2021
Femme nue et pudique en prison
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Prisonnière nue et pudique tente de cacher ses parties intimes. |