jeudi 24 juin 2021

La règle de la nudité en prison

Femme nue et fouillée par sa gardienne devant sa cellule.
Prisonnière nue et lors de l’inspection corporelle. 

Une prisonnière déshabillée devant sa cellule.


Scène de vie quotidienne dans l’unité de ségrégation de la prison militaire américaine d’Abou Ghraib lors de la seconde guerre du golfe (2003/2011).

Dans le cadre de la lutte contre le terrorisme et à la suite de l’opération visant à changer le régime, les États Unis occupent militairement le pays et y détiennent des milliers de personnes dont certaines sont jugées comme étant de hautes valeurs ( cadre de l’ancien régime, scientifiques, militaires, agents des renseignements, ainsi que des rebelles et des membres de groupes terroristes). Le camp de détention sert de centre d’interrogatoire pour les prisonniers les plus importants ou les plus stratégiques capturés par les forces Us.

Si une partie du site est un camp de prisonniers « classique » tenue par l’armée et une autre partie concerne les prisonniers de droits communs géré par le pouvoir civil. L’armée et les services de renseignement tiennent une unité spéciale dite d’isolement ou de ségrégation où sont détenus les personnalités importantes qui sont gardées en isolement plus ou moins complet.

Après les révélations dans la presse sur les scandales. Des avancées ont été faite pour les droit des prisonniers grâce aux pressions exercer par la presse et la société civile.

L’immense majorité des prisonniers sont des hommes mais quelques femmes peuplent aussi les lieux.

Quelques semaines  après le scandale, certains prisonniers ont eu la possibilité d’avoir accès à des avocats, ou des juristes et des représentants d’organisations internationales.

Une jeune femme prisonnière en isolement quasi complet, Kamelia  a pour la première fois depuis qu’elle a été arrêtée  il y a 8 mois à droit de voir un avocat.
Un matin, comme d’habitude, vers 06h30, les gardes en tenus militaires se rendent vers la petite cellule de la détenue, un espace restreint de 2 mètres sur 3 avec des toilettes à la turque et un petit ban surélevé avec une couchette et un robinet pour l’accès à l’eau. Aucun objets n’est permis dans cette partie de la prison.

Kamelia est réveillée, elle a 23 ans, brune, la peau banche très légèrement hâlée.
C’est une jeune fille sexy, elle est suspectée d’avoir cacher des armes et des explosifs chez elle pour aider la rébellion. A ce titre elle est considérée comme étant dangereuse et représentant un danger pour la sécurité nationale américaine. La loi du « Patriot Act » permet à l’administration US de la retenir au secret et  sans charges et sans limite de temps pendant l’enquête.

Lorsque les surveillants ouvrent la porte de la cellule, la prisonnière est allongée sur le dos, ses poignets et ses chevilles sont attachés à la banque par des menottes.
Lorsque qu’elle n’est pas sous surveillance direct, le règlement de la prison veut qu’elle soit entravée par sécurité.


La prisonnière est complètement nue et pieds nus et exposée ainsi sans aucune pudeurs. Toute son intimité est visible pour les personnes qui entrent.

La nudité totale est imposée dans cette partie de la prison. Pour les responsables américains c’est bien plus sûr pour assurer la sécurité et réduire le risque d’évasion. Et c’est un moyen simple de rendre les détenus plus dociles et de les ramollir en vue des interrogatoires.

De plus le camp se trouvant sur un théâtre de guerre, les uniformes sont très rares. Seulement quelques prisonniers ont des uniformes oranges ou jaunes, quelques un ont eu le droit de porter des slips ou des caleçons après avoir parler et donner des informations pertinentes  lors des interrogatoires, et le reste plus de 60% sont totalement nus les fesses a l’air.

Kamelia est elle sous le statut de nudité complète et permanente. Elle peut porter des vêtements seulement quand elle sort de l’unité pour des rendez-vous comme c’est le cas aujourd’hui.

Aujourd’hui est un jours spécial pour elle car c’est l’une des premières fois qu’on lui remet des vêtements depuis son incarcération.

La prisonnière se voit retirer chaînes et menottes et  est debout nue au milieu de sa cellule et des gardiens lui disent de s’habiller en anglais (langue qu’elle comprend facilement) car aujourd’hui elle a de la visite.

Kamelia ne comprend pas très bien. Un des militaires lui tends des habits : une culotte blanche, une paire de claquettes en plastique, une robe noire traditionnelle et un foulard pour la tête. Le port de soutient gorge et par contre strictement interdit.

Prisonnière toute nue dans les couloirs de la prison
Se mettre nue avant d’entrer en cellule.



La prisonnière est quand même très contente de pouvoir porter des vêtements. Avant lors de ses déplacements au sein de l’unité, elle était obligée de parader nue dans la honte devant tout le monde les seins et la chatte exposés à la vue de tous. Pour aller à la douche, à l’interrogatoire, à la court de détente etc. Les américains l’ont forcé à marcher nue devant les autres prisonniers.

Pour une fois qu’elle peut se déplacer habillée ca lui fait plaisir.

Les gardes anticipent un peu le retour de la détenue Kamelia dans ses quartiers.

Si elle s’est parfaitement habituée à vivre en tenue d’Eve. Elle était très en colère et gênée les premières semaine par la nudité obligatoire. Elle se sentait humiliée honteuse et dégradée, mais avec le temps elle 
s’est adaptée.

Après une petite heure, Kamelia revient dans le secteur d’isolement après son entrevu avec le juriste.

Elle est escortée jusqu’à devant  sa cellule.

Les gardes lui ordonne de se déshabiller et de rendre les vêtements qu’on lui a remis une heure plus tôt.
La prisonnière se met pieds nus, c’est facile elle porte des tongs qu’elle retire et elle pose ses plantes de pieds sur le béton. Elle défait ensuite son foulard et retire sa robe.
La prisonnière est en petite culotte blanche. Kamelia demande si elle a le droit de conserver sa culotte comme Latifa, une autre prisonnière qui après trois semaines de détention s’est vue remettre une culotte pour avoir coopérer.

Les surveillants lui disent « non », et de faire une demande officielle de port de culotte avec l’aide de son avocat. Le statut des détenus peut être re évalué mais ça nécessite la réunion d’une commission disciplinaire. Mais Kamelia étant suspecter d’avoir soutenu la violence, il y a peu de chance qu’elle puisse avoir le droit de porter le moindre vêtements.

La prisonnière prend un air de défi, l’un des gardes pour se moquer d’elle lui dit que tout le monde ici a vue des milliers de fois sa chatte et son cul.

En colère, Kamelia laisse tomber sa culotte sur ses pieds et fait s’envoler son sous vêtement d’un grand coup de pieds en l’air !


Elle dit qu’elle est jeune et à un très beau corps pas comme Latifa qui est un peu vielle et grosse.

La prisonnière est ensuite fouillée de la tête aux orteils avec une inspection de l’anus et du vagin et même entres les doigts de pieds avant d’être placée à poil dans sa cellule.




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