Affichage des articles dont le libellé est Prisonnière. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Prisonnière. Afficher tous les articles

dimanche 14 septembre 2025

Humilier et ridiculiser une prisonnière.

Humiliation psychologique lors des interrogatoires.
Humilier toute nue devant les gardiens et gardiennes de prison.

 Ridiculiser et dégrader les détenues.


Dans les murs sombres de la prison d'Abu Ghraib en Irak, pendant la seconde Guerre du Golfe, les troupes américaines détenaient des femmes soupçonnées de liens avec l'insurrection. Ces prisonnières étaient à la merci de gardiens cruels et sadiques, qui avaient carte blanche pour briser leur esprit par l'humiliation et les abus. La discipline était absolue : soumission totale aux règles impitoyables, où la nudité forcée et les fouilles intimes par des mains masculines impitoyables étaient la norme pour maximiser la honte.

Dalila, une détenue musulmane voilée, accusée de soutien à la rébellion, était leur cible favorite. Pudique et fière, elle incarnait la résistance brisée. Confinée dans une cellule exiguë d'un mètre sur deux, vide et oppressante, elle était souvent extraite pour servir d'outil de distraction érotique aux gardiens. Nue en permanence – car pour les "prisonnières de haute importance" comme elle, l'humiliation maximale exigeait une exposition totale –, Dalila devait tourner sur elle-même, exhibant ses courbes sous tous les angles, la peau frémissante sous les regards lubriques. À quatre pattes, elle marchait, l'anus ouvert et vulnérable, bien visible, sentant l'air froid caresser ses parties intimes tandis que les rires moqueurs résonnaient.

Les gardes, mixtes hommes et femmes, savouraient la détresse dans ses yeux sombres, la honte brûlante qui rougissait sa peau mate. "Chienne, tu fais moins la fière comme ça ?", lançaient-ils en riant, profitant de sa pudeur innée pour amplifier leur plaisir sadique. Souvent désignée comme "le clown" de la prison, Dalila était traînée hors de sa cellule pour divertir la troupe. Les soldats dessinaient sur son corps nu des gribouillis pervers : "Spank me" en lettres grasses sur ses fesses rebondies, des insultes dégradantes tracées au marqueur indélébile sur ses seins et son ventre, transformant sa chair en toile vivante d'humiliation érotique.

Forcée à s'humilier verbalement, Dalila devait réciter d'une voix tremblante : "J'aime être nue devant mes maîtres supérieurs, les gardiens et gardiennes. Je suis fière d'avoir enlevé mon voile, mes vêtements et mes chaussures pour être enfin nue et libre." Chaque mot arraché renforçait sa soumission, un mélange enivrant de terreur et de résignation qui excitait les gardes.

 

Lien :  

Discipline stricte en prison. 

mercredi 10 septembre 2025

Une détenue en confinement solitaire.

La prison ou les femmes sont gardées nues.
Toute nue et sans pudeur lors de l'interrogatoire.

Une respectable prisonnière découvre la nudité forcée.

Sabrina a été profondément traumatisée par son séjour de trois mois en confinement solitaire dans la prison d'Abou Ghraib. Ce lieu infernal, où les forces américaines imposaient une domination absolue sur les détenues irakiennes, l'avait brisée psychologiquement, la forçant à une soumission totale à travers des rituels d'humiliation constants.

Comme pour les autres femmes irakiennes détenues par les forces américaines en isolement dans le quartier spécial du complexe pénitentiaire, les fouilles qui se déroulent totalement nues sont très fréquentes. Avant et après chaque sortie, chaque visite, les gardes estiment que les femmes doivent être vraiment punies. Ils savourent ces inspections dégradantes, forçant les détenues à ouvrir leurs chattes et leurs anus devant les gardes hommes, sous des regards lubriques et moqueurs. "Écarte plus grand, salope, qu'on voie si tu caches quelque chose dans tes trous", ricanaient-ils souvent, transformant chaque fouille intime en un spectacle d'humiliation pure. Sabrina sentait son esprit se fissurer à chaque fois, son corps exposé comme un objet, sa dignité respectable piétinée sous le poids de cette dégradation féminine impitoyable.

Comme les autres, Sabrina doit quitter ses vêtements dès son arrivée : abaya, hijab, robe, sous-vêtements, chaussures, chaussettes et tous ses effets personnels ont été confisqués sans pitié. Pour montrer leur pouvoir et leur domination totale, les détenues musulmanes sont contraintes à une nudité forcée permanente devant les gardiens. Pas de voile pour cacher leur honte, pas de tissu pour préserver leur modestie – juste une vulnérabilité crue, exposée à chaque instant. Sabrina, autrefois une femme fière et respectable, se sentait régresser à un état de soumission animale, son corps nu tremblant sous les regards insistants, son esprit hurlant en silence contre cette perte de contrôle absolue.

Comme les autres, elle fait moins la fière à devoir répondre aux questions des militaires en étant à poil et exposée. Les interrogateurs, avec un sadisme calculé, l'obligent d'abord à se présenter devant eux toute nue, les mains sur la tête, les jambes écartées. "Répète après moi : je suis une prisonnière nue, soumise et dégradée", ordonnaient-ils, forçant Sabrina à articuler ces mots humiliants d'une voix brisée, tandis que des rires étouffés résonnaient dans la pièce froide. Chaque interrogation devenait une séance de soumission psychologique, où ses réponses haletantes étaient entrecoupées de larmes de honte, son intimité offerte comme un trophée de guerre. La nudité forcée n'était pas seulement physique ; elle rongeait son âme, la transformant en une ombre de femme, éternellement marquée par cette humiliation en prison.

Au fil des jours, Sabrina apprenait à anticiper les ordres, à baisser les yeux devant les gardes, à accepter sa dégradation comme une seconde peau. Mais le traumatisme persistait, un feu intérieur qui consumait sa résistance, la laissant à jamais prisonnière de ces souvenirs de domination militaire et de nudité imposée.

 

Lien : 

Confinement Solitaire BDSM. 

lundi 8 septembre 2025

Interrogatoire renforcé et nudité totale

 

Prisonnière nue
Nue pendant un interrogatoire.

Une détenue sous statut de "haute sécurité.

Les manuels d'interrogatoire préconisent la nudité totale lors des interrogatoires, et cette technique est appliquée pendant la seconde guerre d'Irak (2003/2011) par les États Unis dans les centre de détention.

Les femmes irakiennes soupçonnées de terrorisme, de liens avec l'ancien régime ou insurrection sont détenues au secret et soumises à des traitements humiliants. comme la nudité forcée.

Elles sont considérées comme des "détenues de sécurité" et donc sont interdites de porter le moindre vêtements et sont interrogées nues et pieds nus.

Comme elles sont musulmanes conservatrices et pudique, la nudité est jugées très efficace pour les humilier et les ramollir. elles sont obligées de se mettre toutes nues devant tout le monde.

La présence d'hommes est requise pour accroitre le sentiment d'humiliation, car enlever ses vêtements devant le sexe opposé est bien plus dégradant.

C'est préférable de faire pression sur elles pour qu'elle retire elles même leurs habits, sinon la force et contrainte physique est utilisée.

Nue et pieds nus, elles disent plus facilement la vérité. En prison la religion et la culture n'ont pas leur place.

Lien : 

Interrogatoire renforcé.

samedi 17 mai 2025

Prisonnière pudique sanctionnée.

Pas de pudeur en prison lors des fouilles
Fouettée et sanctionnée par les gardiens de prison.

 Fouettée et fessée en prison.

Par une journée étouffante de 2004, Amira 42 ans, arriva à la prison d'Abou Ghraib, le cœur lourd de honte et de peur. Détenue pour de vagues accusations de « risques pour la sécurité » à la suite d’une dénonciation mensongère d’un voisin, elle se tenait dans une pièce en béton sans fenêtre, entourée de cinq autres Irakiennes, toutes dans la vingtaine. Certaines arrêtées lors de rafles, d’autres trahies par des liens familiaux ou par pur hasard, elles partageaient la même indignité. Amira, élevée dans la pudeur et la préservation de sa dignité, tremblait à l’idée de se dévêtir.

Leurs vêtements civils, hijabs et effets personnels remplissaient une caisse qu’une soldate américaine avait déjà emportée. L’ordre aboyé résonnait dans l’esprit d’Amira : « Déshabillez-vous ! Tout, maintenant ! Pas de pudeur ici, détenues ! » Les gardiens – hommes et femmes soldats savourant leur autorité – lançaient des ordres d’une voix méprisante, indifférents aux sensibilités culturelles des femmes. Amira, paralysée par la honte, hésita, ses mains tremblantes agrippant son hijab. « Plus vite ! » cria une gardienne. Son retard, bien qu’involontaire, fut perçu comme une désobéissance.

La fouille à nu obligatoire et l’inspection des cavités corporelles, effectuées devant le groupe, constituaient la première étape pour briser les nouvelles détenues. La politique des soldats semblait conçue pour maximiser l’humiliation. Alors que des mains gantées exploraient son corps, y compris une inspection anale invasive, Amira sentit ses joues s’enflammer de honte. Les jeunes femmes pleuraient en silence, les yeux rivés au sol. Un soldat ricana : « Si tu n’aimes pas ça, tu n’avais qu’à obéir plus vite, terroriste ! »

Pour son hésitation à se déshabiller, Amira fut immédiatement punie. « Tu veux traîner ? » lança une gardienne. Au lieu de passer à l’étape suivante, elle fut forcée de poser nue pour ses photos d’admission, le flash de l’appareil gravant son humiliation. Puis, les gardiens la traînèrent dans une petite pièce à l’écart, où deux soldates lui administrèrent cinq coups de lanière en cuir sur le dos, chaque coup un rappel cinglant de son impuissance. La douleur était vive, mais c’était l’exposition – son corps dénudé devant des étrangères – qui la blessait le plus profondément.

La fouille fut suivie d’une pulvérisation de désinfectant et d’une douche froide en groupe, les femmes exposées sous les regards des soldats. Puis vint le rasage obligatoire du pubis, effectué avec des rasoirs émoussés par une soldate indifférente, ajoutant une nouvelle couche d’humiliation. Amira, comme les autres, sentit son intimité violée davantage, son corps exposé sans égard pour sa dignité. La perte de son hijab, qui couvrait ses cheveux, lui donna l’impression qu’on lui volait son identité. Elle serra ses bras contre sa poitrine, désespérée de se protéger.

Après la punition, Amira fut envoyée directement dans une cellule d’isolement pour une nuit – toujours sans vêtements – pour « apprendre à obéir rapidement »

Lien : 

Traitement et procédures d'incarcération.

L'arrivée des femmes en prison.

 

Détenues nues et humiliées
Groupe de prisonnières nues et humiliées.

 Humiliation collective des nouvelles détenues.

Mars 2004Dans l’enceinte oppressante de la prison d’Abou Ghraib, sous commandement américain, quinze femmes avançaient en file, nues, pieds nus, leurs chaînes cliquetant à chaque pas hésitant. Âgées de 21 à 41 ans, elles étaient entravées, poignets liés derrière le dos, chevilles enserrées par des fers. Le protocole strict de la prison imposait une nudité totale, sans exception, même les culottes avaient été retirées lors de leur arrivée, une règle humiliante mais nécessaire et systématique. Parmi elles, Amira, une Irakienne de 22 ans, marchait, tête baissée, les joues trempées de larmes. Aucune accusation réelle ne pesait contre elle, juste une dénonciation anonyme, peut-être motivée par une vieille rancune. Comme ses codétenues, arrêtées pour des raisons floues – liens familiaux, erreurs, ou simple malchance –, elle subissait cette « promenade » nue, exposée aux regards.

Le couloir, glacial et métallique, semblait absorber leurs sanglots. Les gardiennes américaines, appliquant le protocole avec une froideur implacable, aboyaient des ordres "à poil", certaines raillant la nudité des détenues. Pour Amira, élevée dans une famille pieuse où la pudeur était sacrée, cette nudité forcée était une violation insupportable, une offense à sa foi et à sa dignité. Chaque pas, pieds nus sur le sol rugueux, renforçait sa honte. Elle tentait de se recroqueviller, de cacher son corps, mais les chaînes rendaient tout mouvement futile. À ses côtés, Noor, 28 ans, partageait son désarroi. Arrêtée à cause de son frère, suspecté sans preuves, elle pleurait.

Pourtant, toutes ne ressentaient pas la même détresse. Layla, 41 ans, arrêtée par erreur lors d’une rafle, avançait avec une résignation stoïque. Habituée aux dures réalités de la vie, elle acceptait cette nudité comme une épreuve de plus, un fardeau temporaire. De même, Sarah, 25 ans, semblait indifférente, son esprit déjà brisé par des mois de détention. Pour elles, la nudité, bien que dégradante, n’était qu’une formalité administrative, un protocole à endurer. Mais pour Amira et d’autres, chaque instant était un supplice, un affront à leurs croyances religieuses et à leur sens de la décence.

Le protocole de sécurité pour les détenues " de haute valeur" d’Abou Ghraib était clair : aucune exception, aucun vêtement, pas même un tissu pour couvrir leur intimité. Les gardiennes insistaient sur cette règle, criant que toute tentative de se couvrir entraînerait des punitions. Lors de leur arrivée, Amira avait tenté de garder sa culotte, un réflexe désespéré. Une soldate lui avait hurler dessus en lui arrachant la culotteriant : « Cul nu comme tout le monde, ou tu souffres. » Depuis, Amira n’osait plus résister. Elle avançait, les pieds nus, le corps exposé, redoutant que des photos prises à son insu ne soient un jour publiées, éternisant sa honte.

Les détenues étaient dirigées vers une salle d’enregistrement, toujours nues, toujours enchaînées. Les gardiennes, satisfaites de leur obéissance, continuaient leurs moqueries, certaines prenant plaisir à souligner la vulnérabilité des femmes. 

 

Lien :  

Kahina en prison.

mercredi 23 avril 2025

Incident nudité forcée en prison.

 

Nudité forcée en prison
Nue en cellule.

Femme nue dans sa cellule de prison.

Dans les entrailles de la prison militaire d’Abou Ghraib, Mounia, 32 ans, Irakienne, professeure de lycée respectée, gît nue, enchaînée, dans une cellule d’isolement. Cousine d’un ancien cadre du ministère de l’Intérieur, traqué par la coalition internationale, elle est devenue une "prisonnière de sécurité". Son crime ? Rien de prouvé. Son châtiment ? Une nudité imposée, crue, humiliante.

Mounia, femme pieuse, toujours drapée de la tête aux pieds, conforme aux codes de sa foi musulmane, a été dépouillée de tout. Son avocat, sidéré, raconte le choc : "Ma cliente, nue, exposée, enchaînée comme un animal." Officiellement, cette nudité est une mesure de "sécurité" pour prévenir la contrebande. Mais un responsable, sous couvert d’anonymat, lâche une vérité plus sordide : "On les force à rester nues pour les briser, pour les punir." Les femmes musulmanes, en particulier, sont visées, leur pudeur transformée en arme contre elles.

À son arrivée, Mounia a subi une fouille à nue, procédure standard. Mais ce qui suivit n’a rien de standard : on lui a refusé tout vêtement. "Pas d’autorisation", a-t-on justifié. Dans l’Irak brûlant, où la chaleur suffocante rendrait le port de vêtements facultatif selon certains gardes, elle est laissée à vif, sans voile, sans dignité, sans aucun signe de sa culture ou de sa religion. Le statut de "prisonnière de sécurité"

 Liens : Rapport visite prison

jeudi 2 janvier 2025

Punition collective et excercices physiques forcés en prison

Humiliation en prison
Les prisonnières contraintes à des exercices physique à poil.

 

Les humiliations dans les couloirs de la prison.

Je me rappel avoir lu il y a plusieurs années un article sur la prison d'Abou Ghraib en Irak, ou en 2004, les forces américaines qui occupaient ce pays ont humiliés et torturés des prisonniers.

Il y avait un article dans un journal d'investigation et d'enquête qui à révélé certains incidents et abus en rapport avec les quelques femmes irakiennes ayant séjourné dans ce centre de détention.

Les détenues irakiennes étant souvent musulmanes sunnites ou chiites, quelques unes chrétiennes, de culture très conservatrices, et portent très souvent des tenues pudiques et très couvrantes en conformité avec leurs convictions religieuses comme des longues robes amples qui couvre tout leurs corps de la tête aux pieds et des voile (hijab) sur leurs cheveux. 

En détention, les femmes avaient parfois du mal avec les ordres et l'obligation d'obéir sans discuter, car en prison, les ordres sont les ordres, en particulier quand les gardiens et gardiennes disent "déshabillez vous" "à poil" "enlevez vos vêtements".

En prison, certaines femmes ont protester et contester les ordres, alors en réponse, les gardes ont assemblées et réunis les rebelles et les contestataires, les ont forcer à retirer leurs vêtements en public, les unes devant les autres et devant les gardiens, pour bien leur faire comprendre leur place et qui commande et mettre à mal leurs fiertés et leurs égos.

Les surveillants leurs disent "Entre nos mains, vous êtes toutes nues, soumises, exposées, vous suivez nos consignes et tout se passera bien" Ici bien sur vous allez renoncer à toute dignité, mettre votre fierté et vos coutumes religieuses à la poubelle."

"Ici vous ne cachez rien, c'est nue que vous devez être".

Vous êtes sous vos voiles et vêtements des grosses putes, nous allons vous dresser et vous apprendre à faire du sport et à manger correctement bande de truie puante".

"Vous allez transpirez même à poil et pieds nus les vachettes" faite nous des jumping jack, des squats, des monter de genoux devant nous qu'on se marre bien de vous voir ainsi.


Lien :

Meriem exhibée nue en public.


dimanche 24 novembre 2024

Une détenue nue enchainée d'Abou Ghraib

 

Nudité forcée et humiliation Abou Ghraib
Prisonnière nue en enchainée avec sa gardienne

Nudité forcée et interrogatoire renforcée des femmes.

Nous sommes en Irak, dans la prison d'Abou Ghraib dans la banlieue de Bagdad qui sert de base et de centre d’interrogatoire pour les forces militaires américaine qui occupent le pays.

Les femmes irakiennes capturées par les forces militaires qui sont incarcérées dans cette prison sont contraintes de se dévêtir entièrement, y compris devant des hommes, en contradiction avec leurs valeurs et principes religieux.

Elles sont musulmanes et elles portent toute le voile (hijab), et l'abaya, large robe traditionnelle arabe que portent les femmes du Moyen Orient. 

Chaque femme est soumise à une fouille à nue en arrivant, c'est difficile à vivre mais ici pas de voile, les hijab sont confisqués, et il faut tout retirer. Les femmes fières et dignes sont terriblement humiliées de se retrouver entièrement nues pour y être inspecter dans la nudité totale. 

Aucune négociation n'est possible sur ce sujet. En cas de refus elles sont déshabiller de force, battues, et fouettées et misent en isolement dans le noir avec des musiques assourdissantes et désagréables en permanence pendant des semaines.

Les surveillants inspectent les cheveux, les oreilles, les bouches, sous les seins et les aisselles, contrôle du nombril, et inspection du vagin et de l'anus avec une lampe torche et un doigt ganté et lubrifié, et même les doigts de pieds des prisonnières sont examinés !

Leurs vêtements sont découpés et détruit, et elles sont obligées de rester nues, aucun vêtements ni uniformes de prison ne leur est fournis.

Elles doivent défiler nues et pieds nus jusque à leurs cellules, pour "être présentées"  comme de la viande fraiches à tout le personnel de la prison (gardiens, interrogateurs, staff administratif etc.) mais aussi s'humilier devant les autres prisonniers, y compris les hommes.

La nudité totale est obligatoire et permanente. Les femmes musulmanes entre les mains des forces américaines sont nues pour être formatée et formée à perdre toute pudeur et modestie, comme elles arrivent voilées et couvertes de la tête aux pieds, par pudeur et convictions religieuses et qu'elles n'ont jamais été nues en publique et bien tout le monde doit pouvoir les voir à poil.  Elles doivent abandonner toute espoir de porter des vêtements.

Lien : 

Malika soumise à une fouille gynécologique.


samedi 9 novembre 2024

Deux prisonnières nues en prison

 

Deux prisonnières humiliées nues
Deux prisonnières nues.

Des femmes interdites de porter des vêtements en prison.


Deux étudiantes irakiennes emprisonnées à Abou Ghraib en 2004 très choquées par la nudité forcée.
Elles témoignent que dans la tristement célèbre prison les femmes sont obligées de se déshabiller devant tout le monde, les soldats interdisent aux femmes de porter des vêtements.
 
Ces deux filles, Nour et Rehab ont militer dans le syndicat étudiant de leur université qui est lié à l'ancien parti au pouvoir, même si tout les syndicats et mouvement était tous officiellement et de facto lier à l'ancien régime, et qu'objectivement ces deux filles n'ont pas grand chose  à voir avec le régime déchu, l'une des deux est même musulmane chiite... Les autorités américaines ne veulent rien savoir  et les arrêtent quand même par "précaution"et considère qu'elles sont susceptible de soutenir la résistance et de détenir des informations importantes puisque beaucoup d'ancien étudiant ont rejoint la résistance.
L'arrestation se déroule sans problèmes car les deux filles sont coopératives et n'ont rien fait et montent sans sous dans le blindé léger américains sans même être menottées ou entravées.


Ces deux jeunes femmes sont très respectueuse des préceptes religieux de la religion musulmane et portent le voile (hijab) et des tenues pudiques arabes traditionnelles couvrant tout le corps bien qu'elles soient assez ouvertes et modérée.

Après quelques heures d'observations, le renseignement décide qu'elles doivent être gardées dans la prison d'Abou Ghraib, car elles doivent avoir des informations importantes.
 
Dans la prison d'Abou Ghraib, l'atmosphère change, les gardes et militaires sont bien moins polis et plus agressifs, les deux étudiantes ont très rapidement un très mauvais pressentiment ... 
 
Les gardiens brutaux et baraqués hurlent aux nouvelles détenues d'enlever leurs vêtements et de les mettre dans un carton. 
 
"Vous êtes des raclures, des salopes de terroriste, entre nos mains, vous allez en baver, être dressées, alors À POIL".
 
Elles pleurent, c'est terribles, et elles voient bien que les gardiens très nombreux utiliseront la force si elles refusent  d'obéir, les filles doivent retirer leurs voiles d'abord, ici les femmes ne portent aucun couvre chef, lles filles voilées sont copieusement sifflées et insultées.

Lien : 

 
 


vendredi 8 novembre 2024

La prison d'Abou Ghraib

 

Nudité difficile à vivre en prison.
L'humiliation de la nudité forcée ressentie par les femmes prisonnières.

Les femmes humiliées et soumises.

Les femmes irakiennes détenues dans la prison militaire d'Abou Ghraib par les forces américaine en 2004 sont soumises aux techniques d’interrogatoires musclées.
 
Lorsqu’une femme arrive, elle est complétement déshabillées lors du processus d'accueil pour une fouille très approfondie de tout le corps  respect Elles sont traitées sans aucuns respects pour leur religion, leur culture et leurs coutumes qui sont ignorés et méprisés par les gardiens. C'est très difficile pour une pieuse et respectable femme arabe et musulmane d'enlever sonvoile (hijab) ainsi que tous ses vêtements devant des gardiens hommes, les gardiens font même retirer les boucles d'oreilles, les tampons hygiéniques et les pinces à cheveux ...
Les fouilles avec inspection des cavités sont très régulières, parfois plusieurs fois par jours.
 
Les détenues sont privées de vêtements et de chaussures (et de chaussettes , car elles sont pieds nus bien sur), la totale nudité est obligatoire, avec des exhibitions obligatoire et public pour les humilier et dégrader profondément.

 
Les femmes sont gardées en isolement, sans contact avec l'extérieur, sans inculpation, elles ne savent pas ou elles sont et sont désorientées en permanence.
 
Elles sont en confinement solitaire dans des petites cellules de deux mètres sur deux, avec juste une petite arrivée d'eau et des toilettes à la turque, sans matelas ni aucun objets.

Les femmes sont obligées de rester debout, immobiles, et exposées à poil devant tout le monde.

Lien : 

vendredi 1 novembre 2024

Traitement choc pour les femmes en prison.

Humiliée et punir les femmes en prison.
Prisonnière tirée de sa cellule toute nue.

Prison d'Abou Ghraib, Irak, incident  nudité forcé du 6 mai 2004.

La nouvelle détenue Malika vient d'être placée en cellule, elle est totalement à poil, entravée et bâillonnée, à peine quelques minutes après "son installation" , les gardiens sont venus la chercher pour l'humilier et lui apprendre les règles.

Non seulement les prisonnières irakiennes musulmanes doivent être nues et pieds nus en cellule, mais elles sont aussi obligées de parader et de s'exhiber nues devant tous le monde : devant l'équipe de surveillance et le personnel administratif et militaires, mais aussi devant les autres captives et les prisonniers masculins, si possible devant des membres de sa famille et de son quartier.

Les gardes aiment voir les prisonnières terrifiées et et humiliées. Malika était quelques minutes avant complétement voilée de la tête aux pieds comme une bonne musulmane respectueuse des traditions et des préceptes de sa religion, et là, elle est complétement nue et exposée devant tout le monde.

Lien :

Histoire BDSM.


 

mercredi 30 octobre 2024

Malika passe 6 mois en prison en confinement solitaire

 

Détenue nue et exposée publiquement en prison.
Pas de pudeur pour les femmes en prison.

Nudité forcée et détention des femmes.

Qui aurait pu imaginer quelques semaines que Malika, une femme irakienne respectable, se retrouverait détenue dans le prison américaine d'Abou Ghraib en Irak ?

Elle se tient totalement nue dans une pièce avec d'autre malheureuses prisonnières, toutes sont très honteuses de cette ignoble situation, leurs vêtements et chaussures sont dans un panier. Les gardes les ont forcer a se déshabiller publiquement, les unes devant les autres et devant des hommes.

Les membres de la police militaires adorent déshabiller de gré ou de force les femmes pudiques musulmanes qui tombent entre leurs mains, ils leur donnent l'ordre en arabe et en anglais de "se déshabiller",  "à poil", "Vous enlevez tout, nous voulons voir voir toutes nues sans vos voiles".

Plus c'est dégradant et traumatisant et mieux c'est, les gardes rient, insultent, et se moquent des prisonnières quand elles enlèvent leurs vêtements.

Les recommandations officielles données aux  gardes insistent pour rendre l'expérience le plus "dégradante" possible. Certes les fouilles à nue et des cavités sont toujours humiliantes, mais dans la plupart des prison américaines elles doivent être réalisées en respectant le plus possible la dignité des détenus.

Ici c'est le contraire, déjà, des hommes assistent au "spectacle", car les détenues sont musulmanes et que c'est extrêmement honteux pour elles, leurs cultures et valeurs religieuses sont méprisés, leurs vêtements traditionnelles religieux sont confisqués et détruits sous leurs yeux.

"Votre religion et les hommes de votre communauté vous dises de vous couvrir de la tête aux pieds et bien avec nous c’est la nudité totale, vous êtes sans voile ni rien pour couvrir vos cheveux sans culotte avec vos fesses et chattes à l'air libre, sans chaussures ni chaussettes avec vos pieds nus, et on vous retire même vos tampons hygiéniques, barrettes de cheveux et vos montres, c'est 100% nue ".

 Lien :

Exhibition forcée.


dimanche 20 octobre 2024

Prisonnière nue et humiliée devant des hommes.

La nudité totale en prison
Prisonnière pudique nue tente de dissimuler son corps.

La nudité forcée comme méthode d'interrogatoire et de contrôle en prison.

Pendant la seconde guerre d'Irak (2003/2011), les États Unis ont appliqué différentes techniques d'interrogatoire et en particulier la méthode dite de "nudité forcée" qu'ils ont appliqué à grande échelle sur les prisonniers hommes et femmes.

Comme la nudité est quelque chose de particulièrement dégradant et infamant pour les populations du moyen orient et particulièrement pour les femmes musulmanes, cette méthode à été mis en place, en particulier dans la prison d'Abou Ghraib ou le scandale des prisonniers humiliés et torturés à éclater dans la presse suite aux révélations.

Comme les femmes irakiennes sont majoritairement musulmanes et portent le voile (hijab) et de larges tenues traditionnelles arabes amples et larges visant à dissimuler le corps féminin et ses formes, l'Empire pour marquer son contrôle et sa domination sur le peuple soumis décide que désormais les femmes doivent se moderniser et être reconditionnées pour abandonner leurs anciennes coutumes et traditions pour devenir comme la majorité des  femmes américaines et occidentales.

Les femmes portant des tenues pudiques sont lorsqu'elles sont arrêtées et incarcérées très humiliées par les mise à nue public et devant les hommes.

Les gardiens ont pour consigne de fouiller à nu les femmes devant tout le monde et de faire participer les gardiens hommes, et d'inspecter les moindres parcelles de leurs corps (anus, vagin, bouche, entre les orteils, aisselles, nombril etc.).

En détention, elles sont gardées constamment nues, pieds nus, et leurs corps doivent être visibles par tous, interdiction de faire preuve de pudeur sous peine d'être punie.

Les femmes doivent comprendre qu'il est normale de se déshabiller et qu'il faut savoir montrer ses seins ou ses fesses sans aucune modestie.

Les femmes sont prises en photo et filmées nues pour pouvoir exercer des pressions et du chantage lors des interrogatoires. Mais pas seulement, la volonté d'humilier durablement les captives est là.  D'une part les photos des prisonnières nues sont affichées sur les portes de leurs cellules et dans les couloir de la prison pour que tout le monde puissent les voir, et leurs noms, âges, taille, lieu de résidence sont aussi indiqués pour augmenter l'humiliation et faire que les membres de leurs familles, quartier, même ville ou de leur communauté puissent les voir à poil. 

dimanche 15 septembre 2024

Enquete sur un incident impliquant la nudité de deux femmes prisonnières.

 

les femmes prisonnières obligées de rester nues en permanence.
Deux prisonnières nues et pieds nus en cellule.

Révélation sur le scandale sévices  et nudité forcée à la prison militaire d'Abou Ghraib en 2004.

Robert, Un ancien gardien de la prison discute avec John,  un fonctionnaire américain du traitement de deux femmes irakiennes arrêtées  par erreur pendant qu'il exercait le poste de surveillant à Abou Ghraib pendant la guerre en Irak.

Marwa et Lamia sont deux femmes ayant été photographiées et filmées nues par les gardes et l'agent cherchent à en savoir plus sur les circonstances de cet incident dans une discussion informelle avec Robert.

 

- Alors Robert, j'aimerais avoir ton témoignage et ton retour d'expérience sur ton job de gardiens de prison en Irak. Nous avons tous entendus parler dans la presse des actes de tortures et de mauvais traitements imposés aux prisonniers irakiens,  mais qu'en est t'il des femmes irakiennes détenues sous votre garde ?

 

J'ai lors de ma mission  d'enquête rencontrée Lamia, elle n'a pas voulue me parler de son expérience carcérale mais elle avait l'air très choquée. Elle a étudier aux États Unis.

 

- Oui je m'en souviens, cette fille est arrivée avec une autre femme d'a peu près son âge. Elles sont restées quelques semaines après elles sont sorties. Elles étaient innocentes.

 

- Oui, c'est bien elles, j'espère que les gardiens n'ont pas oser les déshabiller et les humilier quand même.


- Euh, et bien c'est comme pour toutes les autres, c'est la même procédure. Nous les gardiens nous suivons les ordres et appliquons ce qu'on nous montre.


- J'imagine que les autorité américaines ont pris en compte le contexte politique, culturel et religieux pour ce type de prisonnières spécifique.


- A Abou Ghraib les gardes font déshabiller les femmes "cul nu".


- Mais vous ne pouvez pas faire ça. En Irak, les habitants sont arabes et musulmans majoritairement, la nudité est taboue, et encore plus pour les femmes qui doivent sortir couvertes de la tête aux pieds. Il faut des mesures respectant les us et coutumes locales.


- Nous sommes des gardiens de prison, pas des anthropologues ou des guide touristiques. Ces deux  femmes ont été soumises à la procédure habituelle , et dans nos coutumes les détenus ont les fesses à l'air !


- J'espère que dans le cas Lamia et sa copine Marwa, les gardes n'ont pas oser les mettre à poil..

 

- Quand une femme arrive à Abu Ghraib l'une des premières qu'on fait c'est de la déshabiller, donc elles se sont déshabiller ensembles. C'était marrant de voir ces deux jeunes femmes musulmanes voilées et respectables enlever leurs vêtements devant nous, gardes américains. Nous adorons voir leur honte et leur détresse dans leurs yeux. Quelle bonne leçon d'humilité pour ces femmes qui sont peut être des terroristes que nous devons vérifier.


- Mais ne trouves tu pas que c'est terriblement humiliant pour elles ?

 

- Oui, elles se sont mises à pleurer et sont devenues rouges de honte. Elles ont protesté aussi contre le fait que des hommes puissent les voir se dénuder. Elles se sont déshabiller le plus lentement possible, et elles ont tenter de gagner du temps mais nous avons l'habitude ...

Je veux vous signifier qu'elles ont facilement enlever leurs chaussures, mais qu'ensuite elles ont tenter de ralentir les opérations. Lamia s'est plus rapidement retrouvée en petite culotte et chaussettes  mais Marwa a prétexter refuser d'enlever  son voile et invoquer le respect de ses convictions religieuses.

Nous avons bien rigoler, en tant que gardiens,  nous traitons toutes les femmes de la même manière, que ce soit en Irak ou aux Etats Unis. Nous traitons des prostituées, des voleuses, des avocates, des politiciennes, des supporters des terroristes, des banquières,  des bourgeoises arrogantes, des innocentes aussi, et  qu'elles soient athées, musulmanes; chrétiennes, juives etc.

Bien sur aucune n'a envie de se retrouver toute nue et inspectée par des gardes comme nous.

 

C'est un bon moyen de les remettre en place de forcer une femme à se dénuder.

 

- C'était des innocentes, elles ont été arrêtées car elles étaient là au moment endroit et au mauvais moment, ça doit être horrible ce qu'elles ont subies les pauvres, je comprend qu'elles n'aient pas très envie d'en parler. 

 

- Moi j'en garde un super souvenir. Certaines prisonnières sont grosses ou vieilles ce qui n'est pas toujours sexy, mais ces deux là tout le monde veut les voir à poil. Et les fouilles et déshabillage sont aussi pour leur bien être et sécurité. Et puis c'est juste des vêtements, les détenues doivent comprendre qu'en prison il faut mettre sa pudeur de coté. Lamia et Marwa étaient trop pudique, vous vous rendez compte quand même que Marwa a tenté d'invoquer sa religion et sa culture pour refuser une fouille à nue ?

Elle était là, avec son grand voile et sa large tenue en disant qu'il ne fallait pas qu'elle retire ses vêtements devant des hommes !

Si elle ici c'est qu'il y a une raison. Nous sommes pour la justice et nous voulons voir les coupables, criminels et autres terroristes se mettre à poil. Marwa s'est vite rendue compte qu'elle  n'a aucune chance et qu'elle serait déshabiller de force en cas de résistance. Tous le monde aime voir les méchants quitter leur vêtements et parader les fesses à l'air car ce n'est que JUSTICE, il rendre dignité aux victimes en dépouillant les coupables.

J'ai décider aussi par soucis d'équité  qu'elle devrait être toute nue la première.

Un gardien inspecte deux prisonnières nues très pudiques et humiliées.
Deux prisonnières obligées de s'exposer nues devant un gardien.


- Mais c'est quand même un peu abusif d'obliger les femmes à se découvrir devant des gardiens hommes, même aux Etats Unis ça ne se fait pas.


Et alors, bien sur que si ça se fait, nous sommes les champions de la démocratie et du progressisme, les hommes et les femmes sont égaux, pourquoi un gardien ne pourrait il pas imposer une fouille à nu à une prisonnière ? Et cette Marwa, il fallait bien lui apprendre à nous respecter, nous avions tous très envie de la voir à poil. D'ailleurs quand nous l'avons promener toute nue dans les couloir de la prison et dans la court, pour la montrer a des prisonniers de son quartier, et bien certains ont eu du mal à la reconnaitre sans ses vêtements !

- Ne me dit pas que vous les avez obligées à se promener nues !?


- C'est une petite tradition ici, quand des femmes arrivent, ont les déshabillent pour la fouille et elles paradent nues comme des trophées. Les prisonnières sont nues, pieds nus.


Liens :

Procédure d'incarcération.

Torture, humiliations... Les photos qui ont révélé l'horreur d'Abou Ghraib

mardi 10 septembre 2024

Exhibition forcée et position de stress dans la prison d'Abou Ghraib.

 

Nue et humiliée en détention.
Prisonnière nue en position de stress en vue des interrogatoires.

L'humiliation de Meriem, prisonnière nue.

Après sont arrivée dans la prison d'Abou Ghraib, l'humiliation de Meriem ne s'arrête pas. Les gardes sur ordre des services de renseignement dans le but de la faire craquer et parler décident qu'elle doit être traitée de façon très stricte en vue des interrogatoires renforcées auquel elle doit être soumise. Les gardes ont mis un disposition tout un processus de coercition physique et psychologique pour humilier et faire craquer les prisonnières.

D'une part, elle est soumise à un état de nudité complète et permanente, les détenues musulmanes sont strictement interdites de porter le moindres vêtements et doivent exhiber leurs corps devant tout le monde y compris les hommes. Son voile (hijab) et sa robe traditionnel ont été détruit sous ses yeux, les gardes haïssent les tenues des musulmanes. Les détenues sont toutes pieds nus, Meriem doit s'habituer à sentir le béton dur, froid et poussiéreux sous ses plantes de pieds.

Meriem doit marcher et parader nue hors de sa cellule, pour que tout le monde puisse la voir nue, bien sur, tout le staff peut la voir à poil, car elle doit aller dénudée aux interrogatoires, à la douche, aux visites médicales, lors des "promenades" autorisé d'une heure par jours dans une petite court. Mais elle est obligée d'être nue avec les autres femmes, et de s'exhiber devant les prisonniers masculins.

Les femmes sont forcées de s'humilier devant les autres, d'ouvrir leurs fesses, de danser nue, de secouer leurs seins devant les prisonniers masculins, d'aller distribuer les plateaux repas dans la section ou sont retenus les hommes pour qu'ils puissent les voir à poil.

Les femmes sont prise en photo nue, ses photos sont collées sur les portes de leurs cellules et sur les murs de du couloir de la section féminine. Les photos comportent les ages, nom, prénom, lieu de naissance, résidence, statut marital ( et nom du mari si la femme est mariée) pour une humiliation profonde.

Meriem passe plus de 8 heures par jours en position de stress, nue et exposée.

Confinement solitaire : Meriem est gardée dans une petite cellule vide de 2 mètres sur 2, sans fenêtre ni aucuns repères, ni confort.


samedi 7 septembre 2024

Les méthodes musclées de l'armée lors des rafles.

Nudité lors des perquisitions musclées
La pudeur des prisonnières lors des interrogatoires.

Des habitants dénoncent les méthodes humiliantes de ratissage utilisée par l'armée.

 En mai 2004, après un incident  armé impliquant l'armée américaine et un groupe de rebelles irakien dans les faubourg de la capitale Bagdad, une unité a effectué plusieurs raids et perquisitions contre des habitations des immeubles autour.

Une dizaine de personnes sont arrêtées dont une femme. Les suspects sont amené dans un avant poste militaire pour y être interrogés

Le problème est que les détenus ont été comme le protocole anti terroriste  déshabillés et fouillés, et ensuite détenus plusieurs heures pour diverses vérifications et interrogatoires, les soldats américains ont littéralement mis à poil les suspects (qui n'ont pas pu garder de slips ni de chaussettes), et que Maya, la jeune femme irakienne a subie le même sort. 

Le chef d'escouade affirme  que la jeune femme a bien été "traitée", conformément à la loi et  à la procédure en vigueur.  Les suspects sont toujours interrogés nus par sécurité et pour en tirer plus d'information, il est plus difficile de mentir à un suspect lorsqu'il est nu devant ses interrogateurs. 

Concernant la jeune femme, le militaire expérimenté confirme bien que les  vêtements et ses chaussures de Maya ont été retirer. Les soldats lui ont fait tout enlever, elle a du rester à poil 6 ou 7 heures pendant les vérifications. Elle peut même s'estimer chanceuse car nous l'avons libérer tout de suite après les vérifications.

Le militaire endurci affirme respecter scrupuleusement le code d'engagement de l'armée américaine, les suspects sont toujours déshabillés. Je n'ai pas fais exception, j'ai pas envie d'avoir de problèmes avec les supérieurs, j'ai même rappeler à mes gars de lui faire enlever ses chaussettes, car nous sommes dans un pays chaud, donc pas d'excuse du type le sol est froid, c'est 100% nue et pieds nus.

Lors de interrogatoire, elle était très gênée, les suspects sont toujours placés à poil sur  une estrade et font face aux interrogateurs. Elle tentait de cacher son sexe et ses seins, par pudeur je pense, elle pleurait aussi. J'ai du plusieurs fois lui dire de mettre les mains sur la tête pour qu'elle puisse laisser voir sa chatte pendant l'interrogatoire.

 Lien :

Interrogatoire nue.

lundi 19 août 2024

Nudité forcée et systématique dans cette prison.

La nudité forcée est difficile à vivre pour les femmes pudiques en prison.
Une prisonnière pudique tente de dissimuler son corps en prison.

Durant la seconde guerre d'Irak, dans les semaines qui ont suivi le déclenchement des photos et vidéos de prisonniers nus  dans la prison militaire Abou Ghraib, les autorités américaines se sont d'abord défendue en expliquant que ceux sont des actes isolés et en accusant une équipe de gardiens voyous.

Mais les enquêtes officiels et celles menées par des ONG et des journalistes indépendants révèle que  la nudité forcée des prisonniers était omniprésente systématiquement imposée dans  la partie dure de la prison a tel point que certains soldats la première fois témoignent qu'on leur a tout de suite expliquer que la nudité des détenus était "normale et ordinaire" pour toute personne habituée des lieux.


Certes des cas de nudité forcée  des prisonniers de guerre sont dénoncés dans diverses prison à travers le monde, mais à Abou Ghraib selon divers témoignages de soldats, d'anciens détenus et de rapports officiels d'organisation de défense des droits de l'homme, la pratique consistant a garder à poil les prisonniers s'est rapidement developper et généraliser ce qui semblant naturel et normal  pour les soldats et gardiens.


Cette pratique a commencer des juillet 2003 suite a des consignes données par la police militaire de déshabiller certains suspects pour "les préparer" en vue des interrogatoires. Certains détenus étaient mis à poil et humiliés par les interrogateurs et selon les responsables de l'armée les résultats obtenus par cette expérience  sont très positifs en terme de renseignement. 


Pour les militaires la nudité forcée est une technique d'interrogatoire qui fait l'unanimité  simple à mettre en place et efficace pour ramollir les suspects et les responsables de la prison ont décider de l'autoriser pour "de bonnes raisons".


Très vite,  pour les gardiens , le fait de s'habiller pour un détenu  n'est plus considérer comme un droit mais comme une faveur.


Quelques semaines après de plus en plus de personnes détenues sont gardées nues, les américains confisque les vêtements des prisonniers  lors de leurs arrivés pour faire pression sur eux et exercer un  chantage très simple : Toute personne doit pleinement coopérer pour avoir la possibilité de porter des vêtements.


Les prisonniers défilent nus en arrivant ce qui est vite devenu, du point de vu des gardiens comme une sorte de tradition, de rite de passage imposé aux captifs.


Les femmes ne sont pas épargnées , et certaines ont été trouvées gardées totalement nues dans leurs cellule et avaient l'interdiction formelle de tenter de cacher leurs sexe, fesses ou seins même devant les visiteurs.

Lorsque les membres du comité internationale de la croix rouge ont retrouver une femme connue sous le pseudonyme d'Houda  d'environs 34 ans incarcérée dans le complexe pénitentiaire  d'Abou Ghraib après avoir été arrêtée  un mois plus tôt durant  un raid sur sa maison.


La femme, horrifiée à l'idée d'être exhibée et  en voyant les gardes et les observateurs a tout de suite tenter par réflexe de pudeur de cacher ses seins avec ses bras et de dissimuler son sexe avec ses jambes.


Un colonel responsable du renseignement militaire explique aux membres du comité que : 


"la nudité fait partie du processus. Le cas de cette prisonnière est typique, c'est une femme culturellement très pudique a qui on enseigne la modestie depuis l'enfance et dans sa religion la nudité est quelque chose de très honteux. L'une des premières choses à faire pour la rendre coopérative docile et briser sa personnalité est de s'en prendre a son égo et a son identité en la dépouillant de sa liberté, de ses droits, de ses papiers, argents  et surtout de sa dignité. Et pour cela, il y a la mise à nue systématique en arrivant".

Liens :

Nudité imposée.

mercredi 14 août 2024

Majda change de vie après son passage en prison.

 

Lutte contre l'intégrisme : du port du voile au nudisme et l'exhibitionnisme
Avant et après, du voile intégral au nudisme.

Une ancienne prisonnière d'Abou Ghraib est maintenant une nudiste et exhibitionniste suite à son séjours en détention.

Majda F, née en 1985 dans la capitale irakienne Baghdad d'une famille conservatrice sunnite.  

Elle avait environ 20 ans en avril 2004 quand les troupes américains l'ont arrêter par erreur lors d'un raid sur son université. 

Elle s'est retrouvée dans la prison d'Abou Ghraib en isolement. 

La jeune femme y a passer plus de 7 mois sans inculpation ni réellement savoir pourquoi.

Plus tard, il lui sera révélé qu'elle a été confondue avec une autre personne recherchée et que les militaires US qui ne prennent pas de risque ont préférés l'a garder quelques mois au nom de la sécurité nationale.

C'est une femme très croyantes et pieuse, elle porte le voile  (hijab)depuis l'age de 15 ans et est très pudique.

En prison toute sa vie et ses certitudes ont été chamboulé. 

Majda a passer la plupart de son temps nue en confinement solitaire.

Les fouilles corporelles  entièrement nues sont systématiquement imposées aux femmes lors des : Entrée et sortie du bloc, avant et après chaque visite que ce soit un avocat, un défenseur des droits de l'homme ou quelqu'un de sa famille.

Majda a été strictement interdite de porter son voile en prison, ainsi que son soutien gorge, chaussettes.

Lorsqu'on lui donnait des vêtements ce n'était qu'un uniforme orange comme à Guantanamo, elle devait rester tête nue et pieds nus.

Majda a passer au moins 5 mois complet en isolement, donc totalement nue.

Les gardiens l'ont souvent photographié nue et diffuser ses photos dans toute la prison.

Majda devait parader nue et servir les repas aux autres détenus.

La jeune femme s'est plusieurs fois faite raser les poils pubiens.

La jeune femme devait régulièrement dire qu'elle remercie les gardiens de l'a garder nue et pieds nus.

En sortant de prison la jeune femme n'a pas vraiment pu retourner à sa vie d'avant, les américains lui ont donner des indemnités et elle est partie vivre en Europe ou elle est nue la plupart du temps.

Liens :


Nue en confinement solitaire.