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lundi 26 juillet 2021

La nudité comme méthode de gestion de la prison

 

Nudité forcée et humiliations publiques de femmes prisonnières nues.
Une femme prisonnière nue parade dans les couloirs.

Déshabiller les prisonniers comme politique officielle 


Fin 2003 début d'année 2004, dans la prison militaire américaine d'Abou Ghraib en Irak, le haut commandement américain a approuvé l'utilisation massive de la nudité comme technique d'interrogatoire et comme moyen de maintenir l'ordre et la sécurité dans l'enceinte du camp de prisonnier. Les gardes et les surveillants de base ont donc reçue des consignes visant à garder complètement nus une grande partie des prisonniers retenus sur le site. Les témoins, que ce soit d'ancien employés, des juristes internationaux des hauts gradés chargés de superviser la prison sont unanimes : On y voit des prisonniers nus, c'est même la majorité; 70 % sont complètement nus, les autres sont parfois des simples slips et certains les plus coopératifs ont des uniforme orange ou jaune de prisonnier.


La plupart des gardes n'ont aucun scrupules à appliquer les consignes. Une femme de 24 ans, étudiante ayant passer 3 mois en détention pour soupçons de liens avec la rébellion témoigne.


"Les soldats ont fait irruption sur le campus de l'université et ont placés tout les étudiants présent dans le principale amphithéâtre. Comme j'étais représentante d'une association étudiante proche du parti au pouvoir et la directrice de la section des jeunesses nationalistes, les militaires ont décider de m'arrêter avec deux autres étudiants, j'étais la seules fille. Ils nous ont bander les yeux et mis les menottes dans le dos avant de nous installés dans des fourgons militaires.


La première journées ils nous ont gardé dans une base militaire et ils nous posaient des questions sur notre identité, de là ou nous habitions etc. Même si ce n'était pas le grand luxe, nous étions nourris et traité correctement. C'est deux jours après que les choses ont changée et que les vrais problèmes ont commencés.


Un groupe de militaires encagoulés est venu me prendre, pareil ils m'ont mis un sac sur la tête et m'ont attaché les mains et les chevilles avant de me placer dans un véhicule militaire, pour un long trajet de plusieurs heures, j'ai commencer à avoir envie de faire pipi, et à avoir faim. Il faisait chaud et il y avait beaucoup de poussières, ce trajet était désagréable.

J'étais bien contente quand nous nous sommes arrêtés. Les militaires m'ont livrée aux surveillants de cette grande prison, je n'ai pas tout de suite connu mon lieu exacte de détention, les gardiens m'ont tout de suite dit que c'était ma nouvelle maison et m'on découvert les yeux.


Deux femmes en uniformes et rangers et un homme m'ont pris en charge. Ils m'ont dit qu'ici il ne valait mieux pas parler aux gardiens ni contester les ordres sous peine d'être sévèrement sanctionné.


Ils m'ont faite avancée dans les couloir et conduite dans une petite salle ouvertes, ils ont enfiler une paire de gant et l'une des gardiennes s'est approchée de moi par derrière pour me m'enlever les menottes et les chaines et de mettre les mains sur la tête. Puis l'ordre suivant me retenti encore dans les oreilles, ils me l'ont dit en arabe et en anglais : 


- "Déshabille toi, donne nous tes vêtements l'un après l'autre, y compris tes chaussettes,  ta culotte, ton soutien gorge, nous voulons te voir comme le jours de ta naissance."

Ce fut très choquant la première fois, même si je m'y attendais un peu car j'ai vue plusieurs séries et films américains ou des scènes en prison montre des gens devant se mettre totalement nue  pour une inspection complète avant de se voir remettre un uniforme de détenus jaune, orange ou rouge. J'espérais que les américains ne m'imposent pas ça, car je suis modeste et pudique et jamais aucun homme ne m'avais vu nue avant cela, et depuis ce jours là, exposer ma nudité allait devenir une sorte de routine quotidienne.


Oui qu'il en soit  c’est un choc mais je n'ai pas d'autre choix que d'obéir et de  faire ce qu’on me demande c’est à dire leur remettre mes vêtements. Ils sont trop costaud et je n’ai aucune chance de leur résister.

Avec une bonne dose de honte j’ai commencé par enlever mes habits devant eux. J’ai vraiment pas été élevée comme ça et je trouve l’obligation d’être totalement nue pour la fouille d’entrée en prison  très difficile. Surtout qu’ici les hommes sont autorisés à voir les fouilles des femmes et inversement les gardiennes peuvent voir les prisonniers mâles se faire inspecter.

Vous imaginez bien que les américains se fiche de ma culture et de ma religion qui m’inculque depuis ma plus tendre enfance des valeurs de pudeur et de modestie. L’une des premières choses qu’ils font aux femmes qui arrivent ici c’est de les déshabiller intégralement pour ce terrible rituel dégradant. Ils n’ont aucun état d’âmes a humilier les femmes ! 

J’ai retiré mon voile hijab qui couvre mes cheveux et mon cou et l’ai remis à une gardienne qui l’a pris et inspecté minutieusement . C’est strictement interdit en prison. Les femmes n’ont pas le droit de  le porter. Puis j’ai enlevé ma vestes, mes chaussures et ma chemise. Le staff a encore une fois vérifié qu’il n’y avait rien de caché dans les habits.

C’est ensuite au tour de mon jean d’y passer...

Je porte le hijab mais je m’habille en partie à l’européenne car les femmes de ma famille sont assez modernes. Mais la j’étais en petite tenue devant eux ..

J’ai du me mettre pieds nus et leur donner mes chaussettes qu’une surveillante a retourner avant de la placer dans un carton avec le reste de mes affaires.


J’ai commencé à pleurer puis une américaine m’a hurlé dessus pour que je retire mes sous vêtements.

« Retire tout ! »


J’ai supplié de pouvoir garder ma culotte et mon soutien-gorge en leur promettant que je ne cachais rien mais les gardes sont sans pitié.


« Nos règles sont très claires nous exigeons la nudité totale. Notre politique c’est la tolérance zéro, si vous n’obéissez pas et ne vous soumettez pas immédiatement à nos ordre nous utiliserons la force et des vêtements seront découpés. Les femmes rebelles ici sont vites matées.»

Je n’ai vraiment pas eu envie ce jours là d’être dépouillée de force alors j’ai remis mon soutien-gorge et l’ai tendu à l’une des soldates. Elle l’examina et vérifia chaque  points de ce dernier et retourna même le bonnet.

J’ai ensuite fermé les yeux et fait tomber ma culotte sur mes pieds nus et je me suis baissée pour la ramasser et la donner à une gardienne.

J’ai eu l’interdiction de cacher ma poitrine et mon sexe car ils m’ont fait mettre les mains sur la tête et les jambes écartées. Les américains détiennent tout le pouvoir dans la prison, ils nous déshumanisent et dégradent des l’arrivée !

Entièrement nue, ils observent et scrutent mon corps, de la tètes aux orteils. Ils m’avait même mis un doigt dans les fesses et un doigt dans vagin !!!


Ensuite après cette affreuse fouille les américains n’ont amené dans la section ou sont détenues les femmes. Elles étaient nues et exposées 24/24 et 7/7 aux regards des gardes habillés et des autres prisonniers.


Liens :

 

Naked behind bars.


Obligatoirement nue.


Exposée et humiliée.



mercredi 30 juin 2021

Prisonnière nue derrière les barreaux

Nudité forcée en confinement solitaire.
Prisonnière nue derrière les barreaux de sa cellule.

Déshabiller les prisonnières en confinement solitaire (isolement).


Dans la prison militaire américaine d’Abou Ghraib, qui contient un block cellulaire dans lequel sont gardés en détention les détenus de “grande valeur”. La majorité des détenus sont des hommes mais il arrive que quelques femmes y soient détenues aussi.

Elles sont classées comme “prisonnières de sécurité” un terme inventé par l’administration américaine du président Bush pour justifier la privation de liberté sans inculpation ni cadre légal de toute personne suspectée de liens avec le terrorisme ou ici sur simple soupçons d’activités contre la coalition internationale menée par les États Unis.
Après les révélations dans la presse qui ont fait scandale, plusieurs organisations internationales et ONG se sont intéressés à la situation dans ce centre de détention.

Une jeune femme, Latifa, 24 ans  recherchée par sa famille après avoir été arrêtée a un barrage routier est retenue en isolement dans cet endroit depuis 4 mois pour être suspectée d’avoir hébergé des rebelles.

Lorsque qu’elle est arrivée à l’unité d’isolement  la jeune prisonnière a été soumise à une fouille à nu selon la procédure.

Les autorités administratives admettent que la prisonnière doit se déshabiller devant 4 agents de la prison. Latifa a du retirer tout ses vêtements, ses bijoux, sa montre, et tout ses effets personnels. Elle a même dû retirer son tampon pour les règles.
La prisonnière une fois nue doit défaire ses cheveux, ouvrir la bouche, soulever ses seins, faire des flexion de jambes, puis se retourner et se pencher en écartant les fesses en toussant fort pour s’assurer qu’elle ne cache rien dans son anus.

Elle a été aussi obligée de se mettre nue devant des gardes hommes pendant ce processus et la scène a été enregistrée par un garde avec une caméra.

La direction de la prison autorise le fait de filmer les fouilles à nu (strip search) pour s’assurer qu’il n’y ait aucun abus et aucunes agressions sexuelles  sur les prisonnières.

C’est un moyen de prévention qui est vécue comme terriblement humiliant et dégradant par les femmes qui viennent d’arriver.

De plus les prisonniers sont gardés constamment nus sauf les plus coopératifs.


Liens 








jeudi 18 mars 2021

Les gardiens de prison humilient une femme prisonnière

Humiliation de la fille d'un opposant politique (prisonière nue et dégradée)
Prisonnière nue et humiliée exposée sans pudeur.

Prisonnière nue et abusée.




Dans une prison sous contrôle américain en Amérique Latine ou l'armée US intervient indirectement pour contrer toute menace pour les intérêts de ses entreprises et protéger le régime politique allié. Les dirigeants Des Etats Unis ont envoyé des conseillers et des mercenaires pour garantir la survie du régime en face à une contestation populaire et un soulèvement armée.

Plusieurs prisons sont supervisées par les forces US. Surtout un camp de prisonniers prêt de la capitale ou sont réunis les détenus importants proches de l'opposition. Selon un ancien détenu, la fille d'un intellectuelle de gauche, Lorenzo Rodriguez, nommée Camilla, 26 ans est arbitrairement détenue depuis plusieurs mois dans ce sinistre endroit.


Les gardes américains, qui sont en réalité des "contractors" chargés d'effectuer certaines opérations comme mercenaires ont pour mission de gérer partiellement la prison avec les autorité locales. Pour faire régner l'ordre et une discipline de fer, ils rivalisent de méchanceté et de perversion pour terroriser les captifs et asseoir leur domination.

La "philosophie" des gardiens est que l'humiliation des détenus permet d'en assurer leur contrôle et de maintenir la sécurité du site.

Camilla, est très sexy et féminine. 

Un soir, elle est accusée de vol par les surveillant qui la soupçonnent d'avoir dérobé de la nourriture sans autorisation (il faut dire que la nourriture n'est pas bonne sauf pour quelques privilégiés qui collaborent avec le système.).

L'une des surveillantes  forceà sortir la jeune détenue de sa cellule et lui à ordonner de se mettre contre le mur, les mains sur la tête.
La pionne déshabille elle même la prisonnière, elle retire sans ménagement les chaussures de la jeune fille et lui arrache sa robe et lui  découpe ses sous-vêtements aux ciseaux. Camilla porte des socquettes que la gardienne lui retire aussi, elle a de jolies pieds, mais n'aime pas beaucoup être pieds nus sauf quand il fait très chaud. La surveillante américaine veut qu'elle soit intégralement nue.


La yankee décide chatouiller Camilla pour la torturer, elle  se dandine et ses orteils bougent dans tous les sens, elle est ensuite allongée et se fait mordiller et lécher les pieds par la gardienne qui est fétichiste des pieds féminins.

Anissa gémit, car elle est sensible à ce genre de pratique, elle aime malgré tout qu'on s'occupe de ses pieds.

La surveillante a décider qu'elle restera nue jusque à nouvel ordre, et qu'en attendant il va falloir lui donner une bonne leçon, toute nue livrée sans défense au regard des autres lui donnera une bonne leçon.

Camilla est placée au centre du couloir, et elle doit rester toute nue en équilibre sur un pied les mains sur la tête sous la menace d'être tabassé.
Puis on lui donne l'ordre de servir les repas à poil, et même d'aller dans la section des hommes pour une marche de la honte ...


Traitements cruels et dégradants pour une femme nue
Rémy Lacroix prisonnière et nue.

La prisonnière nue est aussi humiliée, elle doit marcher tenue en laisse comme une chienne, ses seins et sa chatte sont fouettés, elle doit rester nue dans des positions inconfortables et stressantes.



Modèle sur les photos : Remy Lacroix. (Wikifeet)


Liens :