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dimanche 25 mai 2025

Visite médicale étudiante sans pudeur

 

Lesbienne à la visite médicale
Toute nue pour la visite médicale

Toute nue à la visite médicale.

 

Amina, 19 ans, ajusta son hijab avec des doigts nerveux avant de franchir la porte de l’infirmerie universitaire. Cette visite médicale obligatoire sentait le traquenard, et son cœur tambourinait comme un djembe sous amphétamines. Sa pudeur, ancrée dans sa foi, la rendait allergique à l’idée de se dévoiler, mais l’administration ne lui laissait pas le choix. Dans la salle d’attente, les autres étudiantes échangeaient des regards de biche effarouchée, prêtes à affronter l’inconnu. Puis, la porte s’ouvrit avec un grincement dramatique, et elle apparut : le Dr. Valérie, une femme d’une quarantaine d’années, silhouette de panthère, lèvres peintes en rouge sang, un stéthoscope enroulé autour du cou comme un fouet de cuir.

« Mesdemoiselles, en rang, et que ça saute ! » aboya Valérie, sa voix claquant comme un coup de cravache. « Ici, c’est mon territoire, et on joue selon mes règles. Déshabillez-vous. Tout. Et j’ai dit tout – y compris ces chaussettes ridicules que certaines d’entre vous s’obstinent à garder ! Pieds nus, mes chéries, ou je vous fais danser autrement ! » Elle ponctua sa tirade d’un sourire carnassier, ses yeux scrutant la petite troupe.

Amina déglutit, ses joues en feu. « Tout ? Même… les chaussettes ? » bafouilla-t-elle, espérant grappiller un semblant de dignité. Valérie s’approcha, son parfum capiteux envahissant l’espace. « Oh, ma douce, tu veux jouer les rebelles ? » roucoula-t-elle, son regard perçant glissant sur Amina comme une caresse interdite. « Pas de chaussettes, pas de culotte, pas de pudeur. Entre femmes, c’est naturel, non ? Ou veux-tu que je te donne une petite leçon ? » Elle tapota sa paume avec un stylo, mimant une fessée avec un clin d’œil taquin.

Les autres filles, rouges comme des tomates, commencèrent à se dévêtir dans un silence lourd, ponctué de froissements de tissu. Une étudiante, oubliant l’ordre, garda ses chaussettes à motifs licornes. Valérie s’en aperçut et éclata d’un rire moqueur. « Oh, regardez-moi ces licornes ! Tu crois que t’es à un défilé de mode, ma mignonne ? Enlève-moi ça, ou je te fais parader avec une fessée en prime ! » La fille, mortifiée, s’exécuta sous les gloussements gentils mais gênants des autres.

Amina, paralysée, sentit son cœur s’emballer. Elle voulait protester, défendre sa pudeur, mais une part d’elle – une part qu’elle n’osait nommer – frémissait sous le regard dominateur de Valérie. Lentement, elle défit son hijab, ses vêtements, et enfin ses chaussettes, ses pieds nus touchant le carrelage froid. « Voilà, c’est mieux », susurra Valérie, posant une main ferme sur l’épaule d’Amina, son pouce effleurant la peau nue d’une manière qui la fit tressaillir. « Tu vois, ma belle, obéir, c’est libérateur. »

La visite tourna vite au spectacle burlesque. Valérie, telle une maîtresse de cérémonie sadique, ordonnait aux filles de défiler en rang pour la pesée, la mesure, et des palpations mammaires aussi précises qu’intrusives. « Allez, mes poupées, poitrine en avant, on montre ce qu’on a ! » lança-t-elle, riant doucement en voyant Amina rougir. Quand une fille tenta de cacher son corps, Valérie s’approcha, menaçante mais joueuse. « Pas de ça ici ! Cache-toi encore, et je te donne une fessée devant tout le monde. Tu veux essayer ? » La menace, à moitié sérieuse, fit glousser certaines filles, détendant l’atmosphère.

Pour Amina, chaque étape était un combat intérieur. Lors du contrôle gynécologique, Valérie s’attarda, son souffle chaud frôlant l’oreille d’Amina. « Détends-toi, ma rebelle. Résister, c’est mignon, mais au fond, tu aimes ça, non ? » Amina voulut protester, mais sa voix se brisa. Son corps, ce traître, répondait à l’autorité de Valérie, à ses moqueries gentilles, à ses gestes assurés. Une fessée légère, donnée pour « corriger » une posture trop crispée, la fit sursauter… et, à sa honte, frissonner de plaisir.

« En rang, mes beautés ! » ordonna Valérie à la fin, faisant parader les filles, nues comme des statues grecques, dans la pièce. « Regardez-vous, libres, sublimes, sans honte ! N’est-ce pas délicieux ? » Amina, au bord des larmes au début, sentit une étrange chaleur l’envahir. La honte s’effaçait, remplacée par une euphorie inattendue. Elle avait résisté, protesté, mais au fond, elle aimait cette soumission, ce lâcher-prise face à l’autorité déjantée de Valérie.

En remettant son hijab, Amina croisa le regard de la doctoresse. « Pas mal pour une première, ma petite rebelle », lança Valérie avec un sourire narquois. « Reviens quand tu veux jouer. » Amina, un sourire timide mais audacieux aux lèvres, murmura : « Peut-être bien… » La pudique étudiante d’hier avait disparu, laissant place à une femme qui, malgré les frissons du début, avait découvert une facette d’elle-même qu’elle n’aurait jamais osé explorer.

 

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Julie à la visite médicale. 

 

samedi 12 avril 2025

Une bonne fessée et des humiliations pour une jeune fille pudique.

 

Punir et fesser les filles pudiques
Les filles doivent être reprises en main par des éducatrices sévères et strictes.

 Aïcha une étudiante punie par une éducatrice.

Dans un pensionnat isolé, où des jeunes filles de toutes origines sont envoyées pour corriger leurs écarts de conduite ou leurs lacunes académiques, l’ordre règne en maître. Les règles, gravées dans un règlement validé par une ordonnance ministérielle, prônent une discipline inflexible, où l’humiliation et la soumission sont des outils privilégiés. Les éducatrices, dotées d’une autorité incontestée, veillent à ce que chaque infraction soit châtiée avec une précision presque rituelle.

Aïcha, 21 ans, est une jeune musulmane au caractère bien trempé. Toujours vêtue de vêtements amples et d’un hijab impeccablement noué, elle arbore sa pudeur comme un étendard. Placée dans ce foyer par la justice pour absentéisme à l’université et comportement rebelle, elle défie les règles avec une insolence calculée : retards, remarques cinglantes, refus de se plier aux consignes. Mais ce soir, c’est une autre faute qui attire l’attention : son hijab, qu’elle porte ostensiblement malgré les rappels répétés sur la laïcité imposée dans l’établissement.

Dans le réfectoire, l’atmosphère est lourde. Madame Claire, l’éducatrice en chef, se tient au centre, imposante. Son tailleur strict et son regard perçant lui confèrent une aura de domination froide. Elle savoure ces moments où elle peut briser les résistances, surtout celles des filles pudiques comme Aïcha, dont la retenue l’agace autant qu’elle l’inspire. Les autres pensionnaires, assises en silence, savent qu’un spectacle se prépare.

« Aïcha, tonne Claire, tu as encore manqué tes cours, tes notes sont désastreuses, et tu persistes à défier la laïcité de cet établissement avec ce voile. Sans parler de cette pudeur excessive qui te pousse à te croire au-dessus des règles. Ce soir, tu vas apprendre ce qu’il en coûte. »

Aïcha, adossée à une chaise, croise les bras, un sourire narquois aux lèvres. « La laïcité ? Vous voulez juste me contrôler. Et ma pudeur, c’est pas votre problème. J’suis majeure, Madame, vous pouvez pas me forcer à quoi que ce soit. »

Un frisson parcourt l’assemblée. Les filles échangent des regards, impressionnées par l’audace d’Aïcha. Claire, loin d’être déstabilisée, esquisse un sourire cruel. « Oh, Aïcha. Tu penses que ton petit numéro m’impressionne ? Le règlement que tu as signé autorise des mesures… disons, éducatives. Et j’adore corriger les filles dans ton genre. Déshabille-toi. Complètement. »

Aïcha écarquille les yeux, feignant l’indignation. « Quoi ? Hors de question ! Vous savez que je porte le voile, que je suis pudique. Vous voulez m’humilier, c’est ça ? »

Claire s’approche, sa voix devenant un murmure menaçant. « Exactement. Les pudiques dans ton genre ont besoin d’une leçon d’humilité. Retire tout, y compris ce hijab. Ou je m’en chargerai moi-même. »

Aïcha hésite, jouant la révolte. Elle secoue la tête, lance un « C’est abusé ! » théâtral, mais au fond d’elle, une part secrète s’éveille. La sévérité de Claire, son autorité implacable, éveillent en elle une étrange fascination. Elle proteste pour la forme, mais son cœur bat plus vite à l’idée de céder. Lentement, elle commence à dénouer son hijab, ses doigts tremblants trahissant un mélange de honte et d’excitation. Le tissu glisse, révélant ses cheveux noirs. Puis viennent la tunique, le pantalon, les chaussettes. Elle marque une pause devant ses sous-vêtements, lançant un regard de défi à Claire.

« Continue, ordonne l’éducatrice, impatiente. Une soumise ne cache rien. »

Aïcha soupire bruyamment, mais obéit, laissant tomber ses derniers vêtements. Nue, elle croise les bras sur sa poitrine, jouant la gêne. « Satisfaite ? » lance-t-elle, provocatrice.

Claire la toise, savourant sa victoire. « Pas encore. Les bras le long du corps. Montre-toi. »

Aïcha obéit, un éclat rebelle dans les yeux, mais son souffle s’accélère. Elle sent tous les regards sur elle, et l’humiliation, orchestrée avec soin par Claire, la trouble plus qu’elle ne veut l’admettre. Claire désigne une chaise au centre de la pièce. « Viens ici. Sur mes genoux. »

Aïcha avance, chaque pas amplifiant cette tension délicieuse entre résistance et soumission. « Vous êtes malade, marmonne-t-elle, mais elle s’allonge sans trop protester, son corps frémissant d’anticipation. La position, humiliante, la ramène à une vulnérabilité qu’elle feint de détester.

Claire pose une main ferme sur son dos. « Ceci est pour ton bien, Aïcha. Pour ton insolence, ton voile, ta pudeur mal placée. » Sa voix est un mélange de reproche et de satisfaction. La première claque s’abat, vive et sonore. Aïcha sursaute, un gémissement lui échappe. Les coups suivants s’enchaînent, méthodiques, chaque claque ponctuée d’une leçon : « Tu apprendras… à obéir… à respecter… mon autorité. »

Les fesses d’Aïcha rougissent, la douleur se mêlant à une chaleur qu’elle refuse d’admettre. Elle serre les dents, jouant la rebelle, mais ses larmes, quand elles coulent, sont autant de honte que de relâchement. Claire, experte, sait exactement jusqu’où pousser. Quand elle s’arrête, Aïcha tremble, à la fois brisée et étrangement apaisée.

« Relève-toi, ordonne Claire. Au coin, mains sur la tête. Deux heures. »

Aïcha se redresse, lançant un dernier regard de défi. « Vous êtes dure, quand même, » murmure-t-elle, mais elle obéit, prenant place face au mur. Nue, exposée, elle sent l’humiliation peser sur elle, mais au fond, une part d’elle savoure cette discipline stricte, cette perte de contrôle orchestrée par Claire. Les autres filles observent, certaines intimidées, d’autres intriguées. Claire arpente la salle, triomphante. « Que ceci soit une leçon pour vous toutes. Défiez-moi, et vous connaîtrez la même correction. »

Le pensionnat, avec ses méthodes controversées, affiche un taux de réussite inégalé. Les filles, même les plus rebelles, finissent par plier, façonnées par la main de fer de Claire. Aïcha, elle, commence à comprendre qu’elle pourrait bien aimer ces jeux de pouvoir, même si elle ne l’admettra jamais à voix haute.

Lien : 

La maison de correction.

lundi 24 janvier 2022

Femdom : Prisonnier dans un centre de détention russe

 

Femdom (domination féminine), fétichisme des pieds, et humiliation des prisonniers nus
Prisonnier nu qui lèche les pieds de la gardienne.

Des prisonniers ukrainiens des forces spéciales russes BDSM.

La Russie met la pression maximale sur l'Ukraine pour empêcher tout extension de l'Otan, l'alliance militaire occidentale qui peut potentiellement menacer les frontières russes. La Russie de 2022 n'accepte plus de voir l'empire américains et ses vassaux européens s'approcher dangereusement de ses frontières.


Pour cela la Russie masse une partie de sa puissante armée aux bornes de l'Ukraine, supportent les populations pro Russe dans ce pays, et utilise ses forces spéciales et ses services de renseignement pour déstabiliser le pays et neutraliser les pro américains du pays slave.


Une division de femme russe dominatrice opère en Ukraine, et a permis de capturer plusieurs officiers ukrainiens formés en occident et de les détenir dans des centres de détentions spéciaux sous contrôle des terribles renseignement Russe encore plus efficace que sous l'époque soviétique.


Vitaly, un jeune militaire ukrainien a été capturé par des agent russe de sexe féminin  lors d'une embuscade et transféré en Russie avec plusieurs autres personnalité  ukrainienne militaire et politique anti russe dans un centre de détention.

Domination féminine.


L'une des particularité de ces petites prisons et qu'elles sont tenues par des femmes dominatrice et autoritaires qui font tout pour briser les captifs et les rendre coopératif et inoffensif pour la Russie.


Vitaly comme les autres prisonniers est gardé totalement nu en permanence pendant sa captivité. Les fouilles à corps sont très strictes et les anus des prisonniers sont controlés manuellement et de façon très dégradante par les gardiennes sadiques.


Les prisonniers nus sont soumis à une discipline très strictes et sévères, et doivent obéir aux ordres des femmes. Tout est fait et penser pour briser et casser les détenus, les rabaisser et les traiter pire que des animaux.


Les châtiments en cas de désobéissances sont difficile à vivre et peuvent  cruelle. Vitaly et les autres sont humiliés en permanence, des séance de masturbation forcée et publique sont régulièrement organisées, sous es rires froids des gardiennes dominatrices. 



Vitaly doit aussi vénérer les surveillantes, lécher leurs pieds et leurs orteils, les gardiennes les font aussi marcher comme des chiens nus à 4 pattes, les obligent à pisser et a chier devant tout le monde comme des bêtes. Les prisonniers sont déshumanisé et perdent toute dignité. Les prisonniers apprennent a prendre soins des petons des femmes comme de véritables fétichistes des pieds.



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