samedi 24 septembre 2022

Discipline et soumission en prison.

Prisonnière nue devant les gardes.
Pas de respect ni de pudeur en prison, à poil et c'est tout.

Prison signifie punir et dresser.


Depuis quelques années la politique pénale et carcérale s'est durcie et des décisions qui pouvaient passer il y a quelques années pour abusives et comme étant de la torture et des mauvais traitements sont aujourd'hui parfaitement légalisées par la cours suprême et ses juges conservateurs qui considèrent que les prisonniers n'ont tout simplement pas à avoir de droits.

Des prison de haute sécurité pour femmes très dures sont apparues dans le pays. La stricte discipline imposée est très redoutée comme le redouté  centre correctionnel situé en plein milieu du désert de l'Arozina. C'est l'un des centre les plus craint car les règles sont inhumaines et les gardiens ont tout les droits. Le Sherif est un homme ultra conservateur sévère et sans pitié pour qui le but de la prison est d'humilier et dresser les captifs pour les discipliner et vraiment les punir.


Cette prison accueille des femmes âgées entre 21 et 45 ans pas plus, de toutes origines et de tout confession. La plupart des détenues sont en attente de jugements dans des affaires de trafic de stupéfiants, de corruption politique, de terrorisme ou d'immigration illégale.


Ici nous allons présenter l'une des prisonnières, c'est  Sarah, une américano irakienne de 27 ans arrêtée par les forces armée à Baghdad pendant la seconde guerre du golfe sous le statut de "combattante ennemie" qui permet aux autorités US de détenir des gens sans inculpation pour des durée indéterminées.


Sarah est une bourgeoise arabe américaine, son père est un riche et influent médecin, suspecté de supporter la résistance, c'est la raison pour laquelle sa fille a été arrêtée et rapatrier aux Etats Unis après études de son dossier il a été décider de la garder en détention préventive et de l'incarcérer dans ce centre de détention du fait de la nature des soupçons portés contre elle, de ses antécédents disciplinaire, psychologiques et médicaux.

Lorsqu'une femme arrive, elle est soumise à une fouille d'admission ou elle doit se mettre totalement nue pour une inspection complète de la tête aux pieds. Le shérif impose aussi un examen gynécologique souvent en sa présence. Sarah a du tout enlever y compris sa culotte pour être fouillée toute nue avant d'être obligée de se promener les fesses à l'air jusque dans sa cellule.

Le seul uniforme c'est la nudité.



Liens :





lundi 19 septembre 2022

Vidéo: Une jeune musulmane voilée punie (Falaka) et humiliée à l'institut.

 


Châtiments corporels (Falaka) et humiliation pour faire respecter l'ordre et la discipline (Vidéo).

Dans un foyer pour jeune fille qui accueille des femmes migrantes ou ayant des problèmes familiaux compromettant leur éducation, la discipline est très stricte et le directeur et les surveillants sont adeptes des punitions physiques (fessées) et autres châtiments corporels comme la falaka ou bastinado qui consiste à flageller la plante des pieds de la personne punie.


Les punitions se font toujours toutes nues pour rendre la sanction plus efficace car accompagnée d'humiliations et de hontes. Yasmeena n'est pas très bonne dans ses études, ni très disciplinée et respectueuse du règlement intérieur.


Elle se masturbe et se trifouille souvent la chatte au lieu d'étudier, de lire ou de faire le ménage et de tenir correctement sa chambre. De plus le directeur souhaite faire respecter la laïcité dans l'établissement et la jeune fille a été plusieurs fois prise en train de porter le voile hijab, totalement interdit comme tout les autres couvres chefs. 


Outre l'obligation d'avoir la tête nue, les pensionnaires dans les locaux sont obligées de porter des tenues féminines, légère et peu couvrantes, en dehors des périodes de règles les filles doivent porter des petites jupes sans culotte, fesses à l'air, et sans soutient gorge sauf pour celles ayant de très grosse poitrines ce qui n'est pas le cas de Yasmeena.


Les chaussettes sont interdites et les pieds doivent être nus, les chaussures doivent être féminines, à talons, des sandales ou  alors elles doivent rester pieds nus.


Yasmeena doit se défaire se son éducation religieuses pour devenir une fille libertine et sans pudeur respectueuse des règles.


Prise en train de se branler et de porter le voile, le directeur l'oblige a se mettre toute nue, chose simple car elle ne porte que des escarpins et une petite robe sans rien dessous comme toute bonne petite femme chaude mais lui fait garder son foulard pour mieux la punir.


la jeune fille est ensuite fouettée sur la plante des pieds, puis obligée de se mettre contre le mur toute nue avec une badine entre les fesses pour servir d'exemple.


Liens :


Punitions collectives et humiliante.


Sévices corporels.




dimanche 18 septembre 2022

Nue pour l'interrogatoire.

Nudité lors des interrogatoires
Prisonnière nue vers la salle d'interrogatoire

 Nudité et interrogatoire renforcé des femmes.


Dans la plupart des pays du monde, sur les différents continents, la police politique et les militaires usent de méthodes musclés et coercitives pour ramollir et faire parler les détenus. Et les femmes ne sont pas en reste, certaines pratiques sont quasiment universelles.


En Amérique latine dans les prisons tenues par des régimes militaires d'extrême droite soutenus par la France et les Etats Unis, en Europe de l'est dans les dictatures communistes satellites de Moscou, en Russie même, dans les pays arabes et du moyen orient, dans les prison secrètes ou dans les prisons militaire américaine ouvertes dans le cadre de la lutte contre le terrorisme comme à Abou Ghraib en Irak.


Certes les femmes sont minoritaires dans ses endroits qui comprennent majoritairement des détenus mâles.  Mais lorsqu'elles sont arrêtées, les policiers ou les soldats commencent toujours par obliger les prisonnières à enlever tout les vêtements. Ceux sont souvent des femmes pudiques jouissants d'un respect ou d'un prestige dans leurs communautés d'origines (institutrice de gauche, femme d'opposants ou de rebelles etc.) et sont sont obligées de se mettre totalement nues sans aucune intimité et de parader dans le plus simple appareil en attente des interrogatoires ...


Liens :






lundi 5 septembre 2022

Prisonnière réduite en esclavage.

 

Nudité forcée humiliation torture moyen âge.
Princesse réduite en esclavage.

La capture des esclaves femelles au moyen âge


Les guerres étaient dans l'antiquité  et au moyen âge une occasion de piller et de faire des prisonniers qui étaient transformés en esclaves. Sous le règne des mérovingiens, une dynastie qui règne d'environs 481 à 751, l'une des particularité de ce régime était que le pouvoir et les terres étaient partager entre les fils du roi à chaque succession, ce qui à entrainer de multiples guerres et complot fratricide entre les frères pour le pouvoir et les territoires les plus riches.


Au sein de la famille les complots et les crimes en tout genre sont extrêmement fréquent, c'est l'une des raisons de sa chute en 751.

Les pervers et les perverses et les sadiques s'en donnent à coeur joie.

La princesse Berthilde, la Belle fille du roi Sigebert, épouse d'un des rois en rivalité avec ses  deux frères coalisés contre lui  Théodebert et Clotaire V . La  princesse a  été capturée lors d'une bataille et d'un assaut contre sa place forte.

Elle est encore assez jeune, blonde bien conservée et en forme. Les guerriers l'ont apporter aux deux autres rois qui sont bien décider à humilier le clan rival.

Les vêtements de la princesses sont déchirée et ses chaussures enlevées et pour lui enlever toute dignité elle est obligée de parader totalement nue dans son château et dans la ville sous les rires des soldats et des habitants qui l'insultent, rigolent, lui crachent dessus.

L'un des soldats en voyant une flaque d'eau décide de forcer la prisonnière à boire comme une chienne à quatre pattes et le cul bien en l'air. L'un des soldats en profite pour lui mettre un coup de pieds au cul et fait tomber la captive dans la boue. Les spectateurs sont hilares.

Le but est d'enlever toute dignité à la princesse et d'en faire la dernière des cochonnes.

La princesse est ensuite mise sur une charrette et transportée exposée totalement à poil jusque a une sorte de centre ou sont retenus les captifs qui seront revendue comme esclaves.

La future esclave est jetée nue dans un cachot et enchainée. Totalement exposée, chatte ouverte et disponible pour satisfaire les guerriers.

La princesse est ensuite dressée avant d'être revendue sur un marché aux esclaves.


Liens : 




samedi 3 septembre 2022

Prisonnière sans vêtements

 

Nudité forcée en prison.
Prisonnière nue et enchaînée en cellule.


Témoignage sur la nudité forcée en prison.


Après les révélations  médiatiques sur les sévices et les humiliations imposés aux prisonniers de guerre irakiens pendant la seconde guerre du golfe par les gardiens américains de la prison militaire d'Abou Ghraib à coté de Baghdad en 2003/2004. Parmi les victimes il figure aussi des femmes, soumises à l'obligation de rester nue et a divers traitements humiliants.

L'un des contractuel de l'armée  travaillant dans le centre de détention se souvient d'une prisonnière, une jeune femme d'environ 25 ans prénommée Salima, c'était une étudiante en journalisme que l'administration a fait arrêtée pour des articles jugés hostiles à la coalition.

Les responsables de la police militaires ont demander aux gardes d'appliquer des règles de sécurité maximum, d'appliquer les ordres sans se poser de questions et de considérer les femmes prisonnières comme des combattantes ennemies au même titre que les hommes.

La prisonnière lors de son arrivée était comme la majorité des irakiennes très couverte de la tête aux pieds, et portait un foulard (hijab/voile sur les cheveux), et la première chose qu'elle a été obligé de faire c'est d'enlever  son voile, ses chaussures et tout ses vêtements y compris la culotte devant des hommes et des femmes.

La nudité et le malaise qu'elle peut créer et générer chez les personnes culturellement pudique et conservatrice est utilisée par les forces américaines comme moyen de pression psychologique et de coercition. 

Si le processus veut que les détenus soient soumis a une fouille à nu très profonde intrusive et humiliante incluant pour les femmes un examen gynécologique très traumatisant. Les gardes ont obligé Salima a marcher entièrement nue, enchainée et menottée  les mains dans le dos jusque dans sa cellule d'isolement ou elle est attachée en permanence a un dispositif de retenue avec des chaines métalliques au cou et aux chevilles.

Les femmes sont gardées nues, misent à poil en arrivant. Une gardienne l'ayant "traitée" se souvient d'une jeune fille pudique et respectable qui a bien fait rigoler les américains. Quand elle a compris qu'elle allait devoir se dénuder complètement elle s'est mise à supplier de la laisser porter au moins une culotte et de quoi cacher sa poitrine. Alors que nos règles sont la nudité totale. Salima n'avait rien pour cacher ses seins, ni ses fesses, sa chatte ou ses pieds nus. Nous lui avons dit qu'ici il n'y avait pas de place pour la pudeur et qu'elle sera souvent à poil devant des hommes.

Lorsque nous faisons parader cette prisonnière nue devant les autres prisonniers nous en faisons un exemple pour leur montrer que nous sommes les patrons, que  nous les mettons à poil et sondons les chattes et les trous du cul des femmes.

Certes Salima est enchainée en permanence et elle est interdite de porter le moindre vêtement, mais on ne lui fait rien de mal; c'est le protocole que nos supérieurs nous demande d'appliquer sans discuter.


Liens :