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samedi 12 avril 2025

Une bonne fessée et des humiliations pour une jeune fille pudique.

 

Punir et fesser les filles pudiques
Les filles doivent être reprises en main par des éducatrices sévères et strictes.

 Aïcha une étudiante punie par une éducatrice.

Dans un pensionnat isolé, où des jeunes filles de toutes origines sont envoyées pour corriger leurs écarts de conduite ou leurs lacunes académiques, l’ordre règne en maître. Les règles, gravées dans un règlement validé par une ordonnance ministérielle, prônent une discipline inflexible, où l’humiliation et la soumission sont des outils privilégiés. Les éducatrices, dotées d’une autorité incontestée, veillent à ce que chaque infraction soit châtiée avec une précision presque rituelle.

Aïcha, 21 ans, est une jeune musulmane au caractère bien trempé. Toujours vêtue de vêtements amples et d’un hijab impeccablement noué, elle arbore sa pudeur comme un étendard. Placée dans ce foyer par la justice pour absentéisme à l’université et comportement rebelle, elle défie les règles avec une insolence calculée : retards, remarques cinglantes, refus de se plier aux consignes. Mais ce soir, c’est une autre faute qui attire l’attention : son hijab, qu’elle porte ostensiblement malgré les rappels répétés sur la laïcité imposée dans l’établissement.

Dans le réfectoire, l’atmosphère est lourde. Madame Claire, l’éducatrice en chef, se tient au centre, imposante. Son tailleur strict et son regard perçant lui confèrent une aura de domination froide. Elle savoure ces moments où elle peut briser les résistances, surtout celles des filles pudiques comme Aïcha, dont la retenue l’agace autant qu’elle l’inspire. Les autres pensionnaires, assises en silence, savent qu’un spectacle se prépare.

« Aïcha, tonne Claire, tu as encore manqué tes cours, tes notes sont désastreuses, et tu persistes à défier la laïcité de cet établissement avec ce voile. Sans parler de cette pudeur excessive qui te pousse à te croire au-dessus des règles. Ce soir, tu vas apprendre ce qu’il en coûte. »

Aïcha, adossée à une chaise, croise les bras, un sourire narquois aux lèvres. « La laïcité ? Vous voulez juste me contrôler. Et ma pudeur, c’est pas votre problème. J’suis majeure, Madame, vous pouvez pas me forcer à quoi que ce soit. »

Un frisson parcourt l’assemblée. Les filles échangent des regards, impressionnées par l’audace d’Aïcha. Claire, loin d’être déstabilisée, esquisse un sourire cruel. « Oh, Aïcha. Tu penses que ton petit numéro m’impressionne ? Le règlement que tu as signé autorise des mesures… disons, éducatives. Et j’adore corriger les filles dans ton genre. Déshabille-toi. Complètement. »

Aïcha écarquille les yeux, feignant l’indignation. « Quoi ? Hors de question ! Vous savez que je porte le voile, que je suis pudique. Vous voulez m’humilier, c’est ça ? »

Claire s’approche, sa voix devenant un murmure menaçant. « Exactement. Les pudiques dans ton genre ont besoin d’une leçon d’humilité. Retire tout, y compris ce hijab. Ou je m’en chargerai moi-même. »

Aïcha hésite, jouant la révolte. Elle secoue la tête, lance un « C’est abusé ! » théâtral, mais au fond d’elle, une part secrète s’éveille. La sévérité de Claire, son autorité implacable, éveillent en elle une étrange fascination. Elle proteste pour la forme, mais son cœur bat plus vite à l’idée de céder. Lentement, elle commence à dénouer son hijab, ses doigts tremblants trahissant un mélange de honte et d’excitation. Le tissu glisse, révélant ses cheveux noirs. Puis viennent la tunique, le pantalon, les chaussettes. Elle marque une pause devant ses sous-vêtements, lançant un regard de défi à Claire.

« Continue, ordonne l’éducatrice, impatiente. Une soumise ne cache rien. »

Aïcha soupire bruyamment, mais obéit, laissant tomber ses derniers vêtements. Nue, elle croise les bras sur sa poitrine, jouant la gêne. « Satisfaite ? » lance-t-elle, provocatrice.

Claire la toise, savourant sa victoire. « Pas encore. Les bras le long du corps. Montre-toi. »

Aïcha obéit, un éclat rebelle dans les yeux, mais son souffle s’accélère. Elle sent tous les regards sur elle, et l’humiliation, orchestrée avec soin par Claire, la trouble plus qu’elle ne veut l’admettre. Claire désigne une chaise au centre de la pièce. « Viens ici. Sur mes genoux. »

Aïcha avance, chaque pas amplifiant cette tension délicieuse entre résistance et soumission. « Vous êtes malade, marmonne-t-elle, mais elle s’allonge sans trop protester, son corps frémissant d’anticipation. La position, humiliante, la ramène à une vulnérabilité qu’elle feint de détester.

Claire pose une main ferme sur son dos. « Ceci est pour ton bien, Aïcha. Pour ton insolence, ton voile, ta pudeur mal placée. » Sa voix est un mélange de reproche et de satisfaction. La première claque s’abat, vive et sonore. Aïcha sursaute, un gémissement lui échappe. Les coups suivants s’enchaînent, méthodiques, chaque claque ponctuée d’une leçon : « Tu apprendras… à obéir… à respecter… mon autorité. »

Les fesses d’Aïcha rougissent, la douleur se mêlant à une chaleur qu’elle refuse d’admettre. Elle serre les dents, jouant la rebelle, mais ses larmes, quand elles coulent, sont autant de honte que de relâchement. Claire, experte, sait exactement jusqu’où pousser. Quand elle s’arrête, Aïcha tremble, à la fois brisée et étrangement apaisée.

« Relève-toi, ordonne Claire. Au coin, mains sur la tête. Deux heures. »

Aïcha se redresse, lançant un dernier regard de défi. « Vous êtes dure, quand même, » murmure-t-elle, mais elle obéit, prenant place face au mur. Nue, exposée, elle sent l’humiliation peser sur elle, mais au fond, une part d’elle savoure cette discipline stricte, cette perte de contrôle orchestrée par Claire. Les autres filles observent, certaines intimidées, d’autres intriguées. Claire arpente la salle, triomphante. « Que ceci soit une leçon pour vous toutes. Défiez-moi, et vous connaîtrez la même correction. »

Le pensionnat, avec ses méthodes controversées, affiche un taux de réussite inégalé. Les filles, même les plus rebelles, finissent par plier, façonnées par la main de fer de Claire. Aïcha, elle, commence à comprendre qu’elle pourrait bien aimer ces jeux de pouvoir, même si elle ne l’admettra jamais à voix haute.

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La maison de correction.

dimanche 29 août 2021

Discipline au foyer pour jeunes femmes.

 


Châtiments corporels et humiliation en pensionnat.


Un article parue dans la presse nationale rapporte qu'une jeune femme à porter plainte contre la direction d'un foyer pour jeunes fille et qu'elle a était débouter par le tribunal qui estime le règlement intérieur de l'établissement et les pratiques éducatives de légales et de proportionnées donc conforme à la loi.


La jeune fille, Clara,  âgée de 20 ans se plaint d'avoir reçue des punitions très humiliantes et des châtiments corporels suite à des problèmes de ponctualité et de discipline.


Après avoir reçue trois avertissements officiels, la directrice et une éducatrice ont décider d'imposer un châtiments corporels humiliant à la pensionnaire.

Clara a du se déshabiller entièrement et se présenter toute nue dans la salle de punition pour y etre fessée et fouettée publiquement.


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mercredi 4 août 2021

La dégradation d’une femme incarcérée.

Nudité forcée et dégradation des prisonniers
Femme nue et enchaînée sur le ban de sa cellule.

Ego Down, rabaisser et déshumaniser les prisonnier.


Les  États Unis dirigés par le président Georges Bush Jr ont lancer des campagnes militaires partout dans le monde et en particulier la seconde guerre du golfe (2003/2011) ou le pays le plus puissant du monde a envahi l’Irak sous de faux prétextes: armes imaginaires de destructions massives et pseudo soutient du régime au terrorisme international.

A la suite des attentats du 11 septembre 2001 ayant visés les deux tours du World Trade Center et le Pentagone.

Le président et son secrétaire d’état à La Défense ont officiellement autorisé les forces armées américaines et les services de renseignement à utiliser de techniques d’interrogatoire musclées assimilables à de la torture.  

L’Amérique a créer des centre de détention secrets partout dans le monde, mais aussi des prisons militaires ou des détenus de haute importance sont « traités » par le renseignement en vue d’en tirer des informations essentielles et stratégiques.

 En Irak près de Baghdad l’armée a pris le contrôle du site d’Abou Ghraib et en a fait un centre de détention chargée de traquer les résistants à l’invasion Us, les partisans de l’ancien régime, les terroristes internationaux et tout les personnes plus ou moins susceptibles d’être complice ou de détenir des informations.


L’une des spécificités d’Abou Ghraib est que les gardiens sont souvent de simples appelés, des gens du peuple sans formation à qui ont a donné la mission de s’occuper de la prison. De plus des hauts gradés et des membres de la police militaire et du renseignement ont donner pour ordre et consignes de traiter les prisonniers comme “pire que des chiens”, et de les humilier et de les maltraiter en vue de les ramollir pour les interrogatoires. 

 La révélation de certaines photos a créer un scandale vite étouffé et les principaux soldats de bas rangs ont en général étaient condamnés sans que les donneurs d’ordre ne soient inquiétés.


Un rapport mentionne une femme prisonnière sous ne pseudo de Mona. Elle est âgée d’une trentaine d’années, c’est une personne éduquée, pieuse et respectable. Elle est médecin. 

Les forces armées l’ont arrêtée a un Check point.  Après avoir vérifié son identité il est apparu que certains membres de sa famille seraient proche de l’ancien régime et éventuellement proche des insurgés.

Le renseignement militaire a donc décider de la garder en détention un certain temps en vertu de la loi du “Patriot Act” pour l’avoir en main et en savoir plus.


La jeune femme a été arrêtée dans des conditions respectueuses et digne mais la situation a vite changer pour cette détenue lors de son arrivée dans la partie dure de la prison.

Mona a été remise aux gardes d’Abou Ghraib le 4 mars 2004. Elle a été escortée Manu militari par des gardes en treillis dans les couloirs du complexe pénitentiaire jusque à une petite salle de “réception” ou deux gardes femmes à l’air très stricte l’attendent. L’une est blonde et assez grande  1.80 m avec une carrure athlétique et l’autre est métisse , environs 1.70m et elle est trapue.

Elles lui demandent en anglais ( Mona est parfaitement anglophone) “ Es tu bien Mona B ?”

“Oui c’est bien moi” dit la nouvelle prisonnière.

Une boîte en carton porte le nom de la détenue ainsi qu’un numéro d’identification. La soldate métisse sur un ton très stricte ordonne à Mona de “se déshabiller et de mettre toutes ses affaires dans la boîte, y compris ses sous vêtements.”

Mona qui est très pudique et qui ne s’attendait pas à ça répond que non. Elle est médecin, qu’elle est prête à coopérer et qu’elle n’a aucun motif d’inculpation. La jeune femme a bien sûr regarde beaucoup de série et elle pense que les américains doivent avoir un chef d’accusation pour la mettre en détention.


La blonde lui dit qu’elle va regretter et appelle deux autres gardien, cette fois ci des hommes blancs avec des airs pervers et vicieux originaire du centre des États Unis.

“Notre invitée a besoin d’aide pour se déshabiller, on vous a appelés au cas où il faudrait l’aider” dit ironiquement la soldate blonde.

Lorsque les deux hommes se dirigent vers la prisonnière cette dernière s’exclame “ Attendez, je veux bien le faire mais pas devant ces hommes”.

La soldate aux cheveux d’or lui répond qu’elle  “doit obéir et se soumettre aux ordres comme tout les prisonniers hommes et femmes incarcérés ici”.

Mona retire ses chaussures, une paire adidas Stan smith. Du fait de son statut social elle a pu se procurer des objets de marques étrangères de haut de gamme.

Mona est une femme moderne attachée aux traditions dans une société patriarcale. Elle porte le hijab et une tunique traditionnelle brodée et un jean en dessous comme beaucoup de filles occidentales.


La soldate qui dirige l’opération ajoute “Allez enlève nous ces vêtements, on veut de voir comme le jours de ta naissance”.

Mona retire son voile qu’elle remet  à sa surveillante  et découvre sa belle chevelure châtain foncé. 

“Ici pas de place pour la pudeur, on a forcer à se foutre a poil plus d’une femme arabe, alors ton voile et tes cheveux découvert tu n’en aura plus rien a faire quand ta chatte et tes fesses seront exposés” dit la soldate.

“Retire tes boucles d’oreilles !” La prisonnière obéit et les donne aux gardiens qui les place dans un petit sachet et les mettent dans la boîte.

« Le spectacle devient interessant, il y a trois jours quand nous avons reçu une autre femme âgée d’une cinquantaine d’années,  elle est arrivée intégralement couverte de la tête aux pieds d’un grand voile noir et elle portait même des gants. Après lui avoir retirer la plupart de ses vêtements nous avons découvert qu’elle portait un string très sexy, nous allons voir ce tu cache.Tu va retirer doucement ta tunique. »

Les prisonnières doivent faire de véritable strip tease devant un public lors du processus d’incarcération. Ce qui est très traumatisant.

Mona soulève son vêtement et le retire pour le remettre à la gardienne. Elle porte un petit soutien-gorge blanc en dentelle.

« Ses  seins ont l’air juteux et fermes ça nous change des vielles » dit l’un des gardiens. .

« Maintenant le jean » dit l’américaine blonde. La nouvelle détenue obtempère sans faire d’histoire.

Mona comme beaucoup de femmes du moyen orient d’un bon rang social aime porter des dessous ultra sexy et élégants sous sa tenue traditionnelle et son voile.

Un américain fait le commentaire suivant «Apres avoir vue les tenues affriolantes des salopes qui arrivent ici, qui va croire que ce genre de putes sont chastes et sérieuses ? » 

Les américains rigolent et la surveillante blonde donne son prochain ordres.

« Maintenant le jean prisonnière ! »

L’irakienne défait le bouton du jean qu’elle porte sans ceinture puis elle défait doucement le pantalon. Elle est en sous vêtements sexy et chaussettes. En s’habillant d de la sorte elle n’a jamais imaginer un jours devoir parader en petite culotte devant des hommes et des femmes étrangers.


« Les chaussettes aussi!  »


La nouvelle détenue obéit et se met nus pieds. 


« C’est rare de voir des prisonniers arrivés en portant des chaussettes ici, surtout parmi les femmes c’est la seule qui a les pieds couverts. » dit un soldat Us qui continue en ricanant  « de toute façon les chaussettes ne font pas partie de la tenue réglementaire, ses pieds resteront découverts ».
« Ses pieds sont sexy. Une femme est beaucoup plus féminine les pieds découverts ».

Mona rougie de paraître en sous vêtements sexy. Ses pieds nus touchent directement le sol dur et sale.

La soldate ordonne à la prisonnière de retirer son soutien gorge et de montrer ses seins aux garçons.

« Elle a des seins assez volumineux et jolies ».


« Aller je prend les paries, sa foufoune est elle rasé ou poilue ? De quelle couleur sont ses poils de chattes ? » dit la blonde » 

La détenue se retrouve toute nue et humiliée. Conformément à la procédure elle doit mettre les mains sur la tête et écarter les jambes et rester exposée ainsi ?

La prisonnière doit ensuite se retourner et mettre les mains contre le mur et lever le pieds droit pour que sa plante des pieds et ses orteils soient vérifiés.

Elle doit aussi se pencher et écarter ses fesses pour ouvrir son anus et exposer ses entrailles devant les gardiens qui lui fouille le cul avec une lampe torche.
 
La prisonnière est soumise aussi à une inspection de son vagin.

On lui pose des chaînes aux pieds et lui menottes les mains.

Après cela, la détenue est emmener Manu militati et jeter dans le couloir de la prison ... toute nue !

Lorsque une femme arrive, après la fouille corporelle les gardes d’Abou Ghraib aiment bien faire parader nue et très lentement dans les couloirs de la prison les nouvelles prisonnières. 

Mona est promenée a poil et est victime de railleries et de commentaires grossiers de la part du staff pénitentiaire. Elle s’est même prise une fessée qui lui a rougie les fesses !

La prisonnière a perdue toute dignité en quelques minutes en arrivant dans cette sinistre prison. Son statut social, sa pudeur, ses vêtements ont été retirés. Elle est maintenant une simple détenue totalement nue.



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mercredi 28 avril 2021

La maison de correction pour jeunes filles (histoire de fessée)

Pensionnat : les filles reçoivent la fessée et sont humiliées à poil
Des filles attendent de recevoir une fessée toutes nues des mains de leur éducatrice.

Dans un centre de rééducation pour jeunes femmes.


Avec les nouvelles réformes dont la loi sur le séparatisme, le gouvernement a décider de faire plusieurs réformes concernant la répression de la délinquance des jeunes filles, et plusieurs maisons de correction pour jeunes femmes ont été ouvert dans toute la France. Ces centre accueillent des filles en décrochage scolaires, des filles radicalisées, des petites délinquantes. Pour ces filles ces établissements sont la dernière chance avant la prison.

Le centre éducatif fermé est un ensemble imposant de bâtiments entouré par un grand mur dans les environs d'une ville moyenne d'Ile de France.

L'une des choses que nous avons remarqués c'est que quatre jeunes filles étaient absolument nues et marchaient à poil dans les locaux en direction d'une salle de punition publique. Nous étions choqués au début avant que les responsable éducatifs viennent nous expliquer que l'établissement à un règlement intérieur qui prévoit des punitions et châtiments corporels en cas de non respect des consignes et des règles de vivre ensemble au sein du foyer.

Ces quatre filles sont toutes adultes et ont entre 21 ans et 28 ans, nous explique notre guide. lorsqu'une nouvelle arrivante arrive, nous leur prenons leurs papiers d'identités, leurs cartes de crédits, leurs vêtements civils, ici l'uniforme est obligatoire pour toute comme à l'ancienne. Le maquillage, les parfums, les bijoux, sont aussi interdit. Les filles sont déshabillées complètement et  pour leur séjour, on leur donne de nouveaux vêtements, des chaussures convenable, des sous vêtements réglementaires et un uniforme scolaire, une trousse de toilette, et une nuisette pour dormir. Les filles sont toutes pareils, elles ont toutes les mêmes objets et vêtements à disposition.

Ces mesures évite la jalousie entre filles, les vols, ainsi que d'abîmer ou de perdre des vêtements important et ça met toutes les filles a égalité.


Les douches sont collectives et se déroule à poil.


Les filles perdent vite toute pudeur et modestie dans cette endroit du fait de la nudité imposée de façon très fréquente et elles n'ont aucune intimité.


Les filles ici sont nues car elles attendent de recevoir une fessée, la fessée associée à la nudité est très efficace car ça permet d'allier douleur et humiliation et créer un sentiment de vulnérabilité chez les punies.

Leurs éducatrices ont jugées nécessaire de les sanctionner car leur chambre est mal tenue, certaines sont trop souvent en retard en cas et ça nécessite une punition pour rectifier leur comportement. Elles s'habituent à s'exhiber pour recevoir des fessées à poil devant les autres filles.


Après les fessées, les filles doivent rester nues les fesses à l'air et toutes rouges pour méditer sur leurs fautes et accroitre leur sentiment d'humiliation.

Ses fesses sont toutes rouges après avoir reçue une fessée punitive.
Après sa fessée, la jeune fille est exposée et humiliée les fesses à l'air.


Liens :


Pensionnat : une nouvelle reçoit une fessée et est humiliée nue.



 

vendredi 5 février 2021

L'exhibition au bizutage

 

Bizutage et nudité
Nue pieds nus l'anus ouvert.

Exposition d'une fille bizutée.


Jessica est étudiante et comme la tradition l'exige, elle doit passer une journée d'intégration des nouvelles (le bizutage). Les étudiantes sont forcée de se déshabiller de gré ou de force et de marcher et déambuler à poil sur tout le camps, en exposant chatte, vagin, fesses et seins à tout le public étudiants.


Ces mise à l'air on pour but de décoincer et de libérer les filles, après quelques heures les fesses à l'air les filles perdent toutes pudeurs et tout sentiments de gênes avec leurs corps.


Les filles récalcitrantes sont déshabillées de force et punie par des fessées.


Les filles doivent ensuite prendre des postures honteuses et humiliantes qui exposent toute leur intimité au publique.


Liens :


Pyramide de filles à poil (hazing)