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mardi 2 janvier 2024

Des prisonnières gardées nues et enchainées en prison de haute sécurité

Nudité forcée dressage et discipline en prison
Nue et  enchainée en cellule de prison.


Femme toute nue et humiliée en détention.

Lorsque l'équipe d'observateur internationaux du CICR (Comité International de la Croix/Croissant Rouge) arrivant dans l'aile de la prison d'Abou Ghraib en Irak en mars 2004 pour visiter la prisonnière irakienne prénommée Zeina, et escorté par deux militaire américains en uniforme, un homme blanc et une femme noire, tous les deux ont l'air stricts et sévères.

La première chose qu'ils remarquent et qui les choquent, est que la prisonnière est totalement nue ! Et elle l'est depuis qu'elle est entre les mains des gardiens de cette prison. Elle a été amené ici  il y a trois semaine , et la première chose qu'ils ont fait c'est de la déshabiller.

Les deux gardes trouvent ça banal et normal d'avoir des prisonniers à poil, et que ça fait partie du processus standard que de fouiller les détenus sans aucun vêtements et de les garder nus pour les punir et mieux les contrôler.

Les rumeurs sont donc réelles, et les femmes ne sont pas épargnées pas ces traitements dégradants. Zeina pour ceux qui l'a connaisse, est une jeune femme très pudique, assez religieuse. Elle est une jeune femme arabe musulmane assez conservatrice, qui porte le voile islamique (hijab) et de longue robe traditionnelles par pudeur et respect des normes de sa religion.


C'est difficile d'imaginer l'humiliation qu'elle a du ressentir lorsqu'elle s'est retrouvée toute nue. Les gardes expliquent le plus naturellement du monde que ça n'a rien d'anormal et que certes c'est peut être un peu dégradant mais ce nest pas de la torture ni une forme de mauvais traitement.

"Oui on les humilie un peu, mais ça leur fait pas de mal, ça leur apprend l'humilité et puis la prison, c'est pour punir non ?" remarque le gardien.

"Et puis celle là ça lui a fait tout drôle se se retrouver à poil, comme la plupart des femmes qui arrivent ici, avec leurs accoutrements de la tête aux pieds, et bien elles doivent tout retirer avec nous !"



La nudité fait partie intégrante de la punition.
Nue, pieds nus et sans pudeur derrière les barreaux de sa cellule de prison.


Les gardes en effet ont pour consigne de mettre complètement nues les prisonnières et appliquent cette ordre sans le moindre état d'âme. Ils sont même pour la plupart très favorable à cette méthode de contrôle pour des raisons de sécurité mais pas seulement.

Tout est pensé pour humilier et détruire l'égo des femmes détenues, et leurs craintes et tabous culturels et religieux sont exploités aux maximum.  Les gardiens font tout pour pour les dresser et bafouer toute leur pudeur et dignité.

Zeina est gardée nue  et enchainée dans une cellule avec barreaux, ouvertes, dont le couloir est éclairé en permanence pour que les gardiens et les passants puissent la voir à tout moment, elle ne peut même pas faire même faire ses besoins sans que les spectateurs puissent la regarder ! Toute intimité lui est interdite.

Lorsque les gardes l'oblige à sortir de cellule, nue et pieds nus, escortée lentement de façon à ce que le plus de monde possible puisse voir Zeina à poil se balader les fesses et les seins à l'air. 

Les commentaires sont souvent moqueurs, obscènes et grossiers.


Zeina est aussi obligée de remercier régulièrement et publiquement  les américains de l'avoir libérée et apporter la civilisation la démocratie, et de lui interdire de porter des vêtements. Pour les gardiens c'est très important de voir les femmes faire leur auto critique et remettre en cause leur culture et religion.

"Merci aux glorieux civilisateurs américains, les représentant du monde libre, garant de l'ordre international de m'avoir dévoilée et dépouillée de mes vêtements archaïques, je ne mérite pas de porter des vêtements et des chaussures et je suis une détenue modèle, nue et pieds nus en signe de modestie et de respect."

"Merci d'avoir détruit mes vêtements, merci de me soumettre à des fouilles des cavités régulièrement pour ma propre sécurité et me rappeler ma place"

Zeina doit aussi écarter régulièrement ses fesses et montrer son anus pour des contrôle de sécurité.


Liens : 




jeudi 13 juillet 2023

Prisonnière de guerre humiliée en prison.

Histoire d'humiliations et nudité forcée en prison.
Deux femmes prisonnières enchainées nues.

 

Des sévices et  la nudité forcée pour les femmes en prison.

Leyla Z, 28 ans a été capturée lors d'une opération de ratissage des Marines contre les rebelles  en novembre 2004 dans le quartier de Baghdad ou elle habite. Sur le terrain son interrogatoire est resté correct et courtois, les soldats lui ont posé des questions simples sur son identité, son âge, sa profession, et pris note de ses informations personnelles.

Seulement cette jeune professeure irakienne est considérée comme une détenue pouvant avoir des informations stratégiques pour la coalition du fait qu'elle enseigne dans un lycée fréquenté par les enfants des élites de l'ancien régime, dont beaucoup d'ancien ministre. 

Le renseignement militaire et la CIA ont donc décider qu'elle devait être retenue pour vérification, et elle a été placée dans un véhicule militaire et transférée dans le complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib dans les environ de Baghdad, que l'armée américaine utilisent comme centre de détention et d'interrogatoire.


En arrivant dans la sinistre et tristement réputée prison, elle a été soumise aux procédures standard très humiliante et dégradantes que les militaires imposent aux prisonniers.


Dans un premier temps, il y a la fouille, qui doit être approfondie et qui se déroule nue, même pour les femmes comme Leyla. D'autres femmes  irakienne  comme Houda 31 ans sont aussi été incarcérées en même temps qu'elle, elles portent toute  sauf Houda qui est en pyjama, une robe amples et large  traditionnelle arabe, et un voile islamique (hijab) couvrant leurs chevelure. C'est des personnes culturellement pudique, réservées, et les gardes les ont regroupé ensemble pour les "accueillir".


Les gardiens ont reçu comme consigne d'être intraitable sur le déshabillage, c'est un élément clé du processus d'accueil. L'égo et la dignité de Leyla et des prisonnières doivent y prendre un coup.


Quelques semaines avant l'arrivée de Leyla et d'Houda, lors de l'arrivée des premières femmes dans cette prison, les gardiens américains se sont montrer plus respectueux avec les femmes qu'envers les hommes détenus. Les femmes lors des fouilles avaient la possibilité de garder leurs sous vêtements pour respecter les normes culturels et religieuses alors que les mâles étaient à poil, et  elles avaient la possibilité de garder leurs vêtements civils et leurs voiles, et certaines femme placées en isolement pouvaient garder leurs culottes.

Quant aux chaussettes, c'était l'anarchie niveau réglementaire, une jeune détenue irakienne  avaient pu conserver ses chaussettes lors des inspections  en prétextant avoir froid aux pieds et les surveillants en question avaient accepté pour lui faire plaisir et ne pas l'embarrasser., Mais d'autre gardes, considéraient que ça peut être  utiliser comme arme par destination et donc que c'est dangereux, obligeaient les prisonnières a les enlever lors des fouilles.

Mais depuis la visite du général Miller, l'ordre a été instaurer et les femmes sont soumises aux même conditions strictes que les hommes. Les prisonnières ont donc perdue tous leurs privilèges et obéissent  au même régles que les hommes : la nudité totale.

Leyla et les autres détenues sont très choquée de se voir ordonner  sévèrement par une grande soldate  américaine  blonde en anglais et en arabe de déshabiller. 

La surveillante militaire en uniforme ordonne d'abord "Retirez vos voiles, vos chaussures et vos effets personnels c'est a dire  vos montres, bijoux, boucles d'oreilles, papiers d'identité  et mettez les dans la boite en carton, on vous les rendra à votre sortie ..." 


Les femmes sont brièvement soumises à des relevées d'empreintes digitales et un soldat remplit leurs fiches administratives avant que la gardienne en chef donne l'ordre terrible "enlevez les robes, , les chaussettes, les bas,  les culottes, les soutiens gorges et tout le reste immédiatement !"

Les nouvelles détenues ont été surprise par le fait de devoir se dévêtir tout de suite, en public, les unes devant les autres sans aucune intimité, et surtout devant des soldats hommes qui ricanent. Elles appréhendent toutes d'être exposées nues devant d'autres personnes que leurs maris.


C'est une très grande honte et une terrible humiliation pour une femme arabe conservatrice  et respectable de devoir enlever ses vêtements, et de surcroit devant l'occupant qui montre sa domination.

Pendant qu'elles ôtent leurs robes, la gardienne leur dit en arabe et en anglais sur un ton ironique et cruel "Ne soyez pas timide mes petites, les garçons ici présent vous pouvoir se rincer l'oeil et se délecter de votre mise à nu. Ils sont curieux de voir vos gout en matière de sous vêtements. Certaines femmes ici se sont présenter avec des dessous très sexy sous leurs abayas et grand voile, et si vos chattes sont poilues ou rasées, de la forme de vos seins, bref vous n'aurez plus aucun secrets !"

"Mieux vaut ne pas être pudique" ajoute elle.

Leyla n'a jamais imaginer devoir tout enlever, surtout que les gardiens regardent les femmes avec insistance et rigolent en voyant leurs gêne.

Leyla enlève  d'abord ses chaussettes Houda est déjà pieds nus, les américains l'ont arrêtée en pyjama, elle n'a plus que sa petite culotte blanche. 

Les autres pleurent en retirant leurs soutien gorges devant les soldats qui se moquent d'elles.

La dernière instruction concerne les culottes, les prisonnières doivent les baisser sur leurs chevilles et les donner aux surveillants.

Elles sont entièrement nues, mains sur la tête, et exposées comme des bêtes aux regarde de tous, les américains les inspectent comme des bêtes en riant et prenant des photos des détenues dans des positions obscènes et dégradantes, Leyla a du se pencher en avant et toucher ses orteils pendant qu'on lui écarte les fesses et lui met un doigt dans l'anus pour vérifier qu'elle ne cache rien !

La fouille intrusive oblige aussi les femmes a ouvrir leurs chattes pour se faire doigter, leur bouche, a soulever leurs seins, les américains les fouillent même entre les orteils !


Les détenues sont ensuite enchainées, et aucun vêtements ne leur est remis, "Vous resterez nues en permanence, sauf pour les visites et les éventuels sortie hors du site."


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lundi 14 mars 2022

Dressage des femmes en prison.

 

Prisonnière nue en cage et exposée.
Enfermée nue dans une cage.

Le conditionnement et les pressions subies par les femmes en camp de détention punitif.


Depuis les attentats du 11 septembre 2001, les Etats Unis ont créer des camps et des prisons partout dans le monde et chez eux pour y retenir les terroristes, ainsi que les opposants, les grandes criminels, les trafiquants d'armes et de drogues, etc.


Dans ces prisons, tout espoir et toute dignité humaine est interdit aux prisonniers. Les ordres de les traiter pire que des chiens sont appliqués avec zèle.


Jihane, une prisonnière irakienne arrêtée par les Etats Unis dans le cadre de la lutte du bien contre le mal décrétée par Georges W Bush Jr a été une victime de cette politique carcérale inhumaine et dégradante. Elle a été confondue avec la femme d'un terroriste en fuite et à passé un ans dans une prison en Amérique ou sont retenues certaines des femmes les plus dangereuses du monde.


Dans ce centre de détention les prisonnières travaillent tous les jours pendant plus de 10 heures, et la nourriture servie est horrible, tout est fait pour détruire moralement les détenus.


Jihane a due s'habituer à la nudité totale, les femmes et les hommes privés de liberté restent nus en permanence car les gardes américains leur nient toute humanité, tout droit à la pudeur et à la dignité. Les prisonnières n'ont plus à se soucier de leurs gardes robe.


Avant d'arriver dans cette prison Jihanne était une personnes pieuses,  fière et respectée dans sa famille et sa communauté. D'une culture très conservatrice et pudique, portant des tenues traditionnels arabe très couvrantes, ainsi que le hijab, cette femme a été très humiliée par l'obligation de se déshabiller en public devant des hommes et des femmes et la nudité forcée. 


C'est difficile pour une musulmane comme elle de se retrouver du jours au lendemain dépouillée de tout vêtements et interdite d'en porter.


Ici aucune exception, les prisonnières de toute race, ethnie, culture ou religion sont entièrement à poil.


Les femmes finissent par s'habituer à la nudité permanente.


Les fouilles et les inspections ont lieu plusieurs fois par jours et comporte une inspection entre les orteils, entre les fesses ou chaque femme doit se pencher et écarter aux maximum pour ouvrir son anus et son vagin qu'un garde vérifie en y introduisant un doigt  ganté.


Jihane n'est qu'un morceau de viande qui doit montrer sa chatte à tout le monde.


La prisonnière doit travailler très dur sous peine d'être humiliée et punie de façon cruelle.


Malgré sa pudeur à l'origine, Jihane a perdu même la sensation de porter des vêtements et reste nue en permanence. Elle est nue et pieds nus et enchainés.


La masturbation est en générale interdite même si pour les humilier, les femmes comme Jihane doivent se toucher et masturber  sous les rires des surveillants.


Les femmes sont placées nues dans des cages et exposées à la vue de tous.




Chaines, nudité et travail forcé dans le camp de prisonniers
Prisonnière nue soumise aux travaux forcés.



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jeudi 16 décembre 2021

Discipline, mitard, retrait des vêtements et abus de pouvoir en détention.

Nudité imposée à la prison.
Prisonnière nue et enchainée en confinement solitaire.

Discipline, mauvais traitements et humiliation en prison.


Lorsque les Etats Unis suite aux attentats du 11 septembre ont envahi l'Irak sous le faux prétexte des armes de destruction massives, ils ont ouvert des camps de détention pour garder et interroger des détenus pour récupérer des informations importante dans la traque des responsables de l'ancien régime et sur la rébellion et la résistance armée.


L'armée américaine et les services de renseignement ont pris le contrôle de la prison d'Abou Ghraib pour y retenir toutes personnes ayant potentiellement des informations stratégiques.


Kenza J,  31 ans, une ancienne responsable administrative au sein du ministère de l'économie et des finances, a été selon son avocat humiliée par le fait que ses gardiens aient violer ses droits civiques et humains dans le but de la faire craquer. Les gardes ont forcer sa cliente a retirer ses vêtements et les ont emporter avant de la placer menottée et enchainée dans une micro cellule d'un mètre sur un en confinement solitaire.


Kenza a du se déplacer sans vêtements et sont corps totalement dénudé a été visible par tous pendant l'opération.


Le rapport dit que lorsque l'équipe de surveillant de nuit est arrivé, pour relayer celle de jours, ordre a été donner de dépouiller la prisonnière de tout ses vêtements et de la placer au "mitard. Lorsque l'équipe de surveillance du jours est revenue le lendemain matin, elle a constater que la captive était totalement nue et enchainée dans une très petite cellule dans le noir total. Ses vêtements étaient introuvable et elle était sous le statut de "détenue de haute valeur".


Un officier de la police militaire a dit que l'équipe de nuit n'a fait que mettre en application un ordre des services de renseignements qui consiste à garder nu les détenus pour les faire parler.


Le déshabillage des prisonniers est un outil d'interrogatoire et la nudité est utilisée par l'armée comme moyen d'humiliation sexuelle pour rendre coopératifs les suspects.


La décision de déshabiller la prisonnière a été prise froidement par les interrogateurs suite au manque de coopération de la détenue durant les interrogatoires.


Mettre la femme nue l'a rend beaucoup plus vulnérable, sans défense et créer en elle une angoisse et un stress constant. Sans parler du sentiment de honte et d'avilissement que les gardes lui imposent en la contraignant à la totale nudité.


Les interrogateurs lui ont plusieurs fois expliquer qu'elle se retrouverait nue si elle ne donne pas d'information importantes, et ils ont mis leur menace a exécution.


L'avocate affirme que sa cliente Kenza avait déjà du se déshabiller plusieurs fois, notamment pendant la procédure d'arrivé ou ses vêtements civils et religieux lui avait été ôté pour la fouille à corps, la détenue a du enfiler une tenue orange de prisonnière et resté pieds nus. Le hijab couvre chef  que porte les musulmanes(voile) est interdit dans la prison, tout comme les sous vêtements et les chaussettes, cette mesure était deja difficile pour Kenza, alors la nudité forcée c'est encore pire.


Liens :



Histoire de prison BDSM.



Fouille à nue humiliante.



mercredi 3 novembre 2021

La vie est difficile pour une femme dans un camp de prisonnier.

 

Punir et sanctionner de façon cruelle les prisonnière nues.
Une prisonnière nue en position de stress en guise de punition pour manquement à la discipline.

Une femme témoigne des humiliations et mauvais traitements en prison.


Suite au attentats du 11 septembre 2001 qui ont frappés les Etats Unis d'Amérique, le pays s'est lancé dans une vaste campagne de guerre au quatre coin du monde sous prétexte de lutter contre le terrorisme et s'est doté d'outil législatif pour contourner les conventions de Genève en autorisant des techniques d'interrogatoire musclés et renforcés et des période de détention sans procès et sans accès à des avocats à toutes personnes soupçonnées de menacer la sécurité nationale américaine.


Les forces américaines assistées par la CIA et la police militaire ont ouvert des prisons et des camps de détention partout dans le monde pour y garder les prisonniers de guerre.


En Irak, plusieurs lieux de captivité ont été mis sous contrôle US comme la célèbre prison d'Abou Ghraib ou créer  suite à l'invasion du pays en 2003.


Une jeune femme surnommée Lina a passer plusieurs mois en détention au secret entre les mains des geôliers de la célèbre prison. Elle a 24 ans et s'est la nièce d'une responsables de l'ancien régime recherché par la coalition.


La prisonnière est enregistrée sous le numéro de matricule 4012736, elle est encore choquée de ce qu'elle a subie plusieurs mois après.


"Des soldats américains m'ont arrêtée sur mon lieu de travail suite à une  dénonciation de personne jalouses et corrompues qui m'ont faussement accuser de faire partie de la rébellion simplement parce que des membres de ma famille sont recherchés par ces derniers. 


Au début tout se passait très bien, ils m'ont amener dans des bureaux en m'appelant "madame", ils m'ont même offert du café au lait et des sucreries de chez eux. Tout est parti en vrille lorsqu'ils ont reçue un appel pour leur dire de me transférée dans le centre de détention d'Abou Ghraib près de Baghdad.


La bas l'enfer à commencer très vite, dès que je suis arrivée dans l'aile de la prison ou sont retenus les femmes les gardes m'ont demander de déposer mes papiers d'identité et mes effets personnels (montre, bijoux, argent liquide, carte de crédit etc.) me déshabiller, d'enlever tout mes vêtements , y compris les sous vêtements (culotte et soutien gorge), les chaussures et les bas.


Les américains forcent les femmes à se mettre nues pour la fouille et des gardes hommes participent  et je n’y ais pas échapper j’ai été contrainte de me déshabiller devant des gardiens hommes.


Les gardiens examinent tout sans exception, ils regardent dans les fesses des prisonniers avec des lampes  torches et ils forcent les prisonnières à écarter les lèvres de leurs vagins devant eux pour s’assurer qu’elles ne dissimulent rien dans leurs cavités intimes. C'est terriblement humiliant.



Mais ce n’est rien comparé aux outrages qu’ils m’ont ensuite imposés.



Tout est fait pour nous humilier et nous mettre la honte. Pour m'avilir et me dégradée j'ai du sortir entièrement nue et marcher  dans les couloir de la prison  jusque à ma cellule avec l'interdiction de couvrir mes organes génitaux. Les américains appellent ça la marche de la honte :"walking shame". Qu'ils imposent ça aux femmes pieuses, respectables et pudiques.


J'ai jamais porter de bikini sur une plage en publique , ni même montrer mon corps et la c'est une exhibition à poil qu'ils imposent !


Les américains interdisent de porter le moindre vêtement aux prisonniers dans cette prison, c'est leur politique. J'ai passer plusieurs mois nue et pieds nus sans pouvoir me couvrir c'était très difficile au début d'être sans vêtements.


La vie quotidienne est très routinière, je devais faire les corvées, le ménage à poil  dans les chambres des soldats de 6 heures à 8 heures du matin. En cas de travail mal fait je recevais une sanction ou punition comme une fessée, la privation de nourriture,  et le fait d'être exposée nue et attachée dans des positions stressantes, inconfortables et humiliantes pendant des heures.




Liens :



Des femmes kidnappées et dressées.



Nudité imposée en prison.


mercredi 7 avril 2021

Femme incarcérée en prison (uniforme/Pieds nus)

 

Prisonnière en uniforme orange et pieds nus.
Prisonnière pieds nus et en uniforme orange.


Le processus d'entrée en prison pour les femmes.


Après leur arrestation, les femmes sont emmenées en prison. Le centre de détention est géré par des surveillants pénitentiaires et des gardes de sécurité privé. La procédure est la même pour toutes, quelques soit la religion, le rang social, l'ethnie, la race, les origines, la cultures d'origines etc. C'est très humiliant et dépersonnalisant.


Les nouvelles prisonnières sont contraintes de se déshabiller de la têtes aux pieds devant les gardiens qui à la recherche d'armes, de drogues, d'objets illicites etc. Une fois complètement nues, elles sont obligées d'ouvrir la bouche, leurs cavités anales sont fouillées; ainsi que leur vagin et le  reste de leurs corps. Ensuite, les gardiens et les soldats confisquent tous les soutiens-gorge, chaussures et chaussettes qui sont portés. 

Ensuite, les nouveaux détenus sont autorisés à mettre un uniforme orange de prisonnière. En règle générale, le port de soutien-gorge  est interdit pour des raisons de sécurité, toute comme les chaussettes, chaque femmes est détenues pieds nus obligatoirement en signe d'humilité et de soumission..


Chaque détenue est enchaînée aux poignets avec des attaches de poignet en métal et des chaînes à la taille. Les chevilles sont également sécurisées avec des fers de jambe en métal.

Uniforme de prisonnier et pieds nus
Femme pieds nus en détention.

Liens :


Dégradation et perte de statut sociale en prison.


mercredi 27 janvier 2021

Prisonnier nu en confinement solitaire

 

Un prisonnier nu et soumis a l'humiliation

Nudité forcée, humiliation et dressage des prisonniers.


Lorsqu'une personne est arrêtée et placée en détention par la police politique ou le renseignement militaire, c'est qu'elle est soupçonnée d'être une menace pour la sécurité nationale ou de détenir des informations importantes.

Enzo est un jeune journaliste ayant été suspecté de soutenir l'opposition, il a été retenu dans une prison et a subie des mauvais traitements et des humiliations.

Les procédures et les techniques standards de mise en condition des détenus sont appliquées systématiquement et vont des insultes et moqueries a des actes de pression physiques et psychologique visant à obtenir la parfaite soumission et la coopération des prisonniers et de les "faire parler", avouera et donner des noms et des adresses.

L'une des techniques les plus utilisées est la nudité forcée et le confinement solitaire, qui consiste à priver les prisonniers de tout vêtements et de les enfermer dans des petites cellules vides et sans lumières sur de longue durée. Sur 6 mois de détention, Enzo à passer 5 dans le plus simple appareil.

De plus, le prisonnier était quasi constamment entravé par des chaines, menottes. Il affirme avoir reçu plusieurs fessées et des gifles de la part des gardiens qui l'obligeaient souvent pour l'humilier  à danser tout nu devant eux, ou a se branler.

La nourriture y était infecte, la seule eau accessible était l'eau des toilettes, le droit à la douche n'était pas respecter car se laver était considérer comme une récompense et il fallait se montrer conciliant avec les surveillants.

Les obligations et marcher et de parader nus devant les autres prisonniers dans la prisons sous les brimades des gardiens.

Subir des moqueries et des humiliations de la part des surveillants, qui prennent des photos des captifs nus dans des positions honteuses et dégradantes. Les prisonniers sont soumis régulièrement a des fouilles des cavités très intrusives, souvent avec des chiens qui reniflent les anus sous prétexte de chercher des substances illicites ou des objets de contrebande.

Enzo a aussi du se masturber devant un public divers sous la menace d'être battu ou sodomiser.

Tout ces techniques visent à ramollir et soumettre les détenus pour les rendre docile et respectueux de la discipline, Enzo a parler et donner tout les noms qui lui sont passer par la tête.

Le jeune homme reste sous le choc et très traumatisé par cette expérience, et maintenant c'est un farouche défenseur du régime politique en place et du président. 

Dans cette république, quasiment personnes n'osent désormais remettre en cause l'ordre établi et le pouvoir en place.


Liens :


Séquestré tout nue par des racailles


Le blog de Léon Soumis (leonsoumis.centerblog.net)


dimanche 24 janvier 2021

Mec séquestré tout nu par des racailles

Mec soumis mis à poil séquestre et humiliée par des lascars
Soumis séquestre à poil.


Règlement de compte : Mis à poil et gardé dans une cave de cité


Violence et perversion entre membres de bande rivales. Une racaille kidnappée et lopée par un groupe de jeune d'une  cité ennemie. Une jeune homme d'une trentaine d'année retrouvé nu et enchainé dans les caves d'un immeuble d'un quartier sensible.

Steve a été capturé par des lascars et entrainé dans un coin isolé ou il a été mis à poil de force et soumis à des traitements humiliants et dégradants.

Le soumis a du être exhibé dans tout le ghetto totalement nu, marcher à quatre pattes, lécher les baskets des délinquants, se faire pisser dessus, ramper comme une larve. les racailles l'ont aussi copieusement insulter, lui on cacher dessus, cracher des mollards en pleine gueule, avant de l'enfermer et l'enchainer  dans une cave sombre et humide.

Le soumis enchainé solidement dans une cave à du se pisser dessus sous les rires des spectateurs qui profitent bien de son humiliation et de sa dégradation. Il a baigner dans son urine et ses excréments.


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Mecs humiliées 


mercredi 20 janvier 2021

Femme prisonnière nue




Nudité, cellule, enchainement d'une femme en détention
Femme prisonnière  enchainée nue derrière les barreaux de sa cellule


 Nue en prison


Nadia est nue depuis qu'elle est arrivée en prison, elle découvre que les rumeurs comme quoi dans ce pénitencier les prisonniers sont maltraités, humiliés et dégradés sont bien réelles. Que ce n'étaient pas des histoires en l'air.


Et les femmes ont droit au même traitement que les hommes. L'une des "spécialités" de cette prison est la totale nudité des personnes privées de liberté. Nadia lors du processus d'accueil est contrainte de se déshabille totalement pour la fouille au corps.


Mais contrairement aux autres pénitenciers ici les détenus ne se voit pas remettre d'uniforme règlement ni même remettre leurs vêtements civils après la fouille : ils sont gardés entièrement nus.


Nadia bien qu'elle soit une femme ne fait pas exception et doit être complètement à poil car aucun vêtements n'est permis. De plus elle est soumise au port de chaines permanent pour raison de sécurité.

La nudité forcé est justifiée par les autorité pénitentiaire pour des raisons de sécurité et pour punir et rendre plus coopératif les prisonniers.


Les études ont montré que la nudité imposée rend les prisonniers plus docile et plus respectueux de la discipline.


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mercredi 17 juin 2020

Prison de haute sécurité et prisonnière nue



Obligation d'être nue en permanence et enchainée pour des raisons de sécurité dans cette prison américaine.
Détenue nue et enchainée en cellule de prison.

Prisonnière nue et enchaînée dans sa cellule de prison.

Ici nous sommes dans  l’une des prisons pour femme  les plus dures des États Unis qui accueille les prisonnières les plus dangereuses du monde. On y trouve des meurtrières, des trafiquantes de narcotiques, des terroristes, des dangereuses empoisonneuses etc.

Cette section particulièrement attire note attention puisque les femmes y sont gardées totalement nues et enchaînées en permanence. Officiellement pour des raisons de sécurité.

Nous remarquons,  Sana, une détenue française d’origine arabe  incarcérée ici depuis 8 mois pour des faits de terrorisme international. Les forces armées américaines l’ont capturé sur un champ de bataille du moyen orient avant de l’a transférée ici aux États Unis. 

Lorsque nous arrivons Sana vient juste de rencontrer son avocat, et les gardiens l’escortent pour la ramener dans sa cellule. Ici lorsqu’une détenue a une visite ou un parloir, et qu’elle doit aller dans une autre section de la prison, on lui remet en générale temporairement  une culotte, et une tunique orange de prisonnière ainsi qu’une paire de tongs en plastique. Mais elle doit se déshabiller avant de rentrer en cellule comme le prévoit le règlement.

C’est la première fois que cette femme porte des vêtements depuis qu’elle est ici, comme c’est une prisonnière suspectée de terrorisme, elle n’a pas eu tout de suite droit à un avocat , ni de visites lors des premiers mois.

Lors de son arrestation en territoire étranger par commando des forces spéciales, elle n’a pas penser qu’elle serait extradée en Amérique pour soupçons  complicité dans des attaques contre des intérêts américains.

Après un passage dans des camps militaires, elle est envoyée sur décision de la justice aux États Unis. Depuis le départ de Bush, la prison de la base  Guantanamo bay a Cuba n’accueille plus de nouveaux prisonniers, et les femmes sont incarcérées dans les prisons les plus sécurisées du pays. Elle attend son procès.

Le jours ou Sana est arrivée ici, elle s’est fait mettre nue de force par les gardes après avoir refuser les ordres de mise à poil pour la fouille, une partie de ses vêtements ont été déchirer et détruit pendant l'opération. Donc les gardes sont très attentifs et sur le qui vive lors de cet opération.

Sana vit nue et enchainée comme les autres prisonnières dans sa petite cellule vide d'isolement, car c'est ici une prison de haute sécurité et tout objet extérieur est strictement interdit.

Ses premières semaines étaient difficiles, mais elle s'est habituée a être à poil en permanence et a devoir exposer son intimité sur ordre à n'importe quels moment car ici il n'y a pas de place pour la pudeur ni la dignité.

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Strip Search and mandatory nudity