mercredi 3 novembre 2021

La vie est difficile pour une femme dans un camp de prisonnier.

 

Punir et sanctionner de façon cruelle les prisonnière nues.
Une prisonnière nue en position de stress en guise de punition pour manquement à la discipline.

Une femme témoigne des humiliations et mauvais traitements en prison.


Suite au attentats du 11 septembre 2001 qui ont frappés les Etats Unis d'Amérique, le pays s'est lancé dans une vaste campagne de guerre au quatre coin du monde sous prétexte de lutter contre le terrorisme et s'est doté d'outil législatif pour contourner les conventions de Genève en autorisant des techniques d'interrogatoire musclés et renforcés et des période de détention sans procès et sans accès à des avocats à toutes personnes soupçonnées de menacer la sécurité nationale américaine.


Les forces américaines assistées par la CIA et la police militaire ont ouvert des prisons et des camps de détention partout dans le monde pour y garder les prisonniers de guerre.


En Irak, plusieurs lieux de captivité ont été mis sous contrôle US comme la célèbre prison d'Abou Ghraib ou créer  suite à l'invasion du pays en 2003.


Une jeune femme surnommée Lina a passer plusieurs mois en détention au secret entre les mains des geôliers de la célèbre prison. Elle a 24 ans et s'est la nièce d'une responsables de l'ancien régime recherché par la coalition.


La prisonnière est enregistrée sous le numéro de matricule 4012736, elle est encore choquée de ce qu'elle a subie plusieurs mois après.


"Des soldats américains m'ont arrêtée sur mon lieu de travail suite à une  dénonciation de personne jalouses et corrompues qui m'ont faussement accuser de faire partie de la rébellion simplement parce que des membres de ma famille sont recherchés par ces derniers. 


Au début tout se passait très bien, ils m'ont amener dans des bureaux en m'appelant "madame", ils m'ont même offert du café au lait et des sucreries de chez eux. Tout est parti en vrille lorsqu'ils ont reçue un appel pour leur dire de me transférée dans le centre de détention d'Abou Ghraib près de Baghdad.


La bas l'enfer à commencer très vite, dès que je suis arrivée dans l'aile de la prison ou sont retenus les femmes les gardes m'ont demander de déposer mes papiers d'identité et mes effets personnels (montre, bijoux, argent liquide, carte de crédit etc.) me déshabiller, d'enlever tout mes vêtements , y compris les sous vêtements (culotte et soutien gorge), les chaussures et les bas.


Les américains forcent les femmes à se mettre nues pour la fouille et des gardes hommes participent  et je n’y ais pas échapper j’ai été contrainte de me déshabiller devant des gardiens hommes.


Les gardiens examinent tout sans exception, ils regardent dans les fesses des prisonniers avec des lampes  torches et ils forcent les prisonnières à écarter les lèvres de leurs vagins devant eux pour s’assurer qu’elles ne dissimulent rien dans leurs cavités intimes. C'est terriblement humiliant.



Mais ce n’est rien comparé aux outrages qu’ils m’ont ensuite imposés.



Tout est fait pour nous humilier et nous mettre la honte. Pour m'avilir et me dégradée j'ai du sortir entièrement nue et marcher  dans les couloir de la prison  jusque à ma cellule avec l'interdiction de couvrir mes organes génitaux. Les américains appellent ça la marche de la honte :"walking shame". Qu'ils imposent ça aux femmes pieuses, respectables et pudiques.


J'ai jamais porter de bikini sur une plage en publique , ni même montrer mon corps et la c'est une exhibition à poil qu'ils imposent !


Les américains interdisent de porter le moindre vêtement aux prisonniers dans cette prison, c'est leur politique. J'ai passer plusieurs mois nue et pieds nus sans pouvoir me couvrir c'était très difficile au début d'être sans vêtements.


La vie quotidienne est très routinière, je devais faire les corvées, le ménage à poil  dans les chambres des soldats de 6 heures à 8 heures du matin. En cas de travail mal fait je recevais une sanction ou punition comme une fessée, la privation de nourriture,  et le fait d'être exposée nue et attachée dans des positions stressantes, inconfortables et humiliantes pendant des heures.




Liens :



Des femmes kidnappées et dressées.



Nudité imposée en prison.


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