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dimanche 27 octobre 2024

Abus et humiliations à l'hopital psychiatrique.

Fouille et inspection d'une patiente à poil en psychiatrie.
Humiliation à l'hôpital psychiatrique.

 Les internements sans consentements se multiplient, notamment depuis l'apparition de mouvement tel que #Metoo ou #Balancetonporc, de plus en plus de femmes accusent des hommes de sois disant les avoir agresser.

Hors dans certaines région de France, la préfecture sur ordre du premier ministre donne l'ordre de placer les femmes qui accusent les hommes sans preuves dans des hôpitaux psychiatriques pour folie. Les autorités estiment que les femmes qui accusent les hommes sont des dérangées mentales et des folles.

Le maire et le prêtre locale, qui sont amis avec le préfet, et qui coulent sous les plaintes suite à des accusations de perversions, de voyeurisme, d'attouchement, de fessées, de harcèlement sexuels ont décider de réagir et font maintenant systématiquement interner les femmes qui se plaignent du sexisme des hommes.

Par exemple Zoé, une jeune active de 26 ans, qui vient de commencer une brillante carrière de directrice financière à porter plainte contre le cousin du maire pour une main aux fesses, et elle s'est retrouvée plusieurs jours en psychiatrie.

En psychiatrie les vêtements civils et extérieurs sont strictement interdit, Zoé s'est faite mettre à poil par les aides soignants qui l'ont déshabiller en public et l'expose devant tout le monde. Les patientes sont bien sur pieds nus, Zoé s'est même fait confisqué ses chaussettes ...

De plus les soignants fouillent régulièrement dans les anus et les chattes des patientes, pour leur bien être et sécurité, Zoé s'est faite écarter les fesses et prendre plusieurs doigts dans l'anus devant le maire.

Lien :

Bourgeoise enfermée trois jours en psychiatrie.

mardi 3 septembre 2024

Une femme enfermée 3 jours nue à l'hopital psychiatrique.

Les cellules anti suicde des hopitaux psychiatriques.
Toute nue en chambre d'isolement psychiatrique.

Le maire et le médecin font interner une femme sans son consentement en hôpital psychiatrique.

 Marie, femme d'une trentaine d'année vient de vivre un cauchemar, suite à un différent avec le maire de son village concernant un permis de construire refusé, ce dernier à utiliser de tout ses moyens pour faire payer à Marie de s'opposer à elle.

La jeune femme a oser interpeler publiquement le maire qui refuse sans raisons de lui accorder un permis de construire , enfin, dans cette mairie il existe un système de paiement en nature, ou les services sont délivrés en échanges de certaines petites gâteries comme faire une fellation au maire pour avoir ses faveurs et notre amie Marie n'est pas d'accord avec cette pratique...

Le maire qui a le bras long à demander a son ami le médecin du village de lui faire un certificat pour faire interner Marie en lui attribuant des propos délirants et suicidaires.

Quelques heures après, la police et les pompiers sont aller interpeler Marie chez elle pour assurer le calme et la sécurité publique.

La jeune femme est conduite en hôpital psychiatrique , pour les médecins et le personnel médical, sa parole et son ressentie ne vaut strictement rien, c'est simplement "une folle", "une maboule" comme le dit le psychiatre en chef lorsqu'il l'a vu pour la première fois.

Marie doit se mettre toute nue, car elle est considérée comme dangereuse, donc elle doit être gardée "à poil", car elle "n'a pas toute sa tête".

Les patientes sont bien sur déshabillées en public devant tout le monde, sans aucun respect pour leur pudeur et dignité, on les dépouille de tout même de leurs montres et broches de cheveux.

Marie a même du enlever ses chaussettes et doit rester pieds nus.

 

Ensuite elle est conduite les fesses à l'air dans une sorte de petite cellule chambre d'isolement avec le sol et les murs recouvert d'une sorte de matelas mou.

Les aides soignants et les infirmiers viennent régulièrement la voir en cellule pour prendre des photos ou se moquer d'elle et l'insulter de folle, de perverse qui veut vivre à poil et qui ne pense qu'a se faire enculer et sucer.

Lien :

Nudité dans les services de psychiatrie.

 

 

vendredi 1 septembre 2023

Interview d'un gardien de prison

 

Fouille intime en prison, écarter les fesses est humiliant.
Une prisonnière nue écarte les fesses pendant la fouille.

A propos de la nudité forcée et des humiliations des prisonnières.


Extrait d'un entretien entre un des responsable américain  de la prison d'Abou Ghraib en Irak et d'une juge chargée de l'enquête suites aux révélations dans la presse concernant les sévices et tortures subis par les prisonniers, en particulier la nudité forcée.


Le juge Elizabteh Smith interroge  le colonel Peter Robertson, l'un des responsables de la prison pendant la période ou les sévices et les abus ont eu lieux.


"Suite au scandale qui a entaché la réputation des Etats Unis dans le monde, je voudrais en savoir plus sur le traitement des prisonniers et des procédures d'incarcérations en vigueur dans l'établissement."


"C'est toujours avec grand plaisir que je coopère avec la justice de mon pays."


"Ravie de le savoir, venons en aux faits, concernant les humiliations, j'ai entendu avant vous une jeune femme, une étudiante  irakienne de 27 ans, Safia qui s'est plaint lors de son séjours d'avoir été arrêtée sans aucunes raisons valables et d'avoir été gravement humilier et dégrader."


"Dans une zone de guerre votre honneur, elle était suspectée de préparer des attaques anti américaine et de représenter un danger pour notre pays, l'incarcérer était la solution."


"Safia a été menottée, les militaires lui ont mis une cagoule sur la tête et l'on peloter et tripoter en arrivant dans la partie de la prison ou vous détenez les femmes, puis vous l'avez faite se déshabiller en présence d'autre gardes hommes et femmes et sans aucun respect pour sa pudeur, puis elle a été jetée à poil en cellule, ses vêtements ayant étés détruits et sa culotte volée."


"Hum ce n'est pas tout a fait ça Madame la Juge."


"Nous avons les enregistrement vidéos et les photographies qui sont explicites."


"Oui car la procédure pour que tousse passe bien exige que nous filmions, pour justement ne pas être accuser de tortures et de mauvais traitements, Safia n'a subie aucun abus ni aucune violences physiques."


La juge masquant son agacement " Ce traitement me semble quand même déraisonnable et abusif, une femme arrêtée sans raisons et traiter de la sorte dans ce contexte mérite quelques explications."


"J'ai estimer que les femmes âgées de 21 à 40 ans dans le quartier de Baghdad ou elle a été arrêtée étaient suspecte, la police militaire m'avait demander officiellement d'arrêter toutes les jeunes femmes pas trop grosses et sexy selon les standard occidentaux qui nous tombait sous la main, j'ai donc appliquer les ordre. Celles que nous trouvions trop grosse, car ces femmes là bouffent beaucoup de sucrerie n'étaient jamais inquiétées bien sur. Là dans ce cas là, il y aurait eu une erreur."


"Hum" répond la juge, entre étonnement et consternation. "C'est une politique assez idiote mais vous n'avez fait qu'appliquer les ordre comme un bon soldat.


"Oui c'est ça madame la juge."


"Vous avez crier sur  cette pauvre fille et vous l'avez fesser pour qu'elle se déshabille et prise en photo nue et enregistrer la fouille en vidéo."


"Oui, car elle a refuser de retirer ses vêtements devant nous sous prétexte que nous sommes des hommes et qu'elle est pudique et musulmane, alors pour nous couvrir dans ces situations là nous filmons tout pour justement ne pas pouvoir être accuser de quoi que ce soit.

Par expérience je peux vous dire que la fessée est un très bon moyens de maintenir l'ordre chez les femmes. Alors je lui ai coller une fessée pour la faire obéir et lui ai dis qu'on allait la foutre à poil de force.

Elle a donc accepter de coopérer et a retirer ses vêtements en pleurnichant et baissant la tête.

Quant aux prises de photos photos  c'est la procédure d'identification officielle des détenus, et la vidéo sert à prévenir tout accusation d'abus. "


"Mais certaines photos ont été publier dans des magasines porno et sur des sites internet  du même genre ?".


"C'est faux, certaines sociétés achètent ce type de photo et de vidéo pour les organisme de formation en sécurité et rien d'autre, c'est tout à fait légal."


"En visionnant la vidéo nous pouvons voir que Safia était en larme pendant son déshabillage, et qu'elle a demander de garder sa montre, sa culotte et ses chaussettes car le sol serait sale et froid, et ça a été refuser par vous et vos collègues."


"J'ai toujours en étant guidé par conscience professionnel, la prisonnière doit se mettre toute nue, C'est 100% nue, donc pieds nus, fesses à l'air, sexe visibles et seins exposés.

La culotte, faut bien lui enlever pour lui fouiller entres les fesses et dans l'anus, et aussi pour regarder sa petite chatte lisse. Ls chaussettes ? et puis quoi encore ? Tant que je serais là les prisonnières seront pieds nus !


"Plusieurs fois, sur la vidéo, nous pouvons la voir vous  supplier de cacher ce spectacle à la vue de tous, hors vous l'avez obliger a se soumettre à une fouille en public et d'écarter les fesses".


"Oui car je dois vous rappeler que nous sommes dans une zone de guerre, et que nos moyens sont limités, il n'y a pas de rideau ni de porte. Nous devons voir si les détenues ne cachent rien dans leurs orifices intimes"


"Vous avez aussi découper et bruler ses vêtements de façon perverses en la narguant pendant qu'elle était horrifiée."


Oui car nous détruisons toutes traces de l'identité culturelle et religieuse de la prisonnière qui arrive, les vêtements traditionnels arabes et musulmans sont interdit et considérés comme des objets de contrebandes à détruire. C'est très important de remodeler l'esprit de la nouvelle en lui faisant comprendre que toutes ses convictions et ses principes seront méprisés et bafoués. Safia est arrivée emmitouflée dans une large robe couvrant tout son corps et les cheveux et le cou couvert d'un hijab (voile). Ici il n'y à pas de place pour la pudeur, la dignité ou la vie privée. Nous devons leur apprendre le mode de vie démocratique et occidental.


"Vous l'avez ensuite fait défiler lentement, totalement nue et pieds nus dans toute la prison pour que tout le monde monde puisse la voir, le staff bien sur, mais aussi les criminels et autres personnes internés."


"Oui c'est une tradition ici, les nouvelles doivent parader nue, c'est bon pour traiter leurs pudibonderie maladive et les humilier. Ca distrait aussi nos gars qui font un travail difficile et trouvent ça fun."


"On parles aussi d'un véritable trafic de culotte qui aurait été mis en place dans le complexe pénitentiaire"


"Les interrogateurs cherchent par tout les moyens à acquérir des culottes pour humilier les prisonniers masculins en leur foutant sur la tête, ils nous donnaient des sous pour qu'on leur fournisse les culottes prélevées sur les prisonnières. En détention les culottes sont interdites et considérées comme des objet dangereux de contrebande, alors autant que ces morceaux de tissus soient utile et si on peut monétiser tout ca ..."


"Certains rapports nous informe aussi qu'un système de pari avec des sommes en jeux aurait été mis en place, par rapport à la pilosité des prisonnières ?"


"Oui nos gars font des paris, quand ils voient  une nouvelle prisonnière arrivée, habillée à l'arabe c'est a dire totalement couverte de la tête aux pieds, et bien ils se demandent quelles types de sous vêtements elle peut bien porter, et bien sur comme sont les poils de sa chatte et si elle s'épile ou pas. C'est un jeux d'essayer de deviner."


Interrogatoire militaire renforcé.
Femme nue devant ses interrogateurs en prison.


Image d'une fouille au corps pendant que le gardien obligent la prisonnière nue à faire des squats et de tousser très fort pour voir si quelques choses sort de ses orifices.

dimanche 22 janvier 2023

Le processus d'admission des femmes prisonnières (mise à nue, photographie, gynécologie etc.)

Prisonnière forcée de se mettre nue.
Femme nue en détention.

Comment est ce que les femmes suspectée de liens terrorisme sont traitées par l'administration ?

Après les attentats du 11 septembre 2001, le gouvernement des Etats Unis d'Amérique a décider de lancer plusieurs guerres en riposte et d'ouvrir des camps de détention partout dans le monde pour garder en captivité toute personnes suspectées de menacer la sécurité nationale US.


En Irak les forces de la coalition internationale ont rouvert la prison d'Abou Ghraib à coté de la capitale Baghdad,  célèbre pour ses abus et humiliations subies par les prisonniers aux mains de la police militaire américaine. 


Des femmes en nombre certes assez limité ont séjournées dans cette prison avec des conditions de vie et d'encadrement très strictes et choquant pour les femmes incarcérées tellement les humiliations, les vexations et les punitions arbitraire sont fréquentes et gratuites.


Une jeune femme mentionnée sous le pseudonyme de Nassira, 22 ans, détenue 7 mois sous l'accusation abstraite de liens avec l'ancien régime, s'est plainte selon le rapport des enquêteurs d'avoir été soumise à des traitements qu'elle estime dégradant  au processus standard d'admission des prisonniers.


Nous avons demander a d'ancien cadres du complexe pénitentiaire 


Q: quoi ce processus consiste t'il ?


Dès leur arrivée, les femmes comme Nassira que vous venez de mentionner se retrouvent dans un environnement très différent de celui auquel elles sont habituées. L'un des premiers qu'elle a reçu est celui de se déshabiller immédiatement et de mettre ses vêtements, montres, bijoux et tout effets personnels dans un petit carton de stockage puis présenter son corps aux gardiens chargés de la fouille et de l'inspection.


Q: La détenue Nassira déclare avoir du se déshabiller devant des hommes et même de devoir retirer sa culotte et sa montre et qu'on lui a même fait ôter son tampon hygiénique, est ce vrai ?


Oui, les gardes ont des consignes strictes a faire appliquer, les femmes doivent tout enlever, leurs effets personnels et tout ce qui ce trouve sur leurs corps avec lequel elles ne sont pas nées est confisqué.

Cette méthode d'introduction permet de montrer aux prisonnières qu'en arrivant ici elles n'ont plus aucun droit, en particulier le droit à la pudeur et à l'intimité.

Et donc  oui les gardiens hommes peuvent participer aux fouilles  des prisonnières  et inversement les femmes peuvent mettre à poil les détenus masculin. C'est une politique voulue et choisie.

Nassira comme la majorité des prisonnière est  très pudique de par son éducation très conservatrice arabe et musulmane et porte une long voile et une longue robe pour cacher tout son corps. Quand les agents lui ont donner l'ordre d'enlever ses vêtements elle s'est montré assez protestataire et a commencer a enlever ses vêtements que quand deux agents baraqués ont menacer de lui arracher ses habits de force. 


Q : Le rapport dit aussi d'une fois en sous vêtements elle a supplier de pouvoir conserver son slip 


Oui c'est une jeune femme très pudique pour qui le déshabillage est très difficile au début mais les gardes l'on mise  obliger a se mettre totalement  poil 


Q : La détenue se plaint d'avoir été promenée nue de façon délibérée  et prise en photo sans aucun vêtements par les gardiens, pouvez vous nous en dire plus ?


En effet les interrogateurs et les responsables de la prison ont découvert que le fait de déshabiller complètement une femme est un outil de contrôle très puissant augmentant nettement l'humiliation ressentie. Surtout en présence de public du sexe opposé  et des autres prisonniers dont certains pourraient être de sa famille ou de son quartier. Après la fouille de Nassira qui comprend un examen gynécologique et de l'anus, elle a été emmener dans une pièce d'identification pour une prise de photographie.


Elle déteste devoir défiler sans culotte ni aucun vêtements devant le staff pourtant c'est les règles établies de la prison, la prisonnière doit être exposée , d'ailleurs les gardes prennent tout leurs temps pour "découvrir" la nouvelle et comment elle est foutue. C'est aussi un moyen de faire comprendre qu'ici c'est les américains les patrons.


Liens : 


Histoire BDSM de prisonnière.


Briser l'égo et dégrader les prisonnières.

lundi 16 août 2021

Internement psychiatrique humiliation et nudité.

 

Une patiente internée abusivement a l’hôpital psychiatrique humiliée.
Jeune patiente nue à l’hôpital psychiatrique.

Une jeune femme abusivement internée en hôpital psychiatrique humiliée.


Les médias rapportent une nouvelle polémique sur les internement psychiatrique sans consentement et les abus qu’il y a en France.


Les abus se multiplie et de plus en plus de citoyens se retrouvent hospitalisés sans leur consentement dans des hôpitaux et des cliniques privées dont les règles de fonctionnement sont très opaques et peu respectueux des droits de l’homme.


Jordana, une jeune femme de 25 ans est tombée dans e piège de son ex petit ami qui l’a fait interner sans son consentement pour se venger de leur séparation et de la sois disant paresse sexuelle de la jeune fille.


L’homme à utiliser une de ces connaissances dans le milieu médical pour produire de faux certificats médicaux. Il a ensuite avec l’aide d’un complice été porter plainte au commissariat de police en disant que Jordana aurait dévorer plusieurs chats en se roulant dans la boue (sic).


Le garçon et son complice avaient eux même capturé plusieurs chats et les riverains s’étaient plaint de la disparition de leurs félins.


Les policiers ont tout de suite cru l’histoire et le préfet a ordonné l’hospitalisation sans consentement de Jordana.


La jeune femme a passer 15 jours dans un hôpital psychiatrique privé dont elle est ressortie très choquée.


Après quelques vérifications d’identité les policiers sur ordre de la préfecture ont transféré la jeune vers l’asile.


A son arrivée les infirmières ont accueilli la jeune patiente pour lui expliquer la situation et lui donner les consignes.


L’une des premières choses dans ce centre psychiatrique est que les patients sont gardés complètement nus. 


Jordana a d’abord reçu pour consignes de se dévêtir entièrement. La jeune fille a cru halluciner et à refuser de retirer ses vêtements et dit clairement « Il est hors de question que je me déshabille devant vous ». 


Après plusieurs sommations et rappel du règlement, les infirmiers ont décider d’agir. Ils ont l’habitude de mater les nouvelles patientes un peu rebelle.


Pour des raisons de sécurité le personnel médical a le droit d’utiliser la force et la contrainte et ils ont dévêtues de force Jordana.



La nudité totale est justifiée par l’instabilité mentale présumée des personnes internées. La jeune fille est totalement dépouillée de ses effets personnels, de ses vêtements, sa montre, son téléphone tout lui est confisqué.

La jeune femme doit rester plusieurs jours entièrement nue et pieds nus dans sa chambre.


Jordana est réveillée à 07h tout les matins pour un petit déjeuner. Ensuite elle est conduite toute nue à la douche  son corps est exhibe à tous dans les couloirs.


Une fois dans la salle de douche, la patiente est lavée et passée au jet d’eau par les infirmières. C’est très humiliant.



Liens :