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dimanche 11 mai 2025

La soirée chaude du bizutage ( ou d'intégration).

Bars et bizutage
Filles dansent nues et pieds nus au bizutage étudiant


 Bars étudiant durant le bizutage.

 

Les soirées d’intégration estudiantines sont des rituels légendaires, où l’alcool coule à flots dans les bars du centre-ville, et où les bizutages flirtent avec l’excès, mêlant traditions ancestrales et débordements charnels. Les mœurs sont plus libres, mais les hiérarchies estudiantines restent impitoyables, surtout pour les nouvelles, ciblées pour leur timidité ou leur air "coincé".

Le bar L’Antre du Vice, un bouge enfumé du centre-ville, est bondé ce vendredi soir. Les néons rouges clignotent, la bière bon marché inonde les tables, et une foule d’étudiants enfiévrés hurle des chansons paillardes. C’est la soirée d’intégration de la fac de droit, et le bizutage bat son plein. Les anciens, autoproclamés maîtres du chaos, ont orchestré un spectacle aussi cruel que lubrique, où les premières années, surtout les filles, sont les proies désignées.

Jessica, 19 ans, frêle brunette aux joues rosies par la honte, n’a jamais aimé les foules. Pudique, réservée, elle a grandi dans une petite ville où les regards indiscrets la mettaient déjà mal à l’aise. Ce soir, elle regrette d’avoir mis sa jupe plissée et son chemisier sage : ils font d’elle une cible parfaite pour les anciens, qui adorent briser les "saintes-nitouches". À ses côtés, d’autres bizutes tremblent, notamment Sophie, une blonde menue qui serre les pans de son cardigan comme un bouclier, et Clara, une étudiante en histoire au visage fermé, qui marmonne des supplications pour garder sa culotte en coton blanc.

Dans l’amphithéâtre, plus tôt dans la soirée, l’ambiance était déjà électrique. Les anciennes, vêtues de cuir et de rictus moqueurs, ont traîné Jessica, Sophie, Clara et trois autres bizutes sur l’estrade. "À poil, les coincées !" rugit la foule, un chœur de voix avinées. Les ordres claquent comme des fouets : "Enlevez tout, ou on le fera pour vous !" Jessica tremble, ses doigts maladroits s’emmêlent sur les boutons de son chemisier. Sophie, en larmes, s’accroche à sa culotte, bégayant : "S’il vous plaît… juste ça… laissez-moi la garder…" Une ancienne, une grande brune aux ongles vernis de rouge, éclate de rire et arrache le sous-vêtement d’un geste sec, le brandissant comme un trophée sous les hourras.

Clara, elle, croit s’en tirer en oubliant – ou feignant d’oublier – ses chaussettes rayées. "T’es sérieuse, la ringarde ?" aboie une ancienne, la forçant à les retirer sous les sifflets moqueurs. Une autre bizute, une rousse prénommée Manon, tente de négocier en gardant ses bas résille, arguant qu’ils "font partie du look". L’argument ne passe pas : une ancienne les déchire sauvagement, laissant des marques rouges sur ses cuisses. Pas d’échappatoire. La pudeur est un crime ici, et les plus timides sont punies avec zèle.

Nues sous les sifflets, les bizutes doivent exhiber leurs corps. Jessica tente de cacher ses seins, mais une ancienne lui écarte les bras d’un geste brusque. "Montre tout, poupée ! Ouvre grand, qu’on voie la marchandise !" Sophie, effondrée, sanglote en écartant ses cuisses, tandis que Clara, mâchoire serrée, obéit en fixant le sol. La foule exulte, certains filment avec des caméscopes VHS, vestiges d’une époque où l’intimité n’avait pas de prix. Manon, elle, bombe le torse avec un sourire crispé, espérant désamorcer l’humiliation par une fausse assurance.

Après l’amphi, les anciennes organisent une "parade des délices", une tradition perverse où les bizutes, toujours nues, doivent défiler dans les couloirs de la fac, puis à travers le campus. Les rires et les quolibets pleuvent, des mains baladeuses frôlent leurs corps. Jessica, pieds nus sur l’asphalte froid, sent son cœur cogner. Sophie trébuche, ses chaussettes oubliées désormais un lointain souvenir, tandis que Clara murmure des jurons, maudissant chaque pas.

Le clou de la soirée, c’est le bar. L’Antre du Vice est le théâtre final de ce rituel dépravé. Les bizutes, toujours dévêtues, sont poussées à l’intérieur sous les hourras des clients, un mélange d’étudiants, de profs libidineux et de piliers de comptoir. La musique, un tube de synthpop des années 80, pulse dans l’air saturé de sueur et de désir. Jessica est hissée sur une table poisseuse, Sophie et Clara sur le comptoir, où elles doivent improviser des danses lascives.

Manon, la rousse, prend les devants. Elle grimpe sur le bar, ses hanches ondulant au rythme de la musique, ses mains glissant sur ses courbes avec une sensualité forcée mais convaincante. La foule hurle d’approbation, lançant des billets froissés. Sophie, maladroite, tente de l’imiter, ses mouvements saccadés trahissant sa panique. Une ancienne lui glisse un shot de vodka, qu’elle avale en grimaçant, et bientôt, elle se laisse aller, ses seins tressautant sous les flashs des appareils photo. Clara, elle, reste raide, ses déhanchés mécaniques arrachant des rires moqueurs. "Bouge ton cul, la nonne !" crie un client, jetant une poignée de pièces à ses pieds.

Soudain, les anciennes annoncent le clou du spectacle : un "concours de Miss Bizute". Chaque fille doit défiler sur le comptoir, nue, et exécuter une performance pour séduire la foule. Les critères ? "Charme, culot et chaleur !" ricane une ancienne, un mégaphone à la main. Manon ouvre le bal, jouant la carte de la provocatrice : elle s’agenouille, cambre le dos et lance des baisers, provoquant une ovation. Sophie, poussée par l’alcool, tente une danse plus audacieuse, se caressant les hanches sous les sifflets. Clara, toujours rétive, se contente d’un tour rapide, les bras croisés, ce qui lui vaut des huées et une pluie de serviettes en papier.

Jessica, dernière à passer, est paralysée. "Danse, ma jolie ! Montre-leur ce que t’as !" crie une ancienne, un verre de gin à la main. Elle monte sur le comptoir, les jambes flageolantes, et tente un déhanché timide. La foule, impatiente, scande : "Plus chaud ! Plus chaud !" Une ancienne lui tend un autre shot, qu’elle boit d’un trait. L’alcool embrume son esprit, et, portée par la musique, elle se surprend à onduler, ses mains frôlant ses seins. Les hourras redoublent, et pour la première fois, elle sent une étrange montée d’adrénaline.

Le concours s’achève dans un délire collectif. Manon est couronnée "Miss Bizute", une écharpe en papier toilette autour du cou. Mais le véritable défi suit : les bizutes doivent "servir" les clients. Pas de plateaux ni de verres, non. Elles doivent se pencher, offrir leurs courbes aux mains des spectateurs, qui rient et s’enhardissent. Jessica, forcée de s’asseoir sur les genoux d’un étudiant éméché, sent ses doigts rugueux explorer son dos. Sophie, à moitié ivre, rit nerveusement en dansant pour un groupe de profs. Clara, elle, refuse de bouger, mais une ancienne la pousse vers un client, qui lui glisse un billet dans les cheveux.

Dans ce chaos, une énergie perverse flotte. Certaines bizutes, brisées puis libérées par l’adrénaline, commencent à jouer le jeu, défiant leurs bourreaux avec une insolence nouvelle. Manon, portée par sa victoire, improvise un strip-tease théâtral sur le comptoir, arrachant des rires et des applaudissements. Jessica, elle, reste en retrait, mais une ancienne remarque son regard. "T’inquiète, chérie, l’an prochain, c’est toi qui donneras les ordres."

 

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Bizutage hard et public. 

 

jeudi 21 novembre 2024

Déshabiller au bizutage.

Bizutage en IUT à poil pieds nus
Nue et pieds nus obligatoire au bizutage étudiant.

Le bizutage est une ancienne tradition dans l'enseignement supérieur, les anciens élèves au nom des usages et des coutumes de leurs établissement scolaires bizutent les nouveaux dans un cycle qui se répète depuis des décennies.

Le nom officiel du bizutage est week end d'intégration, ou les nouveaux tombent sous l'autorité des anciens pour une journée et une soirée de fête et de folie.

Mélanie, 22 ans une jeune étudiante montpelliéraine débarquée à Paris pour passer sa licence pro dans les métiers de l'énergie dans un IUT (Institut Universitaire de Technologie) d'Ile de France est obligée de se rendre à la fête d'intégration organisée dans un bar dansant.

C'est une fille du sud, assez cool qui aime bien sortir et faire la fête. Fidèle à la réputation des gens de sa région, Mélanie n'est pas très ponctuelle, quand elle arrive dans le bar elle découvre que plusieurs filles sont à poil et que certaines pleurent ...

Les anciens l'a prenne rapidement en charge malgré son retard, et lui disent que ce soir elle est sous leur autorité et qu'elle va devoir rejoindre les autres nouvelles.

Les anciens lui disent d'abord qu'elle doit se déshabiller complétement comme les autres filles qu'elle peut voir.

Certes Mélanie n'est pas spécialement pudique, elle a fait du topless cette été à la place, juste en string et n'a pas de soucis de pudeur particulier, elle est à l'aise à poil chez le gynéco par exemple. Mais elle trouve ça quand même humiliant, surtout le fait d'être nue en personne d'autre habillés, car à la plage tout le monde est presque à poil ou presque.

Mais elle n'a pas trop le choix, les anciens considèrent les nouvelles comme du bétail à dresser et elle sait qu'ils lui arracheront sa petite robe de soirée très facilement et elle n'a même pas de soutien gorge.

Le pire c'est que les anciens l'obligent même à retirer ses  petites sandales ! elle espérait au moins les garder pour éviter de poser la plante de ses pieds sur le sol sale et poussiéreux du bar. 

Elle doit parader nue et pieds nus devant les clients qui matent son cul et ses petits seins.

Nudité lors du bizutage à l'IUT.
Mélanie danse nue avec les garçon au bizutage.

La jeune fille et les autres étudiantes de l'IUT doivent danser à poil, avec les garçons qui les frottent, palpent régulièrement.


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Fille pudique humiliée au bizutage.

 

mardi 27 juin 2023

Le traitement dégradant imposé aux femmes dans la prison.

 

Nudité forcée et honte pour les femmes.
Prisonnière nue attachée aux barreaux de sa cellule.

Des femmes humiliées nues et maltraitées par les gardiens de la prison.


Lors de la seconde guerre du golfe de 2003 à 2011 ou les Etats Unis ont occupé l'Irak, les responsables militaires américains ont autorisé la torture et les mauvais traitements systématiques dans les centre de détention sous leur autorité pour tenter d'obtenir des informations stratégiques.

Toute les personnes arrêtées pour des infractions présumées à la sécurité nationale US p et susceptibles de représenter un intérêt en terme de renseignement sont systématiquement l'objet de mauvais traitements allant d'insultes à des contraintes physiques et psychologiques importantes pouvant être assimilable à de la torture.

Les officiers de la police militaire ont mis au point tout un processus visant à rendre les prisonniers coopératifs et dociles en vue des interrogatoires. Ces procédures implique des techniques de mauvais traitements basées sur les traitements inhumains et dégradants et des humiliations souvent à caractère sexuelles et des punitions sévères afin d'obtenir des aveux.


Dans la prison d'Abou Ghraib, dans un premier temps et ce qui est le plus frappant et spectaculaire c'est que les détenus sont dans 90% des cas gardés totalement nus et sans aucun confort dans leurs cellules de confinement solitaire,  les rares à porter un uniformes sont ceux qui se sont montré coopératifs et ont donner des informations aux interrogateurs.


Les quelques femmes prisonnières n'échappent pas à cette infâme procédure. Lors de l'arrivée d'une prisonnière , les gardiens ont pour consigne de la soumettre à une pression maximale. La plupart sont très conservatrice et pudique de par leurs valeurs culturelles et leurs croyances religieuses et portent des tenues traditionnelles couvrants entièrement le corps de la tête aux pieds.


Les américains utilisent les tabous culturels et religieux comme des moyens de coercition psychologiques, certes déshabiller des prisonniers dans le cadre de fouille de sécurité dans certaines situations peut être acceptable si c'est justifier et réaliser dans un contexte respectant la pudeur et la dignité des personnes privées de liberté. Mais les gardiens ont pour consigne de mettre nus les détenus de la façon la plus humiliante qu'il soit, en public, sans rien pour cacher pas même une serviette ou un paravent.


Les femmes irakiennes qui arrivent voilées de la têtes aux pieds n'échappent pas à ce traitement, les gardes commencent par les humilier à fond en les forçant à enlever leurs vêtements en public, devant des hommes sous des menaces de coups, d'insultes, rires,  moqueries et commentaire dégradants sur leurs corps, la taille et la formes de leurs  seins, leurs sexes lisses ou poilus etc.


La technique de la nudité forcée fait partie du processus de traitement des détenus est appliquée de façon systématique et avec zèle par les gardiens sur ordre de leurs supérieurs, les prisonnières se retrouvent donc complètement nues, sans rien pour couvrir leurs parties les plus intimes. Cette politique vise à forcer les suspects à collaborer et a divulguer des informations en échange de produits hygiéniques, de literie, de la possibilité de s'habiller, la possibilité  de manger une nourriture plus variée etc.


Porter des vêtements n'est pas un droit mais une faveur accordée aux plus coopératifs. Ceci dit les uniformes ne sont délivré qu’aux hommes et rien n’est prévue pour les femmes. Ce qui fait que les américains préfèrent les laisser sans vêtements meme en  cas de coopération…


Un autre traitement en plus de la nudité imposée dénoncée est le fait que les prisonnières sont obligées de marcher et parader nue et pieds nus dans les couloirs et les locaux du centre de détention pour aller dans la salle des douches, aux interrogatoires ou pour les promenades.


Honte et dressage des prisonnières misent à poil.
Humiliation sexuelle des prisonnières exhibées à poil.

Liens :


Camp de prison BDSM.


Le dressage.


samedi 29 octobre 2022

Nudité imposée en prison, un avocat découvre sa cliente nue.

Jeune prisonnière à poil en cellule et enchainée.
Nue en enchainée totalement exhibée dans sa cellule de prison.

La nudité forcée systématique dans certains centre de détention.

L'un des avocat d'une femme irakienne de 26 ans, Nadia ayant été détenue plusieurs mois dans la prison d'Abou Ghraib dénonce les conditions de détention de sa cliente, et des atteintes à la dignité humaine.


Après avoir été autorisé a pénétrer dans la prison suite aux pression médiatiques et le soutient  des organisations des droits de l'homme, il a pu visiter sa cliente.

Ce qui est de le frappant c'est que la jeune détenue est totalement nue en maintenue par un dispositif de chaines dans sa cellule. Elle a les seins à l'air,  rien pour couvrir ses fesses et sa chatte et ses pieds sont nus.


La prisonnière est interdite de porter le moindre vêtements. Elle est sous le statut de prisonnière de haute sécurité qui implique la nudité totale et permanente dans le secteur ou elle est détenue.  Un des responsables de la prison a dit qu'après plusieurs incidents en rapport avec la sécurité, notamment le fait que certains prisonniers dissimulaient des objects illicites ou de contrebande plusieurs gardiens se sentent menacés et ont constater l'intrusion d'objets non autorisés. Suite à ça et avec l'aval des responsables de la police militaire et de la CIA, la décision d'enlever les vêtements de tous les prisonniers a été prise.

Lorsque l'avocat a demander aux gardiens de fournir des vêtements et des chaussures à sa cliente, sa demande a été rejeté pour des raisons de sécurité, hors de question de l'autoriser à porter le moindre vêtements.

Pour les gardiens la nudité de la cliente et des autres prisonniers parait tout a fait normal car d'une part ceux sont les ordres et les consignes officielles et que ça rassure de savoir que les détenus ne peuvent rien dissimuler sur eux.

Lorsque le défenseur de la loi  questionne les surveillants s'ils se rendent comptent que ça peut etre assimiler a une forme de mauvais traitements et que c'est humiliant et dégradant pour les détenus, les gardes haussent les épaules.

Les gardiens trouvent que ce pas très grave de garder à poil les détenus car il fait chaud et donc les vêtements ne sont pas nécessaires, voir "fun" et amusant d'obliger les femmes à vivent nues.

Après tout il s'agit de punir et de se venger et la nudité chez une femme comme Nadia est une technique simple et efficace qui heurte ses sensibilités culturelles et religieuses et la met dans une situation très inconfortable de vexation car elle est bien élevée et très pudique et l'obligation d'être nue en public.

Lorsque la jeune femme est arrivée , elle était comme la plupart des femmes arabes un peu aisée et respectable de la bonne société bien propre sur elle, soignée et vêtue d'une robe traditionnel (abaya) et d'un foulard sur les cheveux. Tout ça, elle a du les enlever obligatoirement devant les regards moqueurs des soldats qui lui font remarquer que si elle était si pieuse et si respectable que ça, elle se ne baladerait pas toute nue devant tout le monde ...

Les fouilles au corps sont pratiquer très souvent et pour dresser et  pour apprendre l'humilité selon les gardiens.



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samedi 25 juin 2022

Nue dans un bar public lors des épreuves du bizutage.

 

A poil das le bar pendant le bizutage.
Nue dans un bar au bizutage.

Etudiante parade nue lors du bizutage traditionnel.


Le bizutage dans l'enseignement supérieur est une coutume qui perdure à toutes les époques, comme on le dit souvent, les traditions ont la dent dure.

Durant les débuts d'années universitaire  en septembre octobre de chaque année, c'est la période des fameuses journées d'intégration (ou week end) car ils ont lieu en fin de semaine.


Lors de ces bizutages, les filles de premières années sont "réunies" par petit groupes et à la chaine dans les amphithéâtres. 


Jessica étudiante de 19 ans en droit a été "invitée" manu militari par deux anciens à se rendre sur l'estrade en plein milieu d'un amphi rempli d'étudiants très chaud et excités. Elle et d'autres filles sont obligées de se mettre intégralement nues sous les hurlements du public "A poil A poil".


"Retirez tout, à poil" disent aussi sèchement les anciens. Les mise à nue sont obligatoire et se font de gré ou de force.

Pas de place pour la pudeur et la timidité ! les plus pudiques jugées coincées ont leurs vêtements arrachés et parfois déchirés.


Les bizutes doivent présenter leurs seins, fesses, ouvrir chatte en public et certaines pleurent en faisant ça.



Ensuite une traditionnelle parade à poil est organisée ou les filles nues doivent se promener ainsi dans tout l'établissement et sur le campus.


Jessica elle doit aussi aller nue et pieds nus dans un bar du centre ville pour s'exhiber devant les clients et les divertir lors des spectacles du bizutage.


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jeudi 2 septembre 2021

Septembre, le mois de la rentrée et le retour des bizutages étudiants.

La nudité imposée aux filles lors des bizutages étudiants
Groupe de filles à poil dans le bar (exhibition publique).

La tradition du bizutage des nouvelles étudiantes.


Nous sommes au moins de septembre, qui signifie pour beaucoup la rentré des classes et l'arrivée de nouvelles étudiantes à l'université, dans les Facultés, IUT, école d'ingénieur, de commerce etc. Même si la vaccination anti Covid 19 et la pandémie font la plupart du temps l'actualité, et bien la vie étudiante continue.


Lors des premiers week end, les anciens souvent dans le cadre du BDE (Bureau des étudiants) organisent des soirées d'intégration, le nom officiel pour dire bizutage.


Ces soirées sont conçues par des étudiants un peu vicieux et pervers sur les bords dans l'objectif de créer une ambiance débridée et de débauche.


Les filles inscrite en premières année lorsqu'elles arrivent dans le bar ou la boite de nuit, sans avoir besoin d'un pass sanitaire car ceux sont des soirées privée ce qui permet aux étudiantes non vaccinée de ne pas avoir cette excuse pour ne pas se rendre au bizutage.


Lorsque tout le monde est là les filles sont obliger d'enlever leurs vêtements, c'est parfois difficile pour celles qui sont un peu pudique et coincée donc elles sont un peu forcées par l'élan collectif.



Les bizuts doivent être totalement nues , pas de culotte , pieds nus obligatoirement, bref la nudité totale.



De toute façon les filles doivent s'habituer a être vue toutes nues par les garçons car durant l'année universitaire, les filles devront prendre des douches publiques pour le sport , pour la piscine, et dans les résistent  universitaire les douches sont mixtes et les mecs sont très voyeurs.



Ensuite pour décompresser les filles prennent un petit verre, l'alcool aide à faire diminuer le stress et débaucher les nouvelles.




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mercredi 25 août 2021

Humilié et dégradé en public

 

Dressage de soumis nu par une bande dans un bar.
Soumis à poil humilié dans un bar sex club.


Un mec mis à poil et dressé en bar (public).



Lionel doit une dette au dealer de son quartier, il n'a pas pu payer a temps, la sanction tombe rapidement : Une bande de racaille le séquestre voilement en pleine rue avant de l'amener dans un bar pour lui donner une bonne  correction qu'il n'oubliera pas de sitôt.



Les malfrats lui ont découper ses vêtements et arracher ses chaussures et ses chaussettes pour le mettre totalement nu comme un ver.



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lundi 26 juillet 2021

La nudité comme méthode de gestion de la prison

 

Nudité forcée et humiliations publiques de femmes prisonnières nues.
Une femme prisonnière nue parade dans les couloirs.

Déshabiller les prisonniers comme politique officielle 


Fin 2003 début d'année 2004, dans la prison militaire américaine d'Abou Ghraib en Irak, le haut commandement américain a approuvé l'utilisation massive de la nudité comme technique d'interrogatoire et comme moyen de maintenir l'ordre et la sécurité dans l'enceinte du camp de prisonnier. Les gardes et les surveillants de base ont donc reçue des consignes visant à garder complètement nus une grande partie des prisonniers retenus sur le site. Les témoins, que ce soit d'ancien employés, des juristes internationaux des hauts gradés chargés de superviser la prison sont unanimes : On y voit des prisonniers nus, c'est même la majorité; 70 % sont complètement nus, les autres sont parfois des simples slips et certains les plus coopératifs ont des uniforme orange ou jaune de prisonnier.


La plupart des gardes n'ont aucun scrupules à appliquer les consignes. Une femme de 24 ans, étudiante ayant passer 3 mois en détention pour soupçons de liens avec la rébellion témoigne.


"Les soldats ont fait irruption sur le campus de l'université et ont placés tout les étudiants présent dans le principale amphithéâtre. Comme j'étais représentante d'une association étudiante proche du parti au pouvoir et la directrice de la section des jeunesses nationalistes, les militaires ont décider de m'arrêter avec deux autres étudiants, j'étais la seules fille. Ils nous ont bander les yeux et mis les menottes dans le dos avant de nous installés dans des fourgons militaires.


La première journées ils nous ont gardé dans une base militaire et ils nous posaient des questions sur notre identité, de là ou nous habitions etc. Même si ce n'était pas le grand luxe, nous étions nourris et traité correctement. C'est deux jours après que les choses ont changée et que les vrais problèmes ont commencés.


Un groupe de militaires encagoulés est venu me prendre, pareil ils m'ont mis un sac sur la tête et m'ont attaché les mains et les chevilles avant de me placer dans un véhicule militaire, pour un long trajet de plusieurs heures, j'ai commencer à avoir envie de faire pipi, et à avoir faim. Il faisait chaud et il y avait beaucoup de poussières, ce trajet était désagréable.

J'étais bien contente quand nous nous sommes arrêtés. Les militaires m'ont livrée aux surveillants de cette grande prison, je n'ai pas tout de suite connu mon lieu exacte de détention, les gardiens m'ont tout de suite dit que c'était ma nouvelle maison et m'on découvert les yeux.


Deux femmes en uniformes et rangers et un homme m'ont pris en charge. Ils m'ont dit qu'ici il ne valait mieux pas parler aux gardiens ni contester les ordres sous peine d'être sévèrement sanctionné.


Ils m'ont faite avancée dans les couloir et conduite dans une petite salle ouvertes, ils ont enfiler une paire de gant et l'une des gardiennes s'est approchée de moi par derrière pour me m'enlever les menottes et les chaines et de mettre les mains sur la tête. Puis l'ordre suivant me retenti encore dans les oreilles, ils me l'ont dit en arabe et en anglais : 


- "Déshabille toi, donne nous tes vêtements l'un après l'autre, y compris tes chaussettes,  ta culotte, ton soutien gorge, nous voulons te voir comme le jours de ta naissance."

Ce fut très choquant la première fois, même si je m'y attendais un peu car j'ai vue plusieurs séries et films américains ou des scènes en prison montre des gens devant se mettre totalement nue  pour une inspection complète avant de se voir remettre un uniforme de détenus jaune, orange ou rouge. J'espérais que les américains ne m'imposent pas ça, car je suis modeste et pudique et jamais aucun homme ne m'avais vu nue avant cela, et depuis ce jours là, exposer ma nudité allait devenir une sorte de routine quotidienne.


Oui qu'il en soit  c’est un choc mais je n'ai pas d'autre choix que d'obéir et de  faire ce qu’on me demande c’est à dire leur remettre mes vêtements. Ils sont trop costaud et je n’ai aucune chance de leur résister.

Avec une bonne dose de honte j’ai commencé par enlever mes habits devant eux. J’ai vraiment pas été élevée comme ça et je trouve l’obligation d’être totalement nue pour la fouille d’entrée en prison  très difficile. Surtout qu’ici les hommes sont autorisés à voir les fouilles des femmes et inversement les gardiennes peuvent voir les prisonniers mâles se faire inspecter.

Vous imaginez bien que les américains se fiche de ma culture et de ma religion qui m’inculque depuis ma plus tendre enfance des valeurs de pudeur et de modestie. L’une des premières choses qu’ils font aux femmes qui arrivent ici c’est de les déshabiller intégralement pour ce terrible rituel dégradant. Ils n’ont aucun état d’âmes a humilier les femmes ! 

J’ai retiré mon voile hijab qui couvre mes cheveux et mon cou et l’ai remis à une gardienne qui l’a pris et inspecté minutieusement . C’est strictement interdit en prison. Les femmes n’ont pas le droit de  le porter. Puis j’ai enlevé ma vestes, mes chaussures et ma chemise. Le staff a encore une fois vérifié qu’il n’y avait rien de caché dans les habits.

C’est ensuite au tour de mon jean d’y passer...

Je porte le hijab mais je m’habille en partie à l’européenne car les femmes de ma famille sont assez modernes. Mais la j’étais en petite tenue devant eux ..

J’ai du me mettre pieds nus et leur donner mes chaussettes qu’une surveillante a retourner avant de la placer dans un carton avec le reste de mes affaires.


J’ai commencé à pleurer puis une américaine m’a hurlé dessus pour que je retire mes sous vêtements.

« Retire tout ! »


J’ai supplié de pouvoir garder ma culotte et mon soutien-gorge en leur promettant que je ne cachais rien mais les gardes sont sans pitié.


« Nos règles sont très claires nous exigeons la nudité totale. Notre politique c’est la tolérance zéro, si vous n’obéissez pas et ne vous soumettez pas immédiatement à nos ordre nous utiliserons la force et des vêtements seront découpés. Les femmes rebelles ici sont vites matées.»

Je n’ai vraiment pas eu envie ce jours là d’être dépouillée de force alors j’ai remis mon soutien-gorge et l’ai tendu à l’une des soldates. Elle l’examina et vérifia chaque  points de ce dernier et retourna même le bonnet.

J’ai ensuite fermé les yeux et fait tomber ma culotte sur mes pieds nus et je me suis baissée pour la ramasser et la donner à une gardienne.

J’ai eu l’interdiction de cacher ma poitrine et mon sexe car ils m’ont fait mettre les mains sur la tête et les jambes écartées. Les américains détiennent tout le pouvoir dans la prison, ils nous déshumanisent et dégradent des l’arrivée !

Entièrement nue, ils observent et scrutent mon corps, de la tètes aux orteils. Ils m’avait même mis un doigt dans les fesses et un doigt dans vagin !!!


Ensuite après cette affreuse fouille les américains n’ont amené dans la section ou sont détenues les femmes. Elles étaient nues et exposées 24/24 et 7/7 aux regards des gardes habillés et des autres prisonniers.


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Naked behind bars.


Obligatoirement nue.


Exposée et humiliée.