mardi 27 juin 2023

Le traitement dégradant imposé aux femmes dans la prison.

 

Nudité forcée et honte pour les femmes.
Prisonnière nue attachée aux barreaux de sa cellule.

Des femmes humiliées nues et maltraitées par les gardiens de la prison.


Lors de la seconde guerre du golfe de 2003 à 2011 ou les Etats Unis ont occupé l'Irak, les responsables militaires américains ont autorisé la torture et les mauvais traitements systématiques dans les centre de détention sous leur autorité pour tenter d'obtenir des informations stratégiques.

Toute les personnes arrêtées pour des infractions présumées à la sécurité nationale US p et susceptibles de représenter un intérêt en terme de renseignement sont systématiquement l'objet de mauvais traitements allant d'insultes à des contraintes physiques et psychologiques importantes pouvant être assimilable à de la torture.

Les officiers de la police militaire ont mis au point tout un processus visant à rendre les prisonniers coopératifs et dociles en vue des interrogatoires. Ces procédures implique des techniques de mauvais traitements basées sur les traitements inhumains et dégradants et des humiliations souvent à caractère sexuelles et des punitions sévères afin d'obtenir des aveux.


Dans la prison d'Abou Ghraib, dans un premier temps et ce qui est le plus frappant et spectaculaire c'est que les détenus sont dans 90% des cas gardés totalement nus et sans aucun confort dans leurs cellules de confinement solitaire,  les rares à porter un uniformes sont ceux qui se sont montré coopératifs et ont donner des informations aux interrogateurs.


Les quelques femmes prisonnières n'échappent pas à cette infâme procédure. Lors de l'arrivée d'une prisonnière , les gardiens ont pour consigne de la soumettre à une pression maximale. La plupart sont très conservatrice et pudique de par leurs valeurs culturelles et leurs croyances religieuses et portent des tenues traditionnelles couvrants entièrement le corps de la tête aux pieds.


Les américains utilisent les tabous culturels et religieux comme des moyens de coercition psychologiques, certes déshabiller des prisonniers dans le cadre de fouille de sécurité dans certaines situations peut être acceptable si c'est justifier et réaliser dans un contexte respectant la pudeur et la dignité des personnes privées de liberté. Mais les gardiens ont pour consigne de mettre nus les détenus de la façon la plus humiliante qu'il soit, en public, sans rien pour cacher pas même une serviette ou un paravent.


Les femmes irakiennes qui arrivent voilées de la têtes aux pieds n'échappent pas à ce traitement, les gardes commencent par les humilier à fond en les forçant à enlever leurs vêtements en public, devant des hommes sous des menaces de coups, d'insultes, rires,  moqueries et commentaire dégradants sur leurs corps, la taille et la formes de leurs  seins, leurs sexes lisses ou poilus etc.


La technique de la nudité forcée fait partie du processus de traitement des détenus est appliquée de façon systématique et avec zèle par les gardiens sur ordre de leurs supérieurs, les prisonnières se retrouvent donc complètement nues, sans rien pour couvrir leurs parties les plus intimes. Cette politique vise à forcer les suspects à collaborer et a divulguer des informations en échange de produits hygiéniques, de literie, de la possibilité de s'habiller, la possibilité  de manger une nourriture plus variée etc.


Porter des vêtements n'est pas un droit mais une faveur accordée aux plus coopératifs. Ceci dit les uniformes ne sont délivré qu’aux hommes et rien n’est prévue pour les femmes. Ce qui fait que les américains préfèrent les laisser sans vêtements meme en  cas de coopération…


Un autre traitement en plus de la nudité imposée dénoncée est le fait que les prisonnières sont obligées de marcher et parader nue et pieds nus dans les couloirs et les locaux du centre de détention pour aller dans la salle des douches, aux interrogatoires ou pour les promenades.


Honte et dressage des prisonnières misent à poil.
Humiliation sexuelle des prisonnières exhibées à poil.

Liens :


Camp de prison BDSM.


Le dressage.


10 commentaires:

  1. C'est ce qu'on faisait sous la révolution aux religieuses catholiques pour faire comprendre à ces putes que leurs privilèges étaient terminés.

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  2. Il n'y a pas qu'aux femmes catholiques à qui on faisait ça. Aux femmes protestantes aussi, ça arrivait. Que ce soit dans n'importe quelle religion, les femmes capturées opposées au régime en place, étaient systématiquement déshabillées et exhibées, voire même torturées.
    Milky

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  3. mon ancien copain allait sur votre blog mais je n'avais jamais fait gaffe, je suis surprise une fille peut faire sa coquine quand elle est regardée mais de devoir être nue en permanence est un fantasme d'hommes car passé l'excitation ça devient trop pervers

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    1. Ici les femmes ne sont pas déshabiller pour être excité mais pour les priver de toute liberté, de tout contrôle, de toute dignité.

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  4. Et c'est ce que l'on devrait faire subir aux détenues dans toutes les prisons. Avec droit de visite pour tous les citoyens honnêtes.

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  5. On les forcait aussi à copuler avec des animaux, chien, ane, cheval, porc pour ensuite les punir pour relations zoophiles volontaires

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  6. Cette position employée par les inquisiteurs servait à bastonner le pubis pour obtenir des aveux , en meme temps, ils travaillaient les seins avec des pinces rougies. Une fois le pubis explosé, ils introduisaient une poire d'angoisse dans le vagin et l'anus pour le déchirer. Le travail se faisait souvent à la chaine, les autres prisonnières suspendues nues par les bras assistaient au spectacle avant de prendre la place

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  7. Pour les femmes adultères, la condamnation consistent dans cette position de flageller tout le corps au cable métallique avec entre temps un fist profond du sexe et de l'anus, on s'assure que la femelle offre un spectacle très long en faisant des pauses, les parties déchirées sont passées au sel. Des femmes et des jeunes filles assistent au travail à titre d'exemple. Si la condamnée à des filles, elles seront aux premières loges. On termine par l'ablation des tétons, du clitoris et des lèvres vaginales. Si elle a résisté à toutes les turpitudes, le vagin sera cousu

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    1. Il y a aussi ce que pouvait faire la Mafia. Si un type demande un prêt d'argent à des mafieux et qu'il ne veut pas donner une commission en compensation du prêt, ils envoient directement un de leur mafioso chez le type pour récupérer le pognon.A la maison du type, si sa femme y est seule, le mafioso lui enlève son slip et l'asseoie sur une chaise. Il met un gant de caoutchouc, puis avec de la vaseline, il lui ouvre la fente et lui glisse un couteau dedans. Après il lui dit de bigophoner à son mari pour lui expliquer la situation :s'il n'apportait pas le fric dans une heure, elle serait obligée de se lever et de marcher avec le couteau en elle. Très efficace comme procédé car le mari a apporté le fric.
      Milky 2

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  8. Coupables d'infidélité à la religion, les femmes coupables sont internées et soumises aux saillies continuelles des gardiens avant d'etre livrées dans cette position aux inquisiteurs afin d'etre bastonnées sans limites pour etre exorcisées, le sexe étant particulièrement une cible privilégiée

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