samedi 17 juin 2023

Une gardienne sadique de prison témoigne.

 

Prisonnière nue et dressée par sa gardienne en uniforme.
Une prisonnière nue contrainte de faire du sport par les gardiens.


Cruauté, sadisme, perversion en prison.


L'une des gardiennes de la tristement célèbre prison militaire américaine en Irak durant la seconde guerre du golfe (2003/2011) témoigne devant des enquêteurs officiels  et lève le voile sur le sors réservé à certaines femmes incarcérées dans ce sinistre endroit et sur la question des tortures et des humiliations imposées aux prisonniers sur l'ordre implicite des plus haut dirigeants, du renseignement militaires et de la CIA qui ont intentionnel recruter des gardiens de prisons tordues et pervers et leur ont donner carte blanche pour humilier et maltraiter les captifs.



- Dans un premier temps, pouvez vous vous présentez et nous dire brièvement votre parcours jusque à devenir surveillante générale de la section des femmes du pénitencier militaire de l'armée américaine dans la prison d'Abou Ghraib dans la banlieue de Baghdad ?

Je m'appelle Claire Simpson, et avant d'obtenir ce contrat comme responsables dans cette prison j'ai exercer différente activité dans la police, comme adjointe de sécurité dans un supermarché, et deux ans comme surveillante dans une prison avant d'être licencier pour avoir eu des problèmes avec la justice.



- Votre dossier montre des états de service pas forcément très exemplaire, violence contre des civils, humiliation de détenues, corruption et pots de vins. Votre recrutement dans une prison militaire américaine peut en effet interrogé , pourvoyez vous vous exprimer sur ceci avant d'entrer dans le vif du sujet ?

Les responsables militaires m'ont tout de suite contacter après leur avoir envoyer mon CV, ils m'ont dit que depuis le 11 septembre 2001 les choses avaient changées et que ce que j'ai fais aux USA pouvait etre une très bonne chose à l'étranger et que ça protégera le pays, l'engagement pour beaucoup a été présenter de cette manière.



- Vous voulez dire que c'était une sorte de "rédemption" pour vous et vos collègues ?

Non, mais que le fait de faire ce que nous avons fait était une manière de servir et protéger notre pays pour le rendre plus sur. De traiter les prisonniers de façon durs, de maintenir une discipline de fer, faire régner l'ordre. C'est pour cela que j'ai été recrutée plus pour certaines de mes activités extra professionnelles.


- Pouvez vous précisez ? quelles activités, nous avons du mal à nous suivre.

J'ai eu effectivement des petits problèmes avec la justice pour avoir utiliser mes fonctions de gardiennes de prison pour obtenir des avantages sexuelles de certaines prisonnières et reçu des fonds. Mais pour l'armée c'était un atout d'être une maitresse chanteuse capable d'exploiter des détenues pour assouvir mes envies et m'enrichir, ils m'ont prise directement en me disant de servir la patrie.


- Vous voulez dire qu'ils vous ont recruter pour torturer et maltraiter les détenus irakiens ?

Torturer, non bien sur que non, mais nous devions les conditionner à obéir pour les rendre plus docile et coopératif, c'était les ordres et les consignes qui m'ont  été données lorsque j'ai mis les pieds dans cette prison. 

- Pour le public et l'opinion mondiale c'est effectivement de la torture.

Je n'irais pas jusque là, nous n'avions pas le droit de tuer les prisonniers, ni de les mutiler ou leur faire physiquement mal, là effectivement cela aurait été de la torture, mais nos supérieurs nous ont donner un processus à mettre en place et un comportement spécifique avec la prisonniers pour les faire parler sans avoir recours à de la torture.


- Quel rôle vous ont donner vos supérieurs ? Etait ce des consignes écrites ou orales ?

Notre but était de faire respecter l'ordre et la sécurité du personnel américain, des prisonniers et de faire fonctionner la prison de façon normale et organisée. Et de lutter contre le terrorisme et protéger notre pays des attentats en aidant les services de renseignements à obtenir des informations pouvant sauver des vies.

- Concrètement quel été votre rôle  en tant que responsable des gardiens dans la section ou sont retenues des femmes prisonnières ?

J'étais la responsable du maintient de l'ordre et de la sécurité, et de la bonne coopération des détenus avec les interrogateurs. C'était un travail difficile en coopération avec les policiers militaires qui nous donner les consignes et avec qui nous déterminions les processus de traitement des prisonniers.



- Sur une photo nous pouvons vous voir avec une cravache en train de faire sautiller une prisonnière nue dans les couloirs de la prison, comment justifiez vous ce type d'acte choquants ? Elle a été identifiée comme étant Amal E. 27 ans la soeur d'un responsable en fuite recherché activement par la coalition.
Comment pouvez vous justifier de telles pratiques ?

Les membres du renseignement nous demande de traiter les prisonniers comme pire que des chiens et de leur rendre la vie difficile et désagréable pour les rendre docile pendant les interrogatoires et sauver des vies.


Humiliante fouille nue en public dans la prison.
Fouille à nue et squat pour vérifier les orifices en prison.


- Oui mais pourquoi était elle nue ? qu'avez vous fait de ses vêtements ce jours là ?

Lorsque Amal est arrivée elle a été soumise au processus appliqué aux  "détenus de sécurité" c'est à dire aux personnes soupçonnées de liens avec l'ancien régime, la rébellion, ou de menacer la coalition ou les intérêts américains. Lors de son arrivé nous avions discuter avec les responsables des interrogatoires pour décider que selon son statut, elle devait être gardé nue en permanence et sans aucun confort (literie, dignité) sauf si elle parle et donne des informations importantes.

Lorsqu'elle est arrivée nous l'avons forcer a se déshabiller pour la fouille "strip search" obligatoire, nous lui avons pris ses effets personnels, papiers, bijoux, retirer son voile (hijab), ses vêtements, et ses chaussures comme nous faisons dans tout prison pour s'assurer qu'aucun détenus ne fasse entrer de contrebande, d'armes ou de produits dangereux.



- Mais ces fouilles selon plusieurs témoignages ont lieu en public devant des hommes, et elles se déroulent complètement nue pour les femmes comme pour les hommes. N'est ce pas dégradant ?

Ecoutez, la prison se trouve dans une zone de guerre, avec des personnes potentiellement dangereuses, avec peu de moyens donc nous le pouvons pas exercer notre métier dans les meilleurs conditions, ne pas oubliez le contexte avant de nous blâmer. Et puis ce n'est pas non plus très grave de mettre à poil des gens, il n'y a pas mort d'homme et c'est un pays chaud ...


Quand cette prisonnière là, Amal est arrivée, bien sur qu'on l'a bien inspectée et qu'on à bien regarder avec une lampe torche dans son cul, dans sa chatte, dans sa bouche, dans ses oreilles, sous sa langue, entre ses orteils et elle était clean.



- Ce genre de traitement sont dégradants et s'apparente à des mauvais traitements, et ça ne s'arrête pas là, dans la prison d'Abou Ghraib une bonne partie des détenus étaient nus en permanence comme Amal, c'est très dégradant et vexatoire d'imposer la nudité à des personnes de cultures pudiques et conservatrices, est ce une politique assumée par la police militaire ?


Oui bien sur, en dehors des fouilles qui exigent d'être à poil nous avions garder sans vêtements une bonne partie des prisonniers. Amal aussi comme je vous l'ai dis plus tôt la nudité complète et permanente lui à été imposée et je l'ai mise en oeuvre.

Après je ne vois pas le problème de garder Amal nue, c'est une prison dois je vous rappeler.  Nous ne lui avons rien fait de mal. 
Les supérieurs nous avait demander de bien insister sur le retrait des vêtements et de jouer sur les peurs et les tabous culturels et religieux des personnes emprisonnées.



- Vous voulez dire que la nudité était une méthode à part entière et une pratique ordonnée et admise par la hiérarchie ?


Oui, bien sur. D'une part nous sommes la pour dominer et montrer  la supériorité des américains sur leurs ennemis et imposer nos règles que ça plaise ou non. Amal était nue ? oui et je ne vois pas le mal, L'humiliation doit faire partie de la punition et c'est très efficace pour faire parler les suspects lors des interrogatoires.


Oui bon elle a pleurer et n'était pas contente d'être dénudée, mais la nudité est dans ce type de situation est pleinement justifiée. 


Les irakiennes comme elle, moi je les met  à poil, Amal je l'avais dressée et soumise et je lui avais appris l'humilité. Je lui avais fait enlever tout ses vêtements et son voile en bafouant ses sentiments religieux et culturelles, j'ai fait en sorte que sa chatte et son anus soient exposés le plus possible dans des positions indécentes  pour le divertissement du staff. 

Les agents du renseignement m'avaient plusieurs fois demander de "dresser" les femmes comme elle, pour en faire des exemples. Voila ici c'est les règles américaines, pas d'accoutrement exotique, les femmes ultra couverte on n'accepte pas , nous les découvrons, avec les collègues nous sous amusions bien à les rabaisser et les vexer et les faire se promener toutes nues alors que 5 minutes avants elles étaient toutes habillées avec l'interdiction de porter des vêtements !




J'ai aussi obliger Amal a se présenter nue devant d'autre prisonniers a écarter ses fesses pour bien qu'on puisse voir l'intérieur de son cul. J'ai fait ça pour son bien et lui permettre de révéler la vrai salope lesbienne soumise qui est en elle.


D'autre fois pour la punir je l'obligeait a rester sur un pieds en équilibre et les mains sur la tête et gare à elle sur elle pose l'autre pieds !


J'aime aussi lui faire lécher mes bottes, faire d'elle une vraie chienne

Humiliation et léchage de botte en prison.
Humiliation : une femme nue lèche les bottes de sa gardiennes de prison.



J'aime bien aussi l'obliger à s'auto lécher ses plantes de pieds sales et ses orteils devant tout le monde en rigolant lui faire perdre toute dignité !



- Mais c'est horrible ceux sont des mauvais traitements et limite de la torture que de faire ça !


C'est pour son bien et pour le notre, nous lions l'utile à l'agréable. J'aime  dresser et  punir les prisonnières pour un oui ou pour un non.



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50 commentaires:

  1. Le pire sont celles qui gardent les prisonnières chrétiennes dans les camps des dictatures..

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  2. Quel beau témoignage. Il reflète ce que toutes les prisons devraient être.

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  3. comme sa doit être cho d'etre nue en permanence et devant des gens habillés c'est pire

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    1. Je comprend que ça doit être gênant quand tu es nue devant des gens habillés. Mais dis-toi bien que c'est comme lorsque tu vas chez le gynéco, tu es bien toute nue et lui habillé.Je sais, tu vas me dire ce n'est pas pareil. Pourtant, il te voit complètement nue, il t'introduit un spéculum, puis te met 2 doigts dans le vagin. Et il te touche aussi les seins. C'est peut-être médical, mais c'est aussi assez gênant pour la femme.
      Milky

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  4. Il y a aussi parfois des femmes qui sont utilisées pour faire parler leur mari. A l'interrogatoire du suspect, la femme est amenée devant son mari, et là, elle est déshabillée devant lui, mise complètement nue et tripotée. Les seins, les fesses et surtout la chatte sont touchés par un interrogateur homme, qui lui donne aussi une bonne fessée. C'est un impact psychologique quand le mari voit sa femme mise toute nue, tripotée, fessée et torturée devant lui.
    Milky

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  5. La nudite forcée en présence de personnes habillée, pour l'avoir vécue, est d'autant plus humiliante quand il y a commentaires et attouchements. De même la fessee, si excitante quand elle est consentie, et extrêmement avilissante quand elle est contrainte.
    Je crois effectivement Milky que la pratique que tu décris doit être autant efficace qu'excitante pour les bourreaux..
    Nelly

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    1. Tu as vécu la nudité forcé, si je me rappelle bien Nelly ?C'est toi qui t'ai déshabillée ou on t'a déshabillée ?Surtout qu'après, une bizuteuse t'a passée la chatte au bleu de méthylène. Terrible humiliation.
      Milky

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    2. Milky.. lors de mon bizutage, j'ai obéis sans discuter et me suis mise nue moi même..
      Celles qui ont protesté ont été déshabiller de force. J'ai moi même eu l'occasion de mettre à poil des bizutes récalcitrantes les années suivantes. Les mise à poil forcées se terminait par une humiliante fessée

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    3. J'ai eu la chatte rasée lors d' un bizutage en médecine. Toutes les bizutes, près de 400 , y sont passées. On a du faire la queue depuis le haut de l'amphi pour se faire raser la chatte par les bizuteuses sur l' estrade.
      Elodie

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    4. Et vous attendiez nu, je pense sous les quolibets du comité de bizutage?

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    5. Élodie, il n'y a pas eu autre chose après que vous vous êtes faites raser la chatte ?Comme par exemple la passer avec un produit quelconque ?
      Milky

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    6. Tout les bizuts,garçons et filles, nous avons du nous déshabiller entièrement dans l' amphi ,à nos places. Nous étions près de 800 à nous dévêtir entièrement sous la menace et les injures des bizuteurs armés de battes de base-ball. Mon copain s'est déshabillé à côté de moi. Une fois tout le monde à poil les filles ont eu l'ordre de se regrouper en haut de l'amphi. Les bizuteurs ont précisé " uniquement les filles pas épilées ..
      Elodie

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    7. Et toi Élodie, est-ce que tu étais rasée ou pas ?
      Milky

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    8. Non. Je n'étais pas épilée à l'époque.. j'ai du faire la queue pour passer au rasage. Sous les rires et les injures des bizuteurs.
      Elodie

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    9. Les bizuteurs, garçons et filles, circulaient dans l'amphi armés de battes de base-ball. Les bizuteuses reperaient les nanas pas épilées et les obligeaient à se regrouper en haut de l'amphi. Les mecs, nus eux aussi, devaient rester immobiles les mains posées sur la tête en attendant la suite.
      Elodie

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    10. Et après le rasage de ton sexe, tu as eue droit à quoi Élodie ?
      Milky

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    11. Je suis passée au test de virginité, comme toutes les filles non épilées. Après le rasage de la chatte j'ai du monter sur l'estrade et m' allonger nue sur le bureau du prof. Là une bizuteuse appelée la "sage- femme " m'a mis un doigt dans le vagin pour vérifier si j'étais vierge.
      Elodie

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    12. Dans l'amphi il y avait deux bizutes très particulières dont la présence embrassait les bizuteurs, deux religieuses catholiques. Elles étaient jeunes, pratiquement du même âge que les autres étudiants.
      De nombreux prêtres et religieux sont également médecins ou infirmiers et s' occupent des plus démunis dans le tiers monde ou même en France.
      Les deux religieuses restaient sans bouger alors que l'ensemble des autres bizuts commençaient à se déshabiller.
      Les bizuteurs étaient salement embêtés par la situation..
      Elodie

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  6. En prison, les femmes devraient rester nue tout le temps de la détention. Elles seraient à poil dans leur cellule, lors de la promenade été comme hiver, etc... Les gardiens et gardiennes pourraient aller les tripoter dans les cellules, leur pincer les têtons, les fesser . Elles devraient obligatoirement prendre la pilule afin que les matons profitent d'elles à bitte nue. Lorsqu'elles seraient libérées, elles fileraient droit et n'auraient pas envie d'y retourner
    JC

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    1. Ces putes doivent être mises à la disposition des honnêtes citoyens.

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    2. Pourquoi pas, transformer les prisons pour femmes en bordel et les honnêtes citoyens viendraient s'offrir gratuitement ces truies et éventuellement pourraient continuer après la remise en liberté.
      JC

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  7. Nelly, si je me rappelle bien, tu as mise à poil une bizute récalcitrante l'année d'après en lui passant sa chatte au bleu de méthylène. C'est d'ailleurs devenu ton amie après. Mais je pense que tu ne l'as pas fait qu'à elle, je me trompe ?
    Milky

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  8. Milky, c'est vrai durant les 3 années où j'ai été dans le camp des bizuteuses, il y avait au moins 1 nouvelle sur 5 qui refusait d'obéir. Du coup, beaucoup plus humiliant pour elle.. déshabillage forcé, fessées sur les fesses nues et devant toutes les personnes présentes gages supplémentaires, marquage au feutre indélébile rn plus du bleu de methylene qui identifiant les nouvelles. Objets dans le vagin et l'anus... aujourd'hui il y aurait de quoi se faire incarcérer pour viol mais il y a prescription
    Nelly

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    1. C'est vrai Nelly, qu'aujourd'hui il y a prescription. Mais avoue quand même que c'était assez excitant de déshabiller une nana,en plus de lui badigeonner la chatte au bleu de méthylène, ou au cirage, dentifrice,etc...Mais c'était une tradition que beaucoup ne comprendrait pas aujourd'hui. Idem pour les employeurs, qui n'hésitaient pas à déculotter une secrétaire ou autre employée fautive, pour lui donner une bonne fessée cul nu, ensuite lui touchait la chatte, tout ça dans son bureau. Mais tout ceci était une autre époque.
      Milky

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    2. Aucune bizute ne pouvait y échapper, elles étaient extraites des amphis, de leur résidence et parquées dans des salles de TD avant d'être ramenées dans l'amphi pour la mise à poil consentie ou forcée puis promenées nues sur le campus dans l'indifférence générale du personnel enseignant ou administratif qui en profitait pour se rincer l'oeil et rire de l'infortune des bizutées hard (mise à nu forcée, chatte ostensiblement cirée...
      JC).
      JC

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    3. C'est vrai JC que le personnel enseignant ou administratif laissait faire et se rincer aussi l'œil, surtout quand ils voyaient des nanas complètement nues et avec la chatte bien cirée, ça les faisait sourire. Le personnel enseignant, ça devait leur faire bizarre, quand il revoyait ces nanas à leur cours, en repensant les avoir vu entièrement nues. Qu'est-ce qu'il devait se dire entre eux ?Une fois, une fille qui avait fait ses études en même temps que moi, m'avait raconté qu'un prof lui avait demandé ce que ça faisait d'être toute nue devant tout le monde et d'avoir son sexe ciré ?Si ça brûlait un peu les lèvres de son sexe ?Elle lui avait répondu, oui un peu et c'est long à faire partir, et était partie. Elle savait que le prof l'avait vue à poil et sa chatte cirée.
      Milky

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  9. A mon époque ce n'était déjà plus possible de mettre à poil dans l'amphi. C'était déjà le début de la fin. Du coup on le faisait au foyer, et la nuit. Les nouvelle réveillées par surprise dans leur chambre avec la complicité du gardien qui nous fournissait un pass. Puis descente au sous dol, grande salle de sport et de détente ou on leur tout était permis.
    Pour les parade à l'université et dans les rues, c'était plus soft, habillées avec des sacs poubelles et grimees.. assez humiliant tout de même.
    Nelly

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    1. Pourtant c'était en 1981 d'après ce que tu m'as dit, et là ce n'était pas interdit, Nelly. A moins que ton pseudo soit usurpé comme pour moi.
      Milky

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    2. Le bizutage n'était pas interdit mais la mise à poil dans les locaux de formation si. En tout cas à Nancy..
      C'était hypocrite dans la mesure où tout le monde savait que cela se passait ailleurs.

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    3. C'est possible, je ne sais pas tout. Mais le principal était que les bizutes soient mises à poil et sans ménagement par le comité de bizutage si elles étaient récalcitrantes, quelqu'en soit l'endroit.
      JC

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  10. Je pense que s'il y a une chose très excitante pour les bourreaux, c'est quand ils déshabillent une femme devant son mari. C'est très efficace pour qu'il parle. Voir sa femme déshabillée devant lui petit à petit, mais qui au final, finira d'être mise complètement nue, avec des commentaires assez salaces tout en regardant le mari pendant qu'elle est déshabillée. Et qu'ils continueront à la tripoter, toujours en le regardant. En principe, c'est là que le mari craque, et se met à parler. A moins que...
    Milky

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    1. Un bourreau par nature n'a pas de sentiments et il exécute scrupuleusement les ordres. Il est insensible aux demandes de pitié.
      JC

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    2. C'est exact. Un bourreau excécute tous les ordres quels qu'ils soient. S'il doit mettre une femme à poil devant son mari, il le fait, sans aucun état d'âme. Il peut aussi la tripoter, la fesser, et lui introduire toutes sortes d'objets dans son vagin. Si elle a du poil à la chatte, lui griller les poils à la flamme d'un chalumeau, ou l'asseoir directement sur un réchaud à gaz. Enfin, plein d'autres turpitudes que le bourreau utilisera, selon son degré de sadisme du moment.
      Milky

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    3. Toi Milky, qu' aurais tu fais des religieuses catholiques si tu avais été bizuteur à la fac de médecine cette année là ?
      Elodie

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    4. Élodie Là, ça aurait été des religieuses catholiques, je ne les aurais pas touché. Premièrement parce que ce sont des religieuses, et que ce sont des femmes d'églises, ce ne sont pas des terroristes, enfin c'est ce que je pense.
      Milky

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    5. Les bizuteurs sont allés parler avec les deux religieuses, calmement et sans agressivité . Je n'ai pas tout entendu mais ils leur ont proposé de quitter l'amphi.
      Les deux sœurs ont déclinées l'offre et ont préférées rester par solidarité avec les autres étudiants.
      Les deux religieuses étaient effroyablement gênées ,comme la plupart des autres bizuts, de devoir se déshabiller en public mais elles se sont mises toutes nues comme tout le monde.
      Elles ont refusées un passe-droit lié à leur appartenance religieuses pour se mettre au même niveau que les autres.
      Je trouve que c'est quelque chose de très beau, une décision courageuse conforme à l'exigence chrétienne de fraternité et de solidarité.
      Ces sœurs se destinaient à la médecine au service des plus démunis, en se mettant toutes nues avec les autres bizuts elles ont respectées l'exigence religieuses de se faire pauvres avec les pauvres.
      Même certains bizuteurs étaient touchés.
      Qu'en penses-tu Milky ?

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    6. Dans ce contexte-là, ça peut se comprendre. C'est bien de la part de ces religieuses de s'être mises nues comme les autres. Je pense qu'après ça, les bizuteurs n'ont pas dû pousser plus loin le bizutage.
      Milky

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    7. Les deux religieuses ont acceptées la tonte de leur pubis mais ont été exemptées de la suite du bizutage, notamment du test de virginité qui suivait le rasage.
      Elodie

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    8. Et c'était quoi la suite du bizutage ?
      Milky

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    9. Je pense que pour la tonte du pubis des deux sœurs religieuses, ce doit être des filles bizuteuses qui ont dû le faire, mais je peux me tromper. Heureusement qu'elles n'ont pas connues la suite du bizutage, ou comme ce que j'ai connu, de mon époque, après le rasage de la chatte, ensuite c'était le passage au cirage.
      Milky

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    10. Ce furent les filles bizuteuses qui raserent le pubis des deux religieuses, qui echaperent en revanche au test de virginité imposé aux filles rasées. J'ai eu droit à ce test. J'ai du, qucomme les autres bizutes m'allonger nue sur le bureau du prof tandis qu'une fille de seconde année me mettait un doigt dans le vagin pour voir si j'étais vierge. Le résultat fut proclamé à haute voix ..

      Elodie

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    11. Après le test de virginité les bizutes étaient classées en deux catégories, putes et pucelles..
      Après cela les garçons étaient eux aussi examinés ..
      Tu devines la suite du bizutage Milky ?.
      Elodie

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    12. J'ai une petite idée de la suite, Élodie. Il a dû y avoir accouplement entre bizutes et bizuts, bien sûr les pucelles et les puceaux mélangés. Je me trompe ?
      Milky

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    13. En effet Milky. Il y a eu un accouplement géant dans l'amphi entre puceaux et pucelles . Plus de 200 couples qui couchent en même temps. La scène était dantesque. Tu imagines ?
      Elodie

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    14. Dis-moi Élodie, ton copain de l'époque, quand tu as été bizutée et que tu t'es retrouvée toute nue, ça a dû gêner ton copain que tous les autres voient ton corps ?
      Milky 2

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    15. On nous a obligé à nous accoupler sur l' estrade avec d'autres couples d'étudiants préexistants..
      Elodie

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    16. Et après vous êtes accouplés sur l'estrade,ils vous ont obligés à autre chose ?
      Milky 2

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  11. Les demandes de pitié sont bon signes, cela signifie que les aveux sont proches.. elles encouragent donc à poursuivre la torture.

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