dimanche 30 juillet 2023

Le traitement et la procédure d'incarcération des femmes en prison.

La nudité forcée fait partie du processus.
Une prisonnière nue fouillée par sa gardienne en uniforme.

Note officielle du département d'Etat à la défense concernant les procédures à appliquer aux femmes détenues dans les prisons américaines en Irak (Abou Ghraib).

Règles et consignes applicables aux détenues de sexe féminin arrêtées et emprisonnées dans la prison d'Abou Ghraib et les autres centres de détention des forces américaine en Irak en 2004.

Objectif du règlement : Assurer la sécurité  et protection du personnel militaire et civil américain et des prisonnières dans les prisons et centre de détention, et prévenir tous abus es suite au scandale révélé dans la presse suite aux sévices imposées aux prisonniers irakiens.

1 - Toutes les femmes âgées de 18 ans jusqu'à 65 ans arrêtée par l'armée américaine ou ses auxiliaire sont concernées. Y sont inclus les irakiennes,  étrangères, et les américaines. 

2 - Sous réserve de leur état de santé satisfaisant, toutes les détenues seront soumises aux règles suivantes pour assurer leur bien être et sécurité. Les blessées, malades etc. sont exclue du champ d'application de cette note.

3 - Les forces armées ont le droit d'utiliser la force et la contrainte physique pour faire respecter les règles après avertissement et sommation. Les consignes doivent être données en anglais et en arabe, et si possible mais sans obligation dans la langue de la prisonnière si elle ne maitrise aucune des deux langues citées.

4 - Lors de toute arrestation, le prisonnière doit toujours être menottée aux poignet et aux chevilles.Une cagoule aussi doit être placée sur la tête de la captive. Un bâillon bouche peut aussi être utilisé si c'est estimé nécessaire.

5 - La détenue doit être fouillée par palpation dans un premier temps avant d'être transportée sur son lieu de détention.

6 - Sur place, la détenue doit être prise en charge administrativement, son identité vérifiée, ses empreintes digitales doivent être relevées ainsi que de sa salive et un cheveux. Des photos de son visage de face et de profil doivent être réalisées pour compléter le dossier. Les photographies doivent être prise tête nue, tout couvre chef même religieux doit être enlevés.

7 - La prisonnière doit ensuite être conduite dans la salle d'examen/fouille. De préférence plusieurs gardiens doivent être présent, les surveillants doivent être des hommes et des femmes. Pour limiter tout risque d'abus par une gardienne lesbienne, un surveillant homme doit assister à la fouille. De plus selon la jurisprudence américaine, interdire l'accès des gardes de sexe masculin aux salles de fouilles constitue une atteinte au droit du travail et de la discrimination sexiste. Si possible la présence d'un médecin est souhaité.

8 - Les portes de la salle de fouille doivent toujours restées ouverte par transparence et pour prévenir d'éventuelle abus.

9 - La prisonnière doit remettre tout ses objets et effets personnels montres, bijoux, boucles d'oreilles, épingles à cheveux, bagues, alliances, colliers, argent liquide etc. qui sont inventoriés et scellés.

10 - La détenue doit se déshabiller et enlever tous ses vêtements. L'ordre lui sera donner deux fois, avant l'utilisation de la force. En cas de résistance les gardiens doivent de préférence découper les vêtements de la prisonnière.

11 - Une fois entièrement nue, les gardes ne doivent veiller à ne  surtout jamais laisser le moindre vêtements à la prisonnières, pas même ses chaussures, ses bas ou chaussettes.

12 - Une fouille et inspection minutieuse doit être pratiquée, les gardes doivent vérifier toutes les zones de la peau et toutes les cavités : voies nasales, oreilles, bouche, sous les seins, l'anus, le vagin, la vulve, sous les aisselles, entre les doigts de pieds ...

13 - Dans la mesure du possible et si un médecin est disponible, la détenue doit être brièvement examinée pour savoir si son état de santé est compatible avec sa détention. Un test de virginité sera également pratiqué pour prévenir toute potentiel accusation de viols ou d'abus. La taille et le poids de la détenues seront ajouter à son dossier, ainsi que son statut sexuelle (vierge ou pas), et l'état de sa vulve et de son anus.

14 - Si la vulve est trop poilue, elle sera rasée pour des raisons d'hygiène et de sécurité, ainsi que pour promouvoir les valeurs de la  civilisation occidentale et démocratique.


15- Le Mugshot :  La prisonnière doit être photographiée nue, de face, de profil, par derrière en prise large. Tout tatouage, marques spécifique ou cicatrices doit aussi être répertorié en image et ajouter au dossier.

16 - La détenue doit être escortée nue jusque dans sa cellule. La cellule doit être vide dans un premier temps sans aucun confort.

17 - Les objets de conforts : Matelas, trousse de toilette, bonne nourriture, livres, permis de sortie etc.) peuvent être donner à la prisonnière qu'en échange de sa pleine coopération dans la vie quotidienne et pendant les interrogatoires. Ils ne sont pas un droit, mais une récompense.

18 - L'habillement, les vêtements : S'habiller n'est pas un droit, la procédure standard prévoit que les prisonnières doivent être nue en permanence en détention. Cependant, en cas de coopération, et sur demande officiel d'un interrogateur ou d'un responsable, une détenue peut recevoir des vêtements en récompense de sa collaboration.

19 - Les vêtements sont remis sous condition, et l'autorisation de s'habiller et révocable à tout instant sans justification. 

20 - Seul les tenues de prisonnières officielles peuvent être remises aux détenues : Une robe courte orange qui descend au niveau des fesses, une petite culotte et une paire de tongs en plastique. L'uniforme doit être entretenu et maintenu propre. 

Une femme prisonnière contrainte de porter l'uniforme orange (Jumsuit).
Une femme prisonnière en uniforme orange comme a Guantanao Bay


21 - Les soutien gorge, chaussettes sont strictement interdit et considéré comme de la contrebande. 


22 - Hygiène : Les douches sont obligatoires et  femmes autorisées à porter un uniforme doivent se mettre nue avant de prendre une douche collective avec les autres détenues. Les détenues doivent rester propres. les vulves doivent être rasée ou modérément poilues.


23 - Les femmes doivent être correctement nourries, recevoir des portions équilibrés, et en conformité avec leurs exigence diététique (sans gluten,, prévention du diabète) et religieuses (viande halal). 


24 - Les activités religieuses sont autorisés dans la mesure du règlement. Une littérature religieuse est accessible. Le droit à prier est reconnu, les gardes ne doivent pas déranger les détenues pendant leur recueillement.


25 - Les vêtements religieux et traditionnels sont strictement interdit dans l'aile réservée aux femmes. Aucune distinction entre les femmes ne doit être permises sur des bases ethniques ou religieuses ou du statut social. Les seules distinctions vestimentaires doivent être basée sur l'obéissance et la coopération. Ainsi donc les voiles (hijab), longue robe, croix etc. sont strictement prohibés. Les prières doivent donc se faire nue.

26 - Egalité religieuse, sociale et culturelle : Les prisonnières n'ont pas a se soucier de leur apparence, elles ont toutes deux seins, des fesses un anus, un vagin, des cheveux et des pieds et que tout ça doit être montrés. Elles vivent nues et doivent circuler ainsi dans la section qui leur est réservée. Toute manifestation de pudeur est interdite.



27 - Les fouilles des cavités doivent être très régulièrement pratiquées. Plusieurs fois par jours avec l'introduction d'un doigt ganté et lubrifié dans l'anus et le vagin. Les fesses des prisonnières doivent être bien écartées si une table ou un mur est disponible la détenue doit se pencher pour l'examen rectal. En l'absence de meuble la captive doit bien écarter les jambes et toucher ses orteils.

La nudité et les fouilles des cavités anales et vaginales sont au coeur de la politique de sécurité de la prison.
Fouille rectale et vaginale d'une prisonnière nue par sa gardienne.

28 - Les gardiens dans l'optique de prévenir tout abus sexuels potentiels doivent prêter attentions aux vulves, vagin et anus des détenues et procéder en plus des fouilles a des examens en vue de détecter toutes traces de violences sexuelles, de contusions ou d'autre et d'en faire un rapport.

29 - Les visites du Comité International de la Croix/Croissant Rouge, des responsable juridique, d'avocats et des enquêteurs du département d'Etat : Les détenues doivent êtres escortées bâillonnées et enchainées, et porter une tenue de prisonnière officielle lors des entretiens. Cette tenue doit être retirer dès le retour en cellule pour les détenues qui n'ont pas le droit de se vêtir.

30 - Les visites de proches ne sont pas un droit, et dépendent du degré de coopération de la prisonnière. Des vêtements peuvent être fournie exclusivement à cette effet, y compris des vêtements à caractère religieux comme des abayas et foulards si la visite est hors de la section. Ceci dit aucun soutien gorge ne doit être remis à la détenue, ni même des chaussures fermées ou des chaussettes. Et les vêtements doivent être directement retirer en retournant en cellule.

31 - Le suivi médical : Chaque détenue est soumise mensuellement à un examen médical. L'infirmerie étant de l'autre côté du complexe pénitentiaire. Les détenues se voient remettre un uniforme pour s'y rendre. Ceci dit, la visite médicale se déroulant toujours nue, l'uniforme et les tongs doivent être retirer en entrant dans le centre de santé.

32 - La visite médicale comporte : un examen clinique, une prise de mensurations, un bref entretien sur l'état psychologique, un examen gynécologique. Le médecin doit être un homme.

33 - Une semaine avant la date de libération, les prisonnières sortent de la section spéciale et doivent se rendre dans des tentes pour terminer leur séjour. Leurs vêtements s'ils n'ont pas été détruit leur sont remis à ce moment là. Lorsque les habits ont été détruits, les autorités américaines achètent des vêtements arabes basiques et un voile sur le marché locale à remettre aux prisonnières. 


Fin.



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Séquestré et humilié à poil dans les caves de la cité

Dressage et humiliations par des racailles de cité.
Jeune mec à poil séquestré par des racailles dans une cave de cité.

 Jeune homme nu entre les mains des racailles dans les caves de la cité.



Mathias a été kidnappé et séquestré pendant 48 heures par les jeunes d'une cité de banlieue parisienne suite à une embrouille liées au trafic de cannabis et stupéfiants.

Il a été retrouvé tout nu dans une cité, ligoté , enchainé et bâillonné.

Alors qu'il rentrait chez lui comme d'habitude après sa journée de travail, Mathias a été victime d'un véritable piège par une bande criminelle très bien organisée. Le jeune homme a été ceinturer, attaché et jeté de force dans un fourgon avec un sac sur la tête, direction une tristement célèbre cité d'Ile de France.

Sur place, son calvaire commence, Mathias est forcer de se déshabiller complètement par les membres de l bande qui hurle "A poil" et lui donne des baffes et le menace. Le jeune doit même ôter son slip et ses chaussettes. Pieds nus, la bite, les couilles et les fesses à l'air, son égo en prend un coup. 

Les mecs l'oblige a sautiller à poil et se marre en regardant sa bite monter et descendre, ou ils lui font écarter les fesses le plus largement possible en lui taillant l'anus.

Forcer de marcher comme un chien à quatre pattes dans la cité jusque a une sale et lugubre cave située en sous sol sous les insultes et les jets de détritus, de légume, il est ensuite enchainé et ligoté, bâillonné.


Les jeunes racailles s'amusent à l'asperger d'eau froide, de lui pisser dessus, de le faire ramper nu comme un ver de terre dans la pisse mélanger à la bière.


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dimanche 23 juillet 2023

Des gardiens humilient une femme en prison.

Une femme mise à poil et dressée par les gardiens de prison.
Une femme est constamment humiliée et dégradée en prison.

Une femme se fait humilier et déshabiller par les gardiens.


 

Dans la prison irakienne d'Abou Ghraib sous le contrôle de l'armée américaine en 2004, les gardiens ont reçu carte blanche de la part de leurs supérieurs pour humilier et maltraiter les détenus dans le but de des rendre coopératifs et de les ramollir pour les interrogatoires. Et pour cela presque tout les moyens sont bons. Beaucoup d'images, de témoignages et de vidéos circulent sur les prisonniers hommes, mais les femmes détenues ne sont pas épargnées par les outrages.


Sara,  avant de se retrouver à poil à écarter les fesses sous les rires des américains n'a jamais imaginer que les américains pratiquaient la torture ni prêter attention aux rumeurs de mauvais traitements. Elle, qui a 27 ans et qui est de formation ingénieur en génie électronique, issue d'une famille conservatrice et bourgeoise, avec un père médecin et d'une mère professeur,  pas forcément hostile aux Etats Unis, s'est faite arrêtée sur de vague soupçons de liens avec l'ancien régime et ensuite incarcérée dans la sinistre prison.


Elle est  une fervente croyante musulmane, très religieuse, porte un grand voile et une robe traditionnel qui lui couvre le corps de la tête aux pieds. Les gardiens sur recommandation des responsables de la CIA et du renseignement militaire ont pour consigne d'utiliser la nudité pour humilier et avilir les prisonniers en utilisant  toutes les craintes, phobies et tabous culturels et religieux. 


Les gardes lui ont pris sa montre, ses bijoux, ses boucles d'oreilles et tous ses effets personnelles puis l'ont forcer à se mettre toute nue devant tout le monde. La jeune femme est très pudique, les gardiens le savent et l'utilise pour mieux l'humilier.


Dans les couloirs de la prison, elle est forcée de  rester debout les mains sur la tête et de s'exposer et de tout montrer, ses fesses sont à l'air visible par tous, sans culotte pour cacher sa chatte et son anus.


Comme pour les autres détenues, cette exhibition forcée et publique est un choc, les américains lui interdise toute intimité toute dignité, ici aucun respect pour ses convictions religieuses et sa pudeur, c'est à poil qu'il faut être !


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Humiliations sexuelles et tortures nues.


vendredi 21 juillet 2023

Le traitement et les interrogatoires des prisonnières.

La procédure humiliante imposée aux femmes dans cette prison.
Une prisonnière nue et enchainée.


L'unité ou sont détenues les femmes prisonnières d'Abou Ghraib en Irak.


Les femmes arrêtées par les troupes d'occupation et qui considérées comme étant des détenues de haute valeur ou "De sécurité" dans la terminologie officielle américain sont en général transportées dans l'unité de la prison d'Abou Ghraib prés de Baghdad. Ces femmes peuvent être des scientifiques, des professeurs, des anciennes responsables du parti au pouvoir ou de l'ancien régime, des femmes suspectées de financer ou soutenir la rébellion, ou simplement les filles, épouses, cousines etc. d'un homme activement recherché par la coalition et elles servent de moyen de pression et  sont utilisées pour faire du chantage sur les rebelles et les inciter a se rendre.

Les méthodes  les plus répandues et utilisées par les américains en vue des interrogatoires renforcés des détenues (Enhanced Interrogation) pour extraire des informations sont énumérées ci dessous : 

- Nudité : Les femmes sont traitées comme les hommes et sont interrogées et gardées entièrement nues.  Les responsables des interrogatoire estiment qu'il faut utiliser les tabous culturels et religieux ne pas faire d'exception pour les femmes. La grande majorité des prisonnières sont  musulmanes conservatrice avec des habitudes traditionaliste et portent le voile (hijab) et des robes larges et amples en signe de respect pour leur culture qui demande aux femmes d'être pudiques et modestes. La plupart sont très choquées lorsqu'elles doivent se mettent nue et ont l'interdiction de porter des vêtements.

- Confinement et pression mentale : Elles sont souvent entravée et retenues dans de petites cellules vides et  sombres, sans  le moindre confort, sans literie, et bien sur sans vêtements. Il est à noter que pour inviter les prisonnières à coopérer pleinement, , les interrogateurs proposent d'accorder du confort aux prisonnières : comme être autorisée a s'habiller, dormir sur matelas,  avoir meilleur nourriture, accéder à la lecture, obtenir le droit de sortir plus souvent, de cellule, faire diverses activités, ne plus avoir de chaines ou de menottes etc., En échange d'une coopération , c'est a dire avant tout donner des informations et obéir docilement. Ce chantage est au coeur du processus de coercition physique et psychologique.

- Fouille : De plus les fouilles et inspections corporels sont très fréquentes, et les hommes peuvent fouiller les femmes au mépris des conventions de Genève. Les femmes sont soumises a des fouilles vaginale et rectale très strictes et très souvent selon le degré de vigilance décidé par la direction. L'une des prisonnière s'est plainte au CICR de subir plus de 6 inspections de ses  cavités intimes par jours par un gardien homme, qui lui insère ses doigts dans les fesses à chaque fois.

- Humiliations : Obligation de marcher nue en dehors des cellules, pour se rendre aux interrogatoires, aux douches, aux visites médicales, dans la cours de promenade. Certaines même disent être forcées de travailler nue. Ces exhibitions se déroulent devant les gardiens mais aussi devant les autres prisonniers, avec par exemple le témoignage d'une ancienne détenue qui nous informe que les femmes doivent à tours de rôle distribuer les repas dans le secteur des hommes, totalement nues et pieds nus.

Debout et nue en attente de l'interrogatoire.
Photo d'une prisonnière nue devant un garde.



- Prise de photos et de vidéos : Les prisonnières sont photographiées nues dans des positions obscènes avec souvent des graffitis insultants et a connotation sexuel sur le corps. Les gardiens menacent régulièrement les femmes d'envoyer les images compromettantes à leurs familles, ce chantage met une grande pression sur les prisonnières. Les photographies sont aussi diffusés et échanger régulièrement entre gardiens, elles auraient une valeur marchande. 

Chantage: les prisonnières prisent nues en photo dans les postures dégradantes et menace de diffusion des photos à leurs familles.
Une prisonnière photographiées nue dans une position obscène.



Stress position : Elles sont régulièrement obligées de rester dans des positions difficile, pendant plusieurs heures. Comme par exemple rester les mains sur la tête, ou accroupi sur de longue période.


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dimanche 16 juillet 2023

La visite médicale de Lamia

 

Médecine préventive et nudité lors de l'examen.
Pas de place pour la pudeur lors de la visite médicale.

Témoignage de visite médicale en centre universitaire.


Bonjour, je me prénomme Léo, et l'histoire que je vais vous raconter date de  septembre o octobre 2009 je ne sais plus exactement mais c'était en début d'année, durant la période de rentrer  en master d'économie dans une grande université parisienne. J'avais 21 ans,  nous avions été sélectionnés sur dossier et les débouchés et opportunités après ce diplôme sont très intéressants.


Nous étions tous convoquer au centre médicale du  principal campus universitaire en début d'année, le problème c'est que c'est loin de notre Fac, alors j'ai raté la première visite. Il y avait une autre étudiante dans le même cas que moi, Lamia, 21 ans aussi. Je ne l'a connaissait pas encore, elle n'avait pas de voiture donc comme je venais d'avoir mon permis, je lui ai proposer de l'amener , et elle a accepter.


Lamia est d'origine arabe et espagnole, elle est musulmane pratiquante et porte le voile hijab depuis l'âge de 17 ans. C'est une fille élancée, intelligente et souriante très sympa. Elle était  plutôt longiligne, bien vêtue avec un joli voile rouge et une belle robe traditionnelle.


Une fois arrivé, nous avions été accueillis par une infirmière d'une quarantaine d'année, blonde, assez grande, elle s'appelait Thérèse Maier. Dans la salle d'attente, elle nous avait donner des fichiers à remplir , les habituels questionnaires médicaux puis demander d'attendre.


Ensuite l'infirmière nous avait dirigé vers deux cabine cote à cote pour nous déshabiller. Lamia et moi ne nous prenions pas trop la tête. Elle m'avait dit "Tu pense que c'est comme au lycée ou lors de la visite médicale de 1 er année de licence ?" je lui avais répondu "Oui, je sais pas pour toi, mais moi je retirer juste ma veste et mes chaussures." Lamia m'avait répondu "Ok je vais faire pareil, puis en rigolant et disait "Ils vont pas nous faire attendre à poil quand même !".


Je dois l'admettre que ma bite commençait à durcir.


Ensuite l'infirmière est entrée dans la cabine de Lamia pour lui demander de la suivre, "Nous allons commencer l'examen, je vais d'abord vous mesurer et vous peser ..."


Ensuite j'ai pas bien pu entendre ce qui s'était dit, mais Lamia n'avait pas l'air contente du tout en disant "Je suis déjà suivi pour ça Madame", et la dame en uniforme de lui répondre "C'est un examen de routine demandé par le ministère de l'éducation supérieur".


Après je n'arrivais plus a distinguer leur discussion, mais ça prenait du temps, j'avais l'impression d'être oublié.


Soudain, après une ou deux minutes qui m'avaient parues bien plus longue,  les deux femmes parlaient plus fort "Jeune fille, tout le monde doit se déshabiller pour la visite médicale, ca ne dure pas très longtemps et ensuite tu te rhabille comme tout le monde."


En me baissant, je pouvais voir en partie la scène, c'était impossible de résister à ce spectacle érotique incroyable.

Lamia cédait, après tout c'est juste une visite médicale se disait elle et l'infirmière lui paraissait sexy avec son côté femme mature autoritaire. Après quelques hésitations, elle se mit en sous vêtements et oublia d'enlever son hijab. 


Elle se tenait fière et provocante avec son voile, ses sous vêtements et ses chaussettes blanches devant l'infirmière un uniforme.


L'infirmière n'était pas du tout satisfaite et s'exclamait "Enlève le reste et monte sur la balance".


Lamia rechignait encore en disant "Mais ça ne pèse quasiment rien, j'ai juste un peu de tissu sur moi lol" Elle lâchait un rire nerveux liés a sa gêne mais aussi un peu d'excitation.


L'infirmière pour répondre lui laissait voir le formulaire du protocole de la visite médicale ou il était effectivement écrit que la prise de la mesure du poids des élèves doit se dérouler nu. 


Lamia retira donc son soutien gorge en découvrant ses petits seins très sexy que n'importe quel homme ou lesbiennes aurait envie de croquer et de lécher. L'infirmière avait pris son soutien gorge et l'avait examiné soigneusement avec un petit sourire avant de le poser délicatement sur le bureau. Lamia avait les seins qui commençait a pointé. 

Puis en avait enlever ses chaussettes, ses pieds étaient magnifique, l'air très doux, bien entretenus.


"Tu sera plus à l'aise pieds nus, et c'est plus propre et élégant pour une jeune fille comme toi" commentait l'infirmière.


"Allez hop ma belle enlève ton beau petit foulard et ta petite culotte et nous commencerons la visite".


Lamia avait l'air assez soumise et enlevait son voile avec douceur puis elle avait fait baisser sa culotte qui lui tombait sur les chevilles. Elle était vraiment toute nue. Elle avait l'air à l'aise et souriait.


Il faut se mettre toute nue pour la visite médicale.
Une vraie visite médicale se déroule toujours toute nue.

L'infirmière commençait par l'interroger, Lamia était célibataire, elle faisait  du sport régulièrement,  ne fumait pas et ne buvait jamais, elle avait fait l'amour pour la première fois à 17 ans avec un garçon de son lycée.


Lamia se baladait à poil dans le cabinet médicale, sans aucune gêne, puis elle était monté sur la balance : 50 kilos, puis sous la toise :1,62m.


L"infirmière lui avait pris aussi sa tension, puis écouter le coeur et les poumons avec le stéthoscope.


"C'est très important de vérifier les seins, même à ton age" et Lamia se faisait malaxer les seins, elle avait un peu gémit.


Ma bite allait explosé, je me relevais pour me branler un peu car j'étais prêt a sauter sur les deux femmes avec la queue en feu.


J'avais entendu thermomètre et anus, une phrase du genre "Par soucis de précision, la température des étudiantes est prise par voie rectale"


Waahh je m'allongeait sur le sol pour ne rien perdre du spectacle et me branler à fond.


L"anus examiné pendant la visite médicale.
Pas de place pour la pudeur à la visite médicale.


Lamia docile et soumise ouvrait ses fesses et les écartait devant la professionnelle de santé, elle m'avait avouer quelques semaine après avoir des penchant lesbiennes et appréciait d'être esclave de femmes plus âgées et autoritaire, mais avec les filles de son âge, elle était très dominatrice et féroce.


L'infirmière Thérèse s'amusait avec l'anus de Lamia ...

Elle était en train de lui titiller le trou des fesses et de faire des bisous dessus.


Ensuite j'avais gicler et souiller la cabine de mon sperme.


En essayant de nettoyer et d'effacer les traces, j'entendais Lamia et Thérèse venir en ma direction en discutant tranquillement et amicalement. Lamia était encore nue et pieds nus et avait oublier toute traces de pudeur.


De retour dans sa cabine, elle m'appelait pour me dire que c'était mon tour et que tout s'était bien passé.


Si je pouvais avoir un super pouvoir ce serait d'être invisible pour regarder les visites médicales des filles.


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Visite médicale lesbienne.


Visite médicale du travail.


Examen de santé à l'IUT.



samedi 15 juillet 2023

Un entraineur pervers et voyeur regarde les filles nues sous la douche.

Filles nues devant l'entraineur voyeur et sans pudeur.
Les filles toutes nues sous la douche devant l'entraineur.


 Les filles de L'équipe de foot nues sous la douche devant le coach pervers.


Les filles les plus pudiques se plaignent des intrusions du coach quand elles sont toutes nues en train de prendre leurs douche.

Surtout que le coach se moque des filles qui veulent garder leurs culottes pour la douche, si bien que toutes les filles acceptent de se doucher collectivement les fesses et le minou à l'air libre.


Certaines ne sont pas contente mais elles n'ont pas le choix et doivent se soumettre à la pression du groupe.


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vendredi 14 juillet 2023

Bronzer nue sur son balcon est un délit.

L'été est la saison de la nudité.
Fière d'être tout nue en été.

Elle bronze et se prélasse nue sur son balcon pendant l'apéro.


Liliane en cette été caniculaire aime se mettre nue et prendre l'apéro à poil sur son balcon ou dans son jardin.

Sauf que son voisin, Bernard, 54 ans, catholique a porter plainte et l'a dénoncer à la police. En effet la loi interdirait de se mettre nu a la vue des autres.

Ce militant catholique et moralisateur a donc appeler la police pour dénoncer sa voisine pour exhibition sexuelle et outrages aux bonnes moeurs.

Lorsque la police est arrivée, elle a constatée que Liliane était à poil et les forces de l'ordre on pris l'apéro avec elle, mais la jeune femme n'a pas été inquiétée, c'est le pauvre Bernard qui s'est pris une amende salée, et devra comparaitre devant un tribunal pour voyeurisme et perversion. 


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Femme retrouvée séquestrée nue dans une cave.

Bondage BDSM et sequestration
Femme nue et ligotée séquestrée dans une cave de cité.



Séquestrée,  ligotée et laissée nue dans une cave.

Selon des informations révélées par la police, ce vendredi 14 juillet 2023, une femme d'une trentaine d'année aurait été enlevée, humiliée puis conduite dans la cave d'une cité de banlieue parisienne pour y être dressée.

Les faits se seraient déroulées jeudi 13 juillet au soir, en rentrant du bal des pompiers, une femme, Claire, a été victime d'un véritable guet-apens. La jeune femme se serait montrer arrogante et prétentieuse envers plusieurs hommes qui tentaient de la séduire pendant la soirée. Elle s'est plusieurs fois vanter d'avoir poser des râteaux à plusieurs mecs.

Manque de chance pour elle, un groupe d'homme a décider de lui faire payer ce comportement sexiste anti homme. 

Ils auraient forcer la jeune femme a monter dans le coffre de leur voiture, avant de s'arrêter dans un bois isolé, ou ils ont déshabiller Claire. Elle s'est débattue et  a crier, les ravisseurs pour calmer les témoins ont distribuer l'argent liquide qu'elle avait dans son porte monnaie.


Claire s'est retrouvée à poil dans un bois, pieds nus, les fesses et les seins à l'air entre les mains de la bande de pervers et devant des témoins ravis de voir ce spectacle d'humiliation.


La jeune femme s'est faite fessée et a du écarter les fesses et sa chatte de pute sous les rires des passants.


Elle a du sautiller pour que ses  gros seins soit secoués et fassent rire l'assistance.


Les mecs ont ensuite ligotée Claire et l'ont mise dans une cave, la police ne l'a découverte que le lendemain après midi.

Ce type de règlement de compte est de plus en plus fréquent et la police ne poursuit pas sérieusement les responsables selon les organisations féministes.


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Une femme nue et agitée dans sa cellule de prison.

Nudité forcée en confinement solitaire.
Femme nue et entravée dans sa cellule de confinement solitaire.

Scandale en prison : Incident nudité forcée n°20041144


Rapport d'enquête  n°20041144.


Objet de l'enquête : Une photo a été diffusé montrant une femme prisonnière nue et menotté aux poignets et aux chevilles et agitée dans un cellule d'isolement du complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib.Date : 14 novembre 2003.


Localisation : Prison d'Abou Ghraib, Baghdad, Iraq, section d'isolement.


Nom de la prisonnière impliquée : Rania B.


numéro d'écrou : RB04119

Raison de l'incarcération : Rania B est une scientifique proche de l'ancien régime, et a ce titre suspecte de détenir des informations stratégiques.


Statut : Prisonnière de sécurité de "Haute Valeur".


Régime de détention : En confinement solitaire.


Profession : Scientifique.


Age : 32 ans.


Taille : 167 cm


Poids 55 kilos.


Nationalité : Irakienne.


Religion : musulmane sunnite.


Groupe sanguin : B Positif.


Couleur cheveux : Noirs.


Couleur des yeux : Noirs.


Note : Différents témoins ont affirmé devant la court de justice que la prisonnière numéro d'écrou RB04119 était agitée et furieuse lors de son placement en confinement solitaire. La détenue a très mal vécue l'obligation de se déshabiller. La procédure pour les détenus de haute sécurité étant très stricte et ne souffrant d'aucune exceptions.

Lors de son arrivée, elle a refuser d'enlever ses vêtements pour la fouille de sécurité. Les surveillants ont du lui donner un coup de taser et menacer de lui arracher  et découper ses vêtements de force. La jeune femme a invoquer sa religion et sa culture pour refuser la mise à nue. Les gardes ont refuser sa demande et l'ont faite enlever tous ses vêtements.


La prisonnière a donner un coup de pieds à un garde lors de la fouille de son anus, l'un des gardiens avec une lampe et un gant était en train d'inspecter son rectum et d'y introduire un doigt a été frappé au visage. La détenue a donc été inspectée en profondeur par l'anus et le vagin et "mise au trou", en confinement solitaire pour un mois. La détenue a plusieurs fois crier et hurler pour réclamer des vêtements.

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Nue en confinement solitaire.

jeudi 13 juillet 2023

Prisonnière de guerre humiliée en prison.

Histoire d'humiliations et nudité forcée en prison.
Deux femmes prisonnières enchainées nues.

 

Des sévices et  la nudité forcée pour les femmes en prison.

Leyla Z, 28 ans a été capturée lors d'une opération de ratissage des Marines contre les rebelles  en novembre 2004 dans le quartier de Baghdad ou elle habite. Sur le terrain son interrogatoire est resté correct et courtois, les soldats lui ont posé des questions simples sur son identité, son âge, sa profession, et pris note de ses informations personnelles.

Seulement cette jeune professeure irakienne est considérée comme une détenue pouvant avoir des informations stratégiques pour la coalition du fait qu'elle enseigne dans un lycée fréquenté par les enfants des élites de l'ancien régime, dont beaucoup d'ancien ministre. 

Le renseignement militaire et la CIA ont donc décider qu'elle devait être retenue pour vérification, et elle a été placée dans un véhicule militaire et transférée dans le complexe pénitentiaire d'Abou Ghraib dans les environ de Baghdad, que l'armée américaine utilisent comme centre de détention et d'interrogatoire.


En arrivant dans la sinistre et tristement réputée prison, elle a été soumise aux procédures standard très humiliante et dégradantes que les militaires imposent aux prisonniers.


Dans un premier temps, il y a la fouille, qui doit être approfondie et qui se déroule nue, même pour les femmes comme Leyla. D'autres femmes  irakienne  comme Houda 31 ans sont aussi été incarcérées en même temps qu'elle, elles portent toute  sauf Houda qui est en pyjama, une robe amples et large  traditionnelle arabe, et un voile islamique (hijab) couvrant leurs chevelure. C'est des personnes culturellement pudique, réservées, et les gardes les ont regroupé ensemble pour les "accueillir".


Les gardiens ont reçu comme consigne d'être intraitable sur le déshabillage, c'est un élément clé du processus d'accueil. L'égo et la dignité de Leyla et des prisonnières doivent y prendre un coup.


Quelques semaines avant l'arrivée de Leyla et d'Houda, lors de l'arrivée des premières femmes dans cette prison, les gardiens américains se sont montrer plus respectueux avec les femmes qu'envers les hommes détenus. Les femmes lors des fouilles avaient la possibilité de garder leurs sous vêtements pour respecter les normes culturels et religieuses alors que les mâles étaient à poil, et  elles avaient la possibilité de garder leurs vêtements civils et leurs voiles, et certaines femme placées en isolement pouvaient garder leurs culottes.

Quant aux chaussettes, c'était l'anarchie niveau réglementaire, une jeune détenue irakienne  avaient pu conserver ses chaussettes lors des inspections  en prétextant avoir froid aux pieds et les surveillants en question avaient accepté pour lui faire plaisir et ne pas l'embarrasser., Mais d'autre gardes, considéraient que ça peut être  utiliser comme arme par destination et donc que c'est dangereux, obligeaient les prisonnières a les enlever lors des fouilles.

Mais depuis la visite du général Miller, l'ordre a été instaurer et les femmes sont soumises aux même conditions strictes que les hommes. Les prisonnières ont donc perdue tous leurs privilèges et obéissent  au même régles que les hommes : la nudité totale.

Leyla et les autres détenues sont très choquée de se voir ordonner  sévèrement par une grande soldate  américaine  blonde en anglais et en arabe de déshabiller. 

La surveillante militaire en uniforme ordonne d'abord "Retirez vos voiles, vos chaussures et vos effets personnels c'est a dire  vos montres, bijoux, boucles d'oreilles, papiers d'identité  et mettez les dans la boite en carton, on vous les rendra à votre sortie ..." 


Les femmes sont brièvement soumises à des relevées d'empreintes digitales et un soldat remplit leurs fiches administratives avant que la gardienne en chef donne l'ordre terrible "enlevez les robes, , les chaussettes, les bas,  les culottes, les soutiens gorges et tout le reste immédiatement !"

Les nouvelles détenues ont été surprise par le fait de devoir se dévêtir tout de suite, en public, les unes devant les autres sans aucune intimité, et surtout devant des soldats hommes qui ricanent. Elles appréhendent toutes d'être exposées nues devant d'autres personnes que leurs maris.


C'est une très grande honte et une terrible humiliation pour une femme arabe conservatrice  et respectable de devoir enlever ses vêtements, et de surcroit devant l'occupant qui montre sa domination.

Pendant qu'elles ôtent leurs robes, la gardienne leur dit en arabe et en anglais sur un ton ironique et cruel "Ne soyez pas timide mes petites, les garçons ici présent vous pouvoir se rincer l'oeil et se délecter de votre mise à nu. Ils sont curieux de voir vos gout en matière de sous vêtements. Certaines femmes ici se sont présenter avec des dessous très sexy sous leurs abayas et grand voile, et si vos chattes sont poilues ou rasées, de la forme de vos seins, bref vous n'aurez plus aucun secrets !"

"Mieux vaut ne pas être pudique" ajoute elle.

Leyla n'a jamais imaginer devoir tout enlever, surtout que les gardiens regardent les femmes avec insistance et rigolent en voyant leurs gêne.

Leyla enlève  d'abord ses chaussettes Houda est déjà pieds nus, les américains l'ont arrêtée en pyjama, elle n'a plus que sa petite culotte blanche. 

Les autres pleurent en retirant leurs soutien gorges devant les soldats qui se moquent d'elles.

La dernière instruction concerne les culottes, les prisonnières doivent les baisser sur leurs chevilles et les donner aux surveillants.

Elles sont entièrement nues, mains sur la tête, et exposées comme des bêtes aux regarde de tous, les américains les inspectent comme des bêtes en riant et prenant des photos des détenues dans des positions obscènes et dégradantes, Leyla a du se pencher en avant et toucher ses orteils pendant qu'on lui écarte les fesses et lui met un doigt dans l'anus pour vérifier qu'elle ne cache rien !

La fouille intrusive oblige aussi les femmes a ouvrir leurs chattes pour se faire doigter, leur bouche, a soulever leurs seins, les américains les fouillent même entre les orteils !


Les détenues sont ensuite enchainées, et aucun vêtements ne leur est remis, "Vous resterez nues en permanence, sauf pour les visites et les éventuels sortie hors du site."


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dimanche 9 juillet 2023

Le dressage de la prisonnière Lyla.

Le traitement visant à humilier et dresser les prisonnières nues.
Lyla, une prisonnière mise nue et forcée de faire du sport.

 Les terribles conditions de détention dans la prison pour femme.


Un membre de l'administration chargée d'enquêter sur les conditions de détention dans les prisons tenue par l'armée américaine en Irak visite le quartier de la prison d'Abou Ghraib à coté de Baghdad ou sont retenue les femmes, en particulier Lyla, 27 ans,  la fille d'un d'Houda la femme de ménage qui s'occupe de son logement dans la zone verte,  le quartier ultra sécurisé de la capitale ou se trouve l'ambassade américaine et le siège du gouvernement provisoire. L'aide ménagère lui a demander de retrouver sa fille, portée disparue depuis plusieurs semaines après un raid des marines dans son quartier.


Je n'ai pas pu refuser de rendre service à Houda concernant sa fille Lyla, qui a été mise aux arrêts et qui j'en étais sur était retenue au secret et en isolement dans la prison d'Abou Graib. De par ma position, j'ai accès à beaucoup d'endroit, et a des personnes haut placées. Obtenir une autorisation pour visiter cet endroit n'est pas si difficile pour un officier du pentagone proche de l'ambassadeur.


L'endroit est au premier abord un immense complexe, il y a les internés, des personnes retenues dans le camp, dans des tentes en général, il s'agit de détenus de droit commun ou de personnes arrêtées au hasard, et la partie dure du site, avec des bâtiments et des ailes comprenant des tas de cellule et une zone isolée.


En arrivant dans cette endroit, ce qui frappe les yeux c'est que les prisonniers sont tous complètement nus, y compris les femmes. Les gardes prennent tranquillement leur café, et m'invite à leur table.


Je leur dis brièvement expliquer la raison de ma présence et que je cherchais Lyla, une jeune prisonnière arrivée il y a peu.


Un garde avec un air assez primaire, surement un redneck, un cul terreux d'électeur républicain originaire du centre des Etats Unis lui dit qu'elle est à la gym, l'une des activité obligatoire de la prison pour maintenir en forme les détenues, et aussi et surtout, les dresser.


Là, j'ai vue quatre prisonnières, toutes complètement à poil,  Lyla était permis elles, les gardiens les obligent à faire des exercices sportifs chaque matin, jusque à l'épuisement. Quand elle m'a vu elle m'a lancé un regard extrêmement gênée, plein de honte que je n'oublierais jamais. Elle était exposée, sa chatte rasée de prêt et exhibée dans toute sorte de positions.


Une femme prisonnière forcée de faire des pompes et du gainage nue.
Les sévices et traitements humiliants en prison.

Je me suis exclamé "Les prisonnières ne doivent pas être obligées de suivre des séances de sport nues et en public ! C'est choquant " Les gardes tiennent à coeur a suivre les recommandations des autorités qui insiste sur le fait de maintenir les détenues entre 18 et 45 ans en bonne forme physique.


"Et pourquoi sont elles à poil ?"


"C'est la procédure, on ne sait pas trop, on applique les ordres, et entre nous, c'est un métier agréable"


Un autre militaire un peu bougon et l'air détaché ajoute que c'est comme ça depuis qu'il est arrivé et que c'est normal d'avoir les prisonnières nues.


Pauvre Lyla, elle et sa maman sont très pudique, c'est difficile d'imaginer ce qu'elle peut ressentir. Lorsque le l'avais rencontré elle était comme la plupart des femmes de ce pays, vêtue d'une robe large et ample et portait un foulard (hijab) cachant ses cheveux, son cou, et sa poitrine. C'est une fille pieuse et religieuses respectueuse des préceptes de la religion musulmane. Les gardes l'obligent à rester nue en permanence, a montrer ses fesses, sa chatte, ses petits seins, et a montrer ses trous bien fait partie de la routine comme pour les autres détenues.


C'est un bon moyen de maintenir l'ordre et d'apprendre l'humilité aux prisonnières. Lyla apprend à vivre nue, comme les autres, elle a abandonner toute pudeur a force d'être exhibée nue devant les gardiens qui l'harcèlent et se moquent d'elle sans cesse on lui imposant toutes sortes d'outrages et d'obscénités. 


Les gardes par exemple aiment lui faire faire des pompes et des abdos jusque à l'épuisement, lui faire faire des squats pour bien qu'on puisse voir ses fesses et sa chatte ouverte, l'obliger a se masturber en public et a jouir.


Humiliée , une prisonnière se masturbe devant les gardiens.
Une prisonnière obligée de se masturber jusque à la jouissance en public.


Liens :


Prisonnière de haute sécurité.


L'omniprésence de la nudité dans cette prison.


Rapport : Incident femme nue en cellule.

Nudité forcée et confinement solitaire en prison.
Photo d'une femme nue et menottée dans sa cellule de prison en confinement solitaire.

 Rapport d'incident impliquant une détenue.


Rapport n°20041143 

Date : 9 novembre 2003

Localisation, Iraq, prison d'Abou Ghraib, section d'isolement.

Objet de l'enquête : Une photo présentant une femme nue et menottée dans une petite cellule a été retrouvé dans l'appareil photo d'un gardiens incriminé dans le scandale.

Nom de la prisonnière : Hinda F.

Profession : Enseignante en lycée.

Age : 27 ans.

Taille : 1,63 m.

Poids 57 kilos.


Raison de l'incarcération  : Elle est suspectée de liens avec l'ancien régime et de soutien à la rebellion du fait de ses liens familiaux. Son cousin est recherché et elle est susceptible d'avoir des informations pouvant mener à sa capture.

Traitement :  Madame F a volontairement suivis les instructions (prise d'empreintes etc.) et s'est montrée coopérative  jusque a ce qu'on lui demande de mettre ses vêtements dans une boite en carton. Deux agents masculins l'ont obligé a retirer tous ses vêtements sous la menace de la force.

Hinda F a fait preuve d'indiscipline à plusieurs reprises, en particulier lors des déshabillages. La détenue a refuser d'enlever ses vêtements lors de la fouille corporelle, et d'être nue en cellule comme le veut le traitement standard de la prison.

Propriété : Sac à main bleu, une montre, un collier en argent, des boucles d'oreilles, une chaine de cheville, carte de crédit, passeport, quelques pièces et billets, Robe noire ample et longue, voile bleu (hijab), chaussure de sport, chaussettes blanche, culotte et soutien gorge blanc dentelle assortie.

Notes : Prisonnière très hostile à l'idée d'être nue en public, pudique, fière, soumise à un régime de nudité stricte, avec des fouilles régulière (trois fois minimum par jours) très intrusives avec touché rectal et vaginal, inspection de la bouche, des oreilles du nombril et entre les doigts de pieds. Les fouilles sont essentielles pour maintenir l'ordre et la sécurité. Elles sont jugées aussi très efficace pour apprendre l'humilité et la soumission des prisonnières.

La détenue doit porter des entraves en permanence.


Très facile à humilier, déteste être promener nue dans les couloirs, déteste prendre sa douche en commun avec les autres prisonnières sous les regard des gardiens. Elle est resté 9 mois nue avant d'être libérée.


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vendredi 7 juillet 2023

Une émeutière prise en flagrant délit et mise à poil en public.


Naked Humiliations during french riots.



Justice expéditive : Une voleuse et émeutière dressée dans un village.


Après plusieurs nuits d'émeutes et de pillage en France, et des millions d'euros de dégâts, le gouvernement français et les milices bourgeoises et fascistes ont décider de lancer la répression contre les jeunes, les pauvres et toute personnes suspectées d'avoir participer ou soutenu les émeutes urbaines.


Pour faire face à es émeutes la police française doit faire appelle a des groupes de miliciens issue de la bourgeoisies locale qui ont tout intérêt à maintenir l'ordre et la sécurité pour la protection de leurs bien et de leurs affaires.

Manon, 23 ans, est sortie plusieurs fois pour soutenir les manifestants et les encourager à détruire les biens publics et s'en prendre à la police. Alors qu'elle lançait des cailloux sur le police et criaient des slogans anti Macron, les miliciens l'ont capturée et lui ont imposer une punition humiliante et dégradante.


Manon s'est retrouvée toute nue, les citoyens en colère l'ont obliger a se déshabiller complètement dans la rue pour en faire un exemple dissuasif, avec l'approbation de la police.


Ses seins et ses fesses ont été exhibé partout ainsi que son chatte, l'humiliation est un bon moyen de punition pour donner une leçon a cette délinquante.


Liens : 


Larguée nue en guise de punition.

 

mercredi 5 juillet 2023

Des pilleuses et émeutières humiliées nues par la police

Répression policière :Toute nue en garde à vue
Sévices et humiliations en garde à vue après les émeutes.

 

Répression et sévices en France après les violentes émeutes contre la police.

Plusieurs filles qui on participer aux émeutes et aux pillages dans cette ville de province en France ont été arrêtées et placées en garde à vue dans le commissariat centrale de police de la ville.


Les jeunes femmes se plaignent d'avoir été maltraitées et humiliées par les flics. Mélanie et Sana, 22 ans et 19 ans ont été prise en flagrant délit en train de piller un magasin de cosmétique. 


Les deux jeunes femmes affirment avoir été durement punies, elles accusent les policiers de les avoir déshabiller et de les avoir laisser  à poil pendant toute la durée de leurs garde à vue, soit trois jours. Le pire c'est qu'elles ont été gardé dans des cellules ouvertes et à la vue de tous.


Le ministère de l'intérieur a régit en reconnaissant pratiquer des fouilles à nu systématiquement pour s'assurer qu'aucune filles ne cache sur elles d'objets dangereux comme le règlement de la GAV le prévoit.


Seulement le commissaire aurait pris différentes initiatives, d'une part, comme la police était très occupée, il n'y avait plus assez de policiers pour surveiller les filles, il a donc fait appel a des volontaires, des citoyens qui soutiennent l'ordre et la morale, des républicains partisans des gens de bien.


Ces volontaires républicains, se sont vue confier par la police des missions de surveillances, et les filles ont donc étaient exposées nues, avec des moqueries, insultes, crachats. Gérard, 58 ans, 1,74m pour 95 kilos, un retraités enrobé,  membre du parti Renaissance aurait plusieurs fois obliger Mélanie a écarter les fesses et soulever ses seins, il lui aurait même fait une fouille rectale. Lorsque un journaliste a demander à Mélanie si c'était vrai, elle est devenue toute rouge et a refuser de répondre.


Géraldine, 39 ans, mère au foyer, électrice de Macron aurait pris Sana par les oreilles et lui aurait fait faire le tours du commissariat toute nue avec un bonnet sur la tête. "Nous devons punir les délinquants par des châtiments corporels et des humiliations publiques."


Les filles ont aussi été fessées devant tout le monde.


Liens : 


Vidéo d'une fouille corporelle nue.


Polémique en GAV.